Preservation de la faune et de la flore

Préservons la faune et la flore : Un appel à la réflexion
Il est temps de réagir face à la crainte exprimée par certains chasseurs concernant le sort du cerf. Avec l’assemblage d’animaux emblématiques comme le lynx, le castor, et le renard, la question se pose : quand allons-nous enfin laisser la faune en paix ? Chaque espèce est scrutée, et les défauts de ces animaux sont constamment mis en avant. Pourtant, qui est réellement responsable des dommages et des maladies ?
On entend souvent que la prolifération d’animaux nécessite une régulation. Mais qu’en est-il de l’homme ? Ne prolifère-t-il pas lui-même à une échelle alarmante ? Dans un monde où l’on nous incite à fonder une famille, n’y a-t-il pas une certaine inconscience à voir les défis que nous traversons ? Violence, harcèlement, précarité… Nous pourrions facilement écrire un roman sur les maux qui gangrènent notre société.
À ce sujet, il n’est pas surprenant de se dire que vivre parmi les animaux, dans un monde sans ces vices, semblerait un choix plus sensé. Nos actions souvent motivées par l’égoïsme semblent rendre plus de mal que de bien. La faune mérite notre respect. Il est donc grand temps de leur laisser un espace pour vivre et prospérer.
Ne laissant aucune place à l’ambiguïté : il est urgent de préserver notre faune, de respecter leurs habitats, et d’agir dans leur intérêt plutôt que de continuer à les traiter comme des ressources à exploiter. Laissons-les vivre en paix !
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Buxy stratégie de rasage pour éloigner les sangliers

Buxy : Une stratégie efficace pour éloigner les sangliers
Rasage de ronciers, la nouvelle méthode
Le 24 février dernier, en réponse à la préoccupation de plusieurs riverains, une battue d’effarouchement a été organisée par les chasseurs de Buxy. L’objectif ? Rendre les lieux moins attractifs pour nos amis les sangliers. Le site des Raveaux a vu ses ronciers soigneusement rasés, laissant ainsi ces ruminants sans abri. Finis les cachettes confortables pour les sangliers, qui devront dorénavant chercher un autre endroit pour se cacher.
Une coopération entre chasseurs et riverains
Cette initiative témoigne d’un effort collaboratif entre les chasseurs et les habitants de la région. En effet, les sangliers peuvent causer des désagréments, que ce soit par leurs incursions dans les jardins ou par les dégâts qu’ils occasionnent dans les cultures. En rendant le secteur moins accueillant pour ces animaux, les chasseurs espèrent réduire les conflits entre l’homme et la faune. Les riverains, quant à eux, peuvent enfin respirer un peu plus sereinement dans leur quotidien sans craindre une visite inattendue de ces gros gourmands.
Des résultats à long terme ?
Il sera intéressant de constater si cette méthode se révélera efficace sur le long terme. Les sangliers sont connus pour leur intelligence et leur capacité d’adaptation. Ainsi, même si les ronciers ont disparu, ils pourraient bien trouver d’autres moyens de se faufiler dans les parages. Les chasseurs de Buxy resteront vigilants et peut-être devront-ils envisager d’autres solutions pour compléter cette première étape.
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Nouveau dynamisme de la chasse en France par l’engagement des jeunes et des femmes

Un nouveau souffle pour la chasse en France : l’engagement des jeunes et des femmes
Dans les vastes forêts normandes, le son des cors résonne alors que les chasseurs, après avoir abattu quelques bêtes, rendent hommage à la faune. “C’est notre manière d’honorer les animaux,” explique un chasseur. Cette tradition, qui remonte à 1789, témoigne d’une pratique longtemps réservée à l’élite mais qui est aujourd’hui accessible à toutes les classes sociales.
La chasse demeure un élément vital de l’identité rurale française. Comme le souligne un joueur de la « chasse à la française », les membres d’une troupe se rassemblent à la manière des célèbres Gaulois traquant un sanglier. Promenant ses souvenirs, un chasseur évoque également ses expériences à l’étranger, révélant des différences culturelles marquées, notamment avec le modèle britannique où la chasse est souvent liée à des dynamiques de classe.
Une montée en puissance
Il existe un paradoxe au cœur de cette tradition : alors que la chasse est confrontée à une hostilité croissante de certains segments de la population, elle connaît aussi un regain d’intérêt, favorisé par une nouvelle génération de chasseurs. Pendant les confinements liés à la pandémie, la pratique a attiré non seulement des jeunes mais aussi un public féminin de plus en plus engagé.
Les défis contemporains
Cette évolution n’est pas sans tensions. Les responsables de la Fédération nationale des chasseurs font état d’un scepticisme croissant dans les cités, souvent lié à l’ignorance des pratiques cynégétiques. “Les gens sont souvent déconnectés de la nature et ont des opinions bien tranchées,” observe un professionnel du secteur. Il est donc crucial de sensibiliser et d’éduquer les nouvelles générations sur la réalité de la chasse et ses enjeux.
La chasse, loin d’être un vestige du passé, se transforme et s’adapte aux défis de la société moderne. Les jeunes et les femmes portent cette tradition avec un nouveau regard. Dans cette évolution, la question demeure : comment concilier respect des traditions et réalités sociétales changeantes ?
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Affaire Rillette et recherche d’un foyer pour un marcassin

