Fabrication d’un piège à rats économique et efficace

Fabrication d’un piège à rats : économisez tout en gérant les nuisibles !
Créer un piège à rats efficace et économique n’est pas sorcier. Avec juste quelques matériaux simples, vous pourrez dire adieu à ces visiteurs indésirables qui s’invitent chez vous chaque année, que ce soit à cause de l’ensilage, des fortes pluies, ou de la coupe d’herbe.
Matériel requis pour un piège à rats efficace
Pour fabriquer ce piège ingénieux, il vous faudra :
- Un bout de bois
- Un tendeur
- Du fil de fer
- De la ficelle
- Des rayons de vélo
Avec ces éléments, vous n’aurez besoin que de peu de matériel pour un piège redoutable. Qui aurait cru que la chasse aux rats pouvait être aussi simple et économique ?
Comment installer votre piège pour un maximum d’efficacité
Il est essentiel de bien placer votre piège dans des zones stratégiques, comme les passages habituels des rats, les haies ou les bordures de parc. Une fois que votre odeur humaine s’est dissipée, les chances de succès augmentent. L’observation attentive et le choix de l’emplacement sont cruciaux pour optimiser l’efficacité de votre piège.
Alors, êtes-vous prêt à mettre ces conseils en pratique et à prendre le contrôle de l’invasion de rats ?
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Chasseurs aveyronnais sauvent deux daims en détresse

Des chasseurs aveyronnais, héros de deux daims en détresse
Les chasseurs ne sont pas uniquement en quête de gibier lors de leurs sorties en forêt ; ils jouent également un rôle important dans la protection de la faune locale. Récemment, dans l’Aveyron, deux daims ont été secourus d’une mort imminente grâce à l’intervention rapide de ces passionnés de la nature qui ont su agir avec détermination.
Le mardi 18 mars 2025, au cours d’une de ses rondes habituelles, un garde-chasse de l’Association communale de chasse agréée (ACCA) de Boisset-Saint-Priest a repéré deux daims en difficulté près du lieu-dit Fontamalard, proche d’une route départementale. Les animaux s’étaient pris dans des ficelles, probablement celles utilisées pour les balles de foin. Incapables de se libérer, les deux mâles étaient en danger de mort, souffrant d’épuisement et de faim.
Bruno Juste, trésorier de l’ACCA, a expliqué que l’un des daims avait déjà été observé avec ces ficelles accrochées à ses bois. “Cela faisait déjà un moment que l’on avait aperçu un daim dans cette situation. Ces deux mâles ont dû se rencontrer et se battre, ce qui a entraîné cet emmêlement tragique. Ils étaient ainsi piégés et allaient périr.” Comme si cela ne suffisait pas, la proximité de la route représentait un danger supplémentaire, les animaux affolés risquant de s’y précipiter.
Conscients de l’urgence, les chasseurs ont vite décidé d’intervenir. Toutefois, s’approcher des daims, nerveux et méfiants, ne s’est pas révélé simple. Pour éviter que la situation ne dégénère, la brigade animalière des sapeurs-pompiers de la Loire a été sollicitée. Grâce à un fusil hypodermique, les pompiers ont endormi les daims à distance. Une fois immobilisés, chasseurs et pompiers ont pu procéder au découpage des ficelles sans porter préjudice aux animaux. L’opération s’est déroulée rapidement, les daims étant surveillés jusqu’à leur réveil complet. Libérés et à nouveau en pleine forme, ils ont pu regagner leur habitat naturel.
Cette histoire soulève une question intrigante : comment des daims se sont-ils retrouvés dans cette région ? Bruno Juste a expliqué que ces animaux étaient des descendants de daims échappés en 1999 d’un élevage situé à Gumières, dans le Haut-Forez. Originellement six ou sept, leur nombre a considérablement augmenté et ils sont désormais environ une centaine à vivre en liberté sur plusieurs communes, dont Boisset-Saint-Priest, Margerie-Chantagret et Lézigneux. Par ailleurs, la plaine du Forez attire aussi d’autres grands gibiers, tels que des chamois, qui ont été signalés récemment.
Ce sauvetage exemplaire démontre le dévouement des chasseurs aveyronnais et leur engagement pour la préservation de la vie sauvage. Loin des stéréotypes négatifs souvent associés à la chasse, cet événement prouve que ceux qui évoluent dans la nature se soucient véritablement de la faune qu’ils protègent.
