Affaire Rillette et recherche d’un foyer pour un marcassin

L’Affaire du Sanglier Rillette et la Quête d’un Foyer pour un Marcassin
Une Association à la Recherche d’un Nouveau Foyer
L’affaire du sanglier Rillette, qui a captivé l’attention du public depuis fin 2024, suscite maintenant des dynamiques inattendues dans le Gard. Alors qu’une jeune femme avait réussi à obtenir l’autorisation de garder la laie qu’elle avait recueillie, une association de protection animale se retrouve aujourd’hui dans une situation délicate. En effet, cette dernière est en quête d’un foyer pour un marcassin trouvé sur le bord d’une route à Nîmes.
Un Marcassin Isolé
Ce petit suidé, qui a été pris en charge par des bénévoles, bénéficiait initialement d’un soutien adéquat, mais la situation a rapidement tourné. Initialement, un particulier détenteur d’un certificat de capacité devait accueillir le marcassin, mais ce dernier s’est désisté, laissant l’association sans solution. Les bénévoles se retrouvent donc à la croisée des chemins, se posant la question : que faire maintenant ?
Les Règles au Fils du Temps
Autrefois, la loi était plutôt claire sur le transport et la garde des sangliers, punissant sévèrement toute opération non autorisée. Malgré cela, l’épisode de Rillette semble avoir ouvert la porte à de nouvelles possibilités pour des particuliers désireux de s’occuper de tels animaux. Il est légitime de se demander si cette brèche ne pourrait pas entraîner une série d’initiatives similaires, potentiellement désordonnées.
Quelles Alternatives pour le Marcassin ?
L’association cherche donc une solution légale pour offrir un foyer au marcassin, privilégiant des options telles que les parcs, refuges ou établissements spécialisés. Toutefois, une certaine inquiétude demeure quant aux méthodes de gestion de ces situations à l’avenir. La question essentielle qui se pose est : comment les autorités et la société civile vont-elles encadrer cette évolution ? Espérons que la sagesse primera, évitant ainsi que ce modèle ne se propage tel un feu de forêt.
Au fil du temps, la saga du sanglier Rillette continuera sans doute de faire parler d’elle, et les responsables prendront probablement des décisions cruciales qui définiront les règles du jeu pour les animaux sauvages en détresse.
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Sensibilisation des jeunes à l’environnement par la plantation de haies en Aveyron

Sensibilisation des jeunes à l’environnement : Écoliers et chasseurs unis pour planter des haies en Aveyron
Dans une initiative remarquable qui conjugue éducation et engagement écologique, les chasseurs de l’Aveyron se sont associés aux élèves de l’école élémentaire de Baraqueville pour planter pas moins de 100 mètres de haies. Cette action fait partie intégrante du programme « Trame Verte » soutenu par la Région Occitanie et vise à renforcer le bocage de la région.
Située sur l’exploitation de l’agriculteur Joël Clergue, la plantation a été une véritable leçon de vie pour les enfants, qui ont montré un enthousiasme débordant au cours de cette activité. Agrémentée d’anecdotes et de rires, cette journée leur a permis d’apprendre tout en contribuant à la nature.
Éducation de la biodiversité : un duo gagnant
Encadrés par David et Guillaume, techniciens de la fédération des chasseurs, et sous la tutelle de l’association « Arbres, Haies et Paysage », les jeunes jardiniers d’un jour ont découvert l’importance des haies comme corridor écologique. Au cours de cette initiative, ils ont appris que ces éléments naturels sont essentiels non seulement pour l’habitat d’un grand nombre d’espèces, mais aussi pour la préservation des sols et la lutte contre l’érosion.
Le moment a été à la fois ludique et éducatif, illustrant comment la coopération entre chasseurs et associations de protection de l’environnement peut être bénéfique pour l’écosystème local.
