Concours régional de meutes de chiens courant à Le sous-bois

Succès éclatant pour le concours régional de meutes de chiens courant
Le cadre pittoresque du camping Le sous-bois, tenu par la famille Thibon, a servi de refuge pour le concours régional de meutes de chiens de chasse sur sanglier, qui s’est déroulé sur cinq communes : Saint-Maurice-d’Ibie, Villeneuve-de-Berg, Lagorce, Rochecolombe et Saint-Germain, du 7 au 9 mars. Cet événement a vu la participation de 20 meutes, chacune comptant en moyenne une dizaine de chiens, toutes en quête de qualification pour le championnat de France à venir.
Cinq équipes en lice pour le championnat
Après des épreuves palpitantes, cinq équipes se sont distinguées et ont obtenu leur ticket pour le championnat de France, prévu les 28, 29 et 30 mars à Cordes-sur-Ciel, l’une des perles du Tarn, proche d’Albi. Cet événement, orchestré par la toute nouvelle association L’écho de l’Ibie, présidée par Steven Arsac, a su rassembler les passionnés autour d’une passion commune : la chasse aux chiens courant. Étonnamment, la compétition a également mis en avant la présence significative de jeunes et de femmes dans ce milieu traditionnellement masculin.
Un lancement réussi et convivial
Pour une première, l’organisation a été saluée par l’ensemble des participants et les personnalités présentes, y compris les responsables de la chasse et les membres de l’AFACCC (Association Française pour l’Avenir de la Chasse aux Chiens Courant). Certains ont même osé le pronostic d’une future tradition autour de cet événement ! Au total, entre 1000 et 1200 repas ont été servis, reflet d’une ambiance conviviale et chaleureuse durant ces trois jours de compétition.
Alors que le dernier jour a été assombri par la pluie, cela n’a pas entaché l’enthousiasme des participants, prouvant une fois de plus que le passionné se retrouve toujours au rendez-vous, quel que soit le temps. En somme, ce concours s’affirme déjà comme un événement incontournable dans le calendrier des amateurs de chasse.
Pour plus d’informations sur les prochaines compétitions de chasse et d’autres événements passionnants, n’hésitez pas à consulter notre site Caninstore.
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Preservation de la faune et de la flore

Préservons la faune et la flore : Un appel à la réflexion
Il est temps de réagir face à la crainte exprimée par certains chasseurs concernant le sort du cerf. Avec l’assemblage d’animaux emblématiques comme le lynx, le castor, et le renard, la question se pose : quand allons-nous enfin laisser la faune en paix ? Chaque espèce est scrutée, et les défauts de ces animaux sont constamment mis en avant. Pourtant, qui est réellement responsable des dommages et des maladies ?
On entend souvent que la prolifération d’animaux nécessite une régulation. Mais qu’en est-il de l’homme ? Ne prolifère-t-il pas lui-même à une échelle alarmante ? Dans un monde où l’on nous incite à fonder une famille, n’y a-t-il pas une certaine inconscience à voir les défis que nous traversons ? Violence, harcèlement, précarité… Nous pourrions facilement écrire un roman sur les maux qui gangrènent notre société.
À ce sujet, il n’est pas surprenant de se dire que vivre parmi les animaux, dans un monde sans ces vices, semblerait un choix plus sensé. Nos actions souvent motivées par l’égoïsme semblent rendre plus de mal que de bien. La faune mérite notre respect. Il est donc grand temps de leur laisser un espace pour vivre et prospérer.
Ne laissant aucune place à l’ambiguïté : il est urgent de préserver notre faune, de respecter leurs habitats, et d’agir dans leur intérêt plutôt que de continuer à les traiter comme des ressources à exploiter. Laissons-les vivre en paix !
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Sangliers en quête de confort dans une étable

