Vinci Autoroutes reconnue responsable de la mort d’une chanteuse dans un accident avec un sanglier

Vinci Autoroutes jugée responsable après la mort d’une jeune chanteuse basque dans une collision avec un sanglier
Un drame tragique sur l’autoroute A64 soulève des questions cruciales de sécurité routière et de gestion de la faune sauvage. Le 28 janvier 2022, près de Bellocq, un sanglier a surgi sur la voie rapide, entraînant un accident impliquant trois voitures. Parmi les victimes, Leire Iribarne, 24 ans, chanteuse du groupe basque Diabolo Kiwi, a perdu la vie sur le coup, laissant sa famille et la communauté en deuil.
Une collision évitable ? Les responsabilités en question
Trois ans après ce tragique incident, la justice française s’intéresse de près à la responsabilité de Vinci Autoroutes, la concessionnaire de l’A64. Au cœur des discussions : l’entretien des clôtures qui devraient empêcher la faune sauvage de pénétrer sur la chaussée. La famille de Leire, représentée par l’avocat Nicolas Taquet, est convaincue que cette collision n’était pas inévitable. Les constatations d’un huissier de justice révèlent que près de 80 mètres de grillage étaient endommagés à proximité de l’échangeur numéro 7 de Bellocq, soulevant des interrogations sur le respect des normes de sécurité par Vinci Autoroutes.
« Nous avons prouvé que cet accident n’était pas le fruit du hasard », a déclaré l’avocat, insistants sur la nécessité d’une meilleure sécurisation des routes. En réponse, l’avocat de Vinci, Antoine Chauveau, a rappelé avec fermeté que « une autoroute ne peut pas être totalement étanche » et a argumenté que des inspections régulières sont effectuées chaque année. Malheureusement, ces déclarations n’ont pas suffi à apaiser la douleur des proches de la victime, ces derniers restant déterminés à faire entendre leur voix.
Appel à la justice et à la réforme
Lors de l’audience du 12 mai, le rapporteur public a recommandé une condamnation de Vinci Autoroutes à une amende symbolique de 25 000 euros. Bien que ce montant puisse sembler dérisoire face à la perte de Leire, il représente une reconnaissance de la responsabilité potentielle de l’entreprise. Pour son père, Markotx Iribarne, cette affaire dépasse le simple cadre de l’indemnisation : « Ce n’est pas qu’une question d’argent. C’est une exigence de changement », a-t-il déclaré, insistant sur la nécessité pour les grandes entreprises de prendre au sérieux les risques posés par la faune sauvage.
Alors que la population de sangliers continue d’augmenter en France, cette affaire met en lumière le risque croissant sur les routes, particulièrement dans les zones rurales et forestières. Le tribunal administratif de Pau rendra sa décision en juin, mais les enjeux de sécurité routière et de prévention d’accidents liés à la faune demeurent des sujets préoccupants pour tous.
En parallèle de cette procédure, une enquête pénale est également en cours, mais sans calendrier précis à l’horizon.
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Une laie et ses marcassins rencontrés en Vendée

Une rencontre inattendue en Vendée : la balade d’une laie et ses marcassins
Samedi 22 février 2025, un photographe amateur a eu la chance de capturer la scène rare d’une laie accompagnée de ses cinq marcassins, dans la région des Sables-d’Olonne en Vendée. Ce moment unique a été immortalisé grâce à la patience et à l’expertise d’un passionné de la nature.
Un instant magique près des champs inondés
André Untéreiner, deep in the heart of the Vendée, a installé son objectif près de champs inondés pour observer les chevreuils. Après une journée passée dans l’attente, c’est à la tombée de la nuit que sa chance a souri. Une masse noire est apparue au loin, le poussant à saisir son appareil photo. À sa grande surprise, il s’agissait d’une laie avec ses adorables marcassins, un spectacle qu’il n’avait jamais été témoin auparavant dans cette région.
