Abattage controversé des chamois dans le Doubs

Abattage controversé des chamois dans le Doubs

Polémique sur l’abattage de chamois dans le Doubs

Une pétition pour un moratoire face à l’abattage généralisé

Dans le Doubs, une polémique éclate autour d’un nouveau plan de chasse qui autorise l’abattage de 478 chamois pour cette année. L’annonce de la préfecture a fait bondir de nombreuses voix, entraînant le lancement d’une pétition par l’association Humanimo. Plus de 53 000 personnes, préoccupées par la situation, ont d’ores et déjà signé ce document réclamant un moratoire sur la chasse aux chamois.

Jacques, un des signataires, pose une question qui résonne : « Quand la France va-t-elle cesser de favoriser les chasseurs au détriment de la conservation de la nature et de la biodiversité ? » Ce sentiment se partage chez beaucoup de citoyens, soulignant un désaccord croissant face aux décisions administratives jugées contraires à l’éthique environnementale.

La justification de la préfecture : prévention des dégâts forestiers

Dans son arrêté, la direction départementale des territoires évoque la nécessité de « prévenir et maîtriser les dégâts forestiers » causés par ces animaux. Cependant, des experts évoquent que les dégâts imputés aux chamois seraient minimes et que leur régulation n’est pas forcément justifiée. La tension monte entre les défenseurs des animaux et les chasseurs, ces derniers étant perçus comme les bénéficiaires d’un système qui semble ignorer les véritables enjeux de la biodiversité.

Cette situation met en lumière une question moins simple qu’il n’y paraît. D’un côté, il y a la nécessité d’assurer un équilibre dans les écosystèmes, mais de l’autre, l’approche actuelle pourrait-elle faire plus de mal que de bien ? Avec chaque jour qui passe, et chaque nouvelle signature sur la pétition, l’opposition à cette chasse programmée semble ne faire que croître.

Au fur et à mesure que le débat avance, il est clair que la lutte pour la protection des chamois dans le Doubs n’est qu’un chapitre d’une histoire plus large sur la gestion de la faune sauvage en France. La balle est maintenant dans le camp des autorités, qui devront répondre à une demande de plus en plus pressante : celle de veiller à la santé de nos écosystèmes tout en prenant en compte les pratiquants de la chasse.

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Chasseurs en urgence pour respecter l’échéance SIA

Chasseurs en urgence pour respecter l'échéance SIA

Les chasseurs contre la montre : échéance de conformité au SIA

Les chasseurs n’ont que quelques heures pour se mettre en règle ! En effet, la date limite pour l’inscription sur le Système d’Information sur les Armes (SIA) est fixée à ce soir, 31 décembre 2024. Un délai qui, bien qu’ayant été repoussé à plusieurs reprises, n’est plus extensible. Si certains attendent encore le dernier moment, il est temps de passer à l’action.

Une obligation faite de reports

Remontons un peu dans le temps. En 2020, le gouvernement a annoncé des changements concernant la détention des armes de chasse. Autrefois, certaines armes n’avaient pas besoin d’être déclarées, mais avec l’introduction du SIA, il est désormais indispensable de déclarer toutes les nouvelles acquisitions. Ce système, qui devait faciliter l’enregistrement des armes, a rencontré bien des difficultés techniques, poussant la première échéance à 2022, puis à 2023, avant d’atteindre la date fatidique d’aujourd’hui.

Les chasseurs face à des enjeux importants

Cette situation a suscité de vives réticences parmi les chasseurs, beaucoup se sentant dépassés par la complexité du système. De plus, des inquiétudes quant aux répercussions des non-inscriptions subsistent. En effet, la non-conformité pourrait entraîner la saisie des armes, l’impossibilité de valider son permis de chasser, et même un risque d’inscription au Fichier National des personnes interdites d’acquisition et de détention d’armes.

