Chasseur en Désarroi Offre Récompense pour Retrouver Chiots Disparus en Dordogne

Chasseur Périgourdin Offre 3000 Euros pour Retrouver Ses Trois Chiots Disp…
Trois chiots de race anglo croisée gascon ont mystérieusement disparu de leur chenil en Dordogne
Gaël et Marie Souchal, un duo de chasseurs de Saint-Rémy-sur-Lidoire en Dordogne, sont en plein désarroi après la disparition de trois de leurs chiots le mardi 1er octobre. Les petits canidés, de race anglo croisée gascon et âgés d’environ six semaines, auraient réussi à se glisser sous le grillage de leur enclos situé près de la rue Jules Ferry.
Malgré des recherches acharnées menées par les membres de la société de chasse Tord-Lidoire-Bidonne, dont Gaël est le président et Marie un pilier, les trois chiots restent introuvables. Ces chiots, choyés par le couple, semblent s’être égarés entre la route et les bois environnants.
Le couple, très attaché à ces jeunes animaux, offre une récompense de 3000 euros à quiconque aidera à retrouver leurs chiots. Si vous avez des informations concernant cette disparition, veuillez contacter le 06.48.49.86.14.
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Chasseurs du Sud-Ouest en Lutte pour Sauver leurs Traditions

Mobilisation des Chasseurs du Sud-Ouest : Une Tradition en Péril
Les chasseurs d’alouette se réunissent à Agen pour défendre leurs pratiques ancestrales
C’est un réveil agité pour les chasseurs du Sud-Ouest, fermement décidés à préserver leurs chasses traditionnelles. Ce mardi 1er octobre, à partir de 10 heures, ils convergeront vers la préfecture d’Agen pour exprimer leurs objections face aux récentes décisions gouvernementales menaçant leurs coutumes. Cette mobilisation n’est pas simplement une démonstration de mécontentement : elle vise à sauver la saison de chasse 2024/2025.
La défense des chasses traditionnelles
Les passionnés d’alouette aux pantes et aux matoles ne comptent pas céder sans se battre. Alors que la saison devait s’ouvrir en ce mois d’octobre, une série de lois nouvelles a compliqué la situation au point de rendre la pratique quasiment illégale pour ces chasseurs appelés pantayres. Face à cette réalité, les chasseurs de la région refusent d’abandonner une tradition héritée de leurs ancêtres et vitales pour leur identité.
Une mobilisation soutenue et organisée
L’association des Chasseurs Méprisés du Sud Ouest, épaulée par la Fédération Départementale des Chasseurs, mène cette campagne de protestation. Préparés pour une journée intense, les organisateurs ont prévu de quoi nourrir leurs partisans, notamment avec des grillades offertes à midi pour maintenir l’énergie et la motivation des manifestants.
Une interdiction controversée
La situation est d’autant plus paradoxale que cette interdiction repose sur une logique critiquée par les chasseurs. Les alouettes, chassées sans limites à tir, pourraient continuer à l’être en grande quantité à partir d’appelants venus de l’étranger, tandis que les pantayres, eux, ne capturent que quelques oiseaux par an de manière très ciblée, comme corroboré par les études de l’Office Français de la Biodiversité (OFB). Cette incohérence dans la législation et dans la gestion des ressources naturelles suscite une incompréhension généralisée parmi les chasseurs.
Vers une résistance clandestine ?
Il est à craindre que bon nombre de chasseurs ignorent les nouvelles interdictions pour continuer à pratiquer leurs traditions en toute illégalité. Si aujourd’hui les chasses traditionnelles de l’alouette sont menacées, certains redoutent que d’autres pratiques, comme les chasses en palombière, soient les prochaines sur la liste des interdictions.
Que réserve l’avenir ?
Face à un gouvernement apparemment influencé par diverses pressions écologistes, les chasseurs du Sud-Ouest se sentent pris au piège. L’issue de cette mobilisation pourrait marquer un tournant dans la préservation des pratiques cynégétiques traditionnelles ou sonner le glas pour l’une des passions les plus profondément enracinées dans cette région.
Affaire à suivre donc, pour les amateurs de chasse et les défenseurs du patrimoine culturel rural, mais aussi pour les observateurs curieux de voir quel visage prendra notre rapport à la nature et à nos traditions dans les années à venir.
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L’interdiction du port de couteaux de chasse et la nouvelle amende forfaitaire

L’infraction du port d’armes de catégorie D sans motif légitime : vers l’interdiction du couteau ?