Des sangliers en quête de confort dans une étable
Dans un incident aussi cocasse qu’inattendu, des sangliers ont récemment pris possession d’une étable, se livrant à une véritable mise en scène de confort haut de gamme ! Ce moment capturé par un agriculteur, au lendemain de sa visite matinale à ses veaux, démontre à quel point ces suidés sont des opportunistes par excellence.
Face à un lit de paille moelleux, de l’eau fraîche et quelques granulés, qui pourrait leur en vouloir de s’installer un instant au frais ? Ces deux intrépides compères n’ont pas hésité à se faufiler dans ce havre de paix, profitant d’un hébergement trois étoiles, et ce, sans débourser un centime !
Cette situation comique nous rappelle que les sangliers, bien plus que de simples animaux sauvages, sont capables de s’adapter et de tirer parti des ressources humaines. Que penseriez-vous si vous trouviez un groupe de sangliers faisant la fête dans votre jardin ? Le génie du confort animal semble être en marche !
La vidéo de cette scène insolite fait le tour des réseaux, apportant un soupçon de légèreté à la dureté de la vie rurale, tout en nous rappelant l’astuce naturelle des sangliers à profiter de ce que l’homme laisse à disposition.
Pour en savoir plus sur les pratiques cynégétiques et découvrir d’autres anecdotes encore plus surprenantes, n’hésitez pas à explorer notre site !
Risques d’hybridation entre sangliers et cochons

Les risques d’hybridation entre sangliers et cochons domestiques
Les chasseurs français expriment de plus en plus leurs craintes concernant l’hybridation entre sangliers et cochons domestiques, un phénomène qui pourrait avoir des conséquences dramatiques sur notre faune sauvage. En effet, cette situation alarmante ne se limite pas à notre territoire ; elle est également observée dans divers pays d’Europe et ailleurs dans le monde. Le mélange des gènes de ces deux espèces peut donner naissance à des hybrides extrêmement problématiques.
À titre d’exemple, les fameux « Super Pigs » qui prolifèrent aux États-Unis illustrent bien les complications engendrées par les croisements entre espèces. Ces créatures, issues de l’hybridation, présentent des caractéristiques qui les rendent particulièrement adaptables et agressives, ce qui représente un véritable défi pour la gestion de la faune.
Une vidéo récente tournée dans les pays de l’Est présente un groupe de sangliers dont certains semblent s’éloigner des traits typiques de leur espèce. La diversité de couleur et de morphologie des suidés filmés laisse planer des doutes sur leur ascendance 100% sauvage. Ces variations pourraient bien résulter de mélanges génétiques avec des cochons domestiques.
Il est crucial de surveiller ces phénomènes pour protéger la biodiversité et le patrimoine génétique des sangliers. Les chasseurs, en tant qu’observateurs de la nature, ont un rôle clé à jouer dans cette vigilance. S’assurer que les animaux sauvages restent sauvages est une mission essentielle pour la conservation de nos écosystèmes.
Pour en savoir plus sur les enjeux liés à l’hybridation et suivre l’actualité de la chasse, n’hésitez pas à visiter notre site.
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Repas de chasse à Gestel pour célébrer le chevreuil

Repas de fin de saison à Gestel : 140 convives pour célébrer le chevreuil
Le samedi 8 mars 2025, la société communale de chasse de Gestel a rassemblé 140 personnes autour d’un repas savoureux dédié au chevreuil, à la salle du Lain. Ce moment convivial a permis de remercier non seulement les bénévoles de l’association, mais aussi les propriétaires des 420 hectares de terres de chasse, qui incluent des parcelles appartenant à des cultivateurs, des privés, ainsi que quelques terrains de Lorient agglomération ou de la mairie.
Un menu bien garnie : chevreuil et sanglier
Jean-René Petitbois, président de l’association et cuisinier du jour, ne cache pas sa fierté de servir des plats préparés avec des ingrédients locaux. Cette année, le bilan de la chasse est mitigé mais satisfaisant : douze chevreuils ont été prélevés, dont huit ont servi pour le repas. De plus, un sanglier a été abattu il y a six semaines, rappelant ainsi que la période de chasse est bien active, notamment pour les sangliers jusqu’à la fin mai.
Les prochaines activités de l’association
Avec seulement 17 adhérents cette année, l’association mise sur une communauté active et engagée. L’assemblée générale de la société se tiendra courant avril ou mai, suivie d’un second repas à thème, spécial sanglier, qui aura lieu le 26 juillet prochain.
En somme, cette fête autour du chevreuil à Gestel a non seulement été un moment de partage et de convivialité, mais également une belle occasion de souligner l’importance de la chasse durable et du respect de la nature.
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Chute annuelle des bois chez les cervidés

