Naissance de faons filmée par un drone en Moselle

Des faons apparaissent sous l’œil d’un drone en Moselle
Une scène captivante a été récemment immortalisée par les agents de la Fédération des chasseurs de Moselle, mettant en lumière le miracle de la vie en pleine nature. Equipés de drones généralement utilisés pour surveiller les territoires et protéger la faune, ces agents ont pu observer un événement exceptionnel : la naissance de deux faons de chevreuil.
Un moment suspendu dans les hautes herbes
Le 4 mai, alors qu’ils patrouillaient dans les champs, les agents ont repéré une chevrette s’apprêtant à donner naissance. Grâce au drone, ils ont réussi à capturer en temps réel cette scène émotive sans perturber la mère et ses jeunes. La délicatesse de ce moment, visible depuis les airs, a permis de filmer la naissance des deux petits faons alors qu’ils faisaient leurs premiers pas dans le monde.
Un succès viral
Ces images touchantes, partagées sur les réseaux sociaux de la FDC57, ont rencontré un immense écho auprès des internautes. En moins d’une semaine, plus d’un million de personnes avaient visionné ce spectacle naturel, témoignant de l’intérêt croissant pour la faune sauvage et les moments authentiques qu’elle nous offre. Qui aurait cru que le miracle de la vie attire autant l’attention ? Peut-être que ces faons d’un jour seront les stars de demain sur le réseau !
Ces vidéos démontrent non seulement la beauté de la nature, mais également l’importance des efforts fournis par les chasseurs et les gestionnaires de la faune pour protéger l’écosystème. Un rappel joyeux que même au cœur de la campagne, des histoires incroyables se déroulent juste sous nos yeux.
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Degradation du statut du loup en Europe

Déclassement du statut du loup : la procédure en marche
Un changement de statut sans révolution terrain
Depuis décembre dernier, les 49 États membres de la Convention de Berne se sont réunis à Strasbourg pour porter un coup d’envoi au déclassement du loup, transformant son statut de « strictement protégé » à simplement « protégé ». Pourtant, sur le terrain, la réalité semble bien plus complexe. Les loups continuent de dévorer des moutons et des bovins, laissant les éleveurs constater des pertes importantes pendant que des discussions interminables se déroulent au sein des institutions européennes.
Des décisions qui peinent à se concrétiser
Alors que la France attend patiemment des directives officielles, en Espagne, le vent du changement souffle déjà : la protection stricte des loups a été assouplie en mars dernier, permettant l’abattage exceptionnel de ces prédateurs dans le nord du pays. La nouvelle a été officialisée par un vote des eurodéputés qui a réussi à faire passer le loup d’espèce « strictement protégée » à l’occasion du dernier parlement européen. Les votes ont révélé des lignes de fracture politique claires, avec la droite, l’extrême droite et les libéraux en faveur, tandis que les écologistes et la gauche radicale s’y sont opposés, laissant les socialistes divisés. Au final, le score a été sans appel : 371 voix pour, 162 contre et 37 abstentions.
Une flexibilité pour mieux cohabiter
Comme l’a mentionné Herbert Dorfmann, eurodéputé italien, les États membres auront désormais plus de souplesse dans la gestion des populations de loups. Cela se traduit par un espoir d’améliorer la coexistence homme-animal, tout en cherchant à mitiger l’impact d’une population de loups en pleine expansion. Toutefois, un certain flou demeure concernant l’impact concret en France. Si le système en place permet déjà d’abattre des loups, une question demeure : les quotas vont-ils être augmentés ?
Quelles perspectives pour la France ?
Dans l’Hexagone, l’incertitude est palpable. Beaucoup estiment que cette révision de statut ne changera pas fondamentalement la donne. La dichotomie entre les intérêts des éleveurs et ceux des défenseurs des animaux se dessine clairement, et le débat semble loin d’être tranché. En effet, avant toute prise de décision ostentatoire, il pourrait être sage de s’assurer d’une comptabilisation plus efficace et précise des populations de loups présentes sur notre territoire.
Pour tous les passionnés de la nature et de la chasse, ce sujet mériterait d’être suivi de près, tant il s’agit d’une question cruciale pour l’équilibre entre la faune sauvage et les activités humaines.
