France 3 Dordogne Découverte d’une Palombière et de la Fièvre Bleue

France 3 Dordogne Découverte d'une Palombière et de la Fièvre Bleue

France 3 Découvre une Palombière en Dordogne

La Fièvre Bleue : Un Mal Incorrigible

Les équipes de France 3 Nouvelle-Aquitaine se sont aventurées en Dordogne pour découvrir l’univers fascinant des paloumayres, en pleine saison de chasse à la palombe, qui s’étend du 1er octobre au 20 novembre. À Liorac-sur-Louyre, non loin de Bergerac, les journalistes ont rencontré Hubert, propriétaire de la palombière, accompagné de Jean-Pierre et Alain, maire de la commune voisine de Rouffignac-de-Sigoulès. Ensemble, ils ont dévoilé les secrets de ce qui les anime chaque année : la fameuse fièvre bleue.

Des Techniques Pointues et Une Réglementation Stricte

Lors de ce reportage, nos paloumayres ont expliqué leurs techniques de chasse sophistiquées. De la taille des arbres au positionnement stratégique des appelants, sans oublier le complexe réseau de ficelles et de palettes servant à activer ces derniers, rien n’a été laissé au hasard. Ils ont également évoqué l’obligation du tir « au posé », une règle stricte pour ce type de chasse. Mais au-delà des techniques, c’est la passion brûlante et presque obsessionnelle pour la chasse à la palombe qui transparaît dans leurs témoignages.

Une Passion Immortelle

La fièvre bleue ne faiblit pas avec les années pour ces chasseurs du sud-ouest. Leur fascination pour la palombe et les liens quasi fraternels qui les unissent transforment chaque saison en une aventure chargée d’émotions intenses. Pendant plusieurs semaines, ils vivent des moments exaltants qu’ils savourent avec une délectation inébranlable, année après année.

Pour plonger au cœur de cette passion, découvrez le reportage de France 3 en suivant ce lien : https://caninstore.com/fr/

Article rédigé par Actuchasse pour Caninstore.

Palombière tradition chasse amitié convivialité

Palombière tradition chasse amitié convivialité

Palombière : la tradition de la chasse, mais où l’amitié et la convivialité sont les seuls mots d’ordre

Une Alliance Traditionnelle et Moderne au cœur des Bois

Sur les coteaux de la vallée du Lot, dans le Livradais, des paloumayres se retrouvent au lever du jour en ce début d’automne pour observer le passage des palombes. Rencontre.

Nuit noire, sur la route, les quelques véhicules qui circulent disparaissent bizarrement au détour d’un chemin, d’une allée, ou d’une piste pas éloignée d’un bois. Un véhicule de la police de l’environnement roule aussi. Étrange ballet dans des endroits reculés habituellement déserts. Pointe du jour, dans les phares, une piste nous mène au bois. Quelques grives posées sur le chemin indiquent un début de passage.

Octobre marque la saison de la migration bleue. La palombière est nichée au cœur de la nature. À l’orée, des lueurs, concession au progrès, des lampes frontales s’agitent dans le bois. En silence, des ombres furtives s’affairent au pied des chênes. Il est temps de monter les appeaux. Pas un geste de trop, pas un pas de travers, le terrain est connu et reconnu.

À l’aube, nous pénétrons dans la cabane, la palombière. Lieu emblématique où se mêlent des années de chasse traditionnelles et la modernité. La cuisine avec sa galerie de photos des amis disparus, des journées de fêtes, sa cheminée, son four, la télé pour regarder les matchs de rugby, tout y est. Jusqu’aux baies vitrées sérigraphiées camouflage, le grand luxe.

Le café avalé, direction l’étage et la « gueytte », le poste du chef d’orchestre de la journée. Le ciel est bleu, après les deux derniers jours où des vols de palombes ont enfin été aperçus, l’espoir d’une grosse journée de passage. Et, maintenant, il n’y a plus qu’à patienter.

La conversation porte sur le positionnement des appeaux, les places de chacun des chasseurs, celle de l’ami Pierrot, la plus convoitée, disparu cette année, marquée des initiales du facétieux pilote de rallye bien connu. Et enfin les premières sont là, malmenées par un vent de sud-est, elles déboulent comme propulsées par un lanceur de ball-trap à raz du tapis taillé pour favoriser la pose. Elles passent sans perdre une seule plume, les chasseurs les regardent, habitués à ces journées de folie où on ne les voit que voler sans s’arrêter. Le spectacle est grandiose, les prises sans importance, les paloumayres sont des philosophes, éternels enfants dans leurs cabanes au fond des bois.

