Ouverture de la chasse en Sud-Gironde et fortunes des faisans et perdrix

Ouverture de la chasse en Sud-Gironde : Le faisan triomphe, la perdrix moins chanceuse
Dès 8 heures, les chasseurs s’élancent à la conquête des champs, armés de joie et d’espoir pour cette nouvelle saison de chasse. Dimanche marquera l’ouverture générale de la chasse, avec un objectif en tête : débusquer faisans et perdrix, ces joyeux compagnons du petit gibier sédentaire.
Conditions variées pour la reproduction
Cette année, Dame Nature a eu ses caprices. Les conditions météorologiques, notamment les pluies printanières suivies de chaleurs écrasantes, ont impacté la reproduction des perdrix. Les résultats sont loin d’être convaincants, et il semblerait que ces charmants oiseaux aient décidé de faire grève cette saison. À l’inverse, le faisan, lui, a été plutôt chanceux. Dans des lieux propices comme Savignac et Aillas, la reproduction a été non seulement présente, mais généreuse. Qui l’aurait cru ?
Lâchers de gibier pour l’enthousiasme
Pour que chaque chasseur revienne avec le sourire, les associations de chasse ont organisé des lâchers de gibiers à grande échelle. Ces initiatives visent à assurer que les passionnés ne rentrent pas bredouilles tout en préservant les volatiles nés sur place. En effet, la réserve de gibier ne se limite pas à la seule nature, surtout dans certains coins où la chance semble avoir disparue.
Zone incendiée : un nouveau souffle pour les faisans
Un fait marquant réside dans les zones touchées par les incendies de l’année dernière. Sur ces terres, une réintroduction de faisans a eu lieu, et surprise : la nature a répondu avec ferveur. Des chants de coqs faisans peuvent même être entendus à Landiras et Origne, confirmant que la vie renaît de ses cendres. Comme le précise Frank Ehano de la FDC 33, la surprise s’installe : malgré le retour à zéro après l’incendie, les populations de faisans semblent se porter à merveille.
Continuité dans la faune locale
Le lièvre maintient sa présence pour le plus grand plaisir des chasseurs, tandis que les lapins, ces têtes de mule, demeurent une espèce rare dans la région. Par ailleurs, quelques cailles des blés pourraient également croiser le chemin des infatigables chasseurs, ajoutant un peu de diversité à la quête. En somme, cette ouverture de chasse promet d’être riche en aventures et en découvertes.
La saison de chasse s’annonce passionnante, entre émerveillement et découvertes. Alors, qu’attendez-vous ? Chaussures en cuir, fusil à la main, et en piste pour cette aventure en Sud-Gironde !
Actuchassse pour Caninstore
Pour plus d’informations, visitez : Caninstore
Chasseur condamné pour possession illégale de trophées d’espèces protégées

Chasseur condamné pour possession illégale de trophées d’espèces protégées
Un chasseur a été récemment condamné par la cour d’appel de Reims pour avoir illégalement détenu des produits issus de la chasse à des espèces protégées. Parmi les objets saisis figurent des défenses et des pieds d’éléphant, des griffes de léopard et même des rapaces empaillés. Interviewés au sujet de cette affaire, les enquêteurs ont souligné que cette découverte inattendue a eu lieu lors d’une vérification de routine dans un domaine de chasse de la Marne.
Une saisie révélatrice
Lors de leur intervention, les autorités ont mis la main sur deux défenses d’éléphant, deux pieds de l’animal qui avaient été astucieusement transformés en tabourets, ainsi que trois griffes de léopard, un léopard naturalisé, et plusieurs rapaces également empaillés. Le propriétaire, un gérant de domaine de chasse avec 35 ans d’expérience, a été jugé coupable de détention sans permis d’importation. Il devra s’acquitter d’une amende de 8 000 euros, dont la moitié est suspendue, et verser 1 500 euros aux associations qui se sont portées parties civiles dans cette affaire.
