Sangliers régulés par les chasseurs au Morbihan

Les Sangliers sous contrôle dans le Morbihan grâce aux chasseurs
La société de chasse communale de Grand-Champ, dans le Morbihan, se mobilise activement pour réguler la population de sangliers, connus pour causer des ravages dans les cultures. Avec un effectif de près de soixante chasseurs, la dynamique de ce groupe reste stable malgré les défis croissants liés à la prolifération de ces nuisibles.
Un chiffre qui parle : 44 sangliers abattus en 2024
En un an, les chasseurs de Grand-Champ ont réussi à abattre quarante-quatre sangliers jusqu’au 6 mars 2025. Cela représente une hausse de six sangliers par rapport à l’année précédente. Au-delà des sangliers, trente-trois chevreuils ont été prélevés, ainsi que trente-cinq ragondins, alors que la population de renards continue de souffrir des effets de la gale.
Moins de dégâts et indémnités en baisse
Les efforts des chasseurs commencent à porter leurs fruits. La baisse des indemnisations demandées par les agriculteurs, qui sont tombées de plus de 4 500 € en 2022-2023 à une fourchette entre 1 500 € et 3 000 € en 2024, témoigne d’une situation qui s’améliore sur le terrain. *“Nous avons constaté moins de dégâts sur les cultures grâce à notre présence accrue,”* déclare le président de la société de chasse, Benoît-Raphaël Castelain.
Encadrer la passion : formations et convivialité
Pour assurer la sécurité lors des battues et renforcer les compétences de chacun, la société organise régulièrement des formations, en collaboration avec la Fédération des chasseurs. Benoît-Raphaël Castelain insiste également sur l’importance de maintenir de bonnes relations avec les agriculteurs, mais aussi avec d’autres acteurs du milieu naturel tels que vététistes, randonneurs, et cavaliers.
À venir : Une chasse aux oiseaux de proie en novembre
En novembre, la société de chasse prévoit un événement exceptionnel en intégrant des faucons, des autours et des aigles. Le lieu de cette opération de haut vol reste à définir, mais elle promet déjà d’attirer l’attention des passionnés de nature et de chasse.
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Sangliers ravagent l’hippodrome du Pontet

Des sangliers transforment l’hippodrome du Pontet en terrain de jeu
Un important incident sur la piste de l’hippodrome de Roberty
La piste de l’hippodrome de Roberty au Pontet a récemment fait parler d’elle, mais pas pour ses performances équestres. Elle a été partiellement ravagée par des sangliers, laissant les responsables de l’hippodrome dans un état de choc. « Ça a été un choc, on ne s’attendait pas à ça », a confié le président de la société hippique d’Avignon Le Pontet, la voix visiblement troublée.
Des dégâts significatifs
Lors d’une inspection de routine, Alain Rouvière et son équipe ont découvert que les sangliers avaient gratté la terre à deux endroits, endommageant ainsi une portion de 100 mètres carrés de la piste. Ces incursions ont rendu la surface de la piste non sécurisée pour les chevaux, nécessitant d’importantes réparations avant la reprise des courses. Les 7 courses de trot attelé initialement prévues le 13 avril ont été reportées à Marseille, par mesure de précaution.
La sécurité avant tout
Pour le président Rouvière, la sécurité des chevaux et des conducteurs est primordiale. « Actuellement, il y a des trous, les chevaux risquent de se mettre à la faute. Quand un cheval voit une plaque marron ou un trou, il risque de faire une incartade, et nous ne voulons pas risquer d’accidents », a-t-il expliqué.
Des solutions en cours
En réponse à cette situation désolante, le comité de l’hippodrome envisage d’installer une clôture électrifiée autour du terrain pour dissuader les sangliers de revenir à l’avenir. « Nous allons voir si nous mettons une clôture électrifiée ou un grillage », a précisé Rouvière, tout en exprimant sa déception concernant l’incident. “Cela fait plus de deux mois que l’on travaille pour tout remettre en conformité, mais pour la sécurité et le bien-être animal, nous ne pouvons pas courir”, a-t-il déclaré.
Reprise des activités
L’hippodrome du Pontet prévoit de reprendre ses activités le 4 mai, sous réserve que les travaux de réparation soient réalisés dans les temps. En attendant, la communauté se prépare à une nouvelle page de cet événement insolite.
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Un cerf surprenant en pleine performance acrobatique

