Deuxième incendie en une semaine à Mézières-lez-Cléry

Un Deuxième Incendie en Trois Jours à Mézières-lez-Cléry
Le rendez-vous de chasse de Mézières-lez-Cléry de nouveau en flammes
Pour la seconde fois en une semaine, un relais de chasse situé à Mézières-lez-Cléry, dans le Loiret, a été la proie des flammes. Au grand étonnement des pompiers, le même site était déjà parti en fumée plus tôt cette semaine. Que se passe-t-il dans ce coin tranquille du Loiret ?
La Chronologie des Faits
Ce matin, les pompiers du Service Départemental d’Incendie et de Secours du Loiret (SDIS 45) ont reçu un appel pour un nouvel incendie à une adresse qui leur est désormais bien familière : le chemin des Colombiers à Mézières-lez-Cléry. Il s’agit d’un corps de ferme servant de lieu de rendez-vous aux chasseurs du secteur.
Le premier incendie avait déjà ravagé une partie des bâtiments en début de semaine. Toutefois, cette fois-ci, c’est un bâtiment différent de la même propriété qui est concerné. Le caractère suspect de ces incendies éveille des inquiétudes et l’intérêt des forces de l’ordre.
Intervention des Pompiers et Gendarmes
Environ douze pompiers ont été dépêchés sur place dès la réception de l’alerte. Leur mission : contenir le feu et limiter les dégâts. En parallèle, les gendarmes étaient également présents pour sécuriser le périmètre et veiller à la sécurité des habitants à proximité.
Malgré le dévouement et la rapidité d’intervention des secours, les flammes ont causé des dégâts significatifs. Cependant, la propagation du feu a pu être stoppée à temps, évitant ainsi une catastrophe plus grande.
Le Feu Sous Surveillance : Une Nouvelle Enquête
Les pompiers et les gendarmes se penchent désormais sur la nature de ces incendies successifs. L’hypothèse d’une reprise du même incendie semble peu probable, car les deux bâtiments touchés sont distincts. L’enquête pourrait donc prendre une nouvelle dimension, explorant des causes potentielles plus inquiétantes, comme l’intervention humaine.
Les habitants du secteur, ainsi que la communauté des chasseurs, sont sous le choc. La protection d’un lieu de convivialité et de tradition est au cœur de leurs préoccupations et ils espèrent qu’une solution rapide sera trouvée pour mettre un terme à cette série noire.
Prévention et Sécurité : Que Faire ?
Alors que l’enquête suit son cours, il est primordial de rappeler quelques consignes de sécurité pour éviter de tels incidents. Vérifiez les installations électriques régulièrement, assurez-vous que les systèmes de chauffage sont conformes aux normes, et ne laissez jamais des sources d’inflammation sans surveillance.
Pour ceux qui participent à des activités dans des lieux isolés, comme c’est le cas des chasseurs, il est recommandé de signaler immédiatement toute activité suspecte aux autorités. Prenez également soin de ne pas laisser traîner de matériel inflammable.
Conclusion
La succession de ces deux incendies en moins de trois jours à Mézières-lez-Cléry soulève des interrogations légitimes et appelle à la vigilance. La sécurité des lieux de rassemblement, comme les relais de chasse, doit être une priorité pour tous. Restez prudents et veillez sur vos environnements.
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Les Plus Gros Sangliers de France Capturés Entre 2023 et 2024

Les 7 Sangliers les Plus Colossaux de France entre 2023 et 2024
Des Sangliers aux Mensurations Stupéfiantes
La saison de chasse aux sangliers est un rendez-vous attendu avec impatience par nombre de passionnés à travers la France. À cheval sur les années 2023 et 2024, plusieurs spécimens aux tailles impressionnantes ont été abattus, marquant les esprits des chasseurs locaux et nationaux. Voici une rétrospective détaillée des 7 sangliers ayant suscité l’admiration pour leurs mensurations exceptionnelles et leurs attributs notables.
Spectaculaire Prise de 148 kg en Charente
En novembre 2023, dans le Sud de la Charente, les chasseurs de Bardenac et d’Yviers ont eu le privilège de capturer un mâle imposant. Avec une corpulence notable, ce sanglier a marqué les esprits lorsqu’il a révélé son poids de 148 kilos sur la balance. Cette prise a renforcé la réputation de la région en matière de chasse aux gros gibiers.