Les conséquences de la condamnation
Les associations impliquées, telles que l’Aspas, Robin des Bois et le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW), ont salué cette décision comme une victoire. Elles ont fait remarquer qu’il est difficile de croire qu’un amateur de chasse aux trophées international ignore les lois relatives à l’importation et à la détention des espèces protégées.
Avertissement aux collectionneurs
Cette affaire met également en lumière un phénomène sous-jacent lié à la détention d’animaux naturalisés. Anaële Genet, avocate de l’Aspas, souligne que beaucoup de propriétaires ignorent qu’ils doivent demander des dérogations administratives pour ces spécimens, même ceux hérités de générations antérieures. Ce procès constitue non seulement un avertissement pour les collectionneurs, mais également un appel à la sensibilisation sur les lois entourant la protection des espèces.
Un pas vers une meilleure protection
La décision de la Cour d’appel de Reims est un signe encourageant dans la lutte contre le trafic d’espèces sauvages. Mia Crnojevic-Cherrier, de l’IFAW, note les progrès considérables réalisés ces dernières années en matière de protection de la faune en France. L’intransigeance des tribunaux pourrait transformer ce type d’affaire en un terrain de moins en moins fertile pour ceux qui envisagent d’acquérir de tels trophées illégaux.
Pour plus d’informations sur la chasse et la préservation des espèces, n’hésitez pas à consulter notre site !
Actuchassse pour Caninstore
Ouverture de la chasse en Nouvelle-Aquitaine 2023

Ouverture de la saison de la chasse : un regard sur la pratique néo-aquitaine
Les dates clés de cette nouvelle saison
La saison de chasse en Nouvelle-Aquitaine s’ouvre officiellement le samedi 14 septembre, marquée par la parution d’un supplément dédié. Cette région, qui se classe en tête des pratiques cynégétiques en France, compte plus de 160 000 chasseurs. Ce supplément, qui sera disponible à partir du 12 septembre dans le département des Pyrénées-Atlantiques (64) et le 13 septembre pour les autres départements, promet d’aborder des questions centrales : Quelle sera la place de la chasse en 2025 ? Qui sont réellement ces chasseurs néo-aquitains ? Quelles sont les actualités à suivre de près cette saison ?
Les enjeux et défis de la saison
Parmi les sujets brûlants, le sanglier demeure le principal adversaire des chasseurs en Nouvelle-Aquitaine, souvent décrit comme la « bête noire ». Les débats autour de la chasse à la palombe aux filets, pratiquée dans les départements des Landes, de la Gironde, du Lot-et-Garonne et des Pyrénées-Atlantiques, demeurent également d’actualité, impliquant des enjeux juridiques importants.
Se équiper comme un pro
Un chasseur bien équipé est un chasseur heureux. Ce n’est peut-être pas une vérité universelle, mais il est indéniable que le choix des vêtements peut faire la différence sur le terrain. Pour comprendre les dessous de cette industrie, nous vous emmenons au centre mondial de conception des produits de la marque Solognac, situé à Cestas en Gironde. Là-bas, des vestes et pantalons sont conçus et testés pour répondre aux besoins des chasseurs.
Explorez les spécificités cynégétiques
Au-delà des articles et des conseils pratiques, de nombreux reportages et portraits sont à découvrir pour mettre en lumière les particularités cynégétiques de chaque département du Sud-Ouest. Que vous soyez un chasseur aguerri ou un novice curieux, ce supplément vous enrichira de connaissances sur la chasse régionale.
Ne manquez pas ce supplément « Ouverture de la chasse », qui sera disponible dans les éditions Pays basque et Béarn le 12 septembre et partout ailleurs le 13 septembre. Retrouvez-le sur notre site Internet et dans le kiosque près de chez vous.
Actuchassse pour Caninstore
Restrictions sur le transport des armes à l’approche du 10 septembre 2025

Attention aux restrictions concernant le transport des armes
À l’approche de la journée du 10 septembre 2025, les détenteurs d’armes légales doivent redoubler de vigilance. En effet, les Préfets imposent régulièrement des arrêtés pour interdire le transport d’objets jugés dangereux lors de mouvements sociaux ou d’événements majeurs. Parmi ces objets, on retrouve non seulement les feux d’artifice et les armes blanches, mais parfois même les armes à feu que vous possédez légalement.
