Graulhet Avenir des Chasseurs du Tarn

Graulhet : Les chasseurs du Tarn et l’avenir en perspective
Bilan positif et enjeux de la saison de chasse
Le 26 avril dernier, la Fédération des chasseurs du Tarn a tenu son assemblée générale à Graulhet, se transformant en un grand point de rencontre pour discuter des succès et défis à venir. Lors de cet événement, le président Christian Barbe a mis en lumière une saison de chasse jugée globalement réussie.
Bien que le bilan soit positif, il n’a pas omis de rappeler les quelques incidents malheureux survenus, qu’il a qualifiés « d’évitables ». Ces accidents soulèvent en effet des questions cruciales sur le respect et l’application des règles de sécurité, des éléments fondamentaux pour garantir le bon déroulement des activités de chasse.
Critiques des réglementations en matière de chasse
Dans un registre plus contestataire, Christian Barbe a également exprimé ses réserves face à certaines initiatives de l’Union Européenne. Selon lui, ces règlements, prétendument promus au nom du bien-être animal, pourraient s’avérer plus nuisibles qu’utiles, avec des mesures jugées « ubuesques » pour ceux qui détiennent des chiens de chasse.
Le chemin à parcourir s’annonce ainsi semé d’embûches pour les chasseurs du Tarn, qui devront non seulement naviguer à travers des réglementations changeantes, mais aussi renforcer leur engagement envers la sécurité et le bien-être des animaux de chasse.
La saison prochaine pourrait donc être le moment idéal pour réévaluer les pratiques en matière de sécurité tout en abordant les défis réglementaires avec pragmatisme et prévoyance.
Actuchassse pour Caninstore
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Prolifération des sangliers et défis pour l’agriculture dans le Lot

Prolifération des sangliers dans le Lot : plus de 10 000 abattus et des indemnisations agricoles conséquentes
Le vendredi 2 mai, au Foyer Valentré à Cahors, les chasseurs du Lot se réuniront pour discuter des préoccupations majeures liées à la chasse, notamment la prolifération des sangliers. Ces animaux, devenus un véritable fléau pour les agriculteurs, sont au cœur des discussions de la Fédération départementale de chasse.
Michel Bouscary, le président de la Fédération, révèle des chiffres alarmants : pour la saison 2023-2024, 10 121 chevreuils et 348 cerfs/biches/faons ont été attribués, avec des taux de prélèvement respectifs de 91,29 % pour les chevreuils et 246 pour les autres. Mais la situation des sangliers est encore plus préoccupante, avec 10 032 animaux abattus cette année, un chiffre en forte hausse par rapport aux 6 041 de l’année précédente et 4 954 l’année d’avant.
Un défi constant pour les agriculteurs
Les sangliers peuvent être chassés toute l’année, ce qui est une bonne nouvelle pour les chasseurs, mais aussi pour les agriculteurs qui subissent d’importants dégâts sur leurs cultures, notamment de maïs. En effet, les chasseurs sont responsables d’indemniser les agriculteurs pour ces pertes, ce qui a coûté 688 000 euros en 2023-2024, bien que ce montant soit en baisse comparé aux plus de 800 000 euros de l’année précédente.
Bouscary insiste : « Pour éviter de payer, il faut prélever au maximum de sangliers. » La gestion de cette espèce est un véritable défi, car il faut une période d’au moins trois ans pour espérer voir une population acceptable. En continuant sur cette voie, les chasseurs estiment qu’ils pourraient revenir à une situation où la population de sangliers est viable tout en n’occasionnant plus de dégâts conséquents sur les cultures.
Des techniques innovantes pour la gestion des sangliers
Pour compléter les actions de chasse, plusieurs techniques de piégeage sont désormais mises en place. La préfète a récemment pris des mesures en établissant trois arrêtés pour le piégeage, ce qui a conduit à l’installation de cages dans le département. Par ailleurs, les louvetiers, qui sont des chasseurs mandatés par la DDT, peuvent intervenir sur des exploitations ciblées, représentant un total de 150 prélèvements.
Les périodes de chasse sont précises : les sangliers peuvent être chassés à l’approche et à l’affût depuis le 1er juin, avec des battues organisées près des champs de maïs dès le 1er août, à condition que ces actions soient terminées avant 9 heures pour ne pas perturber la saison touristique. La saison de chasse est active du 15 août au 31 mars, avec quatre battues hebdomadaires, et des chasses particulières se déroulent ensuite jusqu’à fin mai.
Impact sur la faune locale
Mais les sangliers ne sont pas les seuls concernés. Les petits gibiers, comme les lièvres, semblent malléables. Les oiseaux tels que les perdreaux et faisans sont plus vulnérables, surtout lorsqu’il manque des cultures pour les attirer. D’un autre côté, une belle migration de bécasses s’annonce, apportant un peu d’espoir dans cette mer de préoccupations.
Gestion des déchets de venaison
Dans le Lot, afin de respecter l’environnement, tous les déchets de viscères et de venaison sont correctement collectés par une centrale d’équarrissage, évitant ainsi de laisser ces débris dans la nature. Michel Bouscary souligne l’importance de cette démarche éthique en affirmant que l’enfouissement, bien qu’autorisé, n’est pas une option que les chasseurs souhaitent envisager. Trente-neuf points de collecte ont été mis en place, et 197 tonnes de déchets ont été ramassées en 2024, pour un coût total de 55 000 euros par an.
En somme, la chasse dans le Lot ne se limite pas à abattre des sangliers, mais implique une gestion réfléchie et proactive de la faune et des relations avec les agriculteurs locaux. Une dynamique que les chasseurs espèrent continuer à améliorer dans les années à venir.
Actuchassse pour Caninstore
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Sangliers en promenade nocturne à Nice