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Les mares et leur rôle essentiel pour la biodiversité par les chasseurs

Les mares, un enjeu majeur pour la conservation par les chasseurs
Les mares, un point vital pour la biodiversité
La nécessité de préserver et de restaurer les mares est devenue une priorité pour les chasseurs. Ce n’est pas simplement une question de passion, mais un engagement envers la biodiversité qui prend tout son sens grâce à des projets comme celui de la Fédération des Chasseurs 31, connu sous le nom d’Habitat Trame Verte et Bleue. Ces points d’eau jouent un rôle crucial pour le développement des espèces dans nos forêts, et leur entretien devient impératif.
Une mobilisation active et encore des défis
Au total, 105 mares ont été identifiées, dont 46 nécessitent un entretien urgent pour éviter qu’elles ne disparaissent. Malgré des conditions météorologiques difficiles l’année dernière, les efforts des chasseurs n’ont pas faibli. Sur 30 mares nécessitant une intervention, 23 ont pu être réhabilitées grâce à des entreprises spécialisées. Pour 2025, de nouvelles communes se joindront à l’initiative, signifiant que la mobilisation pour la biodiversité va encore s’amplifier.
Le rôle indispensable des mares dans la préservation des écosystèmes
Dans le Tarn, les chasseurs s’impliquent dans le programme Mileoc, et leur action va bien au-delà de la simple création de mares. Ces espaces aquatiques deviennent des refuges pour la faune et la flore locales, leur permettant de prospérer. Lors des périodes de chaleur, ces mares constituent également une source d’eau essentielle. Tout cela montre à quel point les chasseurs participent activement à la restauration des écosystèmes aquatiques.
Innovations pour la restauration des écosystèmes
Les initiatives ne s’arrêtent pas aux mares. Les chasseurs du Tarn explorent des solutions novatrices pour rétablir des écosystèmes disparus. Récemment, un îlot flottant végétalisé a été installé pour compenser l’érosion et les variations du niveau de l’eau. Ce type de projet fait partie d’une stratégie plus large pour restaurer les corridors écologiques, tout en collaborant avec des associations locales et des citoyens. Un effort collectif qui mérite d’être salué.
Est-ce que vous avez déjà réfléchi à l’importance de ces petites mares autour de vous ? Elles pourraient être de vraies centrales de vie, à surveiller précieusement. Chaque goutte d’eau compte !
Variétés de morilles et précautions à prendre

Les variétés de morilles : toutes comestibles ou pas ?
En France, la mycologie nous révèle un monde fascinant avec environ trente espèces de morilles à découvrir. Cependant, deux grandes familles se démarquent, les morilles blondes et les morilles brunes (ou noires). Si quelques personnes arrivent à les cultiver, la plupart préfèrent l’excitation de la recherche. Et pour vous éviter de revenir les mains vides, suivez nos conseils anti-bredouille pour maximiser vos chances de récolte ! N’oubliez toutefois pas que même si toutes les morilles sont comestibles une fois cuites, une confusion avec le gyromitre, un champignon toxique, peut avoir des conséquences fâcheuses.
Les morilles blondes
La morille commune (Morchella esculenta)
Cette espèce est l’une des premières à pointer le bout de son chapeau, souvent dès la fin de l’hiver, et parfois même en mars. Son chapeau, arrondi puis oblong, présente un aspect d’éponge irrégulière, teinté de brun clair à jaunâtre. Les alvéoles, profondes et inégales, abritent une chair blanche et délicate. On la trouve principalement dans les lisières des bois de feuillus, près des ormes, des frênes et dans les jardins cultivés. Mieux vaut ne pas la manquer !
La morille ronde (Morchella esculenta var. rotunda)
Ressemblant à sa cousine commune, elle se distingue par un chapeau plus arrondi et peut atteindre des tailles impressionnantes. Tardive, elle se dévoile en mai et juin, principalement sous les pommiers et autres arbres fruitiers.
La morille d’Amérique (Morchella americana)
Cette variété, populaire en Amérique et en Europe, est identifiables par sa couleur claire et son chapeau allongé. Un vrai délice à rechercher !
Les morilles brunes
La morille conique (Morchella conica)
Prenant domicile dans les montagnes du Jura et d’Isère, cette morille apparaît dès la fonte des neiges. Sa forme conique et pointue, accompagnée de côtes allongées, la rend facile à identifier. Son goût, bien qu’il ne soit pas aussi fort que les morilles blondes, mérite d’être exploré.