Un modèle d’engagement pour les générations futures
La préservation de la biodiversité et la transmission des valeurs environnementales aux jeunes générations sont des enjeux cruciaux pour notre société. Contrairement à certains acteurs qui prônent la protection de l’environnement sans actions concrètes, ce sont les chasseurs et les associations ancrées dans la ruralité qui, à travers de telles initiatives, font la différence.
Un grand élan d’admiration à cette initiative des chasseurs aveyronnais et à leur fédération pour leur engagement inébranlable en faveur de la nature et de la faune sauvage. Leur action illustre parfaitement comment chacun peut agir à son niveau pour préserver notre planète.
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Compétition de chasse en meute sur sanglier à Ciadoux

Compétition nationale de meutes sur sanglier : Deux jours de passion à Ciadoux
Un rendez-vous incontournable pour les amateurs de chasse en meute
Ce week-end, la commune de Ciadoux, entourée de quatre départements voisins, sera le théâtre d’une compétition de chasse en meute sur sanglier, rassemblant 54 meutes et 162 concurrents venus de 18 départements. Prévu les 7, 8 et 9 mars, cet événement organisé par l’association Harloup en collaboration avec les associations de chasse locales a pour ambition de créer une ambiance conviviale et passionnée.
Martine Salaneuve, l’une des organisatrices du concours, partage son enthousiasme : « C’est un rassemblement assez exceptionnel, nous allons recevoir des gens de 18 départements. Il faudra les guider pour qu’ils puissent profiter au maximum de cette expérience. » La chasse en meute sur sanglier se déroule sans armes, en suivant un règlement strict. Le vendredi matin, les meutes, accompagnées de leurs maîtres, devront marquer le passage d’un sanglier. Une fois trouvé, la meute aura deux heures pour le poursuivre.
Concernant le sanglier, une fois la chasse terminée, il est « relâché et peut regagner la forêt ». Martine précise que « nous ne pistons que des sangliers seuls, jamais des familles, car cela serait trop complexe à gérer avec les chiens. » Des juges, sollicités auprès des associations de chasse locales, évalueront les performances des meutes tandis que d’autres équipes n’hésiteront pas à parcourir plusieurs kilomètres pour rejoindre les forêts des voisins ariégeois.
Au total, 172 communes participeront à cet événement, créant ainsi un véritable élan communautaire autour de la passion de la chasse. Les amateurs de la discipline sont donc attendus à Ciadoux pour un départ donné à 10 heures du matin, sur les traces du tant convoité sanglier.
Rendez-vous donc ce week-end pour vivre ce moment fort de convivialité et d’amour de la nature !
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Attirer les oiseaux dans votre jardin

Attirez les oiseaux dans votre jardin : un havre de paix pour nos amis à plumes
Faire revenir des oiseaux dans votre jardin peut non seulement embellir votre espace extérieur, mais aussi résoudre plusieurs problèmes écologiques. En effet, ces charmants volatiles apportent un bonheur inestimable, à la fois par leur chant apaisant et leur impact bénéfique sur nos plantes. Ils jouent un rôle essentiel dans la pollinisation et la régulation des populations d’insectes. Cependant, la présence humaine a souvent conduit à leur déclin, laissant la place à certains nuisibles qui prospéraient grâce à leur absence.
Des techniques simples pour attirer les oiseaux
Pour inviter à nouveau les oiseaux dans votre jardin, plusieurs astuces pratiques peuvent être mises en œuvre. La première consiste à végétaliser votre espace avec des arbres et des arbustes qui leur offrent refuge et nourriture. Parmi les espèces recommandées, on retrouve le troène, le houx, le sureau, et le pommier d’ornement. En diversifiant votre jardin, vous favorisez le retour de différentes espèces d’oiseaux.
Les nichoirs : un abri bienvenu
Installer des nichoirs est également crucial pour attirer les oiseaux. Avec l’urbanisation croissante et la diminution des cavités naturelles, ces abris deviennent indispensables. Il est important de choisir la taille et l’emplacement des nichoirs en fonction des espèces que vous souhaitez accueillir. Pensez à les protéger des prédateurs, tels que nos amis à quatre pattes qui pourraient être tentés de s’y faufiler pour une petite chasse.
