Déchets de sanglier découverts à Varambon

Des débris de sanglier laissés à l’abandon à Varambon
Récemment, la commune de Varambon a été le théâtre de découvertes plutôt macabres. En pleine nature, des sacs éventrés contenaient des viscères, de la peau et même des têtes de sanglier. Ce tableau inquiétant soulève des questions essentielles sur le respect de la faune et de son habitat.
Ces restes d’animaux, témoins d’un acte irresponsable, sont non seulement une atteinte à l’environnement, mais montrent également une méconnaissance préoccupante des lois régissant la chasse. Cela rappelle l’importance de traiter les dépouilles d’animaux de manière appropriée, en respectant les réglementations en vigueur qui stipulent que chaque chasse doit être suivie d’un dépeçage et d’une élimination des déchets dans des sites appropriés.
Il est impératif de sensibiliser tant les chasseurs que le grand public sur les bonnes pratiques pour assurer une cohabitation respectueuse avec notre faune sauvage. Que faire alors face à une telle situation ? Signaler ce genre de comportements aux autorités locales devrait être une priorité. Cela peut sembler paradoxal, mais protéger la nature commence par la vigilance de chacun d’entre nous.
Dans cette affaire, il est facile de se demander : où est le respect pour les animaux que nous chassons ? Ou encore, que peuvent faire les citoyens pour garantir que de telles atrocités ne se reproduisent pas ? Peut-être est-il temps d’envisager des solutions collectives pour protéger nos ressources naturelles et veiller à un avenir où l’harmonie entre l’homme et la nature n’est pas simplement un slogan, mais une réalité tangible.
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Banquet de chasse à Roquebrune

Un banquet de la chasse mémorable à Roquebrune
Le dimanche 23 février, plus de 80 convives ont célébré la chasse lors d’un traditionnel banquet organisé par la société de chasse de Roquebrune, sous la direction enthousiaste de son président Jean Bianchini. Cet événement festif a ravi les amoureux de la cuisine gasconne, au menu riche et varié.
Une expérience gastronomique gasconne
Les participants ont eu la chance de déguster un menu typiquement gascon, élaboré par le talentueux cuisinier de la société. Six plats savoureux, complétés par le renommé trou gascon, ont été servis, mettant en avant les délices du terroir roquebrunois. Parmi les spécialités, le gibier local, notamment le sanglier préparé en sauce ou grillé, a su séduire tous les palais présents.
Célébration et reconnaissance
Le maire de Roquebrune, Benoît Desenlis, a salué cet événement en déclarant : « C’est toujours un plaisir de se régaler avec ces petits plats préparés par une équipe formidable qui anime, tout au long de l’année, notre charmant village de Roquebrune. Je tiens à les féliciter une nouvelle fois pour leur engagement au service de tous ». Ces mots témoignent de l’importance de la collaboration et de l’implication de chacun dans la vie communautaire, notamment à travers des manifestations comme celles-ci.
Ce banquet de la chasse ne représente pas seulement un moment de convivialité autour de la gastronomie, mais également une célébration des traditions locales qui renforcent le lien entre les habitants et leur patrimoine.
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Ouverture anticipée de la chasse au cerf élaphe en débat