La morille élevée (Morchella elata)
Prisée des gourmets, cette espèce montagnarde se rencontre rarement en plaine. Elle prospère principalement dans le Jura, principalement sous les résineux. Un vrai trésor pour ceux qui en découvrent un spécimen.
Attention à la toxicité des morilles
Il est essentiel de rappeler qu’aucune variété de morille ne doit être consommée crue. En effet, elles renferment une toxine nommée hémolysine, capable de nuire gravement à la santé. La bonne nouvelle, c’est que cette toxine est détruite après 20 minutes de cuisson. De même, les morilles séchées doivent être cuites, même après six mois de séchage. Une consommation excessive est à éviter, car des cas d’intoxication neurologique ont été signalés. Il est donc sage de se limiter à quelques morilles (moins de 10) par repas.
Un ennemi insoupçonné : le gyromitre
Le gyromitre mérite une mention spéciale, car il peut facilement être confondu avec les morilles par les néophytes. Autrefois considéré comme comestible, il est désormais jugé mortel. Il pousse sous les pins, et sa forme, bien qu’attrayante, peut s’avérer très trompeuse. Son chapeau lobé, de couleur brune, est à éviter à tout prix. Si jamais vous en croisez un, laissez-le tranquille !
Pour conclure, les morilles sont une délicieuse aventure à la fois dans les bois et à la cuisine, mais avec une vigilance accrue. Prêts à partir à la chasse aux morilles ?
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Le Harfang des neiges un chasseur du Grand Nord

Le Harfang des neiges : un redoutable prédateur des grands froids
Le Harfang des neiges, véritable symbole du Grand Nord, incarne la pureté des hivers québécois tout en étant un chasseur redoutable. Avec son plumage éclatant, il se fond à merveille dans les paysages glacés, rendant sa capture d’images tout aussi fascinante que sa technique de chasse redoutable. Ce rapace emblématique du Québec, également populaire grâce à sa présence dans la culture populaire, mérite une attention particulière pour son rôle dans l’écosystème arctique.
Un hibou majestueux au camouflage parfait
Le Harfang des neiges, connu scientifiquement sous le nom de Bubo scandiacus, appartient à la famille des strigidés. Bien qu’il soit souvent désigné comme « chouette harfang », ce majestueux hibou arbore de petites aigrettes sur sa tête—un signe distinctif qui le classe parmi les hiboux. Habitant principalement les régions arctiques de l’Amérique du Nord et de l’Eurasie, on le trouve au Canada, en Russie, ainsi qu’en Scandinavie. Son plumage immaculé, son arme secrète, lui garantit un camouflage exceptionnel durant la chasse.
Mesurant entre 55 et 70 cm et déployant une envergure impressionnante allant de 140 à 170 cm, ce rapace se distingue par son poids oscillant entre 1 et 2,5 kg. La femelle, généralement plus volumineuse que le mâle, présente également des stries brunâtres, tandis que le mâle est d’un blanc pur. Avec une tête ronde capable de pivoter jusqu’à 270°, il est parfaitement équipé pour dénicher ses proies, ses grands yeux jaunes étant ses atouts pour repérer le danger.
Le maître de la chasse polaire
Ajusté aux rigueurs de son environnement, le Harfang des neiges possède des pattes robustes entièrement couvertes de plumes, ainsi que de longues serres acérées. Une combinaison qui le propulse au rang de prédateur d’élite, capable de capturer des proies surprises. Sa vision acérée et son ouïe fine lui permettent de détecter les moindres mouvements dans la neige, tandis que sa faculté unique de percevoir l’urine des rongeurs en ultraviolets lui confère un avantage indéniable lors de la traque.
Les captivantes plumes de ses ailes, très souples et douces, lui permettent d’évoluer en silence absolu. Cela devient un véritable jeu d’enfant pour ce prédateur : ses proies, inattentivement, deviennent les cibles privilégiées de ses attaques foudroyantes.
Une stratégie de chasse sans égale
Le Harfang des neiges, chasseur opportun, opère aussi bien de jour que de nuit. Contrairement à ses comparses principalement nocturnes, il s’installe sur des perchoirs, lentement scrutant son environnement. Grâce à son cou flexible, il peut balayer un large champ de vision tout en restant immobile. Une fois la proie repérée, il fond dessus avec une précision remarquable qui lui assure un succès redoutable.