Pourquoi les cervidés se dessaisissent-ils de leurs bois ?
La particularité des bois des cervidés
Les cervidés, ces majestueux animaux, sont les seules espèces au monde à arborer des bois. Ces excroissances osseuses jouent un rôle fascinant avant de tomber chaque année, et leur cycle de vie est tout aussi captivant. En effet, une quarantaine d’espèces de cervidés sont recensées, et ils se distinguent des autres animaux grâce à ces structures. Contrairement aux cornes, qui croissent tout au long de la vie de l’animal, les bois sont renouvelés chaque année. Fait amusant : ce sont les rênes qui se démarquent en étant les seules à avoir à la fois des mâles et des femelles dotés de bois, bien que ceux des femelles soient généralement plus petits.
La biologie surprenante des bois
La composition des bois est semblable à celle des os, comprenant des vaisseaux sanguins qui les irriguent tout au long de l’année, permettant ainsi leur développement. Ce processus n’est pas le fruit du hasard : il est étroitement lié aux saisons. À la fin de l’hiver, les bois des cervidés tombent, et la repousse débute avec l’arrivée du printemps, lors de ce qu’on appelle la phase de frayure. Les animaux frottent leur tête contre des arbres pour détacher les derniers morceaux de bois de l’année précédente, libérant ainsi l’espace pour les nouveaux.
Les bois pendant le rut : un atout stratégique
Une fois cette étape de repousse achevée, les bois atteignent leur taille définitive pour l’année. Ils jouent un rôle crucial durant le rut, période où les affrontements entre mâles sont fréquents. Ces structures permettent de prendre l’ascendant sur les concurrents et d’attirer les femelles. Plus les bois sont imposants, plus l’animal a des chances de remporter ces combats, et parfois, leur seule présence suffit à dissuader un rival de s’engager dans une confrontation. Ces duels peuvent entraîner des blessures graves et, dans le pire des cas, la mort du perdant. Posséder de grands bois constitue donc un atout indéniable pour un mâle dominant.
Une chute annuelle justifiée
La chute des bois chaque année peut sembler mystérieuse, mais elle s’explique par leur manque d’utilité en dehors du rut. Une fois cette période passée, le mâle n’a plus besoin d’imposer sa dominance. De plus, porter ces lourdes structures implique un coût énergétique important. En se débarrassant de leurs bois, les cervidés économisent de l’énergie et améliorent leur mobilité durant l’hiver. Ainsi, l’année suivante, un cycle de repousse recommence, garantissant aux cervidés des bois neufs et adaptés à leur environnement. Ce phénomène illustre brillamment l’adaptabilité remarquable de ces animaux à leur mode de vie.
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Buxy stratégie de rasage pour éloigner les sangliers

Buxy : Une stratégie efficace pour éloigner les sangliers
Rasage de ronciers, la nouvelle méthode
Le 24 février dernier, en réponse à la préoccupation de plusieurs riverains, une battue d’effarouchement a été organisée par les chasseurs de Buxy. L’objectif ? Rendre les lieux moins attractifs pour nos amis les sangliers. Le site des Raveaux a vu ses ronciers soigneusement rasés, laissant ainsi ces ruminants sans abri. Finis les cachettes confortables pour les sangliers, qui devront dorénavant chercher un autre endroit pour se cacher.
Une coopération entre chasseurs et riverains
Cette initiative témoigne d’un effort collaboratif entre les chasseurs et les habitants de la région. En effet, les sangliers peuvent causer des désagréments, que ce soit par leurs incursions dans les jardins ou par les dégâts qu’ils occasionnent dans les cultures. En rendant le secteur moins accueillant pour ces animaux, les chasseurs espèrent réduire les conflits entre l’homme et la faune. Les riverains, quant à eux, peuvent enfin respirer un peu plus sereinement dans leur quotidien sans craindre une visite inattendue de ces gros gourmands.
Des résultats à long terme ?
Il sera intéressant de constater si cette méthode se révélera efficace sur le long terme. Les sangliers sont connus pour leur intelligence et leur capacité d’adaptation. Ainsi, même si les ronciers ont disparu, ils pourraient bien trouver d’autres moyens de se faufiler dans les parages. Les chasseurs de Buxy resteront vigilants et peut-être devront-ils envisager d’autres solutions pour compléter cette première étape.
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Nouveau dynamisme de la chasse en France par l’engagement des jeunes et des femmes

