Un gendarme sauve un marcassin en détresse

Un gendarme sauve un marcassin en détresse

Un gendarme se lance à l’eau pour sauver un marcassin en détresse

Le 15 mai dernier, dans la vallée du Gapeau, un événement singulier a eu lieu sur la commune de Signes (Var). Lors d’un entraînement en milieu naturel, le gendarme Greg et son fidèle compagnon Uggy, son chien de service, se sont retrouvés face à une situation des plus inattendues : un groupe de marcassins pris au piège dans le canal de Provence. Alors que cinq jeunes sangliers réussissent à regagner la rive, un dernier marcassin semble désespérément coincé.

Profitant d’une pause pour rafraîchir Uggy, Greg réalise que le petit sanglier est épuisé, luttant pour garder la tête hors de l’eau. Le gendarme n’hésite pas un instant : il confie son chien à sa suppléante, retire son uniforme et plonge dans l’eau pour tenter de sauver l’animal. La mission s’avère délicate, car malgré sa fatigue, le marcassin tente de mordre son bienfaiteur. Cependant, face à la détermination de son sauveur, il finit par se résigner.

Greg, avec courage et persévérance, parvient à ramener le marcassin sain et sauf sur la berge. Une fois remis de ses émotions, le petit sanglier est relâché dans son milieu naturel, loin des dangers du canal.

Ce sauvetage insolite rappelle que parfois, même les plus petits gestes peuvent faire une énorme différence. Qui aurait cru qu’un gendarme en uniforme se transformerait en sauveteur aquatique pour un marcassin en détresse ? Voilà un récit qui prouve que l’héroïsme peut prendre des formes inattendues.

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Loup gris retrouvé mort en Ile-de-France

Loup gris retrouvé mort en Ile-de-France

Découverte d’un loup mort en Ile-de-France

Le 10 mars dernier, un grand canidé a été retrouvé sans vie sur une propriété privée près de la rivière à La Celle-les-Bordes, dans les Yvelines, à une courte distance de Rambouillet. Les agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) ont été alertés et ont récupéré le cadavre pour procéder à des analyses génétiques, afin de confirmer son identité. Deux mois plus tard, le résultat est sans appel : il s’agissait bien d’un loup gris (Canis lupus lupus).

Cette découverte, bien que surprenante, n’est pas totalement inattendue, car la présence de loups dans les environs de la capitale est devenue de plus en plus fréquente ces dernières années. En effet, un loup avait été aperçu à Saint-Cyr-l’École le 23 décembre 2024, et une photo d’un autre individu avait été prise à Blaru, à la frontière de l’Eure et des Yvelines, en novembre 2021. En revanche, la dernière fois qu’un loup a été officiellement abattu dans les Yvelines remonte à 1869, lors d’une battue à Pecqueuse.

Les investigations ne s’arrêtent cependant pas là. Les agents de l’OFB tentent maintenant de déterminer les circonstances exactes de la mort de cet animal. Si la théorie d’une destruction illégale venait à être confirmée, une enquête pour « destruction d’espèce protégée » pourrait être lancée. À ce jour, un ordre d’autopsie a été émis par le parquet compétent, mais celle-ci n’a pas encore été effectuée.

Rester à l’affût de telles nouvelles pourrait s’avérer crucial pour la protection des espèces et la compréhension des dynamiques sur le terrain. N’ayez crainte, les agents veillent au grain !

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Visite de la maire de Guilherand-Granges aux chasseurs

Visite de la maire de Guilherand-Granges aux chasseurs

Visite de Sylvie Gaucher aux chasseurs de Guilherand-Granges

Ce samedi, la maire de Guilherand-Granges, Sylvie Gaucher, a accueilli une délégation de chasseurs lors d’une rencontre visant à renforcer les liens entre les décideurs locaux et les passionnés de la faune sauvage.

Un dialogue constructif devant les enjeux de la chasse

Le rendez-vous, qui s’inscrit dans une série de visites effectuées par des délégations de chasseurs auprès des maires, a permis à Sylvie Gaucher d’écouter attentivement leurs préoccupations et leur feuille de route. « Je salue leur engagement et leur passion », a-t-elle déclaré, soulignant l’importance d’établir un rapport constructif et collaboratif entre la mairie et le monde cynégétique.