Un superprédateur en altitude
Dans son habitat polaire, le Harfang des neiges règne sans rival. Bien qu’il ait peu d’ennemis naturels, il doit cependant veiller à la protection de ses œufs des renards et des loups. La femelle, astucieuse, utilise des stratégies de diversion pour éloigner les prédateurs, en feignant par exemple une blessure. Quant au mâle, il n’hésite pas à défendre violemment sa progéniture.
Son régime alimentaire se compose principalement de petits rongeurs tels que les lemmings, mais il n’ignore pas les proies plus grandes comme les lièvres ou même les poissons. Cette diversité alimentaire contribue à sa survie dans un environnement où la compétition est féroce.
Le Harfang des neiges est non seulement un symbole de beauté et de puissance, mais il incarne également la résilience des grands rapaces polaires. Avec ses adaptations uniques, il demeure l’un des plus impressionnants souverains des étendues gelées du Grand Nord.
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Dératisation sur l’île d’Houat pour sauvegarder la biodiversité

La dératisation massive sur l’île d’Houat pour préserver la biodiversité
Un combat contre les rongeurs nuisibles
L’île d’Houat entame une lutte colossale contre une menace peu ragoûtante : les rats. Début février 2025, une opération de dératisation sans précédent a été lancée, s’inscrivant dans un programme plus vaste mené par l’association des îles du Ponant. Après les interventions sur d’autres îles comme Sein, Hoëdic et Molène, c’est au tour d’Houat de prendre les choses en main pour sauvegarder sa biodiversité.
Les risques des invasions biologiques
Des experts, tels que ceux de l’UICN, mettent en lumière un phénomène problématique : les invasions biologiques, exacerbées par l’activité humaine et les échanges intensifiés. Pour les îles, qui possèdent un écosystème fragile, cette situation est alarmante. Philippe le Fur, le maire d’Houat, a observé une prolifération inquiétante des rats, qui se manifestait tant l’hiver dans les rues qu’en été près des campings. Et ces rongeurs ne se contentent pas de s’infiltrer dans nos maisons ; ils attaquent également la faune locale, mettant en péril les œufs des oiseaux nichant au sol et les reptiles. En somme, un cocktail explosif pour la santé de l’écosystème insulaire.
Une opération de grande envergure
Pour lutter contre cette menace, la société HELP a été mobilisée pour installer pas moins de 5 500 pièges sur l’île, espacés de 20 à 25 mètres. Chaque piège contient 75 grammes d’appât empoisonné, tout en veillant à ce que le poison ne soit pas ingéré par d’autres espèces, comme les musaraignes. Louis Dutouquet, le gérant de la société HELP, souligne une réalité surprenante : « Lorsque les rats disparaissent d’un territoire, le nombre d’oiseaux sauvages y est multiplié par cinq et celui des reptiles par dix-sept ». Une perspective réjouissante pour la biodiversité, mais qui n’est pas du goût de tout le monde.
Des controverses autour de la dératisation
Le Parti animaliste du Morbihan a exprimé son désaccord, faisant état de « dégâts avérés, mais à relativiser » et qualifiant les risques sanitaires liés aux rats de « très exagérés ». Au lieu de ce type d’opération, les membres du parti proposent des alternatives, s’inspirant de méthodes utilisées ailleurs, comme la stérilisation à New York.
Entre impératif biologique et préoccupations éthiques, l’île d’Houat aborde ce défi avec sérieux et détermination. Reste à savoir si cette opération de dératisation portera ses fruits et contribuera à préserver la biodiversité unique de cette petite île.
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Les oiseaux et leur impact sur le bonheur humain

Les oiseaux : symbole de bonheur et de biodiversité
La nature surprend souvent. Des études récentes montrent que la présence d’oiseaux dans notre environnement contribue à notre bonheur bien plus que le simple coup de pouce financier. Une belle illustration de l’importance de la biodiversité dans notre quotidien !
Un impact positif sur notre bien-être
Des recherches menées auprès de 26 000 adultes dans 26 pays européens révèlent une corrélation surprenante : une augmentation de 10 % de la diversité d’oiseaux autour de nous peut améliorer notre niveau de bonheur plus efficacement qu’une hausse identique de revenus. Imaginez : avoir 14 espèces d’oiseaux supplémentaires dans votre vie pourrait apporter autant de satisfaction qu’une augmentation de salaire de 124 euros pour un salarié au SMIC ! Étonnant, n’est-ce pas ?