Des arrêtés variables selon les départements
Chaque arrêté est unique et son contenu peut varier considérablement d’un département à l’autre. En pratique, ces interdictions s’appliquent à des zones géographiques spécifiques et sont valables pour une durée déterminée. Malheureusement, il n’existe pas de modèle standardisé qui garantirait que tous les détenteurs d’armes sont prévenus des restrictions. De plus, alors que des dérogations sont généralement accordées aux forces de l’ordre, la mention d’un « motif légitime » pour les chasseurs et tireurs sportifs n’est pas systématique.
Risque d’infractions en périodes sensibles
Ce flou législatif peut rapidement conduire les détenteurs légaux à se retrouver en situation d’illégalité, comme cela a été le cas lors des émeutes de l’été 2023. À cette occasion, des fédérations, dont l’Union Française des amateurs d’Armes (UFA), avaient dû intervenir pour défendre les droits des chasseurs face à de telles exclusions injustifiées.
Rester informé pour éviter les ennuis
Dans ce contexte, il est essentiel pour les chasseurs et spécialistes du tir de lire attentivement chaque arrêté préfectoral. En effet, lors de contrôles, qui deviennent plus fréquents en période de tensions, une infraction pourrait entraîner une inscription au FINIADA, avec des conséquences désastreuses pour le détenteur. Avant de voyager avec votre arme, vérifiez que l’arrêté préfectoral de votre département mentionne bien un « motif légitime ». Cela pourrait bien vous éviter de sérieux désagréments.
Pour des informations détaillées sur la façon de retrouver un arrêté préfectoral, le site Armes-UFA propose des ressources utiles (réservé aux abonnés).
Actuchassse pour Caninstore
Pour plus d’informations sur la chasse, visitez notre site : Caninstore.
Chasse au Territoire de Belfort reprise le 14 septembre

La chasse reprend ses droits au Territoire de Belfort le 14 septembre
État des lieux et préoccupations des chasseurs
L’ouverture générale de la chasse approche à grands pas, avec une date fatidique fixée au dimanche 14 septembre. À l’approche de ce grand moment, les chasseurs du Territoire de Belfort s’affairent à préparer leurs armes et leurs fidèles compagnons à quatre pattes. La Fédération départementale des chasseurs (FDC90) a récemment partagé un bilan sur ses préoccupations, réussites et défis dans ce contexte.
Commençons par la base : le permis de chasser. Ce dernier repose sur trois fondamentaux : la connaissance de la faune sauvage, la réglementation et bien entendu, la sécurité. Actuellement, il y a 1 123 détenteurs du précieux sésame dans le Territoire de Belfort, indiquant une diminution de 5 % par rapport à l’année précédente, selon les déclarations de Jérôme Demeleumeester, responsable technique de la FDC90. Une baisse qui soulève des questions quant à l’engagement des nouvelles générations dans cette pratique ancestrale.
Une évolution des inscrits pour le permis de chasser
Bien que le nombre de détenteurs de permis semble en déclin, les chiffres concernant les formations pour l’obtention de ce sésame semblent indiquer un tournant. Paradoxalement, il est probable que la demande pour se former augmente, un fait peut-être motivé par un désir de mieux comprendre la faune et d’exercer la chasse dans un cadre sécurisé et réglementé. Les chasseurs de demain pourraient bien être plus informés et conscients des enjeux écologiques que leurs prédécesseurs.
Alors que la saison de chasse se profile, il est crucial de rester vigilant face à la sécurité et aux respect des normes établies. Les accidents liés à la chasse sont malheureusement une réalité. Cette année, la FDC90 rappelle l’importance des bonnes pratiques et invite tous les chasseurs à vérifier leur matériel et à s’assurer de la bonne santé de leurs animaux de compagnie avant de se lancer dans l’aventure.
Dans l’attente du coup d’envoi de la saison, le Territoire de Belfort regarde vers l’avenir, espérant que l’intérêt pour ce loisir perdure auprès des nouvelles générations tout en garantissant une pratique responsable et respectueuse de l’environnement.
