Le partenariat entre chasseurs et gendarmes du Gard contribue à la sécurité rurale et à la protection de la nature
Les chasseurs du Gard renforcent la sécurité et la préservation grâce à un partenariat avec la gendarmerie
Une collaboration fructueuse pour la troisième année consécutive
Dans plusieurs départements français, les Fédérations de chasse et les forces de l’ordre travaillent main dans la main pour diverses missions telles que la surveillance sanitaire, la protection des espaces naturels et la lutte contre le braconnage. Le Gard ne fait pas exception, et pour la troisième année consécutive, la gendarmerie locale et les chasseurs ont renouvelé leur partenariat pour le bénéfice de tous.
Un atout pour l’entraînement des forces de l’ordre
Les gendarmes du Gard profitent largement de cette convention, notamment en utilisant le stand de tir de la Fédération des chasseurs à Nîmes pour leur entraînement. Un aspect parfois méconnu mais crucial, car maintenir une compétence de tir élevée est essentiel pour les forces de l’ordre. Ce partenariat offre donc aux gendarmes un lieu pratique et adapté pour ces sessions critiques.
Surveillance accrue du monde rural
Ce partenariat ne se limite pas aux aspects pratiques pour les forces de l’ordre. Les chasseurs, par leur présence constante sur le terrain, jouent un rôle précieux dans la surveillance de la campagne. Toujours aux aguets, ils sont souvent les premiers témoins d’anomalies ou d’activités suspectes. Des enquêtes récentes menées par la gendarmerie ont abouti grâce aux informations fournies par ces vigies rurales.
Cas concrets de collaborations réussies
Les chasseurs ne sont pas seulement utiles pour prévenir le braconnage. Il y a quelques années, leur vigilance a permis de mettre au jour une plantation de cannabis dissimulée en pleine nature. Grâce à cette intervention, la gendarmerie a pu agir avant que les cultivateurs illégaux ne réussissent leur manœuvre. Ce genre de coopération prouve l’efficacité du partenariat.
Une aide précieuse dans des enquêtes sensibles
Les gendarmes apprécient particulièrement l’aide des chasseurs dans les affaires nécessitant une connaissance approfondie du terrain. Qu’il s’agisse de traquer des braconniers ou de repérer des activités illégales en zones reculées, les chasseurs deviennent des alliés indispensables. Leur expertise et leur connaissance locale sont inestimables pour les forces de l’ordre.
Renouvellement officiel de la convention
Ce partenariat, dont l’efficacité n’est plus à prouver, a été officiellement reconduit le 11 octobre. La gendarmerie du Gard peut donc compter sur le soutien constant et vigilant des chasseurs pour encore une année. Une alliance qui promet de continuer à apporter des résultats concrets en matière de sécurité et de préservation des espaces naturels.
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Les Femmes Révolutionnent la Chasse
La Chasse : Pas seulement pour les Hommes
Les chasseresses prennent le relais
Depuis des temps immémoriaux, la chasse a été souvent perçue comme une activité purement masculine. Cependant, il est grand temps de déconstruire ce stéréotype. Les femmes, ou « chasseresses », sont de plus en plus nombreuses à fouler les terrains de chasse et à y laisser leur empreinte. Elles apportent une dynamique nouvelle et démontrent que la passion de la chasse est universelle, transcendant les notions de genre.
Une évolution en phase avec la société
L’évolution de la chasse féminine suit celle de la société. Autrefois rares dans les champs, les femmes ont maintenant cassé les codes et s’engagent activement. Cette évolution est salutaire et témoigne de la maturation de notre société dans son ensemble. Alexia, récemment distinguée par la Fédération des chasseurs des Pyrénées-Atlantiques, incarne parfaitement ce changement en étant la plus jeune Présidente d’ACCA du département. Son engagement et celui de ses pairs montrent que la chasse n’est plus un bastion masculin.