Ce qu’il reste à faire pour les retardataires

Pour ceux qui n’ont pas encore créé leur compte en ligne, il est impératif de le faire au plus vite. Un petit coup de pouce : toutes les armes de chasse ne doivent pas nécessairement être déclarées, alors pour plus de détails, n’hésitez pas à consulter nos articles précédents concernant le SIA. En résumé, seul un petit effort pour remplir quelques formulaires en ligne peut vous éviter bien des tracas futurs.

Rappelons en passant que le gouvernement planifie également d’interdire les colliers électriques dans le cadre de son programme de protection animale. Des temps chargés pour les chasseurs, sans aucun doute !

Pour en savoir plus sur la déclaration de vos armes et vous assurer que vous êtes en conformité, visitez notre site Caninstore. Ne laissez pas cette échéance vous passer sous le nez, agissez maintenant !

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Creation obligatoire de compte SIA pour détenteurs d’armes

Creation obligatoire de compte SIA pour détenteurs d'armes

Obligation de créer un compte SIA pour les détenteurs d’armes

Dernière chance pour se mettre en conformité

Si vous êtes détenteur d’une arme, l’échéance s’approche à grands pas ! Vous avez jusqu’au 31 décembre 2024 pour créer votre compte sur le Système d’Information sur les Armes (SIA). Cette démarche concerne non seulement les chasseurs, mais aussi les tireurs sportifs licenciés, les collectionneurs, ainsi que les personnes ayant hérité d’une arme.

Il est impératif de se rappeler que sans un compte SIA actif après cette date, vous serez considéré comme étant en situation d’illégalité. Cela signifie que vous ne pourrez ni acheter, ni céder une arme, et même l’entretien de votre fusil dans une armurerie deviendra impossible. Pas très pratique, n’est-ce pas ?

Le SIA est disponible sur le site du Ministère de l’Intérieur, et la procédure d’inscription est simple, alors ne tardez pas à vous mettre en règle !

Alors, qu’attendez-vous ? Évitez les tracas et agissez avant que cette date ne devienne un mauvais souvenir.

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Retour de la maladie dAujeszky en Dordogne avec euthanasie de chiens de chasse

Retour de la maladie dAujeszky en Dordogne avec euthanasie de chiens de chasse

Retour de la maladie d’Aujeszky en Dordogne : six chiens de chasse euthanasiés

En Dordogne, la peur de la maladie d’Aujeszky refait surface avec l’euthanasie récente de six chiens de chasse à cause de cette maladie virale préoccupante. À peine une semaine après l’abattage d’un élevage de sangliers au Buisson-de-Cadouin, touché par le virus, des vétérinaires tirent la sonnette d’alarme au sujet des dangers que courent nos fidèles compagnons.

Des symptômes alarmants chez les chiens de chasse

La maladie d’Aujeszky, qui peut être fatale pour les chiens en un temps record, est transmise par l’ingestion de sang de sangliers ou de porcs contaminés. Jude les vétérinaires déplorent la perte de six chiens dans la région, tous présentant des symptômes évocateurs. Les propriétaires, comme Mickaël Albié, chasseur passionné de Belvès, se retrouvent face à des choix déchirants. Sa chienne, Raya, a été euthanasiée après avoir mordu un sanglier lors d’une battue.

« On sait que nos chiens ne vont pas finir à nos côtés, mais au bout de quatre ans, partir dans ces souffrances, c’est particulier… Je le souhaite à personne », exprime Mickaël, ému par la perte de son compagnon.

Une localisation précise et un abattage préventif

Le vétérinaire Raphaël Ovart, qui a dû faire face à cette tragédie dans son cabinet à Villefranche-du-Périgord, affirme que la situation est préoccupante. « Malheureusement, les symptômes sont évocateurs, donc on est sûr que c’est cette maladie-là », déclare-t-il. Les chiens touchés montrent des comportements d’automutilation, se grattant frénétiquement la gueule, et présentant de graves contusions.

Dans une tentative de contenir l’épidémie, seize sangliers ont été abattus sur réquisition préfectorale. Mickaël pense que Raya a été contaminée lors de l’incident où un tir, initialement manqué, a entraîné une traque par les chiens dans des zones densément végétalisées.