Où trouver de la nourriture et de l’eau ?
Les oiseaux ont évidemment besoin d’eau et de nourriture, surtout pendant les mois hivernaux. L’installation de points d’eau et de mangeoires est essentielle pour leur survie. Le suif, en complément des graines classiques, constitue un excellent moyen de les aider à se nourrir en période froide. Certaines graines, comme le tournesol noir, sont particulièrement adaptés à certaines espèces, comme les mésanges. Faites en sorte que les mangeoires soient placées dans un endroit calme et sécurisé, éloigné des prédateurs et des rongeurs.
Enfin, en attirant des insectes avec des fleurs jaunes, vous créez une source de nourriture indirecte pour vos amis à plumes.
Pour observer la magie de la nature à domicile, commencez dès aujourd’hui à attirer ces magnifiques créatures dans votre jardin !
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Chasse au phare de Gatteville et dilemme juridique

Quand la chasse au pied du phare de Gatteville passe au tribunal
Le 6 mars 1913, la frénésie de la chasse prend un tournant juridique à Gatteville. Une situation singulière s’est produite au pied du phare, et des questions se posent : la collecte d’oiseaux tombés est-elle légale ou au contraire, est-ce du braconnage ? Autant de nuances à démêler qui ont trainé des hommes devant le tribunal de Cherbourg.
Des oiseaux éblouis par la lumière
En automne et au printemps, sous les nuits noires, des milliers d’oiseaux migrateurs se laissent séduire par la lumière du phare de Gatteville, attirant l’attention et la convoitise des chasseurs amateur. Que se passe-t-il donc lorsqu’ils tombent, fatigués ou blessés, au pied de cette immense structure ? Tel un papillon attiré par la flamme, voilà un spectacle qui attire les nemrods en herbe. La tradition veut que les habitants utilisent des lanternes et des filets pour collecter les volatiles, une tendance lucrative dont les statistiques parlent d’elles-mêmes : rien qu’en décembre 1912, 544 kilogrammes d’oiseaux ont été expédiés par la gare locale.
Le dilemme juridique
Cette coutume localement enracinée n’a pas échappé à l’œil vigilant du Saint-Hubert Club de France, créé pour lutter contre le braconnage. Ils interviendront pour se poser la question : ramasser ces oiseaux est-il un acte illégal ? C’est là qu’intervient le tribunal, avec deux paysans de Gouberville et un pêcheur de Barfleur pris en flagrant délit par des inspecteurs, décidés à voir de près cette chasse nocturne.
La plaidoirie et ses enjeux
Confrontés à la barre, les prévenus reconnaissent les faits, mais plaident leur cause : aucune victime n’a été collectée cette nuit-là, aucun oiseau n’a été attiré par la lumière de la pleine lune. Le substitut du procureur insiste pour que la loi contre le braconnage soit appliquée, mais l’avocat, maître Delagarde, expose brillamment que pour qu’il y ait délit, il faut que le gibier ait été activement chassé. Son argumentation repose sur une distinction nette entre ce qui est un acte de chasse et ce qui est simplement un ramassage opportuniste.
Un jugement éclairé
Le tribunal acquitte les trois hommes, mais établit une jurisprudence importante : le ramassage d’oiseaux morts est légal, tandis que la capture d’oiseaux blessés ou fatigués est punie. Une décision qui fait la lumière sur une pratique tentaculaire au pied du phare de Gatteville.
En définitive, cette affaire nous rappelle que même dans les recoins reculés de la nature, les lois de la chasse et de la protection de la faune s’appliquent. La chasse est-elle un loisir ou un délit ? Les nuances de la législation, comme les oiseaux, peuvent parfois être difficiles à suivre.