Les femmes sur le devant de la scène numérique
Les réseaux sociaux sont devenus des outils puissants pour combattre les clichés. Les chasseresses y sont particulièrement actives, notamment sur des plateformes comme TikTok. Elles y partagent les différentes facettes de leurs vies. En journée, elles peuvent être agricultrices, infirmières, ou commerçantes, et le lendemain, en tenue de chasse, prêtes à partir sur le terrain. Cette visibilité aide à briser les stéréotypes associés à la chasse et montre au grand public que cette activité est pratiquée par des personnes ordinaires, hommes et femmes confondus.
Les femmes comme avenir de la chasse
Willy Schraen avait prédit que les femmes représenteraient l’avenir de la chasse, une vision qui s’avère de plus en plus juste. Les chasseresses ne cessent d’enrichir ce domaine de leur diversité et de leur passion. Leur présence croissante apporte une dimension supplémentaire et enrichit la culture de la chasse. Elles démontrent quotidiennement que cette activité est bien plus qu’une simple tradition; elle est une passion partagée qui peut unir au-delà des genres.
Un avenir prometteur
Nous pouvons être fiers de nos chasseresses, qui montrent que la chasse n’est pas l’apanage de quelques-uns, mais bien une passion universelle. Leur implication active dans les associations, leur présence sur le terrain, et leur impact sur les réseaux sociaux redéfinissent les contours de cette activité. Espérons que leur nombre continue de croître, pour le bénéfice de la communauté tout entière.
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Dégâts des sangliers à Prény fermeture du sentier de la brèche envisagée
Prény. Dégâts des sangliers à proximité des maisons : la fermeture du sentier de la brèche envisagée
La sécurité avant tout : fermeture du sentier envisagée pour éviter les dégâts des sangliers
À Prény, les sangliers sont de plus en plus visibles à la tombée de la nuit, traversant la route du Pouillot juste avant l’entrée du village. Si certaines hardes se contentent de filer discrètement derrière le village, d’autres, plus téméraires, s’attardent près des maisons, causant des dégâts considérables.
Pour répondre à cette menace, une demande de dérogation pour des tirs de nuit a été déposée par le lieutenant de la louveterie auprès de la Direction départementale des territoires. Une fois l’autorisation obtenue, le sentier de la brèche sera fermé aux usagers, et ce, jusqu’à ce que les sangliers ne représentent plus un danger.
Des barrières seront installées aux deux entrées du sentier pour en interdire l’accès et assurer la sécurité des habitants et des promeneurs.
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Chasse et insécurité l’État silencieux face aux dangers publics
Chasse et insécurité : l’État muet face aux dangers publics
Un an après le lancement de leur recours en justice « contre la chasse qui tue (aussi) des humains », l’Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS) et Un jour un chasseur dénoncent le silence assourdissant du Gouvernement face aux graves enjeux de sécurité publique liés à la chasse. Tandis que l’État reste muet, la Fédération nationale des chasseurs (FNC) prend position et confirme que la sécurité publique fait partie de ses prérogatives, tout en qualifiant les accidents de chasse de « litanie de faits divers non prouvés ».
Les carences de l’État en matière de sécurité
Il y a tout juste un an, l’ASPAS et le collectif Un jour un chasseur ont adressé une demande à l’ensemble des ministres concernés pour que le Gouvernement assume ses responsabilités en matière de protection de la population dans le contexte des actions de chasse. Deux carences de l’État ont été mises en lumière : l’absence de règles de sécurité efficaces applicables sur l’ensemble du territoire et la validation de schémas départementaux de gestion cynégétiques élaborés par les Fédérations de chasseurs malgré leur disparité et leurs insuffisances graves en matière de sécurité.
Or, il est démontré qu’au cours des 15 dernières années, 70% des non-chasseurs tués l’ont été durant le week-end et près de 40% l’ont été sur une route ou dans leur jardin. Une limitation temporelle et spatiale de la pratique de la chasse aurait ainsi permis d’éviter la mort de 13 personnes sur les 19 tuées. Elle réduirait aussi significativement le nombre de blessés et les nuisances occasionnées pour les riverains et les promeneurs.