Vers une amende simplifiée : le couteau de chasse dans le viseur de la loi ?
Depuis avril 2024, une note de la Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) a déclenché une vive polémique parmi les chasseurs. Cette note non officielle suggère que le port ou transport d’armes de catégorie D, incluant les couteaux, pourrait désormais être sanctionné par une simple amende. Actuellement en phase d’expérimentation dans de nombreuses juridictions, certains craignent que les chasseurs portant un couteau puissent être pénalisés.
Le cadre législatif du port d’armes de catégorie D
Les armes de catégorie D sont définies par l’article R311-2 du Code de la Sécurité Intérieure. Elles incluent une variété d’objets dangereux tels que:
- Les armes non à feu camouflées
- Les poignards et couteaux-poignards
- Les matraques et projecteurs hypodermiques
- Les générateurs d’aérosols lacrymogènes
- Les armes à impulsions électriques
- Les armes neutralisées
- Les armes historiques et de collection antérieures à 1900
Qu’est-ce qui définit une arme blanche?
Pour les poignards et couteaux-poignards, l’absence de définition précise peut compliquer leur classification. Historiquement, une définition existait : une lame solidaire de sa poignée, double tranchant et une longueur spécifique. Divers jugements confirment que même un simple couteau à cran d’arrêt est considéré comme une arme.
Porter un couteau de chasse est-il risqué?
En vertu de l’article L-315-1 du CSI, le port et le transport d’armes de catégorie D sans motif légitime constitue un délit. Cette interdiction, héritée d’un décret-loi de 1939, est sévèrement punie: un an d’emprisonnement et 15 000 € d’amende, porté à deux ans de prison en cas de réunion (plusieurs personnes armées).
L’amende forfaitaire délictuelle: une alternative contestée
La loi Lopmi de janvier 2023 introduit une amende forfaitaire de 500 €, payable sur-le-champ, est critiquée pour déroger aux principes fondamentaux du droit pénal, notamment par le Défenseur des droits. Cette procédure, si adoptée, biaiserait plusieurs droits, dont le droit d’accès à un juge.
Implications pour les chasseurs et tireurs sportifs
Payer cette amende entraîne une inscription au casier judiciaire B2 et au FINIADA, limitant ainsi les droits des chasseurs et tireurs sportifs, incluant le retrait de leur licence de tir ou permis de chasse. Contester est délicat une fois l’amende payée. En revanche, une audience devant le Tribunal correctionnel offre une meilleure chance de clarifier le motif légitime.
Motif légitime et vigilance
Les chasseurs doivent être particulièrement vigilants. Le permis de chasser ou la licence de tir en cours de validité autorise le port des armes de catégorie C et D durant une activité de chasse. Cependant, toute possession d’un couteau hors de ce cadre nécessite un motif légitime. Il est déconseillé d’accepter une amende forfaitaire délictuelle sans évaluer ses conséquences sur le casier judiciaire et le FINIADA.
Pour en savoir plus sur les implications de cette législation pour les chasseurs, visitez https://caninstore.com/fr/.
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Des anti-chasse détruisent des miradors à Mornas dans le Vaucluse

Des anti-chasse détruisent la moitié des miradors dans une commune du Vaucluse
Sabotage et conséquences sur la sécurité des chasseurs et des randonneurs à Mornas
La commune de Mornas, dans le Vaucluse, a été le théâtre de vandalisations répétées de miradors ces dernières années. Ces actes de sabotage, réalisés par des opposants à la chasse, consistent en des destructions systématiques de miradors. Certains miradors sont sciés, d’autres arrachés de leurs socles, souvent au mépris des conséquences graves de ces actions.
Le danger est réel : l’un de ces miradors pourrait s’effondrer sous le poids d’un chasseur, entraînant non seulement des blessures mais potentiellement un tir accidentel. Ce mouvement de destruction compromet le bon déroulement des battues et met en péril la sécurité de tous dans ce territoire de 1100 hectares, fréquenté aussi bien par les cyclistes que par les randonneurs.
Le « cimetière des miradors »
Près de la cabane de chasse, on trouve les vestiges des miradors vandalisés. Jodar, trésorier de l’amicale des chasseurs de Mornas, appelle cet endroit « le cimetière des miradors ». Il exprime son indignation face à ce qui, selon lui, constitue de véritables actions de sabotage prévues et organisées. Sylvain Ribe, président des chasseurs de Mornas, déplore : « Nous avions installé 21 miradors, il n’en reste que 9. Les autres ont été détruits, malgré leur fixation dans des plots en béton. »
Dernièrement, des miradors ont même été partiellement sciés de manière à ce que la dégradation ne soit pas visible à l’œil nu, augmentant ainsi le risque de chutes graves. Un chasseur avait d’ailleurs été blessé il y a quelques années suite à un plancher sciemment scié.
