Championnat européen d’imitation du brame du cerf à Réding

Championnat européen d'imitation du brame du cerf à Réding

Un chasseur de Réding à l’assaut du championnat européen de brame du cerf

La magie du brame dans la forêt de Réding

Alfred Bour, chasseur passionné de Réding, est sur le point d’entrer dans l’arène d’un événement surprenant : le championnat d’Europe d’imitation du brame du cerf. Cet événement, qui se déroule entre fin septembre et début octobre, coïncide avec une période singulière où le cerf faune ses vocalises à la recherche de l’amour.

Durant cette période de rut, les cerfs émettent des cris rauques et puissants pour séduire les femelles. Les chasseurs aguerris tels qu’Alfred profitent de cette saison pour perfectionner leurs techniques, notamment l’art de l’imitation du brame – un cri bien nommé « raire ». Pour Alfred, chaque cri figure une note sur la portée de son expertise, rendant ses performances aussi captivantes qu’efficaces.

Comment attirer le cerf avec une imitation maîtrisée

Il ne suffit pas de crier dans la forêt pour attirer un cerf, loin de là ! Alfred a peaufiné sa technique au fil des années. L’imitation du brame demande une connaissance intime du comportement animal et une grande capacité d’écoute. C’est ici que l’art du chasseur entre en jeu. Chaque tonalité, chaque vibration doit être reproduite de manière fidèle afin de duper ces majestueux cervidés.

Avez-vous déjà tenté d’imiter un bruit animal ? Si oui, imaginez la concentration requise pour recréer la puissance de la voix d’un cerf tout en gardant sa position silencieuse pour ne pas être repéré. C’est un vrai défi, mais aussi une expérience des plus enrichissantes pour ceux qui chassent avec passion.

Les enjeux d’un championnat atypique

Participer à un tel championnat est un projet qui dépasse le simple fait de chasser. C’est une célébration de l’art de la chasse, une mise en avant de la culture cynégétique, où savoir-faire et respect de la nature font bon ménage. Cet événement met en lumière non seulement le talent d’imitation, mais aussi le respect des traditions et l’amour de la faune. Pour Alfred, ce sera l’occasion de partager sa passion, mais aussi d’échanger avec d’autres passionnés venus de France et d’ailleurs.

Alors, prêt à en apprendre davantage sur cette pratique et à peut-être vous lancer dans l’imitation du brame ? Qui sait, la forêt pourrait révéler en vous le talent d’un maître imitateurs de cerfs !

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Urgence d’agir contre les dégâts des sangliers en Hérault

Urgence d'agir contre les dégâts des sangliers en Hérault

Dégâts dus aux sangliers : Urgence d’une action collective en Hérault

Face à l’augmentation alarmante des dégâts agricoles causés par les sangliers, la préfecture de l’Hérault a annoncé la tenue d’une commission spéciale en décembre visant à déterminer des solutions concrètes. Ce rassemblement se concentrera sur la collaboration entre chasseurs et agriculteurs pour mieux gérer cette situation qui prévaut dans la région viticole.

Des dégâts persistants malgré les efforts

À Saint-Drézéry, une des zones viticoles les plus touchées, le préfet François-Xavier Lauch a effectué une visite en compagnie de Jérôme Despey de la Chambre d’agriculture et de Max Allies, président de la Fédération départementale des chasseurs (FDC 34). Leur constat est accablant : bien que près de cent sangliers aient été chassés cette année, les pertes pour les cultures demeurent considérables. Les sangliers, désormais classés comme ESOD dans 123 communes de l’Hérault, endommagent les vignes tant au printemps, lors de la pousse des jeunes bourgeons, qu’à l’automne, lors de la récolte des raisins.

Des ressources financières importantes mais limitées

Chaque année, la Fédération des chasseurs de l’Hérault investit 300 000 € pour doter les exploitants de clôtures électriques. Pourtant, ces protections sont souvent contournées ou forcées par les sangliers affamés. Le préfet a reconnu que “le système montre ses limites” et a exprimé le besoin urgent de “changer d’échelle”. Lors des dernières battues, près de 30 chasseurs ont nettoyé le terrain en éliminant 120 sangliers, mais le niveau de dégâts reste inacceptable.