Ouverture anticipée de la chasse : les débats s’enflamment
Un projet de décret visant à avancer la date d’ouverture de la chasse au cerf élaphe au 1er juin suscite une controverse sans précédent sur la toile. La consultation publique récemment lancée par les Ministères de l’Aménagement du Territoire et de la Transition écologique a déjà enregistré plus de 7000 commentaires, dont la majorité est défavorable à cette initiative.
Une nécessité selon les chasseurs
Le décret proposé modifierait les articles R. 424-8 et R. 429-3 du code de l’environnement, permettant ainsi aux chasseurs de commencer leurs activités dès le début juin, au lieu du traditionnel 1er septembre. Cette décision fait suite à un avis du Conseil national de la chasse et de la faune sauvage, qui, lors de sa réunion du 7 février, a voté favorablement à 75%. Les experts de l’Office français de la biodiversité (OFB) pointent du doigt une surpopulation croissante de cerfs, dont les conséquences sur l’agriculture et les forêts sont jugées préoccupantes.
Des chiffres qui parlent
En Centre-Val de Loire, ces préoccupations ne sont pas inventées. Les attaques de grands gibiers, notamment par les sangliers et cerfs, coûtent cher aux agriculteurs : en 2022, le Loiret a dépassé les trois millions d’euros en indemnisations pour des champs saccagés. Les forêts, également, tirent la sonnette d’alarme. Selon l’Office National des Forêts (ONF), plus de 50% des surfaces des forêts domaniales sont déséquilibrées, pénalisées par une population excessive de cerfs et autres ongulés.
Vue d’ensemble sur la population de cerfs
Les statistiques témoignent d’une évolution rapide : en 40 ans, le cerf a envahi presque tous les départements du Loiret et du Cher, tout en augmentant sa présence dans d’autres zones telles que l’Eure-et-Loir. Un parallèle avec la gestion des sangliers est souvent fait, les chasseurs espérant appliquer une stratégie similaire pour contrôler les cerfs. Hubert Louis Vuitton, le président de la Fédération des chasseurs de Loir-et-Cher, souligne l’importance de cette chasse anticipée pour éviter une catastrophe pour la biodiversité.
Réactions farouches des défenseurs de l’environnement
La proposition de décret n’est pas sans provoquer des vagues de contestation. Sur le site du ministère, les commentaires dénoncent l’initiative, arguant que l’État cède aux demandes des chasseurs au détriment de la biodiversité. Les défenseurs de l’environnement rappellent qu’une chasse durant la période de reproduction pourrait nuire aux biches et à leurs faons, et qu’augmenter le nombre de mois de chasse engendrerait des risques d’accidents pour les randonneurs.
Vers un bras de fer
La mobilisation contre ce projet semble se structurer, avec des organisations comme France Nature Environnement incitant le public à exprimer son opposition. Les risques d’affrontements entre chasseurs et défenseurs de l’environnement sont croissants, annonçant un été potentiellement agité autour de cette question.
Quelles seront les conséquences de cet avis public sur la décision finale du gouvernement ? La suite du débat s’annonce passionnante.
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Chasse au Cerf Ouverture Anticipée Proposée en Juin

Chasse au Cerf : Une Ouverture Avancée en Juin ?
Le gouvernement français envisage une extension controversée de la période de chasse au cerf élaphe, qui pourrait débuter dès le 1er juin, suscitant des réactions vives des associations de protection de l’environnement.
Un Projet de Décret Épineux
Le projet d’avancement de la saison de chasse au cerf élaphe, initialement prévue pour commencer le 1er septembre, fait débat. France Nature Environnement a déjà exprimé son indignation, arguant que la durée de chasse actuelle, qui s’élève déjà à sept mois, ne nécessite pas d’être allongée de trois mois supplémentaires. « C’est tout simplement excessif », a déclaré un représentant de l’association à BFMTV.
Arguments du Gouvernement
De leur côté, les ministères de l’Aménagement du territoire et de l’Écologie avancent que cette modification vise à prévenir le surpâturage et à limiter les dommages agricoles et forestiers importants causés par le cerf élaphe. Cette approche pourrait-elle apporter un équilibre entre conservation et nécessité agricole ? Les autorités semblent convaincues que oui.
Impact sur la Faune et la Reproduction
Les conséquences d’une telle décision pourraient être néfastes, notamment pour la période de mise à bas des biches, qui coïncide avec le mois de juin. France Nature Environnement souligne que cette avancée accentuerait le dérangement de la faune sauvage en pleine période de reproduction. La Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) partage également cette inquiétude, avertissant que cela perturberait gravement le bien-être des jeunes animaux.
Face à cette controverse, il est légitime de se demander si l’extension de la chasse peut vraiment équilibrer les intérêts humains et ceux de la faune. Espérons que le débat persiste et que les voix de ceux qui défendent la nature soient entendues.
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Chasse à courre innovante avec VTT pour protéger les champs

Chasse à courre : des vélos au lieu des chevaux pour préserver les champs
Des chasseurs à courre redéfinissent leurs méthodes avec des VTT
Ce dimanche, à Brie, une expérience inédite a fait vibrer les passionnés de chasse : des chasseurs à courre ont remplacé leurs fidèles destriers par des VTT. En cette première, ils ont poursuivi des lièvres au son du cor, sans fusils, mais avec un esprit d’innovation pour moins impacter l’environnement agricole.
L’événement, organisé par la société de chasse La Bienvenue de Brie en partenariat avec le rallye de Saint-Hilaire, a vu les participants partir de l’aérodrome pour une chasse de plus de 40 kilomètres. Reynald Boucher, président de l’amicale de chasse, expliquait que cette initiative a été motivée par les plaintes des agriculteurs, fatigués des dommages causés par les chevaux dans leurs champs. Avec un vélo, le risque de dégrader les cultures est nettement réduit.
Les chiens et les équipements légers ont permis aux chasseurs de s’adonner à leur passion tout en respectant l’environnement, une démarche qui pourrait bien tracer un nouveau chemin pour les pratiques de chasse traditionnelles. Au terme de la journée, deux lièvres furent levés, témoignant du succès de cette session hors des sentiers battus.
Cette expérience pourrait-elle marquer le début d’une nouvelle ère pour la chasse à courre ? Une question à méditer alors que les chasseurs cherchent à concilier tradition et modernité.
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Capture de lapins de garenne à Changé