Le recours en justice contre l’inaction de l’État
Le Gouvernement n’ayant apporté aucune réponse à cette demande, les associations ont saisi le Tribunal administratif de Paris le 1er février 2024 afin de faire constater les carences de son action et l’enjoindre à prendre des mesures propres à assurer efficacement la sécurité du public. À ce jour, l’État n’a toujours pas répondu au mémoire de l’ASPAS.
Toutefois, la FNC s’est constituée intervenante volontaire dans la procédure et affirme, par son mémoire, assumer les prérogatives de puissance publique en matière de sécurité de la population dans le contexte de la pratique de la chasse. La FNC précise que les règles de sécurité sont mises en œuvre par les fédérations départementales de chasseurs au sein de leur schéma départemental de gestion cynégétique, ce qui entraine des disparités significatives entre les départements.
Des droits fondamentaux bafoués
La FNC met en avant que l’obligation de l’État en matière de sécurité à la chasse est une obligation de moyens et non de résultat et qu’aucun manquement grave ou récurrent dans la pratique et l’encadrement de la chasse n’est à constater. Cependant, elle qualifie les accidents de chasse rapportés par les associations de « litanie de faits divers recueillis dans la presse régionale ou de divers témoignages, du reste non prouvés ».
Elle soutient également que la limitation de la chasse le week-end ou l’encadrement du tir à proximité des habitations et des routes ne serait en aucun cas de nature à prévenir les accidents de chasse.
Les associations persévèrent
Le silence de l’État et la position de la FNC ne font que confirmer la situation ubuesque dénoncée par l’ASPAS : l’État confie aux chasseurs le soin de limiter eux-mêmes leur pratique, alors même que cela relève du domaine de la sécurité publique, dont il détient nécessairement le monopole ; la FNC assume que les règles de sécurité varient d’un département à l’autre, et qualifie de faits divers non prouvés les décès, les blessés, et l’ensemble des nuisances subies par la population.
L’ASPAS ira au bout de cette action afin de faire constater par le juge les carences graves de l’action de l’État, dont seule la chasse semble bénéficier, en rappelant le texte de Loi codifié à l’article L111-1 du Code de la sécurité intérieure : « La sécurité est un droit fondamental et l’une des conditions de l’exercice des libertés individuelles et collectives. L’État a le devoir d’assurer la sécurité en veillant, sur l’ensemble du territoire de la République, à la défense des institutions et des intérêts nationaux, au respect des lois, au maintien de la paix et de l’ordre publics, à la protection des personnes et des biens ».
Réactions des porte-paroles
Pour Yolaine de la Bigne, porte-parole de l’ASPAS : « Déjà une douzaine d’accidents depuis l’ouverture de la chasse, dont un cycliste blessé au visage : combien faut-il en attendre d’autres avant que le gouvernement prenne ses responsabilités et agisse pour la sécurité des citoyens ? »
Un jour un chasseur ajoute : « Force est de constater que depuis la mort de notre ami Morgan Keane en 2020, la chasse continue de mettre les ruraux en danger, de blesser et de tuer. Le sentiment d’insécurité dans les campagnes est toujours aussi présent, l’État toujours aussi méprisant des souffrances des ruraux et le cadre juridique encadrant ce « loisir » n’est toujours pas à la hauteur des enjeux de sécurité et de partage de la nature. Cette inaction est inacceptable : il est temps de prendre en compte l’urgence ! »
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Les Dégâts de Gibier en Seine-Maritime Un Fardeau de 900 000 euros
Les Dégâts de Gibier en Seine-Maritime : Un Fardeau de 900 000 €
Le Gibier, Un Fléau pour les Cultures
La cohabitation entre le gibier et les cultures n’est jamais simple. Les végétaux sont des aliments prisés par les sangliers et cervidés. La Fédération des chasseurs de Seine-Maritime indemnise les agriculteurs suite aux dégâts causés par les grands gibiers.
