Larra Sanglier à la broche pour les 50 ans de l’ACCA


Larra. Sanglier à la broche pour les 50 ans de l’ACCA
Célébration du cinquantenaire avec un festin de sanglier
L’Association Communale de Chasse Agrée (ACCA) de Larra célèbre cette année son cinquantième anniversaire. Pour marquer cet événement, l’association organise un festin de sanglier à la broche, prévu lors du forum des associations le samedi 7 septembre à 12 h 30.
En raison des vacances estivales et d’un nombre de places limité, l’ACCA a ouvert les inscriptions bien à l’avance, qui seront closes le 24 août. Pour valider une inscription, il est nécessaire de fournir un paiement de 10 € par personne. Les enfants de moins de 12 ans peuvent participer gratuitement, mais il faut préciser le nombre d’adultes et d’enfants lors de la réservation.
Les paiements doivent se faire en mairie pendant les heures d’ouverture, et les réservations sont à envoyer par mail à acca.larra@gmail.com. Pour obtenir des informations supplémentaires, vous pouvez contacter le 07 86 51 76 97.
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Une voiture percute un sanglier à Leuilly-sous-Coucy


Une Voiture Percute un Sanglier à Leuilly-sous-Coucy : Plus de Peur que de Mal
Un choc nocturne avec un sanglier laisse une automobiliste indemne
Mardi, peu avant 23 heures, un incident imprévu a perturbé la tranquillité de la D1 à Leuilly-sous-Coucy, dans l’Aisne. Une automobiliste se dirigeant vers Soissons a violemment heurté un sanglier sur la côte du Banc-de-Pierre.
Alertés rapidement, les pompiers du centre de secours d’Anizy-le-Château ont accouru pour porter assistance à la conductrice, une jeune Soissonnaise de 29 ans. Heureusement, malgré le choc violent et les dégâts matériels visibles sur son véhicule, la jeune femme a échappé à des blessures graves, se retrouvant finalement avec une belle frayeur.
Son état n’a pas nécessité de transport à l’hôpital. Pendant ce temps, les gendarmes de permanence de la communauté de brigade Coucy/Anizy ont pris les mesures nécessaires pour sécuriser le site et réguler la circulation sur cette route relativement peu fréquentée à cette heure tardive.
En fin de compte, l’incident se solde par des dégâts matériels, mais surtout par une grosse frayeur pour l’automobiliste. L’intervention rapide des services de secours a permis de limiter les conséquences de cet accident qui aurait pu être bien plus grave.
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Face à l’invasion de sangliers le conseil municipal de Semur-en-Auxois vote un plan de chasse


Semur-en-Auxois
Face à l’invasion de sangliers, le conseil municipal vote un plan de chasse
Les quartiers situés en périphérie de Semur-en-Auxois font face à un problème croissant : la surpopulation de sangliers. La mairie a décidé d’agir en autorisant des battues ciblées lors de la prochaine saison de chasse. Le but étant d’éloigner les sangliers des habitations, où ils ont causé de nombreux dégâts.

Un problème qui s’est aggravé depuis 2021
À Semur-en-Auxois, la prolifération des sangliers durant la saison hivernale pose problème depuis près de trois ans. En particulier aux abords de la ville dans les secteurs de la Chaume-Pertuisot, de l’aérodrome ou du chemin des Enlerys. De quoi susciter de grandes inquiétudes de la part des habitants qui constatent leur intrusion dans les…
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Prudence face à la peste porcine africaine à 100 km de la frontière française


Prudence face à la peste porcine africaine à 100 km de la frontière française
La peste porcine africaine s’approche dangereusement de la France
La préfecture de l’Aisne lance une alerte concernant la peste porcine africaine. Des cas viennent d’être détectés chez des sangliers en Allemagne, à seulement 100 km de la frontière française. Cette maladie n’est pas contagieuse pour l’homme mais est mortelle pour les porcs et les sangliers.
Alors que la France est encore épargnée par cette épidémie, la vigilance est de mise. En janvier 2019, l’armée avait été mobilisée pour soutenir les chasseurs dans l’abattage de 500 sangliers dans les Ardennes, pour assurer un vide sanitaire. Bien que la situation ne soit pas aussi critique actuellement, les autorités prennent le risque au sérieux.
Surveillance accrue des animaux
Si des cas de peste porcine africaine devaient être signalés en France, les conséquences économiques pour les éleveurs et l’industrie agroalimentaire seraient graves. Des mesures de précaution sont donc nécessaires. Notamment, il est déconseillé de ramener des produits à base de porc des pays infectés et il est recommandé de jeter les restes alimentaires contenant du porc dans des sacs-poubelles fermés pour éviter qu’ils ne soient consommés par des sangliers.
Recommandations pour les détenteurs d’animaux et les chasseurs
Pour ceux qui possèdent des porcs ou des sangliers, surveiller la santé des animaux est crucial. En cas de signes de maladie tels que fièvre, apathie, rougeurs sur la peau, avortements ou mortalité, il est impératif de consulter un vétérinaire immédiatement. Les chasseurs sont également invités à nettoyer et désinfecter leurs équipements de chasse après chaque sortie. Les promeneurs, eux, doivent signaler tout cadavre de sanglier auprès de l’Office français de la biodiversité ou des fédérations départementales des chasseurs.
Pour plus d’informations sur la santé animale et les précautions à prendre, visitez Caninstore.
Peut-on adopter un animal sauvage