L’amitié, la convivialité sont les seuls mots d’ordre. La tradition perdure.

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Un dimanche à la chasse à Vuillafans

Un dimanche à la chasse à Vuillafans

Un dimanche à la chasse : dans les pas des chasseurs à Vuillafans

Découverte et immersion au cœur de la chasse

Alors que le soleil se lève à peine, la cabane de chasse de Vuillafans s’anime déjà. Chasseurs et visiteurs se rassemblent, prêts pour une journée pleine de découvertes. Cette initiative, baptisée « Chasser les idées reçues » et organisée par la Fédération départementale de la chasse, vise à démystifier une pratique souvent méconnue et critiquée.

Planification et sécurité : des éléments clés

Sur place, une cartographie précise du territoire de chasse est étudiée avec minutie. Émilien s’affaire autour de ses chiens, leur mettant collier et harnais fluo pour assurer leur sécurité. Patrick Chanussot, président de l’association intercommunale de chasse agréée de Vuillafans/Châteuvieux-les-Fossés, place stratégiquement tireurs et traqueurs sur la carte.

Les chiens sont également préparés avec soin avant le départ. Patrick, toujours équipé d’un GPS, suit les déplacements de ses compagnons à quatre pattes en temps réel, gage de sécurité et d’organisation optimale.

À la rencontre de la faune et la flore locales

Le départ sonne et très vite, les chiens donnent l’alerte : un sanglier a été détecté dans les parages. La chasse mène les participants à travers une nature luxuriante, offrant des vues imprenables et un vrai bol d’air frais. Les chiens, véritables compagnons de route, jouent un rôle essentiel en épaulant les chasseurs.

Les chiens, des alliés indispensables

Octave, un bruno saint-hubert, et Rikou, un drahthaar au flair impeccable, illustrent l’importance des chiens dans cette pratique. Ils ne sont pas seulement des aides précieuses pour repérer le gibier, mais aussi des amis fidèles des chasseurs.

Chasse et randonnée : un duo gagnant

Au-delà de l’acte de chasse, c’est également le plaisir de la randonnée qui est au rendez-vous. Traverser les forêts, gravir les collines, et profiter de la beauté de la nature ajoutent une dimension supplémentaire à cette activité.

Conclusion et perspectives

Cette journée sur les hauteurs de Vuillafans a permis de mieux comprendre les enjeux et la beauté de la chasse, loin des clichés et des idées reçues. Une belle occasion pour les sceptiques de découvrir une facette souvent ignorée de cette pratique.

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Mission des chasseurs : réguler sangliers blaireaux et ragondins dans les cultures de maïs

Mission des chasseurs : réguler sangliers blaireaux et ragondins dans les cultures de maïs

Les chasseurs missionnés pour réguler sangliers, blaireaux et ragondins

Un engagement renouvelé pour contrôler les populations de nuisibles

Les chasseurs de Couville et d’Hardinvast ont été missionnés pour surveiller et réguler les populations de sangliers, blaireaux, et ragondins. Cette tâche leur a été confiée dans le cadre d’une convention renouvelée pour cinq ans avec la ville de Cherbourg-en-Cotentin, couvrant une cinquantaine d’hectares de terrains.

Pièges, chasses et agrainages pour préserver les champs de maïs

« Ce sont des animaux qui font énormément de dégâts sur les cultures, » explique Lionel Chadée, membre de l’Amicale des chasseurs de Couville. « Les sangliers, dotés d’un odorat exceptionnel, déterrent les semis de maïs et coupent les tiges lorsqu’elles commencent à se développer, laissant parfois des hectares entiers sans une seule tige debout. »

Les blaireaux, quant à eux, creusent de vastes tunnels à travers les champs, mettant en danger le bétail, tandis que les ragondins peuvent percer les berges et causer des vidanges d’étangs et de rivières. Pour contrer ces problèmes, les chasseurs posent des pièges à ragondins, installent des clôtures électriques et procèdent à l’agrainage pour éloigner les sangliers des cultures.