Les bienfaits des oiseaux sur notre santé mentale
Ces résultats nous poussent à porter un nouveau regard sur nos amis à plumes. Les chants apaisants et les vols élégants des oiseaux jouent un rôle clé dans notre bien-être psychologique, réduisant notre stress quotidien. De plus, la présence des oiseaux nous incite à passer plus de temps en extérieur, ce qui, comme le démontrent de nombreuses études, est bénéfique à la santé mentale et physique.
Une nouvelle perspective sur la valeur naturelle
Ce constat invite à reconsidérer notre rapport au bonheur. Il semble que la connexion à la nature, représentée ici par les oiseaux, offre un bonheur plus profond que la simple satisfaction matérielle. Prendre le temps d’apprécier ces moments simples à l’extérieur a bel et bien une valeur inestimable. En plus, les oiseaux sont des indicateurs précieux de la santé environnementale. À la différence des mammifères sauvages, souvent discrets, les oiseaux sont facilement visibles, même en milieu urbain, de nos chers pigeons aux infatigables moineaux.
La nécessité de préserver leur habitat
Au-delà de ce bonheur individuel, les implications de ces découvertes sont vastes et touchent à l’aménagement et à la conservation de nos habitats. Si la présence d’oiseaux est si déterminante pour notre bonheur, il est crucial de veiller à protéger leurs habitats. Cela relie idéalement à l’engagement des chasseurs pour la biodiversité. Bien qu’ils soient souvent perçus uniquement comme des pratiquants d’un loisir, beaucoup d’entre eux s’investissent dans la protection des écosystèmes. En effet, 70 % des chasseurs participent bénévolement à des actions en faveur de la nature, que ce soit à travers la plantation de haies, la restauration de chemins ruraux ou la création de zones humides.
Ces initiatives ne sont pas seulement bénéfiques pour les oiseaux, mais pour l’ensemble de notre environnement. Avec 869 sites naturels administrés pour la biodiversité, les chasseurs se montrent être de véritables gardiens des écosystèmes.
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Concours de Chiens Courants sur Sanglier dans les Hautes-Alpes

Concours de Chiens Courants sur Sanglier : Un Événement au Cœur des Hautes-Alpes
Des Compétitions Palpitantes au Service de la Chasse
Une compétition de chiens courants sur sanglier s’est déroulée récemment dans la commune de Castellane, offrant une vitrine éclatante du travail acharné des chiens de chasse et de leurs maîtres. Cet événement a connu un franc succès et a été organisé en collaboration avec les communes de Demandolx et La Palud-sur-Verdon.
D’après Baptiste Galio, cet événement s’adresse surtout aux chasseurs désireux d’évaluer les performances de leurs compagnons à quatre pattes, capables de retracer la voie d’un sanglier. Des juges ont été postés dans divers vallons, armés de leurs carnets pour noter les talents des concurrents. Grâce à des colliers GPS, les déplacements des chiens étaient suivis avec précision, permettant de mesurer à la fois la distance parcourue et le temps pris pour localiser leur proie.
Un Auditoire Enthousiaste et des Rencontres Inoubliables
Pas moins de 25 chiens ont pris part à cette réjouissante compétition. Le tirage au sort de l’ordre de passage a ajouté une touche d’imprévu, mettant en lumière les compétences naturelles des canidés. Liza, une jeune passionnée de chasse, a partagé son enthousiasme : « Franchement, j’ai adoré ! C’est un vrai plaisir de voir les chiens travailler et de comprendre leur manière d’agir. Pour nous, l’entraînement, c’est la chasse elle-même : on chasse toute la saison, et c’est ainsi que nos chiens se forment. »
Un autre participant, Sébastien, a témoigné : « Les chiens ont très bien travaillé, nous avons levé la bête, ce qui a offert une belle démonstration. J’ai aussi fait de belles rencontres avec d’autres passionnés, ce qui rend l’expérience encore plus enrichissante. »
Cet événement a su allier passion, convivialité et compétences, prouvant ainsi que la chasse et ces compagnons fidèles sont capables de créer des moments inoubliables.
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Le port légal des couteaux de chasse et ses précautions

Le port de couteaux de chasse : entre légalité et précautions
Peut-on se promener avec un couteau de chasse à la ceinture ? Cette question se pose souvent pour les amateurs de chasse, qui portent généralement leur couteau en toute décontraction. Mais, comme pour beaucoup de choses dans la vie, la légalité a son mot à dire.