Les animaux sauvages n’ont pas besoin de soucoupe volante pour envahir les champs de maïs dans la vallée de la Durdent ; ce sont les sangliers qui font le sale boulot. Guillaume Burel, agriculteur à Drosay, près de Saint-Valéry-en-Caux, et interlocuteur de la Fédération des chasseurs de Seine-Maritime, a constaté l’ampleur du phénomène: « Les sangliers sont nombreux, malins et ils aiment le maïs. »
Des Populations de Gibier en Pleine Croissance
« Les dégâts de gibier, en Seine-Maritime, c’est une réalité ! Les populations de grands gibiers, surtout de sangliers, augmentent énormément. La météo change, les hivers sont plus doux, ce qui diminue la mortalité des marcassins. On est passé de deux portées en deux ans à trois. Et comme le sanglier n’a pas de prédateur naturel, il s’installe à demeure près des parcelles et se sert », résume Guillaume Burel, agriculteur en polyculture élevage laitier.
Le menu des sangliers est varié : maïs, lin, betteraves, céréales, en plus des glands et mulots. « Il y a 25 ans, on trouvait peu de sangliers en plaine. Aujourd’hui, c’est toute l’année que les sangliers causent des dégâts, que ce soit sur les semis, les jeunes pousses ou les plantes développées », assure Guillaume Burel. Chaque année, il obtient environ 1 000 € d’indemnités. « Mais c’est nettement plus grave dans d’autres secteurs. »
Des Indemnisations Massives
Rémi Fihue, trésorier de la Fédération départementale des chasseurs 76 (FDC 76), basée à Belleville-en-Caux, explique : « Pour la saison 2023-2024, allant du 1er juillet au 30 juin suivant, on mobilise une enveloppe de 1,4 million € pour les indemnisations de dégâts de gibier. Environ 900 000 € vont directement aux indemnisations, le reste se partage entre la gestion des plans de chasse, l’achat de clôtures, etc. » Le tir de grand gibier n’est pas la première option envisagée, mais intervient en fin de processus.
L’Utilisation de Grillages et d’Effaroucheurs
« On n’est pas dans une logique d’assurance mais de service à l’état. Quand un agriculteur subit des dégâts, c’est signalé aux services préfectoraux. On valide ensuite les interventions », précise Rémi Fihue. Ces interventions peuvent inclure la pose de grillages et d’effaroucheurs. « L’indemnisation, c’est un échec pour tous, y compris pour l’agriculteur qui devra nourrir ses bêtes en achetant la nourriture. Le but est de diminuer la pression du grand gibier sur les cultures », poursuit-il.
Des Zones Complexes à Gérer
Agriculteurs et chasseurs rencontrent des difficultés concrètes : les sangliers ont compris que certaines zones sont plus complexes que d’autres. Ils apprécient les taillis, les valleuses, les abords de falaises et les zones interdites à la chasse. Même si la chasse au cochon sauvage est autorisée par arrêté préfectoral douze mois sur douze, les indemnisations n’ont pas tendance à diminuer.
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Course Folle d’un Sanglier sur la Plage de Pléneuf-Val-André
Course Folle d’un Sanglier sur la Plage de Pléneuf-Val-André
Un Sanglier Désorienté Fait le Spectacle sur la Plage
Pléneuf-Val-André est surtout connu pour ses dauphins jouant à proximité de la plage, et occasionnellement, des phoques. Mais ce mercredi 9 octobre 2024, cet endroit paisible a été témoin d’une scène pour le moins inhabituelle : un sanglier galopant sur le sable jusqu’à l’eau.
L’animal, visiblement égaré, a traversé une partie de la grande plage en fin d’après-midi, attirant l’attention des quelques personnes présentes. Parmi elles, Jonathan, un kitesurfeur équipé d’une caméra, a capturé cette scène insolite. « Sur la vidéo, on le voit bien courir dans l’eau, puis faire demi-tour avant de revenir dans les vagues, » raconte-t-il. Le sanglier semble avoir momentanément envisagé une traversée jusqu’à l’Angleterre avant de rebrousser chemin.
Les images de cette course effrénée ont été partagées sur le groupe PVAttitude, provoquant l’amusement de nombreux internautes. Entre la surprise et le sourire, cet événement rarissime a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, illustrant parfaitement l’inattendu de la nature.