Proie de 147 kg dans le Tarn-et-Garonne
Début octobre 2024, un autre sanglier impressionnant a été abattu par les chasseurs de Septfonds et Saint-Cirq. Ce spécimen, non seulement lourdement armé mais aussi agressif, a chargé l’un des chasseurs avant d’être abattu à bout portant. La pesée finale a révélé un poids de 147 kilos, classant cet animal parmi les plus gros jamais vus dans cette zone.
Un Keiler de 167 kg400 en Charente
En Charente, un véritable mastodonte a été découvert en octobre 2024 par les chasseurs de Montrollet. Ce solitaire, que les chiens ont fini par débusquer, a été abattu en pleine course. La balance a affiché un poids impressionnant de 167 kg400, ajoutant une nouvelle prise notable à l’histoire cynégétique de la région.
Monstre de 172 kg dans le Jura
La battue organisée par l’ACCA de Rans dans le Jura en octobre 2023 restera gravée dans les mémoires. Lors de cette journée, un sanglier colossal de près de 172 kilos a été abattu suite à une balle bien placée. Ce keiler, en plus de son poids imposant, a fait la fierté et la gloire des participants à cette chasse mémorable.
« L’Attila du Causse » : Une Légende de 130 kg en Aveyron
Parfois, les mythes prennent vie dans les forêts. C’est le cas de ce sanglier surnommé « L’Attila du Causse » par les chasseurs de l’Aveyron. Bien que pesant « seulement » 130 kilos, sa réputation repose sur ses armes redoutables, instillant la crainte chez les traqueurs. Sa capture a été un événement marquant pour tous ceux impliqués dans cette région.
Colosse de 180 kg900 en Bretagne
En octobre 2024, la Bretagne a été le théâtre d’une chasse inoubliable. Les chasseurs en battue à Combourg ont croisé la route d’un sanglier titanesque, culminant à un poids de 180 kg900 une fois abattu. Cette prise hors du commun a été très largement commentée parmi la communauté des chasseurs bretons.
Un Geais de 181 kg dans l’Eure
Pour Dominique, passionné de chasse de l’Eure, novembre 2023 restera un souvenir impérissable. La veille de son anniversaire, il abat un sanglier titanesque de 181 kg lors d’une sortie à Guitry. Ce qu’il décrit comme un « cadeau de Saint-Hubert » a non seulement couronné sa journée mais aussi inscrit cet événement dans les annales cynégétiques de la région.
Si ces récits font rêver, ils ne représentent qu’une fraction des prises spectaculaires réalisées autour de la France. Si vous avez été assez chanceux pour rencontrer un géant de la forêt, nous vous encourageons à partager vos histoires avec nous pour peut-être figurer dans notre prochaine édition.
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Un Amendement Proposé pour Supprimer les Avantages Fiscaux des Associations Anti-Chasse

Un Amendement Visant à Supprimer les Réductions d’Impôts pour les Associations Anti-Chasse
Des Méthodes de Plus en Plus Radicales des Associations Animalistes
Les relations entre chasseurs et associations animalistes prennent un tournant de plus en plus tendu. Ces dernières années, les militants de la cause animale usent de méthodes de plus en plus agressives pour nuire aux activités de chasse. Sabotage de matériel, intrusion illégale sur les terrains de chasse, et même attaques directes contre les chasseurs et leurs chiens en sont quelques exemples. Ces actions radicales perturbent non seulement l’activité des chasseurs mais aussi les débats politiques autour de la chasse en France.
Un Député Propose un Amendement au Projet de Loi de Finances 2025
Le 17 octobre dernier, le député Eddy Casterman a franchi une étape décisive en déposant un amendement au projet de loi de finances pour l’année 2025. Cet amendement vise à supprimer les réductions d’impôts pour les dons faits aux associations dont les membres seraient reconnus coupables d’actes de harcèlement ou de dégradation contre les chasseurs. Selon l’amendement, « Le bénéfice de la réduction d’impôt est exclu pour les dons aux associations dont les adhérents sont reconnus coupables d’actes d’intrusion ou de dégradations sur les territoires où s’exerce le droit de chasse ou d’actes de violence vis-à-vis de chasseurs ou de leurs animaux dressés pour la chasse. »
En plus de la suppression des réductions d’impôts, les associations reconnues coupables ne pourraient plus délivrer de reçus fiscaux permettant à leurs donateurs de défiscaliser leurs dons. Cela pourrait représenter un coup dur pour le financement de ces associations, les privant d’un levier financier crucial pour leurs actions et campagnes.
