Fermeture de la D709 pour une battue administrative aux sangliers

Fermeture de la D709 pour une battue administrative aux sangliers

Fermeture d’une route pour une battue aux sangliers en Dordogne

Une route départementale perturbée pour la chasse aux sangliers

Le 23 mars, la préfecture de la Dordogne a décidé de prendre les choses en main en organisant une battue administrative aux sangliers. Cette opération, visant à réguler la population de ces animaux, entraînera la fermeture totale de la D709 sur près de 20 kilomètres entre les Lèches et Bergerac. La circulation sera interrompue de 8h à 17h, ce qui pourrait poser quelques désagréments aux automobilistes peu avertis.

Pour éviter que les chasseurs ne soient dérangés par des véhicules indésirables – vous savez, ce moment où une voiture passe au milieu d’une battue et où tout le monde se regarde avec des yeux ronds – une déviation a été mise en place par le Fleix. Les usagers de la route devront donc redoubler de vigilance et suivre les indications pour ne pas se retrouver sur le chemin des sangliers ou des chasseurs.

En plus de la D709, deux autres routes, la route de la Forge et la route des Mazières, vont également connaître des interruptions pendant cette période. En somme, si vous prévoyez de circuler dans le secteur ce jour-là, il serait sage d’opter pour une alternative ou de tranquillement fureter chez soi plutôt que d’entrer dans le grand jeu de la chasse.

Pour un meilleur déroulement de cette journée, les autorités invitent les automobilistes à suivre les itinéraires de déviation et à faire preuve de patience. Qui sait, ce pourrait même être l’occasion de découvrir de nouveaux paysages – ou d’échapper à un éventuel croisement inattendu avec un sanglier un peu trop curieux !

Rendez-vous donc le 23 mars pour une journée placée sous le signe de la chasse en Dordogne, tout en gardant la sécurité au cœur de nos préoccupations.

Actuchassse pour Caninstore

Pour plus d’informations, consultez notre site : Caninstore.

Relance de la Filière de Munitions de Petit Calibre en France

Relance de la Filière de Munitions de Petit Calibre en France

Relance en Perspective d’une Filière de Munitions de Petit Calibre en France

Depuis la fermeture de l’usine Giat Industries au Mans à la fin des années 1990, la France a été dépourvue d’une filière industrielle souveraine pour les munitions de petit calibre, telles que les calibres 5,56 mm, 7,62 mm et 9 mm. La Direction générale de l’armement (DGA) a longtemps freiné toute initiative visant à rétablir cette capacité, arguant qu’elle ne correspondait pas à des enjeux « stratégiques » et qu’aucun problème d’approvisionnement n’existait avec les fournisseurs étrangers, malgré des incidents de qualité des cartouches.

Un Projet Abandonné, Mais Pas Oublié

En 2017, le ministre de la Défense de l’époque, Jean-Yves Le Drian, avait tenté de relancer la filière en signant un accord avec Armements (filiale de Thales), NobelSport, et Manurhin, mais ce projet a rapidement été abandonné après la publication de la Revue stratégique de défense, en octobre de cette même année.

La Réflexion d’un Retour à la Production Nationale

Cependant, les circonstances exceptionnelles engendrées par la pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine ont provoqué un réveil des consciences. En décembre dernier, Emmanuel Chiva, le Délégué général pour l’armement, a reconnu un changement de position. « Le besoin des armées est d’être approvisionnées, en priorité, en munitions de 5,56 mm », a-t-il déclaré, ouvrant la voie à une localisation éventuelle d’une usine en France.

Une Collaboration Franco-Belge en Perspective

Dans ce cadre, la France et la Belgique avaient déjà signé une lettre d’intention pour établir un partenariat relatif aux munitions de petit calibre. Ce partenariat viserait à créer une ligne d’assemblage sur le sol français tout en s’approvisionnant directement auprès de l’industrie belge, un projet qui pourrait démarrer dans les mois à venir.

Un Nouveau Tournant dans le Dossier

Le belge FN Browning, initialement pressenti pour jouer un rôle central dans la reprise de l’armurier Verney-Carron, semble maintenant être en concurrence. Selon des sources, le ministère des Armées a décidé de lancer un appel d’offres ouvert, changeant l’approche initiale et laissant donc place à d’autres acteurs européens, comme Beretta. Cette décision, bien qu’ouverte, pourrait potentiellement retarder le démarrage des opérations sur le sol français.

