Fabrication d’un piège à rats économique et efficace

Fabrication d’un piège à rats : économisez tout en gérant les nuisibles !
Créer un piège à rats efficace et économique n’est pas sorcier. Avec juste quelques matériaux simples, vous pourrez dire adieu à ces visiteurs indésirables qui s’invitent chez vous chaque année, que ce soit à cause de l’ensilage, des fortes pluies, ou de la coupe d’herbe.
Matériel requis pour un piège à rats efficace
Pour fabriquer ce piège ingénieux, il vous faudra :
- Un bout de bois
- Un tendeur
- Du fil de fer
- De la ficelle
- Des rayons de vélo
Avec ces éléments, vous n’aurez besoin que de peu de matériel pour un piège redoutable. Qui aurait cru que la chasse aux rats pouvait être aussi simple et économique ?
Comment installer votre piège pour un maximum d’efficacité
Il est essentiel de bien placer votre piège dans des zones stratégiques, comme les passages habituels des rats, les haies ou les bordures de parc. Une fois que votre odeur humaine s’est dissipée, les chances de succès augmentent. L’observation attentive et le choix de l’emplacement sont cruciaux pour optimiser l’efficacité de votre piège.
Alors, êtes-vous prêt à mettre ces conseils en pratique et à prendre le contrôle de l’invasion de rats ?
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Chasseurs aveyronnais sauvent deux daims en détresse

Des chasseurs aveyronnais, héros de deux daims en détresse
Les chasseurs ne sont pas uniquement en quête de gibier lors de leurs sorties en forêt ; ils jouent également un rôle important dans la protection de la faune locale. Récemment, dans l’Aveyron, deux daims ont été secourus d’une mort imminente grâce à l’intervention rapide de ces passionnés de la nature qui ont su agir avec détermination.
Le mardi 18 mars 2025, au cours d’une de ses rondes habituelles, un garde-chasse de l’Association communale de chasse agréée (ACCA) de Boisset-Saint-Priest a repéré deux daims en difficulté près du lieu-dit Fontamalard, proche d’une route départementale. Les animaux s’étaient pris dans des ficelles, probablement celles utilisées pour les balles de foin. Incapables de se libérer, les deux mâles étaient en danger de mort, souffrant d’épuisement et de faim.
Bruno Juste, trésorier de l’ACCA, a expliqué que l’un des daims avait déjà été observé avec ces ficelles accrochées à ses bois. “Cela faisait déjà un moment que l’on avait aperçu un daim dans cette situation. Ces deux mâles ont dû se rencontrer et se battre, ce qui a entraîné cet emmêlement tragique. Ils étaient ainsi piégés et allaient périr.” Comme si cela ne suffisait pas, la proximité de la route représentait un danger supplémentaire, les animaux affolés risquant de s’y précipiter.
Conscients de l’urgence, les chasseurs ont vite décidé d’intervenir. Toutefois, s’approcher des daims, nerveux et méfiants, ne s’est pas révélé simple. Pour éviter que la situation ne dégénère, la brigade animalière des sapeurs-pompiers de la Loire a été sollicitée. Grâce à un fusil hypodermique, les pompiers ont endormi les daims à distance. Une fois immobilisés, chasseurs et pompiers ont pu procéder au découpage des ficelles sans porter préjudice aux animaux. L’opération s’est déroulée rapidement, les daims étant surveillés jusqu’à leur réveil complet. Libérés et à nouveau en pleine forme, ils ont pu regagner leur habitat naturel.
Cette histoire soulève une question intrigante : comment des daims se sont-ils retrouvés dans cette région ? Bruno Juste a expliqué que ces animaux étaient des descendants de daims échappés en 1999 d’un élevage situé à Gumières, dans le Haut-Forez. Originellement six ou sept, leur nombre a considérablement augmenté et ils sont désormais environ une centaine à vivre en liberté sur plusieurs communes, dont Boisset-Saint-Priest, Margerie-Chantagret et Lézigneux. Par ailleurs, la plaine du Forez attire aussi d’autres grands gibiers, tels que des chamois, qui ont été signalés récemment.
