Sangliers à Rimiez les habitants face à une battue avortée

Les habitants de Rimiez à Nice face aux sangliers : une battue abandonnée
Dans le quartier urbain de Rimiez à Nice, la cohabitation avec les sangliers prend une tournure étonnante. Les habitants du Parc Saint-Maur, une vaste copropriété de 180 appartements entourée de parcs, sont confrontés à des sangliers de plus en plus audacieux, s’invitant même sur le terrain de pétanque à toute heure de la journée.
Un face-à-face inattendu
La situation est amusante, mais pas forcément rassurante. « Ils sont là, dans le parc, sur le terrain de pétanque et de plus en plus en journée », déclare Christian, un résident inquiet. Danielle, quant à elle, souligne le danger, rappelant un incident où un voisin s’est retrouvé nez à nez avec ces visiteurs peu ordinaires lors d’une promenade nocturne.
Une battue tardive et avortée
Face à cette intrusion, la préfecture a décidé d’ordonner une battue administrative. Les chasseurs se sont donc déplacés. Cependant, une partie des propriétaires du Parc Saint-Maur, hostile à cette méthode, a interrompu l’opération en faisant du bruit. Résultat : la battue n’a jamais eu lieu, et les sangliers continuent de vagabonder dans le vallon.
Vers une solution alternative
La situation demande une solution, et une nouvelle idée émerge : refaire les clôtures qui délimitent le Parc Saint-Maur et le rectorat. Mais là encore, la coopération sera essentielle. Une première réunion de concertation a eu lieu pour tenter de résoudre ce dilemme. Les sangliers, eux, profitent de cette trêve pour explorer à leur guise le voisinage.
Une cohabitation parfois burlesque
Pour certains habitants, cette cohabitation devient presque ordinaire. « Il y a désormais très souvent des sangliers à Rimiez et à Cimiez », constate une résidente. Pierre, un autre habitant, partage son amusement face à cette situation, bien qu’il admette ne pas vouloir rencontrer ces bêtes lors d’un éventuel tête-à-tête.
Comment gérer cette cohabitation de manière sécurisée ? La solution pourrait passer par le dialogue et des aménagements adaptés. En attendant, les sangliers semblent apprécier leur nouvelle résidence.
Actuchassse pour Caninstore
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Gouvernement mobilisé pour défendre la chasse traditionnelle dans le sud-ouest de la France

Le gouvernement « pleinement mobilisé » pour préserver les chasses traditionnelles
Défense des pratiques de chasse dans le sud-ouest de la France
Le gouvernement français a exprimé sa ferme détermination à défendre l’utilisation des filets horizontaux et verticaux pour la chasse dans plusieurs départements du sud-ouest, notamment le Gers, le Lot-et-Garonne, la Gironde, les Pyrénées-Atlantiques et les Landes. Cette déclaration est intervenue le 26 février 2025, deux semaines après la décision de la Commission européenne de poursuivre la France devant la Cour de justice de l’UE. Cette poursuite est motivée par des préoccupations selon lesquelles cette méthode de chasse ne respecterait pas la célèbre directive oiseaux.
Les autorités françaises comptent sur des arguments robustes pour soutenir leur position en faveur de la chasse traditionnelle. Elles soulignent que les espèces visées, à savoir le pigeon ramier et la palombe, ne sont pas considérées comme menacées. En outre, elles avancent que la chasse aux filets présente des avantages environnementaux notables par rapport aux méthodes traditionnelles avec des fusils. Classée comme une technique « sélective » et « peu invasive », la capture par filet permet aussi de relâcher vivantes les éventuelles victimes accidentelles, ce qui plaide en faveur de sa durabilité et de son impact moindre sur les populations d’oiseaux.
En somme, ce débat met en lumière le défi constant de concilier traditions de chasse et législation environnementale, un sujet qui suscite des passions et des avis bien tranchés. Pour autant, la défense de ces pratiques traditionnelles semble tenir bon face aux réformes réglementaires européennes.
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Blaireau et chasseur une rencontre inattendue