La sécurité avant tout
Sylvain Ribe insiste sur l’importance des miradors pour la sécurité de tous. « Ces miradors permettent des tirs fichants, avec un angle de 30 degrés vers le sol, garantissant l’impact des balles dans la terre plutôt que des tirs à l’horizontale pouvant parcourir des kilomètres. La destruction de ces installations nuit tant aux chasseurs qu’aux non-chasseurs. »
Des mesures légales attendues
Face à ces actes de vandalisme, une mise en œuvre plus stricte de la loi est espérée. Le respect des infrastructures de chasse est essentiel pour garantir la sécurité de toutes les personnes utilisant ce territoire. Les actes de sabotage ne profitent à personne et mettent en risque la vie des chasseurs comme celle des autres usagers du territoire.
Pour plus d’informations sur nos actions de défense de la chasse et des chasseurs, visitez Caninstore.
Article rédigé par Actuchasse pour Caninstore.
La Création d’un Réseau de Partage de Venaison dans la Creuse

Les Chasseurs de la Creuse : Un Nouveau Canal de Partage pour la Venaison
Quand la Chasse Moderne Rencontre la Technologie
La chasse a évolué de manière significative au cours des dernières années. Alors que le petit gibier captivait autrefois l’attention de la plupart des chasseurs, c’est maintenant le grand gibier, comme les sangliers et les cervidés, qui occupe une place centrale. Avec cette montée en popularité de la chasse au grand gibier, la quantité de venaison, c’est-à-dire la viande de gibier, a considérablement augmenté. Afin de mieux gérer cette surabondance, certains chasseurs de la Creuse se tournent désormais vers Internet pour partager leur butin.
Une Nouvelle Façon de Partager la Venaison
Historiquement, les quotas de prélèvement pour le grand gibier étaient assez faibles. Cependant, avec l’augmentation des populations de sangliers et de cervidés, des quotas plus élevés sont maintenant en vigueur pour maintenir l’équilibre écologique. Résultat : les chasseurs rentrent souvent avec plus de viande qu’ils ne peuvent consommer. Traditionnellement, cette viande était partagée avec la famille, les amis, et les voisins. Mais face à des congélateurs qui débordent, cette solution n’est désormais plus suffisante.
Le Rôle des Associations et des Réseaux Sociaux
Pour répondre à cette surabondance de venaison, de nombreux chasseurs ont pris l’initiative de faire des dons à des associations comme les Restos du Cœur. Certains se servent également des réseaux sociaux pour organiser des groupes de partage. Ces efforts, bien que louables, ne suffisent pas toujours à écouler toute la viande. C’est alors que le monde de la chasse a cherché des solutions plus pérennes et structurées.
De Nouvelles Formes de Distribution
Des canaux alternatifs de distribution de la venaison ont commencé à émerger, permettant aux chasseurs de donner ou de vendre leur viande. Il est crucial pour les chasseurs de ne pas gaspiller le gibier, non seulement par respect pour l’animal mais aussi pour respecter l’éthique de la chasse. Des initiatives se sont développées pour mettre en relation chasseurs et particuliers désireux de consommer du gibier. Certaines de ces initiatives sont même parvenues à se professionnaliser, fournissant du gibier aux métiers de bouche et à la grande distribution.
Focus sur « Gibier pour Tous »
Une des solutions les plus prometteuses est la plateforme « Gibier pour Tous ». Nouvellement adoptée par la Fédération de la Creuse, cette plateforme offre une manière directe et conviviale de mettre en relation chasseurs et particuliers. Les chasseurs peuvent ainsi proposer leur venaison à des prix très abordables ou même gratuitement. Cela permet de maximiser l’utilisation de la viande et d’offrir au public l’accès à une viande de qualité à des tarifs avantageux.
Vers un Développement National
Ce type d’initiative ne cesse de se multiplier à travers la France. Avec un peu de chance, d’autres départements adopteront des solutions similaires. Non seulement cela permettrait de valoriser pleinement la venaison, mais cela offrirait également l’opportunité de renforcer les liens entre les chasseurs et le grand public, créant ainsi des ponts entre différents mondes.
