Diminution des sangliers dans le Var liée à l’augmentation des loups

La diminution de la population de sangliers dans le Var : un effet du loup ?
Cette saison de chasse s’annonce comme un tournant pour les chasseurs du Var, avec une chute significative de la population de sangliers. Lors de l’assemblée générale de la Diane Maximoise, qui s’est tenue récemment, le président Didier Abbe a partagé un bilan préoccupant. Avec seulement 45 prélèvements de sangliers comparé aux 150 de l’année précédente, il semble que la forte présence des loups dans la région n’est pas étrangère à cette situation.
Une assemblée générale révélatrice
Réunissant des membres passionnés, cette assemblée a permis de faire le point sur l’état des lieux. Composée de 85 adhérents, la Diane Maximoise traduit une stabilité dans ses effectifs, mais les chiffres parlent d’eux-mêmes. Outre les sangliers, Didier Abbe a également mentionné des lâchers de volatiles, avec 170 faisans et 60 perdreaux relâchés cette saison, et un prochain lâcher prévu pour mars prochain, visant le repeuplement.
Impact des loups sur la faune local
Les loups, qui comptent actuellement 25 meutes dans le Var, représentant environ 250 individus, jouent un rôle déterminant dans la diminution de la population de sangliers. « De nombreux sangliers ont été victimes de leurs attaques », informe le président, ce qui constitue une bonne nouvelle pour les agriculteurs, car cela réduit les dégâts causés par ces animaux. Cependant, cette dynamique a aussi un impact sur les pratiques de chasse.
Le chevreuil, un acteur en pleine forme
À l’opposé des sangliers, la population de chevreuils est en pleine croissance. Les chasseurs en ont abattu 15, et leur nourriture semble tout à fait adaptée à leur survie. « Le chevreuil est bien plus difficile à chasser », précise Didier Abbe, ce qui ajoute un peu de défi et d’excitation à la saison pour les chasseurs.
Prévention et sécurité
La sécurité des miradors demeure une préoccupation majeure, plusieurs d’entre eux ayant été vandalisés. Pour y remédier, l’achat de trois nouveaux miradors en fer est envisagé, offrant une résistance accrue. « C’est vraiment regrettable que de tels actes se produisent », souligne Abbe.
Enfin, pour les amateurs de chasse, la saison s’ouvre officiellement le 14 septembre. En attendant, gardez l’œil ouvert et bonne chance à tous les chasseurs pour cette nouvelle saison !
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Hagetmau saison record chasse sangliers

Hagetmau : Une saison exceptionnelle pour la chasse aux sangliers
Le 29 juin dernier, une assemblée générale mémorable s’est tenue dans les locaux de l’ancienne gare de Hagetmau. Environ cinquante chasseurs, membres d’une association communale forte de 97 adhérents, ont répondu présents pour discuter des exploits et des défis de la saison de chasse écoulée.
Chiffres impressionnants et nouvelle direction
Le président de l’association, Michel Cabiro, a ouvert la réunion en célébrant une année record avec pas moins de 26 sangliers abattus lors de trois battues. Pour ne pas faire de jaloux, un cerf a également été abattu sur le domaine, ajoutant un beau morceau à cette saison déjà bien fournie. Les battues habituelles se sont poursuivies, incluant les sangliers, les chevreuils et même les renards, aux côtés des lieutenants de louveterie.
Tout en remerciant les membres sortants du conseil d’administration, le président a noté la nécessité d’un engagement accru des chasseurs locaux. Pour améliorer leurs compétences, il a encouragé leur participation aux formations proposées par la Fédération départementale des chasseurs.
Transformation du gibier et bénéfices
Les produits dérivés du gibier abattu sont transformés par une entreprise spécialisée disposant de tous les agréments réglementaires. Cette initiative permet non seulement de réguler les populations animales, mais aussi de générer des revenus pour l’ACCA grâce à la vente de viande, pâtés, saucisses et saucissons. Parfait pour les amateurs de bonne nourriture !