L’Affaire du Sanglier Rillette et la Quête d’un Foyer pour un Marcassin
Une Association à la Recherche d’un Nouveau Foyer
L’affaire du sanglier Rillette, qui a captivé l’attention du public depuis fin 2024, suscite maintenant des dynamiques inattendues dans le Gard. Alors qu’une jeune femme avait réussi à obtenir l’autorisation de garder la laie qu’elle avait recueillie, une association de protection animale se retrouve aujourd’hui dans une situation délicate. En effet, cette dernière est en quête d’un foyer pour un marcassin trouvé sur le bord d’une route à Nîmes.
Un Marcassin Isolé
Ce petit suidé, qui a été pris en charge par des bénévoles, bénéficiait initialement d’un soutien adéquat, mais la situation a rapidement tourné. Initialement, un particulier détenteur d’un certificat de capacité devait accueillir le marcassin, mais ce dernier s’est désisté, laissant l’association sans solution. Les bénévoles se retrouvent donc à la croisée des chemins, se posant la question : que faire maintenant ?
Les Règles au Fils du Temps
Autrefois, la loi était plutôt claire sur le transport et la garde des sangliers, punissant sévèrement toute opération non autorisée. Malgré cela, l’épisode de Rillette semble avoir ouvert la porte à de nouvelles possibilités pour des particuliers désireux de s’occuper de tels animaux. Il est légitime de se demander si cette brèche ne pourrait pas entraîner une série d’initiatives similaires, potentiellement désordonnées.
Quelles Alternatives pour le Marcassin ?
L’association cherche donc une solution légale pour offrir un foyer au marcassin, privilégiant des options telles que les parcs, refuges ou établissements spécialisés. Toutefois, une certaine inquiétude demeure quant aux méthodes de gestion de ces situations à l’avenir. La question essentielle qui se pose est : comment les autorités et la société civile vont-elles encadrer cette évolution ? Espérons que la sagesse primera, évitant ainsi que ce modèle ne se propage tel un feu de forêt.
Au fil du temps, la saga du sanglier Rillette continuera sans doute de faire parler d’elle, et les responsables prendront probablement des décisions cruciales qui définiront les règles du jeu pour les animaux sauvages en détresse.
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Compétition de chasse en meute sur sanglier à Ciadoux

Compétition nationale de meutes sur sanglier : Deux jours de passion à Ciadoux
Un rendez-vous incontournable pour les amateurs de chasse en meute
Ce week-end, la commune de Ciadoux, entourée de quatre départements voisins, sera le théâtre d’une compétition de chasse en meute sur sanglier, rassemblant 54 meutes et 162 concurrents venus de 18 départements. Prévu les 7, 8 et 9 mars, cet événement organisé par l’association Harloup en collaboration avec les associations de chasse locales a pour ambition de créer une ambiance conviviale et passionnée.
Martine Salaneuve, l’une des organisatrices du concours, partage son enthousiasme : « C’est un rassemblement assez exceptionnel, nous allons recevoir des gens de 18 départements. Il faudra les guider pour qu’ils puissent profiter au maximum de cette expérience. » La chasse en meute sur sanglier se déroule sans armes, en suivant un règlement strict. Le vendredi matin, les meutes, accompagnées de leurs maîtres, devront marquer le passage d’un sanglier. Une fois trouvé, la meute aura deux heures pour le poursuivre.
Concernant le sanglier, une fois la chasse terminée, il est « relâché et peut regagner la forêt ». Martine précise que « nous ne pistons que des sangliers seuls, jamais des familles, car cela serait trop complexe à gérer avec les chiens. » Des juges, sollicités auprès des associations de chasse locales, évalueront les performances des meutes tandis que d’autres équipes n’hésiteront pas à parcourir plusieurs kilomètres pour rejoindre les forêts des voisins ariégeois.
Au total, 172 communes participeront à cet événement, créant ainsi un véritable élan communautaire autour de la passion de la chasse. Les amateurs de la discipline sont donc attendus à Ciadoux pour un départ donné à 10 heures du matin, sur les traces du tant convoité sanglier.
Rendez-vous donc ce week-end pour vivre ce moment fort de convivialité et d’amour de la nature !
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Chasse au phare de Gatteville et dilemme juridique

