Clôture Anticipée de la Saison de Chasse au Sanglier en Corse-du-Sud

Clôture Anticipée de la Chasse au Sanglier en Corse-du-Sud

Les Chasseurs Face à la Raréfaction des Sangliers

Depuis la saison 2023-2024, la Fédération Départementale des Chasseurs de Corse-du-Sud (FDC 2A) a observé une baisse notable des rencontres et des prélèvements de sangliers dans les zones rurales. Les tableaux de chasse, autrefois bien garnis, se sont progressivement vidés, et des cas de laies abandonnant leurs portées ont été signalés. En réaction, la FDC 2A, dirigée par son président Ange-Dominique Manenti, a convaincu le préfet de clore prématurément la saison de chasse au sanglier 2024-2025 dès le 31 janvier.

Les autres espèces de gibier restent chassables jusqu’au 28 février, à l’exception des sangliers. Lors de l’assemblée générale, plusieurs propositions ont été émises, incluant la fermeture décalée de la saison, mais la date finale pour les sangliers a été fixée à fin janvier. La décision vise à préserver les populations de suidés déjà fragilisées.

La Migration des Sangliers vers les Villes

Cependant, si les sangliers sont de moins en moins présents dans le maquis, ils ne sont pas pour autant en voie de disparition. Beaucoup d’entre eux se tournent vers les agglomérations, Ajaccio étant particulièrement affectée par ces incursions de suidés à la recherche de nourriture facile d’accès. Les chasseurs locaux n’ont aucun pouvoir en zone urbaine, ce qui complique la régulation. Ange-Dominique Manenti précise que c’est à la municipalité et à la préfecture de faire intervenir des spécialistes pour le piégeage ou éventuellement pour des tirs de nuit.

Quelles Perspectives pour les Prochaines Saisons?

La clôture prématurée de la saison 2024-2025 ne signifie pas que cette mesure sera reconduite. Selon le président de la FDC 2A, tout dépendra des résultats de cette saison. « Rien ne nous empêchera de prolonger la chasse l’année prochaine, jusqu’au 28 février 2026, si les conditions le permettent », a-t-il déclaré. Cette situation met en lumière les dynamiques entre la faune sauvage et les zones habitées, et souligne l’importance d’une gestion concertée impliquant chasseurs, municipalités et experts pour maintenir un équilibre durable.

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Loups aperçus près d’un bus scolaire dans les Hautes Alpes

Loups aperçus près d'un bus scolaire dans les Hautes Alpes

Des loups émerveillent un car scolaire dans les Hautes Alpes

Dans une scène qui semble tout droit sortie d’un documentaire animalier, une meute de sept loups a été aperçue à proximité d’un bus de ramassage scolaire. Les faits se sont produits dans le hameau de Serre Barbin, sur la commune de Monêtier-les-Bains, où le chauffeur, accompagné d’une accompagnatrice et d’un enfant, a immortalisé ce moment rare.

Selon le récit du chauffeur, qui s’est confié à BFMTV, tout a commencé alors qu’il quittait le village vers 7h30. À son arrivée, il a à peine eu le temps de ralentir qu’un loup a traversé la route, rapidement suivi par un, puis deux autres. Au total, sept loups ont été comptés. « C’était incroyable ! D’habitude, je vois des chevreuils ou des sangliers, mais des loups, c’est une première pour moi », a-t-il déclaré, visiblement ébloui par cette rencontre inédite.

Dans son témoignage, il a aussi souligné que les loups semblaient tranquilles et non agressifs : « C’était un joli moment. » Cet enthousiasme, cependant, a contrasté avec certaines réactions sur les réseaux sociaux où l’inquiétude s’est fait sentir. Une mère a ainsi exprimé sa préoccupation : « Fascinant, sans doute… mais aussi, inquiétant. Que pourrait-il se passer si cette meute se retrouvait face à un enfant seul, attendant son transport scolaire ? » Une question qui laisse planer un certain suspense sur la cohabitation entre humains et loups dans cette belle région des Alpes.

