Rillette la laie sauvée de l euthanasie

Rillette, la laie sauvée de l’euthanasie : une nouvelle vie commence
L’affaire Rillette prend un tournant positif pour cette laie qui avait échappé de justesse à l’euthanasie. La justice a décidé de donner une seconde chance à ce sanglier femelle, recueilli dans l’Aube par Élodie Cappé. Le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a ordonné au préfet de réexaminer la demande de détention de l’éleveuse et d’accorder une compensation financière.
Une décision qui change la donne
La décision tant attendue a été rendue, stipulant que « Rillette se voit accorder une nouvelle chance et peut rester auprès de madame Élodie Cappé ». Cette laie, trouvée le 1er avril 2023 après avoir perdu sa harde, était menacée d’euthanasie après que les services de l’État aient refusé sa détention. Le tribunal a suspendu la décision de refus de déclaration et ordonné un réexamen dans un délai d’un mois.
Le cadre légal en question
Bien que la capture de sangliers vivants soit en théorie interdite, le tribunal a rappelé que le préfet a la possibilité d’autoriser des dérogations. Lors de l’analyse du dossier, le juge a conclu que la loi ne stipule pas que les animaux non domestiques doivent être nés en captivité pour être légalement détenus.
Une lueur d’espoir pour Élodie Cappé
Élodie Cappé, soulagée par cette issue, a partagé son ressenti : « On ne parle plus d’euthanasie ou de saisie », signifiant une nouvelle ère pour Rillette. Elle avait pris les devants en cherchant des solutions dès qu’elle a recueilli l’animal, mais malheureusement, les réponses des autorités avaient été négatives.
Vers un avenir radieux
Avec la suspension de l’euthanasie, Rillette peut enfin envisager un avenir serein. À travers cette affaire, un message fort est envoyé : la protection des animaux peut parfois prime sur des procédures administratives rigides.
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Réponse de la présidente de l’Office français de la biodiversité aux critiques de François Bayrou sur les agriculteurs

La présidente de l’Office français de la biodiversité répond à François Bayrou sur les tensions avec les agriculteurs
Lors d’un discours de politique générale, François Bayrou a mis le feu aux poudres en accusant l’Office français de la biodiversité de « faute » et « d’humiliation » envers les agriculteurs, en raison de certaines inspections jugées intrusives.
Une réaction attendue
Face aux critiques, la présidente du conseil d’administration de l’Office s’est exprimée avec émotion, déclarant : « nous avons mal » devant la détérioration des relations entre l’administration et les agriculteurs. Elle a souligné que la préservation de la biodiversité est essentielle pour l’avenir de l’agriculture, tout en défendant le travail de ses équipes qui cherchent à équilibrer les exigences environnementales avec les besoins des agriculteurs.
Tensions palpables
Cette déclaration intervient dans un climat de mécontentement croissant parmi les producteurs agricoles qui estiment que les contrôles peuvent être perçus comme des atteintes à leur dignité. Évidemment, il ne fait jamais bon de se retrouver dans le viseur des inspecteurs, mais que faut-il faire pour que la protection de l’environnement ne rime pas avec conflit ?
Appel au dialogue
La présidente a insisté sur l’importance d’instaurer un dialogue constructif pour mettre en place une politique commune visant à la durabilité et au respect de l’environnement. Elle invite toutes les parties à coopérer pour atteindre des objectifs qui bénéficient à la fois à la biodiversité et à l’agriculture. Après tout, la terre appartient à ceux qui la cultivent, mais elle est aussi le foyer de la faune et de la flore. Comment concilier ces deux aspects sans heurts ?
Pour toutes ces raisons, il est crucial que les agriculteurs, les administrations et les organisations environnementales unissent leurs forces pour trouver des solutions viables.
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Sauvetage de Rillette le Sanglier Apprivoisé Face à l’Euthanasie