Changement de pratiques pour préserver la santé des chiens

Profondément affecté, Mickaël a décidé de modifier ses méthodes de chasse. Fini de relâcher les chiens après un tir : désormais, il privilégiera leur sécurité en utilisant une laisse. Parallèlement, il envisage d’implanter une association pour unir les chasseurs français face à cette menace.

Pas de vaccin, mais des solutions temporaires

Actuellement, il n’existe pas de vaccin pour prévenir la maladie d’Aujeszky chez les chiens. Cependant, Raphaël Ovart propose un sérum, conçu pour les porcs, avec une efficacité limitée. Pour Mickaël, ces contraintes additionnelles semblent trop lourdes à porter. Il espère que son initiative rassemblera des idées pour des solutions plus durables.

Des questions sur le retour incessant du virus

Les experts s’interrogent : pourquoi le virus réapparaît-il chaque année à la même période ? « Ça fait trois, quatre ans qu’on a cette maladie-là, tout le temps à cette saison, précisent les vétérinaires. Les sangliers sont souvent plus stressés durant cette période de chasse, ce qui les rend plus contagieux », conclut Raphaël.

La maladie d’Aujeszky continue d’alerter chasseurs et vétérinaires sur les enjeux de santé animale en Dordogne. Ces événements tragiques rappellent l’importance d’une vigilance accrue et d’une adaptation des pratiques de chasse face à cette menace persistante.

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Loup sauvage inquiète éleveurs dans le Loiret

Loup sauvage inquiète éleveurs dans le Loiret

Un loup en déroute dans le Loiret : une série d’attaques inquiète les éleveurs

Depuis la mi-décembre, le Loiret est le théâtre d’une inquiétante série d’attaques attribuées à un loup, causant l’effroi parmi les éleveurs de la région. Récemment, la découverte d’un agneau éventré près de Montargis a officiellement confirmé la présence du célèbre Canis Lupus. Seul un loup en quelques jours a pu causer deux attaques documentées, une première à Dammarie-en-Puisaye où cinq brebis ont été tuées et une seconde à Corquilleroy, où un agneau a été retrouvé mutilé.

Les éleveurs, face à cette menace, redoublent d’efforts pour protéger leur cheptel. Ainsi, des initiatives comme l’installation de caméras de surveillance, l’utilisation de clôtures électriques et même le recours à des chiens de défense se multiplient. L’Office Français de la Biodiversité (OFB) a confirmé que l’animal responsable n’est autre qu’un loup, mais cela ne surprend guère certains acteurs locaux.

Un chasseur de Corquilleroy raconte avoir croisé le prédateur à deux reprises, prenant d’abord ce dernier pour un gros chien avant de réaliser son erreur. Intrigué, il s’est équipé de jumelles pour traquer à nouveau le canidé, fascinante créature qui, tout en revenant dans son habitat boisé, s’assurait de ne pas être suivie. Étonnant comportement pour un animal qui semble en pleine charge de démonstration de ses aptitudes.

Ce sujet épineux pourrait créer des tensions au sein de la communauté locale, où se croisent éleveurs, militants animalistes et chasseurs. La question de la protection du loup versus celle des moyens de subsistance des éleveurs pose un vrai dilemme. Les réticences à partager les observations de la faune locale par crainte d’être ridiculisé n’arrangent pas les choses. Une situation qui, malheureusement, pourrait mener à des attaques toujours plus nombreuses.

Il serait peut-être sage d’opter pour un dialogue constructif et des solutions partagées, avant que la situation ne devienne incontrôlable dans ce fragile équilibre entre nature et élevage.

