Femmes en chasse une nouvelle dynamique en Charente

Femmes en chasse une nouvelle dynamique en Charente

La chasse : un domaine en plein essor pour les femmes

Ce week-end marque la réouverture de la chasse, et une révolution se dessine dans les sous-bois : de plus en plus de femmes, dans la belle région de Charente, s’impliquent activement dans cette activité traditionnelle. Fortes de cette dynamique, l’association des femmes chasseresses de Charente s’emploie à rehausser leur visibilité et à encourager davantage d’adhésions.

Un changement de mentalité sur le terrain

Les nouvelles membres du bureau de l’association des femmes chasseresses ne cachent pas leur enthousiasme : « Il y a de plus en plus de femmes qui chassent en Charente ! ». En chiffres, cela se traduit par une augmentation significative : l’année dernière, seulement 241 femmes détenaient un permis de chasse parmi 9 200 chasseurs, représentant 2,5 %. Mais en 2024, l’intérêt grandissant s’est traduit par 40 femmes sur 329 candidatures pour le permis, soit 12 % des postulants. Chiffres à l’appui, la présidente Christelle Valleau-Verriére vise à revitaliser l’association, qui compte aujourd’hui 14 membres, dont 5 hommes se joignant à leurs initiatives.

Des événements pour se faire connaître

L’association ne manque pas d’idées pour renforcer sa présence. Récemment, elles ont organisé un concert de trompe de chasse dans l’église de Jarnac, une initiative saluée comme un bon moyen de se faire connaître. Clotilde Coutard, la trésorière, évoque déjà un avenir riche en événements : « Pour Octobre rose, on prévoit une marche et un repas à Chadurie, et en mai, un week-end de formation au secours canin ».

Mais ce n’est pas tout : le retour des chasses entre femmes est également à l’ordre du jour. Ces dernières, bien qu’ayant connu un certain essoufflement ces dernières années, sont prometteuses. « Des hommes peuvent accompagner, mais sans fusil », précisent-elles, espérant raviver une tradition appréciée.

Une passion transgénérationnelle

La vice-présidente Mylène Rousseau, qui vit la chasse avec passion, illustre cette tendance. À 48 ans, elle ne manque pas une occasion de chasser avec son chien, Symphonie. « La chasse, c’est ma vie ! », admet-elle tout en admettant que cela laisse peu de place à un compagnon non passionné. Elle a d’ailleurs élargi cette passion familiale puisque sa fille, Amelina, 24 ans, a aussi été contaminée par le virus de la chasse.

Un moment de partage et de convivialité

Pour d’autres, la chasse devient un moment de partage. Christelle Valleau-Verriére partage une franche complicité avec son mari lors de leurs chasses en binôme. Clotilde Coutard, elle, n’est pas chasseresse au sens strict : « J’aime être dans la nature et suivre mon compagnon, mais je ne manie pas le fusil ». L’enthousiasme des jeunes femmes pour la chasse se fait sentir, avec des membres de l’association affichant des âges variant de 22 à 31 ans, prouvant que cette activité plaît également aux nouvelles générations.

Une image en évolution

Le préjugé tenace de la chasse réservée aux hommes, souvent entachée d’images de « bonshommes alcoolisés », se doit d’être revu. « On apprécie tous les moments de la chasse : les briefings, les repas convivial où l’on refait la journée », se réjouissent les membres. Mylène Rousseau souligne que, bien que des comportements machistes persistent, la tendance évolue vers une meilleure intégration des femmes.

Les femmes chasseresses sont prêtes à faire entendre leur voix dans ce domaine souvent jugé exclusif. Alors que la réouverture de la chasse mais aussi une nouvelle ère pour les femmes chasseuses de Charente, un vent nouveau souffle sur les sous-bois. Elles sont prêtes et bien déterminées à chasser les idées reçues !

Actuchassse pour Caninstore

Pour en savoir plus sur nos articles et conseils en matière de chasse et d’animaux de compagnie, rendez-vous sur Caninstore.com.

Sangliers envahissent Grenoble et créent la panique

Sangliers envahissent Grenoble et créent la panique

Des sangliers envahissants sèment la terreur à Grenoble

Dans la banlieue de Grenoble, une douzaine de sangliers ont pris d’assaut les jardins des habitants, transformant des espaces sereins en territoires de chaos. Géraldine, une résidente de 61 ans, qualifie la situation de « véritable carnage ». Les champs de pommes sont retournés et dévastés par ces intrus plus que carnivores, qui, en plus de créer des ravages, affichent une attitude agressive en faisant face aux habitants perturbateurs.