Soutien municipal et nouveaux projets
Lors de la réunion, la maire Pascale Requenna a tenu à féliciter les chasseurs pour leur rôle dans la régulation des espèces, en particulier les sangliers. Elle a aussi évoqué une motion adoptée par le Conseil municipal en faveur de la chasse traditionnelle à la palombe, soutenant ainsi une demande de réexamen par la Commission européenne sur les pratiques en matière de chasse.
Enfin, les chasseurs pourront bientôt profiter d’un nouvel espace : la Maison de l’environnement, incluant un local et une salle d’éviscération, dont les travaux avancent à bon rythme.
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Innovations et Équipements Indispensables pour Chasseurs

Les Dernières Innovations et Équipements à Ne Pas Manquer pour les Chasseurs
Un aperçu sur la présentation des nouveaux produits de chasse
Plongée dans le monde fascinant de la chasse, nous vous décryptons les dernières tendances et innovations du secteur. Que serait un chasseur sans son équipement adéquat ? La chasse s’accompagne d’un besoin constant d’innovation, et les dernières vidéos que nous avons partagées sur nos réseaux sociaux mettent en lumière des nouveautés que chaque chasseur devrait considérer.
ATN : La lunette infrarouge à un prix abordable
Démarrons avec la dernière lunette infrarouge signée ATN, qui a su séduire par ses performances exceptionnelles et son prix attractif. Cet équipement est désormais disponible dans un réseau grandissant d’armureries en France. Pour les amateurs de fusils de sport, le modèle ATA Pro 12 mérite une mention spéciale. Avec des fonctionnalités haut de gamme et un tarif de 1 499 €, cette arme a toutes les chances de se hisser parmi les meilleures de sa catégorie.
Remington Synergie World : Vêtements modernes et accessibles
La marque Remington Synergie World a également fait son apparition avec des vêtements de chasse au style moderne et tendance. Ce qui est appréciable, c’est leur côté pratique et abordable, avec des ensembles allant de 150 € à 300 €. Ces vêtements allient confort et esthétisme, tout en étant parfaitement adaptés aux activités en extérieur.
FAIR : Un classique du tir sportif
Impossible de parler de la chasse sans évoquer FAIR, dont les fusils en cuir italien ont fait leurs preuves depuis plus de 30 ans. Bien connus des chasseurs, ces fusils présentent un rapport qualité/prix très intéressant. Un exemple à suivre dans l’univers du tir sportif est le modèle Carrera IV, qui n’a rien à envier aux autres concurrents.
Walker’s Razor XTRM Digital : Le casque de protection auditive de référence
Terminons avec une sensation du moment : le casque électronique Walker’s Razor XTRM Digital. Offrant une réduction de bruit de qualité supérieure et un confort inégalé, ce casque est conçu spécifiquement pour la chasse et le tir. Distribué en France par la dynamique TPE Alvis Audio, il inclut enfin une fonction d’extinction automatique qui en fait un outil indispensable pour tout chasseur qui se respecte.
Pour rester informé des dernières avancées et ne pas manquer nos prochaines vidéos, n’hésitez pas à suivre nos publications sur Facebook, Instagram, TikTok et YouTube. Chaque équipement a son importance, et être bien équipé, c’est aussi s’assurer d’une meilleure expérience en pleine nature.
Pour plus d’informations sur les nouveautés et produits de chasse, rendez-vous sur Caninstore.
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Repas Traditionnel Sanglier à la Broche

Repas Traditionnel : Sanglier à la Broche à Capdenac-Gare
Un Festin au Foyer Rural de Livinhac-le-Bas
Le dimanche 6 juillet, le foyer rural de Livinhac-le-Bas s’apprête à accueillir un événement alliant gastronomie et convivialité, organisé par les sociétés de chasse de Livinhac-le-Bas et de Gelles. Au menu, une soirée prometteuse pour les papilles avec un sanglier à la broche, un plat qui ne manquera pas d’attirer les amateurs de bonne cuisine.