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Une année animalière dans le Mentonnais

Une année animalière dans le Mentonnais

Retour sur une année bestiale dans le Mentonnais : Chiens, sangliers, loutres et chevaux

Un havre pour les chiens : « Dogs & Coffee »

Au début de l’été, Garavan a vu l’émergence d’un salon de thé unique, dédié aux amis à quatre pattes : « Dogs & Coffee ». Cet endroit ne se contente pas de servir du café, il offre une véritable expérience canine avec une piscine à boules et des coins douillets pour se prélasser. Les chiens peuvent savourer des « papatisseries » et des « puppuccinos », tandis que leurs humains se régalent de brunchs et de pâtisseries fraîchement préparées. Le tout est orchestré avec passion par Ameline et Grégoire, un couple dynamique dont l’accueil est assuré par Gaston, un adorable berger américain. Qui aurait cru qu’un café pour chiens pourrait être aussi convivial ?

Un sanglier en promenade dans Menton

En avril, Menton a accueilli un visiteur inattendu : un sanglier. Repéré à 6 heures du matin, il a réussi à se faire un petit tour en ville, attirant l’attention de la police municipale qui a dû le confiner dans le square Taulaigo. Après avoir reçu l’aide d’un vétérinaire pour une anesthésie, la brigade de sauvetage animalier a pu intervenir et relâcher l’animal dans son habitat naturel près de Bar-sur-Loup. À comparer d’un précédent congénère qui avait semé la panique dans une gare en 2021, ce sanglier paraissait bien plus calme !

Le retour inattendu de la loutre dans la vallée de la Roya

La vallée de la Roya a récemment célébré le retour d’un animal longtemps absent : la loutre d’Europe. Capturée par une caméra automatique dans la nuit du 12 au 13 décembre, cet événement s’inscrit dans le cadre d’une étude menée par le réalisateur et naturaliste Rémy Masseglia. Apportant une lueur d’espoir pour la biodiversité, cette réapparition est le fruit d’années de recherche pour redécouvrir les traces de la loutre dans la région. En parallèle de son film, Masseglia collabore avec le Parc national du Mercantour pour mieux comprendre l’origine de ces loutres. Sont-elles de retour pour de bon ou s’agit-il d’une recolonisation ? Un mystère qui mérite d’être élucidé !

La fin d’une ère : le championnat du pur-sang arabe

Enfin, une page se tourne pour le Mentonnais avec l’achèvement du championnat du pur-sang arabe de la Méditerranée et des pays arabes, après 33 ans d’existence. La fondatrice Christianne Chazel a choisi d’arrêter l’événement en raison d’une baisse de participation. Toutefois, la famille Chazel reste engagée dans le monde équestre, prouvant qu’une fin peut souvent être le début d’une nouvelle aventure !

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Sanglier au marché de Noël de Grasse

Sanglier au marché de Noël de Grasse

Un sanglier se fraye un chemin au marché de Noël de Grasse

Piste d’un sanglier égaré en plein cœur des festivités

Le samedi 14 décembre, la ville de Grasse a été le théâtre d’un événement pour le moins étonnant. Après une battue organisée à proximité, un sanglier a décidé d’ajouter un peu de frisson à l’atmosphère festive en s’introduisant dans le centre-ville. Ce spectacle inattendu a semé l’inquiétude parmi les visiteurs du marché de Noël, niché sur la Place du Cours Honoré Cresp. Au cours de cette escapade sauvage, une personne a été légèrement blessée, tandis que l’animal est devenu introuvable, laissant les autorités sur ses talons.

Une incursion effrayante et des comportements imprévisibles

C’est en début d’après-midi que la scène s’est déroulée. Le sanglier, visiblement désorienté, a quitté son habitat forestier pour une course effrénée dans les rues animées de Grasse. D’abord observé dans une rue tranquille, il a rapidement filé vers le marché de Noël, bouleversant les festivités. Alertée, la mairie a publié un message sur Facebook pour inciter les citoyens à faire preuve de prudence, tout en précisant : « Éloignez-vous et n’approchez pas l’animal, la sécurité de tous est notre priorité. » Malheureusement, ces conseils n’ont pas été suivis à la lettre, et un homme de 51 ans a subi une légère blessure à la jambe à cause de cet intrus. Heureusement, les pompiers sont rapidement intervenus, confirmant que la blessure n’était pas grave.