Une mobilisation pacifique et une volonté d’échange

La délégation a fait preuve d’une mobilisation pacifique, témoignant de leur désir d’instaurer un dialogue ouvert. Cette rencontre révèle non seulement l’engagement des chasseurs pour la préservation de la faune et de la flore, mais également les efforts des élus pour porter une attention particulière aux réalités et besoins des communautés de chasseurs.

Lorsque des discussions aussi constructives se tiennent, c’est un bon augure pour l’avenir de la chasse et des relations avec les autorités locales. Que pensez-vous de cette initiative ? Les chasseurs devraient-ils se mobiliser plus souvent pour exprimer leurs attentes ?

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La martre protégée en Saône-et-Loire

La martre protégée en Saône-et-Loire

La martre perd son statut de nuisible en Saône-et-Loire

Le Conseil d’État reclassifie la martre des pins

À la suite d’une saisine par des associations de protection de la nature telles que One Voice, LPO, Aspas et FNE, le Conseil d’État a rendu, le 13 mai, une décision marquante concernant le classement de plusieurs espèces animales en difficulté. Parmi celles-ci, la martre des pins (lunes martes) ne sera plus considérée comme « nuisible » dans la Saône-et-Loire, mais plutôt comme une « espèce susceptible d’occasionner des dégâts », un terme plus neutre remplacé par l’acronyme Esod.

Dès à présent, il est interdit de piéger cette espèce dans tous les départements, y compris en Saône-et-Loire. C’est un petit pas pour la protection de la faune, mais un grand pas pour les martres qui peuvent maintenant vagabonder sans crainte de finir dans un piège.

Des réactions divergentes sur cette décision

Bien que cette nouvelle soit accueillie comme une avancée, l’Association ornithologique et mammalogique de Saône-et-Loire (AOMSL) exprime un certain scepticisme. Leurs membres soulignent que, malgré cette décision, la martre est toujours classée parmi les « gibiers », ce qui représente, selon eux, une aberration. La lutte pour la protection de la faune sauvage est loin d’être terminée !

Alors, qu’en est-il de ce modèle de coexistence entre l’homme et la martre ? Cela soulève une question : faut-il vraiment un classification qui oppose la nécessité de contrôler les populations animales à la nécessité de préserver la biodiversité ? Les prochaines étapes seront critiques pour l’avenir de cette espèce et d’autres partageant leur sort.

Enfin, pour ceux qui se demandent comment protéger la biodiversité tout en se livrant à des activités telles que la chasse, il est essentiel de rester informé des lois et régulations, car elles évoluent rapidement dans le contexte climatique actuel.

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Mobilisation pour la préservation du petit gibier en France

Mobilisation pour la préservation du petit gibier en France

Mobilisation de la Fédération Nationale des chasseurs pour la préservation du petit gibier

Un constat alarmant sur l’état du petit gibier en France

La Fédération Nationale des chasseurs (FNC) tire la sonnette d’alarme. Le petit gibier, notamment la perdrix, le faisan et le lapin, est en déclin malgré les efforts des chasseurs pour préserver ces espèces. Dans certains secteurs, les populations sont si faibles que la situation devient critique. Le constat est clair : il faut en faire davantage. Ce message urgent a été mis en avant lors du dernier Congrès National de la chasse.

Une biodiversité en danger

Il n’est pas surprenant que l’état du petit gibier en France suscite des inquiétudes. Certaines espèces, comme le lièvre, pourraient encore donner l’illusion d’un répit, mais les prélèvements restent limités. D’autres espèces à plumes sont en danger, et pour le lapin, c’est un véritable grand huit : une saison où tout va bien, suivie d’une autre où c’est la catastrophe. La FNC commente cette situation avec humour, évoquant le petit gibier de plaine comme l’« Arlésienne » d’Alphonse Daudet : toujours évoqué, mais rarement observé.

Une nouvelle stratégie nécessaire

Pour surmonter ces défis, la FNC met en avant l’importance de divers moyens : agrainoirs en hiver, abreuvoirs durant les sécheresses, et bien plus encore. Cependant, ces actions ne suffisent plus face à la crise actuelle. La pression croissante du réchauffement climatique, les pratiques agricoles modernes et la menace de la grippe aviaire avec la découverte de 70 oiseaux morts sur le littoral sont autant de facteurs qui pèsent sur la petite faune.

Vers des solutions concrètes

Philippe Justeau, responsable du dossier au sein de la FNC, a souligné lors du Congrès l’importance d’explorer toutes les voies de soutien. « Tous les leviers disponibles doivent être exploités », a-t-il déclaré, précisant nécessairement que de nouveaux financements doivent être envisagés. Parmi ceux-ci, la mise en place de contrats de type « paiements pour services environnementaux » (PSE) pourrait aider les agriculteurs à adopter des pratiques favorables à la petite faune.