À Suivre de Près

Les prochaines étapes et la réaction de la Défense belge face à ce revirement seront des éléments cruciaux à surveiller, surtout dans un contexte où des discussions de coopération entre plusieurs États européens ont déjà été évoquées. La sécurisation des stocks d’armements et de munitions semble plus que jamais d’actualité.

Pour rester informé sur les évolutions dans le domaine de la chasse et des armements, n’hésitez pas à visiter Caninstore.

Signé : Actuchassse pour Caninstore

Évolution de l’image de l’ours et enjeux du procès Caramelle

Évolution de l'image de l'ours et enjeux du procès Caramelle

Évolution de l’image de l’ours : un procès qui fait débat

Un chasseur face à la justice pour la mort de l’ourse Caramelle

Ce mardi, un procès captivant se déroule au tribunal, où un chasseur est jugé pour la mort de l’ourse Caramelle, survenue en 2021. Cet incident tragique ne se limite pas à un simple fait divers ; il soulève des questions profondes sur notre perception de ces majestueux animaux et sur les enjeux écologiques qui en découlent.

La mort de Caramelle a suscité une onde de choc parmi les protecteurs de la faune, ainsi qu’une introspection sur l’évolution de l’image de l’ours au fil des années. Autrefois craint et chassé sans hésitation, l’ours est maintenant souvent considéré comme un symbole de la conservation. Bien qu’il soit encore l’objet de controverses, son image évolue vers celle d’un animal à protéger, partie intégrante de nos écosystèmes.

Un procès révélateur des tensions environnementales

Le procès met en lumière non seulement le drame individuel, mais aussi des tensions plus larges entre les passionnés de la nature et les pratiquants de la chasse. Les témoignages des défenseurs de l’ourse soulignent l’importance de la préservation de cette espèce, alors que les chasseurs font valoir leur droit à pratiquer leur passion. Ce dilemme soulève des questions cruciales sur la nécessité de concilier les traditions humaines avec la nécessité de préserver la biodiversité.

Ce type de controverse n’est pas nouveau ; l’ours a souvent été au centre de débats sur la conservation et l’exploitation. Les mentalités changent, et avec elles, l’acceptation sociale de telles pratiques. Ce procès pourrait être un tournant dans la façon dont les sociétés perçoivent et régulent la chasse, tout en prenant en compte la conservation et le bien-être animal.

Dans cette dynamique, une question se pose : comment allons-nous équilibrer tradition et conservation ? L’avenir des ours, et d’autres espèces, dépend de notre capacité à naviguer dans ces problématiques complexes.

Pour rester informé des développements de cette affaire et d’autres nouvelles liées à la faune, n’hésitez pas à consulter régulièrement Caninstore.

Article signé : Actuchassse pour Caninstore

Chasseurs et habitants unis pour nettoyer la côte en Charente-Maritime

Chasseurs et habitants unis pour nettoyer la côte en Charente-Maritime

Des chasseurs et habitants mobilisés pour un nettoyage de la côte en Charente-Maritime

Opération « J’aime la Nature Propre » : la lutte contre les déchets côtiers

Le week-end des 14, 15 et 16 mars 2025, une initiative remarquable s’est déroulée en Charente-Maritime, à Esnandes. Des chasseurs et des habitants se sont unis pour ramasser les déchets abandonnés sur le littoral, faisant preuve de leur engagement pour la protection de l’environnement. Ensemble, ils ont réussi à collecter 15 sacs poubelle remplis de détritus, accompagnés de quelques pneus abandonnés.

Des résultats encourageants pour une action répétée

Ce rassemblement, qui s’inscrit dans la 5ème édition de l’opération « J’aime la Nature Propre » organisée par la Fédération Nationale des Chasseurs, a vu environ une quarantaine d’initiatives similaires au cours de ces trois jours. À Esnandes, à 8h30 ce dimanche, une dizaine de bénévoles, armés de sacs-poubelle et de leur bonne volonté, ont écumé la plage, principalement à la recherche de déchets ostréicoles tels que des élastiques de poches d’huîtres et des bouchons emportés par les vagues.