Des dégâts imprévus et des témoignages troublants

Le sanglier n’a pas seulement fait une escale au marché de Noël. Avant cela, il s’était aventuré dans la cour du Centre communal d’action sociale (CCAS), provoquant des dégâts matériels. Des vitrines ont été défoncées, et une habitante a partagé son expérience sur Facebook en déclarant : « Il a défoncé la porte de mon auto-école. » Une autre conductrice a témoigné avoir vu l’animal charger sa voiture, laissant un trou béant dans le pare-chocs. Alors que les services d’urgence étaient occupés à secourir le blessé, la police municipale et nationale ont été mobilisées pour garantir la sécurité de la foule. Malgré les mesures prises, le sanglier a persisté à leur échapper, tel un fantôme sauvage parmi les lumières de Noël.

Des recommandations pour coexister avec la faune

Le lieutenant de louveterie, Jean-Philippe Frère, a rejoint les efforts de recherche tout en rappelant les dangers potentiels liés à la rencontre avec un sanglier. « Il ne faut pas entrer dans son périmètre de sécurité, » a-t-il averti. Le lieutenant a souligné l’importance d’apprendre à vivre avec ces animaux, de plus en plus présents en milieu urbain. « Le sanglier est intelligent et n’a plus peur de l’homme. La vigilance est de mise. » Bien que l’animal reste introuvable, les autorités continuent leurs recherches, appelant les habitants à faire preuve de prudence dans les jours à venir.

Cette incroyable intrusion marquera sans aucun doute cette édition du marché de Noël comme un événement mémorable, un moment où la nature a décidé de s’inviter au cœur des célébrations.

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Skieur et sanglier se croisent sur les pistes des Pyrénées

Skieur et sanglier se croisent sur les pistes des Pyrénées

Pyrénées : Un skieur confronté à un sanglier sur les pistes

Un incident surprenant sur les pistes enneigées

Dans un épisode pour le moins inattendu, un skieur a récemment été attaqué par un sanglier dans les magnifiques paysages des Pyrénées. L’incident a suscité l’étonnement et les rires nerveux chez les témoins, qui n’auraient jamais imaginé qu’un tel affrontement puisse se produire sur les pistes de ski, habituellement réservées aux amateurs de glisse.

Les faits en détail

Alertées par les cris et le tumulte, les autorités locales sont rapidement intervenues pour porter secours à la victime. Fort heureusement, les blessures subies semblaient légères, mais cet événement souligne une réalité souvent ignorée : la faune sauvage peut croiser le chemin des skieurs. Alors que l’appel à la prudence résonne, il est essentiel de noter que ces rencontres inattendues, bien que révélatrices, ne sont pas si fréquentes qu’on pourrait le croire.

Vers une sensibilisation accrue

Les experts en environnement attirent l’attention sur l’importance de sensibiliser le public aux dangers potentiels d’une telle cohabitation. Les zones skiables, bien qu’aménagées pour les loisirs, restent des habitats naturels pour une variété d’animaux sauvages. Que faire alors en cas de rencontre avec un sanglier sur les pistes ? Restez calme, évitez de courir et donnez de l’espace à l’animal pour qu’il puisse s’éloigner. Préparez-vous également mentalement à ces petites surprises que la nature peut offrir, parfois avec un peu trop de proximité !

En conclusion

Bien que les sangliers soient habituellement plus intéressés par les truffes que par les skieurs, ce type d’incident illustre combien il est essentiel de rester vigilant dans les environnements naturels. La prochaine fois que vous chaussez vos skis, pensez à garder un œil sur les environs… on ne sait jamais quel animal pourrait se glisser sur votre chemin !

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Confiscation des armes d’un chasseur en raison de préoccupations de sécurité

Confiscation des armes d'un chasseur en raison de préoccupations de sécurité

Le préfet du Calvados ordonne la confiscation des armes d’un chasseur en difficulté

Dans une décision qui souligne les préoccupations de sécurité publique, le tribunal administratif de Caen a confirmé la confiscation des armes d’un chasseur originaire d’Aunay-sur-Odon. Âgé de 45 ans, cet homme, qualifié de « passionné » de chasse, s’est vu retirer non seulement ses armes, mais également son permis de chasse, suite à un arrêté émis par le préfet du Calvados, Thierry Moisman, en avril 2023.