Actuchassse pour Caninstore
Découvrez notre site pour plus d’actualités sur la chasse et les animaux !
Sangliers ravagent les jardins de Pont-l’Abbé

À Pont-l’Abbé : les sangliers mettent à mal le jardin des villageois
À Pont-l’Abbé, dans le quartier de Prat Kerlot, des habitants sont exaspérés après avoir découvert, le mardi 9 septembre 2025, leur jardin sérieusement dévasté par des sangliers. Ce n’est pas la première fois que cette mésaventure frappe, puisque ce couple de retraités avait déjà subi des dégâts similaires deux mois auparavant.
Jean et Odile, visiblement désolés, ont constaté que le verger et une parcelle récemment travaillée pour être engazonnée avaient été retournés par ces intrus sauvages. « Tout est désormais à refaire », déclare Jean en montrant le désastre sur environ 20 mètres de leur terrain. Le couple espère qu’une nouvelle intervention de la fédération des chasseurs sera rapidement programmée, tout comme cela avait été fait lors de l’incident passé.
Cette situation n’est pas isolée. Dans le même quartier, un voisin a également vu son terrain visité par des sangliers il y a quelques jours. La problématique des sangliers semble s’étendre au-delà des jardins privés, touchant également les agriculteurs de la région, causant ainsi des frustrations croissantes parmi la population.
Plus largement, le Pays bigouden fait face à une prolifération de sangliers, phénomène qui prend de l’ampleur depuis plusieurs années. En mai dernier, une laie et ses marcassins avaient été découverts à l’intérieur du lycée Laennec de Pont-l’Abbé, provoquant l’indignation d’une partie de la population. Alors qu’un abattage était envisagé, une pétition pour sauver les animaux avait circulé. Les tensions étaient montées, entraînant des menaces et des insultes à l’encontre du maire et de personnels de l’établissement.
Face à cette situation de nuisance, il est essentiel d’adopter des mesures adéquates et de dialoguer avec les autorités compétentes pour protéger à la fois les jardins et l’écosystème local.
Actuchassse pour Caninstore
Solidarité entre chasseurs ariégeois et audois après l’incendie des Corbières

Une solidarité partagée entre chasseurs ariégeois et audois
Suite à l’incendie dévastateur ayant frappé les Corbières, les chasseurs de l’Ariège montrent un bel acte de solidarité en ouvrant leurs terres aux chasseurs sinistrés de l’Aude. Le président de la Fédération de chasse de l’Ariège, Jean-Luc Fernandez, a annoncé cette initiative en des termes simples mais forts, affirmant : « Par solidarité, j’ai demandé à toutes les ACCA (Associations communales de chasse agréées) d’accueillir tous les chasseurs audois qui souhaitent venir chasser en Ariège. »
Ce geste intervient alors que l’Aude peine à se relever après la destruction massive de son territoire de chasse, où près de 17 000 hectares ont été anéantis par les flammes. Les paysages familiers pour ces passionnés, désormais marqués par la désolation, ne résonneront plus des échos joyeux des battues de l’automne.
Un accueil chaleureux et sans obstacle
Dans un courrier adressé aux associations locales, Fernandez a souligné la volonté de lever tous les freins administratifs qui pourraient entraver cette démarche. « Tous les chasseurs audois qui n’ont pas de territoire aujourd’hui ou sont en difficulté peuvent appeler la Fédé ; ils seront accueillis avec beaucoup d’amitié par toutes les ACCA ariégeoises, » a-t-il précisé, rassurant sur le fait que « tout l’administratif sera simplifié au maximum, notamment pour la carte de chasse. »
Un équilibre démographique favorable
Cette ouverture est rendue possible grâce à la différence démographique entre les deux départements : environ 9 500 chasseurs en Aude, contre 6 000 en Ariège. « Il y a beaucoup de gibier maintenant, peut-être plus que jamais… Il y a de la place pour tout le monde, et en particulier pour nos amis audois, » a ajouté Fernandez, mettant en lumière la situation actuelle propice pour accueillir les chasseurs de l’Aude.