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Tarn Les chasseurs invitent les non-chasseurs à découvrir la chasse et à déjeuner

Tarn : Les chasseurs invitent les non-chasseurs à découvrir la chasse et à déjeuner
Le 20 octobre 2024, la Fédération Départementale des Chasseurs du Tarn organise une nouvelle édition de son événement « Un dimanche à la chasse ». Cette journée spéciale offre aux non-chasseurs l’opportunité de découvrir la passion qui anime les chasseurs, dans un cadre convivial et éducatif.
Une matinée pour découvrir la chasse dans le Tarn
Lors du 3ème week-end d’octobre, les chasseurs du département s’ouvrent à une cohabitation harmonieuse avec les autres usagers des milieux naturels. L’objectif : chasser les idées reçues et témoigner de l’exercice sécurisé d’une chasse responsable, porteuse de valeurs et d’éthique. Les participants auront l’occasion de se joindre à une partie de chasse avec ces fervents protecteurs de la nature.
Comprendre la chasse et la biodiversité
Pour les non-chasseurs, cette initiative est une occasion unique de comprendre le fonctionnement d’une journée de chasse et d’approfondir leurs connaissances sur la faune et la flore sauvage. Ils pourront apprécier les actions des chasseurs en faveur de la biodiversité tarnaise, en étant guidés par des spécialistes et des amoureux de la nature.
Participants et inscriptions
Au total, 11 sociétés de chasse ont accepté de recevoir des non-chasseurs sur 15 communes du département. L’inscription à cette opération, réservée aux non-chasseurs, est ouverte jusqu’au 13 octobre 2024, dans la limite des places disponibles. Les réservations se font auprès de la Fédération des chasseurs ou des présidents des sociétés de chasse participantes. Un courrier ou un mail de confirmation précisera les détails logistiques du rendez-vous.
Un déjeuner convivial offert
Après la matinée de chasse, les participants sont invités à un repas offert par la société de chasse hôte. Ce déjeuner est une formidable opportunité pour déguster du gibier localement prélevé et préparé spécialement pour l’occasion, tout en continuant à échanger dans une ambiance conviviale.
Pour plus d’informations et inscriptions, rendez-vous sur : https://caninstore.com/fr/
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Une octogénaire attaquée par un vautour choque un village

Une octogénaire attaquée par un vautour : l’incident qui choque le village
A Verrière, une surprenante attaque d’oiseau
Dimanche dernier, une octogénaire a vécu une expérience qu’elle n’oubliera jamais. Elle a été attaquée dans son propre jardin par un vautour. Oui, vous avez bien lu ! Cet incident insolite a laissé la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) sous le choc.
Une promenade dans le jardin virant au cauchemar
Verrière, un pittoresque village de 350 âmes, situé au nord de Millau, est encore sous le coup de l’émotion. Selon le journal de Millau, une dame âgée de 86 ans a l’habitude de faire un tour quotidien pour nourrir ses poissons dans le bassin au fond de son jardin. Mais ce 22 septembre, une visite inattendue a chamboulé cette routine paisible.
« J’ai eu la peur de ma vie. Quelque chose m’a poussée au sol. Et j’ai vu ce vautour qui commençait à piquer mes mains et mes chevilles. Je pense que la forte pluie qui est tombée à ce moment-là m’a sauvé la vie. Il s’est abrité sous ses ailes. Moi, j’ai rampé jusqu’à un abri de jardin. Mon mari, en se réveillant, m’a trouvée là, et le vautour toujours un peu plus loin. »
Des séquelles physiques et un traumatisme émotionnel
« J’ai deux doigts qui ne fonctionnent plus, le bras recousu, une main droite et une cheville bien amochées… Je suis traumatisée. Heureusement que mon fils a fait des photos, car personne ne me croyait », raconte encore avec émotion l’attaquée.
La LPO reconnaît les faits et explique
La LPO, bien ennuyée, a confirmé l’attaque. « C’est un malheureux concours de circonstances, on compatit vraiment. Mais les vautours n’attaquent pas les gens et les animaux vivants. C’est un jeune en difficulté qui a paniqué », clarifie l’association. Ce vautour avait été récupéré par la LPO dix jours avant l’incident, à proximité d’une route départementale en Lozère, et relâché le 12 septembre. Le malheureux oiseau avait déjà été aperçu en difficulté quelques jours avant l’attaque, soulignant des conditions météorologiques défavorables ce jour-là.