Kangourou, sanglier, perroquet : peut-on vraiment adopter un animal sauvage ?
Quand la faune sauvage fait irruption dans nos foyers
Deux kangourous en cavale entre Torsac et Voeuil ce dimanche, un perroquet Gris du Gabon en villégiature dans les arbres de Ruelle il y a dix jours, un bébé chevreuil recueilli et bichonné par un exploitant agricole de Vars en avril, et le fameux sanglier Rodger apprivoisé par un couple de Bassac, échappé de son enclos en mai. La Charente regorge d’histoires d’animaux sauvages devenus des membres à part entière de foyers charentais.
Adopter un animal exotique : est-ce légal ?
« Peut-on vraiment avoir chez soi n’importe quel animal non domestique ? Je peux adopter un tigre, un singe ou un zèbre ? », demande Mélanie, une habitante du Cognaçais. Jean Bernaben, administrateur de l’association environnementale Charente Nature, répond : « Hélas oui, mais à condition d’obtenir des autorisations, délivrées par les services de l’État. »
Les règles à suivre pour détenir des animaux sauvages
Pour certaines espèces sauvages courantes comme les tortues, les iguanes verts ou les perroquets Gris du Gabon, une simple autorisation préfectorale suffit. Pour d’autres animaux plus exotiques ou potentiellement dangereux, tels qu’un éléphant, un crocodile de plus de trois mètres ou une araignée veuve noire, il faut obtenir un certificat de capacité et une autorisation de détention délivrés par la DDETSPP (ex-direction des services vétérinaires). Les cirques et les zoos sont également soumis à cette réglementation.
Assurer le bien-être des animaux
Les services de l’État s’assurent que les adoptants sont en mesure d’offrir à l’animal de bonnes conditions d’hébergement. Le propriétaire devient alors un établissement d’élevage non professionnel, soumis à des inspections régulières et à des mesures de sécurité spécifiques. L’arrêté du 10 août 2004 fixe les conditions de détention des animaux d’espèces non domestiques, incluant des exigences pour la taille des enclos, les soins vétérinaires et la sécurité des installations. En cas d’infraction, les sanctions peuvent aller jusqu’à six mois de prison et 9 000 euros d’amende.
La réglementation internationale et nationale
La convention de Washington régule le commerce des espèces menacées d’extinction. En France, elle est appliquée par les douanes et la Direction de l’alimentation. Toute introduction ou exportation d’espèces protégées nécessite une autorisation, et les contrevenants risquent des sanctions incluant des amendes et la confiscation des animaux.
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Conflit de Chasse en Lomagne Propriétaire Contre Sociétés de Chasse


