Cerf blesse gravement un chasseur dans les Ardennes

Cerf blesse gravement un chasseur dans les Ardennes

Un cerf piétine un chasseur dans les Ardennes

Charge d’un cerf blesse un chasseur à Signy-l’Abbaye

Ce samedi 2 novembre 2024, près du lieu-dit Crêtes des mineurs sur la commune de Signy-l’Abbaye, localisé à 30 kilomètres à l’ouest de Charleville-Mézières (Ardennes), un incident pour le moins inhabituel s’est produit. Vers 10h20, un chasseur de 62 ans a été heurté de plein fouet par un cerf, qui l’a piétiné, occasionnant des blessures sérieuses.

Les pompiers ont immédiatement été dépêchés sur place pour secourir l’individu, qui souffrait de douleurs et de plaies au niveau du thorax. Le chasseur a été transporté en urgence relative au centre hospitalier de Charleville-Mézières pour recevoir les soins nécessaires. Les gendarmes ont également été appelés sur les lieux pour constater et sécuriser la zone de l’accident.

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Fin des Enclos de Chasse en Sologne Ce Qu’il Faut Savoir

Fin des Enclos de Chasse en Sologne Ce Qu'il Faut Savoir

Fin des Enclos de Chasse en Sologne : Ce Qu’il Faut Savoir

Le Conseil constitutionnel a récemment validé une loi qui modifie profondément le paysage rural français. Cette législation vise à supprimer les enclos cynégétiques, permettant ainsi une libre circulation de la faune dans de nombreuses régions, dont principalement la Sologne. Mais qu’est-ce que cela signifie réellement pour les propriétaires de terres et pour la biodiversité locale ? Explorons ensemble les divers aspects de cette nouvelle réglementation.

Un Cadre Juridique Strict pour l’Engrillagement

Les enclos cynégétiques ont été utilisés depuis longtemps en France pour permettre la chasse toute l’année, surtout dans des régions comme la Sologne. Cependant, la nouvelle législation du 3 février 2023 impose aux propriétaires de retirer ces barrières spécifiques dans un délai de deux ans. Les clôtures autorisées ne doivent désormais pas dépasser 1,20 mètre de hauteur et doivent être posées à au moins 30 cm au-dessus du sol. Cette loi répond à plusieurs préoccupations, notamment celles des conservationnistes qui estiment que les enclos limitent la libre circulation des animaux sauvages. En effet, les scientifiques et les défenseurs de l’environnement arguent que l’existence de tels enclos perturbe les corridors écologiques essentiels pour de nombreuses espèces.

Les Objectifs de la Nouvelle Loi

L’objectif principal de cette mesure est clair : rétablir la connectivité entre différents habitats naturels. Cela pourrait potentiellement augmenter la diversité génétique parmi les populations animales et permettre une meilleure adaptation aux changements environnementaux, y compris le réchauffement climatique. Par ailleurs, il s’agit également de réduire les tensions entre différents usagers des espaces naturels, comme les randonneurs, les cyclistes et les chasseurs. La suppression des enclos devrait contribuer à une gestion plus harmonieuse et partagée des territoires ruraux.

Réactions des Propriétaires

Il n’est pas surprenant que cette décision ait suscité des réactions mitigées parmi les propriétaires de terres concernées. Beaucoup d’entre eux ont invoqué le droit de propriété et ont même essayé de contester la loi devant le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel. Malgré leurs efforts, la loi a été confirmée comme conforme à la Constitution le 18 octobre 2024. Pour ces propriétaires, l’impact économique peut être significatif. Non seulement devront-ils supporter les coûts liés à la modification ou au retrait des enclos existants, mais ils perdront aussi la capacité de monétiser activement leur terrain à travers la chasse durant toute l’année.

Délais et Accompagnements

Pour faciliter cette transition, la loi accorde aux propriétaires un délai de deux ans pour se conformer aux nouvelles exigences. Cela permet un certain niveau de planification et de préparation afin de minimiser l’impact financier et opérationnel. Des dispositifs compensatoires sont également envisagés par les collectivités locales et certaines associations environnementales pour aider les propriétaires à financer les modifications nécessaires. Cette aide pourrait prendre la forme de subventions ou de conseils techniques pour optimiser la gestion future de leurs terrains.