Avec la régulation, moins de dégâts et moins d’accidents

Les chasseurs s’appuient sur les traces et les dommages observés pour estimer la population animale. Si une surpopulation est détectée, des parties de chasse sont organisées, rarement plus de trois fois par an. « En prélevant quelques sangliers chaque saison, on parvient à déplacer les autres, réduisant ainsi les dégâts pour les agriculteurs, » se réjouit Lionel Chadée.

Les résultats sont probants non seulement sur les cultures, mais également sur la sécurité routière. « Depuis deux ans, nous n’avons plus connu d’accidents de la route impliquant du gibier, » note Éric Guillemeau, adjoint au maire de Couville. « La régulation diminue les risques d’accidents, que ce soit sur les routes locales ou même sur la ligne SNCF entre Cherbourg et Paris.”

La chasse au gabion atout pour la biodiversité des marais du Cotentin

La chasse au gabion atout pour la biodiversité des marais du Cotentin

La chasse au gabion, essentielle à la biodiversité dans les marais du Cotentin

Le rôle des chasseurs dans la préservation des marais

Depuis le 21 août 2024, près de 7 000 chasseurs de gibiers d’eau ont rejoint leurs résidences secondaires autrement connues sous le nom de gabions dans le département de la Manche. Ils y resteront jusqu’au 31 janvier 2025, marquant la fin de cette pratique ancestrale. « On est arrivé samedi soir. Juste avant 20 heures, avec mon petit-fils, nous avons tiré deux canards, dont un siffleur », raconte Jean-Louis Lehot, une figure bien connue au sein du Parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin. Louis, son petit-fils, n’a pas hésité à se lever à 2 h 45 pour veiller le reste de la nuit, ajoutant que « les canards se sont posés juste en face de nous, dans la mare ».

Une matinée de découverte ouverte au public

Le lendemain matin, Jean-Louis, Louis et trois générations de la famille Lehot se sont joints aux membres de l’Association des Sauvaginiers des Marais du Cotentin et du Bessin (ASMCB) pour une matinée de découverte de la chasse au gabion à Auvers, près de Carentan. Une occasion ouverte au public qui a permis de plonger dans les conditions automnales habituelles des « gabionneurs », avec un vent fort et constant accompagné de bruine.

La chasse au gabion : un sujet à controverse

La chasse au gibier d’eau passionne et divise. Pour ses adeptes, elle est essentielle à la gestion de la biodiversité. En effet, les gabionneurs participent à l’observation de la migration des oiseaux et à l’entretien des espaces difficiles d’accès comme les marais du Cotentin, en lien avec les agriculteurs. « Sans nous, les mares ne sont pas entretenues. Elles sont vitales pour la reproduction des oiseaux migrateurs », explique Michel, 71 ans, qui arpente ces terres depuis son enfance.

L’implication des chasseurs dans la recherche scientifique

Selon un arrêté national datant de 1986, les gabionneurs peuvent prélever jusqu’à 25 oiseaux sur 24 heures. De plus, ils sont de plus en plus impliqués dans le suivi scientifique de la migration. Dans la Manche, une centaine de chasseurs identifient les ailes de leurs prélèvements en partenariat avec l’Association nationale des chasseurs de gibiers d’eau (ANCGE). « Cette action, qui existe depuis 9 ans, permet de déterminer le sexe et l’âge des oiseaux », explique Grégoire Fautrat, membre de l’ASMCB et ancien technicien à la Fédération départementale des chasseurs de la Manche. En moyenne, 70 % des prélèvements doivent être de jeunes oiseaux pour évaluer si ce mode de chasse impacte la population des espèces.

Les gabions : un patrimoine familial

Avec environ 650 gabions dans le département de la Manche, dont 500 installés dans les marais, ces structures sont généralement transmises de génération en génération. Parfois, elles sont vendues, et les prix varient considérablement en fonction des équipements, de la fonctionnalité et surtout de l’emplacement, allant de 10 000 à 200 000 euros.

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Les chasseurs véritables écologistes

Les chasseurs véritables écologistes

Les chasseurs, les vrais écologistes

Chasse et écologie : une relation naturelle

L’automne est bien ancré dans nos paysages avec son florilège de couleurs. La sauvagine a entrepris son périple migratoire alors que la saison des amours enchante plusieurs mammifères dans nos forêts québécoises.