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Rencontre mémorable entre un randonneur et un ours dans les Pyrénées

Une rencontre inoubliable entre un randonneur et un ours dans les Hautes-Pyrénées
Dans les paysages enneigés du Val d’Azun, un événement exceptionnel s’est produit le 14 avril 2024. Ce jour-là, un randonneur passionné a eu la chance de croiser le chemin d’un ours, symbole des majestueuses Pyrénées. Ce face-à-face captivant a non seulement fasciné le randonneur, mais a également mis en lumière la coexistence des humains et de ces créatures emblématiques.
Quand la randonnée prend une tournure sauvage
Le dimanche 14 avril, alors qu’il était en plein cœur de ses sentiers favoris, un randonneur aguerri s’est retrouvé face à un spectacle inattendu. Benjamin Laporte, originaire de Lourdes, raconte que ses yeux ont d’abord été attirés par des empreintes fraîches dans la neige. En levant les yeux, il aperçoit une grande masse noire à environ 300 mètres de distance, un ours majestueux. Bien que la proximité ait pu susciter une certaine appréhension, Benjamin a su garder son calme, profitant au contraire de ce rare moment d’observation : “À cette distance, je savais que je pouvais facilement me soustraire à sa vue. Il m’a sûrement détecté, mais il a simplement tourné la tête, m’a observé un moment, puis a continué son chemin.”
Ce moment de grâce, immortalisé par des photos et vidéos, a créé une mémoire indélébile pour Benjamin. Il évoque avec joie l’émerveillement d’observer cet ours dans son habitat naturel, en soulignant qu’un tel spectacle reste un rêve pour de nombreux amateurs de nature.
L’identité de l’ours : un mystère à éclaircir
Il est important de noter que l’ours observé ne portait aucun collier, ce qui indique qu’il ne s’agissait pas de l’ours connu sous le nom de Néré. Il pourrait cependant être un descendant de Sorita, mais cette hypothèse nécessite une confirmation par des spécialistes.
Une tendance à la hausse des rencontres avec les ours
Cette rencontre n’est pas un cas isolé. De fait, les témoignages de randonneurs apercevant des ours se multiplient. En Ariège, quelques semaines avant l’observation de Benjamin, d’autres randonneurs ont également eu l’occasion d’admirer ces animaux. Cette augmentation des fréquentations s’explique principalement par la croissance des populations d’ours bruns dans la région. Le rapport annuel de 2023 du réseau Ours Brun signale que 83 individus vivent actuellement dans les Pyrénées, incluant 16 oursons. Un chiffre qui marque un record ces dernières années.
Conseils pour une cohabitation en toute sécurité
Cependant, malgré cette hausse des rencontres, il reste crucial de rappeler que les attaques d’ours sont rares. Mais le risque zéro n’existe pas. Ainsi, si une rencontre avec un ours se produit, il est essentiel de garder son calme et de s’éloigner lentement de l’animal, sans gestes brusques. L’observation de ces créatures fascinantes est possible, à condition de rester discret et de ne pas perturber leur comportement naturel. La clé d’une coexistence harmonieuse repose sur le respect mutuel entre l’homme et l’ours des Pyrénées.
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Lapins en colère et conflits agricoles à Ouges

Des lapins en colère : quand une commune est pointée du doigt
Des lapins dévoreurs de récoltes à Ouges
Dans la charmante commune d’Ouges, en Côte d’Or, la situation est pour le moins rocambolesque. Un céréalier, se plaignant de la prolifération de lapins aux appétits dévorants, accuse la municipalité de négligence. Ces lapins, qui ont élu domicile près de l’ancienne déchetterie, se seraient notamment attaqués à trois hectares de plans de moutarde, laissant l’agriculteur dans une colère noire.
Jean-Claude Girard, le maire d’Ouges, a bien du mal à comprendre ces accusations : « C’est la première fois depuis plus de 100 ans qu’on a des dégâts déclarés, issus de lapins de Garenne, qui proviendraient – ça reste à prouver – de la déchetterie d’Ouges, qui finalement ne fait qu’un hectare ! »
Un préjudice au goût amer
L’affaire remonte à l’année dernière. L’agriculteur, estimant son préjudice à plusieurs milliers d’euros, réclame réparation. Deux propriétaires du terrain sont mis en cause et l’office Voies Navigables de France a décidé de régler la somme de 4 600 euros. Mais le maire n’entend pas céder à la pression. « Pourquoi mettre en cause la commune et pas l’armée de l’air ? » interroge-t-il, soulignant que le secteur abrite une belle réserve de chasse.