Conflit de Chasse en Lomagne Gersoise : Un Propriétaire Sérénade les Sociétés de Chasse
Une Querelle de Voisins à Coups de Téléobjectifs et Annonces Publiques
En Lomagne gersoise, François D., un propriétaire de 70 ans, fait front contre deux sociétés de chasse, Saint-Créac et Mauroux, qu’il accuse de pratiques irrespectueuses sur ses terrains. François dénonce des chasseurs qui, selon lui, chassent sans autorisation sur des parcelles privées. « Ce sont des gens qui se croient chez eux, qui font n’importe quoi », explique-t-il.
Des Années de Surveillance et de Conflit
François D., chasseur lui-même, surveille minutieusement les battues organisées autour de ses parcelles, n’hésitant pas à utiliser téléobjectifs et caméras pour traquer les chasseurs fautifs. Il multiplie également les annonces dans les journaux locaux pour rappeler l’interdiction de chasser sur ses terres sans son consentement ou celui de ses ayants droit. Il souligne les interdictions de pénétrer sans autorisation, de dégrader la végétation et de laisser les chiens divaguer.
Un Différend qui Dure Depuis Deux Décennies
Le conflit ne date pas d’hier. « C’est un différend qui dure depuis près de 20 ans », confie Alexandre Vanzetti, président de la société de chasse de Mauroux. « Les présidents de l’époque avaient pris des dispositions pour essayer de le canaliser. Depuis, il se venge d’avoir été mis à l’écart », ajoute-t-il, notant que François les surveille constamment.
Vincent Fattori, président de la société de chasse de Saint-Créac, exprime aussi son incompréhension face à cette querelle prolongée. « Je suis président depuis 9 ans, on n’a jamais empiété sur son territoire lors de battues. Il cherche littéralement du poil aux œufs », dit-il, en déplorant la dernière annonce publique de François D.
Le Maire Appelle à la Raison
Le maire de Saint-Créac, Vincent Bégué, décrit cette situation comme « pagnolesque », regrettant la perte de temps et d’énergie sur des faits qu’il juge de « gravité minime ». Il trouve l’ensemble de la situation dommageable.
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Laie et Marcassins à Larmor Défis et Gestion de Chasse


Une Laie sur le Caillou : Dilemme et Répercussions de Chasse
Sauvetage et Prolifération : La Laie de Larmor à Groix
Lors d’une battue au sanglier à Larmor, une femelle sanglier, cherchant à protéger ses petits, a traversé les eaux tumultueuses jusqu’à notre île. Maintenant, elle veille sur ses trois marcassins, mais l’attrait du gros gibier attire les chasseurs de tous bords, indifférents à l’idée de tuer la mère et laisser les petits mourants.
Prolifération et Gestion : Une Question Délicate
La présence de cette laie suscite des inquiétudes parmi les propriétaires de terrains, notamment ceux fiers de leurs pelouses à l’anglaise. Avec déjà des soucis causés par le petit gibier, traiter les sangliers devient impératif. Conformément aux directives fédérales, la décision de tuer la laie et ses rejetons n’est pas prise de gaieté de cœur, mais est nécessaire pour empêcher une battue administrative.
Méthodes de Chasse : Options Disponibles
- Battue : Six chasseurs minimum, tir à balles obligatoire.
- Affût : De deux heures avant le lever du soleil jusqu’à deux heures après son coucher, tir à balles obligatoire.
- Approche : Arc ou tir à balles.
Responsabilité et Réglementation
La responsabilité des présidents de société de chasse est immense. La chasse du sanglier est ouverte jusqu’au 31 mars, et a déjà été prolongée jusqu’au 31 mai dans tout le département. Chaque société de chasse, concernée ou non par la présence de sangliers, doit payer cette saison une cotisation solidaire de 150€ pour les dégâts de gibier. Si les dégâts dépassent certains seuils, des contributions supplémentaires par hectare s’ajoutent.
Coûts des Dégâts et Participation des Chasseurs
En 2022, les chasseurs ont payé 182 000€ pour les dégâts causés par les sangliers, et ce montant est monté à 411 000€ en 2023, malgré l’abattage de 4200 sangliers dans le département du Morbihan, dont 90 à Larmor et 78 à Guidel. L’empathie pour une « maman sanglier et ses bébés » est éclipsée par la gravité de la situation partout en France.
Législation et Respect des Règles
Les dispositifs lumineux pour éclairer la faune sauvage sont interdits, tout comme l’installation de caméras de chasse sans autorisation du propriétaire. Respecter ces règles est crucial pour éviter des sanctions.
Débat et Réactions
Un débat animé a suivi sur les mesures appropriées à prendre. Certains suggèrent des méthodes non létales comme la stérilisation ou la capture suivie du relâchage dans des zones forestières adaptées. Toutefois, une telle approche demande de l’organisation et des ressources supplémentaires. La gestion de la faune sauvage demeure un enjeu sensible, où la conjonction de la protection de l’environnement et les intérêts humains se heurte souvent.
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Signé : Actuchasse pour Caninstore
Effets méconnus de la chasse sur les populations d’oiseaux