Un appel à l’union

La FNC n’entend pas bancariser ses initiatives. Les chasseurs consacrent déjà un nombre d’heures considérables à la protection du petit gibier, mais l’heure est venue d’élargir le cercle des acteurs impliqués. Il est temps d’inviter d’autres partenaires à s’engager dans des projets en faveur des habitats et de la biodiversité, pour ainsi redonner une chance au petit gibier.

La situation est peut-être alarmante, mais avec un effort collectif, il est possible d’inverser la tendance. Que diriez-vous de participer à cette noble cause et de devenir acteur d’un avenir meilleur pour notre faune locale ?

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Vinci Autoroutes reconnue responsable de la mort d’une chanteuse dans un accident avec un sanglier

Vinci Autoroutes reconnue responsable de la mort d'une chanteuse dans un accident avec un sanglier

Vinci Autoroutes jugée responsable après la mort d’une jeune chanteuse basque dans une collision avec un sanglier

Un drame tragique sur l’autoroute A64 soulève des questions cruciales de sécurité routière et de gestion de la faune sauvage. Le 28 janvier 2022, près de Bellocq, un sanglier a surgi sur la voie rapide, entraînant un accident impliquant trois voitures. Parmi les victimes, Leire Iribarne, 24 ans, chanteuse du groupe basque Diabolo Kiwi, a perdu la vie sur le coup, laissant sa famille et la communauté en deuil.

Une collision évitable ? Les responsabilités en question

Trois ans après ce tragique incident, la justice française s’intéresse de près à la responsabilité de Vinci Autoroutes, la concessionnaire de l’A64. Au cœur des discussions : l’entretien des clôtures qui devraient empêcher la faune sauvage de pénétrer sur la chaussée. La famille de Leire, représentée par l’avocat Nicolas Taquet, est convaincue que cette collision n’était pas inévitable. Les constatations d’un huissier de justice révèlent que près de 80 mètres de grillage étaient endommagés à proximité de l’échangeur numéro 7 de Bellocq, soulevant des interrogations sur le respect des normes de sécurité par Vinci Autoroutes.

« Nous avons prouvé que cet accident n’était pas le fruit du hasard », a déclaré l’avocat, insistants sur la nécessité d’une meilleure sécurisation des routes. En réponse, l’avocat de Vinci, Antoine Chauveau, a rappelé avec fermeté que « une autoroute ne peut pas être totalement étanche » et a argumenté que des inspections régulières sont effectuées chaque année. Malheureusement, ces déclarations n’ont pas suffi à apaiser la douleur des proches de la victime, ces derniers restant déterminés à faire entendre leur voix.

Appel à la justice et à la réforme

Lors de l’audience du 12 mai, le rapporteur public a recommandé une condamnation de Vinci Autoroutes à une amende symbolique de 25 000 euros. Bien que ce montant puisse sembler dérisoire face à la perte de Leire, il représente une reconnaissance de la responsabilité potentielle de l’entreprise. Pour son père, Markotx Iribarne, cette affaire dépasse le simple cadre de l’indemnisation : « Ce n’est pas qu’une question d’argent. C’est une exigence de changement », a-t-il déclaré, insistant sur la nécessité pour les grandes entreprises de prendre au sérieux les risques posés par la faune sauvage.

Alors que la population de sangliers continue d’augmenter en France, cette affaire met en lumière le risque croissant sur les routes, particulièrement dans les zones rurales et forestières. Le tribunal administratif de Pau rendra sa décision en juin, mais les enjeux de sécurité routière et de prévention d’accidents liés à la faune demeurent des sujets préoccupants pour tous.

En parallèle de cette procédure, une enquête pénale est également en cours, mais sans calendrier précis à l’horizon.

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Une laie et ses marcassins rencontrés en Vendée

Une laie et ses marcassins rencontrés en Vendée

Une rencontre inattendue en Vendée : la balade d’une laie et ses marcassins

Samedi 22 février 2025, un photographe amateur a eu la chance de capturer la scène rare d’une laie accompagnée de ses cinq marcassins, dans la région des Sables-d’Olonne en Vendée. Ce moment unique a été immortalisé grâce à la patience et à l’expertise d’un passionné de la nature.