Un blaireau paisible face à un chasseur : un moment insolite
Le blaireau, cet animal discret et nocturne, fait parler de lui lorsqu’il croise le chemin d’un chasseur installé le long d’une haie. Dans une scène aussi amusante qu’inattendue, un blaireau avance tranquillement vers le chasseur, n’affichant aucune crainte ni hésitation. Ce moment insolite témoigne non seulement de la résilience de cette espèce mais également de son retour en force dans plusieurs départements français.
Le blaireau, un animal en pleine forme
Habituellement, ces mustélidés préfèrent se déplacer à la tombée de la nuit, rendant leurs apparitions diurnes plutôt rares. Toutefois, le fait d’observer plus fréquemment des blaireaux en plein jour indique que l’espèce se porte bien. Si aucune mesure n’est prise, cette tendance pourrait continuer de croître, laissant place à davantage de rencontres surprenantes entre les chasseurs et ces petits animaux pleins de caractère.
Chasse et blaireaux : une réglementation stricte
Il est important de noter que, pour l’instant, la chasse au blaireau est régie par des règles strictes. En effet, ces animaux ne sont chassables ou piégeables que dans des cas très limités. Cette protection très encadrée permet à l’espèce de prospérer sans crainte, comme le prouve la vidéo où notre ami à quatre pattes se déplace librement près d’un chasseur immobile.
En résumé
Ce moment cocasse où un blaireau se pavane presque sous les pieds d’un chasseur illustre parfaitement la cohabitation parfois surprenante entre la faune et les passionnés de chasse. Un constat qui, au-delà de l’humour, rappelle l’importance de la préservation des espèces et du respect des réglementations en matière de chasse.
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Chasse à la palombe menacée par la législation européenne

Un savoir-faire régional en crise : la chasse à la palombe en danger
En Gironde, la chasse à la palombe au filet, une tradition ancestrale, se heurte à des enjeux législatifs européens qui suscitent l’inquiétude des chasseurs. Un recours déposé par la Commission européenne met en péril cette pratique observée dans environ 1500 palombières au sein du département.
Une pratique ancestrale remise en question
Cette pratique, qui existe depuis des générations, est de nouveau sur la sellette après que la Commission européenne a annoncé, mi-février, son intention de poursuivre la France pour « non-respect des dispositions de la directive Oiseaux ». Le cœur du problème réside dans l’utilisation de pantes et de filets, jugés non sélectifs dans la capture des oiseaux. Rappelons que la chasse traditionnelle aux alouettes a déjà été interdite l’année dernière, et maintenant, tous se demandent si la palombe sera la prochaine à subir le même sort.
Une saison de chasse bien encadrée
Heureusement pour les paloumayres, la chasse à la palombe reste pour l’instant autorisée grâce à un régime dérogatoire dans cinq départements, dont la Gironde. Chaque année, pendant le mois d’automne, du 15 octobre au 20 novembre, environ 20 000 palombes sont capturées, représentant seulement 20 % des 100 000 oiseaux abattus dans le département. Les 80 % restants sont chassés au fusil.
Les chasseurs s’indignent
La réaction des passionnés de la chasse à la palombe ne s’est pas fait attendre. Henri Sabarot, président de la Fédération de chasse de la Gironde, exprime son mécontentement : « C’est incompréhensible, l’Union européenne a des priorités bien plus pressantes que cela, comme la guerre en Ukraine ! ». En effet, la chasse à la palombe, plus qu’un simple loisir, est un art de vivre pour ces amateurs qui y mettent une grande passion. Capturer une palombe nécessite patience, talent et un savoir-faire reconnu.
Des traditions locales sous pression
Jacques Gaye, grand maître de la confrérie des Paloumayres de l’Entre-deux-mers, souligne que « les filets ne sont pas un problème, nous ne prenons que des palombes, les petits oiseaux passent à travers ». Cette crainte ne touche pas que la chasse : elle s’étend à beaucoup de coutumes locales, comme le foie gras ou la corrida, toutes potentiellement sous la menace d’une réglementation européenne.
Soutien populaire en faveur des paloumayres
Face à cette menace, une pétition en défense de la chasse traditionnelle à la palombe a recueilli plus de 21 000 signatures, témoignant du soutien populaire en faveur de cette pratique emblématique de la région. Cela fait réfléchir sur la place accordée aux traditions dans le contexte législatif européen.
Des voix pour la défense
Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), reste sur une ligne plus prudente. Selon lui, « la chasse à la palombe n’est pas une priorité », même si la population de cette espèce ne semble pas menacée. En effet, ces oiseaux migrateurs se sont bien acclimatés et prospèrent, surtout dans la forêt des Landes. Ce constat incite même Alain Rousset, président de la Région Nouvelle Aquitaine, à prendre la parole lors de débats nationaux pour défendre ce savoir-faire face à l’Europe.
Un engagement politique fort
La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a quant à elle promis de défendre cette pratique en affirmant qu’elle a sa place en France et concerne même parfois des espèces jugées nuisibles. Elle souligne que les filets ne sont pas létaux et sélectifs, ajoutant une note de soutien aux traditions locales.
Face à cette tempête législative, les paloumayres et leurs soutiens continuent de lutter pour préserver un morceau distinct de leur culture régionale. Reste à voir si cette bataille s’étendra à d’autres pratiques dans les mois à venir.
Actuchassse pour Caninstore
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Bassin dArcachon La chasse après lincendie de la Forêt usagère