Ce sauvetage exemplaire démontre le dévouement des chasseurs aveyronnais et leur engagement pour la préservation de la vie sauvage. Loin des stéréotypes négatifs souvent associés à la chasse, cet événement prouve que ceux qui évoluent dans la nature se soucient véritablement de la faune qu’ils protègent.
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Terrines de sanglier réalisées par les chasseurs de Romanèche-Thorins

Romanèche-Thorins : 270 terrines de sanglier réalisées par la communauté des chasseurs
Dans une belle démonstration de camaraderie et d’habileté culinaire, les chasseurs de Romanèche-Thorins, une équipe dynamique forte de 31 membres, ont fièrement confectionné pas moins de 270 terrines de sanglier. Cet événement captivant met non seulement en lumière les talents des chasseurs, mais également leur engagement envers la valorisation des ressources naturelles de leur région.
Un savoir-faire ancestral
La confection de terrines est un art qui se transmet de génération en génération. Les chasseurs, armés de leurs traditions et d’un savoir-faire impressionnant, ont réussi à créer ces délicieuses terrines qui sauront ravir les papilles des amateurs de gibier. Ces créations s’inscrivent dans une démarche de respect et de valorisation de la faune locale, tout en permettant de lutter contre les idées reçues sur la chasse.
Les bienfaits de la gastronomie de gibier
Qui aurait pensé qu’un plat à base de sanglier pourrait provoquer autant d’engouement ? La terrine de sanglier est non seulement savoureuse, mais elle s’inscrit également dans une logique nutritionnelle. Elle est souvent plus maigre et riche en éléments nutritifs par rapport à d’autres types de viandes. En se tournant vers des produits locaux comme ceux issus de la chasse, on favorise une consommation plus éthique et durable.
Un acte communautaire fort
La production de ces 270 terrines ne se limite pas à la simple préparation culinaire. C’est un véritable acte communautaire qui rassemble les membres autour d’une passion commune. Les échanges, les rires et les anecdotes partagés au cours de ce processus sont tout aussi précieux que le produit final. N’est-ce pas là l’essence même de la chasse ?
Conclusion
Les chasseurs de Romanèche-Thorins ont su prouver que la chasse peut être synonyme de convivialité, de respect de l’environnement et même de gastronomie. Alors, la prochaine fois que vous croisez une terrine de sanglier, pensez à toutes les histoires qui se cachent derrière sa confection.
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Sondage sur la chasse et opinions des Français

Les Renards Australiens et le Sondage de la Fondation Bardot
La Fondation Bardot a récemment attiré l’attention avec les résultats de son sondage sur les Français et la chasse, accompagnés d’une image iconique de renards… venant d’Australie ! Une originalité qui a suscité les interrogations, notamment sur la manière dont sont interprétés ces chiffres. BFM TV a consacré une grande partie de son émission matinale à ce sujet, invitant Brigitte Bardot, qui, rappelons-le, n’est pas une novice dans l’art de défendre la cause animale.
Lors de l’interview, l’icône du cinéma français ne s’est pas démontée et a vociféré contre les chasseurs, les qualifiant de « méchants » et dénonçant la pratique de tuer des animaux « qui ne nous ont rien fait ». Mais qu’en est-il vraiment des données du sondage IFOP qui a interrogé un échantillon de 1000 Français ?
Les Résultats du Sondage : Un Contre-courant Étonnant
Les résultats du sondage révèlent que 62% des personnes interrogées déclarent ne pas se sentir en sécurité lors de promenades en nature pendant la période de chasse, un chiffre en baisse par rapport à 71% en 2021. Sergeait-ce le début d’un retour à la normalité pour les amateurs de la chasse ? Peut-être. Concernant la chasse à courre, la situation est un peu plus troublée : 72% des sondés se sont prononcés pour son abolition, contre 86% dans le précédent sondage, montrant ainsi une évolution de l’opinion publique.