Un appel à la collaboration pour une meilleure régulation

Pour contrer cette situation, François-Xavier Lauch a proposé plusieurs “bougées réglementaires”. Parmi celles-ci figurent le renforcement des battues, la meilleure coordination des actions collectives, et la formation des agriculteurs au permis de chasser et au piégeage. Le préfet a également suggéré d’explorer la possibilité du tir nocturne, avec l’aide des louvetiers. Sa volonté est claire : “Il faut travailler ensemble”, a-t-il déclaré, invitant les parties prenantes à se réunir pour formuler des propositions.

Valorisation de la venaison : un défi à relever

Un des obstacles majeurs à la régulation demeure l’écoulement des carcasses des sangliers abattus. “Chasser sans déboucher, c’est un frein très net à notre action”, a affirmé le préfet. Il a donc suggéré de rétablir les partenariats avec les banques alimentaires et les Restos du Cœur tout en envisageant la création d’une filière locale pour la valorisation de la venaison.

Prochaines étapes : le rendez-vous de décembre

Les premières propositions concrètes devraient être présentées lors de la commission exceptionnelle en décembre, avec un objectif clair : parvenir à des décisions avant le début du printemps, période cruciale pour la vigne lors du bourgeonnement.

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Chasseur et castor Une rencontre inattendue

Chasseur et castor Une rencontre inattendue

Un chasseur victime d’un déclin arboré à cause d’un castor rusé

Dans le monde de la chasse, la technologie a fait ses preuves pour aider les chasseurs à mieux comprendre leur environnement. Les caméras de surveillance, couramment appelées pièges photographiques, sont des outils prisés. Elles permettent de surveiller les territoires chassés ou réservés, fournissant des informations précieuses sur les espèces qui fréquentent ces endroits.

Cependant, les imprévus ne manquent jamais ! Prenons l’exemple d’un chasseur qui, en quête de nouvelles images capturées par l’une de ses caméras, a découvert que l’arbre sur lequel il avait installé son équipement était tombé au sol. Que s’est-il passé ? Visiblement, un castor de la région, peu enthousiasmé à l’idée d’être observé, a décidé de prendre des mesures… drastiques.

Ce petit incident soulève une question amusante : les castors sont-ils vraiment des animaux si occupés qu’ils n’hésitent pas à abattre des arbres simplement pour échapper à l’objectif curieux d’une caméra ? Cela démontre la lutte incessante entre la technologie humaine et la nature sauvage.

Cette mésaventure rappelle aux chasseurs l’importance de rester vigilants et de respecter l’écosystème, même lorsqu’ils tentent de mieux comprendre leur environnement de chasse. Alors, la prochaine fois que vous installez vos caméras, pensez à la possibilité que des animaux malicieux puissent avoir d’autres idées en tête !

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Partenariat SNCF chasseurs PACA pour sécurité ferroviaire

Partenariat SNCF chasseurs PACA pour sécurité ferroviaire

Partenariat entre la SNCF et les chasseurs PACA : une nécessité pour la sécurité ferroviaire

SNCF Réseau, en collaboration avec la Fédération Régionale des Chasseurs de Provence-Alpes-Côte d’Azur (FRC PACA), a décidé de prolonger leur collaboration pour cinq années supplémentaires. Ce partenariat est crucial pour mieux comprendre et limiter les collisions entre trains et faune sauvage, en particulier les sangliers, qui sont responsables de retards considérables et de dommages matériels sur le réseau ferroviaire.

Collision en forte hausse avec la faune sauvage

Chaque année, les trains circulant dans la région PACA font face à un phénomène préoccupant : une augmentation significative des collisions avec la faune sauvage. En 2024, les incidents ont atteint un chiffre alarmant de 99, comparé à 47 en 2020, entraînant plus de 150 heures de retard. Cela représente un doublement du nombre de retards par rapport à il y a quatre ans. Les sangliers, avec 87 % des collisions, devancent largement les cervidés (7 %) et les oiseaux (6 %). Ces événements ne causent pas seulement des désagréments logistiquement, mais représentent également des enjeux de sécurité majeurs. En effet, on dénombre pas moins de 80 journées d’indisponibilité du matériel ferroviaire en 2024 attribuées à ces collisions.