Un cerf aux talents surprenants : pas de croisement en vue !
Dans un épisode pour le moins inattendu de la vie sauvage, des chasseurs ont eu la surprise de filmer ce qui semblait être un cerf aux talents acrobatiques impressionnants, laissant penser à un hybride improbable avec un kangourou. Dans la forêt de Rambouillet, où des wallabies se sont échappés d’un parc animalier il y a quelques années, l’idée d’un croisement entre ces espèces a rapidement fait le tour de la toile.
La vidéo, tournée dans une campagne française, montre un magnifique cerf s’élançant avec grâce, réalisant des bonds spectaculaires alors qu’il franchit une ligne. De quoi faire pâlir d’envie un kangourou ! Cependant, après une analyse plus attentive, il s’est avéré que ce n’était qu’un simple cerf en excellente forme, réagissant à une situation surprenante. Pas de panique pour les puristes de la faune : aucun mutant n’est à l’horizon !
Ces sauts impressionnants, bien que surprenants, sont typiques des comportements des cervidés lorsqu’ils se sentent menacés ou surpris. Un spectacle réjouissant qui rappelle que la nature réserve parfois des moments amusants, même aux chasseurs aguerris.
Pour les passionnés de nature et de chasse, cette vidéo est un petit clin d’œil à la beauté et à l’agilité des animaux sauvages. Rappelons que chaque rencontre avec la faune est une opportunité d’apprentissage et d’émerveillement.
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Inquiétude des riverains face aux battues aux sangliers près des habitations à Sathonay-Camp

Rhône : inquiétude face aux battues aux sangliers près des habitations
À Sathonay-Camp, dans le Rhône, les riverains commencent à manifester une véritable anxiété concernant les battues aux sangliers. Depuis l’automne 2024, quatre de ces opérations ont eu lieu, s’approchant parfois trop près des zones résidentielles. Les deux dernières battues se sont même déroulées dans un poney-club, où les jeunes équitants, en pleine leçon, ont été sérieusement perturbés par les bruits de fusils et les aboiements des chiens.
« Le bruit et les coups de fusil étaient terrifiants pour nos enfants et nos poneys, » raconte Yaëlle Farge, propriétaire du poney-club local. Elle exprime le souhait, partagé par de nombreux riverains, d’être prévenue à l’avance concernant ces interventions. « Nous comprenons la nécessité des battues pour contrôler les populations de sangliers, mais nous aimerions être informés et que les opérations soient mieux régulées. Nul ne veut croiser un sanglier affolé ou un chasseur à quelques mètres de son jardin, » ajoute-t-elle avec une pointe d’inquiétude.
Les battues ne se déroulent malheureusement pas uniquement loin des promeneurs. Plusieurs habitants ont alerté le conseil municipal, craignant qu’un incident grave ne se produise. Ils ont même suggéré de déplacer ces battues aux jours de semaine. Cependant, cette proposition n’a pas convaincu les chasseurs, qui abattent près de 2000 sangliers par an dans la région.
« Il y a quelques années, il n’y avait que très peu de sangliers. Aujourd’hui, leur nombre a explosé, notamment en zone péri-urbaine, » explique Antoine Herremann, directeur de la Fédération des chasseurs du Rhône et de la Métropole de Lyon. Selon lui, le week-end reste le moment privilégié pour pratiquer la chasse car beaucoup de chasseurs sont indisponibles durant la semaine.
Pour les maires des communes impliquées, il est essentiel de maintenir ces battues afin de prévenir d’éventuels dégâts causés par les sangliers. La recherche d’un équilibre entre la sécurité des habitants et la régulation de la faune sauvage semble donc plus que nécessaire.
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Lasseube Chasse Responsable et Comptage des Espèces