Un partage qui fait le bonheur des internautes
La photo, une fois publiée sur les réseaux sociaux, a rapidement séduit de nombreux internautes, soulignant l’importance de la faune sauvage même dans des environnements peu connues. Pour André, cette rencontre constitue une belle récompense pour tous ses efforts et son amour pour la photographie animalière.
« C’est la première fois que j’en vois dans le secteur », a-t-il déclaré avec enthousiasme, ajoutant qu’il avait déjà croisé divers animaux tels que des faons et des renardeaux dans ces environs. La nature est décidément pleine de surprises!
Cette aventure rappelle l’importance de préserver notre faune et de profiter de ses merveilles. N’hésitez pas à sortir dans la nature et à garder un œil ouvert pour de telles rencontres. On ne sait jamais, peut-être aurez-vous aussi la chance de croiser une laie ou d’autres merveilles de la biodiversité lors de vos balades.
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Chasseurs en Aveyron en alerte face aux menaces sur leur tradition

Chasseurs en Aveyron : un cri d’alarme face aux attaques injustifiées
Samedi 17 mai, les chasseurs de l’Aveyron, unis dans leur révolte, iront à la rencontre de leurs élus locaux afin de livrer un manifeste en onze points, symbole de leur mécontentement croissant. Le président de la Fédération départementale, Jean-Pierre Authier, a précisé que ce modèle de chasse, plébiscité en milieu rural, est aujourd’hui menacé. Avec le soutien de l’Association des maires ruraux, représentée par Christophe Bernié, cette démarche vise à faire entendre leur voix sans passer par la manif traditionnelle.
Dénonciation des attaques à travers un manifeste
La plupart des chasseurs se disent aujourd’hui harcelés par divers courants d’opinion, qu’il s’agisse de technocrates à Bruxelles ou de militants écolos jugés déconnectés de la réalité. « Trop, c’est trop ! » lancent-ils en chœur. Jean-Pierre Authier souligne l’importance de préserver la chasse comme un art de vivre, une tradition enracinée dans la culture rurale, synonyme d’un futur plus en phase avec la nature.
Rappels sur le rôle des chasseurs
Christophe Bernié, en tant que porte-parole des élus ruraux, rappelle que les chasseurs jouent un rôle vital dans la dynamisation des campagnes. « Ils organisent des événements, participent à l’économie locale et sont des acteurs de la biodiversité », explique-t-il. La reconnaissance de la chasse à l’échelle nationale, ainsi que son inscription au Patrimoine immatériel de l’UNESCO, figurent parmi les revendications principales des chasseurs.
Des exigences précises
Le manifeste présente une série de demandes : la reconnaissance officielle de la chasse, l’arrêt du paiement des dégâts causés par le grand gibier, ainsi que la défense des pratiques de chasse traditionnelles. Ces mesures visent à garantir une chasse populaire, accessible à tous. « Les nouvelles régulations européennes affectent beaucoup notre pratique », commente Jean-Pierre Authier, tout en évoquant l’érosion de traditions ancestrales comme la chasse à la tendelle, désormais en péril.
Les enjeux économiques en toile de fond
Avec environ 10 000 chasseurs en Aveyron, dont une frange de 10 à 15 % de femmes, la situation devient délicate. Jean-Pierre Authier avertit que les fédérations commencent à peiner financièrement à cause de l’obligation d’indemniser les agriculteurs pour les dommages causés par le gibier, une pratique qui pourrait s’avérer insoutenable à long terme.
Un appel à l’écoute
En remettant leur manifeste aux élus, les chasseurs espèrent influencer les décisions politiques au plus haut niveau. Christophe Bernié insiste sur l’importance de la cohabitation entre différentes activités de plein air, démontrant que les loisirs en forêt peuvent coexister harmonieusement. « Je n’ai jamais eu de retour négatif sur ce sujet », précise-t-il.