Des sangliers en promenade nocturne dans le lit du Paillon à Nice
Le 29 avril en soirée, les habitants de Nice ont eu une surprise inattendue : une famille de sangliers s’est promenée tranquillement dans le lit du Paillon. Si la scène peut sembler insolite, elle n’est pourtant pas unique. La présence de ces suidés semble se banaliser, devenant un véritable spectacle pour les riverains.
Des rencontres de plus en plus fréquentes
Ce n’est pas la première fois que des sangliers sont repérés dans cette zone urbaine. Un promeneur, se trouvant près des anciens abattoirs, a croisé sans difficulté cette harde de sangliers, à peine perturbée par les véhicules et l’animation de la ville. Les riverains sont partagés entre l’émerveillement et l’inquiétude, car voir des sangliers en pleine ville, c’est un peu comme trouver un pingouin sur la plage pendant l’été.
Un phénomène habituel
Selon une porte-parole de la préfecture des Alpes-Maritimes, ces apparitions ne sont pas surprenantes. « Apercevoir un sanglier en plein cœur de Nice ou dans le Paillon n’est pas rare, » a-t-elle signalé. L’été dernier, les témoignages d’autres Niçois confirmaient également cette tendance. Certains affirment même que ces visites avaient même lieu tous les jours dans leurs jardins. Les sangliers, friands de résidus alimentaires et attirés par des espaces verts, franchissent régulièrement les frontières entre la nature et l’urbain.
Une question de sécurité
Néanmoins, il est essentiel pour les autorités de réguler leur présence dans des zones densément peuplées. En effet, lorsque ces animaux deviennent menaçants, des battues administratives peuvent être organisées pour assurer la sécurité des habitants. Il est important de noter que toute personne constatant des dommages causés par ces animaux est invitée à le signaler par mail aux autorités compétentes.
Conclusion
La présence des sangliers à Nice soulève des questions sur le partage de l’espace entre la faune sauvage et les zones urbaines. C’est un phénomène qui, bien que surprenant, devient de plus en plus partie intégrante du quotidien des Niçois. À l’avenir, il serait prudent de rester vigilant et informé sur ces rencontres aussi fascinantes que préoccupantes.
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Catastrophe écologique du lapin en Australie