Mais pour plusieurs, l’automne est synonyme de la saison de la chasse. La récente chronique « Faut-il interdire la chasse? » a suscité de vives réactions, et ce débat met en lumière une perspective intéressante : celle des chasseurs comme véritables écologistes.

La chasse, un équilibre écologique

Le cœur du problème, selon certains critiques, repose sur l’idée que la chasse n’est plus nécessaire pour gérer les écosystèmes ou pour notre alimentation. Cette vision pose la chasse comme une activité désuète, mettant en avant les intérêts humains au détriment du bien-être animal et environnemental.

Cependant, cette vision est contestée par de nombreux chasseurs et experts, qui considèrent plutôt que les abus, les récoltes excessives et les déséquilibres écologiques sont les véritables menaces. Les chasseurs sportifs, par leur activité, s’imposent comme des participants profondément engagés dans l’ordre naturel, même artificiel, du monde terrestre.

Une véritable conscience écologique

Les connaissances nécessaires aux chasseurs pour réussir dans les divers milieux naturels du Québec ne se limitent pas à la simple maîtrise de règles et de lois. Elles développent chez eux une sensibilité à la complexité et à la fragilité des équilibres naturels. Les chasseurs deviennent ainsi des acteurs clés dans la préservation de l’environnement.

À la chasse, ils retrouvent des sens et des instincts oubliés. Le respect de l’animal abattu, et le cérémonial entourant la consommation du gibier, témoignent d’une profonde admiration pour la nature. La chasse est alors perçue comme une poursuite d’amour pour la nature.

Historiquement, des chasseurs naturalistes

Il est intéressant de noter que de nombreux naturalistes éminents étaient également des chasseurs passionnés. John-James Audubon, par exemple, observait et illustrait la faune avec un œil profondément respectueux, tout en menant une vie de chasseur. Son approche a permis de valoriser de vastes territoires naturels du Québec, une pratique poursuivie par de nombreux chasseurs d’aujourd’hui.

En conclusion, la chasse, loin d’être une menace écologique, peut être envisagée comme un outil de gestion et de préservation des écosystèmes, menée par ceux qui en sont les plus conscients : les chasseurs.

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Un sanglier mort retrouvé sur une plage de la Côte d’Azur

Un sanglier mort retrouvé sur une plage de la Côte d'Azur

Un sanglier retrouvé mort sur une plage de la Côte d’Azur

La découverte macabre après les intempéries

Ce dimanche 20 octobre, le corps d’un sanglier a été retrouvé sans vie sur la plage d’Antibes, encaissé entre les galets et les débris charriés par la tempête Leslie. La scène s’est déroulée entre le Siesta et le Fort Carré, sous les yeux ébahis de Nadia, une habitante locale.

Le choc des promeneurs

Alors que Nadia se promenait tranquillement sur la plage, elle a aperçu le cadavre d’un animal sauvage partiellement recouvert de bouts de bois. « Regardez, il y a un sanglier », s’exclame-t-elle, pointant du doigt la carcasse. En s’approchant, une odeur désagréable de putréfaction l’a saisie. Autour de la dépouille, des frelons et de nombreuses mouches battaient des ailes, accentuant l’atmosphère lugubre de la scène.

Les antécédents : des sangliers dans le lit du Paillon

Quelques jours avant la tempête, le 15 octobre précisément, des sangliers avaient été aperçus dans le lit de la rivière Paillon. Il est fort probable que l’animal retrouvé sur la plage soit l’une des victimes des fortes crues engendrées par les intempéries.

Un dénouement tragique

Cette triste découverte a rappelé combien les animaux sauvages sont vulnérables face aux caprices de la nature. Les tempêtes et les crues peuvent emporter ces créatures loin de leur habitat naturel, les menant parfois à une fin tragique.

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Un sanglier s’invite dans un appartement en Turquie

Un sanglier s'invite dans un appartement en Turquie

Quand un très gros sanglier monte dans les étages d’un appartement

Les sangliers, nouveaux habitants des résidences urbaines

Une vidéo surprenante en provenance des réseaux sociaux turcs nous montre un impressionnant sanglier flânant dans les étages d’un appartement. L’animal, manifestement attiré par quelque chose dans une résidence turque, a suscité la stupéfaction des résidents qui ne s’attendaient évidemment pas à une telle visite devant leurs portes.