En conclusion, pour Jean-Pierre Authier, « les élus doivent prendre conscience de l’urgence et de la gravité de la situation actuelle pour la chasse ». Un appel à l’action et à l’écoute, en somme, pour ceux qui défendent une tradition séculaire, désormais mise à mal.
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Chasseurs et Jeunes Ensemble pour la Protection des Amphibiens

Côtes-d’Armor : Chasseurs et Jeunes Unis pour Sauver les Amphibiens
En ce 6 mai 2025, les chasseurs des Côtes-d’Armor se sont mobilisés pour une cause inattendue : sauver les amphibiens. Ce mouvement, qui pourrait faire froncer les sourcils de nombreux observateurs, démontre pourtant que les passionnés de chasse ne sont pas exclusivement tournés vers le gibier. Au contraire, il s’agit ici d’une initiative visant à sensibiliser les jeunes à l’importance de la biodiversité et du respect des espèces protégées.
Le succès de cette opération repose sur la collaboration entre chasseurs et jeunes, qui se sont unis pour diverses activités éducatives et pratiques. Pourquoi inciter la jeunesse à prendre part à de telles actions ? Peut-être parce que la protection de notre environnement futur dépend, en grande partie, des valeurs inculquées dès le plus jeune âge. En plantant des haies ou en participant à des sessions de formation, les jeunes prennent conscience des enjeux qui les entourent, tout en apprenant à préserver les habitats naturels de nombreuses espèces.
Ces actions ne sont pas qu’un simple coup de pub pour les associations de chasse. Elles soulignent une volonté plus profonde : celle de rétablir l’image des chasseurs, souvent associé à la destruction plutôt qu’à la conservation. En réalité, beaucoup de chasseurs sont en première ligne pour la protection de l’environnement. Ils savent pertinemment que la préservation de l’écosystème est en définitive bénéfique pour leur propre passion.
Ainsi, la gestion durable des ressources naturelles natalise les esprits. Les jeunes ne sont pas seulement là pour apprendre, mais aussi pour penser à l’avenir de notre planète. Qui sait, peut-être qu’en devenant des ambassadeurs de cette cause, ils continueront à défendre la nature tout au long de leur vie. Après tout, une jeune génération consciente pourrait bien être le meilleur rempart contre la dégradation de notre environnement.
Ce type d’initiative pourrait être le début d’un mouvement plus large, où chasseurs et environnementalistes unissent leurs forces pour une cause commune. À l’heure où les débats sur la chasse font rage, il serait peut-être temps d’ouvrir les yeux sur des collaborations inattendues qui mettent au premier plan la préservation de la biodiversité.
En conclusion, il est essentiel de continuer à encourager ces alliances, car la protection de notre planète est l’affaire de tous, chasseurs comme non-chasseurs. Unissons nos efforts pour un avenir meilleur !
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Vipères de France Espèces et Caractéristiques

Les Vipères de France : Quelles Espèces Trouvez-vous ?
En France, les serpents n’ont pas toujours bonne réputation, surtout lorsqu’il s’agit des vipères. Parmi les 100 espèces de vipères connues dans le monde, quatre d’entre elles se sont établies sur le territoire français. Également victimes de préjugés et de destruction, celles-ci ont vu leur statut évoluer grâce à une législation protectrice mise en place depuis janvier 2021, après des décennies de déclin. Mais au-delà de leur venin redoutable, que savons-nous vraiment d’elles ?
Les Quatre Espèces de Vipères en France
Ces quatre reptiles venimeux sont la vipère Péliade, la vipère Aspic, la vipère de Seoane et la vipère d’Orsini. Ensemble, elles constituent un écosystème fascinant, mais elles ne sont pas à prendre à la légère. Chaque année, environ 300 morsures de vipères sont recensées en France, bien que seulement 4 décès aient été rapportés depuis 2001. Cela fait moins de 10 cas pour 10 000 morsures !