Lasseube : Le comptage des espèces pour une chasse responsable
Le comptage des espèces, véritable bouclier pour une chasse raisonnée et respectueuse du gibier, a eu lieu à Lasseube. La société de chasse La Lasseuboise a organisé, dans la soirée du 14 mars, son opération annuelle de recensement nocturne des animaux sauvages. De 20 h à minuit, deux équipes de chasseurs, armées de leurs véhicules pick-up, ont sillonné les 125 km du territoire communal et des zones de référence.
Les résultats du comptage nocturne
Au terme de cette mission, les équipes ont pu observer :
- 135 chevreuils
- 16 lièvres
- 14 renards
- 1 blaireau
- 2 bécasses
- Aucun sanglier dénommé
Il ressort de ce comptage une diminution notable des populations : 166 chevreuils comptabilisés en 2024, ainsi que 36 renards et 3 blaireaux. En revanche, le lièvre se porte mieux avec une hausse significative, atteignant 12 individus, encouragée par une réintroduction réussie il y a deux ans par La Lasseuboise.
Des craintes pour l’avenir
Malgré l’enthousiasme suscité par cette réintroduction, le maire de Lasseube exprime ses préoccupations face aux décisions de la Commission de Communauté de Haute-Béarn (CCHB) sur le Plan local d’urbanisme. Les chevreuils, déjà affaiblis par l’épidémie de Maladie hémorragique épizootique (MHE), voient leur démographie menacée.
Pertinence des données pour la gestion cynégétique
Les résultats de ce comptage serviront d’assise à la Fédération départementale de la chasse pour orienter les plans de chasse et favoriser un équilibre entre faune et environnement. En prenant en compte ces nouveaux chiffres, l’enjeu sera d’affiner l’attribution des bracelets de prélèvement pour la future saison, garantissant ainsi une chasse à la fois responsable et durable.
Il est essentiel pour tous les chasseurs de contribuer à cette dynamique qui encourage une meilleure cohabitation entre l’homme et les espèces sauvages. En adaptant la chasse aux données obtenues, la société de chasse La Lasseuboise montre la voie vers une gestion éthique du patrimoine faunistique.
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Éleveurs de gibier face à l’interdiction des lâchers de tir

Éleveurs de gibier en difficulté face à l’interdiction des lâchers de tir
À Sempesserre, les éleveurs de perdreaux et de faisans se trouvent dans une situation précaire, suite à la décision de la fédération de chasse du Gers d’instaurer une interdiction des « lâchers de tir ». Une décision qui, depuis 2021, impacte lourdement l’économie locale.
Des conséquences économiques alarmantes
Michael Oustrain, éleveur de gibier, exprime ses préoccupations face à cette interdiction, qui a été votée en assemblée générale en proposant trois dates, toutes en dehors des périodes de chasse. « Nos ventes se sont effondrées », confie-t-il. Bien que la fédération prône des lâchers de repeuplement avant la saison de chasse, les sociétés de chasse n’ont pas ajusté leurs achats. En été, la situation devient critique pour les oiseaux, qui peinent à survivre face aux fortes chaleurs.
Des élevages adaptés aux défis contemporains
Michael élève chaque année 30 000 oiseaux, mais avec la perte de 20 000 euros due à la mesure, son exploitation se trouve menacée. Les modèles de production ont dû évoluer ; Oustrain élève ses oiseaux en « bandes » dans des enclos spécifiques, pour préserver autant que possible leurs comportements naturels. Cependant, le marché dans les départements voisins ne peut pas absorber cette chute de la demande.
Un dialogue nécessaire entre agriculteurs et chasseurs
Les chasseurs, de leur côté, sont partagés. Certains doutent des lâchers, voyant ces oiseaux comme des cibles faciles issues d’élevages, tandis que d’autres appellent à repenser la question. Oustrain critique l’absence de dialogue entre la fédération de chasse et les agriculteurs, pointant du doigt les pratiques agricoles qui rendent le milieu hostile pour le gibier.
Appels à l’action pour préserver l’élevage de gibier
La directrice adjointe de la fédération, Gladys Gonnet, reconnaît également les difficultés environnementales et s’engage à travailler sur l’aménagement des habitats pour le gibier. Elle souligne la nécessité d’une approche collective, impliquant éleveurs, agriculteurs et chasseurs pour trouver des solutions viables. « Il y a urgence », insiste-t-elle, alors que des inquiétudes persistent quant à l’avenir de cette filière cruciale pour l’économie locale.
Le maintien des lâchers de faisans jusqu’au 1er octobre apporte un peu de répit, mais la pression reste forte sur les éleveurs. L’avenir du petit gibier dans le Gers est plus que jamais entre les mains des acteurs concernés.
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Interdiction des battues en zones d’ours selon l’ASPAS