Un instant magique près des champs inondés

André Untéreiner, deep in the heart of the Vendée, a installé son objectif près de champs inondés pour observer les chevreuils. Après une journée passée dans l’attente, c’est à la tombée de la nuit que sa chance a souri. Une masse noire est apparue au loin, le poussant à saisir son appareil photo. À sa grande surprise, il s’agissait d’une laie avec ses adorables marcassins, un spectacle qu’il n’avait jamais été témoin auparavant dans cette région.

Un partage qui fait le bonheur des internautes

La photo, une fois publiée sur les réseaux sociaux, a rapidement séduit de nombreux internautes, soulignant l’importance de la faune sauvage même dans des environnements peu connues. Pour André, cette rencontre constitue une belle récompense pour tous ses efforts et son amour pour la photographie animalière.

« C’est la première fois que j’en vois dans le secteur », a-t-il déclaré avec enthousiasme, ajoutant qu’il avait déjà croisé divers animaux tels que des faons et des renardeaux dans ces environs. La nature est décidément pleine de surprises!

Cette aventure rappelle l’importance de préserver notre faune et de profiter de ses merveilles. N’hésitez pas à sortir dans la nature et à garder un œil ouvert pour de telles rencontres. On ne sait jamais, peut-être aurez-vous aussi la chance de croiser une laie ou d’autres merveilles de la biodiversité lors de vos balades.

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Chasseurs en Aveyron en alerte face aux menaces sur leur tradition

Chasseurs en Aveyron en alerte face aux menaces sur leur tradition

Chasseurs en Aveyron : un cri d’alarme face aux attaques injustifiées

Samedi 17 mai, les chasseurs de l’Aveyron, unis dans leur révolte, iront à la rencontre de leurs élus locaux afin de livrer un manifeste en onze points, symbole de leur mécontentement croissant. Le président de la Fédération départementale, Jean-Pierre Authier, a précisé que ce modèle de chasse, plébiscité en milieu rural, est aujourd’hui menacé. Avec le soutien de l’Association des maires ruraux, représentée par Christophe Bernié, cette démarche vise à faire entendre leur voix sans passer par la manif traditionnelle.

Dénonciation des attaques à travers un manifeste

La plupart des chasseurs se disent aujourd’hui harcelés par divers courants d’opinion, qu’il s’agisse de technocrates à Bruxelles ou de militants écolos jugés déconnectés de la réalité. « Trop, c’est trop ! » lancent-ils en chœur. Jean-Pierre Authier souligne l’importance de préserver la chasse comme un art de vivre, une tradition enracinée dans la culture rurale, synonyme d’un futur plus en phase avec la nature.

Rappels sur le rôle des chasseurs

Christophe Bernié, en tant que porte-parole des élus ruraux, rappelle que les chasseurs jouent un rôle vital dans la dynamisation des campagnes. « Ils organisent des événements, participent à l’économie locale et sont des acteurs de la biodiversité », explique-t-il. La reconnaissance de la chasse à l’échelle nationale, ainsi que son inscription au Patrimoine immatériel de l’UNESCO, figurent parmi les revendications principales des chasseurs.

Des exigences précises

Le manifeste présente une série de demandes : la reconnaissance officielle de la chasse, l’arrêt du paiement des dégâts causés par le grand gibier, ainsi que la défense des pratiques de chasse traditionnelles. Ces mesures visent à garantir une chasse populaire, accessible à tous. « Les nouvelles régulations européennes affectent beaucoup notre pratique », commente Jean-Pierre Authier, tout en évoquant l’érosion de traditions ancestrales comme la chasse à la tendelle, désormais en péril.

Les enjeux économiques en toile de fond

Avec environ 10 000 chasseurs en Aveyron, dont une frange de 10 à 15 % de femmes, la situation devient délicate. Jean-Pierre Authier avertit que les fédérations commencent à peiner financièrement à cause de l’obligation d’indemniser les agriculteurs pour les dommages causés par le gibier, une pratique qui pourrait s’avérer insoutenable à long terme.

Un appel à l’écoute

En remettant leur manifeste aux élus, les chasseurs espèrent influencer les décisions politiques au plus haut niveau. Christophe Bernié insiste sur l’importance de la cohabitation entre différentes activités de plein air, démontrant que les loisirs en forêt peuvent coexister harmonieusement. « Je n’ai jamais eu de retour négatif sur ce sujet », précise-t-il.