Implications pour la Biodiversité

Du point de vue écologique, la disparition des enclos cynégétiques représente une opportunité majeure pour renforcer la biodiversité locale. Avec moins d’obstacles physiques, de nombreuses espèces pourront migrer plus librement, ce qui favorise non seulement leur survie mais aussi leur croissance démographique. Certaines études suggèrent que la fragmentation des habitats, causée en partie par les enclos de chasse, limite les possibilités de déplacement des animaux. Réduire cette fragmentation pourrait faciliter l’accès à diverses ressources alimentaires et zones de reproduction, améliorant ainsi la résilience des populations animales face aux défis environnementaux actuels.

Bénéfices Attendus

  • Accroissement de la diversité génétique : avec davantage de possibilités de croisement entre différentes populations, les espèces deviennent plus résistantes aux maladies et autres perturbations.
  • Amélioration des écosystèmes : permettre une libre circulation favorise une fertilisation naturelle grâce aux déplacements des herbivores et autres animaux qui transportent des graines et nutriments.
  • Réduction des conflits humains-faune : en ouvrant les espaces fermés, les interactions directes entre les animaux sauvages et les lieux agricoles ou habités pourront être diminuées.

Gestion des Risques et Suivi

Toutefois, les bienfaits attendus viennent aussi avec des défis particuliers. L’un des principaux soucis exprimés par les opposants concerne la gestion accrue des populations animales. Une hausse des mouvements de gibier pourrait entraîner des soucis comme les collisions routières ou l’augmentation des dégâts agricoles. Afin de contrer ces risques, des mesures de suivi rigoureuses sont envisagées. Les autorités locales et les associations pourraient mettre en place des programmes de surveillance pour observer les effets de la nouvelle législation et ajuster leurs stratégies si nécessaire.

Collaborations Locales

Pour une mise en œuvre réussie, la collaboration entre divers acteurs sera cruciale. Fermiers, chasseurs, écologistes et autorités publiques devront travailler ensemble pour réaliser les objectifs de cette loi tout en gérant proactivement les défis émergents. Des forums et ateliers pourraient être organisés pour partager les bonnes pratiques et ajuster les approches en fonction des retours de terrain.

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Débat sur les anti-chasse Une jeune femme dénonce l’hypocrisie sur TikTok

Débat sur les anti-chasse Une jeune femme dénonce l'hypocrisie sur TikTok

Débat sur les anti-chasse : Une jeune femme dénonce l’hypocrisie sur TikTok

Depuis quelques années, un phénomène se dessine : les anti-chasse se font de plus en plus entendre, souvent de manière radicale. Dans une société supposément moderne et ouverte au dialogue, on constate aujourd’hui une diminution des discussions constructives entre chasseurs et écologistes, un constat dressé par une jeune femme sur TikTok.

Sur le réseau social, elle critique le manque d’ouverture d’esprit et d’esprit critique, concepts pourtant essentiels à une société démocratique. Elle pose la question : les anti-chasse ne seraient-ils pas les hypocrites du moment ? En effet, elle souligne que, mis à part les végétariens et végans, beaucoup d’anti-chasse consomment de la viande d’élevage intensif, souvent bien loin du circuit court pratiqué par les chasseurs.

Ce que je ne comprends pas, ce sont les anti-chasse qui se battent plus contre la chasse que contre l’élevage intensif. Pourquoi continuent-ils d’acheter de la viande de mauvaise qualité et attaquent les chasseurs qui consomment de la viande de circuit ULTRA court ? Suis-je dans une bulle ou bien ?? #antichasse #chasse #viande #ecologie #animaux #debat

A mon avis, les anti-chasse doivent revoir leurs priorités. Bien sûr, toutes les chasses ne se valent pas, mais ce ne sont pas les chasseurs qu’il faut attaquer. J’attends vos vrais arguments #chasse #antichasse #espritcritique #viande #ecologie #animaux

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Permis de Chasse La Sécurité Avant la Précision

Permis de Chasse La Sécurité Avant la Précision

Permis de Chasse : Pourquoi Toucher Sa Cible N’est Pas Obligatoire

Remise en question de l’argument des anti-chasse

Des voix s’élèvent régulièrement contre le fait que l’on puisse obtenir un permis de chasse sans avoir à toucher sa cible. Selon certains critiques, il est illogique de valider un permis si l’on est incapable d’atteindre un animal. Ils imaginent que chaque coup de fusil doit forcément résulter en un prélèvement. En réalité, cette perception est distante de l’essence même des examens de chasse.