Bassin d’Arcachon : La chasse modifiée par l’incendie de la Forêt usagère
Un nouveau souffle pour la battue aux chevreuils
Dimanche 23 février, l’Association communale de chasse agréée (ACCA) de La Teste-de-Buch a organisé une battue aux chevreuils, un évènement particulier mettant en avant les jeunes permis et les femmes dans une forêt profondément transformée par un incendie de juillet 2022. La Forêt usagère, autrefois dense en arbres, ne ressemble plus à son ancienne splendeur.
Une matinée atypique sous le ciel bleu
Ce matin-là, la brume perdure dans les pins derrière l’hippodrome de La Teste-de-Buch, tandis que trône un ciel presque totalement dégagé. Une trentaine de passionnés portant des blousons orange s’éparpillent dans un carré de forêt, fusils à l’épaule, pour une battue qui promet d’être mémorable. À la tête de cette battue, Maëlle, 17 ans, une jeune chasseuse, donne le ton à une équipe où les femmes sont exceptionnellement mises à l’honneur. Bien que comptant seulement 25 membres sur 700, leur présence ce jour-là est remarquée.
Respect des consignes de sécurité
Maëlle, fière de son rôle, rappelle les consignes de sécurité aux participants : « On ne tire que sur les chevreuils et les renards. Ne courrez pas avec une arme chargée et soyez sûrs avant de tirer. » Fred Mora, président de l’ACCA, se tient à ses côtés, contribuant à instaurer une ambiance détendue, malgré la gravité que peut revêtir une battue.
Un lien fort avec les chiens de chasse
Au cœur des préparatifs, les chiens, impatients d’être lâchés dans la forêt, sont aussi l’objet de l’affection de Maëlle. « Pour moi, la chasse, c’est avant tout être avec mes chiens », confie-t-elle. La famille possède six chiens, dont Nala, une beagle qui l’accompagne partout.
Une réalité post-incendie
Les ravages de l’incendie de 2022 sont palpables. Jocelyne, l’une des participantes, souligne que « tous nos repères ont disparu. Les chevreuils sortent plus timidement, et même si la végétation repousse, sans arbres, nous sommes faciles à repérer. » Les changements sont frappants : là où se dressaient des pins majestueux, ne subsistent plus que quelques zones de lande, rendant la chasse plus complexe.
Un nouvel écosystème en mutation
Fred Mora explique que, depuis l’incendie, des zones humides ont vu le jour, attirant une faune diversifiée, notamment des canards et des martins-pêcheurs. « La végétation renaît, attirant une multitude d’animaux, dont une surpopulation de gibier tels que les sangliers et les chevreuils. »
Bilan mitigé pour la battue
Malgré cela, la récolte de ce dimanche semble en deçà des attentes : un chevreuil et un renard capturés. Le bilan est comparé à la stabilité politique de l’Assemblée nationale, pour le moins incertain. L’objectif de l’ACCA est de prélever 150 chevreuils durant la saison 2024-2025, mais dans cette forêt transformée, la tâche s’annonce ardue.
Dans un environnement en constante évolution, les chasseurs font face à des défis inattendus tout en continuant à perpétuer une tradition devenue sur fond de climat changeant.
Actuchassse pour Caninstore
Découverte de restes de sanglier près de Saint-Lô