La Vipère Péliade (Vipera berus)
La vipère Péliade, bien qu’une petite bête, fait pas moins de 55 à 80 cm de long, selon qu’il s’agit d’un mâle ou d’une femelle. Les mâles sont souvent gris à brun avec un zigzag sombre, tandis que les femelles arborent des motifs de couleur beige ou brun-roux. Sa présence est bien notée dans le nord de la France, le Massif Central et même jusqu’à 1 782 mètres d’altitude dans les Alpes.
La Vipère Aspic (Vipera aspis)
Considérée comme la plus grande des vipères françaises, la vipère Aspic mesure entre 50 et 85 cm. Avec ses couleurs vives allant du jaune au noir, elle habite les terrains au sud d’une ligne reliant la Moselle et la Loire-Atlantique. Contrairement à son nom, elle n’est pas si « aspique » que ça !
La Vipère de Seoane (Vipera seoanei)
Cette espèce, un peu plus discrète, ne se trouve que dans une petite zone des Pyrénées-Atlantiques. Sa taille varie généralement entre 40 et 50 cm pour les adultes. Les mâles et les femelles sont assez similaires, avec des coloris variant entre beige et brun. En somme, elle fait le job sans attirer trop l’attention.
La Vipère d’Orsini (Vipera ursinii)
Si vous cherchez la surprise, ne cherchez pas plus loin que la vipère d’Orsini, la plus petite vipère d’Europe. Mesurant entre 15 et 50 cm, ses motifs de zigzag gris-noir la rendent unique. Rare comme un bon fromage fin, elle se trouve uniquement dans les Alpes du Sud, occupant des milieux d’altitude spécifiques.
Que Mangent nos Vipères ?
Bien qu’on pourrait penser que tout tourne autour des rongeurs, la vipère d’Orsini est en réalité insectivore, s’attaquant principalement aux orthoptères. En revanche, les autres espèces préfèrent un repas à base de micromammifères, parfois agrémenté d’un lézard ou d’un oiseau. Qui a dit que ces petites bêtes n’avaient pas de goût ?
En somme, nos quatre espèces de vipères, bien que redoutées, demeurent des acteurs essentiels de la biodiversité française. Respectées et protégées, elles méritent notre attention, mais pas notre peur. Rendez-vous sur Caninstore pour plus d’informations sur la faune et plus encore.
Les habitudes de sommeil des oiseaux

Oiseaux : quelles sont leurs habitudes de sommeil ?
L’être humain consacre environ un tiers de sa vie au sommeil, alors que chez le chat, cela peut même atteindre la moitié. En revanche, de nombreux oiseaux ne dorment que quelques minutes tout au long de la journée, adoptant un mode de repos bien différent du nôtre. L’expression « dormir d’un œil » s’applique littéralement à certaines espèces !
Le sommeil en milieu naturel
À l’approche de l’hiver, il est fréquent d’observer des moineaux chargés de paille dans leur bec, préparant ainsi un abri douillet pour la saison froide. Contrairement au rouge-gorge qui préfère un perchoir extérieur, le moineau aime rester caché dans un abri urbain, profitant davantage de moments de repos que de véritables nuits de sommeil. Fait intéressant, les nids des passereaux, souvent visibles durant leur période de reproduction, ne servent pas de couchette en dehors de cette saison !
Dortoirs collectifs : un peu de chaleur humaine
Les comportements communautaires chez certaines espèces non nicheurs se manifestent dans des dortoirs souvent impressionnants. Avant de rejoindre leurs quartiers d’hiver en Afrique, des hirondelles s’alignent sur les tiges des roselières. De même, les étourneaux se regroupent par centaines sur des perchoirs, tandis que les pinsons du Nord, en provenance des taïgas, créent le spectacle visuel d’une mer d’oiseaux sur les arbres dénudés par les tempêtes automnales. Se regrouper ainsi permet non seulement de bénéficier d’une sécurité accrue, mais également de capter un peu de chaleur collective pendant les nuits froides.