Quand la chasse au pied du phare de Gatteville passe au tribunal
Le 6 mars 1913, la frénésie de la chasse prend un tournant juridique à Gatteville. Une situation singulière s’est produite au pied du phare, et des questions se posent : la collecte d’oiseaux tombés est-elle légale ou au contraire, est-ce du braconnage ? Autant de nuances à démêler qui ont trainé des hommes devant le tribunal de Cherbourg.
Des oiseaux éblouis par la lumière
En automne et au printemps, sous les nuits noires, des milliers d’oiseaux migrateurs se laissent séduire par la lumière du phare de Gatteville, attirant l’attention et la convoitise des chasseurs amateur. Que se passe-t-il donc lorsqu’ils tombent, fatigués ou blessés, au pied de cette immense structure ? Tel un papillon attiré par la flamme, voilà un spectacle qui attire les nemrods en herbe. La tradition veut que les habitants utilisent des lanternes et des filets pour collecter les volatiles, une tendance lucrative dont les statistiques parlent d’elles-mêmes : rien qu’en décembre 1912, 544 kilogrammes d’oiseaux ont été expédiés par la gare locale.
Le dilemme juridique
Cette coutume localement enracinée n’a pas échappé à l’œil vigilant du Saint-Hubert Club de France, créé pour lutter contre le braconnage. Ils interviendront pour se poser la question : ramasser ces oiseaux est-il un acte illégal ? C’est là qu’intervient le tribunal, avec deux paysans de Gouberville et un pêcheur de Barfleur pris en flagrant délit par des inspecteurs, décidés à voir de près cette chasse nocturne.
La plaidoirie et ses enjeux
Confrontés à la barre, les prévenus reconnaissent les faits, mais plaident leur cause : aucune victime n’a été collectée cette nuit-là, aucun oiseau n’a été attiré par la lumière de la pleine lune. Le substitut du procureur insiste pour que la loi contre le braconnage soit appliquée, mais l’avocat, maître Delagarde, expose brillamment que pour qu’il y ait délit, il faut que le gibier ait été activement chassé. Son argumentation repose sur une distinction nette entre ce qui est un acte de chasse et ce qui est simplement un ramassage opportuniste.
Un jugement éclairé
Le tribunal acquitte les trois hommes, mais établit une jurisprudence importante : le ramassage d’oiseaux morts est légal, tandis que la capture d’oiseaux blessés ou fatigués est punie. Une décision qui fait la lumière sur une pratique tentaculaire au pied du phare de Gatteville.
En définitive, cette affaire nous rappelle que même dans les recoins reculés de la nature, les lois de la chasse et de la protection de la faune s’appliquent. La chasse est-elle un loisir ou un délit ? Les nuances de la législation, comme les oiseaux, peuvent parfois être difficiles à suivre.
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L’été évité par les promeneurs de la plage de Morieux à cause des algues vertes