Une fraternité rurale renforcée
Cette initiative ne représente pas simplement une mesure pour la chasse, mais témoigne d’une véritable fraternité rurale. « On aimerait que, dans un cas similaire, les Audois se rapprochent de nous, » a déclaré Fernandez. Cela illustre bien l’esprit de camaraderie qui unit les chasseurs dans ces moments difficiles, rappelant que peu importe la situation, chacun peut tendre la main à son voisin.
Un rôle incontournable pour l’agriculture
Les enjeux vont au-delà de la simple pratique de la chasse. Jean-Luc Fernandez insiste sur l’importance de cette activité pour la vie agricole et rurale. « Il faut qu’il y ait une chasse partout, sur tous les territoires, raisonnable et en toute sécurité. Mais notre activité est aujourd’hui plus que jamais indispensable, » a-t-il affirmé. De plus, la santé sanitaire du gibier est également prise en compte, avec des vérifications rigoureuses des carcasses afin de garantir la sécurité des consommateurs.
Des moments de partage et de solidarité
Avec l’arrivée des chasseurs audois en Ariège, les forêts et plaines ne seront pas désertes cet automne. Ces retrouvailles permettent de rappeler que la chasse ne se résume pas qu’à une passion, mais également à un acte solidaire significatif. En somme, le partage, la convivialité et le soutien mutuel sont au cœur de cette initiative, témoignant d’une belle solidarité entre chasseurs face à l’adversité.
Actuchassse pour Caninstore
Attaque de sanglier sur une fille et blessure d’un chien près de Grenoble

Une jeune fille attaquée par un sanglier et un chien blessé dans un parc près de Grenoble
Ce week-end, une maman de Saint-Martin-d’Hères, en Isère, a dû gérer une situation que peu de parents aimeraient vivre : consoler sa fille traumatisée et mener son chien gravement blessé chez le vétérinaire. Tout cela à cause de sangliers qui ont décidé de squatter le parc local, rendant les promenades tout sauf tranquilles.
Une rencontre inattendue avec un sanglier
Il n’est pas rare de croiser des sangliers dans ce parc, mais la petite fille ne s’attendait pas à un face-à-face aussi chaotique. Lors d’une promenade avec ses deux chiens, un border-collie et un malinois, elle a eu la malchance de tomber sur un sanglier coincé entre elle, ses animaux, et une cabane.
Comme dans un mauvais film d’horreur, l’un des chiens a tenté de repousser la bête, mais celle-ci, piégée et visiblement agacée, a décidé d’attaquer la jeune fille. Les deux chiens, légitimement protecteurs, se sont interposés, menant à une véritable bataille où le malinois a été sérieusement blessé.
Des sangliers dans le secteur : un problème récurrent
Cet incident souligne un problème croissant : les sangliers sont de plus en plus présents dans la zone périurbaine de Grenoble. Avec des incursions nocturnes de 12 à 15 sangliers dans les espaces verts qui détruisent les pelouses, il est clair que la faune sauvage s’adapte et rend la vie quotidienne un peu plus… sauvage.
Réglementation de la chasse : entre prévention et sécurité
Face à cette situation, un arrêté de sécurité publique en vigueur depuis près de 20 ans limite les actions des chasseurs, autorisés à intervenir uniquement le samedi jusqu’à 15h et le dimanche matin. Afin de prévenir d’autres incidents, les autorités ont fermé les entrées des parcs et des clôtures devraient être installées pour assurer la sécurité des promeneurs.
Une question se pose : que faire lorsque la nature et l’urbain se rencontrent de façon aussi brutale ? La cohabitation entre les humains et la faune sauvage nécessite une attention et des solutions adaptées.
Pour conclure, il est essentiel de veiller à la sécurité de tous, tant des humains que des animaux. Restez vigilants lors de vos promenades en milieu rural ou semi-urbain !
Actuchassse pour Caninstore
Pour plus d’informations sur la sécurité en pleine nature, visitez notre site : Caninstore.