La commune est habituée à la présence des loups, mais ce type d’observation étonne toujours autant les habitants comme les visiteurs. Alors que la faune sauvage attire les passionnés de nature, il est essentiel de rappeler l’importance de la vigilance, notamment dans les zones où ces animaux évoluent. Ne laissez pas votre curiosité prendre le pas sur votre sécurité !

Ne manquez pas d’explorer davantage sur ce sujet où la faune et les hommes se rencontrent. Pour des informations sur la chasse et la nature, visitez notre site : Caninstore.

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Hérisson un trésor à sauvegarder dans nos jardins

Hérisson un trésor à sauvegarder dans nos jardins

Le hérisson : un allié précieux à protéger dans nos jardins

Le hérisson commun, ce petit mammifère piquant, est bien plus qu’un habitant discret de nos jardins. Il est un acteur clé dans la lutte contre les nuisibles qui menacent nos potagers et parterres fleuris. Ses capacités à dévorer limaces, escargots et autres insectes indésirables en font un allié inestimable pour tout jardinier soucieux de préserver ses cultures de manière naturelle.

Une espèce en danger

Au cours de la COP16 sur la biodiversité en octobre 2024, l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) a classé le hérisson d’Europe comme étant « quasi menacée ». Autrefois considéré comme une espèce à « préoccupation mineure », son statut a évolué, mettant en lumière l’urgence de son déclin, qui touche plus de la moitié des pays européens. Des pays comme le Royaume-Uni, la Norvège, l’Allemagne et la Belgique témoignent d’une baisse dramatique de sa population. Divers facteurs contribuent à cette tendance alarmante :

  • L’utilisation de tondeuses à gazon et d’outils de jardinage dangereux
  • Les pesticides, qui altèrent son habitat et réduisent ses sources de nourriture
  • La destruction des haies et l’urbanisation croissante, qui limitent ses espaces de vie naturel
  • Les collisions routières, représentant 83 % des cas de mortalité en France, selon le bilan de l’Opération Hérisson de 2023.

Ces défis habitataux, associés à l’intensification de l’agriculture, rendent le hérisson particulièrement vulnérable, malgré sa protection légale en France.

Un gardien de la biodiversité

Le hérisson, nocturne et discret, joue un rôle vital dans l’écosystème de notre jardin. Outre sa lutte contre les nuisibles, il se nourrit aussi des vilains comme les vipères. Sa quête quotidienne de nourriture peut l’amener à parcourir jusqu’à 5 km en une nuit, offrant ainsi une alternative sans produits chimiques pour le jardin. Sa présence favorise un jardin sain et équilibré.

Comment protéger le hérisson

Pour préserver cet élément essentiel de nos jardins, quelques gestes pratiques peuvent faire toute la différence :

  • Créer un refuge : Laissez des zones sauvages avec des tas de feuilles ou de bûches, sans tondre ces espaces pour favoriser la végétation.
  • Érigé un abri : Fabriquez-lui un petit abri pour l’hiver et veillez à ce qu’il ait accès à un point d’eau.
  • Prudence avec les outils : Vérifiez toujours la présence de hérissons avant d’utiliser des tondeuses ou débroussailleuses.
  • Faciliter la circulation : Installez des ouvertures dans les clôtures pour permettre aux hérissons de se déplacer entre les jardins, diminuant ainsi le risque de collisions sur la route.
  • Réduire les produits chimiques : Limitez l’usage de pesticides et encouragez vos voisins à en faire de même.

Le hérisson est un trésor de biodiversité à protéger. En adoptant ces gestes simples, nous pouvons contribuer à sa sauvegarde et à la richesse de notre écosystème de jardin.

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Le casoar oiseau fascinant et dangereux

Le casoar oiseau fascinant et dangereux

Le casoar : l’oiseau aux comportements surprenants et dangereux

Le casoar, souvent surnommé l’oiseau le plus dangereux au monde, fait partie de ces espèces fascinantes mais redoutables. Mesurant jusqu’à 1,80 mètre et pesant près de 70 kg, ce géant des forêts tropicales d’Indonésie, de Nouvelle-Guinée et d’Australie est loin d’être un volatile ordinaire. En effet, il représente un véritable danger pour l’humain, notamment en raison de sa puissance et de son comportement imprévisible.