Découverte insolite de restes de sanglier sur le chemin de halage près de Saint-Lô
Le 18 février 2025, un groupe de promeneuses a été surpris de tomber sur des sacs remplis de restes de sanglier alors qu’elles se promenaient sur le chemin de halage, à proximité du pont de Candol près de Saint-Lô dans la Manche. Ce qui devrait être une promenade agréable a pris une tournure inattendue lorsque les chiens des promeneuses ont flairé quelque chose d’inhabituel.
Une découverte troublante dans un lieu accueillant
Clara Legrand, une habitante de Saint-Lô, fréquente ce chemin plusieurs fois par semaine. En compagnie de trois amies et de leurs cinq chiens, elle raconte l’incident : « Nos chiens nous ont alertées. Attirés par l’odeur, ils se sont jetés sur les sacs… ». Face à cette situation peu ragoûtante, le groupe a opté pour une réaction prudente en retirant les sacs hors de portée des animaux.
Cette mésaventure a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, suscitant de nombreuses réactions. « On tombe souvent sur des poubelles et des déchets en tout genre quand on marche, mais un cadavre d’animal, c’est la première fois ! » se plaint Clara, qui espérait sans doute ne pas avoir à faire à une scène de crime en pleine nature.
Intervention rapide des autorités
Le 20 février 2025, face à cette situation préoccupante, des agents du Conseil départemental se sont rendus sur les lieux pour retirer les sacs incriminés. Il est essentiel de rappeler que le Code rural interdit strictement de jeter des sous-produits animaux dans la nature, une infraction pouvant entraîner une amende de 3 750 euros. Espérons que cette découverte incite tout un chacun à respecter notre belle nature et à éviter les comportements irresponsables.
Une chose est sûre, même dans les endroits les plus accueillants, il convient de rester vigilant et de toujours garder un œil sur son environnement, surtout si l’on est accompagné de nos compagnons à quatre pattes. Qui aurait cru qu’une simple balade se transformerait en une telle surprise ?
Actuchassse pour Caninstore
Sangliers en milieu urbain à Nice

Quand les sangliers font escale à Nice
Des sangliers ont récemment eu la témérité de se frayer un chemin dans une résidence du quartier de Rimiez à Nice, faisant frémir les habitants de l’avenue Scudéri. L’incident a eu lieu le 18 février, et il s’avère que ces visiteurs inattendus ne sont pas tout à fait des invités de marque.
Une intrusion étonnante mais fréquente
Le parc arboré de deux hectares de cette copropriété semble attirer les sangliers, qui n’hésitent plus à s’approcher des habitations. Leur présence, bien que surprenante, a, dans ce secteur, atteint un niveau de normalité inquiétant. En effet, ces animaux, à la recherche de nourriture, n’hésitent pas à se rapprocher des zones urbaines. « Des sangliers viennent se restaurer », a affirmé un des riverains inquiet, qui a bien eu le temps de capturer ce moment avec des photos et des vidéos.
Des voisins indésirables
Ces visiteurs, que certains qualifient « d’indésirables et dangereux », soulèvent des préoccupations légitimes parmi les résidents, en particulier ceux qui vivent à proximité d’un terrain de jeux pour enfants. La cohabitation avec ces animaux sauvages n’est pas sans risques et pose la question de la sécurité des habitants.
Les sangliers, bien que souvent perçus comme adorables dans la nature, peuvent rapidement devenir inquiétants lorsqu’ils se retrouvent à proximité des habitations. Les riverains devront sans doute s’adapter à cette nouvelle réalité d’un Nice qui, à défaut d’accueillir des touristes en quête de soleil, doit maintenant composer avec des sangliers en quête de bistro.
Pour plus d’informations sur la sécurité en milieu urbain face à la faune sauvage, n’hésitez pas à consulter les ressources disponibles à cette adresse : Caninstore.
*Actuchassse pour Caninstore*
Chasse en battue : le parcours d’un jeune chasseur face à un sanglier