Opération Sauvez Rillette : Le Tribunal Ralentit L’Éventuelle Euthanasie d’un Sanglier Apprivoisé
Le sanglier apprivoisé, Rillette, peut pousser un soupir de soulagement ce jeudi 16 janvier, alors que le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a suspendu la décision de la préfecture concernant son avenir. Cette annonce intervient après une audience, marquant une lutte acharnée menée par Elodie Cappé, la personne ayant recueilli l’animal, pour pouvoir le garder à ses côtés.
Un Sursis pour Rillette
Rillette, qui a été recueilli par Elodie Cappé en 2023, bénéficiera d’un répit, mais il ne s’agit pas d’une victoire définitive. En effet, le tribunal a annulé le « refus de déclaration de détention », autorisant ainsi Elodie à garder son compagnon pour les semaines à venir. Le tribunal a précisé que le cadre légal relatif à la détention d’animaux non domestiques ne nécessite pas que ces derniers soient nés en captivité. De plus, bien que la capture de sangliers vivants soit généralement interdite, le préfet a toujours la possibilité de délivrer une autorisation.
Un Dossier à Réexaminer
Ce jugement, bien que positif, reste un simple sursis pour Mme Cappé. Le préfet de l’Aube dispose d’un mois pour réexaminer la situation de Rillette. « Nous sommes très heureux », a déclaré l’éleveuse, espérant obtenir enfin le droit légal de garder son animal. Son avocat, Karl Burger, a affirmé que Rillette est vaccinée, stérilisée et vit dans un enclos sécurisé, offrant tout le confort nécessaire au bien-être de l’animal.
Une Mobilisation Troublante
Cette affaire a suscité l’émotion de nombreux Français, y compris de figures médiatiques comme Brigitte Bardot, qui a qualifié les gouvernements de « gouvernés par des assassins ». La lutte pour sauver Rillette s’est même exprimée à travers une marche blanche le 12 janvier à Chaource, rassemblant environ 500 personnes, dont des célébrités comme Eric Naulleau et Yann Moix.
Alors que cette histoire continue d’évoluer, une question se pose : comment un animal apprivoisé, considéré comme un compagnon, se retrouve-t-il dans une situation aussi précaire? L’avenir de Rillette reste incertain, mais cette bataille humaine pour sauver un animal démontre l’attachement et la passion que suscite la relation entre l’homme et la faune.
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Les Chasseurs de Haute-Saône et la Biodiversité par la Plantation de Haies

Haute-Saône : Les Chasseurs au Service de la Biodiversité avec des Kilomètres de Haies
Être chasseur ne se résume pas uniquement à l’art de traquer le gibier. Les passionnés de la nature s’engagent également dans de nombreuses initiatives environnementales, notamment dans le domaine du bocage. En Haute-Saône, la fédération départementale des chasseurs déploie un ambitieux plan de plantation de haies, visant à enrichir la biodiversité locale. En effet, pas moins de 7,5 kilomètres de haies seront créés d’ici 2025.
Des Projets qui Fleurissent
« En cette saison, notre principale activité est la plantation de haies. Depuis cinq ans, cet engagement s’est intensifié au sein de notre fédération », déclare Pierre Benedetto, directeur adjoint de la Fédération Départementale des Chasseurs de la Haute-Saône. Cette démarche souligne le rôle crucial que jouent les chasseurs dans la préservation de la biodiversité. Selon lui, « nous sommes même une association agréée pour la protection de l’environnement ».
Un Engagement sur le Long Terme
La fédération a mis en place des projets qui vont au-delà de la simple plantation. Des activités de sensibilisation sont également organisées, notamment auprès des jeunes, pour souligner l’importance des haies dans l’écosystème. Depuis 2012, près de seize kilomètres de haies ont déjà été plantés, soulignant ainsi un engagement continu malgré les défis variés que représentent les différents territoires.
Dans un climat de prise de conscience croissante des enjeux environnementaux, ces initiatives montrent que les chasseurs peuvent également jouer un rôle positif et proactif dans la protection de la nature. Qui aurait cru que ces passionnés de la chasse seraient également des défenseurs de la biodiversité ? En réalité, leurs actions en témoignent : un chasseur engagé est souvent un protecteur de son habitat.
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Gestion des sangliers à Aiseau-Presles : Autorisations nécessaires