La Réaction des Associations Anti-Chasse
Comme on pouvait s’y attendre, cet amendement a déclenché une vague d’indignation parmi les associations animalistes. Celles-ci n’ont pas tardé à réagir, utilisant les réseaux sociaux et leurs canaux de communication pour mobiliser leurs militants. Ce que ces associations redoutent avant tout, c’est la perte financière due à la suppression des avantages fiscaux, qu’elles jugent « dangereuse » pour la continuation de leurs activités.
En parallèle, les associations tentent de rassurer leurs adhérents et le grand public en affirmant qu’elles n’encouragent en aucun cas des actions illégales ou violentes. Mais pour les chasseurs, ces déclarations ne sont guère convaincantes, au vu des nombreuses publications et actions passées desdites associations.
Un Précédent et des Espoirs
Il est intéressant de noter qu’un amendement similaire avait été précédemment rejeté. Celui-ci visait des associations comme L214 et Greenpeace pour des intrusions dans les bâtiments agricoles et les installations industrielles. Fortes de ce précédent, les associations anti-chasse espèrent que le nouvel amendement connaîtra le même sort. Néanmoins, les chasseurs et leurs défenseurs ont désormais la possibilité de manifester leur soutien à cet amendement en contactant directement leurs élus.
Appel à l’Action pour les Chasseurs
Si vous êtes vous-même chasseur ou simplement favorable à cette initiative, il est possible d’intervenir en amont pour soutenir l’amendement. Votre participation pourrait contrecarrer les actions de lobbying des associations animalistes. Pour ce faire, adressez-vous à vos députés par courrier, e-mail ou tout autre moyen de communication, et faîtes-leur part de votre soutien à cette mesure de loi.
Conclusion : Un Bras de Fer Législatif
Ce projet de loi semble être le dernier épisode d’un long bras de fer entre chasseurs et animalistes. En s’attaquant au financement des associations via la suppression des avantages fiscaux, le député Casterman cherche à mettre un frein aux méthodes de plus en plus radicales employées par certains militants. La suite des événements dépendra de la capacité des chasseurs et de leurs soutiens à faire entendre leur voix dans le débat parlementaire.
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Sanglier Décomposé Découvert sur une Plage d’Antibes

Un sanglier en décomposition trouvé sur une plage de la Côte d’Azur
Un spectacle inhabituel pour les vacanciers de la Riviera
La Côte d’Azur, réputée pour ses plages ensoleillées et ses eaux cristallines, a récemment été le théâtre d’une découverte peu sympathique. Un sanglier en état avancé de décomposition a été retrouvé sur une plage d’Antibes, choquant autant les touristes que les résidents locaux.
Les premières observations : une invasion de mouches et de frelons
Il n’est pas rare que des sangliers s’aventurent près des zones habitées à la recherche de nourriture. Cependant, cette fois-ci, ce n’était pas un animal vivant qui faisait parler de lui. Tout a commencé avec une odeur insupportable et une nuée de mouches et de frelons visibles depuis la plage. Curieux de ce phénomène, quelques promeneurs se sont approchés et ont découvert ce qui les attendait sous un amas de branches : un sanglier mort.
La découverte macabre : une tragédie écologique
Dimanche 20 octobre, un groupe de promeneurs a fait cette découverte choquante entre le Fort Carré et la Siesta. La carcasse, dissimulée sous des débris apportés par une récente tempête, ne laissait aucun doute quant à la provenance de l’odeur persistante dans l’air. L’animal en état de putréfaction a grandement perturbé la tranquillité des lieux et alerté les autorités locales en raison de son état de décomposition et du risque sanitaire potentiel.
Les conditions météorologiques en cause
Les jours précédant la découverte, la région avait subi de fortes tempêtes et crues. Ces événements météorologiques sévères ne sont pas rares et entraînent souvent des bouleversements majeurs pour la faune locale. Il est plausible que ce sanglier ait été emporté par les flots et charrié jusqu’à la plage par la puissance des eaux en crue. Si les dommages aux habitations et infrastructures humaines sont souvent le centre de l’attention après de telles catastrophes, il est important de se rappeler que la faune et la flore locales en souffrent également.