Une approche basée sur des études de terrain

Pour traiter cette problématique, la SNCF s’est tournée vers la FRC PACA et les fédérations départementales de chasseurs, dont l’expertise sur le terrain est largement reconnue. Depuis 2021, ce partenariat a donné lieu à des études ciblées sur deux tronçons critiques : Les Arcs-Carnoules (Var) et Arles-Miramas (Bouches-du-Rhône). Grâce au cabinet X-AEQUO, des diagnostics approfondis ont été réalisés pour identifier les zones à risque. Sur le tronçon des Arcs-Carnoules, une surveillance par vidéo a mis en lumière la présence massive de sangliers : 2 691 sangliers ont été observés sur les voies au cours d’une année, soit environ 275 individus par nuit sur 36 km ! Il est intéressant de noter que ces sangliers semblent peu conscients du danger, prenant entre 31 et 68 secondes pour traverser les voies en fonction de leur groupe.

Des actions concrètes en préparation

Le renouvellement de cette coopération pour cinq ans témoigne de l’engagement des deux parties à intensifier leurs efforts. La FRC PACA continuera de mener des diagnostics sur d’autres sections du réseau à risque. De plus, la SNCF se penchera sur la possibilité d’installer des dispositifs tels que des clôtures, des dalles anti-intrusion, ou des passages sécurisés pour guider la faune à des endroits sûrs pour traverser. Cette collaboration entre acteurs de terrain et gestionnaires d’infrastructures vise à réduire efficacement les collisions tout en assurant une meilleure fluidité du trafic ferroviaire en PACA, et à préserver la faune sauvage.

Un partenariat exemplaire pour une gestion durable

Ce partenariat met en évidence le rôle proactif des chasseurs dépassant les simples activités cynégétiques. En s’investissant dans des initiatives de sécurité et de cohabitation avec la faune, la FRC PACA se solidifie comme un interlocuteur clé auprès de la SNCF, des collectivités et des pouvoirs publics, en faveur d’une gestion responsable des milieux naturels.

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Sangliers et Défis Agricoles

Sangliers et Défis Agricoles

Sangliers : Un Fléau Grandissant pour l’Agriculture

La Gestion Cynégétique au Coeur des Préoccupations

À l’approche de l’ouverture de la saison de chasse, la Fédération départementale des chasseurs (FDC 26) a récemment organisé un colloque sur la gestion du sanglier, à Crest. Cet événement a attiré des centaines de participants, dont Rémi Gandy, président de la FDC de la Drôme, et Michel Sanjuan, son vice-président. Des sujets brûlants tels que la présence envahissante des sangliers dans nos campagnes et leur impact sur l’écosystème ont été abordés.

Une Invasion Invisibile aux Yeux de Tous

Les sangliers, autrefois réservés aux forêts profondes, semblent avoir pris goût à la vie urbaine, n’hésitant pas à s’aventurer jusqu’à l’entrée des villes. Une situation qui soulève de nombreuses inquiétudes parmi les agriculteurs et les chasseurs. Les discussions autour du rôle de cet animal dans l’équilibre écologique ont marqué les débats, mais ce n’était pas le seul sujet à faire grincer des dents.

Dégâts Causés par les Grands Gibiers : Une Épidémie Verte

La question de l’indemnisation pour les dégâts causés par ces grands gibiers sur les cultures agricoles est devenue un enjeu majeur. Ce problème n’est pas isolé à la Drôme, mais touche les agriculteurs de tout le pays. À titre d’exemple, le nombre de sangliers prélevés en France est passé de 35 000 en 1970 à un impressionnant chiffre de 900 000 en 2025, un véritable bond qui fait frémir les acteurs du monde agricole.

L’Indemnisation : Un Suivi Nécessaire

Avec des factures en constante augmentation, les agriculteurs s’inquiètent du montant des indemnisations qui ne parviennent pas à couvrir l’ampleur des dégâts. Les attentes sont grandes et les solutions doivent être rapidement mises en place pour éviter une catastrophe sur les cultures sensibles.