Les effets inexplorés de la chasse sur les populations d’oiseaux: un regard approfondi sur les impacts démographiques et évolutifs
L’étude de l’impact de la chasse sur les populations d’oiseaux
Quel est l’impact de la chasse sur les populations d’oiseaux ? C’est la question sur laquelle se penche une étude récente. Ce travail évalue les effets de la chasse sur les populations d’oiseaux, visant à comprendre comment cette activité influe sur leurs effectifs. L’étude démontre que le rôle de la chasse en tant que facteur d’évolution des espèces d’oiseaux a été, jusqu’à présent, largement inexploré. Les oiseaux, en tant que groupe d’animaux sauvages, ont été et restent un modèle particulièrement pertinent pour comprendre les conséquences des activités humaines sur les espèces.
Les oiseaux: un modèle crucial pour comprendre les impacts de la chasse
Les oiseaux comptent parmi les groupes d’animaux sauvages les plus exploités par l’espèce humaine. Chaque année, des centaines de millions d’oiseaux sont prélevés dans le monde pour des activités de chasse de subsistance ou de loisir. Ils figurent également parmi les groupes taxonomiques les mieux étudiés par les scientifiques. Cette étude permet de confirmer que les oiseaux sont essentiels pour comprendre les conséquences des activités humaines, telles que la chasse, sur les espèces sauvages. Maintenir des suivis à long terme des populations d’oiseaux et mener de nouvelles recherches prenant en compte les différences de comportement entre individus sont des étapes cruciales pour assurer la coexistence entre activités humaines et biodiversité.
La chasse: une activité millénaire aux conséquences dramatiques
Que ce soit pour se nourrir, pour le loisir ou pour le commerce, la chasse est une activité que les humains pratiquent depuis des millénaires. Cette activité, seule ou combinée à d’autres facteurs, a causé la disparition de nombreuses espèces, comme le Dodo ou la Tourte voyageuse, une espèce qui était autrefois si abondante que ses nuées pouvaient masquer le soleil. Aujourd’hui, selon IPBES (la plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques), l’exploitation (chasse, pêche, cueillette) est toujours l’un des trois principaux facteurs d’érosion de la biodiversité.
Compilation des connaissances: comprendre les impacts démographiques et évolutifs
Dans une synthèse de littérature publiée dans « Biological Reviews », les chercheurs compilent des connaissances variées sur les effets de la chasse sur les populations d’oiseaux, tant en termes d’abondance des populations chassées (impact démographique) que de leurs caractéristiques morphologiques (impact évolutif). Leur travail souligne l’apport majeur des oiseaux à la compréhension de l’impact démographique de la chasse. Depuis plus d’un siècle, ces travaux ont contribué aux avancées théoriques, statistiques, mathématiques et méthodologiques dans ce domaine.
Les espèces et les mécanismes d’adaptation face à la chasse
Toutes les espèces ne réagissent pas de la même manière à la chasse, car divers mécanismes peuvent déterminer si une population peut ou non supporter des prélèvements importants. Par exemple, lorsque la concurrence pour les sites de nidification est forte, tous les individus ne peuvent pas se reproduire. Dans de tels cas, le prélèvement d’une partie de la population peut n’avoir qu’un effet limité sur le nombre d’oiseaux la saison suivante. Les recherches récentes se concentrent de plus en plus sur l’échelle individuelle, en évaluant le rôle des différences de morphologie, de comportement ou de capacité de survie. Par exemple, chez la sarcelle d’hiver, certains individus montrent un faible taux de survie naturel, tandis que d’autres sont plus performants. La répartition des oiseaux entre zones protégées et zones ouvertes à la chasse joue un rôle crucial dans le prélèvement, et en fonction des tendances des chasseurs à prélever certains types d’individus, l’effet du prélèvement peut être minime.
Impact évolutif de la chasse: vers une évolution des espèces
La diversité entre les individus est également cruciale pour appréhender l’impact évolutif de la chasse. Un prélèvement sélectif peut conduire à une évolution des espèces, modifiant ainsi leur composition génétique. Bien que de nombreuses études se soient intéressées à cette problématique chez les mammifères et les poissons, très peu abordent cet aspect chez les oiseaux en raison des méthodes de chasse et des caractéristiques physiques des oiseaux qui rendent la sélection intentionnelle plus complexe. Cependant, certains comportements individuels, tels que la témérité ou la timidité, peuvent rendre certains oiseaux plus vulnérables aux prélèvements.
Comprendre et prévenir: l’importance des futurs recherces
Même s’il est souvent involontaire, un prélèvement sélectif peut également exister chez les oiseaux. Il est important de comprendre l’impact évolutif de ces prélèvements sélectifs car ils peuvent contrecarrer les effets de la sélection naturelle et limiter la capacité des espèces à s’adapter aux changements environnementaux. Ce champ de recherche est prometteur pour la compréhension de la résilience des populations face aux activités humaines, y compris la chasse et la pêche.
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Les exposants continentaux à la foire de la chasse et de la pêche de Ponte Novu


