Sangliers en liberté à Petite-Rosselle

Sangliers en liberté à Petite-Rosselle

Les sangliers continuent à semer la panique à Petite-Rosselle

Un véritable festin à quatre pattes dans les quartiers résidentiels

À Petite-Rosselle, les sangliers prennent leurs aises et transforment les rues en un véritable banquet à ciel ouvert. En quête de nourriture, ces visiteurs nocturnes parcourent les rues Roger-Cadel, de la Crête, et des Prés, laissant derrière eux un spectacle qui ferait pâlir d’envie n’importe quel laboureur.

De manière nocturne, ils s’adonnent à un intense travail de défrichage, retournant jardins et pelouses dans un ballet effréné qui exaspère les habitants. Les dégâts sont particulièrement palpables lors des changements de saison, à l’automne et au printemps. Les gourmands de la nature se régalent avec des glands, racines et tubercules, creusant des sillons grâce à leur truffe très développée. Qui aurait cru que ces bêtes voraces préfèreraient un jardin bien entretenu à un plat gourmet? Mais voilà, dans ce cas, c’est à la mairie de prendre le relais.

Des signalements ont rempli les bureaux municipaux et les riverains attendent désormais avec impatience que des battues soient organisées pour contrer ces assauts répétitifs. En attendant, il semblerait que la nature ait un plan insolent pour le jardinage dans la région.

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Panneaux lumineux pour la sécurité de la faune sur les routes

Panneaux lumineux pour la sécurité de la faune sur les routes

Des panneaux lumineux pour protéger la faune sur nos routes

Dans le Maine-et-Loire, un nouveau dispositif promet de révolutionner la sécurité routière : des panneaux lumineux spécialement conçus pour dissuader les animaux de traverser les routes. Alors que de nombreux accidents impliquant des animaux sauvages surviennent chaque année, cette initiative vise à réduire ces incidents de manière efficace et innovante.

Une lutte contre les collisions avec la faune

Depuis 2020, près de trente passages à faune ont été aménagés dans le Maine-et-Loire pour faciliter la traversée des animaux et diminuer les accidents. Malgré ces efforts, certains lieux restent problématiques, où la construction de tunnels ou de passages supérieurs est complexe, notamment à cause des contraintes géographiques ou des coûts élevés. C’est ici que les nouveaux panneaux lumineux entrent en scène.

Le fonctionnement des panneaux lumineux

Installés sur la RD323 entre le 13 et le 14 février 2025, ces panneaux utilisent un effet de réflexion de la lumière des phares des véhicules. En créant un éblouissement temporaire, ils visent à dissuader les animaux de traverser au moment où les voitures passent. Il s’agit d’une méthode astucieuse pour prévenir les accidents tout en sensibilisant les conducteurs à la prévalence de la faune dans ces zones sensibles.

Des résultats prometteurs

Cette initiative s’inspire de projets similaires réalisés avec succès dans d’autres départements, comme la Haute-Vienne et le Jura, où des baisses significatives des collisions ont été enregistrées. Dans ces régions, des réductions allant jusqu’à 50 % des accidents impliquant des cervidés et des sangliers ont été observées. Le Maine-et-Loire prévoit une phase de test durant un an, durant laquelle l’efficacité des panneaux sera rigoureusement évaluée.

Un avenir à la clé

Si les résultats se révèlent positifs, le Département envisage d’étendre cette solution à d’autres zones à risque, notamment sur la RD766, près de la forêt domaniale de Chandelais, un secteur où la présence de grands mammifères est particulièrement notable.

Avec le printemps qui approche et le retour des animaux visibles sur les routes, ces panneaux lumineux arrivent à point nommé pour renforcer la sécurité routière. Ils représentent une avancée précieuse pour les automobilistes, qui pourront parcourir ces routes à la nuit tombée en toute sérénité.

Ce dispositif témoigne d’une volonté de préserver la biodiversité tout en assurant la sécurité des usagers de la route, un véritable pas en avant dans la gestion des interactions entre faune et circulation.