En somme, il est clair que la gestion des sangliers est un sujet délicat qui nécessite une attention accrue des autorités compétentes et des chasseurs. Comment concilier protection des cultures et préservation de l’écosystème ? Les pistes de réflexion sont ouvertes, mais il est temps d’agir avant que ce fléau ne cause des dommages irréversibles.

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Sanglier en mode sieste sur un chantier

Sanglier en mode sieste sur un chantier

Un sanglier plutôt facétieux sur un chantier de construction

Quand les travaux deviennent une aventure inattendue

Sur un chantier, les ouvriers s’attendent à diverses complications : un souci technique, un outil capricieux ou l’absence de matériaux. Cependant, croiser un sanglier à cet endroit, qui s’y est manifestement installé pour une sieste, n’est certainement pas dans le programme ! C’est pourtant cette situation cocasse qu’a filmée un passager du cours de la construction.

En effet, à son arrivée sur le site, cet homme a découvert un sanglier paisiblement endormi, lové entre des tuyaux fraîchement posés. Une image insolite qui a de quoi surprendre, surtout pour ceux qui croient que la faune sauvage se tient à l’écart des grands projets architecturaux. Qui aurait pensé que l’on pourrait rencontrer un tel compagnon à quatre pattes au milieu de béton et de machines ?

Les sangliers et leur penchant pour l’urbain

Cette rencontre illustre d’ailleurs une tendance plus large : les sangliers, en quête de nourriture, s’aventurent de plus en plus près des zones urbaines et des chantiers, portant un regard amusé mais parfois inquiet sur leur présence. Néanmoins, ces animaux, bien qu’assez inoffensifs lorsqu’ils se reposent, peuvent présenter des risques si surpris ou en fuite.

Pour les personnes travaillant à proximité de ces bêtes, certaines précautions sont à prendre. Garder son calme est essentiel. Évitez de les provoquer et, si un sanglier devait interférer avec vos activités, éloignez-vous calmement et contactez les autorités compétentes.

La nature, toujours pleine de surprises

Cette situation nous rappelle que la nature est pleine d’imprévus. Avez-vous déjà eu une telle rencontre sur votre lieu de travail ? C’est sans doute un bon sujet de conversation à la pause déjeuner. Qui sait, peut-être que le sanglier a offert le meilleur spectacle de la semaine à ces ouvriers !

Quoi qu’il en soit, cette anecdote férocement drôle et adorable fait sourire et interpelle sur le paysage changeant de nos interactions avec la faune. Restez prudents, respectez la nature et, surtout, n’oubliez pas de lever les yeux de temps en temps : vous pourriez bien croiser un nouveau compagnon sur votre chemin.

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Brame du cerf en automne

Brame du cerf en automne

Le brame du cerf : un rendez-vous incontournable en automne

Avec les premiers frissons de l’automne, un phénomène captivant se produit dans nos forêts : le brame du cerf. Ce cri puissant, entendu entre septembre et mi-octobre, sert à marquer le territoire du mâle et à séduire les femelles en vue de la saison de reproduction. Une belle occasion d’en apprendre plus sur ce spectacle naturel captivant.

Les sorties dédiées à l’observation du brame du cerf se déroulent actuellement au pied du pic de Cagire, dans les Pyrénées, et sont organisées par l’Office de Tourisme Cagire Garonne Salat. Ces événements, qui se poursuivent jusqu’au 10 octobre, permettent aux passionnés de la nature d’assister à ce moment unique de la biodiversité. Les participants sont guidés par Nathanaël Roussel, expert qui saura partager avec enthousiasme les secrets de la vie sauvage.

Ces sorties, accessibles sur réservation et moyennant un tarif, débutent dans la commune de Sengouagnet. Elles offrent une occasion idéale pour les petits et les grands de découvrir le monde fascinant de la faune sauvage. D’ailleurs, les élèves de CM2 de l’école Georges Hyon de Toulouse semblent vraiment captivés par ce sujet, et leur enthousiasme témoigne de la richesse de notre patrimoin naturel.