Capture des lapins de garenne pour réintroduction à Changé
Une opération sportive au cœur de la commune
Le mardi 25 juin 2024, au cœur de la commune de Changé en Sarthe, une opération inattendue a eu lieu : la capture de lapins de garenne pour leur réintroduction dans des zones où ils sont en déclin. Ce rendez-vous, à la fois sportif et surprenant, a vu des chasseurs se mobiliser dans une parcelle de 7 000 m², éloignée du centre urbain mais en plein milieu d’un quartier pavillonnaire.
L’éventualité de rencontrer une famille de lapins galopeurs à proximité des habitations a de quoi susciter un sourire. Néanmoins, ce n’est pas une mince affaire de capturer ces créatures rusées. Avec l’aide précieuse de furets, les chasseurs ont dû faire preuve d’agilité et de stratégie pour les faire sortir de leurs terriers, transformant l’opération en un véritable challenge sportif.
Ce type d’initiative n’est pas seulement une manière de préserver la biodiversité locale, mais également un moyen de responsabiliser les communautés sur l’importance de la faune sauvage. En restaurant les populations de lapins là où elles sont en danger, ces actions contribuent à maintenir un équilibre écologique précieux.
Alors, la prochaine fois que vous apercevrez un lapin gambader dans votre jardin, pensez à toute l’aventure qui a pu précéder sa présence ! Qui sait, peut-être est-il le fruit d’une opération de réintroduction ?
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Chasse administrative de sangliers à Marseille le 6 mars 2025

Chasse administrative de sangliers à Marseille : tout savoir sur l’opération à venir
La préfecture des Bouches-du-Rhône a décidé de prendre les choses en main face à la prolifération des sangliers en pleine ville. Le jeudi 6 mars 2025, une battue administrative réunissant 45 chasseurs se déroulera dans le quartier de La Madrague-Montredon, proche du parc national des Calanques. L’objectif est clair : réguler cette population sauvage pour prévenir tout risque d’incidents avec les citoyens et protéger les biens matériels.
Quand et où se déroulera la battue ?
Cette opération se tiendra à partir de 6 h 30 sur le site de l’ancienne usine Legré-Mante et dans ses environs. Il s’agit d’une première réaction face à la situation préoccupante des sangliers errants qui s’invitent parfois un peu trop près des habitations. Les services de l’État ont souligné la nécessité d’intervenir dans ces zones périurbaines.
Des mesures de sécurité à respecter
Pour garantir la sécurité de tous, la préfecture recommande vivement d’éviter la zone pendant la battue. Circuler à faible vitesse et garder vos animaux de compagnie à l’intérieur sera également une sage décision durant cette période. En cas d’intervention nécessaire, elle sera effectuée sous la stricte autorité du chef de battue, assurant ainsi la sécurité de tous.
Une problématique de nourrissage illégal
Il est important de noter que les sangliers ont tendance à proliférer dans des secteurs où ils sont nourris illégalement par des habitants. Cette situation a conduit à l’instauration d’amendes pouvant aller jusqu’à 450 euros pour quiconque serait pris en flagrant délit de nourrissage. Une mesure qui, espérons-le, fera réfléchir ceux qui pourraient être tentés de contribuer à cette problématique.
Pour plus d’informations sur la chasse et la réglementation qui l’entoure, n’hésitez pas à consulter notre site pour des conseils pratiques et des actualités : Caninstore.
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Un sanglier sur la plage des Côtes-d’Armor

« On a eu très peur » : un sanglier fait des vagues sur la plage des Côtes-d’Armor
Le dimanche 23 février 2025, la plage des Vallées à Pléneuf-Val-André a été le théâtre d’une rencontre inattendue et quelque peu troublante. Trois amies se promenaient tranquillement sur le sable lorsque l’une d’elles, Sophie, a croisé le chemin d’un « énorme sanglier ». Pour ces jeunes femmes, la balade s’est rapidement transformée en une scène dignes d’un film d’aventure où l’animal, visiblement à l’aise sur la plage, ne semblait pas perturber par la présence humaine.
Cela ne constitue pas un fait isolé dans la station balnéaire, connue pour ses paysages pittoresques et sa proximité avec la nature. En effet, en octobre 2024, un incident similaire avait déjà été noté dans la même région, attirant l’attention des locaux et des touristes. Avec la saison estivale qui approche, il est crucial d’être conscient de la cohabitation entre les citadins et la faune sauvage.
Comment réagir face à une rencontre avec la faune
La présence de sangliers sur les plages peut surprendre, mais il est important de garder son calme en cas de rencontre. Que faire ? Évitez de paniquer. Si un sanglier s’approche, assurez-vous de garder une distance sûre et de ne pas l’invectiver ni le provoquer. Respecter leur espace est essentiel pour garantir la sécurité de tous. Peut-être qu’un petit sourire en coin est une bonne idée pour détendre l’atmosphère, même si la situation peut sembler intimidante !
La nature est belle, et pour les amateurs de chasse ou simplement les amoureux des animaux, ces rencontres peuvent être fascinantes. Gardez un œil sur les actualités locales pour restez informé des comportements des animaux sauvages, surtout dans les zones touristiques où ils peuvent s’aventurer davantage.
N’oubliez pas, la nature et les animaux nous rappellent que nous partageons cet espace avec eux. Apprenez à cohabiter harmonieusement et à observer ces moments insolites avec sagesse et humour.
Battue administrative pour la régulation des sangliers