Un comportement agressif et imprévisible

Le casoar est un oiseau plutôt discret, mais lorsqu’il se sent menacé, sa réaction peut être rapide et violente. En 2019, un incident tragique en Floride a démontré ce potentiel destructeur, lorsque des casoars d’une collection privée ont attaqué un élu à la suite d’une provocation. Cette capacité à réagir de manière inattendue a valu à cet oiseau une réputation bien méritée.

Des caractéristiques physiques impressionnantes

Du haut de ses jambes musclées, le casoar est capable d’atteindre des vitesses allant jusqu’à 50 km/h, une aptitude qui le rend tout aussi rapide qu’un léopard. Ses griffes acérées, mesurant plus de 10 centimètres, peuvent causer des blessures graves. Imaginez un instant faire face à un animal qui bouscule les stéréotypes des oiseaux : incapable de voler mais d’une agilité redoutable, il peut se projeter à plus de deux mètres de hauteur !

Alimentation et comportement surprenant

Quant à son régime alimentaire, le casoar est omnivore. Il se nourrit principalement de fruits tombés, mais n’hésite pas à consommer des insectes, des escargots et même des restes d’animaux. Plus étonnant encore, ces oiseaux ont développé une capacité unique à pêcher, utilisant leurs ailes pour attraper des poissons, tel un chalutier borné !

Un rôle paternel inattendu

Un aspect moins connu du casoar est le rôle du mâle dans l’élevage des jeunes. Ce dernier est en charge de couver les œufs, souvent trois, de la taille de gros œufs de poule, pendant environ 50 jours. Une fois éclots, les petits auront un père protecteur pour veiller sur eux.

Variations au sein de l’espèce

Il existe trois principaux types de casoars : le casoar à casque, le plus grand, vivant en Indonésie et dans le nord-est de l’Australie ; le casoar de Bennett, plus petit, et enfin le casoar unicaronculé, qui évolue dans le nord de la Nouvelle-Guinée. Chacune de ces espèces présente des caractéristiques uniques qui alimentent encore un peu plus notre curiosité pour cet oiseau mystérieux et fascinant.

En somme, le casoar est un mélange étonnant de beauté et de dangerosité, un véritable héritier des dinosaures qui mérite notre attention – à distance, bien entendu !

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Centre Athénas accueil de loups blessés

Centre Athénas accueil de loups blessés

Un centre de sauvegarde pour accueillir les loups blessés

Le centre Athénas prêt à prendre en charge les loups mal en point

Le centre Athénas, situé dans le Jura et déjà reconnu pour ses positions controversées vis-à-vis de la chasse, est sur le point d’atteindre une nouvelle étape dans sa mission de protection de la faune. Comme un acteur qui fait les gros titres d’un film dramatique, ce centre se prépare à recueillir des loups blessés après la décision d’un tribunal administratif qui a tranché en sa faveur. Mais qui est vraiment Gilles Moyne, son directeur, et quelles ont été les péripéties de cette saga ?

Célèbre pour ses accusations à l’encontre des chasseurs, Moyne ne cache pas sa fermeté lorsqu’il s’agit de défendre les animaux sauvages. En janvier 2021, il a même lancé un appel pour retrouver l’auteur d’un tir sur un lynx, accompagné d’une prime de 1 000 euros. L’affiche promotionnelle de cette campagne représentait un tireur de lynx étrangement semblable à un chasseur, soulevant ainsi des tensions dans le milieu de la chasse.

Un parcours semé d’embûches pour le centre de sauvegarde

Le chemin vers l’agrément pour recueillir des loups n’a pas été simple. Alors que le centre Athénas est déjà habilité à accueillir lynx et autres espèces sauvages, il lui manquait l’autorisation pour les loups. Le préfet avait initialement refusé d’étendre le certificat de capacité de Moyne, alléguant un manque de formations adéquates. Mais Moyne, en bon défenseur de la faune, a contesté cette décision.

Le tribunal a finalement tranché : bien que la demande d’accueil d’animaux exotiques ait été rejetée, il a été jugé que Moyne possédait les connaissances nécessaires pour prendre soin des loups, acquises lors d’une formation au parc des Terres de Nataé, anciennement le zoo de Pont Scorff. Une belle ironie, n’est-ce pas ?