Alors, qu’attendez-vous pour vous plonger dans l’univers mystérieux du brame du cerf ? N’est-ce pas le moment idéal pour se rapprocher de la nature tout en apprenant sur la faune locale ? Pour des conseils sur l’écoute du brame en toute sécurité, n’hésitez pas à consulter les informations fournies par vos guides locaux ou à vous joindre à une sortie animée !

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Ouverture de la chasse au sanglier dans le canton du Jura

Ouverture de la chasse au sanglier dans le canton du Jura

Ouverture de la saison de chasse dans le canton du Jura : les sangliers en ligne de mire

Ce mercredi marquera le coup d’envoi tant attendu de la saison de la chasse générale dans le canton du Jura. L’État jurassien mise sur l’engagement des chasseurs pour réguler la population de sangliers, dont le nombre ne cesse d’augmenter.

Un rassemblement pour préparer les chasseurs de Moutier

Les chasseurs domiciliés à Moutier seront réunis en début d’année pour se familiariser avec le système de chasse jurassien. Ce rassemblement est essentiel afin d’harmoniser les pratiques et de garantir une chasse responsable et efficace.

Deux mois de chasse ciblée

La chasse générale se déroulera sur une période de deux mois, avec pour objectif de concentrer les efforts sur deux espèces : les chevreuils et les sangliers. Au total, 380 détenteurs de permis, accompagnés de leurs fidèles chiens, se lanceront dans cette mission. Le plan de chasse prévoit d’abattre 1200 chevreuils d’ici fin novembre, tandis que la protection du lièvre brun sera maintenue.

La problématique des sangliers en hausse

Les observations de terrain indiquent une présence marquée des sangliers sur l’ensemble du territoire, exacerbée par une augmentation des dégâts dans les cultures et les herbages de 58% depuis le début de l’année. Ces chiffres soulignent l’urgence de cette régulation, face aux défis que représentent ces animaux pour les activités agricoles.

Un cadre réglementaire stable

Pour cette saison, les dispositions réglementaires applicables à la chasse restent inchangées. Toutefois, un ajustement est prévu pour 2026, lorsque Moutier intégrera officiellement le territoire du canton. Les réglementations s’adapteront alors pour inclure ce nouveau territoire dans la gestion de la faune.

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Ouverture de la Chasse aux Lièvres dans la Manche

Ouverture de la Chasse aux Lièvres dans la Manche

Contrôle et Réglementation : L’Ouverture de la Chasse aux Lièvres dans la Manche

Dimanche 28 septembre 2025, à 9 heures, marque le coup d’envoi de la saison de chasse aux lièvres pour les 14 000 chasseurs de la Manche. Dans ce cadre, les gardes-chasses s’assureront que les règles de sécurité et de réglementation soient suivies à la lettre.

Un Duo Sur le Terrain : Mickaël et Guillaume

Mickaël Marbach et Guillaume Ribet, professionnels de la chasse, sont en route pour contrôler les permis et s’assurer que chaque chasseur soit en règle. Pas d’armes à l’horizon, seulement un Duster blanc, des bottes et une mission cruciale : la surveillance de 42 000 hectares.

« Tiens, allons vers Rauville-la-Bigot. Il y a des parcelles parfaites pour les lièvres », propoe Mickaël. Leur rôle ne se limite pas à surveiller ; ils sont aussi là pour conseiller les chasseurs. L’ouverture de la chasse aux lièvres s’étend jusqu’au 20 février, ce qui donne un coup d’envoi à la saison des contrôles.

Des Gardiens De la Nature

Au sein de l’association Saint-Hubert de la Manche, où Mickaël et Guillaume exercent, l’équipe s’agrandit : Lisa Cosnefroy est la première femme à rejoindre les rangs des gardes-chasses. « C’est une jeune femme très motivée, c’est chouette ! », se réjouissent ses collègues.

Avec environ 20 à 25 gardes-chasses professionnels dans la Manche, d’autres bénévoles viennent prêter main-forte. « Nous nous entraidons tous », assure Mickaël. Dès 8h45, ils se lèvent pour entamer leur journée de contrôle.