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Sangliers en abondance à Amakusa avec 636 captures en janvier

Amakusa, Japon : 636 sangliers capturés en janvier
Une ville insulaire confrontée à une explosion de sangliers
En janvier 2025, la ville d’Amakusa, dans la préfecture de Kumamoto, a enregistré la capture de 636 sangliers en un seul mois. Avec une population d’environ 75 000 habitants répartis sur plusieurs îles, Amakusa se situe entre la mer de Yatsushiro et la mer de Chine orientale. Ses 683,86 km² en grande partie boisés et montagneux offrent un terrain de jeu idéal pour ces sangliers.
Les causes d’une prolifération inquiétante
Plusieurs facteurs sont à l’origine de cette augmentation alarmante de la population de sangliers. Premièrement, le déclin de la population rurale et l’abandon progressif de l’agriculture diminuent la pression humaine sur leur habitat. Ensuite, les hivers plus doux résultant des changements climatiques favorisent la survie des jeunes sangliers. Enfin, le vieillissement de la population de chasseurs au Japon entraîne un manque de régulation naturelle de ces animaux.
Des conséquences néfastes pour les cultures et la sécurité publique
La prolifération des sangliers entraîne des dégâts considérables. Les sangliers s’attaquent aux cultures, notamment les rizières et les vergers, mettant en péril des productions locales essentielles, comme les mandarines. De plus, les incursions des sangliers dans les zones urbaines créent un risque accru d’accidents et d’agressions, sans oublier le déséquilibre écologique que cela provoque pour d’autres espèces, menaçant ainsi les écosystèmes locaux. Un habitant témoigne : « Les sangliers retournent complètement la terre sous nos maisons, dans nos jardins et nos champs. On commence à se demander si on pourra encore cultiver du riz… »
Des mesures prises par les autorités locales
Pour faire face à cette menace, la ville d’Amakusa intensifie ses efforts. Des cages-pièges sont déployées dans les zones sensibles, et les chasseurs locaux sont mobilisés pour réguler la population. Les captures sont valorisées en gibier grâce à l’Association de lutte contre les animaux nuisibles.
Un avertissement pour la France
La situation d’Amakusa rappelle que le Japon n’est pas le seul pays à faire face à une problématique de régulation des sangliers. En France, la situation est tout aussi préoccupante, bien que les chasseurs en soient souvent tenus pour responsables. Ce qui se passe à Amakusa est un témoignage vivant de ce qui pourrait arriver en France si la chasse était complètement écartée. Il devient urgent de reconnaître le rôle vital de la chasse dans la gestion de la faune et de ne pas la considérer comme un simple bouc émissaire pour des politiques déconnectées des réalités du terrain.
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L’été évité par les promeneurs de la plage de Morieux à cause des algues vertes

« L’été, j’évite de venir » : Les promeneurs de la plage de Morieux face aux algues vertes
Le 5 mars dernier, la plage de Saint-Maurice à Morieux a été le théâtre de discussions vives entre promeneurs après la confirmation qu’un sanglier retrouvé mort en septembre 2024 avait été intoxiqué par les gaz émis par des algues vertes en décomposition. Un événement qui a suscité indignation et résignation au sein de la communauté locale.
Une plage au soleil, mais pas sans odeur
La plage baignée de soleil ne laisse pas présager le malheur qui s’y est abattu six mois plus tôt. S’il n’y a pas de traces visibles du drame, une forte odeur d’œuf pourri rappelle inévitablement le passé de ce lieu à la beauté trompeuse. Claude, un habitant de la rue des Plages, ne cache pas son mécontentement : « Quand il fait très chaud, l’odeur de putréfaction monte jusque chez nous. C’est insupportable ! » explique-t-il, tout en redoutant déjà la prochaine marée d’algues vertes.
Des promeneurs inquiets et résignés
Les réactions des visiteurs de la plage de Morieux ne se sont pas faites attendre. Charlélie, un joggeur régulier de la côte briochine, confie : « Je dirais que ce n’est pas très rassurant. L’été, j’évite de venir par ici ». Pour lui, le phénomène des algues vertes influence son choix d’itinéraire, évitant les plages où les engins de ramassage sont fréquemment aperçus.