Un engagement citoyen et un message à faire passer

Sacha, un participant de 18 ans, évoque ses trouvailles : « On a beaucoup d’élastiques de poches d’huîtres et des bouchons », tandis que sa mère Céline ajoute, « et aussi quelques morceaux de cordes et un peu de filets. » Étonnée par la diminution des déchets par rapport à l’année précédente, elle note : « Peut-être que les gens sont plus sensibilisés. » Un message d’espoir pour un environnement plus propre.

Une image à changer pour les chasseurs

Stéphane You, president de l’association de chasse d’Esnandes, se réjouit de cette mobilisation. Pour lui, ces journées de nettoyage ne sont pas seulement l’occasion de ramasser des déchets, mais également de montrer que les chasseurs ne se limitent pas à leur loi de la nature. « Il n’y a que le mot chasse qui reste », déplore-t-il, en faisant écho à la réputation souvent négative des chasseurs.

Il espère attirer davantage de personnes aux événements de nettoyage et souhaite que les citoyens découvrent les initiatives des chasseurs, comme la plantation projetée de 400 mètres de haies avec une ferme locale. Avec plus de 300 participants ayant ramassé près de 79 mètres cubes de déchets en 2024, il y a des raisons de croire que la tendance vers un environnement plus sain se renforce chaque année.

Souhaitez-vous participer à la préservation de la nature tout en apprenant davantage sur les initiatives locales ? Ensemble, nous pouvons faire la différence.

Actuchassse pour Caninstore

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Sangliers à la gare de Saint-Claude

Sangliers à la gare de Saint-Claude

Insolite : Des sangliers à la gare de Saint-Claude

Le vendredi 14 mars, une scène pour le moins inattendue a captivé les passants devant la gare de Saint-Claude aux alentours de 15 heures. Plusieurs sangliers, visiblement en quête d’aventures, ont fait une apparition remarquée en traversant la route et en frôlant un mur. Motif de cette escapade ? Difficile à dire ! Cherchaient-ils inlassablement des miettes tombées des rares poubelles disponibles ? Ou bien rêvaient-ils d’embarquer dans un train, en direction d’un horizon lointain, comme sur une ligne de circonstance imaginaire ? Le mystère reste entier.

Imaginez la surprise des voyageurs, trompés par leur attente monotone, émerveillés par l’arrivée inattendue de ces habitants des forêts. C’est un peu comme si ces sangliers avaient décidé de faire une pause dans leur vie sauvage pour explorer le monde des humains. Si le spectacle a déclenché des sourires et des rires, il soulève aussi des questions sur la cohabitation entre la faune et les milieux urbains. Ces animaux, en quête de nourriture, provoquent souvent des situations insolites qui nous rappellent la proximité de la nature, même au cœur de nos villes.

Il serait peut-être sage de se rappeler que ces incursions ne sont pas le fruit du hasard, mais plutôt le résultat de l’expansion urbaine qui empiète sur l’habitat naturel des animaux. Alors, la prochaine fois que vous apercevrez un sanglier dans un lieu inattendu, demandez-vous : fait-il partie d’un groupe d’explorateurs téméraires ou est-il simplement en train de chercher un en-cas ?

Pour plus d’histoires et d’actualités sur la chasse et la faune, n’oubliez pas de visiter notre site : Caninstore.

Actuchassse pour Caninstore

Fouine en sieste dans un arbre

Fouine en sieste dans un arbre

Une fouine s’offre une sieste perchée dans un arbre

Les mustélidés, ces petits animaux souvent discrets, continuent de fasciner par leur capacité à se fondre dans le décor. La fouine, par exemple, est moins visible que les suidés qui vagabondent sur nos territoires, mais cela ne signifie pas qu’elle n’est pas présente. En réalité, ces créatures prolifèrent sans que nous ne nous en rendions compte.

Un instant capturé par un drone

Dans une vidéo récemment diffusée, un drone navigue au-dessus d’une vaste étendue sauvage et fait une découverte étonnante. Une fouine, allongée nonchalamment sur une branche, ne se soucie guère de la présence du drone. Quelque part entre le rêve et la réalité, notre amie à quatre pattes a décidé qu’une sieste était tout ce dont elle avait besoin.

Ce moment cocasse nous rappelle que même dans la nature, il est essentiel de prendre du temps pour se reposer. La fouine, avec son attitude décontractée, nous montre que parfois, il vaut mieux profiter de la vie que d’être constamment en alerte.