Pourquoi un vautour attaquerait-il un humain ?
La LPO explique que les jeunes vautours se retrouvent parfois seuls et en difficulté. « Certains n’arrivent pas à voler correctement ou ne sont pas nourris par les adultes, soit parce que les adultes ont disparu, soit parce qu’ils ont été séparés prématurément, ou bien parce qu’ils ont pris des risques trop rapidement », détaille Renaud Nadal, chargé d’études à la LPO.
Il ajoute : « Vu l’état de la dame, elle aurait eu des coups de bec. C’est comme ça que les vautours percent le cuir de ce qu’ils consomment. »
Mesures de précaution et recherche du vautour fugueur
Le vautour est actuellement recherché activement par l’OFB, la gendarmerie et la LPO. Bien que la LPO assure qu’il ne présente pas de comportement déviant et qu’il s’agit d’un « mauvais concours de circonstances, horribles », des mesures seront prises si nécessaire. « Mais s’il faut détruire l’oiseau, on le fera sans aucun état d’âme », précisent-ils.
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Ramasser des Champignons en Bois Domaniaux Réglementation et Conseils

Ramasser des Champignons dans les Bois Domaniaux : Que Dit la Loi ?
Conditions légales et conseils pratiques
Avis aux adeptes de la cueillette des champignons dans les bois, il ne faut pas faire n’importe quoi, n’importe où. Vous pensez pouvoir ramasser des champignons dans des bois domaniaux comme bon vous semble ? Attention, il existe des règles à respecter !
En France, 75 % de la forêt appartient à des propriétaires privés, tandis que les 25 % restants sont des forêts publiques. Ces forêts publiques sont elles-mêmes divisées en forêts domaniales (appartenant à l’État) et autres forêts publiques (communes, régions, départements).
Cueillir des Champignons en Forêt Domaniale : Que Dit la Loi ?
La cueillette dans les forêts domaniales est autorisée si elle reste dans le cadre d’une consommation familiale. Les prélèvements doivent également être raisonnables et ne pas excéder 5 litres par personne et par jour, ce qui équivaut à environ 3,5 kg de champignons. Attention, une réglementation locale peut fixer d’autres seuils.
Recommandations de la Charte du Promeneur en Forêt de l’ONF
Voici quelques recommandations de l’ONF :
- Ne piétinez pas les champignons.
- Ne revendez pas votre récolte, c’est interdit !
- Respectez les espèces protégées.
Et en Forêt Publique ?
En forêt publique, les mêmes règles de consommation raisonnable et les fameux 5 litres s’appliquent. Toutefois, faites attention aux restrictions locales spécifiques.
Conseils pour Ramasser des Champignons en Toute Sécurité
Le réseau naturaliste mycologie de l’ONF recommande les précautions suivantes pour une cueillette en toute sécurité :
- Informez vos proches de votre destination. Chaque année, des secours doivent être mobilisés pour retrouver des cueilleurs égarés.
- Équipez-vous d’un panier. Les champignons sont fragiles et peuvent s’abîmer dans un sac plastique.
- Renseignez-vous sur le lieu de cueillette. Assurez-vous d’avoir l’autorisation et connaissez les quantités maximales autorisées.
- Cueillez des champignons de taille adulte et en bon état. Laissez sur place les plus petits ainsi que ceux qui sont vieux ou abîmés.
- Arrachez le champignon en entier. Contrairement aux idées reçues, ne coupez pas le pied car il contient d’importantes informations pour son identification.
- Respectez l’humus ! Ne retournez pas la terre autour des champignons.
- Séparez les espèces connues de celles que vous ne connaissez pas. Mieux vaut éviter de cueillir des champignons que vous ne reconnaissez pas.
- Laissez sur place les champignons non comestibles sans les abîmer.
- Triez votre panier à la lumière et vérifiez votre récolte.
- Évitez d’utiliser une application sur téléphone pour identifier vos champignons. Ces applications sont souvent à l’origine d’intoxications alimentaires.
Caninstore vous souhaite une bonne cueillette et vous invite à toujours respecter la nature et la réglementation en vigueur.
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Ouverture de la chasse Un Observatoire pour Signalement des Actes Malveillants

Ouverture de la chasse : Un Observatoire pour Signalement des Actes Malveillants
Il ne s’agit pas d’un phénomène récent, mais il prend de l’ampleur chaque année. Les réseaux sociaux sont les principaux vecteurs de cette vague anti-chasse, véhiculant une violence gratuite et souvent anonyme. Face à ce défi, la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) a mis en place un observatoire dans le cadre d’un plan de prévention et de lutte contre le « chasse bashing » et les violences variées subies par les chasseurs.