Quelles sont les prochaines étapes ?

Le préfet a maintenant un mois pour accorder l’extension de capacité au centre Athénas. Les loups blessés, s’ils ont la chance de croiser le chemin de ce centre, bénéficieront d’une seconde chance grâce à la détermination de Gilles Moyne, pour qui rien ne semble impossible. Ce dernier démontre ainsi que même dans le monde de la faune, la persévérance peut mener à de belles victoires.

Affaire à suivre, car dans le monde de la chasse et de la conservation, chaque jour est un nouveau chapitre prêt à être écrit !

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Chasseurs d’Ile-de-France et gestion des populations de lièvres

Chasseurs d'Ile-de-France et gestion des populations de lièvres

Les chasseurs d’Île-de-France : un engagement pour la gestion des populations de lièvres

Comptages nocturnes et gestion des espèces

Chaque année, la fédération interdépartementale des chasseurs d’Île-de-France (FICIF), avec l’aide de nombreux chasseurs bénévoles, organise des comptages nocturnes dans le cadre du programme « IKA (indice kilométrique d’abondance) Lièvre au phare ». Ces opérations essentielles se déroulent dans trois départements : l’Essonne, le Val-d’Oise et les Yvelines, sur un total de 31 circuits de 25 à 30 km chacun. Grâce à ces comptages, qui s’effectuent entre 21h et 2h du matin, les chasseurs parviennent à collecter des données cruciales sur la population de lièvres et d’autres espèces nocturnes.

Préservation et régulation des populations animales

Important à noter, si le nombre de lièvres observés est inférieur à trois par kilomètre, aucune autorisation de chasse n’est accordée. Cette démarche n’est pas juste une question de lois, mais représente un véritable équilibre à maintenir dans la nature. Les chasseurs se révèlent ainsi être des gestionnaires écoresponsables, en mettant en place des mesures ciblées dans les zones les plus fragiles, telles que le tir de régulation des renards ou la collaboration avec des piégeurs locaux. Ces actions visent à stabiliser les populations de lièvres tout en soutenant l’écosystème local.

Un hommage aux acteurs de la biodiversité

Les efforts des chasseurs d’Île-de-France et de la FICIF ne passent pas inaperçus. Leur travail acharné montre à quel point ils comprennent leur rôle en tant que gardiens de la biodiversité. Par leur engagement dans la gestion cynégétique, ils rencontrent le défi d’harmoniser les pratiques de chasse avec la préservation des espèces. En effet, qui aurait pensé que la nuit, armés de lampes et de patience, on pourrait observer et protéger la faune ? Bravo à ces passionnés qui, par leurs actions, illustrent l’importante dualité de la chasse : à la fois un loisir et un outil de gestion écologique.

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Signé : Actuchassse pour Caninstore

Récolte des glands essentielle pour la durabilité des forêts

Récolte des glands essentielle pour la durabilité des forêts

La récolte des glands : une activité cruciale pour la pérennité de nos forêts

Chaque automne, les forêts françaises se parent d’une activité discrète mais ô combien essentielle : la récolte des glands. Cette opération ne doit pas être sous-estimée, car elle est clé dans la renaissance et la préservation de nos écosystèmes forestiers face aux défis climatiques. Les ramasseurs de glands, affectueusement appelés « glandeurs », s’investissent dans une mission d’une importance capitale pour garantir l’avenir de nos forêts. D’un goût amer et peu séduisant, le gland est pourtant un fruit que plusieurs hommes et femmes s’appliquent à collecter. Sous l’égide de l’Office national des forêts (ONF), seuls les meilleurs spécimens seront sélectionnés, car c’est tout l’avenir forestier qui est en jeu.

Une véritable course contre la montre

La récolte des glands commence généralement en octobre, marquant le début d’une course effrénée pour les ramasseurs. Le timing est crucial, car il faut agir avant que les glands ne germent et deviennent inutilisables pour le semis. Les objectifs de cette saison sont ambitieux, avec 8 000 litres prévus dans le parc Saint-Quentin. Jean-François Baron, technicien forestier de l’ONF, souligne : « C’est une course contre la montre. Nous devons faire très vite. » La rapidité d’action est déterminante, d’autant que les conditions météorologiques influencent la conservation des glands.