Il est révélé que l’homme détenait deux carabines et un fusil déclarés, ainsi que trois carabines et deux fusils non déclarés. Des mesures ont été prises en raison de son comportement jugé dangereux. Selon le code de la sécurité intérieure, un représentant de l’État peut ordonner la remise des armes si l’état de santé ou le comportement d’une personne présente un risque grave pour elle-même ou pour autrui.

Interventions des forces de l’ordre et contexte familial troublé

Les gendarmes sont intervenus le 5 janvier 2023 dans le foyer où l’homme vivait avec sa compagne et ses deux enfants, âgés de 9 et 13 ans. Cette intervention a été déclenchée par des tensions familiales, notamment une séparation initiée par sa compagne, en raison des problèmes psychologiques de l’individu et de ses problèmes d’alcool. Ce climat troublé a conduit à des comportements inquiétants, avec des manifestations d’intentions suicidaires, suivies d’une hospitalisation de cinq jours dans un établissement de santé mentale à Caen.

Antécédents de violence intra-familiale

Malgré le classement sans suite de l’enquête gendarmerie, il est à noter que cet individu avait déjà été signalé pour des actes de violence intra-familiale envers sa compagne en 2022. Le tribunal a précisé que celle-ci avait déposé plainte pour insults et menaces de mort, ainsi que pour des chantages au suicide impliquant une arme à feu. L’homme n’a contesté que l’une des accusations portées contre lui.

Le tribunal administratif a donné raison au préfet, jugeant fondée sa décision de retirer les armes, en raison du danger représenté par cet individu pour lui-même et pour les autres. En somme, cette affaire rappelle l’importance de la sécurité dans le cadre de la détention d’armes, surtout dans des contextes familiaux chaotiques.

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ASPAS annule les tirs de renards dans la Manche

ASPAS annule les tirs de renards dans la Manche

L’ASPAS réussit à faire annuler les tirs de renards dans la Manche

Le branle-bas de combat s’installe dans le Cotentin, où l’ASPAS a récemment obtenu le retrait des arrêtés relatifs au tir de renards dans plusieurs communes. Une décision qui met en lumière les actions répétées des associations animalistes, prêtes à surcharger les tribunaux pour leurs objectifs.

Le tribunal s’exprime sur les arrêtés de 2022

Cette affaire, qui trouve ses racines dans des arrêtés préfectoraux émis en 2022, concerne les communes de Brucheville, Carentan, Carquebut et Sainte-Marie-du-Mont. Bien que ces arrêtés soient désormais obsolètes, l’association animaliste a poursuivi son combat en contestant ces mesures devant le tribunal administratif de Caen. La bataille juridique a donc duré plusieurs mois, avec l’objectif, pour l’ASPAS, de faire annuler ces arrêtés.

Un jugement aux implications significatives

Le tribunal a finalement tranché en faveur de l’ASPAS, affirmant que l’absence de quotas maximum pour les tirs de renards pouvait avoir des répercussions sérieuses sur la population de l’espèce. Un jugement qui réjouit l’association, laquelle se vante d’avoir renforcé la jurisprudence en matière de protection animale. Comme cerise sur le gâteau, l’ASPAS a également obtenu un remboursement de 1500 euros de l’État pour ses frais de justice.

Une mobilisation contestée

Cette situation amène à se poser des questions : est-ce vraiment la meilleure manière de défendre la biodiversité ? Pendant que les associations s’en prennent à des arrêtés qui ne sont plus en vigueur, où sont les actions concrètes sur le terrain ? Les chasseurs, eux, continuent de travailler à la préservation de l’équilibre naturel dans leur pratique. Une approche qui mérite peut-être d’être saluée davantage.

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