Une enquête en caméra cachée fait sensation

Dernièrement, une enquête menée en caméra cachée par un média dédié à la protection animale a semé la confusion. En effet, le journaliste infiltré a découvert qu’il n’était pas impératif de toucher sa cible pour réussir l’examen du permis de chasse. Cette révélation a suscité une onde de choc parmi les opposants à la chasse, mais pour des raisons mal interprétées.

L’accent sur la sécurité avant tout

Pour comprendre pourquoi toucher la cible n’est pas obligatoire, il suffit de se pencher sur les objectifs de l’examen du permis de chasse. L’essentiel est de s’assurer que le futur chasseur fera preuve de sécurité dans ses pratiques. Effectivement, l’examen est conçu pour tester la capacité du candidat à identifier correctement ses cibles et à éviter les comportements dangereux, et non pour évaluer ses talents de tireur.

Des scénarios variés pour évaluer la sécurité

Au cours de l’examen pratique, les candidats sont confrontés à diverses situations. Par exemple, des plateaux d’argile colorés sont utilisés pour simuler des cibles et forcer le futur chasseur à les identifier avec précision. D’autres scénarios incluent l’apparition surprise de silhouettes, la présence de véhicules à proximité ou même des bâtiments dans l’angle de tir. Si le candidat effectue un tir dangereux ou même relève mal son arme, il est recalé instantanément.

Des cartouches à demi-charge : l’exemple concret de l’intérêt de la sécurité

Pour souligner l’importance de la sécurité plutôt que de la précision, certaines formations utilisent des cartouches à demi-charge, voire des cartouches à blanc. Le fait de ne pas toucher la cible devient alors un détail insignifiant. L’essentiel est d’évaluer les comportements du candidat lors de situations critiques et de s’assurer qu’il ne mettra jamais quiconque en danger.

La simplicité des questions théoriques

Une autre critique récurrente concerne la simplicité des questions théoriques de l’examen. Sorties de leur contexte, ces questions peuvent sembler du niveau d’un jeu trivial. Mais ici, une comparaison avec l’examen du code de la route permet de mieux comprendre. Dans les deux cas, certaines questions peuvent sembler évidentes, pourtant elles sont cruciales pour s’assurer que tous les aspects fondamentaux sont bien assimilés.

Les défis de l’Office Français de la Biodiversité

Depuis 2020, c’est l’Office Français de la Biodiversité qui supervise le passage de l’examen du permis de chasser. Malgré le manque de moyens et le nombre limité d’examinateurs, ils font de leur mieux pour garantir des évaluations justes et axées sur la sécurité. Toutefois, la FNC continue de demander des ressources supplémentaires pour réduire les délais d’attente pour l’examen et consacrer davantage de temps à chaque candidat.

Conclusion

En somme, l’examen du permis de chasse en France ne cherche pas à faire de ses candidats des tireurs d’élite, mais des chasseurs responsables et sûrs. La priorité est toujours donnée à la sécurité et à la prévention des accidents. En comprenant cela, on saisit mieux pourquoi toucher sa cible n’est pas requis pour obtenir son permis.

Rédigé par Actuchasse en partenariat avec Caninstore

Algues vertes et mortalité animale en baie de Saint-Brieuc

Algues vertes et mortalité animale en baie de Saint-Brieuc

Algues vertes et mortalité animale en baie de Saint-Brieuc : la piste toxique d’un fléau persistant

Des analyses en cours pour élucider les causes de la mort

Le mystère entourant la mort de quatre sangliers, retrouvés échoués sur deux plages d’Hillion, dans les Côtes-d’Armor, relance le débat sur l’impact des algues vertes dans la baie de Saint-Brieuc. Découverts le 30 octobre 2024, les cadavres de ces animaux suscitent des interrogations, en particulier du fait de leur localisation sur des plages, comme celle de la Grandville, régulièrement envahies par des dépôts d’algues vertes en décomposition. Cette situation, loin d’être un phénomène isolé, reflète un problème de santé publique et environnementale qui persiste depuis des années en Bretagne.