« L’été, j’évite de venir » : Les promeneurs de la plage de Morieux face aux algues vertes
Le 5 mars dernier, la plage de Saint-Maurice à Morieux a été le théâtre de discussions vives entre promeneurs après la confirmation qu’un sanglier retrouvé mort en septembre 2024 avait été intoxiqué par les gaz émis par des algues vertes en décomposition. Un événement qui a suscité indignation et résignation au sein de la communauté locale.
Une plage au soleil, mais pas sans odeur
La plage baignée de soleil ne laisse pas présager le malheur qui s’y est abattu six mois plus tôt. S’il n’y a pas de traces visibles du drame, une forte odeur d’œuf pourri rappelle inévitablement le passé de ce lieu à la beauté trompeuse. Claude, un habitant de la rue des Plages, ne cache pas son mécontentement : « Quand il fait très chaud, l’odeur de putréfaction monte jusque chez nous. C’est insupportable ! » explique-t-il, tout en redoutant déjà la prochaine marée d’algues vertes.
Des promeneurs inquiets et résignés
Les réactions des visiteurs de la plage de Morieux ne se sont pas faites attendre. Charlélie, un joggeur régulier de la côte briochine, confie : « Je dirais que ce n’est pas très rassurant. L’été, j’évite de venir par ici ». Pour lui, le phénomène des algues vertes influence son choix d’itinéraire, évitant les plages où les engins de ramassage sont fréquemment aperçus.
Charles, un photographe passionné, partage une même inquiétude. Armé de son appareil, il observe son environnement avec prudence. Il souligne le « double discours » des autorités sur la problématique des algues vertes, arguant que leur prolifération est intimement liée aux pratiques agricoles. « C’est scandaleux qu’on puisse encore nier cela », s’indigne-t-il, renforçant son point par le contenu d’une enquête récente.
Une réalité pressante pour les locaux
Paul-Antoine et Anna, également en balade, vont dans le même sens. Pour eux, l’intoxication du sanglier est une preuve manifeste d’un problème de croissante envergure. « Ça montre aussi que le phénomène reste difficile à endiguer », ajoutent-ils, suggérant même une fermeture des plages pour protéger les baigneurs. Une réflexion qui témoigne de l’inquiétude croissante au sein de la communauté face à cette situation préoccupante.
Le débat sur la gestion des algues vertes et leur impact sur la faune et la santé humaine mérite d’être ouvert, tant les conséquences peuvent s’avérer désastreuses tant sur le plan écologique qu’en matière de sécurité publique.
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Festin de Chasse à Vincelles

Un Festin de Sanglier et Chevreuil à Vincelles
La saison de chasse prend fin en beauté à Vincelles, où chasseurs et convives se retrouvent pour un banquet mémorable. L’événement, organisé par la société communale de chasse, promettait un repas savoureux mettant à l’honneur le sanglier et le chevreuil, deux spécialités qui font les délices des amoureux de la chasse et de la bonne cuisine.
Pour les participants, il s’agissait non seulement d’un moment de convivialité, mais également d’une occasion de célébrer la fin d’une saison riche en aventures et en rencontres au fil des forêts et des champs. Les plats préparés pour l’occasion étaient un véritable hommage à ces animaux, souvent considérés comme des défis de taille pour les chasseurs, tant par leur intelligence que par leur agilité.
Le chef, aux fourneaux, a mis tout son savoir-faire pour concocter des mets alléchants. Accompagnés de vins locaux, ces plats ont ravi les papilles des convives, transformant cette soirée en un festin inoubliable. L’ambiance était chaleureuse, avec rires et histoires de chasse partagées autour des tables, illustrant à quel point la chasse est bien plus qu’une simple activité, mais un véritable mode de vie qui rassemble
En conclusion, cet événement n’était pas seulement une fête pour célébrer un aboutissement, mais aussi un moment de partage et de tradition. La société communale de chasse de Vincelles a prouvé, une fois de plus, que la passion pour la chasse peut se traduire en moments de joie et de convivialité autour d’une bonne table. Alors, quand prévoyez-vous votre prochaine sortie de chasse ?
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Controverse sur le décret de régulation de la chasse au cerf