Un nouveau souffle pour la chasse en France : l’engagement des jeunes et des femmes
Dans les vastes forêts normandes, le son des cors résonne alors que les chasseurs, après avoir abattu quelques bêtes, rendent hommage à la faune. “C’est notre manière d’honorer les animaux,” explique un chasseur. Cette tradition, qui remonte à 1789, témoigne d’une pratique longtemps réservée à l’élite mais qui est aujourd’hui accessible à toutes les classes sociales.
La chasse demeure un élément vital de l’identité rurale française. Comme le souligne un joueur de la « chasse à la française », les membres d’une troupe se rassemblent à la manière des célèbres Gaulois traquant un sanglier. Promenant ses souvenirs, un chasseur évoque également ses expériences à l’étranger, révélant des différences culturelles marquées, notamment avec le modèle britannique où la chasse est souvent liée à des dynamiques de classe.
Une montée en puissance
Il existe un paradoxe au cœur de cette tradition : alors que la chasse est confrontée à une hostilité croissante de certains segments de la population, elle connaît aussi un regain d’intérêt, favorisé par une nouvelle génération de chasseurs. Pendant les confinements liés à la pandémie, la pratique a attiré non seulement des jeunes mais aussi un public féminin de plus en plus engagé.
Les défis contemporains
Cette évolution n’est pas sans tensions. Les responsables de la Fédération nationale des chasseurs font état d’un scepticisme croissant dans les cités, souvent lié à l’ignorance des pratiques cynégétiques. “Les gens sont souvent déconnectés de la nature et ont des opinions bien tranchées,” observe un professionnel du secteur. Il est donc crucial de sensibiliser et d’éduquer les nouvelles générations sur la réalité de la chasse et ses enjeux.
La chasse, loin d’être un vestige du passé, se transforme et s’adapte aux défis de la société moderne. Les jeunes et les femmes portent cette tradition avec un nouveau regard. Dans cette évolution, la question demeure : comment concilier respect des traditions et réalités sociétales changeantes ?
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Brucellose des bouquetins état des lieux et enjeux persistants

État des lieux sur la brucellose des bouquetins : des avancées, mais des inquiétudes persistent
L’ANSES dresse un bilan sur la surveillance et la lutte contre la brucellose au sein des populations de bouquetins des massifs du Bargy et des Aravis, une préoccupation devenue majeure depuis 2012.
Un historique troublant depuis 2012
Depuis la détection d’un foyer de brucellose bovine en Haute-Savoie en 2012 sur le massif du Bargy, la situation autour des bouquetins a suscité beaucoup d’inquiétude. Ce réservoir de brucellose identifié chez ces animaux a conduit à des opérations d’abattage controversées. En effet, la persistance de la maladie a été mise en lumière en octobre 2021, lorsque l’on a découvert un nouveau foyer dans un élevage bovin laitier, étroitement lié à la faune sauvage du massif du Bargy.
Les inquiétudes des éleveurs se sont accentuées en 2022, lorsque la découverte d’un cadavre de bouquetin positif à la brucellose dans le massif des Aravis a relancé le débat concernant la gestion des bouquetins dans les massifs environnants. En réponse, le gouvernement a sollicité l’ANSES pour apporter son expertise scientifique.
Des campagnes de capture et de suivi
Au printemps 2024, une opération de capture a permis de saisir 45 bouquetins dans le massif du Bargy, dont six se sont révélés séropositifs et ont été euthanasiés. L’automne suivant a également vu la capture de cinq bouquetins sans détection de nouvelles cases positives, mais sept individus ont dû être abattus, tous testés négatifs.
Dans le massif des Aravis, 59 bouquetins ont été capturés au printemps 2024, six d’entre eux étant séropositifs. À l’automne, 20 autres bouquetins ont été capturés, confirmant l’absence de nouvelles infections dans le groupe.
Conclusion : un défi à relever
Les experts soulignent la persistance de la circulation de la brucellose au sein des populations de bouquetins, autant dans le massif du Bargy que dans les Aravis. Cependant, des données manquent encore pour établir une analyse approfondie de la situation. L’ANSES recommande donc de continuer les captures afin de mieux cerner l’état de santé de ces animaux qui jouent un rôle crucial dans l’écosystème local.
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La Viande de Gibier au Salon de l’Agriculture 2025