La catastrophe écologique causée par l’introduction du lapin en Australie
En 1859, un colon anglais a fait un choix qui allait transformer l’écosystème australien à jamais. Thomas Austin, en quête d’un peu de chasse sur son domaine, a introduit une vingtaine de lapins en pensant offrir un petit coin de nature qui lui rappellerait son Angleterre natale. Qu’ils soient beaux en version sautillante ou croquants en version civet, le choix d’Austin s’est révélé être un véritable cadeau empoisonné pour l’Australie.
Un cadeau qui a mal tourné
Austin, pensant faire peu de mal, lâche ses lapins dans sa propriété de Barwon Park, dans l’État du Victoria. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les lapins se reproduisent à un rythme effréné, transformant cette intro à la chasse en une invasion massive. Ce qui était censé n’être qu’un petit plaisir pour un chasseur se transforme en une véritable armée de léporidés déferlant sur les champs australiens.
Des chiffres qui font froid dans le dos
En quelques années, Austin se vante d’avoir abattu pas moins de vingt mille lapins. Pour lui, c’est un succès, tout comme les chasses qu’il organise pour des membres de la royauté anglaise, y compris le prince Alfred. Mais quand on prend du recul, il est difficile de ne pas voir que cette fête de la chasse a causé une empreinte écologique désastreuse qui hante encore le pays.
Conséquences écologiques et réflexion
Les lapins, en multipliant leur nombre de manière exponentielle, ont non seulement ravagé les cultures, mais ont également mis en péril de nombreuses espèces indigènes qui n’étaient pas préparées à ce nouvel arrivant. L’Australie, qui avait déjà ses propres défis environnementaux, se retrouve avec une préoccupation supplémentaire qu’elle peine à gérer. Alors, chers lecteurs, que peut-on apprendre de cette leçon ? Peut-être que parfois, il vaut mieux se contenter de chasser des souvenirs plutôt que d’importer des animaux !
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Duel entre marcassins dans la nature

Les Lits de la Loi du Plus Fort : Duel entre Marcassins
Dans le monde sauvage, la survie est souvent une question de force. C’est une leçon que les jeunes animaux apprennent dès leur plus tendre enfance. Deux marcassins, en pleine « dispute », s’affrontent dans un échange à la fois drôle et impressionnant, symbole des luttes futures qui les attendent à l’âge adulte. Bien que ce petit duel puisse prêter à sourire, il est évident que ces deux futurs poids lourds de la forêt préparent le terrain pour des confrontations bien plus sérieuses, une fois qu’ils auront atteint leurs cent kilos.
Ce ballet entre camarades, souvent perçu comme un jeu, est en réalité un entraînement crucial. Chaque coup donné, chaque pas mesuré, les prépare à naviguer dans un monde où la loi du plus fort règne et où seules les meilleures techniques de combat assureront leur survie.
Rappelons-nous que même ces moments de légèreté dans la nature ont un but sérieux. Les repas, la reproduction et même la vie elle-même peuvent dépendre de ces interactions initiales. Ces marcassins, à travers leur jeu, s’initient à la compétition qui les attend, illustrant ainsi la beauté et la brutalité de la vie sauvage.
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Chevreuil ivre fait une escapade dans une école du Jura

Un chevreuil en état d’ébriété s’introduit dans une école du Jura
Les comportements insolites du chevreuil éméché
Chaque année, à l’arrivée des beaux jours, les chevreuils de France se lancent dans une véritable course aux bourgeons. Malheureusement, cette gloutonnerie peut parfois avoir des conséquences inattendues, comme en témoigne un incident pour le moins cocasse survenu dans le Jura. Un brocard s’est retrouvé coincé dans la cour de l’école Rockefeller à Dole, le 22 avril dernier, visiblement victime d’une trop grande consommation de verdure.
Ce mardi matin, très tôt, l’animal a fait irruption dans l’enceinte de l’école, juste avant l’arrivée des élèves. C’est le personnel périscolaire qui a découvert ce visiteur inhabituel. Constatant que le chevreuil semblait dans un état peu ordinaire – en d’autres termes, un peu trop joyeux pour un animal sauvage – ils ont rapidement alerté le commissariat de police, dès 6h30 du matin, pour obtenir de l’aide afin d’évacuer le chevreuil en douceur.
Intervention d’urgence des autorités compétentes
La situation était pour le moins délicate : entre le chevreuil rampant le long des murs et les inquiétudes croissantes des observateurs, les forces de l’ordre n’avaient pas d’éthylotests à leur disposition pour tester l’alcoolémie de ce faon. En effet, il n’est pas courant que la police se lance dans un contrôle d’ivresse sur un animal, aussi mal en point soit-il. Finalement, le lieutenant de louveterie a été appelé à la rescousse. Arrivé sur les lieux, il a confirmé que le brocard était bel et bien ivre en raison d’une consommation excessive de bourgeons.
Paniqué par le bruit et l’agitation causés par cette intervention, le chevreuil a effectué des allers-retours nerveux, laissant même craindre qu’il ne se jette à travers une porte vitrée pour s’introduire à l’intérieur des salles de classe. Mais heureusement, grâce aux compétences du lieutenant, le brocard a pu être immobilisé sans encombre.
Un retour à la nature bien mérité
Le brocard a été chargé avec soin dans le véhicule du lieutenant, qui l’a ensuite relâché sain et sauf dans la forêt de Chaux. Cet échange un peu particulier entre le monde animal et humain s’est donc terminé sans incident, évitant de justesse une journée de dégrisement pour notre ami à quatre pattes !
Il est toujours fascinant de constater que même dans des situations délicates, la nature trouve parfois le moyen de nous faire sourire. Qui aurait cru qu’un chevreuil irait faire un tour dans une école pour une petite frénésie végétale ? Et qui sait, peut-être qu’en regardant par la fenêtre, quelques écoliers auraient pu apercevoir un chevreuil finlandais revenant d’une fête un peu trop arrosée !
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Chasse au sanglier en Corse nécessité écologique et tradition culturelle