Un jeune chasseur en battue réussi à prélever un sanglier, malgré les imprévus
Dans une captivante vidéo publiée sur YouTube, nous découvrons Valentin, un jeune chasseur passionné qui, après trois saisons de chasse depuis l’obtention de son permis, nous invite à l’accompagner dans ses péripéties au cœur de la battue au grand gibier. Équipé d’une carabine Blaser R8, chambrée en calibre 308 Winchester, ce chasseur débutant s’engage sur le terrain avec toute l’enthousiasme et la détermination qui le caractérisent.
Des débuts prometteurs mais semés d’embûches
Les premières séquences de Valentin mettent en lumière ses premières réussites, notamment le prélèvement de chevreuils et d’un renard. Cependant, la chasse n’est pas sans complications. Une rencontre inopinée avec un renard a failli se solder par un échec, en raison d’une erreur de manipulation liée à la culasse de sa carabine. Heureusement, ce jeune chasseur apprend vite de ses erreurs et reste déterminé à faire ses preuves.
Un prélèvement d’un sanglier pas comme les autres
La grande victoire de ce jour arrive avec le tir d’un beau sanglier mâle. Malgré une première balle qui, selon Valentin, aurait dû être fatale, le suidé parvient à s’enfuir. C’est là que se manifeste la persévérance de notre jeune chasseur : il ne se laisse pas décourager. Trois tirs supplémentaires seront nécessaires pour mettre fin à la course de l’animal, révélant ainsi les défis réels que rencontre un chasseur face à la nature.
Une vidéo riche en enseignements et en émotions
Valentin partage une expérience authentique et enrichissante qui rappelle à chacun l’importance de la concentration, des compétences techniques, et surtout de la résilience dans le domaine de la chasse. Sa vidéo, pleine de moments croustillants et de leçons, est un excellent moyen de découvrir les joies et les difficultés de la chasse en battue.
Pour en savoir plus sur le monde de la chasse et suivre les aventures de Valentin, rendez-vous sur Caninstore.
Actuchassse pour Caninstore
Regulation des sangliers à Orval et Saint-Amand-Montrond jusqu’au 7 mars

Régulation des sangliers : Opérations autorisées à Orval et Saint-Amand-Montrond jusqu’au 7 mars
Des mesures administratives de régulation de sangliers ont été mises en place dans certaines zones des communes d’Orval et de Saint-Amand-Montrond, et ce, jusqu’au 7 mars. Ces actions visent à limiter les dégâts causés par ces animaux, mais aussi à réduire les risques de collisions sur les routes. Une première battue a été réalisée mercredi matin à Orval, entre 9 heures et 10 h 30, marquant le lancement de cette initiative autorisée par un arrêté préfectoral.
Cette battue, organisée pour « réduire significativement la population de sangliers », représente la première opération d’un programme qui se déroulera sur trois semaines. L’arrêté précise que ces actions de régulation peuvent avoir lieu en tout temps, y compris la nuit, et autorise l’utilisation de divers moyens pour atteindre cet objectif. Un plan de localisation des zones concernées a également été annexé au document pour faciliter l’information des habitants.
Il est donc essentiel pour les citoyens de rester attentifs aux signalisations mises en place sur le terrain, elles indiqueront notamment les zones où les battues sont programmées. La coopération de tous est primordiale dans cette démarche, qui vise à assurer la sécurité des conducteurs et à protéger les cultures ou les propriétés potentielles des nuisances causées par les sangliers.
Pour ceux qui souhaitent en apprendre davantage sur la régulation de la faune sauvage et sur la chasse responsable, n’hésitez pas à consulter des ressources spécialisées.
Actuchassse pour Caninstore
Pour plus d’informations, visitez Caninstore.
Interpellation gouvernementale sur la chasse à la palombe

Interpellation sur la chasse à la palombe : Geneviève Darrieussecq prend la parole au gouvernement
Le 19 février, lors d’une séance de questions au gouvernement, Geneviève Darrieussecq, députée des Landes et ancienne ministre, a exprimé son désaccord face à la décision de la Commission européenne d’assigner la France devant la Cour de justice de l’Union européenne. Cette décision vise le non-respect de la Directive oiseaux en raison de l’utilisation de filets pour la chasse à la palombe.
« Cette chasse traditionnelle est un marqueur culturel fort de notre Sud-Ouest », a affirmé Darrieussecq, soulignant que cet épisode intervient alors que d’autres chasses traditionnelles font également l’objet de remises en cause. Elle a également noté que la population de palombes est en constante augmentation depuis des décennies.
La députée a qualifié la décision de la Commission européenne de « technocratique », affirmant qu’elle distend le lien entre les citoyens et l’idée européenne. Elle a ajouté que l’Europe devrait se concentrer sur des sujets géopolitiques importants plutôt que sur des combats jugés anecdotiques, tel que l’utilisation de filets pour la chasse.
En réponse, Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, a promis de défendre fermement cette méthode de chasse. « Je vais apporter les arguments pour prouver que cette chasse traditionnelle, très pratiquée dans le Sud-Ouest, a toute sa place en France », a-t-elle déclaré.
Cette interpellation souligne les tensions entre la protection de l’environnement, les lois européennes, et les traditions locales de chasse, rappelant ainsi l’importance du dialogue entre les différentes parties prenantes.
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