Signaler un Acte de Violence
Si vous êtes victime ou témoin d’actes de violence envers un chasseur, un signalement peut être déposé sur le site de la FNC. Ce service juridique permettra d’enregistrer votre signalement et de vous conseiller le cas échéant sur les démarches à suivre. Depuis septembre 2020, cette plateforme recense tous les actes malveillants commis à l’encontre des chasseurs. Il est primordial de signaler tout acte de malveillance, que vous en soyez témoin ou victime.
Répercussions Légales
Menacer ou injurier quelqu’un est réprimé par le code pénal. Ces actions peuvent entraîner des peines allant jusqu’à 3 ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende pour les menaces, et 1 an d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende pour les injures.
Démarches à Suivre en Cas de Violences
A l’avenir, si vous êtes victimes ou témoins de telles actions malveillantes, voici les étapes à suivre :
- Portez plainte en gendarmerie ou, à minima, informez les autorités.
- Signalez l’incident à la FNC en remplissant le formulaire sur la plateforme dédiée.
Pour compléter votre signalement et obtenir des conseils, la FNC met à votre disposition deux fiches d’aide selon le type de préjudice subi :
- Fiche d’aide : signalement d’une menace
- Fiche d’aide : signalement d’une dégradation
L’Importance du Signalement
N’hésitez pas à partager l’information autour de vous. Il est crucial de signaler tous ces actes à la FNC pour renforcer notre capacité collective à lutter contre cette violence. Ensemble, soyons plus forts !
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Fièvre Porcine Africaine Menace Élevages Français Proche de la Frontière

La Fièvre Porcine Africaine aux Portes de la France : Une Menace pour les Élevages
Syndicats Agricoles et Chasseurs Unis contre une Invasion de Sangliers
L’inquiétude règne en région Grand Est. La fièvre porcine africaine (FPA) se rapproche dangereusement de la frontière franco-allemande, mettant en état d’alerte les éleveurs porcins et les autorités locales. Les syndicats agricoles, en collaboration avec la Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles (FDSEA), tirent la sonnette d’alarme. Leur solution ? Éliminer tous les sangliers de la région pour empêcher la propagation de cette maladie dévastatrice.
La Fièvre Porcine Africaine : Une Catastrophe Économique Annoncée
La FPA, mortelle et incontrôlable, représente une menace directe pour les élevages porcins. Si elle pénètre notre territoire, les conséquences économiques seraient désastreuses. Rappelons ce cri du cœur des éleveurs : « Nous demandons en urgence une zone blanche de part et d’autre de la frontière franco-allemande à l’ouest du Rhin, dans laquelle tous les sangliers devront être éliminés, à l’image de ce qui avait été fait en Belgique et dans le Grand Est de la France en 2018-2019 ». Un message reçu cinq sur cinq par les autorités, conscientes des dangers encourus.
La Peste Porcine à Quelques Kilomètres de la France
Les mesures préconisées par les syndicats sont on ne peut plus justifiées. Le virus se trouve désormais à seulement 78 km de notre territoire. Quand on sait qu’un sanglier peut parcourir 20 à 30 km par jour, la propagation rapide de la maladie devient une certitude. Les éleveurs réclament une surveillance accrue conforme aux recommandations des experts : analyse systématique des animaux trouvés morts et tests sur un pourcentage significatif des sangliers chassés de part et d’autre de la frontière.
Aucune Transmission à l’Homme, Mais une Urgence pour les Élevages
Bonne nouvelle, la FPA n’est pas transmissible à l’homme. Toutefois, aucun vaccin n’existe pour les porcs, et le taux de mortalité reste proche des 100 %. Les sangliers, véritables vecteurs de la maladie, représentent la plus grosse menace. D’après Fabrice Couturier de la FDSEA, les tiques pourraient aussi jouer un rôle dans la contamination. Mais l’urgence réside surtout dans la gestion des populations de sangliers.
Les éleveurs de la région Grand Est le martèlent : si la FPA passe la frontière, elle se propagera à toute la France, touchant les régions où l’élevage porcin est encore plus important. Avec les chasseurs, ils veillent à l’équilibre agro-sylvo-cynégétique. C’est en effet à l’homme de réguler cet équilibre entre les espèces.
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