Un Menu Savoureux
Les convives auront le plaisir de déguster une entrée fraîche avec un melon accompagné de chiffonnade de jambon de pays, suivi du plat principal mettant à l’honneur le sanglier à la broche. Les grenailles de pommes de terre sautées et la persillade viendront compléter ce festin. En dessert, fromages locaux et tartes aux fruits ajouteront une touche sucrée à cette expérience culinaire. Qui peut résister à ces délices ?
Tarifs et Réservations
Pour ceux qui souhaitent participer à cette expérience gastronomique, le tarif est fixé à 15 euros pour les adultes, avec vin et café inclus, et 10 euros pour les enfants de moins de 10 ans. Cependant, il est crucial de réserver son repas avant le mardi 1er juillet. Pour ce faire, il suffit de contacter Benoit ou Philippe par téléphone aux numéros suivants : 06 78 23 03 26 / 05 65 64 86 44 ou 06 29 75 41 59 / 05 65 64 69 21. Ne tardez pas à vous inscrire, les places risquent de partir aussi vite que le sanglier grillé !
Faites partie de cette célébration de la chasse et de la gastronomie à Capdenac-Gare. Qui sait, vous pourriez même découvrir une nouvelle passion pour la chasse tout en savourant de bons plats entre amis.
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L’État condamné pour défaillances dans la gestion du grand gibier

L’État condamné à indemniser un exploitant pour des défaillances de plan de chasse
Des dégâts colossaux dus à une surpopulation de grand gibier
Depuis plusieurs années, les dégâts causés par le grand gibier suscitent de vives inquiétudes, tant parmi les agriculteurs que les propriétaires forestiers en France. Les sangliers et les cervidés semblent s’être donné le mot pour ravager les cultures et détruire les forêts. Dans ce contexte, les plans de chasse sont censés réguler les populations de gibier, mais ces derniers se sont souvent révélés insuffisants. Tel est le constat posé par la justice dans l’Orne, qui a jugé que l’État a failli à sa mission en ne mettant pas à jour ces plans pour atteindre un équilibre agro-sylvo-cynégétique.
Une lutte acharnée contre la nature pour les propriétaires forestiers
Les propriétaires de 650 hectares de forêt dans le secteur de Saint-Evroult-Notre-Dame-du-Bois ont été confrontés à une situation alarmante. Depuis 2012, ces parcelles étaient la cible de cervidés qui, sans aucune contrainte, ont causé des pertes s’élevant à plusieurs dizaines de milliers d’euros. Les tentatives de régénération de la forêt se heurtaient inévitablement à la voracité des cervidés, qui saccageaient toute repousse. En 2019, un expert affirmait que « la végétation basse est systématiquement et méthodiquement ravagée ».
Une action judiciaire nécessaire après des années d’inaction
Malgré plusieurs sollicitations auprès de la préfecture dans le but d’adapter le plan de chasse, ce n’est qu’en 2024 qu’un mouvement a été amorcé pour redresser la situation. Face à tant d’inaction, les propriétaires ont enfin décidé de porter l’affaire devant la justice. Le 27 juin dernier, la Cour administrative d’appel de Nantes a rendu son verdict, condamnant l’État à verser 58.000 euros, auxquels s’ajoutent 13.000 euros de frais d’expertise et 1.500 euros de frais de justice.
Un verdict qui souligne des responsabilités partagées
La décision judiciaire a déterminé que la responsabilité des dégâts était à 66% attribuée à l’État pour son incapacité à gérer adéquatement la population de grand gibier, tandis que les exploitants se voyaient attribuer 34% des responsabilités. Ces derniers avaient effectivement privilégié des pratiques de chasse à l’affût ou à l’approche, alors que des battues auraient pu contribuer à disperser plutôt qu’à concentrer le gibier.
Cette affaire souligne l’importance d’une gestion proactive et efficace des ressources naturelles et de la nécessité d’une coopération entre les différents acteurs pour préserver l’équilibre et la santé de notre environnement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes, et il est clair que la question de la régulation du grand gibier requiert une attention continue.