Chasse au sanglier en Corse : entre tradition ancestrale et nécessité écologique
La chasse au sanglier en Corse transcende le simple acte cynégétique, s’affirmant comme un élément essentiel de l’identité culturelle insulaire tout en répondant à des enjeux écologiques et agricoles pressants. Entre un héritage séculaire et un besoin contemporain, ce rituel soulève des interrogations quant à son rôle dans l’équilibre naturel et social de l’île.
Un héritage culturel profondément enraciné
La chasse au sanglier en Corse est une tradition vibrante, transmise à travers les âges. Réalisée principalement en battue, elle mobilise des groupes de chasseurs accompagnés de chiens, comme le cursinu, fier représentant de la faune canine locale. Ces battues, organisées dans les maquis et montagnes, se révèlent être des instants de convivialité et des démonstrations d’un savoir-faire traditionnel.
Le sanglier occupe une place prépondérante dans la culture corse, apparaissant dans de nombreux récits, chansons et spécialités culinaires. Ainsi, sa chasse échappe à la simple dimension récréative, servant de véritable rite social qui renforce les liens communautaires et maintient une identité insulaire forte. En effet, environ 18 000 chasseurs réguliers, soit 5 % de la population de l’île, témoignent de cette passion, un chiffre largement au-dessus de la moyenne nationale française. La Fédération Départementale des Chasseurs de Haute-Corse émet chaque année près de 8 000 permis, attestant de l’engagement des insulaires envers cette activité.
Une réponse aux défis écologiques et agricoles
En parallèle de cet ancrage culturel, la chasse au sanglier répond à des impératifs écologiques et agricolescruciaux. La population de sangliers explosée ces dernières années cause des ravages sur les cultures, pâturages et infrastructures. Les agriculteurs et éleveurs font face à des pertes conséquentes dues à l’intrusion de ces animaux dans leurs exploitations.
Pour contrer ce problème, les autorités ont ajusté la réglementation afin de gérer plus efficacement la population porcine. En Haute-Corse, la période de chasse a été prolongée jusqu’à fin février pour atténuer les dégâts. Dans des zones particulièrement affectées, comme la Balagne, cette période s’étire jusqu’au 31 mars, concernent des communes telles que Calvi, Calenzana, et Lumio, où les sangliers causent des dommages importants aux cultures comme les vignes. Dans cette dynamique, la chasse devient un instrument de régulation indispensable pour maintenir un équilibre entre le règne animal et les aspirations humaines.
Entre tradition et modernité : un équilibre à préserver
La chasse au sanglier en Corse illustre ainsi le défi de concilier traditions et exigences modernes. Bien qu’elle demeure un pilier de l’identité insulaire, elle doit s’adapter aux enjeux contemporains liés à la biodiversité, l’agriculture, et la sécurité. Cette pratique, encadrée et réfléchie, offre un moyen de préservation des équilibres naturels tout en honorant un patrimoine vivant et dynamique.
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Sanglier exécute un salto spectaculaire après un tir dans le Gers