En conclusion, pour Jean-Pierre Authier, « les élus doivent prendre conscience de l’urgence et de la gravité de la situation actuelle pour la chasse ». Un appel à l’action et à l’écoute, en somme, pour ceux qui défendent une tradition séculaire, désormais mise à mal.

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Réagir aux rencontres avec des sangliers en pleine nature

Réagir aux rencontres avec des sangliers en pleine nature

Réagir face à un sanglier : les bons réflexes à adopter

Un sanglier peut croiser votre chemin !

Lors de vos balades en pleine nature, un sanglier peut se présenter à vous, et ce n’est pas une rencontre à prendre à la légère. La population de sangliers en France augmente à un rythme fulgurant, et il est essentiel de savoir comment réagir face à cet animal potentiellement imprévisible.

Une population en pleine expansion

Les sangliers connaissent une véritable explosion démographique sur le territoire français. Des facteurs tels que des hivers cléments et des récoltes abondantes favorisent leur prolifération. Parallèlement, une réduction de la pression de chasse et l’absence de prédateurs naturels augmentent leur nombre. Si leur croissance offre un spectacle fascinant, elle engendre également des désagréments, comme des dégâts aux cultures et des accidents sur la route.

Que faire si vous croisez un sanglier ?

Face à un sanglier, ne cédez pas à la panique. Gardez votre calme et adoptez les bons réflexes. Éloignez-vous sans vous précipiter, notamment si une laie avec des marcassins se trouve à proximité, car elle peut être particulièrement protectrice. Ne courez surtout pas : cet animal peut atteindre des vitesses impressionnantes de 70 km/h. Un simple retrait lent et sans gestes brusques est la meilleure option.

Les comportements à adopter en cas d’attaque

Si un sanglier se montre agressif et charge dans votre direction, restez sur vos gardes. Essayez de l’intimider en criant, en frappant des mains ou en utilisant tout objet à votre portée pour faire du bruit. Parfois, un peu de surprise peut suffire à le faire reculer. Si l’animal persiste, recherchez un abri en hauteur : grimpez dans un arbre ou appuyez-vous contre une structure solide pour vous mettre hors de portée.

En résumé : la prudence avant tout

La population de sangliers en France est en plein essor, ce qui peut mener à des rencontres inattendues lors de vos promenades. Restez calme, ne fuit pas et préparez-vous à faire du bruit en cas d’attaque.

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Tourte des Sangliers Spécialité Culinaire Traditionnelle

Tourte des Sangliers Spécialité Culinaire Traditionnelle

La Tourte des Sangliers : Une Spécialité Culinaire à Déguster

La tourte des sangliers, proposée par la Confrérie Senatus Singularis Porcus Porcelettarum à Porcelette, en Moselle, se distingue par sa préparation unique. Cette spécialité culinaire, bien plus qu’un simple plat, est le fruit d’une passion partagée depuis la création de la confrérie en 2001.

Une Recette qui Fait Honneur au Sanglier

Avant de plonger dans les détails de la recette, il est crucial de noter que la dénomination est « tourte des sangliers » et non « au sanglier ». Pourquoi ? Parce que les membres de cette confrérie aiment s’appeler « sangliers » eux-mêmes, rendant hommage à cet animal emblématique de la gastronomie locale.

À l’intérieur de cette délicieuse tourte, la garniture est composée à 50 % de viande de sanglier, en mélange avec du porc. Une alliance savoureuse qui ravira les amateurs de gibier. La pâte feuilletée, quant à elle, enveloppe ce mélange croustillant, offrant ainsi un contraste parfait entre le moelleux et le croquant.

Un Plat qui Rassemble

La tourte des sangliers n’est pas simplement un plat à déguster, mais un symbole de convivialité et de tradition. Elle est souvent servie lors de repas de confrérie et d’événements locaux, permettant ainsi de rassembler amateurs de bonne cuisine et passionnés de la chasse.

À Propos de la Confrérie

Bien que créée récemment en 2001, la Confrérie Senatus Singularis Porcus Porcelettarum a su s’imposer dans le paysage gastronomique lorrain. Elle est le fruit d’un mouvement visant à mettre en avant la culture culinaire autour du sanglier et du cochon. Un bel exemple d’engagement communautaire qui se traduit par des événements festifs et des rencontres gourmandes.

Que vous soyez chasseur, gourmet ou simplement curieux, la tourte des sangliers mérite une place de choix sur votre table. Alors, prêt à goûter cette spécialité qui marie tradition et goût ?

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