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Protection de la faune sauvage sur les routes

Protection de la faune sauvage sur les routes

Des dispositifs innovants pour protéger la faune sauvage sur la route

Durtal, le 12 février 2025. Le maire de Durtal, Pascal Farion, a assisté à l’installation de déflecteurs réfléchissants, un dispositif anticollision conçu pour dissuader les animaux de traverser les routes, au grand soulagement des automobilistes et des créatures à poils et à plumes.

Une initiative pour la sécurité routière et la préservation de la faune

Dans un effort pour allier protection de la faune sauvage et sécurité routière, le Département de Maine-et-Loire a lancé un projet pilote le long de la RD 323, entre Huillé-Lézigné et Durtal. Ces déflecteurs, qui font réfléchir la lumière des phares des véhicules, ont pour objectif de réduire les collisions fatales entre les véhicules et les animaux.

Un déploiement en phase de test

Le 13 février 2025, une dizaine d’agents du département a procédé à l’installation d’environ une centaine de ces dispositifs lumineux sur deux tronçons de la route. En phase expérimentale, cette initiative vise à évaluer l’efficacité des déflecteurs avant un éventuel déploiement plus large dans d’autres zones à risque, afin de garantir la sécurité de tous sur les routes.

Ces panneaux lumineux pourraient bien devenir les nouveaux alliés des automobilistes en aidant à prévenir des accidents nuisibles tant pour la faune que pour les conducteurs.

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Cerf de Virginie blanc émerveille au Wisconsin

Cerf de Virginie blanc émerveille au Wisconsin

Un cerf de Virginie blanc fait sensation

Aux États-Unis, la faune sauvage offre des surprises qui feraient rêver n’importe quel passionné de nature. Parmi ces merveilles, le cerf de Virginie, un cervidé moins robuste que nos cerfs élaphes européens, attire de plus en plus l’attention, notamment lorsque certains d’entre eux arborent une couleur blanche éclatante.

Récemment, un conducteur a eu la chance de croiser un de ces spécimens exceptionnels au bord d’une route dans le Wisconsin. Fasciné, il s’est arrêté pour immortaliser ce moment rare, alors que cet impressionnant cerf de Virginie, échappé d’un bois, traversait tranquillement. Le contraste de son pelage lumineux sur fond de verdure a sans aucun doute conquis le cœur de plus d’un amateur de la nature.

Il est intéressant de noter que ce type de cerf, bien qu’il soit moins imposant en taille que ses homologues européens comme le chevreuil ou l’orignal, continue de captiver l’imagination des observateurs. Ses particularités, non seulement esthétiques mais également comportementales, font de lui un acteur incontournable de la biodiversité locale.

Alors, qui a dit que la taille faisait tout dans le monde animal ? Parfois, il suffit d’une touche de blanc pour faire briller un instant de pure magie en pleine nature.

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Rejet des demandes de chasse sur les espèces protégées par le Conseil d’État

Rejet des demandes de chasse sur les espèces protégées par le Conseil d'État

Rejet des demandes des Fédérations de chasse par le Conseil d’État : un nouveau rebondissement sur les espèces ESOD

Dans une décision récente, le Conseil d’État a mis un coup d’arrêt aux revendications de huit Fédérations de chasse concernant les espèces ESOD (Espèces Soumises à Régime de Protection). Les oppositions entre écologistes et chasseurs continuent de se cristalliser autour de cette question, faisant du sujet un enjeu majeur au sein des zones rurales.

Les espèces ESOD sous le feu des critiques

Le Conseil d’État a décidé de ne pas valider les arguments avancés par les chasseurs, qui avaient fait appel à la suite des modifications d’arrêtés concernant les ESOD. Ces changements avaient été impulsés par des associations écologistes, exerçant ainsi une pression sur les décideurs politiques. Les Fédérations concernées proviennent de départements tels que l’Aube, la Corrèze, l’Eure, la Meurthe-et-Moselle, et la Meuse, avec des demandes spécifiquement liées à la pie, la fouine, et la martre, entre autres.