La gestion de cette situation inattendue
Suite à cette découverte, les autorités se sont activées pour évacuer la carcasse et traiter le site afin de limiter les désagréments pour les visiteurs et les habitants d’Antibes. La décomposition d’un animal si large libère des bactéries et autres agents pathogènes qui peuvent poser des risques sanitaires considérables. De plus, l’importance d’agir rapidement s’imposait pour éviter que l’odeur ne continue de se répandre et d’incommoder tout le quartier.
L’importance des prélèvements cynégétiques
Il faut noter que ce type de situation serait bien plus fréquente si les chasseurs ne procédaient pas à des prélèvements réguliers. En contrôlant la population de sangliers, ils limitent les risques de rencontres déplaisantes ou dangereuses pour les humains et réduisent également les impacts sur l’environnement local. La gestion cynégétique est souvent vue d’un mauvais œil, mais elle joue un rôle crucial dans l’équilibre des écosystèmes, surtout dans des zones où les animaux sauvages s’aventurent de plus en plus près des habitations humaines.
En conclusion : une nature parfois imprévisible
Bien que choquante, cette découverte rappelle l’importance de la gestion et de la préservation de nos environnements naturels. Les sangliers, comme d’autres animaux sauvages, font partie intégrante de notre écosystème et leur présence, bien que parfois inconvenante, est le reflet de la complexité et de la beauté de la nature.
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Incendie Dévastateur dans un Rendez-Vous de Chasse à Mézières-lez-Cléry

Un Rendez-Vous de Chasse Ravagé par les Flammes dans le Loiret
Un Corps de Ferme Transformé en Cendres
Le département du Loiret a été le théâtre d’un tragique incendie ce lundi 21 octobre. Un corps de ferme, utilisé pour des rendez-vous de chasse, a été partiellement détruit par les flammes dans la commune de Mézières-lez-Cléry. Cet incident, survenu peu après 4 heures du matin, a ravagé une partie significative du bâtiment, sans pour autant causer de blessés.
Des Pompiers à la Hauteur de la Tâche
La promptitude des secours a été déterminante dans la gestion de cet incendie. Vingt pompiers, accompagnés de sept véhicules d’intervention, ont été dépêchés sur place. Leur intervention rapide a permis de limiter les dégâts à une surface de 150m² sur les 250m² totaux du corps de ferme. Bien que les pertes matérielles soient considérables, l’intégrité du bâtiment n’a pas été complètement compromise, et aucune victime n’est à déplorer.
Un Mystère Entoure l’Origine du Feu
A ce jour, les autorités n’ont pas communiqué sur les causes potentielles de l’incendie, laissant ainsi planer des doutes quant à l’origine du sinistre. L’absence d’indications claires pousse à la spéculation, surtout quand on prend en compte les incidents similaires survenus récemment.
Des Précédents Alarmants
Ce n’est pas la première fois qu’un rendez-vous de chasse est la proie des flammes. Pas plus tard que 15 jours auparavant, un autre incendie a ravagé un rendez-vous de chasse en Haute-Saône. Dans ce cas, les premiers éléments de l’enquête ont révélé un acte volontaire. La multiplication de ces incidents pousse à s’interroger sur une possible tendance inquiétante visant les infrastructures liées à la chasse.
Une Communauté en Éveil
Ces incidents à répétition mettent en alerte la communauté des chasseurs et les autorités locales. La question de la sécurité des locaux utilisés par les chasseurs devient de plus en plus pressante. Des mesures préventives supplémentaires pourraient être envisagées pour protéger ces lieux des risques d’incendie, qu’ils soient accidentels ou criminels.
Conclusion : Une Surveillance Renforcée Nécessaire
L’incendie survenu à Mézières-lez-Cléry rappelle de façon tragique les dangers auxquels sont exposés les bâtisses rurales. En l’absence de blessés, la lumière doit désormais être faite sur l’origine de ce sinistre. La vigilance est de mise, et les chasseurs ainsi que les autorités doivent redoubler d’efforts pour assurer la sécurité de leurs installations et éviter de telles tragédies à l’avenir.