Les défis du sommeil hivernal
Maintenir une température corporelle adéquate peut s’avérer délicat pour nos amis les oiseaux lorsqu’obscurité s’installe. En hiver, certains passereaux se blottissent en groupes dans des cavités, tandis que les mésanges à longue queue s’emballent sur les branches. D’autres, comme les colibris, plongent en état de léthargie pour économiser de l’énergie, tandis que certaines espèces, comme la mésange boréale, réduisent leur température interne pour survivre au froid.
La réalité du sommeil chez les oiseaux
Une idée reçue nous dit que les oiseaux « dorment la tête sous l’aile », mais en réalité, ils tournent souvent la tête en arrière pour la reposer sur leur dos. De nombreuses espèces présentent un sommeil fragmenté, avec des périodes de sommeil léger entrecoupées de réveils. Il a été prouvé qu’ils connaissent des phases de sommeil paradoxal, comme chez les mammifères, potentiellement jalonnées de rêves !
Le martinet à ventre blanc et son mystère
Le martinet à ventre blanc nous interpelle plus particulièrement. Il peut voler pendant 200 jours sans se poser ! Des études récentes, utilisant des dispositifs de suivi, s’interrogent sur sa capacité à trouver le repos en vol : se sert-il de courtes phases de sommeil ou de longues périodes de vigilance ? Contrairement à d’autres espèces, le rythme jour/nuit n’a pas de sens pour eux.
Les particularités des rapaces nocturnes et des limicoles
Quant aux rapaces, ils inversent carrément le schéma habituel du sommeil, alors que les limicoles, en quête de nourriture le long des côtes, choisissent de dormir aux heures les plus propices, qu’il fasse jour ou nuit.
Le refuge d’hiver des gallinacés de montagne
Les gallinacés de montagne, tels que le petit tétras et le lagopède, se réfugient sous la neige, formant des igloos naturels qui les protègent des caprices météorologiques. Une technique de survie remarquable permettant de se préserver des conditions extrêmes !
Le sommeil astucieux des oiseaux aquatiques
Les canards, comme les colverts, adoptent une technique fascinante : ceux qui dorment au centre d’un rassemblement le font généralement les yeux fermés, tandis que ceux en périphérie gardent un œil ouvert. Ce mécanisme de fermeture des yeux est contrôlé par l’activité de l’hémisphère cérébral. Ils sont capables d’alterner cette vigilance, se préservant ainsi des prédateurs tout en profitant d’un sommeil réparateur.
En somme, les habitudes de sommeil des oiseaux révèlent une extraordinaire adaptation à leur environnement. Chaque espèce a développé des techniques pour s’assurer sécurité tout en répondant aux exigences de leur mode de vie.
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Erreurs à éviter face aux frelons asiatiques

Les erreurs à éviter face aux frelons asiatiques
Les frelons asiatiques, véritables terreurs volantes, se propagent sur le territoire français depuis leur arrivée accidentelle dans les années 2000. Ces prédateurs voraces d’abeilles ne se contentent pas d’impacter nos petites pollinisatrices, ils mettent aussi en péril la biodiversité locale. Voici quelques erreurs courantes à éviter si vous croisez ce redoutable insecte.
1. Ne pas écraser le frelon asiatique
Lorsque l’on aperçoit un frelon asiatique, la première réaction peut être de vouloir le écraser. Mais cette approche est tout simplement contre-productive ! Écraser un frelon déclenche la libération de phéromones d’alerte qui attirent ses congénères. Rester calme et s’éloigner tranquillement est la meilleure stratégie, car s’il y a d’autres frelons à proximité, un nid pourrait bien se cacher dans le coin.