Un sanglier de 80 kilos en pleine acrobatie au moment du tir dans le Gers
Lors d’une battue au sanglier sur la commune des Termes-d’Armagnac dans le Gers, un chasseur a récemment réalisé un tir exceptionnel qui n’a pas manqué d’impressionner les passionnés de chasse. Le protagoniste de cette extravagante scène? Un sanglier majestueux pesant environ 80 kilos, qui, sous l’effet de l’impact de la balle, exécute un spectaculaire double salto avant.
Une scène à couper le souffle
Dans une courte vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux, nous assistons à une démonstration de précision et de maîtrise. Le sanglier, perçu comme une proie, déboule avec entrain dans la ligne de tir du chasseur, qui semble avoir réussi à choisir l’angle idéal pour un tir net et efficace. La carabine semi-automatique utilisée, chambrée en 7 mm Remington Magnum, montre que le tireur possède des compétences bien aiguisées.
Un spectacle des plus insolites
Suite au tir, le sanglier ne se contente pas de s’effondrer, mais réalise un double salto avant, un moment qui pourrait presque rivaliser avec les performances des athlètes des Jeux Olympiques, si ce n’était pas un animal en détresse ! Ce type d’évènement, bien que rare, rappelle que la chasse est souvent pleine de surprises, et pas seulement les plus sérieuses.
Pour en voir plus
Si vous souhaitez visionner cette vidéo impressionnante et constater par vous-même l’exploit du sanglier, n’hésitez pas à cliquer sur le lien suivant : Spectacle d’acrobaties de sangliers.
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Mortagne-sur-Gironde 62 sangliers chassés par l ASCGE

Mortagne-sur-Gironde : 62 sangliers prélevés par l’ASCGE
L’Association saintongeaise de chasse au gibier d’eau (ASCGE) a récemment tenu son assemblée générale à Saint-Fort-sur-Gironde, où elle a rendu compte de ses activités et de sa gestion financière pour l’année 2024. Cet événement a rassemblé 422 adhérents prêts à défendre leurs territoires de chasse, couvrant une vaste zone entre la forêt de Suzac et le pôle nature de Vitrezay.
Un bilan satisfaisant pour la régulation des sangliers
Au cours de cette saison, l’association a organisé 14 battues et a réussi à prélever 62 sangliers, dont 26 mâles et 36 femelles. Cette régulation est particulièrement importante, étant donné que la population de sangliers avait fortement augmenté pendant la crise sanitaire et les restrictions qui en ont découlé.
Des finances en bonne santé
Mickaël Couzinet, président de l’ASCGE, a également présenté un rapport financier positif, avec des recettes atteignant 63 722,50 € contre des dépenses de 58 510,54 €, permettant de dégager un solde de 5 212,96 €. Ces chiffres reflètent la santé financière de l’association, importante pour continuer à mener à bien ses missions de gestion et de conservation.
L’importance du suivi des prélèvements
Lors de son discours, Couzinet a souligné la nécessité de retourner les carnets de tonne pour un meilleur suivi des oiseaux migrateurs, ainsi que de faire remonter les ailes lues. Ces informations, cruciales pour déterminer le profil demographique des oiseaux prélevés, contribuent à la gestion adaptative des populations de gibier d’eau.
Un partenariat durable avec le Conservatoire du littoral
Enfin, l’assemblée a été l’occasion d’évoquer la reconduction du bail d’occupation avec le Conservatoire du littoral, qui sera signé en 2026. Ce partenariat assure la pérennité des activités de l’ASCGE sur ses zones de chasse, tout en contribuant à la préservation de l’environnement.
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Un chevreuil ivre à cause des bourgeons

Un chevreuil en état d’ébriété dans un pré
Un incident insolite autour de la consommation excessive de bourgeons
Les chevreuils, ces petits cervidés souvent observés dans nos campagnes, semblent prendre un peu trop de liberté avec leur régime alimentaire, surtout en cette saison où les bourgeons sont abondants. Récemment, un homme a filmé un brocard dans un pré, étalant ainsi un comportement pour le moins surprenant. Alors qu’il s’approchait, il remarqua que l’animal était immobile, ce qui l’a poussé à vérifier si celui-ci était blessé.
À sa grande surprise, le chevreuil n’était pas blessé, mais visiblement en proie à l’ivresse causée par une consommation excessive de bourgeons. Ce phénomène, bien que comique, soulève des questions sur la modération alimentaire au sein de la faune. Qui aurait cru que les chevreuils pouvaient piquer une petite « cuite » à base de bourgeons ?
Il est important de rappeler que ces comportements peuvent avoir des conséquences sur la santé et le bien-être des animaux, tout en soulignant la nécessité pour les observateurs de respecter une distance appropriée pour éviter de perturber la faune. Si vous croisez un chevreuil dans une situation similaire, pensez à garder vos distances et à ne pas déranger l’animal dans sa torpeur bourgeonneuse.
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