Laie et marcassins photographiés en Vendée

Une laie et ses marcassins immortalisés en Vendée
Le 22 février 2025, une scène mémorable s’est déroulée près des Sables-d’Olonne, en Vendée. Un photographe amateur a eu la chance inouïe de capter la promenade d’une laie accompagnée de ses cinq marcassins. Ce moment insolite, partagé sur les réseaux sociaux, a fait le bonheur des internautes, transformant une balade en une véritable petite sensation du web.
La journée avait commencé comme n’importe quelle autre pour un passionné de la faune sauvage. Le photographe, qui s’était installé aux abords de champs inondés à Olonne-sur-Mer, espérait croiser des chevreuils. Alors que le soleil déclinait à l’horizon, sa patience a été enfin récompensée. « J’ai aperçu une masse noire au loin, et j’ai saisi mon appareil photo pour immortaliser cet instant », explique-t-il.
Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant qu’il s’agissait d’une laie, flanquée de ses petits marcassins. L’observation de ces animaux est rare dans ce secteur : « C’était la première fois que je voyais une laie et ses marcassins ici », s’émerveille le photographe, qui avait déjà eu l’occasion de croiser, par le passé, des faons et des renardeaux.
Cette rencontre inattendue a non seulement ravi l’auteur de cette photo, mais a également enchanté de nombreux utilisateurs des réseaux sociaux, qui ont partagé et commenté l’image avec émerveillement. Une belle leçon sur la patience et l’observation, car qui sait quels autres trésors la nature nous réserve ?
Pour les passionnés d’animaux et d’observation, une sortie en pleine nature peut parfois offrir des moments magiques. Alors, prêtez l’oreille aux bruissements et ouvrez bien les yeux. Qui sait, la prochaine rencontre pourrait bien être la vôtre !
Suidé percutant un camion

Un énorme suidé percute un camion et se donne une belle frayeur
Les suidés, ces animaux souvent redoutés par les agriculteurs et les automobilistes, semblent parfois jouer à un jeu dangereux. Dans une vidéo récemment partagée, un impressionnant suidé a surpris des témoins en sortant d’un champ pour percuter violemment un camion. Cette scène, digne d’un scénario de comédie, met en lumière les mésaventures dont ces animaux peuvent être les protagonistes.
La vidéo, filmée par un homme visiblement amusé et probablement très surpris, montre le suidé en pleine course transversale, non sans une certaine détermination, avant de se heurter de plein fouet à la benne du camion. La collision est si forte que l’animal semble se retrouver un brin sonné, tout en ébrouant ses pensées, laissant les spectateurs ébahis par une telle audace.
À travers le monde, les suidés, qu’il s’agisse du sanglier français ou de leur cousin asiatique, présentent des variétés de taille et de comportement. Certains sont plus proches du cochon sauvage que du sanglier bien connu, mais tous partagent une caractéristique : une certaine imprévisibilité qui peut parfois mener à des situations cocasses mais aussi dangereuses pour les conducteurs.
Pour les passionnés de la nature, il est essentiel de garder à l’esprit que malgré leur apparence parfois comique, les suidés peuvent causer de réels dommages aux cultures et poser des dangers aux véhicules. Rester vigilant sur les routes et dans les zones rurales est donc primordial, que ce soit pour éviter de tels accidents ou simplement pour apprécier la faune en toute sécurité.
Pour plus d’histoires droles ou insolites sur le monde animal et la chasse, continuez à suivre nos actualités !
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Mimizan interdit de nourrir les sangliers