Les règles de transport des armes blanches
Tout d’abord, l’article R315-1 du Code de la sécurité intérieure pose les bases : le port et le transport des armes blanches sans motif légitime sont interdits. Cela inclut les éléments d’armement de la catégorie D, qui englobe une large gamme de couteaux et autres armes similaires.
Alors, quelle est la bonne nouvelle pour nos chasseurs ? Tant que vous êtes en possession d’un permis de chasser valide, et que ce dernier est accompagné d’un titre de validation pour l’année en cours ou celle précédente, vous pouvez légalement transporter un couteau de chasse lors de vos sorties en pleine nature. En d’autres termes, la chasse peut devenir votre « motif légitime ».
Quand le port devient problématique
Attention, cependant. Si vous décidez de faire un petit détour par la boulangerie avec votre dague bien visible dans son fourreau pour une baguette, vous n’êtes pas sur le terrain de la légalité. Ce genre de sortie ne constitue pas un « motif légitime », et pourrait vous vaut quelques ennuis, surtout dans le climat actuel, où la perception sociale des armes blanches est particulièrement sensible. Dans certaines agglomérations françaises, des mesures de non-reconnaissance du motif légitime pour le port d’armes blanches peuvent s’appliquer, ce qui transforme un acte banal en une infraction potentielle.
En résumé : prudence et bon sens
Il est donc essentiel de garder à l’esprit que le port d’un couteau, à moins d’être justifié par une action de chasse, peut vous mettre dans une situation délicate. Laissez de côté l’idée de flâner avec un couteau à la ceinture, même si l’odeur du pain frais peut être alléchante. Pour votre sécurité et celle des autres, optez pour un port discret et évitez de provoquer les regards !
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Races de chiens de chasse et leurs spécificités

Toutes les infos sur les races de chiens de chasse
Explorez l’univers varié des chiens de chasse
Dans le monde fascinant de la chasse, le choix du chien peut s’avérer crucial. Que vous soyez fan des setters, des braques, des fox, des teckels ou des beagles, chaque race possède ses spécificités qui peuvent faire la différence lors d’une sortie en battue. Des infos pratiques sur le dressage, des conseils sur l’équipement adéquat, et même les tendances des colliers GPS sont au rendez-vous pour vous aider à faire le meilleur choix.
Les chiens de chasse en vedette
Récemment, BFM TV a couvert un concours de chiens courants sur sanglier dans les Hautes-Alpes, mettant en lumière les talents de ces compagnons spécifiquement dressés pour la chasse. Mais quels sont les équipements indispensables pour la sécurité de ces valeureux animaux ? Et pourquoi considérer un ours de Carélie pour vos aventures de chasse ?
Éducation à la chasse : un art maîtrisé
Le dressage est essentiel, surtout pour les teckels, qui sont très prisés pour la chasse au sanglier. De plus, les colliers GPS se sont imposés comme des outils incontournables, mais quels sont leurs avantages et inconvénients ? Pour les novices, un « Top 5 » des races de chiens de chasse adaptées peut être un bon point de départ.
Chiens de chasse et événements
Ce n’est pas tout, 1000 chiens d’exception étaient présents lors du Salon de l’Agriculture 2024, preuve de l’engouement vers ces animaux. En parallèle, un récent sondage révèle que 72% des personnes craignent d’adopter un chien à cause du chagrin potentiel lié à leur décès. Voilà un sujet qui mérite d’être débattu !
Les dangers à surveiller
La leptospirose représente une menace sournoise pour nos amis canins. Il est de notre devoir en tant que propriétaires responsables de protéger nos chiens. Une autre affaire préoccupante est l’empoisonnement de chiens dans le Côte d’Armor, un acte malveillant qui rappelle l’importance de la vigilance lors des sorties.
Les chiens de chasse à travers la France
Le paysage des chiens de chasse en France est riche et varié. Les finales nationales et autres compétitions montrent à quel point ces animaux sont non seulement des alliés des chasseurs, mais également des membres à part entière de la famille. Le Griffon Korthals, par exemple, est souvent choisi pour son adaptabilité, tant lors des chasses qu’en tant que compagnon de vie familiale.
Dans les Landes, des alertes concernant la propagation d’un virus mortel pour les chiens doivent également faire l’objet de notre attention. La santé de nos compagnons est primordiale, et une bonne prévoyance, ainsi qu’une assurance adéquate, peuvent devenir de précieux alliés pour chaque chasseur.
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