Aiseau-Presles : Autorisations obligatoires pour la gestion des sangliers
Attention : chasser les sangliers sans autorisation n’est pas permis !
La problématique de la prolifération des sangliers à Aiseau-Presles ne cesse de prendre de l’ampleur, surtout dans les quartiers résidentiels limitrophes des zones boisées. Face à ce constat, l’autorité communale a choisi d’adopter une communication proactive en rappelant aux habitants qu’agir contre ces animaux indésirables sans autorisation est formellement interdit. En effet, la gestion des populations de sangliers doit être encadrée pour garantir la sécurité de tous.
La Commune a souligné que, bien que la chasse soit une méthode pour réguler ces populations, des mesures complémentaires comme des actes de destruction peuvent également être envisagées. Cependant, ces actions ne peuvent être entreprises qu’après obtention d’une autorisation du Département Nature et Forêts (DNF). Mieux vaut donc se renseigner avant de sortir les outils !
Qui peut demander une autorisation ?
La bonne nouvelle, c’est que cette autorisation n’est pas réservée aux seuls chasseurs expérimentés. En effet, plusieurs catégories de personnes sont habilitées à faire une demande :
- Les chasseurs titulaires d’un permis valide.
- Les agriculteurs qui subissent des dommages sur leurs cultures.
- Les gestionnaires d’espaces verts comme les réserves naturelles ou d’autres terrains nécessitant une protection.
- Les propriétaires de parcelles boisées trop petites pour permettre la chasse.
Pour ceux qui souhaiteraient en savoir plus, les formulaires de demande sont facilement accessibles depuis l’onglet « démarches » du site www.wallonie.be. Donc, si vous êtes concernés par cette problématique, n’hésitez pas à consulter cette ressource.
Rappelons que l’autorité préfère la prévention à la répression, et qu’un dialogue ouvert sur ces questions est toujours préférable à un traitement répressif des situations. La protection du cadre de vie et la coexistence avec la faune locale doivent rester au cœur de nos préoccupations.
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Chasseurs du Haut-Rhin opposés à l’augmentation des abattages de cervidés

Les chasseurs du Haut-Rhin refusent d’augmenter l’abattage de cervidés
Une tension grandissante entre chasseurs et écologistes
Dans le Haut-Rhin, la situation entre les chasseurs et les écologistes prend des allures de véritable bras de fer. La Fédération des chasseurs du Haut-Rhin (FDC 68) fait face à une pression croissante de la préfecture et de l’association Alsace nature, appuyée par des collectifs d’agriculteurs, pour réguler une population de cervidés qui ne cesse d’augmenter.
La préfecture enjoint les chasseurs à abattre au moins 2 000 cerfs, 350 chamois et 165 daims, un chiffre qui pousse les représentants des chasseurs à exprimer leur exaspération face à ce qu’ils qualifient de « quotas insensés ». En effet, alors que la FDC 68 et l’association Sauvegarde faune sauvage (SFS) tentent de sensibiliser à la situation, les appels à l’abattage résonnent de plus en plus fort. Ce conflit entre les exigences de l’État et la volonté des chasseurs de préserver la faune soulève de nombreuses questions sur l’avenir de la chasse et la gestion des espèces dans la région.
Comment ces tensions vont-elles influencer la gestion de la faune sauvage dans le Haut-Rhin ? Les échanges qui s’annoncent entre ces différents acteurs pourraient bien redéfinir les stratégies de régulation de la population de cervidés dans les mois à venir.
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Renaissance de la chasse entre modernité et tradition