Charles, un photographe passionné, partage une même inquiétude. Armé de son appareil, il observe son environnement avec prudence. Il souligne le « double discours » des autorités sur la problématique des algues vertes, arguant que leur prolifération est intimement liée aux pratiques agricoles. « C’est scandaleux qu’on puisse encore nier cela », s’indigne-t-il, renforçant son point par le contenu d’une enquête récente.
Une réalité pressante pour les locaux
Paul-Antoine et Anna, également en balade, vont dans le même sens. Pour eux, l’intoxication du sanglier est une preuve manifeste d’un problème de croissante envergure. « Ça montre aussi que le phénomène reste difficile à endiguer », ajoutent-ils, suggérant même une fermeture des plages pour protéger les baigneurs. Une réflexion qui témoigne de l’inquiétude croissante au sein de la communauté face à cette situation préoccupante.
Le débat sur la gestion des algues vertes et leur impact sur la faune et la santé humaine mérite d’être ouvert, tant les conséquences peuvent s’avérer désastreuses tant sur le plan écologique qu’en matière de sécurité publique.
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Festin de Chasse à Vincelles

Un Festin de Sanglier et Chevreuil à Vincelles
La saison de chasse prend fin en beauté à Vincelles, où chasseurs et convives se retrouvent pour un banquet mémorable. L’événement, organisé par la société communale de chasse, promettait un repas savoureux mettant à l’honneur le sanglier et le chevreuil, deux spécialités qui font les délices des amoureux de la chasse et de la bonne cuisine.
Pour les participants, il s’agissait non seulement d’un moment de convivialité, mais également d’une occasion de célébrer la fin d’une saison riche en aventures et en rencontres au fil des forêts et des champs. Les plats préparés pour l’occasion étaient un véritable hommage à ces animaux, souvent considérés comme des défis de taille pour les chasseurs, tant par leur intelligence que par leur agilité.
Le chef, aux fourneaux, a mis tout son savoir-faire pour concocter des mets alléchants. Accompagnés de vins locaux, ces plats ont ravi les papilles des convives, transformant cette soirée en un festin inoubliable. L’ambiance était chaleureuse, avec rires et histoires de chasse partagées autour des tables, illustrant à quel point la chasse est bien plus qu’une simple activité, mais un véritable mode de vie qui rassemble
En conclusion, cet événement n’était pas seulement une fête pour célébrer un aboutissement, mais aussi un moment de partage et de tradition. La société communale de chasse de Vincelles a prouvé, une fois de plus, que la passion pour la chasse peut se traduire en moments de joie et de convivialité autour d’une bonne table. Alors, quand prévoyez-vous votre prochaine sortie de chasse ?
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Controverse sur le décret de régulation de la chasse au cerf

Le projet de décret sur la chasse au cerf : une controverse à plusieurs facettes
Une saison de chasse prolongée pour réguler la population de cerfs
Le Gouvernement français a lancé un projet de décret visant à avancer la saison de la chasse aux cerfs élaphes au 1er juin. Cette initiative fait débat, car elle répond à une surpopulation de cerfs qui cause des ravages dans les zones agricoles et forestières. Selon l’Office français de la biodiversité, cette augmentation de la population de cerfs, qui a été multipliée par 11 depuis 1973, nécessite une régulation urgente. En effet, les cerfs peuvent causer de sérieux dégâts en raison de leur broutage excessif, ce qui pose un défi à la préservation des forêts françaises.
Les détails du projet de décret
Traditionnellement, la chasse au cerf s’ouvrait le 15 septembre et se terminait le 31 mars, mais le projet du gouvernement vise à étendre cette période de trois mois supplémentaires. L’intention est de contrôler cette espèce qui s’est largement répandue depuis l’instauration d’un plan de chasse obligatoire. Les actuelles dates fixées par les arrêtés préfectoraux varient d’un département à l’autre, mais la proposition pourrait uniformiser ce calendrier au niveau national.