« Quand je rentre chez moi, ils bloquent l’accès entre mon portail et ma maison. Je klaxonne sans succès et je n’ose même pas sortir de ma voiture, de peur d’être chargée », partage Géraldine, illustrant ainsi l’angoisse croissante des habitants. Sa fille, Aurore, a même vécu une expérience traumatisante : « Ils m’ont foncé dessus, et c’est grâce à mes chiens que je ne suis pas tombée. J’ai dû me réfugier sur un tas de bois pendant qu’ils se battaient avec les sangliers, c’était une scène de violence », raconte-t-elle, la peur au ventre.

La terreur se propage au sein de la famille : la petite sœur de Géraldine, Sarah, a maintenant peur de rentrer chez elle seule. Pour éviter d’éventuelles confrontations, elle appelle régulièrement sa mère pour qu’elle vienne la chercher en voiture. Un couple de voisins se demande également si une simple promenade avec leur bébé ne les exposerait pas à un danger similaire.

Un retraité du secteur a même pris des mesures de précaution, installant des caméras de surveillance, mais il se retrouve impuissant face à ces invités indésirables qui se régalent de ses pommes tout en le regardant avec un air défiant.

Face à cette situation alarmante, l’association de chasse de Saint-Martin-d’Hères, dirigée par Sébastien Persicot, a promis d’intervenir rapidement à partir de l’ouverture de la chasse, prévue pour le 14 septembre. « Nous allons multiplier les battues dans la zone afin de réguler cette population de sangliers. Cependant, il est important de ne pas chasser trop près des habitations », explique-t-il, conscient de la nécessité d’agir tout en respectant la sécurité des résidents.

En attendant, les vieilles histoires de sangliers affamés et agressifs se dessinent comme un récit trop familier pour les habitants de ce coin de la banlieue grenobloise. Un appel à l’action qui ne peut qu’attiser la curiosité : jusqu’où iront ces intrus dans leur quête de nourriture ?

Pour ne rien manquer des actualités sur la chasse et la faune, restez connectés.

Actuchassse pour Caninstore

Visitez notre site pour plus d’informations.

Aubiet saison de chasse 2025-2026 bilan positif et craintes financières

Aubiet saison de chasse 2025-2026 bilan positif et craintes financières

Aubiet : une saison de chasse 2025-2026 sous craintes financières malgré un bilan positif

Le jeudi 4 septembre, l’assemblée générale de la chasse s’est tenue à Aubiet, réunissant le maire Bruno Blondeau et son adjoint Yann Ducournau, ainsi qu’une poignée de chasseurs motivés. Guy Samaran, le président, a ouvert la rencontre en remerciant les participants, ainsi que la mairie et les propriétaires pour l’autorisation de chasser sur leurs terres.

Un bilan d’activité encourageant malgré des défis financiers

Roland Danezan a présenté le rapport d’activité, révélant que 37 chasseurs ont réalisé 45 battues cette saison. Le bilan fait état de 53 sangliers, 9 renards et 21 cervidés capturés. Les points positifs soulignés incluent une bonne entente avec les propriétaires fonciers et la mairie, ainsi qu’une gestion efficace des déchets, en partenariat avec les employés municipaux.

Des inquiétudes concernant l’avenir financier

Jacques Noguès a ensuite partagé le rapport financier, qui présente un solde légèrement positif. Cependant, les chasseurs se montrent inquiets pour la saison à venir en raison d’une augmentation significative des taxes imposées par la fédération. Ces coûts pèseront sans doute sur les budgets des chasseurs, qui sont également invités à rendre leur carnet de prélèvements afin d’optimiser la gestion des ressources.

Dates clés pour la saison de chasse

L’ouverture de la saison de chasse est prévue pour le dimanche 14 septembre, suivie de l’ouverture pour le lièvre le mercredi 15 octobre. Le maire a salué l’engagement des chasseurs et s’est dit disponible pour répondre aux besoins de la communauté. La réunion s’est conclue par un moment convivial autour d’un pot de l’amitié.