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Système d’Informations sur les Armes dans le Loiret: Moins de la Moitié des Chasseurs Inscrits à Risque de Sanctions

La Préfecture du Loiret Redoute un Retard d’Inscriptions au SIA
Seulement la Moitié des Chasseurs Inscrits: Un Appel à la Conformité
Dans le département du Loiret, la préfecture tire la sonnette d’alarme face à la lenteur des inscriptions au Système d’Informations sur les Armes (SIA). Malgré les rappels incessants et les options d’assistance proposées, seule la moitié des chasseurs ont répondu à l’appel, mettant ainsi en péril leur conformité avant la date butoir du 31 décembre.
Le Système d’Informations sur les Armes: Une Obligation Négligée
Le Système d’Informations sur les Armes, connu sous le sigle SIA, est une plateforme numérique où les chasseurs doivent créer leur « râtelier numérique ». Cette nouvelle obligation, en vigueur pour les détenteurs d’armes, semble avoir du mal à trouver son public dans certaines régions, y compris le Loiret. Sur les 20 000 chasseurs que compte le département, environ 10 000 seulement ont déjà effectué cette démarche. Une situation préoccupante pour les autorités locales.
Les Solutions Proposées: Assistance et Permanences
Pourtant, la préfecture du Loiret ne manque pas de rappeler que des solutions d’assistance sont disponibles. Les chasseurs peuvent se rendre en préfecture, à la Fédération des chasseurs ou même chez les armuriers pour obtenir de l’aide. Ces permanences sont mises en place pour faciliter l’inscription de ceux qui pourraient être intimidés par les formalités administratives ou par la technologie numérique.
Conséquences de la Non-Conformité: Saisies et Amendes
La préfecture a également mis en garde contre les conséquences d’un défaut d’inscription. Bien que les forces de l’ordre adopteront une première approche pédagogique, les armes non enregistrées risquent la saisie après un certain délai de tolérance. De plus, des contraventions seront infligées aux contrevenants, et ces derniers se verront dans l’impossibilité d’acheter, de vendre ou même de faire réparer une arme chez un armurier. Ces mesures strictes visent à assurer la maîtrise et la traçabilité des armes présentes sur le territoire.
Un Outil en Question: Risque de Surcharge
La crainte d’un afflux tardif d’inscriptions laisse entrevoir un autre problème potentiel: la capacité de la plateforme à gérer un grand nombre de créations de comptes en peu de temps. Des limitations techniques ont déjà été observées par le passé, et les autorités redoutent que l’outil ne soit pas à la hauteur de la tâche si tous les chasseurs attendent la dernière minute pour se conformer.
Conclusion: Ne Pas Attendre, Agir Maintenant
Il est donc crucial pour les chasseurs du Loiret de ne pas remettre au lendemain cette formalité importante. En s’inscrivant dès maintenant au SIA, ils éviteront les déconvenues et participeront à la sécurité collective. La préfecture insiste sur le fait que toutes les ressources nécessaires sont mises à leur disposition pour faciliter ce processus.
Restons vigilants et prenons les mesures nécessaires pour nous conformer aux nouvelles réglementations.
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Pourquoi qui part chasser risque bien plus qu’une place

Comprendre l’expression « Qui va à la chasse perd sa place »
Un héritage linguistique de la chasse
La chasse, pratiquée depuis des millénaires, a laissé une empreinte indélébile sur notre culture et notre langage. De nombreux termes et expressions courantes trouvent leurs racines dans le monde cynégétique. Des expressions comme « prendre les devants », « être à l’affût » ou encore « être aux abois » nous viennent de cette tradition ancestrale. Il en est une, cependant, qui retient régulièrement notre attention : « Qui va à la chasse perd sa place ».
Origines et hypothèses sur l’expression
L’origine exacte de cette expression reste floue, mais plusieurs théories existent quant à sa provenance. Les différentes pistes explorées vont de la mythologie chrétienne à des jeux de cour, en passant par des anecdotes politiques. Voyons cela de plus près.
Une inspiration biblique ?
Première hypothèse : la chasse apparaît fréquemment dans les récits bibliques comme une métaphore pour des comportements humains. Par exemple, Ésaü, frère de Jacob dans l’Ancien Testament, était un chasseur. On pourrait imaginer que l’expression trouve son origine dans les récits où quitter son poste (de veille, de garde) pour aller chasser pourrait signifier perdre une sorte de droit ou de bénédiction. Cependant, aucune preuve concrète ne vient appuyer cette origine.