La Viande de Gibier S’affirme au Salon de l’Agriculture 2025
Un Comptoir de Saveurs qui Attire les Foule
Du 22 février au 2 mars 2025, le Salon de l’Agriculture a accueilli plus de 607 503 visiteurs au parc des expositions de la Porte de Versailles, à Paris. Parmi les stands qui ont fait sensation, celui de la Fédération nationale des chasseurs (FNC) a particulièrement retenu l’attention. Organisé dans l’espace de la région Hauts-de-France, ce comptoir a proposé des dégustations de viande de gibier qui ont su séduire les papilles des visiteurs. En vedette, des plats emblématiques qui mettent à l’honneur la richesse culinaire de cette viande locale et authentique, témoignant d’un intérêt grandissant pour le gibier au sein de notre gastronomie.
Une Touche Régionale et Inventive
Les spécialités présentées ont varié, allant de la boulette de sanglier façon welsh, garnie de savoureuses échalotes confites et de poires locales, à un tartare de cerf subtilement relevé à la bière et à la tomme de la région. Sans oublier la célèbre tartine de cerf, agrémentée d’une rémoulade à la moutarde de Picardie et d’herbes fraîches. Ces délices, simples mais raffinés, ont non seulement ravi les gourmands, mais aussi montré le potentiel culinaire du gibier. Face à un tel succès, les stocks ont dû être renouvelés en cours de salon, avec plus de 50 000 bouchées servies au total.
Le Grand Est Mystifie avec le Gibier
Le phénomène ne s’est pas limité aux Hauts-de-France. Le stand de la région Grand Est, dans le hall 7, a également mis à l’honneur cette viande sauvage avec une animation culinaire. Entre 6 000 et 7 000 bouchées ont été servies, avec des créations telles que le parmentier de cerf à la choucroute ou la terrine de sanglier à la mirabelle. Ces plats, savamment concoctés, ont su marier les saveurs régionales et l’authenticité du gibier, touchant un large public.
Des Atouts Nutritionnels Indéniables
Mais pourquoi cet engouement pour la viande de gibier ? Au-delà de son goût inimitable, elle se distingue par ses qualités nutritives. Riche en protéines et faible en graisses, cette viande sauvage est une option plus saine par rapport aux viandes d’élevage. Selon des études, elle serait même moins grasse qu’un yaourt nature ! Offrant une teneur élevée en minéraux comme le phosphore et le fer, le gibier se présente comme un véritable trésor nutritionnel, plébiscité par des consommateurs de plus en plus soucieux de leur alimentation.
Un Lien entre Chasseurs et Public
Le Salon de l’Agriculture a également été le berceau d’échanges enrichissants entre le public et les professionnels de la filière venaison. Ces rencontres ont mis en lumière les défis et les opportunités que présente la viande de gibier. Aujourd’hui, elle s’implante comme une option culinaire accessible, se mêlant harmonieusement aux traditions gastronomiques régionales, de la cuisine rustique aux créations contemporaines.
Un Avenir Prometteur pour le Gibier
Avec un tel bilan, le Salon de l’Agriculture 2025 a clairement établi la viande de gibier comme une alternative culinaire à part entière. Sa durabilité, son goût et ses bienfaits nutritionnels répondent aux attentes d’une société en quête de sens dans son alimentation. Ce succès est un signal fort que le gibier n’est plus qu’une simple curiosité, mais une option prisée par une clientèle soucieuse de renouer avec des produits sains et authentiques.
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