2. Éviter les pièges artisanaux
On a tous vu ces pièges faits maison, ces bouteilles en plastique remplies de liquide sucré. Malheureusement, ils sont souvent inefficaces et, pire, ils piègent d’autres insectes bénéfiques comme les abeilles et les papillons. Pour une approche plus ciblée, optez plutôt pour les pièges spécifiquement conçus pour les frelons asiatiques, qui minimisent les dégâts sur les autres espèces tout en protégeant notre biodiversité.
3. Ne jamais tenter de détruire un nid
Dans l’ardeur du moment, l’idée de détruire un nid de frelons peut sembler séduisante. Cependant, c’est un acte dangereux et potentiellement illégal. Un seul nid peut abriter des milliers d’individus prêts à défendre leur territoire. Les méthodes maison comme l’eau bouillante ou les insecticides ne sont pas seulement inefficaces ; elles peuvent transformer une situation déjà délicate en un véritable désastre. La meilleure solution reste de faire appel à des professionnels formés à ce type d’intervention, en particulier si des enfants ou des personnes fragiles se trouvent à proximité.
En résumé, la vigilance et une approche éclairée sont essentielles face à ce nuisible. En évitant ces erreurs fondamentales, vous contribuerez à la protection de notre biodiversité tout en assurant votre sécurité et celle des autres.
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Réagir aux rencontres avec des sangliers en pleine nature

Réagir face à un sanglier : les bons réflexes à adopter
Un sanglier peut croiser votre chemin !
Lors de vos balades en pleine nature, un sanglier peut se présenter à vous, et ce n’est pas une rencontre à prendre à la légère. La population de sangliers en France augmente à un rythme fulgurant, et il est essentiel de savoir comment réagir face à cet animal potentiellement imprévisible.
Une population en pleine expansion
Les sangliers connaissent une véritable explosion démographique sur le territoire français. Des facteurs tels que des hivers cléments et des récoltes abondantes favorisent leur prolifération. Parallèlement, une réduction de la pression de chasse et l’absence de prédateurs naturels augmentent leur nombre. Si leur croissance offre un spectacle fascinant, elle engendre également des désagréments, comme des dégâts aux cultures et des accidents sur la route.
Que faire si vous croisez un sanglier ?
Face à un sanglier, ne cédez pas à la panique. Gardez votre calme et adoptez les bons réflexes. Éloignez-vous sans vous précipiter, notamment si une laie avec des marcassins se trouve à proximité, car elle peut être particulièrement protectrice. Ne courez surtout pas : cet animal peut atteindre des vitesses impressionnantes de 70 km/h. Un simple retrait lent et sans gestes brusques est la meilleure option.
Les comportements à adopter en cas d’attaque
Si un sanglier se montre agressif et charge dans votre direction, restez sur vos gardes. Essayez de l’intimider en criant, en frappant des mains ou en utilisant tout objet à votre portée pour faire du bruit. Parfois, un peu de surprise peut suffire à le faire reculer. Si l’animal persiste, recherchez un abri en hauteur : grimpez dans un arbre ou appuyez-vous contre une structure solide pour vous mettre hors de portée.
En résumé : la prudence avant tout
La population de sangliers en France est en plein essor, ce qui peut mener à des rencontres inattendues lors de vos promenades. Restez calme, ne fuit pas et préparez-vous à faire du bruit en cas d’attaque.
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Retour historique du martin-chasseur cannelle dans la nature

Retour du martin-chasseur cannelle à l’état sauvage : un renouveau historique
Une espèce disparue renaît sous le soleil de Palmyra
Le martin-chasseur cannelle, un oiseau qui avait complètement disparu, fait un retour inattendu dans la nature. Après avoir été éradiqué de l’île de Guam dans les années 1980, ce magnifique oiseau a vu le jour à nouveau grâce aux efforts dévoués de nombreux volontaires. En 2024, six spécimens, dont quatre femelles et deux mâles, ont été libérés dans la forêt tropicale de l’atoll de Palmyra, un lieu préservé du Pacifique Nord. Cette initiative a été saluée le 22 avril 2025 par la Société zoologique de Londres (ZSL) comme une excellente nouvelle pour les passionnés d’ornithologie.