Il est intéressant de noter que Brigitte Bardot n’a pas laissé tomber son appel à l’interdiction de cette pratique, malgré le retour en force de certaines opinions pro-chasse. En ce qui concerne la gestion des Espèces Sauvages à Destinataire (ESOD), 62% des interrogés se sont déclarés défavorables à la réglementation permettant leur destruction à longueur d’année, un chiffre qui montre également un léger recul par rapport à 69% en 2021.
Le Dimanche sans Chasse : Un Sursaut d’Adhésion
Le sujet du dimanche sans chasse voit également une progression, augmentant de 78% à 82%. Ce point précis, notez-le, est le seul qui a été mis en avant dans le reportage de BFM. En somme, ce sondage, parmi tant d’autres, ouvre la porte à de nombreuses réflexions sans pour autant donner un tableau complet de la situation actuelle en matière de chasse en France.
Alors, que penser de tout cela ? Les chiffres sont parfois surprenants, mais une chose est certaine : la discussion sur la chasse et son rôle dans notre société reste brûlante. Si rien d’autre, cette controverse offre un terrain fertile pour les débats futurs.
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Etat des lieux des mammifères de la Loire entre retours et défis

Loire : État des lieux des mammifères, entre retours prometteurs et défis persistants
Dans le paysage vivant de la Loire, la cohabitation avec la faune locale présente des hauts et des bas significatifs. Parmi les représentants emblématiques de la région, la loutre, le castor, le sanglier et le hérisson illustrent parfaitement cette dynamique. Faisons un tour d’horizon des espèces qui peuplent notre environnement, entre réussites de conservation et défis à relever.
Retour bienvenu de la loutre
La loutre, autrefois en déclin, a fait un spectaculaire retour en force, et ce, sans intervention humaine majeure. Grâce à des efforts de protection efficaces, elle a réussi à réinvestir son habitat naturel. C’est une victoire à célébrer pour les conservateurs de la faune et un bon exemple d’équilibre naturel retrouvé.
Le castor et ses nouvelles rives
Outre la loutre, le castor a également fait l’objet d’une réintroduction professionnelle et semble se porter à merveille. Ces ingénieurs de l’écosystème contribuent à la régulation des cours d’eau et à la biodiversité environnante. Leur présence enrichit les milieux aquatiques, ce qui est de bon augure pour l’écosystème global de la Loire.
Le raton laveur, un nouvel hôte intrigant
Le raton laveur est en pleine phase d’installation dans la plaine du Forez. Bien que séduisant avec son allure espiègle, cet animal soulève également des questions sur l’impact de son adaptation sur les espèces locales. Si vous apercevez un raton laveur, n’hésitez pas à le signaler ; chaque observation compte pour mieux comprendre son développement dans notre région.
Les enjeux autour du ragondin
Le ragondin, quant à lui, pose son lot de défis. Bien que moins aimé que ses congénères préalablement mentionnés, il est crucial de surveiller son impact sur la flore locale. La gestion de cette espèce invasice est essentielle afin de préserver l’équilibre écologique de nos rivières et des zones humides.
Les mammifères de la Loire connaissent donc des hauts et des bas, mais ces récents développements offrent un tableau encourageant. La protection et la gestion des espèces restent des éléments clés pour garantir un avenir harmonieux pour notre faune locale.
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La chasse entre tradition et enjeux contemporains

La chasse : Tradition et curiosités de cet art ancestral
Un aperçu sur la pratique de la chasse
La chasse n’est pas seulement une activité de loisir ; elle est profondément ancrée dans nos traditions culturelles et constitue une composante importante de la gestion des populations animales. Cette pratique ancienne suscite souvent des débats, mais elle bénéficie également d’un certain nombre d’aspects positifs souvent méconnus.