Un héritage du jeu de paume ?
Une autre hypothèse intéressante renvoie à un sport populaire parmi la noblesse française : le jeu de paume. Lors de cette activité, les joueurs qui quittaient leur poste sans raison valable pouvaient perdre leur place au profit d’autres. Cette explication reste plausible bien que le lien direct avec la chasse soit plus ténu.
Une anecdote politique suisse ?
Enfin, une anecdote politique datant de plusieurs siècles pourrait également expliquer cette expression. Il est dit qu’un politicien suisse, lors d’une réunion importante, aurait quitté son siège pour aller chasser, perdant ainsi une décision cruciale influant sur sa carrière. Ce récit, bien qu’anecdotique, pourrait avoir contribué à populariser l’expression.
Une expression aux multiples usages
Peu importe son origine exacte, « Qui va à la chasse perd sa place » a traversé les âges pour devenir une expression courante dans la langue française. Initialement utilisée pour rappeler qu’abandonner sa position peut avoir des conséquences, elle est souvent utilisée aujourd’hui de manière ludique, parfois avec une connotation légèrement moralisatrice : faites attention à ce que vous abandonnez, car quelqu’un pourrait en tirer profit.
Conserver une place de choix dans la langue française
Quel que soit son contexte, cette expression reste un symbole de la richesse de notre patrimoine linguistique. Elle témoigne de l’influence durable de la chasse sur notre culture et notre quotidien. En continuant d’utiliser ce genre d’expressions, nous perpétuons des traditions et rappelons l’importance de notre héritage culturel.
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Les Nouveaux Défis des Dates d’Ouverture de la Chasse en France

Dates d’Ouverture de la Chasse : Y a-t-il une Logique Derrière les Décalages ?
La Tradition de l’Ouverture Générale en Question
Par le passé, le jour d’ouverture générale de la chasse était un véritable événement pour les passionnés. On comptait les jours, préparant soigneusement les équipements, et on réveillait le fusil et le gilet flambant neuf du placard. Mais les temps ont changé et le concept d’ouverture générale semble de moins en moins pertinent. En effet, dans de nombreux départements français, les dates d’ouverture pour le petit gibier sont de plus en plus décalées, au grand regret des chasseurs traditionnalistes.
Des Délais Qui Déconcertent
Dans certains départements, les périodes d’ouverture pour le faisan ou le lièvre commencent à la mi-octobre. Cette modification est considérablement en retard par rapport aux dates d’autrefois et prive les chasseurs de plusieurs semaines de chasse. La question se pose donc : qu’est-ce qui motive ces décalages ? Les conséquences impactent grandement l’expérience des chasseurs, qu’ils soient novices ou vétérans. Alors qu’ils peuvent encore chasser le grand gibier ou le pigeon, ces modifications du calendrier sont perçues par beaucoup comme une incitation à délaisser progressivement le petit gibier.
Conséquences sur le Terrain et pour les Chasseurs
Les vétérans de la chasse au petit gibier, qui ont connu des jours d’ouverture plus précoces, sont souvent démotivés. Imaginez un chasseur de longue date : la diminution de sa vigueur naturelle avec l’âge combinée à la réduction drastique des jours de chasse autorisés risque de l’encourager à abandonner son permis. Pour les jeunes chasseurs, impatients de faire courir leur chien de chasse fraîchement entraîné, ces délais sont tout aussi frustrants. Attendre le 15 octobre — ou même au-delà — pour chasser le faisan semble une éternité pour ceux qui ne pensent qu’à vivre leur passion.
Justifications Officielles et Réactions des Chasseurs
Les fédérations de chasse avancent plusieurs raisons pour ces décalages, la plus récurrente étant la protection des jeunes animaux durant les périodes de reproduction tardive. L’objectif est d’éviter de tirer des faisans jeunes ou des lièvres juvéniles. D’autres évoquent des conflits entre chasseurs de petit et grand gibier. Cependant, beaucoup considèrent ces arguments dépassés. En 2024, nous prenons encore des décisions basées sur des idées datant des années 1950. Qui plus est, la plupart des territoires de chasse sont soumis à des plans de gestion qui déterminent strictement les prélèvements. Selon les chasseurs, l’idée qu’ils ne sauraient pas distinguer un jeune animal d’un adulte est fortement dévalorisante.