Actuchassse pour Caninstore

Pour en savoir plus sur notre passion commune, visitez notre site : Caninstore

Nouveaux enjeux de la chasse aux sangliers en Isère

Nouveaux enjeux de la chasse aux sangliers en Isère

Nouveautés sur la chasse aux sangliers en Isère : Une saison déterminante

En avril dernier, la Fédération départementale des chasseurs de l’Isère (FDCI) a dévoilé son nouveau schéma de gestion cynégétique qui s’étendra sur les six années à venir. Validé par la préfecture en juillet, ce plan introduit des changements significatifs pour la saison de chasse qui s’étend du 14 septembre au 28 février 2026, et ce pour les 15 000 chasseurs actifs de l’Isère.

Cette année, les Associations communales de chasse agréées (ACCA) auront l’obligation d’ouvrir leurs portes au moins quatre jours complets par semaine. Une initiative qui témoigne d’une volonté accrue de réguler la population de sangliers, qui a été en constante augmentation ces dernières années, rendant la gestion de cette espèce de plus en plus délicate.

Patrice Sibut, directeur de la FDCI, souligne que l’objectif est de trouver un équilibre respectueux vis-à-vis de la nature. La pression de chasse sur les sangliers sera accentuée pour répondre aux préoccupations croissantes des agriculteurs et des habitants, qui se plaignent d’une augmentation des dégâts causés par ces animaux.

Cette nouvelle saison s’annonce donc riche en défis et en opportunités, tant pour les chasseurs que pour les acteurs de l’écosystème local. Entre l’amour du plein air et la nécessité de préserver les cultures, la chasse porte sur les épaules un enjeu à la fois économique et environnemental. Alors, prêt à chausser vos bottes de chasse et à faire face à la mission qui vous attend ?

Pour plus d’informations sur les réglementations et les stratégies mises en place, rendez-vous sur notre site : Caninstore.

Actuchassse pour Caninstore

Saison de chasse 2025 dans le Tarn sécurité et formation

Saison de chasse 2025 dans le Tarn sécurité et formation

La saison de chasse 2025 dans le Tarn : entre sécurité, diversité et formation

Le 14 septembre marque une date clé pour les 8 835 chasseurs du Tarn, annonçant l’ouverture générale de la saison de chasse. Une occasion qui fait briller les yeux des passionnés, avec chiens prêts à l’emploi, fusils soigneusement entretenus, et gilets fluorescents revêtus. Tous sont en action pour une saison qui promet d’être riche en gibier, tant pour le gros que pour le petit gibier.

Christian Barbe, président de la fédération départementale de chasse, et son directeur, David Eymard, affichent un optimisme certain pour cette rentrée. La stabilité du nombre de chasseurs cette année, avec un attrait particulier pour les jeunes, est une excellente nouvelle. « Les jeunes générations s’engagent et partagent leur passion sur les réseaux sociaux, ce qui est bénéfique pour notre communauté », souligne Eymard. Cette saison, les vedettes comme le sanglier et le chevreuil seront au cœur des préoccupations cynégétiques, mais les chasseurs se tourneront aussi vers des espèces plus discrètes comme la caille des blés. Avec une soixantaine de cailles baguées en 2025, le Tarn s’illustre dans la gestion de cette espèce migratrice.

Priorité à la sécurité

Un des principaux enjeux pour la fédération est la sécurité des journées de chasse, et les résultats sont là : le Tarn a enregistré un taux d’accidents remarquablement bas ces dernières années. « La sécurité est notre priorité », insiste Barbe. Les sociétés de chasse appliquent strictement les règles, y compris l’interdiction de l’alcool lors des activités de chasse. Pour renforcer cette thématique, une convention a été établie avec la gendarmerie afin de garantir un suivi régulier des pratiques. De plus, des relations constructives se développent avec les associations de randonnée et de cyclisme, promouvant une cohabitation respectueuse sur les territoires de chasse.

Un nouveau centre de formation

Une autre avancée notable est l’inauguration d’un centre de formation dernier cri à Rosière. Annoncé comme un véritable atout pour les chasseurs, ce centre permettra de diminuer les déplacements jusqu’à Rodez, un avantage non négligeable pour ceux résidant plus au sud, autour de Mazamet. « Cet investissement est accueilli avec enthousiasme par tous les chasseurs tarnais », déclare le président Barbe.

Chasse en chiffres

  • Ouverture générale : du 14 septembre au 31 mars
  • Nombre total de chasseurs : 8 835
  • Sociétés de chasse : 525
  • Prélèvements autorisés : cerf élaphe (786), chevreuil (8 040), sanglier (7 092), mouflon (12), daim (12), lièvre d’Europe (3 636), bécasse (2 792)
  • Autres animaux chassés : pigeon, renard, caille des blés, belette, chien viverrin, fouine, martre, putois, vison d’Amérique, raton laveur, blaireau, canard colvert, corneille noire, étourneau sansonnet, geai des chênes, pie bavarde, etc.