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Loire-Atlantique Alerte sur un animal potentiellement dangereux à Blain

Loire-Atlantique : Alerte sur un loup aperçu à Blain
Dans la commune de Blain, une photographie floue a récemment suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux, relayant des informations sur un potentiel loup aperçu le 26 juin 2025.
Un événement qui attire l’attention
Un post sur Facebook a mis en garde les habitants avec ce message : « Vu sur Blain ce jour. Faites attention et ne pas intervenir. Si vu, prenez une photo et prévenez l’OFB ou le DDTM et la mairie ». Les commentaires ont vite afflué, d’autres internautes signalant des apparitions similaires dans divers secteurs de Blain, ainsi qu’à La Chevallerais. A première vue, de quoi susciter quelques frissons dans cette paisible région !
Précisions sur la mystérieuse créature
Pourtant, l’inquiétude a rapidement trouvé un antidote. Une agricultrice de Blain a partagé la photo avec des experts de l’Office français de la biodiversité (OFB), qui ont rapidement conclut : « Ce n’est pas un loup ». Certains observateurs ont même évoqué l’hypothèse d’un chien-loup tchèque, une espèce dont l’apparence peut prêter à confusion.
Rassurance et expertise
Pour en savoir plus, notre équipe a contacté Nicolas Jean, directeur adjoint de la direction des grands prédateurs terrestres à l’OFB. Sa déclaration a confirmé ce que beaucoup espéraient : « À ce jour, aucune présence de loup n’a été signalée dans le secteur de la Loire-Atlantique ». Les habitants peuvent donc continuer leur quotidien sans la peur d’une rencontre inattendue avec un loup.
En conclusion, si l’esprit d’aventure vous pousse à explorer les mystères de la nature, n’oubliez pas de garder un œil averti sur les vérités et les rumeurs qui circulent dans nos campagnes.
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Tensions entre science et politique sur la chasse des oiseaux migrateurs

Chasse des oiseaux migrateurs : tensions entre science et décisions politiques
Depuis 2021, la Commission européenne a mandaté des experts pour évaluer la durabilité de la chasse des populations aviaires en Europe. Alors que les conclusions scientifiques attendues pour l’avril 2025 pointent trois espèces à surveiller, la France veut d’ores et déjà restreindre ou suspendre la chasse de neuf d’entre elles. Cette réaction rapide soulève des questions sur l’utilisation des données scientifiques dans un contexte politique tendu.
Des recommandations controversées sur les espèces migratrices
Au fil des quatre dernières années, des scientifiques ont analysé 33 espèces d’oiseaux migrateurs, en étudiant leurs caractéristiques démographiques et migratoires à l’aide de modélisations mathématiques. Malgré un travail rigoureux, la Commission européenne a proposé en novembre 2024 des recommandations discutables, rejetées par la plupart des États-membres après une consultation. Cependant, la réunion du 1er avril 2025 a mis en lumière un nouveau consensus : une gestion adaptative pour le fuligule milouin, la caille des blés et le canard siffleur, aucune d’entre elles ne justifiant un moratoire immédiat.
La France à contre-courant des décisions scientifiques
Sur le terrain, la France semble ignorer cet appel à la patience et s’engage dans des restrictions, en préconisant un moratoire sur le fuligule milouin et en réduisant les périodes de chasse pour plusieurs autres espèces. Cette décision, dépourvue de fondements scientifiques solides, interpelle les acteurs du milieu qui s’interrogent sur la nécessité d’une telle précipitation. D’autant plus que la coordination européenne aurait dû être privilégiée, les migrateurs étant le fruit d’un écosystème transfrontalier.
Un revirement politique en question
Le revirement du ministère de la Transition écologique, dirigé par Agnès Pannier-Runacher, est un sujet de discorde. Des espèces qui n’ont même pas été évaluées par la Commission, comme le lagopède alpin, figurent désormais sur la liste des restrictions. Les critiques affirment que les motivations derrière ces décisions sont plus politiques qu’écologiques, semblant participer à une volonté de ‘greenwashing’ au détriment d’une approche fondée sur la science.