Un choix alimentaire mystérieux
Mais ce n’est pas tout. La société de chasse, à qui la commune a délégué le droit de chasse sur cette parcelle, est également dans le viseur. Le céréalier lui reproche de ne pas avoir éliminé suffisamment de lapins. Il cherche alors à obtenir 2 754 euros en dommages et intérêts. Le président de la société de chasse s’étonne d’ailleurs que les lapins aient visiblement un goût sélectif, puisque le champ de trèfle adjacent a échappé à leurs agapes incessantes. « Les lapins sauvages mangent du trèfle tout au long de l’année. Pourquoi auraient-ils uniquement ciblé les plants de moutarde ? » s’interroge-t-il.
Un procès qui s’éternise
Malgré la volonté de conciliation, l’affaire semble trop corsée pour être réglée à l’amiable. En conséquence, le céréalier a décidé de saisir la justice. Le maire, quant à lui, reste ferme sur sa position. « Je ne suis pas le maire qui demandera à ce que les lapins de Garenne qui sont sur la déchetterie soient éradiqués. Parce que c’est aussi de la biodiversité pour moi, ils font le plaisir et le bonheur des randonneurs », déclare-t-il, face à une situation qui ne cesse de s’envenimer.
Le procès, déjà reporté à plusieurs reprises, aura une nouvelle audience fixée au 6 octobre 2025. Les amateurs de gibier et les amoureux de la nature attendent, avec un mélange d’impatience et de curiosité, le dénouement de ce feuilleton palpitant.
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Distinguer pigeon biset et pigeon ramier

Distinguer les différentes races de pigeons : pigeon biset vs pigeon ramier
Le pigeon : un oiseau souvent mal perçu, surtout lorsqu’il s’agit de son cousin le pigeon biset, que beaucoup considèrent comme un simple nuisible des villes. Pourtant, il y a plus à ce volatile que ce que l’on pourrait croire. La distinction entre le pigeon biset et le pigeon ramier, par exemple, n’est pas aussi évidente qu’on pourrait le penser. En y regardant de plus près, certains détails physiques permettent de les différencier facilement.
Le pigeon biset : l’urbain au plumage discret
Le pigeon biset, ou Columba livia, est le roi des trottoirs et des places publiques. Reconnaissable à son plumage grisâtre agrémenté de bandes noires sur la queue et les ailes, ainsi qu’à ses reflets verts et violets sur le cou, il se distingue également par ses yeux orange vif et son bec orné d’un petit point blanc. Ce petit oiseau est souvent stigmatisé pour son image de « rat volant », mais ne vous y trompez pas : il fait preuve d’une étonnante capacité d’adaptation.
Le pigeon ramier : la palombe au cœur de la nature
En revanche, le pigeon ramier, connu sous le nom de palombe (Columba palumbus), affiche un tout autre look. Plus imposant, il présente des taches blanches sur les ailes et le cou, une poitrine au doux ton rosé, des pattes rouge foncé, et des yeux blancs éclatants. Ce pigeon, largement présent dans les campagnes, est prisé par les chasseurs, qui attendent avec impatience la saison de la chasse à la palombe.
Différences entre mâles et femelles : une quête d’identité délicate
Pour ce qui est de déterminer si un pigeon est un mâle ou une femelle, la tâche est plutôt ardue. Le dimorphisme sexuel chez les pigeons est très limité. Cependant, on remarque que les mâles ont tendance à être légèrement plus grands avec une tête plus ronde, tandis que les femelles affichent un crâne plus aplati. En saison nuptiale, les mâles exhibent leur virilité en gonflant leur torse et en émettant le fameux roucoulement romantique pour séduire leur belle.
Deux existences, deux images
Il est fascinant de constater à quel point le regard porté sur ces deux cousins est opposé. Tandis que le pigeon biset traîne une réputation peu enviable, le pigeon ramier jouit d’une image plus respectée, notamment parmi les chasseurs. Pourtant, au-delà des préjugés, il s’agit d’oiseaux qui œuvrent pour leur survie dans des environnements radicalement différents. Le pigeon ramier évolue dans un cadre naturel, mais doit faire attention aux prédateurs, tandis que le pigeon biset se débrouille tant bien que mal dans un monde urbain parfois hostile.
Au final, lorsque vous croiserez ces volatiles, souvenez-vous : derrière leur apparence commune se cachent des histoires bien distinctes. Ne négligez pas cette faune souvent méprisée et prête à s’adapter aux aléas de son environnement.