Une Stratégie Contre-productive ?
Certains défenseurs de la chasse estiment que ces reports sont contre-productifs. En pratique, empêcher les chasseurs de répondre à leur passion ne protège pas significativement le gibier. Les chasseurs sont souvent les premiers à surveiller et à préserver leur territoire. Ils savent bien qu’un coq tiré le 20 septembre ne sera ni plus gros ni plus apte 15 jours plus tard. De plus, l’éthique de chasse n’étant pas l’apanage de tous, rallonger ou raccourcir les périodes de chasse n’empêchera pas les violations des règles par ceux qui sont peu scrupuleux.
Des Territoires Saturés et des Chasseurs Frustrés
Il existe des territoires où la population de faisans est abondante, à tel point que la capacité de charge du territoire est atteinte. Si les chasseurs ne peuvent pas prélever ces populations excédentaires, la gestion du gibier devient inefficace. L’idée que les chasseurs de petit gibier hésitent à utiliser leur droit de chasse, par peur de ne pas préserver assez d’animaux, n’a pas de sens pour beaucoup. Le vrai risque, c’est que les chasseurs, déjà peu nombreux, finissent par ranger définitivement leur fusil.
Une Caravane Qui Se Tire une Balle dans le Pied ?
Ces décisions de report sont prises lors des assemblées générales des fédérations de chasse, où les membres votent. Pourtant, dans un contexte où les chasseurs sont déjà confrontés à de nombreuses pressions — des associations anti-chasse aux réglementations de plus en plus strictes — certains se demandent pourquoi ajouter des contraintes supplémentaires. C’est comme si la chasse elle-même mettait des obstacles sur sa route. Avec des adversaires de taille comme des groupes anti-chasse et certaines mouvances politiques, nombreux sont ceux qui appellent à une approche plus pragmatique : permettre aux chasseurs de profiter pleinement de leur activité, sans ajout de contraintes inutiles.
En conclusion, face à ces décalages perçus comme arbitraires, les chasseurs expriment de plus en plus leur frustration. Ils demandent à pouvoir exercer leur passion dans des conditions équitables et adaptées aux réalités contemporaines. La survie de la chasse au petit gibier en dépend peut-être.
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Controverse à la SPA de Lorient : Interdiction d’Adoption pour les Chasseurs

Controverse à la SPA de Lorient : Les Chiens Sauvés des Chasseurs
La Relation Chasseur-Chien en Question
La connexion entre un chasseur et son chien est bien plus qu’une simple camaraderie de terrain. Cette relation est enracinée dans des décennies d’interactions et de loyauté mutuelle. Les chasseurs dépendent souvent de leurs compagnons canins non seulement à la maison, mais aussi dans les bois et les plaines. Mais cette symbiose est régulièrement remise en question par les opposants à la chasse, et la dernière en date à susciter des débats est la SPA de Lorient.
Un Sauvetage Inespéré : Des Chiots en Détresse
Début octobre, un coup de filet en Normandie a permis de libérer une vingtaine de chiots d’un élevage clandestin fonctionnant dans des conditions déplorables. Les petits animaux, majoritairement des épagneuls bretons et des croisés griffons, étaient mal nourris et n’avaient reçu aucun soin vétérinaire. La SPA de Lorient a récupéré ces chiens en état déplorable, assurant ainsi leur survie et leur avenir plus radieux.
Déception et Polémique
Alors que la plupart des amoureux des animaux se réjouissaient de ce sauvetage, la joie a rapidement été ternie par une décision controversée affichée sur le site de la SPA de Lorient. La mention suivante y apparaît clairement : « Attention : si vous êtes chasseur, inutile de vous présenter à l’adoption. Ces chiens doivent être des animaux de compagnie. (Nous y tenons !). »
Ce message a fait l’effet d’une bombe au sein de la communauté des chasseurs, qui y voient une forme évidente de discrimination. La critique qui en découle est double : d’une part, cette position suscite un sentiment d’injustice parmi les chasseurs, et d’autre part, elle prolonge inutilement l’attente des chiens pour trouver un foyer aimant.