Pour un renouvellement des générations, une gestion efficace des espèces et une attention particulière à la sécurité, la saison de chasse 2025 s’annonce prometteuse pour le Tarn. Un engagement qui se renforce et qui mérite d’être salué.

Actuchassse pour Caninstore

Pour plus d’informations, visitez notre site : Caninstore

Ouverture de la chasse en Sud-Gironde et fortunes des faisans et perdrix

Ouverture de la chasse en Sud-Gironde et fortunes des faisans et perdrix

Ouverture de la chasse en Sud-Gironde : Le faisan triomphe, la perdrix moins chanceuse

Dès 8 heures, les chasseurs s’élancent à la conquête des champs, armés de joie et d’espoir pour cette nouvelle saison de chasse. Dimanche marquera l’ouverture générale de la chasse, avec un objectif en tête : débusquer faisans et perdrix, ces joyeux compagnons du petit gibier sédentaire.

Conditions variées pour la reproduction

Cette année, Dame Nature a eu ses caprices. Les conditions météorologiques, notamment les pluies printanières suivies de chaleurs écrasantes, ont impacté la reproduction des perdrix. Les résultats sont loin d’être convaincants, et il semblerait que ces charmants oiseaux aient décidé de faire grève cette saison. À l’inverse, le faisan, lui, a été plutôt chanceux. Dans des lieux propices comme Savignac et Aillas, la reproduction a été non seulement présente, mais généreuse. Qui l’aurait cru ?

Lâchers de gibier pour l’enthousiasme

Pour que chaque chasseur revienne avec le sourire, les associations de chasse ont organisé des lâchers de gibiers à grande échelle. Ces initiatives visent à assurer que les passionnés ne rentrent pas bredouilles tout en préservant les volatiles nés sur place. En effet, la réserve de gibier ne se limite pas à la seule nature, surtout dans certains coins où la chance semble avoir disparue.

Zone incendiée : un nouveau souffle pour les faisans

Un fait marquant réside dans les zones touchées par les incendies de l’année dernière. Sur ces terres, une réintroduction de faisans a eu lieu, et surprise : la nature a répondu avec ferveur. Des chants de coqs faisans peuvent même être entendus à Landiras et Origne, confirmant que la vie renaît de ses cendres. Comme le précise Frank Ehano de la FDC 33, la surprise s’installe : malgré le retour à zéro après l’incendie, les populations de faisans semblent se porter à merveille.

Continuité dans la faune locale

Le lièvre maintient sa présence pour le plus grand plaisir des chasseurs, tandis que les lapins, ces têtes de mule, demeurent une espèce rare dans la région. Par ailleurs, quelques cailles des blés pourraient également croiser le chemin des infatigables chasseurs, ajoutant un peu de diversité à la quête. En somme, cette ouverture de chasse promet d’être riche en aventures et en découvertes.

La saison de chasse s’annonce passionnante, entre émerveillement et découvertes. Alors, qu’attendez-vous ? Chaussures en cuir, fusil à la main, et en piste pour cette aventure en Sud-Gironde !

Actuchassse pour Caninstore

Pour plus d’informations, visitez : Caninstore

Chasseur condamné pour possession illégale de trophées d’espèces protégées

Chasseur condamné pour possession illégale de trophées d'espèces protégées

Chasseur condamné pour possession illégale de trophées d’espèces protégées

Un chasseur a été récemment condamné par la cour d’appel de Reims pour avoir illégalement détenu des produits issus de la chasse à des espèces protégées. Parmi les objets saisis figurent des défenses et des pieds d’éléphant, des griffes de léopard et même des rapaces empaillés. Interviewés au sujet de cette affaire, les enquêteurs ont souligné que cette découverte inattendue a eu lieu lors d’une vérification de routine dans un domaine de chasse de la Marne.

Une saisie révélatrice

Lors de leur intervention, les autorités ont mis la main sur deux défenses d’éléphant, deux pieds de l’animal qui avaient été astucieusement transformés en tabourets, ainsi que trois griffes de léopard, un léopard naturalisé, et plusieurs rapaces également empaillés. Le propriétaire, un gérant de domaine de chasse avec 35 ans d’expérience, a été jugé coupable de détention sans permis d’importation. Il devra s’acquitter d’une amende de 8 000 euros, dont la moitié est suspendue, et verser 1 500 euros aux associations qui se sont portées parties civiles dans cette affaire.