Un appel à l’unité et à la réactivité
Le président de la Fédération nationale des chasseurs, Willy Schraen, a exprimé sa profonde consternation face à cette situation et appelle les chasseurs à rester vigilants et unis. Selon lui, les décisions du ministère reflètent une tendance inquiétante à ne pas respecter les résultats scientifiques au profit d’une agenda politique. Il exhorte donc la communauté cynégétique à s’opposer fermement à ce qu’il décrit comme une menace directe contre la passion de la chasse et les valeurs qui y sont associées.
Face à ces enjeux complexes, il est crucial pour les acteurs de la chasse de se mobiliser et d’exiger une réelle prise en compte des données scientifiques avant toute décision qui pourrait compromettre l’avenir de la pratique.
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Lahourcade Problèmes de prolifération des sangliers et solutions envisagées par les chasseurs

Lahourcade : Chasseurs en quête de solutions pour contrer la prolifération des sangliers
La prolifération des sangliers et les désagréments auprès des cultures ont fait l’objet de vifs échanges lors de l’assemblée générale de l’ACCA (Association communale de chasse agréée) de Lahourcade, qui s’est tenue le 13 juin à la Maison pour tous. Le sanglier, cet emblématique gibier qui cause tant de ravages dans les champs, monopolise les préoccupations des chasseurs, qui ne savent plus comment réguler une population en constante augmentation.
Un constat s’impose : les sangliers, sans prédateurs naturels, prospèrent et s’adaptent remarquablement aux nouvelles conditions climatiques. L’abondance de nourriture dans les cultures n’est qu’un facteur parmi d’autres expliquant cette situation. Les agricultureurs s’inquiètent, et certains propriétaires terriens ont exprimé leur exaspération face à ce phénomène. « On va nous payer pour laisser les ronces », fustige l’un d’eux, craignant que ces espaces en friche ne deviennent de véritables repères pour ces animaux. En écho à ces inquiétudes, le maire, Bernard Gobert, a rappelé les obligations légales de débroussaillement en place afin de réduire les risques d’incendie.
Pour tenter de remédier à cette prolifération, l’ACCA prévoit de demander une dérogation à la fédération des chasseurs pour avancer la date d’autorisation préfectorale de tir d’un mois, dès lors que des dégâts seraient constatés. Une mesure qui pourrait permettre une intervention plus rapide et efficace pour maîtriser cette espèce envahissante.
Les débats ont également évoqué une certaine lassitude parmi les membres, notamment de la part du trésorier Didier Clément, qui ne poursuivra pas son mandat. Il a souligné que la chasse ne peut se résumer à la question des sangliers. Au cours de cette assemblée, le président Sébastien Baudru a présenté une nouvelle liste pour le conseil d’administration, où l’on retrouve des visages nouveaux tels que Rémi Lannes et Baptiste Sarthou-Garris.
Ce sujet, d’une ampleur croissante, soulève des enjeux complexes alliant préservation des cultures, gestion des populations de gibier et satisfaction des chasseurs, tout en nécessitant un dialogue constructif entre les différentes parties prenantes.
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Accident de voiture à Manciet après une rencontre avec un sanglier

Accident de voiture après une rencontre inattendue avec un sanglier à Manciet
Dans la nuit de dimanche à lundi, un fait divers pour le moins particulier a eu lieu sur la commune de Manciet. Alors qu’ils circulaient tranquillement, trois jeunes se sont retrouvés plongés dans une situation délicate en tentant d’éviter un sanglier. Résultat : leur véhicule a effectué des tonneaux.
