Controle des pratiques de chasse à Lachapelle sous Chaux

Contrôle des règles de chasse à Lachapelle-sous-Chaux
Ce week-end, la sécurité des chasseurs était à l’ordre du jour à Lachapelle-sous-Chaux, où une opération conjointe a été menée pour s’assurer que les règles de chasse étaient respectées. Le dimanche matin, l’OFB (Office français de la biodiversité), la DDT (Direction départementale des territoires), l’ONF (Office national des forêts) et la gendarmerie se sont unis pour contrôler les pratiques de chasse dans la région.
Malgré des gelées matinales et un froid hivernal, rien n’a arrêté les agents de la police de l’environnement. Après un briefing, les onze agents ont formé deux équipes avec une mission claire : veiller à la sécurité des opérations de chasse. Celles-ci se poursuivront jusqu’à la fin de février, période où la chasse au gros gibier est particulièrement en vogue.
Les contrôles ont un double objectif : non seulement assurer le respect des règles, mais également rappeler aux chasseurs les bonnes pratiques à adopter pour une chasse en toute sécurité. Les autorités font ainsi preuve de vigilance pour prévenir les accidents et garantir que cette activité se déroule dans les meilleures conditions possibles.
Cette initiative s’inscrit dans une volonté plus large de sensibilisation à la protection de la biodiversité et à la sécurité sur le terrain. En effet, la chasse ne doit pas être synonyme de danger—pour les chasseurs comme pour la faune. La collaboration entre les organismes est essentielle pour offrir un cadre sécurisé à tous les acteurs impliqués.
Ainsi, le week-end dernier, Lachapelle-sous-Chaux n’était pas seulement le théâtre de la chasse, mais aussi d’un engagement fort en faveur de la sécurité environnementale, sans oublier une pincée de bonne humeur face aux rigueurs de l’hiver.
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Le rôle clé des chasseurs bretons dans la gestion du sanglier

Le rôle indispensable des chasseurs bretons dans la régulation du sanglier
La gestion des populations de sangliers est un sujet qui suscite souvent des débats enflammés, tant chez les associations animalistes que chez les agriculteurs, souvent victimes des dégâts causés par ces animaux. Pourtant, derrière cette controverse, se cache une réalité moins connue : les chasseurs bretons jouent un rôle essentiel dans la régulation de cette espèce invasive.
Des défis à relever pour une chasse responsable
Pour les chasseurs, la tâche n’est pas de tout repos. Ils doivent composer avec un certain nombre de facteurs qui compliquent la gestion du sanglier. Parmi ces éléments, citons le coût des bracelets, nécessaires pour encadrer la chasse, et le financement des opérations cynégétiques. De plus, la réglementation en vigueur impose parfois des contraintes supplémentaires qui peuvent freiner les prélèvements.
Et n’oublions pas l’accessibilité aux territoires de chasse. Avec un gibier capable de parcourir des kilomètres en une seule journée, la tâche de régulation nécessite une coordination minutieuse et des efforts collectifs. C’est un peu comme essayer de garder un chat dans une pièce, une vraie gymnastique !
Un œil sur le terrain
Les caméras de France 3 Bretagne ont récemment suivi les chasseurs au cours d’une battue, mettant en lumière leur engagement sur le terrain. Cette immersion permet de voir de près les enjeux auxquels ils font face et de comprendre les diverses techniques employées pour réguler cette espèce prolifique.
Les chasseurs ne se contentent pas simplement de tirer sur le gibier ; ils doivent aussi alerter sur les comportements néfastes des sangliers, qui peuvent causer des destructions massives sur les cultures, menaçant ainsi la sécurité alimentaire à une échelle plus large. C’est un peu comme si ces animaux se prenaient pour des experts en jardinage, mais avec des résultats dévastateurs.
Vers une gestion équilibrée
La régulation du sanglier est donc un enjeu crucial. Les efforts des chasseurs bretons montrent qu’avec une approche structurée, il est possible de trouver un équilibre entre la protection de la faune, la préservation des cultures et la sécurité des populations locales. Mais cela nécessite une compréhension et un soutien mutuels entre tous les acteurs impliqués.
Il est clair que la chasse, lorsqu’elle est pratiquée de manière responsable et en concert avec les réglementations, peut contribuer à la préservation des écosystèmes locaux tout en tenant compte des besoins des agriculteurs et des communautés.
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Homme mordu en nourrissant marcassin