Les conséquences de la condamnation

Les associations impliquées, telles que l’Aspas, Robin des Bois et le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), ont salué cette décision comme une victoire. Elles ont fait remarquer qu’il est difficile de croire qu’un amateur de chasse aux trophées international ignore les lois relatives à l’importation et à la détention des espèces protégées.

Avertissement aux collectionneurs

Cette affaire met également en lumière un phénomène sous-jacent lié à la détention d’animaux naturalisés. Anaële Genet, avocate de l’Aspas, souligne que beaucoup de propriétaires ignorent qu’ils doivent demander des dérogations administratives pour ces spécimens, même ceux hérités de générations antérieures. Ce procès constitue non seulement un avertissement pour les collectionneurs, mais également un appel à la sensibilisation sur les lois entourant la protection des espèces.

Un pas vers une meilleure protection

La décision de la Cour d’appel de Reims est un signe encourageant dans la lutte contre le trafic d’espèces sauvages. Mia Crnojevic-Cherrier, de l’IFAW, note les progrès considérables réalisés ces dernières années en matière de protection de la faune en France. L’intransigeance des tribunaux pourrait transformer ce type d’affaire en un terrain de moins en moins fertile pour ceux qui envisagent d’acquérir de tels trophées illégaux.

Pour plus d’informations sur la chasse et la préservation des espèces, n’hésitez pas à consulter notre site !

Actuchassse pour Caninstore

Visitez notre site pour en savoir plus

Ouverture de la chasse en Nouvelle-Aquitaine 2023

Ouverture de la chasse en Nouvelle-Aquitaine 2023

Ouverture de la saison de la chasse : un regard sur la pratique néo-aquitaine

Les dates clés de cette nouvelle saison

La saison de chasse en Nouvelle-Aquitaine s’ouvre officiellement le samedi 14 septembre, marquée par la parution d’un supplément dédié. Cette région, qui se classe en tête des pratiques cynégétiques en France, compte plus de 160 000 chasseurs. Ce supplément, qui sera disponible à partir du 12 septembre dans le département des Pyrénées-Atlantiques (64) et le 13 septembre pour les autres départements, promet d’aborder des questions centrales : Quelle sera la place de la chasse en 2025 ? Qui sont réellement ces chasseurs néo-aquitains ? Quelles sont les actualités à suivre de près cette saison ?

Les enjeux et défis de la saison

Parmi les sujets brûlants, le sanglier demeure le principal adversaire des chasseurs en Nouvelle-Aquitaine, souvent décrit comme la « bête noire ». Les débats autour de la chasse à la palombe aux filets, pratiquée dans les départements des Landes, de la Gironde, du Lot-et-Garonne et des Pyrénées-Atlantiques, demeurent également d’actualité, impliquant des enjeux juridiques importants.

Se équiper comme un pro

Un chasseur bien équipé est un chasseur heureux. Ce n’est peut-être pas une vérité universelle, mais il est indéniable que le choix des vêtements peut faire la différence sur le terrain. Pour comprendre les dessous de cette industrie, nous vous emmenons au centre mondial de conception des produits de la marque Solognac, situé à Cestas en Gironde. Là-bas, des vestes et pantalons sont conçus et testés pour répondre aux besoins des chasseurs.

Explorez les spécificités cynégétiques

Au-delà des articles et des conseils pratiques, de nombreux reportages et portraits sont à découvrir pour mettre en lumière les particularités cynégétiques de chaque département du Sud-Ouest. Que vous soyez un chasseur aguerri ou un novice curieux, ce supplément vous enrichira de connaissances sur la chasse régionale.

Ne manquez pas ce supplément « Ouverture de la chasse », qui sera disponible dans les éditions Pays basque et Béarn le 12 septembre et partout ailleurs le 13 septembre. Retrouvez-le sur notre site Internet et dans le kiosque près de chez vous.

Actuchassse pour Caninstore

Visitez notre site pour en savoir plus !

Restrictions sur le transport des armes à l’approche du 10 septembre 2025

Restrictions sur le transport des armes à l'approche du 10 septembre 2025

Attention aux restrictions concernant le transport des armes

À l’approche de la journée du 10 septembre 2025, les détenteurs d’armes légales doivent redoubler de vigilance. En effet, les Préfets imposent régulièrement des arrêtés pour interdire le transport d’objets jugés dangereux lors de mouvements sociaux ou d’événements majeurs. Parmi ces objets, on retrouve non seulement les feux d’artifice et les armes blanches, mais parfois même les armes à feu que vous possédez légalement.