Les bienfaits de la chasse
Saviez-vous que la chasse peut contribuer à la préservation de certaines espèces ? En régulant les populations d’animaux, elle aide à maintenir l’équilibre des écosystèmes locaux. De plus, la chasse apporte des bénéfices économiques, notamment à travers la création d’emplois et le soutien aux économies rurales. Sans oublier le côté palpitant : qu’y a-t-il de plus exaltant que de traquer un gibier tout en profitant d’un contact étroit avec la nature ?
La chasse responsable et éthique
Au-delà des frissons de l’aventure, il existe des pratiques de chasse qui respectent l’éthique et la réglementation. Le bon chasseur est celui qui chasse avec discernement, qui choisit ses cibles, et qui respecte les saisons et les quotas. Garder une attitude responsable est essentiel pour la pérennité des ressources naturelles.
Comment se préparer pour une sortie de chasse ?
Avant de vous lancer dans l’aventure, il est crucial de bien se préparer. Cela commence par se renseigner sur les lois locales concernant la chasse. Ensuite, il est important de choisir l’équipement adéquat : fusil, vêtements appropriés, et surtout, une bonne connaissance de la faune que vous espérez rencontrer. N’oubliez pas les essentials de sécurité, comme des lunettes de protection et un gilet fluorescent, qui garantiront votre sécurité et celle des autres lors de vos sorties.
Les défis modernes de la chasse
Dans un monde en constante évolution, la chasse fait face à de nouveaux défis, qu’il s’agisse de changements climatiques, de restrictions réglementaires ou de mouvements sociaux soutenant davantage les droits des animaux. Ces éléments incitent à réfléchir et à adapter nos pratiques de chasse dans le respect des règlements environnementaux.
Conclusion : Une pratique à découvrir
La chasse demeure une activité riche en histoire et en tradition, tout en étant soumise à des mois d’adaptation face aux réalités contemporaines. S’engager avec le monde de la chasse peut offrir des expériences d’apprentissage enrichissantes, révélant non seulement des aspects pratiques mais aussi une connexion profonde avec la nature.
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Les mares et leur rôle essentiel pour la biodiversité par les chasseurs

Les mares, un enjeu majeur pour la conservation par les chasseurs
Les mares, un point vital pour la biodiversité
La nécessité de préserver et de restaurer les mares est devenue une priorité pour les chasseurs. Ce n’est pas simplement une question de passion, mais un engagement envers la biodiversité qui prend tout son sens grâce à des projets comme celui de la Fédération des Chasseurs 31, connu sous le nom d’Habitat Trame Verte et Bleue. Ces points d’eau jouent un rôle crucial pour le développement des espèces dans nos forêts, et leur entretien devient impératif.
Une mobilisation active et encore des défis
Au total, 105 mares ont été identifiées, dont 46 nécessitent un entretien urgent pour éviter qu’elles ne disparaissent. Malgré des conditions météorologiques difficiles l’année dernière, les efforts des chasseurs n’ont pas faibli. Sur 30 mares nécessitant une intervention, 23 ont pu être réhabilitées grâce à des entreprises spécialisées. Pour 2025, de nouvelles communes se joindront à l’initiative, signifiant que la mobilisation pour la biodiversité va encore s’amplifier.
Le rôle indispensable des mares dans la préservation des écosystèmes
Dans le Tarn, les chasseurs s’impliquent dans le programme Mileoc, et leur action va bien au-delà de la simple création de mares. Ces espaces aquatiques deviennent des refuges pour la faune et la flore locales, leur permettant de prospérer. Lors des périodes de chaleur, ces mares constituent également une source d’eau essentielle. Tout cela montre à quel point les chasseurs participent activement à la restauration des écosystèmes aquatiques.
Innovations pour la restauration des écosystèmes
Les initiatives ne s’arrêtent pas aux mares. Les chasseurs du Tarn explorent des solutions novatrices pour rétablir des écosystèmes disparus. Récemment, un îlot flottant végétalisé a été installé pour compenser l’érosion et les variations du niveau de l’eau. Ce type de projet fait partie d’une stratégie plus large pour restaurer les corridors écologiques, tout en collaborant avec des associations locales et des citoyens. Un effort collectif qui mérite d’être salué.