Mimizan : la mairie interdit de nourrir les sangliers
Une nouvelle réglementation face à l’invasion des sangliers en ville
La mairie de Mimizan a pris une décision ferme : alimenter les sangliers qui errent dans les rues de la commune peut désormais entraîner une amende salée. Bien qu’ils soient devenus les stars des balades en ville, ces animaux sauvages ne devraient pas être traités comme des animaux de compagnie.
Les sangliers, ces sympathiques quadrupèdes à la démarche maladroite, se sont appropriés les rues de Mimizan, une station balnéaire des Landes. L’été dernier, des vidéos montrant des jeunes marcassins flânant dans le centre-ville ont suscité l’amusement des passants. Cependant, cette popularité a un revers. Les autorités locales craignent que la cohabitation avec les touristes et les sangliers ne tourne au vinaigre.
Une réglementation stricte pour éviter les dérives
Alors que la saison estivale approche, la mairie tire la sonnette d’alarme. Nourrir ces animaux pourrait sembler inoffensif, mais cela encourage leur présence dans des zones urbaines et peut conduire à des nuisances, des accidents ou même la transmission de maladies. Le communiqué publié sur leur page Facebook le 14 avril 2025 rappelle de manière claire qu’il est interdit de nourrir les sangliers, avec une mention spéciale pour le printemps, période critique où naissent de nombreux marcassins.
Le Code de l’environnement et plusieurs arrêtés préfectoraux sont sans équivoque : nourrir la faune sauvage est prohibé. Quiconque brave cette législation s’expose à une amende de 450 euros, comme stipulé dans l’article 120 du Règlement Sanitaire Départemental des Landes.
Les conséquences de l’alimentation humaine
Nourrir les sangliers ne vient pas sans conséquences. Ces aliments, bien qu’appétissants pour les sangliers, les rendent dépendants de la main humaine. De plus, cette dépendance augmente considérablement le risque de transmission des maladies entre animaux et potentiellement aux humains. Les cultivateurs locaux subissent également des pertes importantes lorsque ces animaux ciblent leurs cultures.
Malgré leur apparence adorable, la meilleure chose à faire est de savourer la vue, sans intervenir dans leur alimentation. Préserveons ainsi un équilibre nécessaire entre l’homme et la nature. Pour le bien-être collectif, respectons les réglementations et la faune de notre environnement.
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Gestion des sangliers et sécurité des chasseurs en assemblée générale

Sécurité et gestion des sangliers : les préoccupations majeures des chasseurs en assemblée générale
La fédération de chasse de Charente a récemment rassemblé près de 600 membres à l’espace Paul Dambier de Champniers pour son assemblée générale. Avec un total d’environ 9 400 adhérents, la fédération a noté une baisse de 3 % de ses effectifs, une information partagée par le président, Bruno Meunier, qui a également soulevé des enjeux cruciaux lors de la réunion.
Priorité à la sécurité après un tragique accident
Le début de l’année a été assombri par un accident mortel survenu à Combiers, un événement qui a profondément marqué les esprits. La sécurité lors des activités cynégétiques est désormais un sujet central, comme l’a souligné Meunier. Les membres de la fédération doivent impérativement respecter les directives du Schéma départemental de gestion cynégétique, qui encadre la pratique de la chasse dans la région.
Des mesures de sécurité renforcées
Au fil des années, des mesures de sécurité draconiennes ont été mises en place. Par exemple, les chasseurs sont pionniers dans l’utilisation de panneaux lors des battues et portent obligatoirement des vestes orange. Ce schéma de sécurité sera renouvelé pour une durée de six ans, avec sa dernière version signée par le préfet le 30 décembre 2024. Parmi les nouvelles dispositions, l’usage de la chevrotine – une cartouche plus grosse – répondra à des critères d’application stricts, avec des limitations de distance de tir et des postes définis pour les tireurs.
Une gestion des sangliers sous haute tension
Les sangliers, ces cohabitants indésirables mais témoins de la vie sauvage, continuent de poser problème. Selon les chiffres avancés, la fédération a dû indemniser près de 470 000 euros pour les dégâts occasionnés aux agriculteurs lors de la saison précédente. En tenant compte des frais administratifs et des solutions de répulsifs pour le grand gibier, la facture liée aux sangliers s’élève à environ 900 000 euros, ce qui représente une part significative du budget annuel de la fédération, fixé à un peu plus de deux millions d’euros.
Vers une coopération accrue pour mieux réguler
La majorité des dommages se concentre dans quinze communes, principalement au sud du département. La fédération cherche donc des renforcements, notamment par le biais de louveteurs et d’autres dispositifs tels que des pièges et des filets. En parallèle, les battues administratives se multiplient, et la saison a déjà permis de prélever 8 000 sangliers, un chiffre qui fait pâlir face aux 300 sangliers abattus avant la tempête de 1999.
En somme, la fédération de chasse de Charente est dans une dynamique de sécurité accrue et de gestion raisonnée du gibier, pour mieux s’adapter aux défis que pose la cohabitation entre chasseurs, agriculteurs et sangliers. Si la passion pour la chasse doit continuer de rimer avec prudence, cela passe surtout par une organisation rigoureuse et une vigilance de tous les instants.
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Renard curieux et mirador en pleine nature