Après la découverte macabre, les cadavres ont été pris en charge par l’Office français de la biodiversité (OFB) et transportés au laboratoire Labocéa de Ploufragan pour autopsie et analyses toxicologiques. Bien qu’aucune trace de balles ou de blessures apparentes n’ait été observée, les autorités cherchent à déterminer si les sangliers ont succombé à une intoxication, potentiellement causée par les émanations d’hydrogène sulfuré, un gaz libéré lors de la décomposition des algues vertes. En 2023, un cas similaire avait déjà fait parler de lui : un sanglier retrouvé mort dans la baie avait d’abord été suspecté de s’être intoxiqué au gaz, avant que les analyses ne révèlent une infection.

L’ombre des algues vertes : un risque persistant

La plage de la Grandville, située dans une zone régulièrement touchée par les échouages d’algues vertes, est particulièrement exposée aux émanations toxiques en période de décomposition de ces algues. En effet, les marées vertes — une problématique récurrente en Bretagne — sont provoquées par une prolifération d’ulves favorisée par les nitrates d’origine agricole. Lors de leur décomposition, ces algues dégagent des gaz toxiques, notamment l’hydrogène sulfuré, dangereux pour la santé humaine et animale. L’association Défense des victimes de marées vertes, présidée par André Ollivro, a une nouvelle fois alerté les autorités sur les risques de ces gaz et demande des réponses plus claires concernant la gestion de ce fléau.

La multiplication de ces incidents témoigne des impacts environnementaux et sanitaires que subit la région. Si l’hypothèse d’une intoxication aux gaz des algues vertes reste à confirmer, le problème est loin d’être nouveau. En effet, depuis plusieurs décennies, les échouages massifs d’algues vertes ont déjà entraîné des décès animaux, et parfois même des hospitalisations humaines. Les riverains et associations locales dénoncent régulièrement le manque de transparence des autorités quant aux mesures mises en place pour surveiller et limiter les risques d’intoxication.

Des conséquences au-delà de la biodiversité

La mobilisation des autorités locales et des associations est cruciale face à un phénomène qui menace non seulement la biodiversité de la baie de Saint-Brieuc, mais aussi la santé des habitants. La répétition de ces cas de mortalité animale interroge sur l’inaction apparente des pouvoirs publics face à ce qui pourrait bien être un scandale écologique. André Ollivro demande que les résultats des autopsies soient publiés rapidement afin de lever les doutes et, surtout, d’alerter les riverains sur les dangers potentiels.

En attendant les résultats des analyses, la prudence reste de mise pour les visiteurs des plages de la baie de Saint-Brieuc. Mais, au-delà de cette enquête en cours, les événements récents posent la question d’une gestion durable de l’environnement et de l’agriculture intensive dans la région. La problématique des algues vertes en Bretagne, devenue une véritable épine dans le pied des collectivités locales, demande des actions fortes pour éviter que la baie de Saint-Brieuc ne devienne un exemple tragique des conséquences de l’inaction environnementale.

Actuchasse pour Caninstore

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Titre de l’article : Ville-devant-Chaumont un motard percute un sanglier et est transporté à l’hôpital

Titre de l'article : Ville-devant-Chaumont un motard percute un sanglier et est transporté à l'hôpital

Ville-devant-Chaumont : Un Motard Percute un Sanglier et Est Transporté à l’Hôpital

Sécurité Routière : Collision avec un Sanglier

Dans la matinée de ce jeudi, aux environs de 9 h 30, les sapeurs-pompiers de Verdun ont été dépêchés sur un lieu d’accident routier à Ville-devant-Chaumont. Un motard de 40 ans, roulant sur la D905 à proximité du bois des Caures, est entré en collision avec un sanglier.