Est-ce que vous avez déjà réfléchi à l’importance de ces petites mares autour de vous ? Elles pourraient être de vraies centrales de vie, à surveiller précieusement. Chaque goutte d’eau compte !
État s’oppose à la reconstruction du relais de chasse de Cazaux près d’Arcachon

Près d’Arcachon, l’État s’oppose à la reconstruction du relais de chasse de Cazaux détruit par le feu
Un bras de fer pour le relais de chasse de Cazaux
Le projet de reconstruction du relais de chasse de Cazaux, qui a été ravagé par un incendie en juillet 2022, se heurte à des obstacles juridiques. Le tribunal administratif de Bordeaux, saisi par le préfet de la Gironde, a suspendu le permis de construire, soulevant ainsi un vent de frustration parmi les sociétaires de la SCI des Chasses de Cazaux qui militent pour le retour de cette bâtisse emblématique, en place depuis 1890.
Le relais de chasse, qui était situé non loin du lac de Cazaux, avait reçu un avis favorable du ministère de la Transition écologique pour sa reconstruction à l’identique, mais la préfecture a souligné que les reconstructions en forêt posent des risques d’incendie ainsi que des difficultés d’accès pour les services de secours. Un point soulevé avec insistance, surtout après l’incendie catastrophique de 2022.
Démarches administratives et appel à la justice
Le sous-préfet d’Arcachon, Jean-Louis Amat, a demandé au maire de La Teste-de-Buch de retirer l’arrêté de reconstruction dès le 21 octobre 2024. Face à son refus, le préfet a dû porter l’affaire devant la justice administrative de manière urgente. Le 11 mars 2025, le tribunal a tranché en faveur de l’État, esquissant un « doute sérieux » sur la légalité du permis de construire, principalement dû au manque de documents prouvant l’état de l’ancien bâtiment avant sa destruction.
Les sociétaires de la SCI expriment leur mécontentement face à cette décision. Ils estiment que le relais fait partie de l’identité du village et que l’absence de preuves suffisantes pour justifier la reconstructions est exagérée. « Même sur Google Maps, on peut voir l’ancienne propriété! », argumente l’un d’eux, frustré par le procédé administratif.
La sécurité publique en question
De son côté, la préfecture ne manque pas de rappeler que la sécurité publique doit primer. Tant en 2022 qu’en 2023, des inquiétudes avaient été soulevées concernant la capacité des pompiers à protéger des bâtiments dans des zones isolées comme Cazaux, ce qui a renforcé leur position contre la reconstruction.
Un avenir incertain pour le relais
La situation actuelle laisse planer des doutes sur l’avenir du relais. Si le permis reste suspendu, la décision finale dépendra d’un jugement qui pourrait annuler la décision préfectorale. En attendant, le sociétaire de la SCI ne cache pas son amertume et évoque avec humour une alternative peu séduisante : « On mettra des chèvres sur le terrain si on ne peut pas reconstruire.”
En conclusion, l’attente d’une réponse définitive persiste, tandis que la mairie de La Teste-de-Buch a choisi de ne pas commenter cette affaire délicate. Quelles seront les prochaines étapes? Affaire à suivre!
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Une oie peut-elle poser un danger aux chasseurs

Une oie peut-elle devenir un redoutable adversaire pour un chasseur ?
Dans le monde de la chasse à tir, on parle souvent des dangers inhérents à la traque du grand gibier. Pourtant, même les pratiques moins intimidantes, comme la chasse au gibier d’eau, ne sont pas exemptes de risque. Qui aurait cru qu’une oie, ce compagnon à plumes souvent perçu comme inoffensif, pourrait bien se transformer en véritable menace pour un chasseur ?