Un renard curieux sillonne autour d’un mirador
Les aficionados de la nature et du monde cynégétique connaissent bien l’importance d’un mirador. Ces structures, souvent perchées haut dans les arbres, offrent un excellent point de vue pour observer discrètement la faune sauvage. En plus de fournir un abri et de sécurité aux chasseurs, ces miradors sont également utilisés par les amoureux de la nature qui souhaitent admirer les animaux en toute tranquillité.
Une rencontre inattendue
Récemment, un photographe animalier a tenté sa chance en montant dans un mirador, sans se douter qu’il allait vivre une expérience inattendue. En effet, un renard, intrigué par sa présence et les odeurs inconnues qu’il diffusait, s’est approché pour enquêter sur ce nouvel occupant de son territoire. Ce moment captivant a été immortalisé par le photographe, offrant une scène incroyable qui rappelle à quel point la nature peut être pleine de surprises.
Un aperçu du quotidien animal
Ce type d’interaction montre à quel point les animaux peuvent être curieux et conscients de leur environnement. Un renard qui s’approche pour évaluer une situation nouvelle est une observation fascinante, témoignant du comportement naturel de cet animal. Combien d’entre nous ont déjà rêvé d’être à la place de ce photographe, bénéficiant d’une telle proximité avec la faune?
Les enseignements à tirer
Cette expérience rappelle également l’importance de la pêche à l’affût en matière de conservation et d’observation. Que vous soyez chasseur ou simple amateur de nature, vous pouvez tirer parti des miradors non seulement pour observer les animaux, mais aussi pour mieux comprendre leur comportement. Après tout, une bonne connaissance de notre environnement peut faire toute la différence pour une chasse ou une excursion réussie.
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Suppression du Permis de Chasser et Réforme des Taxes à Faible Rendement

Suppression des Taxes à Faible Rendement : Un Avis sur le Permis de Chasser
Dans un contexte où la fiscalité française est scrutée de près, la Cour des comptes s’est penchée sur la question des taxes à faible rendement, qui compliquent la vie fiscale sans apporter de bénéfices significatifs. Au total, 243 taxes ont été identifiées, parmi lesquelles figure celle du permis de chasser.
Cette initiative, née d’une demande citoyenne, révèle une problématique importante : ces taxes pourraient coûter autant, voire plus, à collecter qu’elles ne rapportent réellement. Fait étonnant, 117 d’entre elles ne présentent même pas de rendement connu ou estimé. Bien que la majorité de ces taxes concernent le secteur professionnel, certaines affectent également les particuliers, comme le démontre le cas du permis de chasser.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Les prélèvements peu rentables incluent des taxes insolites, allant de celle sur la production cinématographique à celle sur les achats de viande. Mais qu’en est-il du permis de chasser ? Sa pertinence dans le paysage fiscal est remise en question.
Des Solutions Proposées
La Cour des comptes avance trois solutions possibles pour ces taxes peu fructueuses : simplifier des dispositifs trop complexes, réévaluer leur place dans certains secteurs d’ici 2027, et rationaliser les taxes additionnelles dont la collecte semble redondante. Actuellement, ces préconisations portent sur 173 des 243 taxes mises en lumière.
Il ne reste plus qu’à attendre de voir si le gouvernement suivra ces recommandations lors du prochain projet de loi de finances en 2026. En effet, la lutte contre les taxes à faible rendement a déjà connu un début en 2019, réduisant leur nombre de 305 à 243, mais force est de constater qu’après cet élan, le rythme a ralenti.
Le Permis de Chasser : Quel Avenir ?
Pour ce qui est du permis de chasser, la question demeure : sera-t-il tout simplement supprimé, ou sa méthode de collecte sera-t-elle repensée ? La jurisprudence récente du Conseil d’État, qui interdit le financement d’activités de contrôle par le biais d’une redevance, complique les choses. Cela pourrait signifier un doublement des redevances et la création d’une taxe à faible rendement associée à l’obtention du permis.
Les chasseurs devront donc faire preuve de patience pour voir comment se dénouera cette situation. Quelles que soient les décisions prises, l’évolution de cette taxe soulève des interrogations sur l’équilibre entre préservation de la nature et gestion fiscale.
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Mobilisation des chasseurs pour un manifeste citoyen le 17 mai