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Decouverte de la fouine un petit carnivore méconnu

À la découverte de la fouine : un petit carnivore à connaître
La fouine, ce petit carnivore à la discrétion légendaire, mérite une attention particulière malgré son statut méconnu. Voleuse d’ombre, elle est souvent confondue avec la martre des pins, ce qui n’est pas surprenant vu leur pelage différent. Qu’est-ce qui la distingue vraiment ? La réponse tient à un regard attentif sur ses particularités.
Un régime alimentaire très varié
Quant à son alimentation, la fouine est une gourmande insatiable. Elle croque tout ce qui lui passe sous le nez : petits rongeurs, oiseaux, fruits, œufs… Bref, elle n’a pas de préférence. Sa capacité d’adaptation est telle qu’elle se plaît aussi bien dans un environnement rural qu’urbain. Mais attention, son implantation à domicile peut s’avérer problématique, tant pour votre tranquillité que pour votre installation électrique, qu’elle pourrait endommager.
Des prédateurs à redouter
À l’opposé, la fouine n’est pas seulement un prédateur, elle est également la proie. Le renard roux, agile et rusé, est un de ses plus redoutables chassés. À cette liste s’ajoute le hibou grand-duc, spécialiste des chasses nocturnes, ainsi que certains aigles, blaireaux européens, et même le lynx qui rôdent dans les forêts. Malgré ces menaces, la fouine excelle dans l’art de se défendre. Sa grande agilité, combinée à sa capacité à grimper, lui permet d’échapper à ses ennemis.
Une protection bien pensée
La fouine met à profit sa souplesse pour se faufiler dans des espaces restreints. En cas d’attaque, elle peut aussi faire appel à une technique olfactive peu appréciée : une émission d’une odeur désagréable, rappelant celle du putois. Imaginez la scène : un prédateur se lance à sa poursuite, et avant qu’il ait pu dire « fouine », elle disparaît en un clin d’œil !
Reproduction et survie des jeunes
Côté reproduction, la fouine a son propre calendrier. Les accouplements ont lieu l’été, mais la gestation ne débute véritablement qu’après une période d’attente embryonnaire. Les petits, qui voient le jour entre mars et avril, sont généralement peu nombreux, avec des portées oscillant entre 2 et 7 jeunes. Malheureusement, la mortalité infantile chez les fouineaux est très élevée, avec jusqu’à 50% des petits ne parvenant pas à l’âge adulte.
Un danger pour nos amis à quatre pattes
Enfin, parlons d’un aspect qui intéressera sans doute tous les propriétaires de chats : la fouine peut représenter un danger pour eux. Même si les attaques sont rares, elles peuvent s’avérer fatales compte tenu des capacités physiques de la fouine, notamment ses dents et griffes acérées. Une vigilance accrue est donc recommandée dans les zones connues pour la présence de ces petits carnivores.
En somme, la fouine est un animal à la fois fascinant et redoutable. En apprendre davantage sur cet inconnu peut s’avérer utile, tant pour le respect de la faune que pour la sécurité de nos animaux de compagnie.
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Haute-Loire Une Conductrice Surprenant des Sangliers sur la Route

Haute-Loire : Une Conductrice Étonnée par un Ballet de Sangliers
C’est un incident qui aurait pu se transformer en véritable tragédie sur les routes de Haute-Loire. Mardi, aux alentours de 18 heures, les secours ont été appelés à intervenir suite à un accident sur la D22, à proximité de Saint-Pal-de-Sénouire.
Une automobiliste, âgée de 51 ans et d’origine allemande, a perdu le contrôle de son Audi, après avoir été surprise par un groupe d’une vingtaine de sangliers traversant la route de manière inattendue. On peut seulement imaginer la surprise de cette conductrice au volant : une belle journée de conduite interrompue par un véritable défilé de sangliers, comme si la nature avait décidé de prendre le contrôle du bitume!
Suite à la collision, le véhicule a effectué plusieurs tonneaux avant de s’immobiliser sur le flanc. Fort heureusement, la conductrice a été trouvée indemne sur les lieux, évitant ainsi de graves blessures. La nature, bien qu’impressionnante, peut parfois devenir un tantinet imprévisible, rappelant à tous l’importance de la vigilance sur les routes, surtout dans les zones rurales.
Il serait avisé aux conducteurs de rester attentifs aux éventuels passages d’animaux sauvages, préservant ainsi la sécurité de tous et la tranquillité des sangliers, qui ne demandent finalement qu’à vaquer à leurs activités. Après tout, qui aurait cru que la Haute-Loire deviendrait le théâtre d’une telle rencontre insolite?