Une sélection rigoureuse et réglementée

Seuls les glands de la meilleure qualité sont récoltés. Cette sélection est non seulement rigoureuse, mais aussi essentielle pour garantir la santé des futures plantations. L’activité de récolte est strictement encadrée par l’ONF et interdit au grand public, sous peine d’amende. Chaque sac de glands est scellé et identifié par un numéro unique pour assurer une traçabilité sans faille. Les glands sont ensuite envoyés à la sécherie de la Joux dans le Jura, où ils sont triés avant d’être expédiés vers les pépinières. Ce processus de traçabilité est fondamental pour préserver la diversité génétique des forêts et renforcer leur résilience face aux changements climatiques.

Un enjeu majeur dans le contexte climatique actuel

Avec les défis croissants du changement climatique, la récolte des glands prend une importance considérable. En 2024, le Val de Loire a connu une récolte remarquable de 37 000 litres de glands, représentant 17 % de la récolte nationale de l’ONF. Cet exploit témoigne de l’engagement croissant envers cette activité, qui revêt une importance stratégique pour l’avenir des forêts françaises. L’adaptation des forêts face au changement climatique nécessite en effet une sélection minutieuse des essences et génotypes les plus résistants. Les chênes de certaines régions, en particulier du Loir-et-Cher, se distinguent par leur résistance à la sécheresse, une caractéristique capitale en période de réchauffement climatique.

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L’amitié entre un homme et un sanglier en Ille-et-Vilaine

L'amitié entre un homme et un sanglier en Ille-et-Vilaine

Un homme et un sanglier : une affection inattendue en Ille-et-Vilaine

Près de Fougères, un jeune marcassin a trouvé refuge chez Étienne, un habitant de Gahard, suscitant à la fois tendresse et inquiétude vis-à-vis de la loi. Tout commence le 25 novembre, lorsque ce dernier découvre une petite femelle sanglier encore rayée, qu’il prénomme Surprise. En l’espace de quelques jours, Surprise se fait une place bien au chaud sur son terrain, ce qui ne manque pas d’intriguer son nouveau compagnon humain.

Une amitié animalière troublante

Les matins d’Étienne se sont depuis transformés en rituels de caresses et de gratouilles, alors que Surprise, loin d’être farouche, en redemande. « Je crois qu’elle prend la ponette pour sa maman », explique Étienne, amusé et attendri par cette cohabitation insolite. Cependant, cette amitié n’est pas sans poser de problèmes légaux. En effet, le Code de l’environnement français interdit la détention d’un animal non domestique trouvé dans la nature, une réglementation qui pourrait conduire Étienne à faire face à des sanctions sévères allant jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende.

Les implications de la loi

Face à cette situation délicate, les refuges spécialisés, souvent saturés, peinent à trouver une solution. Étienne, conscient de la législation, s’efforce de trouver un refuge pour Surprise, sans vouloir envisager l’euthanasie comme solution. « Je ne pourrais pas le supporter. Je m’attache facilement aux animaux », confie-t-il avec une pointe d’émotion. La série d’événements médiatiques autour de Rillette, un autre sanglier apprivoisé, a peut-être ouvert une porte, mais la situation reste tendue. La dernière décision judiciaire sur Rillette pourrait faire évoluer les mentalités, bien que le statut légal des animaux sauvages demeure complexe.

Entre espoir et angoisse

La question qui hante Étienne est : que va-t-il advenir de Surprise ? Les visites des gendarmes, lui rappelant constamment l’illégalité de la situation, ajoutent une couche de stress à cette histoire touchante. Tout en respectant les règles, il est désireux de leur faire entendre raison, soulignant que « Surprise est ici de son plein gré et qu’elle pourrait rejoindre les autres sangliers si elle le souhaitait ». En attendant une éventuelle solution, il continue à prodiguer tendresse et affection à la petite sanglière, désarmant ce qui aurait pu être rencontré par une vision de chasse plus conventionnelle.