Vers une interdiction des battues dans les zones où les ours sont présents?
Avec le procès des chasseurs impliqués dans la mort de l’ourse Caramelles, les débats autour des pratiques de chasse sont relancés. Les peines jugées trop légères par les anti-chasse ont poussé l’Association pour la Protection des Animaux Sauvages, l’ASPAS, à réclamer une réforme de la chasse en fonction de la présence des ours.
Pour cette association, « L’État doit absolument se montrer plus intransigeant vis-à-vis des pratiquants de ce loisir néfaste pour la biodiversité, en prenant les mesures adéquates pour éviter toute future tragédie ! » L’ASPAS critique les chasseurs pour leur manque de connaissances sur les ours et la manière d’agir en cas de rencontre. L’association souligne le caractère dangereux des battues avec des chiens courants sans pour autant prendre en compte les risques que l’ours peut représenter pour les humains.
Une chasse inutile selon l’ASPAS
L’ASPAS estime que les zones habitées par les ours ne sont pas celles où les ongulés causent des dégâts aux cultures. D’après elle, les sangliers et autres grands gibiers devraient être laissés en paix dans ces secteurs pour éviter des interventions humaines inutiles. Elle prône ainsi soit une interdiction totale des battues dans ces zones, soit une formation obligatoire pour les chasseurs sur le comportement et la biologie de l’ours, dispensée par l’OFB (Office Français de la Biodiversité), garant du Réseau Ours Brun dans les Pyrénées.
Des formations obligatoires à défaut d’interdiction totale ?
Si l’État ne concède pas à interdire la chasse dans les zones où les ours sont présents, l’ASPAS propose une alternative : délivrer les autorisations de chasse seulement après une formation stricte sur les ours. Cette formation, selon l’ASPAS, ne devrait pas être dispensée par les Fédérations de chasse, mais par l’OFB.
Alors que la gestion des sangliers devient cruciale et que les politiques sur les prédateurs évoluent, les demandes de l’ASPAS semblent parfois déconnectées des réalités du terrain. Ces propositions s’apparentent souvent à des opportunités pour attirer l’attention médiatique, surtout en capitalisant sur des incidents comme celui de l’ourse Caramelles pour critiquer la chasse en France.
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Célébration de la Fin de Saison de Chasse au Sanglier à Coustouge

Coustouge : Célébration de la Fin de Saison de Chasse au Sanglier
Une traditionnelle fête pour clôturer la saison
L’association intercommunale de chasse agréée (Aica) Saint-Victor a réuni les passionnés de chasse des communes de Coustouge, Jonquières et Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse pour célébrer la fin de la saison de chasse au sanglier. La Maison des chasseurs a servi de cadre à cet évènement convivial, marqué par un repas traditionnel en l’honneur de cette fin de saison à l’approche du printemps.
Parmi les convives, non seulement des chasseurs, mais aussi des amis non-chasseurs et les maires des communes voisines, Jacques Piraud (Jonquières) et Paul Berthier (Coustouge), étaient présents. Malheureusement, le maire de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse a dû s’excuser pour son absence. Selon Damien Couderc, président de l’association, quelques battues sont encore prévues jusqu’à la fin du mois, prolongeant ainsi le plaisir de la chasse.
Des réjouissances culinaires au rendez-vous
Lors de cette fête, les participants ont eu l’agréable surprise de se voir servir un cassoulet copieux, préparé avec soin par le célèbre restaurant Escudier à Castelnaudary. En dessert, les convives ont pu savourer des oreillettes faites maison, gracieusement offertes par Jeanine Amiel, suivies d’une délicieuse fougasse tout juste sortie du four d’un boulanger de Talairan. L’ambiance était chaleureuse et animée, riche en échanges et en rires.
Au cours de la saison 2024-2025, l’Aica Saint-Victor a affiché un bilan impressionnant avec 125 sangliers abattus. Une belle récompense pour les efforts fournis tout au long de l’année.
Cette célébration a non seulement permis de clôturer la saison de chasse, mais aussi de renforcer les liens entre les membres de la communauté, acteurs du monde de la chasse et de la nature. La convivialité était palpable, faisant de cette rencontre un moment mémorable.
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Un moment mémorable avec une laie et ses marcassins en Vendée