Un homme se fait mordre la main en voulant nourrir un marcassin
Il arrive parfois que les passionnés de faune sauvage oublient que certains animaux, même étant jeunes, ne doivent pas être sous-estimés. C’est exactement ce qui s’est passé lorsqu’un homme a voulu tendre la main à de petits marcassins le long d’un chemin. Si l’intention était bonne, la réalisation ne l’était pas tout à fait.
Alors qu’il tentait de nourrir ces adorables petites créatures, un des marcassins, probablement plus affamé qu’affectueux, a décidé d’approcher. Et qui aurait pu deviner que les petites dents tranchantes de ce suidé allaient s’en prendre à sa main ? En un clin d’œil, l’homme s’est retrouvé avec une douleur inattendue, allant d’un simple désespoir à une visite d’urgence.
Cet incident met en lumière l’importance de respecter les distances avec la faune sauvage, même lorsqu’elle paraît inoffensive. Car au fond, qui ne s’est jamais demandé ce qu’il fallait faire si un cochon sauvage décidait de goûter à son doigt ? Cela nous rappelle de garder à l’esprit que ces animaux, bien qu’attachants, peuvent être imprévisibles.
Avec ce genre d’expérience, il est clair qu’une rencontre avec un marcassin n’est pas une occasion de prendre des selfies ou de nourrir des animaux sauvages ! Mieux vaut garder sa distance et laisser ces petites créatures profiter de la nature, sans intervenir dans leur alimentation.
Alors, la prochaine fois que vous croiserez un sanglier — qu’il soit adulte ou baby-sanglier — pensez à garder vos doigts pour vous. Si vous souhaitez en savoir plus sur la faune ou la chasse, n’oubliez pas de visiter notre site !
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Tirs de louvetiers pour réguler les sangliers dans les Pyrénées-Orientales

Pyrénées-Orientales : Tirs de louvetiers autorisés pour contrôler les sangliers
Une réponse à la prolifération des sangliers
Dans les Pyrénées-Orientales, la coexistence avec les sangliers devient de plus en plus acrobatique. Comme de nombreux départements français, cette région doit faire face à une explosion de la population de suidés, souvent source de frustration pour les agriculteurs. Les sangliers, qui semblent avoir reçu une invitation permanente à festoyer dans les champs, causent des dégâts considérables, mettant en péril les récoltes agricoles. Pour aggraver les choses, ces intrus n’hésitent pas à traverser les frontières urbaines, augmentant le risque d’accidents pour les citadins.
Des mesures en réponse à la crise
Pour remédier à cette situation délicate, le préfet Thierry Bonnier a requis l’intervention de louvetiers, en s’appuyant sur des chasseurs locaux, pour procéder à des tirs dans près de 17 communes, dont la dynamique Perpignan. Ce n’est pas un coup de feu tiré au hasard : ces mesures visent également d’autres espèces nuisibles telles que les ragondins, dans le but de protéger les terres agricoles.
Les communes concernées incluent, entre autres, Bompas, Claira, Pia et Canet-en-Roussillon. Notamment, ces divers opérations de tir se dérouleront dans des zones péri-urbaines, et ce, à moins de 150 mètres des habitations ! Il faut dire qu’en matière de gestion de la faune, la proximité peut être relative.
Quand se déroulent ces opérations de régulation ?
Ces sessions de tir, destinées à maîtriser la population de sangliers, seront en cours jusqu’au 15 décembre, voire jusqu’au 23 pour certaines municipalités, en fonction des particularités locales. Un laps de temps où agriculteurs et riverains espèrent que la situation se stabilisera et que les sangliers apprendront peut-être que « rester sur le territoire est plus prudent ».
Agissez avec soin!
Pour les chasseurs engagés dans cette action, il est crucial de respecter les normes et les limites de sécurité, notamment en matière de distance avec les habitations. Ces opérations montrent que la régulation de la faune sauvage est un enjeu important, non seulement pour la sécurité publique, mais aussi pour la préservation des activités agricoles.
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Venaison dans les cantines pour gérer la prolifération des sangliers