Le manifeste pour la chasse du 17 mai : un cri du cœur à l’attention des maires
Le 17 mai prochain, une mobilisation sans précédent s’annonce pour les chasseurs de France. Tous sont invités à se rendre dans leur mairie respectives pour remettre un manifeste articulé autour de revendications essentielles à la pratique de la chasse. Et pourquoi pas, se faire signer ce document par leur maire ! Une belle manière de témoigner de la force de la communauté des chasseurs tout en élevant la voix sur des enjeux qui préoccupent le monde cynégétique.
Les 11 points cruciaux du manifeste
Ce manifeste est bien plus qu’un simple document ; c’est un agenda programmatique. Voici les 11 revendications qui y figurent :
- Reconnaissance de l’intérêt général de la chasse française : Inscription au patrimoine immatériel de l’UNESCO de toutes les pratiques cynégétiques.
- Équité financière : Arrêt des paiements des dégâts causés par le grand gibier sur les cultures, qui ne doivent plus peser uniquement sur les chasseurs.
- Sauvegarde des munitions au plomb : Refus de l’interdiction du plomb dans les munitions de chasse.
- Suppression des moratoires : Élimination de tous les moratoires européens affectant la chasse.
- Maintien des espèces chassables : Préservation de toutes les espèces actuellement chassables.
- Legitimité des chasses traditionnelles : Reconnaissance des pratiques cynégétiques traditionnelles.
- Police de proximité rurale : Animation par les fédérations des chasseurs pour assister les communes.
- Fonds pour l’environnement : Création d’un fonds dédié pour financer des actions de réaménagement environnemental.
- Liberté de cession du gibier : Autorisation de céder leur gibier sans contraintes réglementaires exagérées.
- Gestion des populations de loup : Réduction des effectifs afin de protéger le pastoralisme et la faune d’ongulés.
- Retour des nuisibles : Rétablissement de la liste complète des nuisibles et maintien du piégeage et déterrage.
Un appel à l’unité des chasseurs
Willy Schraen, en tête de cette initiative, a clairement exprimé l’intention de rassembler tous les chasseurs français autour de ces revendications lors d’une conférence à Avignon. La mobilisation du 17 mai représente une action collective à l’échelle de toutes les communes, illustrant la capacité des chasseurs à s’unir, même dans un espace aussi vaste que l’Europe des 27.
À 11 heures précises, chaque groupe de chasseurs se rassemblera devant les mairies de France, criant à l’unisson leurs préoccupations et souhaitant que les maires (s’ils le désirent) signent le manifeste. C’est un moment historique en devenir que la communauté cynégétique aborde avec détermination.
En cette période de préparation, la collaboration entre toutes les instances locales et les fédérations de chasse est essentielle pour structurer cette action et faire entendre la voix des chasseurs.
Quelles seront les répercussions de cette mobilisation sur l’avenir de la chasse en France ? À suivre de près.
Reglementation de la chasse 2025-2026 en Ille-et-Vilaine

Arrêtés Préfectoraux pour la Chasse : Saisons 2025-2026 en Ille-et-Vilaine
Réglementation de la Chasse et Plans de Gestion Cynégétique
Le projet d’arrêté préfectoral pour la saison de chasse 2025-2026 apporte des précisions capitales concernant l’ouverture et la clôture de la chasse dans le département d’Ille-et-Vilaine. Ce texte réglementaire n’est pas à prendre à la légère : il fixe les dates, horaires et conditions spécifiques pour les chasseurs, en s’appuyant sur le code de l’environnement, les décrets nationaux, et le schéma départemental de gestion cynégétique.
Les espèces de grand gibier comme le cerf et le chevreuil, qui sont soumises à un plan de chasse, et le sanglier, soumis à un plan de gestion, ont des conditions de chasse précisées dans trois arrêtés spécifiques. Une attention particulière est accordée à la régulation des populations par le biais d’un système de « mini-maxi » pour les bracelets autorisés de cerf élaphe et de chevreuil, afin d’assurer un équilibre agro-sylvo-cynégétique dans le département.
Gestion des Sangliers : Une Espèce Sous Surveillance
Un autre aspect significatif du projet est le classement du sanglier en tant qu’espèce susceptible d’occasionner des dégâts (ESOD). Ce classement permet la régulation du sanglier par piégeage sur l’ensemble du territoire départemental, suivant les prescriptions de l’arrêté ministériel du 3 avril 2012. La régulation vise à garantir que cette espèce ne cause pas de désagréments aux cultures ou aux écosystèmes locaux.
Consultation Publique : Votre Voix Compte
Du 18 avril au 9 mai 2025, un appel à participation du public est lancé, conformément à l’article L123-19-1 du code de l’environnement. Sept projets d’arrêtés préfectoraux sont soumis à consultation pour garantir que les décisions concernant la chasse reflètent les attentes et les besoins des parties prenantes. Les citoyens sont donc invités à exprimer leurs observations et suggestions.
Documents Importants à Consulter
Pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur les règles de chasse pour la saison 2025-2026, plusieurs documents sont mis à votre disposition :
- Note de présentation des projets d’arrêtés relatifs à la chasse.
- Projet d’arrêté pour l’ouverture et la clôture de la chasse.
- Modalités d’exécution du plan de gestion des sangliers.
- Modalités d’exécution des plans de chasse pour cerfs et chevreuils.
- Classement du sanglier en tant qu’ESOD.
Ces ressources sont essentielles pour comprendre les enjeux cynégétiques et se préparer pour la saison de chasse à venir.
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Problématique croissante des ragondins pour les chasseurs