Des preuves jugées insuffisantes

Selon les juges du Conseil d’État, les éléments fournis par les Fédérations de chasse manquaient de sérieux et de précision. Un extrait de leur décision souligne que « l’animal n’est pas répandu de façon significative dans le département, ni à l’origine d’atteintes considérables aux intérêts protégés ». Une fois de plus, le manque de données tangibles a conduit à un rejet des demandes de régulation.

Les réactions : entre soulagement et préoccupation

La Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) a exprimé sa satisfaction face à cette décision. Bien qu’elle reconnaisse que certaines espèces contribuent à la diminution de la population de divers oiseaux et petits mammifères, elle continue de plaider pour une « cohabitation pacifique » avec ces animaux problématiques. La LPO envisage de contester un arrêté ministériel relatif à ces espèces, remettant en question 145 classements dans 93 départements.

À l’horizon : quel avenir pour la réglementation des ESOD ?

Alors que le débat entre les différentes parties prenantes semble loin d’être résolu, il est essentiel de se rappeler que la gestion des populations animales est un domaine complexe. Avec la LPO qui demande des méthodes non létales et les chasseurs qui insistent sur la nécessité de réguler les populations pour préserver d’autres espèces, l’avenir des espèces ESOD demeure incertain. Les discussions autour de ces édifices législatifs ne manqueront pas de susciter des passions, et c’est sans aucun doute un sujet à suivre de près.

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Accidents de la route dans le Gard entre Saint-Gilles et Bellegarde

Accidents de la route dans le Gard entre Saint-Gilles et Bellegarde

Accidents nocturnes dans le Gard : renversement de camion et collision avec un sanglier

Dramatique duo d’accidents sur la D38 entre Saint-Gilles et Bellegarde

Dans une nuit mouvementée du 11 février dans le Gard, deux incidents de la route ont marqué les esprits. Le premier accident s’est produit aux alentours de 4 heures du matin, lorsque qu’un camion, glissant sur une chaussée détrempée par la pluie, a sombré dans un fossé sur la D38 entre Saint-Gilles et Bellegarde.

La gendarmerie de Nîmes est rapidement intervenue pour sécuriser la zone, assurant la régulation du trafic jusqu’à ce que le dépannage du véhicule commence, vers 7 heures, pour s’achever à 8 heures. Heureusement, aucun blessé n’a été signalé dans cet incident, et les dépistages réalisés se sont révélés négatifs.

Mais les mésaventures ne se sont pas arrêtées là. En effet, quelques heures auparavant, vers 20 heures, un autre accident a eu lieu sur le même axe, impliquant cette fois un véhicule ayant percuté un sanglier. Encore une fois, la chance était de mise car aucun blessé n’est à déplorer et les tests de dépistage d’alcool et de stupéfiants se sont avérés négatifs pour le conducteur.

Ces événements rappellent l’importance de rester vigilant sur les routes, surtout en cas de conditions météorologiques difficiles. La prudence est plus que jamais de mise, tant pour les automobilistes que pour la faune locale.

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Regulation des ragondins à Grandvilliers

Regulation des ragondins à Grandvilliers

Oise : la régulation des ragondins à Grandvilliers

L’association Amicale des Chasseurs à l’Arc Picards (ACAP) a été mobilisée par la mairie de Grandvilliers face à une invasion impressionnante de ragondins autour de la zone d’activité de pêche. Ces rongeurs semi-aquatiques, pesant environ 10 kg, mettent en péril l’intégrité des berges récemment réaménagées près de la station d’épuration. Bien qu’ils semblent inoffensifs, ces myocastors sont porteurs de la leptospirose, une maladie transmissible à l’Homme et aux animaux. Les interventions des chasseurs à l’arc s’avèrent donc cruciales pour contrôler une population en pleine expansion.

Une femme ragondin et sa descendance redoutable

À chaque trois mois, une femelle ragondin peut donner naissance à huit petits, ce qui explique leur prolifération rapide sur le terrain. Dominique Roy, président de l’ACAP, souligne que l’objectif n’est pas de procéder à un massacre, mais plutôt de contenir les nuisances causées par ces rongeurs. “Notre but n’est pas de tuer massivement et sans réflexion, mais de limiter les nuisances”, déclare-t-il.