À travers ce récit, Étienne se trouve non seulement confronté à des dilemmes éthiques, mais également à un questionnement plus large sur notre relation avec la faune sauvage. La chasse et la conservation semblent parfois s’opposer, mais dans son cas, l’amour d’un homme pour un animal sauvage témoigne de l’espoir d’un futur où les animaux peuvent coexister paisiblement, même en dehors de leur habitat naturel.

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Plantes répulsives pour nuisibles naturels

Plantes répulsives pour nuisibles naturels

Les plantes qui éloignent les nuisibles de façon naturelle

À la recherche de solutions écoresponsables pour dire adieu aux nuisibles qui menacent vos jardins et plantations ? Ne cherchez plus, certaines plantes pourraient bien devenir vos alliées les plus fidèles ! En plus de repousser mouches, moustiques, pucerons, et autres indésirables, elles apporteront une touche de verdure et de beauté à vos espaces extérieurs.

La Tanaisie : l’ennemie des fourmis

Avec ses fleurs jaunes chatoyantes, la tanaisie est un véritable champion pour tenir les fourmis, les mouches et même les puces à distance. Bon à savoir : elle peut aussi être utilisée comme poudre insecticide naturelle. Toutefois, attention à ses feuilles, qui se révèlent toxiques pour nos amis à quatre pattes. Mieux vaut éviter de l’installer dans un jardin où gambadent des animaux.

La menthe pouliot : l’anti-limaces efficace

Cette plante odorante adore le soleil et les sols humides. Et en plus d’être une merveille pour éloigner limaces, mites, puces et fourmis, son arôme déplaît aussi aux rongeurs. Que diriez-vous de suspendre un bouquet de menthe pouliot au mur ? Une méthode simple et jolie pour dire adieu aux araignées !

Mélisse : contre les fourmis et les mouches

Avec son odeur citronnée, la mélisse va devenir votre arme secrète contre les fourmis et les mouches ennuyeuses. Outsider de choix, elle peut aussi ajouter une saveur délicate à vos desserts et plats salés. Besoin de calme lors de vos nuits agitées ? Un bon thé de mélisse pourrait soulager vos troubles gastriques et vos insomnies.

Absinthe : l’alliée infaillible contre les pucerons

Avec ses feuilles argentées, l’absinthe se dresse fièrement pour protéger vos fleurs et votre potager des redoutables pucerons. Plantez-la au pied de vos légumes comme carottes ou asperges pour une protection naturelle. Et si vous cherchez à éloigner les mites à l’intérieur, ses feuilles séchées font des merveilles !

Ricin : l’ennemi des taupes

Le ricin a la réputation d’être un excellent répulsif pour les taupes et autres rongeurs. Plus étonnant encore, il dissuade également les mouches et les moustiques ! En plus, il peut atteindre plus de deux mètres. Ah, et on ne peut pas ignorer l’huile de ricin, un secret de beauté pour des cheveux renforcés !

Euphorbe : une barrière contre les rongeurs

Tout comme le ricin, l’euphorbe veille à tenir à distance taupes et rongeurs. À manipuler avec précaution, car elle secrète une substance toxique tant pour les humains que pour les animaux. Un sacré super-héros, mais avec un pouvoir à manier avec prudence !

Pélargonium : votre protecteur anti-moustiques

Si vous détestez les moustiques, le pélargonium est clairement la plante qu’il vous faut. Son parfum citronné fera fuir les piqures. Écrasez simplement ses feuilles sur votre peau pour prévenir une invasion. En plus, il égayera votre intérieur avec ses fleurs blanches et mauves, le tout en plein soleil !

Sarriette : la protection ultime

Avec son odeur poivrée, la sarriette est capable de repousser non seulement les mouches, mais aussi tous les autres insectes nuisibles qui pourraient s’inviter dans votre jardin. Un choix judicieux pour une approche globale contre les indésirables.

Ces plantes, faciles à cultiver et esthétiques, sont plus qu’une simple alternative aux produits chimiques. En les intégrant dans votre jardin, vous transformez votre espace tout en préservant l’équilibre de la nature.

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