Consultation publique et prise de décision
À partir du 19 février, le gouvernement a ouvert une consultation publique pour recueillir les avis des citoyens sur cette proposition. Plus de 9 000 personnes avaient déjà exprimé leur position à la date du 5 mars, avec des réponses pouvant être classées comme « Favorable » ou « Défavorable ». L’évaluation de cette consultation sera suivie d’un avis du Conseil d’État prévu pour le 11 mars.
La population de cerfs en forte augmentation
Fait avéré, la population de cerfs a crû de façon exponentielle, atteignant des chiffres qui posent question. En 1973, seulement 2 339 cerfs étaient concernés par la régulation, tandis qu’en 2024, le quota est porté à 12 733, sans compter les 87 802 cerfs prélevés au cours de la saison 2023/2024, soit une augmentation de 7,4 % par rapport à l’année précédente. D’évidentes mesures semblent nécessaires, tant pour l’environnement que pour les activités agricoles.
Les partisans du décret : l’urgence de la régulation
Les défenseurs de cette mesure, comme l’Office National des Forêts (ONF), soulignent que trop d’ongulés nuisent à la santé des forêts. La surpopulation de cerfs, chevreuils et sangliers menace les jeunes plants, et par conséquent, la vitalité des écosystèmes forestiers. Les dégâts causés par le broutage des bourgeons et pousses sont qualifiés d’« abroutissement », nécessitant des actions de gestion plus rigoureuses.
Les oppositions des écologistes
D’un autre côté, plusieurs organisations environnementales, telles que France Nature Environnement et la LPO, s’opposent fermement à ce projet. Elles craignent que l’ouverture anticipée de la chasse perturbe le cycle de reproduction de ces animaux. Rappelons que beaucoup de biches mettent bas leurs faons en juin, et un tir pendant cette période pourrait mener à des pertes tragiques au sein de la population animale. Ces groupes mettent aussi en avant le risque d’accidents en période estivale, alors que la nature est souvent fréquentée par des promeneurs.
En conclusion, ce projet de décret sur la chasse au cerf semble diviser l’opinion publique, entre exigences de régulation et conservation de l’espèce. La suite des événements donnera sûrement lieu à des débats passionnés, mais une chose est certaine : la relations entre les cerfs, les forêts, et les chasseurs est loin d’être simple.
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Fin de saison festive autour d’un sanglier rôti

Fin de saison festive autour d’un sanglier au four pour l’Amicale des chasseurs
Le rendez-vous annuel de l’Amicale des chasseurs a pris une tournure gourmande cette année, avec un savoureux sanglier rôti au four au menu. Près de trente convives se sont rassemblés pour célébrer la fin de la saison de chasse, transformant ce moment en un véritable festin.
Un repas convivial
Ce repas n’était pas seulement une occasion de déguster un plat délicieux, mais aussi une belle opportunité de renforcer les liens entre les membres de l’association. En effet, quel meilleur moyen de clore la saison qu’en partageant des rires et des histoires de chasse autour d’une bonne table ? Les convives ont pu apprécier la qualité de la viande tout en échangeant leurs expériences de la saison écoulée, créant ainsi une ambiance chaleureuse et conviviale.
Les plaisirs de la chasse et de la gastronomie
Le sanglier, avec sa chair tendre et savoureuse, est un plat emblématique qui rappelle la passion des chasseurs pour la gastronomie locale. Ce festin illustre parfaitement comment la chasse peut rassembler des gens autour de traditions culinaires. N’est-il pas réjouissant de voir comme un simple repas peut devenir une célébration de l’esprit communautaire ?
À l’année prochaine !
Avant de faire leurs adieux pour cette saison, les membres de l’Amicale des chasseurs ont déjà commencé à discuter des projets pour l’année prochaine. Avec des histoires à partager et des recettes à concocter, ils sont impatients de retrouver la nature et de savourer à nouveau les plaisirs simples offerts par la chasse.
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