Les circonstances de l’accident
Il était exactement 00h35 lorsque l’accident s’est produit. La voiture, en solo sur la route, a perdu le contrôle après que le conducteur a essayé d’éviter un sanglier imprévisible. Tandis que la nuit était douce, l’intervention d’un animal sauvage a transformé un trajet normal en une véritable course d’obstacles. Le véhicule a d’abord percuté un trottoir sur le côté gauche de la chaussée, avant de se retourner et de faire plusieurs tonneaux, témoignant de la violence de l’accident.
Les victimes
Trois jeunes, dont un homme de 18 ans et deux femmes de 18 et 22 ans, ont été secourus par les services d’urgence. Bien que choqués, ils ont eu la chance de n’encaisser que des blessures légères. Les victimes ont été immédiatement transportées au centre hospitalier de Condom pour des soins appropriés.
Le saviez-vous ?
Ce genre d’accident, bien que rare, met en lumière un véritable défi pour les conducteurs dans des zones rurales où la faune peut parfois croiser la route. Face à une telle situation, la prudence et une vigilance accrue peuvent s’avérer salvatrices. Les sangliers, bien qu’innocents dans l’affaire, rappellent à tous que la nature peut être aussi imprévisible que charmante.
En conclusion, cet incident nous incite à demeurer attentif sur nos routes, surtout lors de la tombée de la nuit. Restez prudents et n’oubliez pas : la sécurité avant tout !
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Conseil d’État interdit la chasse au sanglier à poste fixe pendant les récoltes

Le Conseil d’État annule le droit de tirer le sanglier à poste fixe sur une parcelle en cours de récolte
Le Conseil d’État a récemment tranché sur plusieurs requêtes concernant un décret et un arrêté ministériel du 28 décembre 2023, qui abordent notamment la régulation des modes de destruction des animaux nuisibles. Bien que le Conseil ait rejeté plusieurs demandes de l’ASPAS, il a invalidé la possibilité de tirer les sangliers depuis un poste fixe sur des parcelles en cours de récolte.
Une victoire pour les chasseurs, mais pas sans épine
Si certaines mesures contestées ont été balayées par le Conseil d’État, les chasseurs peuvent se réjouir de plusieurs victoires. En effet, le Conseil a validé des points essentiels : le principe de prélèvement raisonnable ne doit pas être opposé aux espèces nuisibles, et la recherche d’un équilibre agro-sylvo-cynégétique est plutôt présentée comme un objectif que comme une obligation. Cela confère au Gouvernement une marge de manœuvre pour gérer la chasse au sanglier et la mise en place de dispositifs de dissuasion.
En outre, le juge a écarté les recours liés aux perturbations causées aux espèces protégées par le dérangement de leurs habitats durant les battues. Ainsi, l’extension de la période de chasse pour le sanglier ne viole pas le principe de non-régression environnemental.
Un agrainage accepté, mais sous conditions
La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) a également précisé que l’agrainage, une méthode visant à concentrer les populations de sangliers pour éviter les dégâts aux cultures, n’est pas une pratique prohibée, à condition qu’elle soit incluse dans les Schémas Départementaux de Gestion Cynégétique (SDGC). Cependant, cette approche pourrait continuer d’être contestée localement, provoquant potentiellement des tensions supplémentaires entre agriculteurs et chasseurs.
Les agriculteurs en première ligne
La principale ombre au tableau reste l’interdiction de tirer les sangliers depuis un poste fixe lors des récoltes. En France, la chasse à proximité de machines agricoles est prohibée, considérée comme une méthode de rabattage mécanique. Les chasseurs, par le passé, utilisaient cette mesure pour aider les agriculteurs à gérer les populations de sangliers dans leurs cultures. Malheureusement, malgré les efforts de la FNC, le Conseil d’État a tranché en faveur de la norme légale, créant ainsi une nouvelle source de frustration pour les agriculteurs.
Ce tournant dans la législation pourrait inévitablement attiser les tensions entre les agriculteurs et la communauté des chasseurs, tous deux touchés par cette décision. Les enjeux de la gestion des sangliers et des cultures agricoles demeurent ainsi au cœur des préoccupations, appelant à un dialogue constructif.
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