Ce genre d’incident devient de moins en moins rare : les sangliers s’aventurent de plus en plus près des zones habitées, ayant compris que la proximité avec les humains leur assure une nourriture abondante.

Le phénomène en France

En France, ces apparitions sont particulièrement courantes dans le sud du pays. Il n’est plus étonnant de rencontrer des sangliers au cœur des parcs de Marseille, sur les ronds-points de Fréjus ou encore dans les piscines des habitants des Alpes-Maritimes.

Face à cette situation, peut-être serait-il judicieux de revoir la législation en matière d’utilisation des arbalètes dans ces régions afin de mieux gérer ces intrusions imprévues ?

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Deux jeunes meurent dans un accident de voiture en présence possible de sangliers

Deux jeunes meurent dans un accident de voiture en présence possible de sangliers

Deux jeunes de 18 et 19 ans meurent dans un accident de voiture, des traces de sangliers retrouvées à proximité

Accident à Saint-Sulpice-et-Cameyrac lié à la présence de sangliers?

Aux alentours de 4 h 15 du matin, ce samedi 19 octobre, deux jeunes adultes âgés de 18 et 19 ans sont décédés dans un accident de voiture, sur une route de la commune de Saint-Sulpice-et-Cameyrac, en Gironde. La piste d’une traversée de sangliers est envisagée.

L’accident mortel a eu lieu tôt dans la matinée, ce samedi 19 octobre, aux alentours de quatre heures du matin. Dans la commune de Saint-Sulpice-et-Cameyrac, en Gironde, deux jeunes adultes sont décédés dans un accident de voiture sur une route départementale de la commune, indiquent les pompiers du centre opérationnel départemental d’incendie et de secours.

« Leur voiture a foncé dans un arbre », rapporte le maire de la commune de Saint-Sulpice-et-Cameyrac, Pierre Cotsas, arrivé sur les lieux de l’accident aux alentours de cinq heures du matin. « Les deux jeunes qui étaient à l’intérieur, une jeune femme de dix-huit ans et un jeune homme de dix-neuf ans, sont décédés sur le coup », poursuit l’élu, précisant qu’ils n’étaient pas originaires de la commune, mais de celles de Saint-Loubès et Izon, en Gironde.

Si les circonstances exactes de l’accident ne sont pas encore connues, l’hypothèse d’un choc avec des animaux sauvages est envisagée : « des sangliers ont été aperçus à proximité et des bouts de cadavres d’animaux ont été retrouvés », rapporte le maire de la commune.

Une enquête a été ouverte par la brigade de gendarmerie de Carbon-Blanc et devrait permettre de confirmer ou d’infirmer ces premiers éléments afin de préciser les circonstances de ce drame.

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Menace pour Cocotte une laie apprivoisée

Menace pour Cocotte une laie apprivoisée

Menace sur une Laie Apprivoisée : Les Maîtres de Cocotte en Appel à l’Aide

Une mobilisation pour sauver Cocotte, la laie de 3 ans vivant dans une grange en France

Vida, une association de défense des animaux, s’efforce de « sauver la vie » de Cocotte, une laie âgée de 3 ans, qui a grandi dans une grange attenante à la maison de ses propriétaires. Mais les conditions de détention d’animaux sauvages en France rendent cette situation problématique.

Cendrine Perrot, mandataire de l’association Vida, se rendait récemment dans un petit village près d’Arnay-le-Duc pour rencontrer une famille locale. Elle explique : « Je suis tenace et engagée. On va vous aider avec votre laie, vous pouvez compter sur nous ». Cocotte, la laie concernée, vit depuis sa naissance dans une grange apposée à la maison d’une famille en proie à d’importantes difficultés sociales et des problèmes de santé. La famille raconte avoir recueilli Cocotte alors qu’elle n’était qu’un petit marcassin.

Cependant, les lois françaises interdisent de détenir des animaux sauvages, et le sanglier n’est pas une exception à cette réglementation. L’association Vida voudrait construire un enclos pour Cocotte afin d’améliorer ses conditions de vie actuelles, jugées très difficiles.

Cette histoire met en lumière les complexités de la détention d’animaux sauvages en France et les mesures nécessaires pour assurer leur bien-être, tout en respectant la législation en vigueur.

Pour plus d’informations et suivre les actualités concernant Cocotte et d’autres sujets de chasse, rendez-vous sur Caninstore.

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