Moins d’alcool et plus de technologie : la renaissance d’une génération de chasseurs
Un vent de fraîcheur dans le monde de la chasse
La chasse, longtemps considérée comme l’apanage des anciens avec leur tradition bien ancrée, attire désormais une nouvelle vague de jeunes passionnés. Selon la Fédération nationale des chasseurs (FNC), 42 % des chasseurs ont moins de 55 ans. Ce changement souligne un véritable renouveau, où l’alcool laisse place à une approche plus raisonnée et technologique.
Un petit déjeûner intergénérationnel
Dans un coin pittoresque de la Haute-Vienne, la cabane de chasse de Nedde voit se côtoyer jeunes et moins jeunes autour d’un petit-déjeuner. « Nanar » et « Dédé », deux retraités qui chassent depuis des décennies, savourent un casse-croûte matinal à base de vin rouge et de charcuterie, bravant les tendances diététiques modernes. À leurs côtés, leurs camarades de jeu, souvent de deux à trois décennies plus jeunes, préfèrent le bon vieux café associé à une viennoiserie. « Ah ça a changé la chasse avec les jeunes ! » plaisante « Dédé » dans une ambiance chaleureuse, mais il ne cache pas que cela peut avoir du bon.
La tradition revisitée
Malgré ce changement radical dans les habitudes, le respect des traditions et des coutumes est toujours présent, mais avec une pointe de modération. David, un jeune chasseur originaire de Rempnat, explique que l’équipe a même décidé de supprimer la traditionnelle pause déjeuner trop arrosée. « Après un bon repas, certains avaient du mal à repartir ; ce n’était pas toujours en phase avec notre mission ! » Un souci d’efficacité qui semble faire l’unanimité.
Un avenir à la lutte contre les préjugés
Cette génération montante de chasseurs ne se contente pas de changer ses habitudes. Elle revendique également son droit à la chasse face à des opinions parfois hostiles. En osant utiliser les réseaux sociaux comme plateforme de défense, ces jeunes traquent les clichés et essaient de rétablir une image positive. Ils se montrent fiers d’une tradition qu’ils souhaitent préserver et transmettre, malgré une opposition grandissante des mouvements antichasse.
Engagez-vous, soyez actifs
Si vous souhaitez en savoir plus sur la chasse moderne et la culture qui l’entoure, pourquoi ne pas explorer les ressources à votre disposition ? Que vous soyez novice ou chasseur confirmé, le dialogue est toujours bénéfique.
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Sangliers en Tarn-et-Garonne prolifération et enjeux pour les chasseurs

Sangliers : Les chasseurs du Tarn-et-Garonne face à une prolifération alarmante
La population de sangliers explose en Tarn-et-Garonne, suscitant des inquiétudes parmi les chasseurs et des dégâts records dans les cultures. Alors que l’année 2025 s’annonce comme une année charnière pour la fédération départementale de chasse, les chiffres sont sans appel : à la mi-saison, 2 500 sangliers ont été prélevés, 500 de plus qu’à la même période l’année précédente. Thierry Cabanes, président départemental des chasseurs, souligne la nécessité de maintenir une pression constante sur cette espèce bien adaptée à son environnement, particulièrement l’évolution des conditions météorologiques et l’expansion des zones non chassables.
Des dégâts financiers conséquents
Les conséquences de cette surpopulation sont économiques : les préjudices causés par les sangliers pourraient atteindre 180 000 euros, dépassant ainsi les 130 000 euros de l’année précédente. Les 6 000 chasseurs du département se mobilisent chaque semaine, mais leurs efforts semblent encore insuffisants face à la croissance de la population de sangliers et aux restrictions imposées par l’urbanisation croissante. « Nous sommes coincés », déclare Cabanes, alléguant que les nouvelles zones industrielles et commerciales rendent la régulation encore plus compliquée. Interdits de tirer à moins de 150 mètres des habitations et routes, les chasseurs voient leur espace d’action se réduire, créant ainsi des refuges pour les sangliers.
Anticipation et mesures adaptées
Face à cette situation, la Fédération départementale de chasse prépare activement les futurs plans de la Ligne à Grande Vitesse (LGV). En collaboration avec les responsables de la DDT et des architectes, ils comptent établir des passages pour la faune afin de minimiser l’impact de l’infrastructure sur les populations animales. Avec 670 hectares de zones inaccessibles à la chasse à prévoir, le défi est de taille, et il est crucial d’anticiper ces nouveaux bouleversements pour éviter de rendre les chasseurs responsables des dégâts dans ces secteur.
Valorisation de la venaison : un projet prometteur
En réponse à ces défis, la fédération a lancé un programme ambitieux de mise en normes des salles de découpe de gibier, financé en partie par le Conseil départemental. Actuellement, trente salles ont été agréées, et d’autres devraient suivre dans les prochaines années. « Ce projet est fondamental pour renforcer la distribution de viande locale de qualité en circuit court », affirme Cabanes. Les essais en cours dans la salle de venaison de Lauzerte pourraient mener à des autorisations de transformation sur place, ouvrant la voie à la production de pâtés et saucisses, contribuant ainsi à démocratiser la consommation de gibier.
Avec ces initiatives, la fédération départementale de chasse espère trouver un équilibre entre la régulation des sangliers et la valorisation des produits locaux, tout en préservant la biodiversité requise dans les écosystèmes.
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Un orignal attaque un chasseur