Une battue administrative aux sangliers prévue
Gestion et sécurité : une battue pour contrôler la population de sangliers
Samedi 1er mars au matin, une battue administrative se déroulera sur la roselière de la Maïre, orchestrée par un lieutenant de louveterie, en raison de la présence grandissante de sangliers. Cette initiative vise principalement deux objectifs : la régulation de la population de ces animaux et la sécurité des zones rurales et agricoles.
Le sanglier, en véritable champion de la reproduction, se multiplie à une vitesse fulgurante. Ce foisonnement peut entraîner des conséquences désastreuses pour l’écosystème local, en causant par exemple des dommages importants aux cultures et à la végétation. En fouillant le sol à la recherche de nourriture, ces animaux perturbent également les habitats d’autres espèces, causant ainsi des déséquilibres dans la biodiversité.
Les sangliers ne sont pas seulement une menace pour les jardins potagers ; ils représentent également un danger sur la route. Leur tendance à traverser les voies, souvent sous le couvert de l’obscurité, risque de provoquer des accidents. C’est une des raisons pour lesquelles ces battues sont mises en place : réduire la population animale dans les zones à risque afin d’augmenter la sécurité routière.
Pour garantir la sécurité de tous, un arrêté municipal a été pris pour interdire l’accès au public à la zone concernée. Les gardes du littoral, épaulés par les bénévoles de la réserve communale de sécurité civile, assureront la surveillance de tous les accès fermés, afin d’éviter tout incident durant la battue.
Restez informés et prudents, surtout si vous vous trouvez dans les environs de la roselière de la Maïre ce jour-là. Pour plus d’informations sur la chasse et le bien-être animal, consultez notre site !
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Sangliers et habitants de Nice une cohabitation difficile

Les sangliers s’installent à Nice, mais les solutions se font rares
Une cohabitation inattendue dans le quartier de Rimiez
Les sangliers, ces animaux emblématiques de la nature sauvage, semblent de plus en plus à l’aise dans les zones urbaines françaises. À Nice, une résidence du Parc Saint-Maur a été investie par des sangliers, qui y trouvent un petit coin de paradis. Ces suidés, véritablement des baroudeurs gourmands, n’hésitent pas à fouiller les jardins à la recherche de leur prochain repas, traitant la terre comme une grande poubelle à ciel ouvert.
Les habitants face à des voisins peu ordinaires
Les résidents de cette enceinte verdoyante ont vu leur quotidien se transformer. Les rencontres impromptues avec ces nouveaux « voisins » sont devenues la norme, poussant certains à envisager une cohabitation pacifique. Cependant, cette situation ne fait pas l’unanimité : nombreux sont ceux qui craignent qu’un incident ne vienne ternir leur tranquillité. Après tout, un sanglier en rut n’est pas vraiment un compagnon de jeu !
De la battue à la négociation
Face à cette invasion, la Préfecture a tenté d’organiser une battue administrative. Malheureusement, cette initiative a été compromise par des désaccords entre propriétaires. Quand les chasseurs se sont présentés pour tenter de régler le problème, ils ont été confrontés à une résistance inattendue. En effet, certains résidents ont tout fait pour perturber la battue, faisant du bruit pour éloigner les sangliers et s’opposant à toute intervention.
Des solutions en cours de mise en place
Devant l’impossibilité d’appliquer la solution initiale, la mise en place de nouvelles clôtures devient une priorité. Ces barrières visent à limiter le passage des sangliers entre le rectorat et les propriétés privées. Un défi en soi, où compromis et discussions seront nécessaires pour que chacun trouve son compte, sans pour autant sacrifier sa paix intérieure.
Alors, la question demeure : vivrons-nous un jour dans une harmonie parfaite entre l’homme et le sanglier, ou ces rencontres impromptues resteront-elles le lot de nombreux résidents urbains ? Affaire à suivre…
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