Conclusion : Une Plage à Surprises
Pléneuf-Val-André nous rappelle que la nature est pleine de surprises. Habituellement spectateurs de dauphins et de phoques, les promeneurs de cette plage ont eu droit à un spectacle pour le moins unique. Pour encore plus d’histoires insolites et fascinantes d’animaux et de chasse, rendez-vous sur Caninstore.
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Les Chasseurs de la Manche à la Croisée des Chemins pour Réguler Sangliers et Ragondins
Gestion des Populations de Sangliers et Ragondins dans la Manche : Les Chasseurs à la Rescue
Les Chasseurs En Action pour Sauver les Cultures et les Zones Humides
Dans la Manche, les défis posés par les populations de sangliers et de ragondins ont motivé la signature d’accords entre les chasseurs et les communes de Couville et Hardinvast. Ces conventions visent à contenir les dégâts causés par ces animaux sur près de 50 hectares.
Deux Communes, Deux Problèmes Distincts
Les chasseurs ont conclu une alliance stratégique avec les élus locaux pour s’attaquer efficacement au problème. À Hardinvast, les sangliers dévastent les cultures, transformant champs et plantations en véritables champs de bataille. À l’inverse, Couville doit faire face à une infestation de ragondins, nuisibles particulièrement actifs dans les zones humides.
Pour remédier à ces situations, les chasseurs interviendront sur 13 hectares à Couville et sur 33 hectares à Hardinvast. Les interventions seront ciblées et adaptées aux spécificités de chaque territoire.
Les Bienfaits des Partenariats Entre Chasseurs et Collectivités
Ce type de collaboration n’est pas une première pour les chasseurs. Eux qui, au fil des années, ont tissé de solides réseaux de coopération avec divers organismes. Dans le passé, des partenariats avec la SNCF en Occitanie ou encore avec les écoles dans l’Aude ont prouvé leur efficacité. Même la gendarmerie dans les Hautes-Pyrénées a bénéficié de l’expertise des chasseurs pour certaines interventions spécifiques.
Ces accords offrent une solution pragmatique et collaborative à des problèmes communs, souvent difficiles à résoudre sans une expertise adéquate. Cependant, la réciprocité des services demeure une question délicate. Par exemple, dans le Sud-Ouest, les chasseurs ont parfois peiné à obtenir un soutien similaire lorsqu’ils en avaient besoin.
Un Appel à une Assistance Réciproque
La situation dans la Manche illustre à nouveau l’importance vitale de la chasse régulée pour la gestion de la faune sauvage. En espérant que les chasseurs bénéficient d’un retour de service équitable quand la situation l’exige. Un équilibre gagnant-gagnant est en effet crucial pour maintenir ces collaborations fructueuses.
Pour toute information relative à des partenariats ou conseils en matière de chasse, n’hésitez pas à consulter notre partenaire à la une : Caninstore.
Articles rédigé par Actuchasse avec notre partenaire à la une : Caninstore.
Il tente d’éviter un sanglier et finit dans un pré inondé à Saint-Just-Sauvage
Il tente d’éviter un sanglier et finit dans un pré inondé à Saint-Just-Sauvage
Une rencontre fortuite avec la faune sauvage mène à une sortie de route inattendue
Ce mercredi 9 octobre au matin, les gendarmes de Sézanne sont intervenus après une sortie de route sur la D82 entre Saint-Just-Sauvage (Marne) et Maizières-la-Grande-Paroisse (Aube). Le conducteur, en tentant apparemment d’éviter un sanglier, a perdu le contrôle de son véhicule. La voiture a alors quitté la route pour finir sa course dans un pré partiellement inondé en contrebas.
Heureusement, le conducteur s’en sort indemne, malgré la singulière péripétie.
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Tueur arbalète ciblant sangliers Marseille
Dépouilles de marcassins, « tueur à l’arbalète » : qui en veut aux sangliers du Roy d’Espagne à Marseille ?
Rumeurs et découvertes macabres alimentent l’inquiétude des riverains
Des photos de cadavres de sangliers au sein du Roy d’Espagne circulent sur les réseaux sociaux, semant la panique parmi les habitants de cette résidence des quartiers Sud de Marseille.