Des arrêtés variables selon les départements

Chaque arrêté est unique et son contenu peut varier considérablement d’un département à l’autre. En pratique, ces interdictions s’appliquent à des zones géographiques spécifiques et sont valables pour une durée déterminée. Malheureusement, il n’existe pas de modèle standardisé qui garantirait que tous les détenteurs d’armes sont prévenus des restrictions. De plus, alors que des dérogations sont généralement accordées aux forces de l’ordre, la mention d’un « motif légitime » pour les chasseurs et tireurs sportifs n’est pas systématique.

Risque d’infractions en périodes sensibles

Ce flou législatif peut rapidement conduire les détenteurs légaux à se retrouver en situation d’illégalité, comme cela a été le cas lors des émeutes de l’été 2023. À cette occasion, des fédérations, dont l’Union Française des amateurs d’Armes (UFA), avaient dû intervenir pour défendre les droits des chasseurs face à de telles exclusions injustifiées.

Rester informé pour éviter les ennuis

Dans ce contexte, il est essentiel pour les chasseurs et spécialistes du tir de lire attentivement chaque arrêté préfectoral. En effet, lors de contrôles, qui deviennent plus fréquents en période de tensions, une infraction pourrait entraîner une inscription au FINIADA, avec des conséquences désastreuses pour le détenteur. Avant de voyager avec votre arme, vérifiez que l’arrêté préfectoral de votre département mentionne bien un « motif légitime ». Cela pourrait bien vous éviter de sérieux désagréments.

Pour des informations détaillées sur la façon de retrouver un arrêté préfectoral, le site Armes-UFA propose des ressources utiles (réservé aux abonnés).

Actuchassse pour Caninstore

Pour plus d’informations sur la chasse, visitez notre site : Caninstore.

Chasse au Territoire de Belfort reprise le 14 septembre

Chasse au Territoire de Belfort reprise le 14 septembre

La chasse reprend ses droits au Territoire de Belfort le 14 septembre

État des lieux et préoccupations des chasseurs

L’ouverture générale de la chasse approche à grands pas, avec une date fatidique fixée au dimanche 14 septembre. À l’approche de ce grand moment, les chasseurs du Territoire de Belfort s’affairent à préparer leurs armes et leurs fidèles compagnons à quatre pattes. La Fédération départementale des chasseurs (FDC90) a récemment partagé un bilan sur ses préoccupations, réussites et défis dans ce contexte.

Commençons par la base : le permis de chasser. Ce dernier repose sur trois fondamentaux : la connaissance de la faune sauvage, la réglementation et bien entendu, la sécurité. Actuellement, il y a 1 123 détenteurs du précieux sésame dans le Territoire de Belfort, indiquant une diminution de 5 % par rapport à l’année précédente, selon les déclarations de Jérôme Demeleumeester, responsable technique de la FDC90. Une baisse qui soulève des questions quant à l’engagement des nouvelles générations dans cette pratique ancestrale.

Une évolution des inscrits pour le permis de chasser

Bien que le nombre de détenteurs de permis semble en déclin, les chiffres concernant les formations pour l’obtention de ce sésame semblent indiquer un tournant. Paradoxalement, il est probable que la demande pour se former augmente, un fait peut-être motivé par un désir de mieux comprendre la faune et d’exercer la chasse dans un cadre sécurisé et réglementé. Les chasseurs de demain pourraient bien être plus informés et conscients des enjeux écologiques que leurs prédécesseurs.

Alors que la saison de chasse se profile, il est crucial de rester vigilant face à la sécurité et aux respect des normes établies. Les accidents liés à la chasse sont malheureusement une réalité. Cette année, la FDC90 rappelle l’importance des bonnes pratiques et invite tous les chasseurs à vérifier leur matériel et à s’assurer de la bonne santé de leurs animaux de compagnie avant de se lancer dans l’aventure.

Dans l’attente du coup d’envoi de la saison, le Territoire de Belfort regarde vers l’avenir, espérant que l’intérêt pour ce loisir perdure auprès des nouvelles générations tout en garantissant une pratique responsable et respectueuse de l’environnement.

Actuchassse pour Caninstore

Découvrez notre site pour plus d’actualités sur la chasse et les animaux !

Actu chasse