La Réaction des Chasseurs
Les chasseurs voient cette interdiction comme une violation de leurs droits et une attaque directe contre leur communauté. « Imaginez un instant la réaction publique si une telle restriction était appliquée à une autre communauté ou à une autre catégorie de personnes ? » se demandent-ils. Pour eux, cette décision de la SPA de Lorient est perçue comme un affront personnel et une sous-estimation de leur capacité à offrir un bon foyer à des animaux en détresse.
Impact sur les Chiots
Pour les chiots nouvellement sauvés, cette décision pourrait signifier un temps d’attente prolongé en box, ce qui va à l’encontre du but initial de les sauver des conditions pitoyables. Les chiens de chasse comme les épagneuls bretons sont souvent mieux compris et plus heureux dans un environnement où leurs instincts peuvent s’épanouir. Même sans chasser, un chasseur offre un cadre de vie adapté et aimant que ces chiens méritent.
Conclusion : Idéologie ou Bien-être Animal ?
La question reste posée : la SPA de Lorient favorise-t-elle réellement le bien-être animal avec cette interdiction, ou s’agit-il d’une position purement idéologique ? Si l’on considère que l’objectif ultime est de placer les chiens dans des foyers aimants, cette interdiction pourrait bien être contre-productive.
Quoi qu’il en soit, cette décision a ouvert un débat sur la manière dont les organismes de protection animale définissent les critères d’adoption et sur la place des chasseurs dans ces processus.
Article rédigé par Actuchasse avec notre partenaire à la une : Caninstore
Mystérieux incendie nocturne détruit local de chasse en Haute-Saône

Un local de chasse détruit par un incendie en Haute-Saône : l’énigme d’un possible acte criminel
Des flammes ravageuses en pleine nuit
Dans la paisible commune de Marnay en Haute-Saône, une tragédie a frappé la communauté des chasseurs. Dans la nuit de vendredi à samedi, un incendie dévastateur a totalement réduit en cendres un local de chasse local. Les équipements de protection incendie ont été rapidement alertés aux environs de 2 heures du matin, mais à leur arrivée, l’édifice était déjà profondément touché par les flammes.
Bien que les pompiers aient fait preuve d’une diligence remarquable, atteignant le site une demi-heure après le signalement, l’ampleur de l’incident a rendu vaine toute tentative de sauver le bâtiment. Leur intervention a cependant permis de contenir le feu, empêchant une propagation désastreuse aux zones environnantes.
Un lieu de convivialité perdu
Ce local n’était pas seulement un simple abri pour les chasseurs de Marnay. Il s’agissait d’un véritable sanctuaire de camaraderie et de traditions partagées. Il réunissait régulièrement une quarantaine de chasseurs provenant de Marnay et de la commune voisine de Cult. C’était un espace où étaient échangés des récits de chasse mémorables, où on se régalait de plats préparés ensemble, et où les discussions, parfois passionnées, tissaient le lien social de cette communauté soudée.
Les premières pistes de l’enquête
Les autorités locales, rapidement descendues sur les lieux, ont écarté l’hypothèse d’un accident. L’absence de raccordement électrique dans le bâtiment et son équipement minimal laissent peu de place aux doutes pour les enquêteurs. Les premières observations des équipes scientifiques conduisent à penser que la piste criminelle est la plus probable.
Ce n’est pas la première fois que des locaux de chasse sont pris pour cible. En effet, une série d’incidents similaires a été rapportée à travers la France, suscitant une préoccupante montée de tensions dans le milieu des chasseurs.
Reconstruction et espoir
Malgré la perte significative, les chasseurs de Marnay ne comptent pas se laisser abattre. Déterminés à reconstruire leur point de rassemblement, ils mettent tout en œuvre pour rétablir cet espace si précieux à leurs yeux. Leur détermination témoigne de la résilience et de l’esprit communautaire qui règnent parmi les passionnés de la chasse.
Un appel à la vigilance
Face à la recrudescence de ce type d’actes malveillants, il est crucial de prôner la vigilance et la solidarité au sein de la communauté des chasseurs. Des mesures de sécurité accrues et une surveillance renforcée pourraient dissuader d’éventuels auteurs d’incendies criminels et protéger des lieux souvent essentiels à la vie communautaire.
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