Les ragondins, une problématique croissante chez les chasseurs
Une saison de chasse sous le signe du calme
Lors d’un récent repas des chasseurs, rassemblant 53 convives le 13 avril, le président de la chasse communale a soulevé une préoccupation majeure : l’explosion de la population de ragondins. Cette espèce aquatique, souvent considérée comme un rongeur inoffensif, est en réalité source de multiples désagréments pour l’écosystème local.
Les chasseurs sont préoccupés par la tranquillité de la saison qui, selon ses dires, ne réserve pas autant d’excitation que les années précédentes. « C’est bien calme », annonce-t-il, tout en insistant sur la nécessité de gérer la situation concernant ces rongeurs qui prolifèrent.
Pourquoi un contrôle est-il nécessaire ?
L’augmentation du nombre de ragondins a des implications bien au-delà de l’aspect esthétique des paysages. Ces animaux creusent des terriers qui peuvent provoquer l’érosion des berges et déstabiliser les écosystèmes aquatiques, menaçant ainsi la biodiversité locale. De plus, leur présence peut avoir des conséquences sur les cultures environnantes.
Les chasseurs, qui analysent actuellement l’impact de ces rongeurs sur leur environnement, soulignent l’importance de mettre en place des mesures de régulation. En effet, lorsque les populations de ragondins ne sont pas contrôlées, la balance écologique est perturbée, pouvant engendrer des complications pour la faune et la flore locales.
Quelles actions peuvent être entreprises ?
Face à cette problématique, plusieurs solutions sont envisageables. D’abord, l’éducation des citoyens quant à l’importance de la régulation des espèces nuisibles peut aider à diminuer leur impact. Ensuite, l’utilisation de dispositifs de capture et de régulation peut permettre de maintenir les populations de ragondins à un niveau acceptable.
En conclusion, la situation actuelle impose une réflexion sur la manière dont les chasseurs peuvent intervenir de manière responsable et durable pour préserver l’équilibre de leur environnement. Avec une planification adéquate, il est possible d’atténuer le nombre de ragondins et d’éviter que la saison de chasse ne devienne trop « calme » par une absence de diversité faunique.
Pour en savoir plus sur les moyens de préserver notre écosystème tout en pratiquant la chasse, visitez Caninstore.
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Nourrir les sangliers à Mimizan peut entraîner une amende

À Mimizan, nourrir les sangliers peut vous coûter cher
Une cohabitation délicate avec la faune sauvage en ville
À Mimizan, les sangliers ne se contentent pas de gambader dans les forêts ; ils s’invitent aussi dans les rues de la commune. La situation est devenue suffisamment préoccupante pour que la mairie prenne la décision d’interdire toute tentative de les nourrir. Pendant l’été 2024, un groupe de marcassins a fait sensation sur les réseaux sociaux en se baladant paisiblement au cœur de la ville, suscitant l’amusement des passants.
Cette scène de vie tranquille a vite dégénéré en un véritable défi pour la municipalité. En effet, tandis que certains habitants se plaisaient à remplir des gamelles pour ces adorables petites bêtes, les autorités locales ont commencé à s’inquiéter des conséquences d’une telle cohabitation.
Des règles strictes pour protéger l’écosystème
Avec l’été à nos portes, la mairie de Mimizan a décidé de communiquer clairement sur la situation. Dans un message publié le 14 avril 2025 sur sa page Facebook, elle rappelle aux citoyens qu’il est formellement interdit de nourrir la faune sauvage, et particulièrement les sangliers, surtout en cette période de forte natalité.
Selon le code de l’environnement et les arrêtés préfectoraux en vigueur dans les Landes, cette interdiction vise à préserver l’équilibre écologique et à éviter les risques sanitaires—sans parler des désagréments causés aux agriculteurs locaux.
Des conséquences financières pour les contrevenants
Ignorer cette interdiction pourrait s’avérer coûteux pour les contrevenants : une amende de 450 euros est prévue par l’article 120 du Règlement Sanitaire Départemental des Landes. Une somme qui peut faire réfléchir avant de jouer les bienfaiteurs auprès de nos amis sangliers.
En somme, la cohabitation entre les humains et la faune sauvage doit se faire dans le respect des réglementations en vigueur pour garantir un environnement sain et équilibré pour tous. Alors, la prochaine fois que vous apercevrez un sanglier en ville, rappelez-vous : il vaut mieux admirer ces créatures de loin qu’essayer de les nourrir !
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