Le projet de décret sur la chasse au cerf : une controverse à plusieurs facettes
Une saison de chasse prolongée pour réguler la population de cerfs
Le Gouvernement français a lancé un projet de décret visant à avancer la saison de la chasse aux cerfs élaphes au 1er juin. Cette initiative fait débat, car elle répond à une surpopulation de cerfs qui cause des ravages dans les zones agricoles et forestières. Selon l’Office français de la biodiversité, cette augmentation de la population de cerfs, qui a été multipliée par 11 depuis 1973, nécessite une régulation urgente. En effet, les cerfs peuvent causer de sérieux dégâts en raison de leur broutage excessif, ce qui pose un défi à la préservation des forêts françaises.
Les détails du projet de décret
Traditionnellement, la chasse au cerf s’ouvrait le 15 septembre et se terminait le 31 mars, mais le projet du gouvernement vise à étendre cette période de trois mois supplémentaires. L’intention est de contrôler cette espèce qui s’est largement répandue depuis l’instauration d’un plan de chasse obligatoire. Les actuelles dates fixées par les arrêtés préfectoraux varient d’un département à l’autre, mais la proposition pourrait uniformiser ce calendrier au niveau national.
Consultation publique et prise de décision
À partir du 19 février, le gouvernement a ouvert une consultation publique pour recueillir les avis des citoyens sur cette proposition. Plus de 9 000 personnes avaient déjà exprimé leur position à la date du 5 mars, avec des réponses pouvant être classées comme « Favorable » ou « Défavorable ». L’évaluation de cette consultation sera suivie d’un avis du Conseil d’État prévu pour le 11 mars.
La population de cerfs en forte augmentation
Fait avéré, la population de cerfs a crû de façon exponentielle, atteignant des chiffres qui posent question. En 1973, seulement 2 339 cerfs étaient concernés par la régulation, tandis qu’en 2024, le quota est porté à 12 733, sans compter les 87 802 cerfs prélevés au cours de la saison 2023/2024, soit une augmentation de 7,4 % par rapport à l’année précédente. D’évidentes mesures semblent nécessaires, tant pour l’environnement que pour les activités agricoles.
Les partisans du décret : l’urgence de la régulation
Les défenseurs de cette mesure, comme l’Office National des Forêts (ONF), soulignent que trop d’ongulés nuisent à la santé des forêts. La surpopulation de cerfs, chevreuils et sangliers menace les jeunes plants, et par conséquent, la vitalité des écosystèmes forestiers. Les dégâts causés par le broutage des bourgeons et pousses sont qualifiés d’« abroutissement », nécessitant des actions de gestion plus rigoureuses.
Les oppositions des écologistes
D’un autre côté, plusieurs organisations environnementales, telles que France Nature Environnement et la LPO, s’opposent fermement à ce projet. Elles craignent que l’ouverture anticipée de la chasse perturbe le cycle de reproduction de ces animaux. Rappelons que beaucoup de biches mettent bas leurs faons en juin, et un tir pendant cette période pourrait mener à des pertes tragiques au sein de la population animale. Ces groupes mettent aussi en avant le risque d’accidents en période estivale, alors que la nature est souvent fréquentée par des promeneurs.
En conclusion, ce projet de décret sur la chasse au cerf semble diviser l’opinion publique, entre exigences de régulation et conservation de l’espèce. La suite des événements donnera sûrement lieu à des débats passionnés, mais une chose est certaine : la relations entre les cerfs, les forêts, et les chasseurs est loin d’être simple.
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Battue de sangliers à Larmor-Plage le 9 mars 2025

Battue aux sangliers prévue ce dimanche 9 mars à Larmor-Plage
Face à une augmentation préoccupante de la population de sangliers, la municipalité de Larmor-Plage a décidé d’agir. Une battue est prévue ce dimanche 9 mars 2025, afin de gérer cette situation qui cause des dégâts sur les terres agricoles et les propriétés privées. Notons que des restrictions de circulation seront mises en place dans plusieurs zones de la ville pendant cet événement.
Une situation qui ne cesse d’empirer
Depuis plusieurs mois, l’augmentation du nombre de sangliers dans la commune a conduit à des réflexions sur la gestion de la faune locale. Les équipements agricoles et les habitations des Larmoriens souffrent de cette prolifération, incitant le maire, Patrice Valton, à solliciter l’autorisation d’organiser des battues administratives auprès de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM). Son dossier a reçu un accueil favorable.
Détails de la battue
La battue aura lieu portant sur la période de 9 h à 14 h 30 et ciblera spécifiquement les zones sensibles telles que les marais de Kerderff et le plateau du Ménez. Pendant cet intervalle, plusieurs axes routiers seront fermés pour garantir la sécurité de tous. Les routes impactées incluent :
- La RD 152, du pont d’Ar Ménez jusqu’au rond-point de Kergalan;
- La voie verte, d’Ar Menez à Maison rouge;
- Les voies perpendiculaires à la RD 152 et celles menant aux villages du Moustoir et du Treuch;
- Les sentiers dans les secteurs de Quehello, de Kerguelen et du Menez.
Des événements de voisinage à prendre en compte
Il est important de noter que la circulation sera déjà compliquée à Larmor-Plage ce jour-là en raison de plusieurs événements se déroulant simultanément : une course à pied à Lorient, un vide-dressing à la salle des Algues et le traditionnel marché dominical. Les services municipaux signalent que la sécurité collective est primordiale et invitent les habitants à faire preuve de coopération.
« La sécurité de tous est une priorité, et nous comptons sur la compréhension et le respect des consignes pour minimiser les désagréments », a affirmé la mairie.
Alors, préparez-vous à adapter vos déplacements ce dimanche si vous êtes dans le secteur !
Actuchassse pour Caninstore
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