Des opérations nocturnes bien encadrées

Les chasseurs interviennent à des heures qui minimisent les perturbations pour les activités humaines, notamment près de la plaine de loisirs. Les opérations sont autorisées une heure avant le coucher du soleil ou une heure avant le lever du soleil. Depuis le lancement de la chasse, huit ragondins ont déjà été abattus sur les 30 identifiés dans la zone. Après la capture, les carcasses ne sont pas négligées : elles sont récupérées par l’association Picardie Faune Sauvage, qui les dépèce pour nourrir les faucons en service à l’aéroport Beauvais-Tillé.

Un coût élevé pour la préservation des berges

La lutte contre ces rongeurs n’est pas sans coût : les travaux de création des berges et du pont d’observation de la faune ont nécessité un investissement de 226 021 euros. Ce chantier garantit un écoulement sécurisé de l’eau recyclée de la station d’épuration, prévenant le risque d’inondation des environs. En parallèle, cet aménagement vise à offrir un cadre végétalisé attrayant pour les visiteurs souhaitant profiter de la nature. Malgré la présence des ragondins dans le paysage, il est essentiel de maintenir un environnement sécurisé et accueillant.

Une menace pour les cultures environnantes

Outre les berges, les ragondins menacent aussi les champs avoisinants, grignotant les plantations. Dominique Roy a même identifié un potentiel nid dans un ancien corps de ferme au milieu des cultures. “La dernière fois, j’ai repéré certains d’entre eux qui traversaient le champ, il est fort probable qu’il y en ait beaucoup là-bas”, ajoute-t-il. Si la situation n’évolue pas, une nouvelle zone de chasse pourrait être mise en place pour contrer cette menace croissante.

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La chasse en France appel à une pause durant les vacances et week-ends

La chasse en France appel à une pause durant les vacances et week-ends

La chasse en France : Un appel à la pause pendant les vacances et les week-ends

Selon un récent sondage, il semblerait que les Français aient très envie de voir la chasse faire une pause bien méritée. Effectivement, une majorité significative des répondants exprime son souhait pour une suspension de cette pratique pendant les vacances scolaires et les week-ends.

Le souhait d’une interruption de la chasse

Les résultats du baromètre annuel révèlent que 81 % des Français souhaitent que la chasse soit suspendue pendant les vacances scolaires, une augmentation par rapport aux 77 % observés en 2023. De plus, 79 % des sondés veulent que les week-ends et jours fériés deviennent des journées exclusivement exemptes de chasse. À quand une fin de semaine paisible en forêt sans les tirs de fusils ?

Des préoccupations concernant le bien-être animal

Les craintes concernant le bien-être des animaux sauvages sont également présentes, puisque 50 % des Français estiment que ce dernier n’est pas assuré. Ce malaise grandissant se traduit par un soutien majoritaire en faveur de l’interdiction de la chasse à courre, avec 76 % de personnes favorables à cette idée. La question se pose : la chasse peut-elle vraiment coexister avec la préservation de la faune ?

Les accidents de chasse : un point préoccupant

La chasse n’est pas seulement un sujet théorique ; elle a des conséquences réelles, comme le démontrent les incidents fréquents relayés par les médias. L’un des faits tragiques les plus récents concerne un chasseur tué par balle lors d’une battue à Selonnet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, le 22 décembre dernier. Cela soulève une question cruciale : la sécurité des participants et du public est-elle suffisamment protégée dans le cadre des activités de chasse ?

Face à cette cascade de préoccupations et d’accidents, le dialogue sur la régulation de la chasse en France semble plus que jamais pertinent. Espérons que les voix des Français trouveront écho auprès des législateurs pour établir un équilibre satisfaisant entre la pratique de la chasse et la protection du bien-être animal.

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Accroissement de la population de sangliers à Dinan

Accroissement de la population de sangliers à Dinan

Un accroissement préoccupant de la population de sangliers à Dinan

Dépôts de traces au cœur de la ville bretonne

La charmante ville de Dinan, en Côtes-d’Armor, fait face à un phénomène inattendu : une augmentation significative de la population de sangliers. En ce début d’année 2025, ces mammifères ont été mis en cause dans plusieurs dégradations sur des sites emblématiques, notamment aux Cordiers et au parc du Connétable.