Restez attentifs et prudents sur les routes – la faune locale a parfois des projets bien à elle!
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Un site humoristique pour les sangliers d’Astérix et Obélix

Un site hilarant dédié aux sangliers dans Astérix et Obélix
À l’occasion de la série Astérix et Obélix : Le Combat des Chefs diffusée sur Netflix, un site pour le moins insolite a vu le jour : Sanglier Danger. Imaginé pour soutenir la cause des sangliers, cet espace virtuel, qui se moque joyeusement des mésaventures de ces animaux dans la série, offre aux visiteurs une expérience cocasse et engagée.
Sangliers en détresse : un site qui fait sourire
Le concept est simple : avant d’entrer, les visiteurs doivent prouver qu’ils sont un sanglier en remplissant un Captcha et en sélectionnant des images de chasseurs, pour ensuite passer outre cette étape. Ce site interactif fait le buzz grâce à un slogan accrocheur : « Bien dans nos têtes, et pas dans vos assiettes ! » , reflétant l’esprit humoristique qui caractérise l’œuvre d’Alain Chabat.
Une plateforme hilarante et engagée
Sur ce site, des témoignages touchants comme celui de Rillette, un marcassin de 8 ans, viennent renforcer le ton léger de l’ensemble. Elle décrit avec une candeur attendrissante que ses excursions en forêt sont devenues « trop risquées », et qu’elle adore les glands, mais « pas à n’importe quel prix ». Qui aurait cru qu’un simple personnage de dessin animé pourrait faire sourire et éveiller des consciences ?
Le soutien des avant-gardistes
Sanglier Danger célèbre également le mode de vie des végans, s’adressant aux « amis » des sangliers qui souhaitent les soutenir. Les créateurs de ce site ont recruté 800 bénévoles, tous prêts à apporter leur aide afin que les « marcassins rêvent d’un monde meilleur ». Une démarche à la fois comique et engagée qui montre que l’on peut aborder des questions sérieuses avec humour.
Pour ceux qui souhaitent en savoir plus
À l’heure où la créativité et la sensibilisation se mêlent, le site Sanglier Danger est un bel exemple de satire douce et engagée. Pour ceux qui se sentent inspirés, il existe une adresse mail pour rejoindre l’équipe de bénévoles, mais, pour l’instant, les retours semblent quelque peu silencieux, un peu comme si notre missive était restée lettre morte. Cela dit, l’équipe ne semble pas découragée : un article humoristique évoque les fausses mains Boareal, conçues pour écrire “les plus grands textes les doigts dans le groin”. N’est-ce pas un clin d’œil amusant du milieu ?
Pour découvrir cette plateforme unique et soutenir la cause des sangliers, n’hésitez pas à visiter le site !
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Differences entre Hirondelle et Martinet

Différences Notables entre l’Hirondelle et le Martinet
Les hirondelles et les martinets sont deux oiseaux qui, à première vue, pourraient passer pour des jumeaux à plumes tant leurs caractéristiques se ressemblent. Cependant, il existe des différences flagrantes qui permettent de les distinguer. En observant ces oiseaux dans nos campagnes et nos villes, il est crucial de savoir les reconnaître pour mieux les préserver, surtout face à la baisse préoccupante de leur population.
L’Hirondelle : Le Messager du Printemps
Les hirondelles, membres de la famille des hirudinées, sont bien connues en France, avec cinq espèces, dont les plus courantes sont l’hirondelle rustique et l’hirondelle de fenêtre. Ces charmants oiseaux reviennent chaque printemps de leurs migrations africaines, construisant leurs nids sous les toits ou près des fenêtres, souvent à l’aide de boue et de salive. Mesurant environ 14-15 cm, mais avec une envergure atteignant 30 cm lorsqu’elles déploient leurs ailes, elles sont de véritables acrobates du ciel.
Avec une espérance de vie oscillant entre 5 et 12 ans, l’hirondelle est souvent perçue comme un symbole du retour des beaux jours. Son habitude à se percher sur les fils électriques ou les rebords de toit est un indice précieux pour la différencier du martinet, qui, lui, se livre presque exclusivement au vol.
Le Martinet : Maître des Cieux
À l’opposé, le martinet, en particulier le martinet noir, est un expert incontesté du vol. Sa morphologie est merveilleusement adaptée à un mode de vie aérien, avec de si petites pattes qu’il a du mal à se poser. Exception faite de quelques moments pour s’occuper de sa progéniture, cet oiseau passe sa vie en vol. Mesurant un peu plus de 15 cm, sa majestueuse envergure frôle les 50 cm, et il peut passer des mois sans se poser, notamment lors de ses migrations.