Une laie et ses marcassins immortalisés en Vendée
Le samedi 22 février 2025, près des Sables-d’Olonne, une laie et ses cinq marcassins ont été saisis par l’objectif d’un photographe animalier, créant un moment mémorable et apprécié sur les réseaux sociaux. Cette rencontre, inattendue et émouvante, a captivé les internautes et rappelle l’importance de la biodiversité dans notre environnement.
André Untéreiner, un photographe amateur passionné par la faune, se trouvait dans le secteur d’Olonne-sur-Mer, à l’affût des chevreuils parmi les champs inondés. Après une longue journée à attendre patiemment, il a vu une silhouette noire s’approcher à la tombée de la nuit. Alerté par ce mouvement, il a rapidement sorti son appareil photo pour capturer ce qu’il pensait être une opportunité unique.
Quelle a été sa surprise en découvrant qu’il s’agissait d’une laie accompagnée de ses cinq marcassins ! « C’est la première fois que j’en vois dans le secteur », déclare-t-il encore émerveillé, ayant déjà croisé des faons, renardeaux et sangliers dans les environs. La photo, rapidement partagée en ligne, a suscité l’admiration et l’émerveillement des utilisateurs des réseaux sociaux, ajoutant une touche de beauté naturelle à leur fil d’actualités.
Ces moments de connexion avec la nature, bien qu’imprévus, rappellent à chacun d’entre nous l’importance de préserver notre faune locale. Que vous soyez passionné de photographie animale ou simplement curieux de la nature, gardez l’œil ouvert et n’hésitez pas à partager vos rencontres insolites.
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Biostimulant pour éloigner les sangliers des champs de maïs

Un biostimulant innovant pour contrer les sangliers dans les maïs
Ne laissez pas le sanglier s’inviter dans vos champs de maïs ! Depuis cette année, en Normandie, l’entreprise SCS Protection des cultures a introduit le PAT 04-12, un biostimulant destiné à éloigner les sangliers. Cette initiative, déjà éprouvée dans les Hauts-de-France, permet aux agriculteurs de prendre les devants face aux ravages causés par ces hôtes indésirables.
Un partenariat innovant sur le terrain
Le jeudi matin, à Saint Philbert-des-Champs, aux franges du Calvados et de l’Eure, Stéphane Michel, en charge du triage chez SCS Protection des cultures, et Benjamin Benard, responsable commercial chez Néolait, s’activent pour garantir une récolte optimale. L’objectif ? Évaluer l’efficacité du PAT 04-12 en collaboration avec une dizaine d’agriculteurs de la région, dont Antoine Caplain, qui fait face à une problématique de dégâts causés par les sangliers et les corbeaux.
Avec l’échéance prochaine de l’arrêt du Korit 420 FS®, un produit antérieur efficace, le choix de tester le PAT 04-12 s’est imposé comme une démarche proactive. Les équipes se réunissent avec la conviction que ce nouvel enrobage pourrait préserver leurs récoltes.
Un processus de traitement minutieux
La gestion des semences se fait dans un cadre complètement autonome. C’est ainsi que 400 doses de semences peuvent être traitées en une journée, avec la capacité d’atteindre 1 000 doses grâce à la mobilisation de quatre opérateurs. Stéphane Michel souligne la simplicité du système : « Il suffit d’un terrain plat et d’un télescopique pour effectuer le processus. » Chaque sac de semences est ouvert, enrobé selon la recette choisie, reconditionné et étiqueté, tout cela dans le respect des normes légales.
Comment participer à cette initiative ?
La campagne d’enrobage a débuté début mars et se poursuivra jusqu’à fin avril. Les agriculteurs intéressés doivent se grouper avant de contacter Marie au 02 31 23 10 13. Les possibilités sont encore ouvertes, mais le temps presse pour bénéficier de ce service.
Dans quelques semaines, il sera intéressant de revenir aux nouvelles du Gaec du Lieu Mathieu pour savoir si le cochon a finalement trouvé un autre coin à explorer que leurs champs.
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