La violence de l’impact a projeté la moto au sol, entraînant le Meusien dans sa chute. Les secours ont rapidement pris la situation en main et le motard a été transféré en urgence à l’hôpital de Verdun. À ce jour, aucune information n’a été divulguée concernant son état de santé.

La gendarmerie de Montmédy a lancé une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cette collision inattendue.

Pour en savoir plus sur la sécurité routière et des conseils sur la prévention des accidents impliquant des animaux sauvages, visitez notre site internet Caninstore.

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La Plainte Rejetée de la Fédération des Chasseurs Contre Sandrine Rousseau

La Plainte Rejetée de la Fédération des Chasseurs Contre Sandrine Rousseau

La Plainte de la Fédération Nationale des Chasseurs Contre Sandrine Rousseau Jugée Irrecevable

Un Déroulement Surprenant dans l’Affaire des Propos Polémiques de Sandrine Rousseau

Le 30 octobre avait été marqué d’une pierre blanche par la communauté des chasseurs de France. Ce jour, ils attendaient le verdict dans le procès opposant la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) à l’élue écologiste Sandrine Rousseau. Cette dernière avait suscité un tollé avec ses déclarations acerbes à l’encontre des chasseurs lors d’une intervention télévisée en 2022. Cependant, la décision de justice a pris tout le monde de court : la plainte de la FNC a été déclarée irrecevable.

Quand les Propos Dérangent : Les Paroles de Sandrine Rousseau Qui Ont Fait Déborder le Vase

Tout a commencé avec une interview télévisée où Sandrine Rousseau, appelant à la fin de la chasse, avait tenu des propos jugés insultants par beaucoup. Elle avait avancé que : « Ce n’est pas un loisir que d’aller tuer des animaux le week-end avec des fusils. Et par ailleurs […], le reste de la semaine, on peut aussi le braquer contre sa femme. On a vu qu’un féminicide sur quatre est lié à une arme de chasse, un féminicide sur quatre. » Ces mots avaient provoqué un immense émoi chez les nemrods de France, poussant la FNC à porter plainte contre l’élue pour diffamation.

Le Verdict Tombe Et Surprend Tout le Monde

Les chasseurs étaient nombreux à espérer une sanction à l’encontre de Sandrine Rousseau, espérant au moins un rappel à l’ordre. Pourtant, ce 30 octobre, la justice a décidé autrement. Le juge en charge de l’affaire a jugé la plainte de la FNC irrecevable, estimant que les propos de Sandrine Rousseau, bien que controversés, relevaient de la liberté d’expression.

La Réaction de la FNC : Entre Déception et Volonté de Revanche

Cette décision a provoqué l’indignation au sein de la communauté des chasseurs. Willy Schraen, président de la FNC, a exprimé sa colère en déclarant : « Déverser sa haine des chasseurs avec des propos infondés et insultants sur des médias de grande écoute peut donc se pratiquer en toute impunité. C’est la justice qui vient de donner son blanc-seing à ce genre de « sport » ». Face à ce qu’ils considèrent comme une vraie injustice, la FNC a immédiatement annoncé son intention de faire appel.

Sandrine Rousseau : Une Victoire pour la Liberté d’Expression ?

De son côté, Sandrine Rousseau s’est réjouie de cette décision, qu’elle considère comme une victoire importante pour la liberté d’expression. Pour elle, ce jugement montre que les critiques à l’encontre de certaines pratiques, même controversées, doivent pouvoir être exprimées publiquement sans risquer de poursuites judiciaires.

Le Combat Continue

La bataille judiciaire est loin d’être terminée. La FNC, soutenue par une large partie des chasseurs français, est déterminée à poursuivre ses actions en justice et à obtenir réparation pour ce qu’elle perçoit comme une diffamation flagrante.

Un Précédent Qui Fait Débat

Cette affaire relance également le débat sur la protection juridique des communautés spécifiques en France. La décision du juge, argumentant que les chasseurs ne peuvent bénéficier d’une protection particulière sous la loi actuelle, pourrait bien être le prélude à des modifications législatives futures.