La discrétion des mustélidés

Bien que l’observation de la fouine soit un peu plus complexe que celle des espèces plus communes comme le sanglier ou le cerf, les mustélidés sont omniprésents dans nos contrées. Leur habilité à se dissimuler et leur mode de vie nocturne contribuent à leur image d’animaux fantomatiques et mystérieux.

En somme, cette vidéo n’est pas seulement une source de divertissement, mais elle offre également une réflexion sur la cohabitation avec nos amis sauvages. Si vous croisez un jour une fouine, peut-être la trouverez-vous en train de faire la sieste, tout comme dans notre vidéo !

Pour découvrir davantage sur le monde fascinant de la faune et de la chasse, n’hésitez pas à visiter Caninstore.

Actuchassse pour Caninstore

Chasse au cerf et hausse de la population de cervidés en France

Chasse au cerf et hausse de la population de cervidés en France

Chasse au cerf : hausse préoccupante des cervidés en France

La population de cerfs élaphes en France a connu une croissance exponentielle, déclenchant des préoccupations quant à la régulation et aux conséquences agricoles. Ce phénomène s’explique par plusieurs facteurs, allant du climat à la disparition de prédateurs naturels.

Un essor marqué depuis le XXe siècle

Autrefois en danger à cause de la chasse intensive et de la réduction de leur habitat, les cerfs élaphes ont vu leur nombre exploser depuis le milieu du XXe siècle. Les autorités françaises, conscientes de ce phénomène, ont mis en œuvre divers plans de chasse obligatoires à partir de 1945. Ces initiatives ont été accompagnées de programmes de réintroduction et de repeuplement qui ont permis à cette espèce de regagner du terrain, occupée actuellement un tiers des forêts françaises, selon des données du Ministère de la transition écologique et de la biodiversité.

La disparition des prédateurs : un facteur clé

Un autre élément déterminant dans l’augmentation des cervidés est la disparition des grands prédateurs tels que le loup et le lynx, qui, historiquement, jouaient un rôle crucial dans la régulation des populations de cerfs. Les associations de protection animale militent d’ailleurs pour la réintroduction de ces prédateurs afin de rééquilibrer l’écosystème.

Impact du changement climatique

Le réchauffement climatique influence également les comportements des cerfs. Les hivers plus doux et moins enneigés offrent aux cervidés des conditions climatiques moins sévères, leur permettant de migrer en altitude pour trouver de nouvelles sources de nourriture, tout en réduisant les risques de mortalité hivernale. Une tendance qui pourrait bien ajouter une complexité supplémentaire au problème de régulation.

Une régulation à repenser

Face à cette augmentation impressionnante – la population de cerfs ayant plus que doublé en deux décennies – le gouvernement et les fédérations de chasseurs estiment que les périodes de chasse actuelles sont trop limitées pour contenir cette prospérité. Les gestionnaires de la faune sauvage envisagent donc d’ajuster les périodes de chasse pour mieux contrôler cette expansion.

Avec un scénario où la nature et le climat s’entrelacent de manière complexe, nous voilà prévenus : la beauté des cerfs dans nos forêts peut générer des conséquences inattendues pour l’agriculture et l’écosystème. Alors, comment va-t-on gérer cette situation ?

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Fermeture de la voie express Rennes Saint-Malo pour une battue aux sangliers

Fermeture de la voie express Rennes Saint-Malo pour une battue aux sangliers

Fermeture de la quatre voies entre Rennes et Saint-Malo pour une battue aux sangliers

Le dimanche 16 mars 2025, un événement peu commun mais bien nécessaire va se dérouler entre Rennes et Saint-Malo : la voie express sera fermée dans les deux sens de 7 h à 12 h. Cette décision, prise par la préfecture en collaboration avec le Conseil départemental d’Ille-et-Vilaine, s’inscrit dans le cadre d’une vaste battue aux sangliers mobilisant plus de 150 chasseurs.

Un enjeu de sécurité routière et agricole

La fermeture de cette voie express sur cinq heures met en lumière une situation préoccupante : chaque année, près de 60 interventions de sécurité sont nécessaires en raison de la présence des sangliers. Leur incursion sur les routes représente non seulement un risque pour les usagers, mais engendre également des dégâts considérables, estimés à environ 50 000 € dans les cultures agricoles du département.