Un incident illustratif est récemment devenu viral sur les réseaux sociaux. Dans une vidéo captivante, un chasseur de gibier d’eau a réussi à abattre une oie en plein vol. L’issue aurait pu être bien plus sérieuse, car l’oie, après avoir subi l’impact du tir, a chuté directement sur le poste de tir. Ce qui a failli assommer notre malheureux protagoniste en herbe.
Cette situation n’est pas aussi rare qu’on pourrait l’imaginer. De nombreux passionnés de chasse aux migrateurs peuvent témoigner avoir vécu des expériences similaires. Le vent et l’angle de tir peuvent jouer un rôle crucial dans de telles mésaventures, transformant une journée de chasse ordinaire en un moment d’inattendu !
Alors, que faire pour éviter de se retrouver dans une telle situation ? Voici quelques conseils pratiques : soyez toujours attentif aux conditions météorologiques et à la position de vos compagnons de chasse. Et surtout, gardez à l’esprit que même les animaux qui volent haut peuvent réserver des surprises !
En conclusion, la chasse est une activité passionnante qui nécessite prudence et vigilance, même dans les moments les plus inattendus. Après tout, qui se serait douté qu’une oie pourrait être un adversaire à redouter ?
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Partenariat entre chasseurs et Muséum pour le suivi des oiseaux

Collaboration entre la Fédération des Chasseurs et le Muséum d’Histoire naturelle
Un nouveau partenariat a été établi entre la Fédération Nationale des Chasseurs et le Muséum national d’Histoire naturelle afin d’étudier les oiseaux chassables. Ce rapprochement, motivé par les compétences des chasseurs dans le suivi des populations sauvages, a pour objectif d’améliorer la santé et les dynamiques des espèces aviaires, notamment celles des migrateurs.
Un suivi indispensable des espèces
De nos jours, surveiller les populations animales est une nécessité quasi inévitable pour garantir la santé de diverses espèces. Cette vigilance est particulièrement cruciale pour les oiseaux migrateurs, mais s’étend également à des espèces sédentaires. Grâce à cette approche, il devient possible de comprendre leurs habitudes, de suivre leurs déplacements et de déterminer les habitats propices à leur survie et à leur reproduction.
Un partenariat prometteur
La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) a récemment officialisé un partenariat avec le Muséum national d’Histoire naturelle. Cet accord, signé dans le cadre du projet AVIMARK, est financé par l’Écocontribution et soutenu par l’Office Français de la Biodiversité. Les chasseurs, et notamment les techniciens des fédérations, sont déjà activement impliqués dans le baguage d’oiseaux, des bécasses aux alouettes des champs. Il n’est donc pas surprenant que cette collaboration prenne forme.
Valoriser les compétences des acteurs de terrain
Les techniciens et bagueurs participant à ce partenariat possèdent des compétences précieuses pour le suivi de nombreuses espèces, telles que la caille des blés. L’objectif principal de cette initiative est de renforcer les compétences des acteurs sur le terrain, tout en valorisant le savoir-faire du réseau cynégétique. En rendant l’information plus fluide et accessible, ce partenariat vise à maximiser l’efficacité des efforts de conservation.
Un retour sur le terrain précieux
Le Muséum d’Histoire naturelle bénéficie également de l’engagement des chasseurs qui, en étant présents sur le terrain, peuvent fournir des retours fiables et réguliers concernant les oiseaux bagués. Qu’ils soient prélevés, capturés ou retrouvés morts, les chasseurs jouent un rôle clé dans la collecte de données. Ce partage d’informations est essentiel pour permettre aux scientifiques européens de surveiller efficacement les populations d’oiseaux chassables et de mieux comprendre leurs dynamiques.
La rime des oiseaux n’est pas seulement musicalité, elle est aussi science, et ce partenariat est une belle mélodie pour la biodiversité. Pour suivre l’évolution de cette collaboration et d’autres actualités cynégétiques, n’hésitez pas à visiter notre site.