Contrôles et Infractions

Les gardes-chasses peuvent enregistrer des infractions allant de petites amendes pour des défauts de permis jusqu’à des délits plus graves, comme la chasse sur des terrains interdits. Mais rassurez-vous, ces cas restent relativement rares. « 90 % des chasseurs sont respectueux », affirment-ils. Au moins, tout le monde s’entend plutôt bien !

Des Changements dans la Chasse

À l’heure actuelle, bien que le nombre total de chasseurs se maintienne, l’ouverture de la saison ne suscite plus le même engouement. Le chiffre clé : 14 000 chasseurs, incluant 200 jeunes et 260 femmes. Pourtant, ils partagent une réalité : la petite faune, telle que les lièvres, est en déclin.

« Les lièvres ont la maladie, et on n’en voit presque plus », constate un chasseur, l’un des rares croisés durant la matinée. Pour beaucoup, la chasse est avant tout un moment de partage, souvent accompagné de chiens impatients de partir. « C’est la promenade du dimanche matin », ajoutent Mickaël et Guillaume, en rappelant que pour de nombreux chasseurs, l’issue peut être bien moins sanglante que les clichés laissent entendre.

Conclusion sur un Appel à la Complicité

En fin de compte, même si le coup de feu ne résonne pas partout comme par le passé, ce loisir reste un ancrage communautaire fort. « À la fin de la saison, beaucoup d’entre eux n’ont tué qu’une bécasse, et encore », précise Guillaume. Les instants partagés dans les champs et la complicité avec leurs chiens gardent le flambeau de cette tradition vivante.

Pour les passionnés et les curieux, la chasse est bien plus qu’une simple quête de gibier. C’est un moment privilégié de communion avec la nature et les autres.

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Bure-les-Templiers La Protection des Brebis contre les Prédateurs

Bure-les-Templiers La Protection des Brebis contre les Prédateurs

Bure-les-Templiers : La Vie des Agriculteurs face aux Prédateurs

Comment Sophie et Thibaut Salloignon protègent leur troupeau en pleine nature

À Bure-les-Templiers, les agriculteurs Sophie et Thibaut Salloignon se battent au quotidien pour garder leurs brebis en sécurité des prédateurs. Ils ont repris la ferme de Conclois en 2016, se consacrant principalement à un élevage de brebis sur une immense propriété de 130 hectares. La question cruciale qui les préoccupe ? Comment protéger ce vaste terrain contre les attaques du loup et des chiens de chasse, qui représentent de réelles menaces pour leur troupeau.

Pour répondre à ce défi, Thibaut a récemment installé des clôtures électrifiées. Une solution efficace qui permet au troupeau de paître en toute tranquillité dans les prairies verdoyantes de l’exploitation. Mais que signifie réellement sécuriser une propriété de 130 hectares ? Pour mettre cela en perspective, c’est comme entourer environ 1,3 million de mètres carrés de terrain. Alliant prairies luxuriantes, haies et massifs forestiers, cet espace imposant nécessite une attention particulière afin d’éviter que les brebis ne fuguent… ou ne soient victimes d’attaques.

Avant de poser ces barrières électrifiées, Sophie et Thibaut ont dû faire face à une autre tâche tout aussi cruciale : l’enlèvement de la végétation envahissante. Protéger le troupeau commence donc par un vrai travail de préparation du terrain. Des efforts considérables sont nécessaires pour s’assurer que les clôtures soient effectivement efficaces et pour garantir la sécurité des brebis. En effet, une bonne clôture doit être non seulement électrisée, mais aussi bien entretenue et bien positionnée.

Ce couple d’agriculteurs explique qu’il ne s’agit pas seulement de réponses techniques, mais aussi d’un partenariat. Avec le soutien d’aides financières et de conseils du Parc national des forêts, ils s’engagent à mettre en place les meilleures pratiques pour assurer la protection de leur élevage tout en respectant l’environnement.

En somme, la vie à la ferme peut s’avérer riche en défis, surtout quand il s’agit de naviguer entre la protection de l’élevage et les menaces extérieures. Sophie et Thibaut sont déterminés à ne laisser aucun loup ni chien de chasse mettre en danger leurs brebis. Leur histoire est un exemple inspirant de la façon dont les agriculteurs contemporains s’adaptent et innovent face à la nature.

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