En tout état de cause, cette situation montre combien les passions autour de la chasse peuvent parfois atteindre des sommets. Les regards sont désormais tournés vers la cour d’appel, qui devra trancher dans cette affaire emblématique.

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Chasse trois grands cerfs abattus en quinze jours dans l’Oise

Chasse trois grands cerfs abattus en quinze jours dans l’Oise

Chasse : en quinze jours, trois grands cerfs tombent sous les balles de chasseurs dans les forêts de l’Oise

Des cerfs emblématiques abattus en deux semaines : une tragédie pour la biodiversité

Trois grands cerfs ont été tués par des chasseurs dans l’Oise, suscitant la colère des défenseurs de l’environnement. Passe-Partout, Fantômas et Le Rouquin, comme les appelaient les photographes animaliers et les amoureux de la nature, ont été abattus en seulement deux semaines. Deux de ces majestueux animaux ont été tués lors d’une chasse privée en forêt de Compiègne, tandis qu’un troisième est tombé lors d’une battue en forêt domaniale de Laigue.

Une perte irréparable pour l’espèce

Pour Michaël Noirot, photographe animalier, la situation est désastreuse : « Il reste à peine une quinzaine de grands cerfs sur le massif, et alors que la saison débute à peine, trois ont été abattus. Ces animaux sont essentiels pour la reproduction de l’espèce. Tous les photographes animaliers les connaissent et leur donnent de petits noms. Comment peut-on, sur une seule chasse privée, en abattre deux d’un coup ? »

La chasse de cerfs est réglementée, mais non sans dérives

Juridiquement, rien n’interdit ces actions, les chasseurs pouvant bénéficier de quotas de prises attribués par la fédération. Cependant, un code moral recommande de limiter le prélèvement à 20 % des cerfs âgés de plus de dix ans, une directive que certains n’hésitent pas à ignorer. Guy Harlé d’Ophove, président des chasseurs de l’Oise, regrette ces abus et insiste sur la nécessité de modération pour préserver une population déjà vulnérable.

Les défenseurs de la nature s’organisent

En réaction, les photographes et les défenseurs de la nature prévoient de se rassembler pour protester. Pour Michaël Noirot, le message est clair : « Nous ne sommes plus dans la gestion, mais dans la destruction d’une espèce. Il est temps de cesser d’appliquer des grandes directives nationales et de laisser parler les gens qui sont sur le terrain. »

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Conflit sur la chasse aux grives entre l’ANDCTG et la FDC Var

Conflit sur la chasse aux grives entre l'ANDCTG et la FDC Var

Chasse aux grives : prise de bec sévère entre l’ANDCTG et la FDC du Var

Nouvelle réglementation : querelle au sein des chasseurs varois

Le gouvernement a récemment chamboulé la scène cynégétique en modifiant plusieurs réglementations sur les chasses traditionnelles, de la chasse à la glu à celles aux pantes et aux matoles. Dernièrement, les appelants pour les turdidés au poste sont au cœur du débat. Ces changements déclenchent des discussions animées non seulement entre chasseurs et élus, mais aussi entre les différentes organisations de chasseurs, chacune défendant ardemment sa vision.

Réactions contrastées à l’attaque d’un arrêté ministériel

Le 18 octobre dernier, la Fédération des Chasseurs du Var (FDC Var) a exprimé son mécontentement sur Facebook suite à l’attaque de l’arrêté ministériel du 2 juillet 2024. Cette attaque, orchestrée par l’Association Nationale de Défense des Grives et de leurs Chasses (ANDCTG), visait à modifier l’utilisation des appelants pour la chasse des turdidés au poste. Non validée par la FDC préalablement, cette action entraîne un retrait de l’arrêté visé, aboutissant à un flou juridique jusqu’à une décision officielle.

La FDC Var dénonce une « trahison » de l’ANDCTG, affirmant que cette attaque intervient après des semaines de négociations pour trouver une solution acceptable. La Fédération avait rejeté l’arrêté initial du ministère, proposant une version plus flexible permettant l’utilisation des appelants légalement capturés à la glu. Les responsables fédéraux se sentent trahis après avoir travaillé d’arrache-pied pour limiter les impacts négatifs sur les chasseurs.