Une première portée d’œufs depuis quatre décennies
La joie est palpable alors que les martins-chasseurs cannelle prennent rapidement leurs marques. Une adaptation remarquable leur a permis d’explorer leur environnement et de se nourrir de proies variées telles que des geckos et des araignées. La ZSL a annoncé, avec fierté, que quatre couples ont déjà établi leurs territoires, construit des nids et, comble de bonheur, pondu des œufs. C’est la toute première fois en près de 40 ans que l’espèce réussit à se reproduire dans la nature depuis son extinction sur son île natale.
Mésaventure à Guam : le serpent brun arboricole en ligne de mire
Malheureusement, l’espoir d’un retour des martins-chasseurs cannelle à Guam est encore lointain. La présence du serpent brun arboricole, introduit accidentellement dans les années 1940, représente une menace omniprésente. Ce prédateur a décimé de nombreuses espèces insulaires, y compris notre ami le martin-chasseur cannelle. Pour sauver l’espèce, les biologistes avaient alors transféré 29 spécimens dans un programme de reproduction en captivité aux États-Unis, suite à l’observation du dernier individu sauvage en 1988.
Un avenir prometteur à Palmyra
L’atoll de Palmyra, libre de prédateurs, s’affirme comme un véritable sanctuaire pour ces oiseaux en quête d’un nouveau départ. Les prévisions sont encourageantes avec d’autres relâchements d’oiseaux programmés pour cet été, visant à renforcer la population. L’objectif ultime : établir une colonie autonome et durable sur cet atoll. Bien que le rêve de voir un jour le martin-chasseur cannelle sur son île d’origine demeure, il reste crucial de s’attaquer au problème des serpents sur Guam avant d’envisager un retour définitif.
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Tourte des Sangliers Spécialité Culinaire Traditionnelle

La Tourte des Sangliers : Une Spécialité Culinaire à Déguster
La tourte des sangliers, proposée par la Confrérie Senatus Singularis Porcus Porcelettarum à Porcelette, en Moselle, se distingue par sa préparation unique. Cette spécialité culinaire, bien plus qu’un simple plat, est le fruit d’une passion partagée depuis la création de la confrérie en 2001.
Une Recette qui Fait Honneur au Sanglier
Avant de plonger dans les détails de la recette, il est crucial de noter que la dénomination est « tourte des sangliers » et non « au sanglier ». Pourquoi ? Parce que les membres de cette confrérie aiment s’appeler « sangliers » eux-mêmes, rendant hommage à cet animal emblématique de la gastronomie locale.
À l’intérieur de cette délicieuse tourte, la garniture est composée à 50 % de viande de sanglier, en mélange avec du porc. Une alliance savoureuse qui ravira les amateurs de gibier. La pâte feuilletée, quant à elle, enveloppe ce mélange croustillant, offrant ainsi un contraste parfait entre le moelleux et le croquant.
Un Plat qui Rassemble
La tourte des sangliers n’est pas simplement un plat à déguster, mais un symbole de convivialité et de tradition. Elle est souvent servie lors de repas de confrérie et d’événements locaux, permettant ainsi de rassembler amateurs de bonne cuisine et passionnés de la chasse.
À Propos de la Confrérie
Bien que créée récemment en 2001, la Confrérie Senatus Singularis Porcus Porcelettarum a su s’imposer dans le paysage gastronomique lorrain. Elle est le fruit d’un mouvement visant à mettre en avant la culture culinaire autour du sanglier et du cochon. Un bel exemple d’engagement communautaire qui se traduit par des événements festifs et des rencontres gourmandes.
Que vous soyez chasseur, gourmet ou simplement curieux, la tourte des sangliers mérite une place de choix sur votre table. Alors, prêt à goûter cette spécialité qui marie tradition et goût ?
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