Sa longévité est également impressionnante, atteignant environ 20 ans. Ce prédateur des airs se nourrit, se repose et se reproduit dans le ciel, ce qui le rend encore plus fascinant.
Comment les Distinguer ?
Pour bien reconnaître l’hirondelle du martinet, plusieurs éléments sont à prendre en compte. D’abord, si vous observez un oiseau perché sur un fil, vous pouvez être certain qu’il s’agit d’une hirondelle. En vol, les couleurs vous aideront également : l’hirondelle a un ventre clair, tandis que le martinet arbore un plumage noir intégral. Leur queue, en forme de V pour l’hirondelle et plus ronde pour le martinet, peut également jouer un rôle dans leur identification. Enfin, les ailes du martinet, très arquées, lui permettent de planer avec élégance, tandis que celles de l’hirondelle sont plus modestes.
Il est crucial de veiller sur ces deux espèces, car leur déclin alarmant – avec une diminution de 40 % pour les martinets et de 75 % pour les hirondelles en une décennie – nécessite notre attention. Apprendre à les différencier est une étape importante pour leur protection.
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Chasseurs et jeunes unis pour la sauvegarde des amphibiens dans les Côtes-dArmor

Côtes-d’Armor : Chasseurs et jeunes main dans la main pour sauver les amphibiens
Un programme national pour l’avenir des amphibiens
La Fédération Départementale des Chasseurs des Côtes-d’Armor (FDC 22) nous prouve une fois de plus qu’elle n’est pas à court d’idées pour protéger notre précieuse biodiversité. Grâce à son investissement dans le programme national POPAmphibien, coordonné par la Société Herpétologique de France (SHF), elle montre que les chasseurs jouent un rôle clé dans la préservation de la faune sauvage.
Étudier et préserver la vie sauvage
Le programme POPAmphibien a pour but de suivre l’évolution des populations d’amphibiens, tels que les grenouilles et tritons, à l’échelle nationale. En utilisant des protocoles rigoureux, il génère des données fiables sur la présence et l’évolution de ces espèces, véritables indicateurs de la santé des milieux humides. Qui aurait cru que ces petites créatures pouvaient tant révéler sur notre environnement ?
Des chasseurs en action sur le terrain
Dans les Côtes-d’Armor, la FDC 22 mobilise ses membres pour participer activement aux relevés d’amphibiens. Armés de lampes torches, ces chasseurs sillonnent mares et prairies humides pour inventorier les espèces présentes. C’est un vrai travail d’équipe, alliant démarche citoyenne et approche scientifique, permettant de créer des liens entre la cynégétique et l’écologie.
Éducation et transmission des savoirs
Au mois d’avril, la FDC 22 a ouvert ses portes à une classe de 1ʳᵉ GMNF (Gestion des Milieux Naturels et de la Faune) du lycée agricole La Ville Davy, en collaboration avec la Maison de la Terre. Sous la houlette de Ronan Pengam, chargé de mission éducation à l’environnement, et de Marine Jolibert, technicienne cynégétique, ces élèves ont mis les mains à la terre lors d’un comptage d’amphibiens dans une prairie humide classée zone naturelle. Au programme : présentation de protocoles scientifiques, identification des espèces, et relevés sur le terrain. Une belle manière de lier théorie et pratique !
Des résultats prometteurs au rendez-vous
Cette initiative ne s’arrête pas là. Au début de l’année, ces mêmes jeunes avaient déjà contribué à l’entretien écologique de la zone via des actions comme le fauchage de la mégaphorbiaie et le curage des petits cours d’eau. Le succès de cette démarche s’est traduit par l’observation d’une multitude de tritons (alpestres, palmés et marbrés), de salamandres et de rainettes. Un véritable bilan qui atteste de la santé et de l’équilibre de cet habitat.
Les chasseurs : partenaires de la nature
Cette belle initiative portée par la FDC 22 démontre une vérité souvent méconnue : les chasseurs ne sont pas les ennemis de la nature, mais bien ses alliés. En mariant science, transmission, pédagogie et actions concrètes, ils enrichissent chaque jour notre compréhension et notre gestion des écosystèmes. Qui aurait pensé que la chasse pouvait rimer avec protection de la biodiversité ?
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