Ouverture de Chasse à Monteils avec Sécurité Renforcée

Monteils : Une Ouverture de Chasse Sous Surveillance Renforcée
Les chasseurs de Monteils, dans le Tarn-et-Garonne, se préparent à un dimanche palpitant le 14 septembre 2025, malgré des conditions météo capricieuses et une faune en déclin. Avec leurs 25 membres, l’Acca locale est sur le pied de guerre, et il semble que même les chiens soient impatients pour cette première sortie matinale.
Météo et Faune : Une Saison à Risques
Francis Lonjou, président de l’Acca, souligne les défis posés par le printemps humide qui a perturbé les couvaisons et réduit les populations de petit gibier comme les perdreaux et faisans. Pour pallier cette carence, des lâchers de gibier sont prévus avec 30 pièces de chaque espèce tout en mentionnant l’absence de lapins dans la région. Bonne nouvelle : le lièvre, quant à lui, se porte plutôt bien cette année.
Gestion des Sangliers : Une Préoccupation Croissante
Au-delà des petits gibiers, la gestion des sangliers devient un véritable casse-tête. Cette espèce prolifique cause des ravages dans les cultures et s’infiltre dans les zones périurbaines. Les chasseurs locaux organisent des battues chaque samedi, renforçant ainsi les liens entre des Acca voisines durant ces opérations. Lors des dernières battues, deux sangliers ont été prélevés, et les chasseurs espèrent que cette dynamique continuera.
Recommendations de Sécurité
Avant de partir en chasse, les membres de l’Acca s’assurent de respecter les consignes de sécurité, qui incluent le port de gilets de sécurité et l’acquisition d’un congélateur pour le gibier accidenté hors période de chasse. Le camaraderie entre chasseurs et riverains est également soulignée comme un facteur essentiel pour une saison réussie.
En somme, bien que la saison d’ouverture approche avec son lot d’incertitudes, la passion demeure intacte chez les chasseurs de Monteils. La vigilance est de mise, mais rien n’empêchera ces amoureux de la nature de goûter aux plaisirs de la chasse, tant que la sécurité est en première ligne.
Actuchassse pour Caninstore
Découvrez notre site pour plus d’informations sur la chasse!
Évolution des Caméras de Tir à la Chasse

Évolution de la Réglementation sur les Caméras de Tir à la Chasse
La Shotkam et le Tir de Sarcelle : Une Nouvelle ère
La réglementation liée à l’utilisation des caméras de type Shotkam, qui se fixent directement sur les armes, vient de subir une transformation majeure. Connues pour leur capacité à immortaliser les exploits de chasse, ces caméras étaient auparavant interdites en France en raison de préoccupations sécuritaires. Cependant, avec l’évolution des technologies, la législation a décidé de faire un pas en avant, considérant que les innovations récentes, telles que les caméras de type GoPro et le déclenchement automatique, n’engendrent plus de risques inacceptables lors de la pratique de la chasse.
Cette nouvelle législation a ouvert la voie à une renaissance des vidéos de chasse sur les réseaux sociaux et plateformes telles que YouTube. À cet égard, un passionné de gibier d’eau a récemment partagé une vidéo captivante intitulée « Tir d’une sarcelle en Shotkam ». Ce contenu fascinant propose non seulement un spectacle agréable pour les amateurs de nature, mais offre également une opportunité d’explorer la différence entre les images capturées par une Action cam classique et celles filmées avec une caméra fixée directement sur l’arme.
Avec cette évolution, il est évident que la chasse envisagée par certains est bien plus qu’une simple activité récréative. Elle est le reflet d’une passion profonde pour la nature et le gibier, renforcée par des images qui rendent hommage à cet art ancestral.
Pouvez-vous imaginer les vitrines numériques que cela créera pour les passionnés, chaque tir, chaque sortie, désormais documentés comme jamais auparavant ?
Restez attentifs aux prochaines tendances en matière de matériel de chasse et à l’évolution de la législation, car le monde de la chasse ne cesse d’évoluer et d’innover.
Actuchassse pour Caninstore
Pour en savoir plus, visitez Caninstore.