Les exposants continentaux à la foire de la chasse et de la pêche de Ponte Novu
Une passion qui traverse les frontières
Pour certains, c’est une première. Pour d’autres, une tradition bien ancrée. Tous participent à rendre cet événement incontournable pour les passionnés de chasse et de pêche de toute l’île.
Retour triomphal après la crise sanitaire
Le retour de la foire de la chasse et de la pêche en 2023, après quatre ans d’interruption due à la crise sanitaire, a été un véritable soulagement pour les passionnés. Cette 18e édition, qui se déroule comme à l’accoutumée sur le champ de foire de la gare, témoigne de l’enthousiasme intact des exposants et visiteurs, même sous une chaleur accablante et en pleine pollution aux particules.
Des rencontres enrichissantes au détour des stands
Parmi les exposants, une cinquantaine, certains viennent de loin partager leur passion. Natalie Pieta et Hervé Journal, venus de Haute-Savoie, présentent pour la première fois leurs chiens courants suisses, une race rare avec seulement 25 naissances annuelles en France et en Suisse. « Bien que les schwytzois soient de grande taille et mieux adaptés à la chasse au chevreuil et au lièvre, beaucoup de Corses se montrent intéressés, » explique Natalie.
Un vigneron passionné de fauconnerie
Nicolas Hirissou, vigneron de Gaillac et passionné de fauconnerie, est un habitué de la foire de Ponte Novu. « J’y retrouve les valeurs d’antan, partagées autour de l’amour des animaux, de la chasse et de la pêche, » confie-t-il. Son fils Matteo, âgé de 13 ans, fabrique et vend des leurres de pêche colorés sous sa marque « Mattfishing » et est ravi de sa première vente de la journée.
Création de liens durables
Au fil des années, les exposants continentaux ont tissé des liens solides avec les chasseurs et pêcheurs corses, devenant ainsi une partie intégrante de l’ADN de la foire. Tumasgiu Marchetti, vice-président de l’association organisatrice, souligne : « L’intérêt d’ouvrir les stands aux gens d’ailleurs est de proposer des pratiques inédites et d’enrichir nos échanges. »
En somme, la foire de Ponte Novu continue de faire battre le cœur de la chasse et de la pêche en Corse, attirant passionnés et curieux de tous horizons.
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La Foire de la Chasse et de la Pêche à Ponte Novu un Moteur pour l’Économie Corse


La Foire de la Chasse et de la Pêche de Ponte Novu : Un Catalyseur pour l’Économie Corse
Publié le 29/06/24 à 18:00 – Mis à jour le 29/06/24 à 18:06
Une Rencontre Incontournable pour les Professionnels et Passionnés
Derrière son stand bien achalandé de fusils de chasse et d’accessoires divers, Carlu Sinoncelli ne mâche pas ses mots : « Il faut y être. C’est tout. » Cet armurier établi à Bastia depuis près de 10 ans se fait un devoir de ne jamais rater la Foire de la Chasse et de la Pêche de Ponte Novu. Si l’événement avoisine la vingtaine d’années, il a gagné une renommée qui dépasse désormais les limites de l’île. « Des gens viennent du sud et font des heures de route depuis Sartène ou Porto, » confie Carlu. Pour lui, l’essentiel est de tisser des liens avec d’autres passionnés. « Pas seulement pour vendre, mais pour créer de la proximité avec les visiteurs ainsi qu’avec les autres exposants, » ajoute-t-il.
Un Marché Insulaire en Pleine Évolution
Tumasgiu Marchetti, vice-président de l’association Rustinu in fiera, souligne combien ces rencontres ont dynamisé les professionnels corses. « Aujourd’hui, certains ont lancé des entreprises qui n’existaient pas auparavant, obligeant les chasseurs et les pêcheurs à se fournir sur le continent, » explique-t-il. Un exemple éloquent ? Les colliers gravés pour chiens de chasse. « Personne ne les fabriquait il y a quelques années, » déclare Marchetti
Petru Santucci et Léa Anziani font partie de ces entrepreneurs audacieux. « Depuis 2 ans, nous vendons des gilets pare-balles sur mesure pour chiens ainsi que divers accessoires pour les animaux et les chasseurs. Dans un mois, nous ouvrirons une armurerie à Castellare-di-Casinca, » annonce Petru. Leur société, Pro Caccia, a su tirer parti des opportunités offertes par la passion des chasseurs corses. « Il y a de quoi faire, » conclut-il, le sourire aux lèvres.
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