Des mesures exceptionnelles pour des situations exceptionnelles

Ce dispositif de fermeture de la RD 137 vise à assurer la sécurité de tous durant cette battue. Les autorités rappelent l’importance de rester vigilants et de respecter les consignes de fermeture afin d’éviter tout risque d’accident. C’est l’occasion pour les amateurs de chasse et les riverains de prendre conscience des défis posés par la faune sauvage dans les zones rurales.

En somme, cette initiative est un rappel que même dans nos régions rurales, la cohabitation entre l’homme et la nature requiert parfois des mesures drastiques mais nécessaires.

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Concours de chiens de chasse à Réquista

Concours de chiens de chasse à Réquista

Concours de chiens de chasse à Réquista

Les chiens courants brillent malgré la météo capricieuse

L’Afaccc12 (Association Française pour l’Avenir de la Chasse aux Chiens Courants) a récemment organisé, les 8 et 9 mars, un concours de chiens courants sur la voie du lièvre et du chevreuil à Réquista. Cet événement a rassemblé des participants provenant des départements du Lot, du Tarn-et-Garonne, du Tarn et de l’Aveyron, mobilisant 21 sociétés locales qui ont généreusement mis à disposition leurs territoires de chasse.

Le samedi 8 mars a vu une compétition animée, notamment grâce à la société de chasse de Brousse-le-Château, qui a accueilli un concurrent d’Issoire, dans le Puy-de-Dôme, accompagné de sa meute de dix Beagles. Cette race est reconnue pour son efficacité lors des traques. Dans une zone de chasse comprenant Craïs, Rouve et l’Ayrolle, ce passionné a réussi à débusquer un chevreuil sans procéder à sa mise à mort, tout cela grâce à l’excellent travail de ses chiens.

Les performances des chiens étaient évaluées non seulement sur leur capacité à traquer l’animal, mais aussi sur la complémentarité entre le maître et sa meute. Près d’une trentaine de passionnés de chasse ont profité de cette animation cynégétique, faisant fi des conditions météorologiques peu engageantes.

Un bel exemple de camaraderie et de passion partagée pour la chasse, qui rappelle que, même lorsque le temps ne coopère pas, l’amour de la faune et la complicité entre l’homme et le chien continuent de rassembler les amoureux de la nature.

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Ouverture anticipée de la chasse au cerf en juin

Ouverture anticipée de la chasse au cerf en juin

Vers une ouverture anticipée de la chasse au cerf au 1er juin ?

La question est sur toutes les lèvres : les chasseurs auront-ils bientôt la possibilité de chasser les cerfs et les biches dès le 1er juin ? Cette initiative, portée par un décret gouvernemental, vise à modifier le calendrier traditionnel de la chasse au cerf, habituellement fixé au 1er septembre. En proposant d’avancer la saison de trois mois, les autorités espèrent trouver une solution à la régulation de ce grand gibier dont la présence est à l’origine de nombreux dégâts dans nos forêts.

Un enjeu de régulation

Il est bien connu que le cerf, tout majestueux qu’il soit, peut également se transformer en un véritable fléau pour l’écosystème forestier. En augmentant la période de chasse, le gouvernement envisage de freiner les dommages causés par ces animaux, dont les populations sont en constante augmentation. Mais la question se pose : que pensent réellement les chasseurs de cette mesure ?

Des perspectives divisées

Certaines voix au sein de la communauté des chasseurs se réjouissent de cette nouvelle opportunité. En effet, un début de saison plus précoce pourrait non seulement aider à réguler les populations, mais également permettre aux chasseurs d’ajuster leurs activités selon les cycles de reproduction et d’alimentation des cerfs. D’un autre côté, d’autres estiment que ce changement de calendrier pourrait perturber l’équilibre établi et remettre en question les pratiques de chasse traditionnelles.

Le débat est lancé

Alors, allons-nous vers une revolution dans le monde de la chasse ? Les défenseurs de l’environnement et les passionnés de nature auront leur mot à dire, et il ne fait aucun doute que le débat sera animé. Entre rumeurs, craintes et espoirs, cette initiative soulève des questions cruciales sur la gestion de la faune et la préservation de la biodiversité.

Les discussions autour de ce décret ne font que commencer, mais il est certain que le 1er juin pourrait bien devenir une date clé pour les chasseurs et la faune sauvage. Restez vigilants, car la saison de la chasse pourrait prendre un tournant inattendu !

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