[Vidéo] Un orignal attaque un chasseur surpris
Se retrouver face à un orignal en plein territoire de chasse, c’est un peu comme croiser un gorille dans un salon de thé : inattendu et potentiellement dangereux. Un incident captivant s’est récemment produit, mettant en lumière l’importance d’une préparation adéquate lors de la chasse aux grands animaux.
Un chasseur mal préparé face à un orignal en colère
Dans une vidéo devenue virale, un homme en pleine chasse à l’orignal a été pris au piège par le majestueux animal, qui n’a pas hésité à défendre son territoire. L’adrénaline était palpable pour le chasseur, qui, semble-t-il, n’a pas réussi à utiliser son arme au moment crucial. Alors que la caméra d’un témoin dans une voiture immortalise la scène, l’orignal s’approche rapidement, piétinant le malheureux chasseur sans qu’il puisse réagir.
Des conseils à retenir pour les chasseurs
Ce genre de situation souligne l’importance d’avoir un équipement de chasse fiable et de toujours garder à l’esprit les réactions potentielles des grands gibiers. Que faire en cas d’attaque d’un animal ? Voici quelques conseils à garder en tête :
- Équipement adapté : Assurez-vous d’avoir un fusil en bon état de marche et facilement accessible.
- Anticipation : Restez vigilant et attentif à votre environnement, même lorsque vous êtes en position d’affût.
- Retraite rapide : Si vous sentez une menace, il est parfois plus sage de reculer plutôt que de rester sur place.
Conclusion : La chasse, un mélange d’adrénaline et de prudence
Les rencontres inattendues avec la faune peuvent rapidement tourner à l’avantage de l’animal, comme l’a prouvé cet incident. Il est essentiel pour les chasseurs de se rappeler que la prudence est aussi importante que la préparation. Alors, la prochaine fois que vous vous lancez sur le terrain, assurez-vous d’être prêt à toutes éventualités, car la nature a un sens de l’humour bien à elle.
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Vice-champion de France junior en concours de chiens d’arrêt en Dordogne

Un jeune chasseur de Dordogne en vedette au concours de chiens d’arrêt
Baptiste, un jeune chasseur de seulement 17 ans, a récemment remporté le titre de vice-champion de France junior à un concours de chiens d’arrêt, une performance qui a de quoi faire rougir plus d’un chasseur aguerri. Ce talent prometteur, originaire de Chavagnac en Dordogne, a brillé aux côtés de son fidèle Setter anglais, Saphir, lors de l’illustre concours Saint-Hubert qui s’est tenu fin décembre dans l’Aisne, à Sissonne.
Dans les hauteurs de Chavagnac, Baptiste ne pouvait pas cacher son excitation. Saphir, Shanel et Maya, les trois Setter anglais, se succédaient à l’arrière de la Jeep, impatients de commencer leur chasse. En un rien de temps, le jeune chasseur lâche ses compagnons dans les bois. Les grelots des chiens résonnent à travers la forêt, créant une mélodie entraînante qui annonce une chasse réussie. En moins de cinq minutes, Saphir marque l’arrêt, et à cet instant précis, le père de Baptiste, Olivier, n’hésite pas à lever son fusil. La détonation retentit, une bécasse tombe, et les chiens, tout joyeux, apportent le gibier à leurs maîtres, comme de véritables champions.
Sécurisé par une formation pratique, Baptiste et Saphir sont parvenus à décrocher une médaille d’argent, parmi une concurrence de jeunes chasseurs âgés de moins de 20 ans. Cette victoire n’est pas seulement une fierté pour le jeune homme et son chien, mais aussi un moment émouvant pour Olivier, un boulanger-pâtissier de 49 ans reconverti en éleveur bovin. La passion pour le Setter anglais a émergé lorsqu’on lui en a offert un en cadeau de mariage, l’incitant ainsi à créer son propre élevage.
Avec des projets d’avenir en tête, Baptiste songe à intégrer l’école forestière de Meymac après son baccalauréat, avec l’objectif de travailler un jour à la fédération des chasseurs. Un rêve ambitieux pour ce jeune homme qui, avec son père à ses côtés, incarne la nouvelle génération de chasseurs passionnés. Qui sait ? Peut-être qu’un jour, on entendra parler de lui comme d’un champion national ?
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