En l’espace de deux semaines, les dépouilles de deux laies et cinq marcassins ont été découvertes dans cette zone urbaine verdoyante. Cette succession macabre a conduit les riverains à soupçonner un potentiel « tueur à l’arbalète », et la psychose fait rage sur les réseaux sociaux.
La situation est particulièrement tendue au Roy d’Espagne, un grand parc résidentiel situé à l’orée des Calanques de Marseilleveyre. Les rumeurs d’un chasseur nocturne rôdant au pied des tours, semant la mort parmi les suidés locaux, se sont répandues à la vitesse de l’éclair sur Internet, alimentant une véritable enquête citoyenne parmi les riverains.
« Un sanglier et son petit ont été abattus ce week-end en bas de la copro 1, 2 et 3. La carcasse se décompose », alertait une habitante, photos à l’appui, sur un groupe WhatsApp dédié aux résidents du Roy d’Espagne, où les sangliers sont depuis longtemps des voisins familiers.
Une semaine plus tard, les dépouilles d’une laie et de quatre marcassins ont été découvertes à proximité du parc Pastré, en bordure de la résidence. Ce triste spectacle ne fait qu’accentuer la tension parmi les habitants, déterminés à démasquer l’auteur de ces actes.
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Ardeche 4 chiens de chasse empoisonnes apres des menaces de militants anti-chasse
Ardèche: 4 chiens de chasse empoisonnés après des courriers de menaces de militants anti-chasse
Des faits commis non loin du lieu du massacre de 7 chiens de chasse l’an dernier
Située dans la région pittoresque de l’Ardèche, la petite commune de Saint-Agrève est au cœur d’une nouvelle tragédie. En effet, à environ vingt kilomètres de Chanéac, où sept chiens de chasse avaient été brutalement tués il y a presque un an, quatre autres chiens appartenant à trois chasseurs ont été empoisonnés en l’espace de dix jours. Le poison incriminé serait du raticide, probablement versé dans leurs chenils. Malheureusement, malgré les soins vétérinaires, leur survie reste incertaine.
Des lettres de menace émanant d’anti-chasse reçues par les chasseurs
L’affaire prend racine il y a presque un an, peu après les événements tragiques survenus sur la propriété de la communauté Long Mai. L’ACCA de Saint-Agrève reçoit alors une lettre de menaces anonyme, évoquant directement les faits de Chanéac : « Les hippies ont montré la voie. On ne vous passera plus rien. Et si porter une arme vous rend trop sûrs de vous, on verra lorsque vous pleurerez vos maisons brûlées et vos proches avec. En attendant, six postes empoisonnés viennent d’être posés entre Cadet, La Citadelle et Le Pouzat ». Peu de temps après, un premier chien de chasse est retrouvé empoisonné, et une plainte est déposée. Cependant, cette plainte fut classée sans suite.
Quatre chiens entre la vie et la mort, empoisonnés dans leurs chenils
Il y a environ quinze jours, l’ACCA de Saint-Agrève reçut une nouvelle missive, cette fois signée par « La milice anti-chasse, anti-cons, contre l’irrespect des chasseurs pour la propriété des autres ». Ce courrier contenait une nouvelle menace limpide : « On remet le poison en place ». Quelques jours plus tard, quatre chiens appartenant à trois chasseurs, dont le président de l’ACCA, Monsieur Pascal Faure, sont retrouvés empoisonnés. Les analyses vétérinaires confirment la présence de raticide, alors que les chiens n’avaient pas été sortis pour chasser récemment. Pour le moment, les animaux luttent pour leur survie.
En état de choc, les chasseurs concernés ont déposé une nouvelle plainte. Une enquête est actuellement en cours pour identifier les coupables. En attendant, les chasseurs du secteur prennent des mesures de sécurité renforcée, telles que l’installation de systèmes de vidéosurveillance autour de leurs chenils.
Des incidents de ce genre soulèvent de nombreuses questions sur la sécurité et la violence entre chasseurs et militants anti-chasse. La situation reste tendue, et le sort de ces chiens est entre les mains des autorités compétentes.
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