Les traces laissées par ces animaux sauvages sont bien visibles et témoignent de leur passage insouciant à travers ces espaces publics. Les habitant(e)s, tout en s’interrogeant sur les raisons de cette affluence, constatent les dégâts causés. Mais que se passe-t-il réellement dans cette ville paisible ? Il semblerait que les sangliers ne soient pas seulement en quête d’aventures nocturnes, mais qu’ils cherchent également leur place dans un environnement de plus en plus urbanisé.

Quelles solutions pour gérer la situation ?

Face à cette situation, la municipalité de Dinan pourrait envisager diverses stratégies. Une gestion proactive de la population de sangliers pourrait nécessiter une évaluation de leur impact sur les écosystèmes locaux et sur la sécurité des citoyens. Des mesures de prévention, telles que des campagnes d’information à destination des usagers des lieux publics, pourraient également être mises en place.

En somme, la cohabitation entre la faune sauvage et les environnements urbains exige une attention particulière et des adaptations de la part de chacun. Qui sait, peut-être qu’un jour, les sangliers deviendront les nouveaux ambassadeurs de Dinan, profitant des jardins tout en laissant derrière eux des histoires à raconter.

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Plan de Réintroduction des Faisans dans le Calvados

Plan de Réintroduction des Faisans dans le Calvados

Un Plan Audacieux pour Soutenir les Populations de Faisans dans le Calvados

Un Projet de Réintroduction Majeur

La Fédération des chasseurs du Calvados lance un projet ambitieux pour revitaliser les populations de faisans, un petit gibier emblématique en péril. Depuis plusieurs années, divers changements environnementaux ont mis à mal les effectifs de ce gallinacé, autrefois cher aux chasseurs français. Avec la pratique de la chasse au petit gibier qui perd du terrain, les efforts de réintroduction deviennent essentiels pour soutenir cette espèce.

Le Faisan, un Gibier Précieux

Le faisan, tout comme la perdrix, occupe une place de choix dans le cœur des chasseurs. Cependant, il a récemment fait face à une multitude de défis, notamment les changements de cultures, le réchauffement climatique, l’arrachage des haies et l’augmentation des prédateurs. Tout cela a contribué à réduire les populations de faisans dans les zones rurales françaises.

Des Efforts Collectifs pour un Résultat Durable

Lorsque des associations s’unissent pour travailler sérieusement sur un territoire, elles constatent souvent des résultats tangibles. Les populations de faisans peuvent ainsi recommencer à prospérer. La Fédération des chasseurs du Calvados a donc décidé de prendre les choses en main en mettant en place un plan de réintroduction de 14 000 faisans dans le département. Mais attention, cela ne peut pas se faire sans la participation active des chasseurs locaux.

Une Mobilisation Nécessaire

Pour garantir la réussite de ce projet, il est demandé aux chasseurs de s’engager et de participer à des initiatives telles que la tenue de volières. Ces volières permettront aux faisans de mieux s’intégrer dans leur nouvel environnement. De plus, il est crucial de préparer le territoire de chasse pour qu’il devienne un habitat accueillant pour ces oiseaux.

La Régulation des Prédateurs : Un Défi à Relever

Un autre challenge majeur est la gestion des prédateurs. Les chasseurs doivent s’impliquer activement dans la régulation des populations de corbeaux, de renards et d’autres espèces qui pourraient nuire aux faisans sur le long terme. C’est un partenariat de terrain qui vise à renouveler l’intérêt pour la chasse au petit gibier tout en redonnant ses lettres de noblesse au faisan sauvage, dont les effectifs sont affectés par une chasse du grand gibier devenue trop prédominante.

En somme, ce projet vise à revitaliser non seulement le faisan, mais aussi l’ensemble de l’écosystème de la chasse au petit gibier dans le Calvados. Qui aurait cru qu’un faisan pouvait susciter autant d’enthousiasme ? La chasse au petit gibier n’a pas encore dit son dernier mot !

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