Hubert Brisson, président de la FDC Var, ne mâche pas ses mots : « Par son acharnement aveugle et par le jusqu’au-boutisme égocentrique de son président, l’ANDCTG fait courir aux chasseurs provençaux le risque ultime de voir disparaître définitivement et à très court terme la possibilité d’utiliser des appelants pour notre chasse culturelle: La chasse au poste à feu ! »

L’ANDCTG riposte et critique le manque de combativité

Suite à l’attaque directe de la FDC Var, Éric Camoin, président de l’ANDCTG, a réagi via une vidéo publiée sur la page Facebook de l’association. Il y justifie l’action menée par son organisation tout en accusant la FDC de ne pas avoir été assez proactive. Selon Camoin, l’ANDCTG a été contrainte de prendre les devants après des semaines de négociations infructueuses. Il reproche à la Fédération de ne pas être suffisamment combative pour protéger les chasses traditionnelles de la région.

Camoin prend en exemple les chasseurs du Sud-Ouest, connus pour leur détermination à défendre leurs pratiques traditionnelles, n’hésitant pas à arrêter les prélèvements de sangliers si nécessaire.

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Sabotage déjoué : des clous semés sur une route de chasse en Côte-d’Or

Sabotage déjoué : des clous semés sur une route de chasse en Côte-d’Or

Incroyable sabotage : des clous semés sur une route menant à une cabane de chasse

Une matinée de chasse bouleversée

En Côte-d’Or, les chasseurs de l’ACCA du Rallye Seurrois ont connu une désagréable surprise ce dimanche. Alors qu’ils se dirigeaient comme d’habitude vers leur cabane de chasse pour une journée passionnante, les choses ont pris une tournure inattendue.

Un piège métallique découvert

Tout a commencé de manière presque anecdotique; le secrétaire de l’association a découvert un pneu crevé en rentrant chez lui en fin de matinée. Rien d’inhabituel à première vue, juste un mauvais coup du sort, pensait-il. Mais quelques coups de téléphone plus tard, la situation prenait une tout autre perspective. D’autres chasseurs rapportaient des incidents similaires : pneus crevés, jusqu’à quatre à la fois.

Une route truffée de pièges

Intrigué et soupçonneux, le secrétaire décide de retracer son parcours de retour. L’enquête ne tarde pas à porter ses fruits : un véritable champ de clous s’étendait sur plusieurs mètres du chemin communal menant à la cabane de chasse, rendant le trajet périlleux non seulement pour les chasseurs, mais pour tous ceux qui empruntent ce chemin.

Les dommages collatéraux

Au total, sept véhicules appartenant aux chasseurs ont souffert de ces actes de malveillance. Cependant, ce n’est pas seulement des dégâts matériels qui sont à déplorer. L’incident soulève une inquiétude plus grave : les clous n’auraient pas uniquement pu causer des dégâts aux voitures, mais aussi poser un grave danger pour les cyclistes, promeneurs, enfants et animaux de la région.

Actions et réactions

Face à cette découverte scandaleuse, les chasseurs n’ont pas tardé à réagir. Ils ont immédiatement alerté le maire de la commune et les forces de gendarmerie. Des plaintes ont été déposées en début de semaine dans l’espoir de trouver les responsables et de prévenir de futurs actes de ce type.

Le choc et la sécurité avant tout

Malgré l’absence de blessés, les chasseurs restent sous le choc. L’acte est non seulement une atteinte à leur passion, mais représente une menace sérieuse pour la sécurité publique. Mesdames et Messieurs les saboteurs, vos actions irresponsables pourraient avoir des conséquences bien plus graves que prévu.

Préserver nos espaces et nos pratiques

Ce type d’incident rappelle l’importance de surveiller et de protéger nos chemins et espaces naturels. Il est essentiel de sensibiliser la communauté aux dangers et d’encourager une coexistence respectueuse entre les différents utilisateurs de ces espaces. La vigilance et le respect des uns et des autres sont primordiaux pour éviter de telles mésaventures à l’avenir.

Article rédigé par Actuchasse avec notre partenaire à la une : Caninstore

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