Que faire des sangliers ? Mettre la venaison au menu des cantines !
Dans le canton du Tessin en Suisse, une initiative astucieuse voit le jour pour contrer la prolifération des sangliers et la menace de la peste porcine africaine. Plutôt que de laisser ces animaux vagabonder librement, les autorités locales encouragent les chasseurs à augmenter leurs prises. Mais que faire de cette viande sauvage ? La réponse est étonnante : l’intégrer dans les menus des cantines scolaires.
Une réponse proactive face à la peste porcine africaine
Situé à proximité de l’Italie, le canton du Tessin reste pour l’instant épargné par la peste porcine africaine, une maladie qui décime les populations de sangliers en Lombardie. Pour prévenir son apparition sur le sol suisse, les responsables ont donc décidé d’agir en amont, incitant les chasseurs à éliminer les sangliers. Avec une compensation de plus de 4 euros le kilo, cette démarche vise aussi à stimuler l’activité de chasse.
La venaison : un délice local directement dans les cantines
Une fois récoltée, la venaison ne doit pas rester sur le carreau ! Elle sera préparée et servie dans plusieurs cantines scolaires et administratives du canton. Ce choix est d’autant plus pertinent que la viande d’un sanglier contaminé par la peste peut tout de même être consommée sans risque pour la santé humaine.
Un modèle inspiré de Rome : la filière venaison
Cette initiative fait écho à ce qui est pratiqué à Rome. Là-bas également, une filière venaison a été mise en place pour contrôler la population de sangliers tout en soulignant l’importance de consommer des produits locaux. Une telle démarche pourrait-elle trouver sa place en France ? C’est une question à se poser.
Les défis du modèle français
En France, des obstacles demeurent pour l’instauration de similaires menus à base de venaison dans les cantines. La pénurie d’acceptation politique et les choix de menus souvent influencés par une sensibilité écologique renforcent une certaine réticence. Pourtant, la loi EGalim prône une alimentation saine, sûre et durable pour tous, ce qui pourrait justifier une place pour la venaison dans les menus scolaires.
À quand un menu venaison chaque semaine ?
Afin de permettre aux enfants de découvrir les saveurs authentiques du gibier local, la question se pose : pourquoi pas un menu venaison obligatoire dans toutes les cantines une fois par semaine ? Cela pourrait d’ailleurs se révéler une belle occasion d’éveiller les papilles des jeunes convives.
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À chaque sanglier prélevé on paie 40 euros

« À chaque sanglier prélevé, on paie 40 euros »
Trop de sangliers en Bretagne, comment les chasseurs régulent leur population ?
Ces dernières années, les dégâts causés par les sangliers en Bretagne se sont multipliés, affectant les cultures, les prairies et même les jardins. Ces animaux, autrefois admirés comme sauvages, sont désormais vus comme des nuisibles. L’année dernière, environ 20 000 sangliers ont été abattus en Bretagne, mais cela n’a pas suffi à réduire les dégâts qu’ils causent. Alors, comment les chasseurs s’y prennent-ils pour contrôler cette population croissante ?
Explosion de la population de sangliers
À partir des années 1970, les sangliers étaient une rareté en Bretagne. Aujourd’hui, leur population a été multipliée par 20 en France. Devenus nuisibles en raison des dégâts qu’ils infligent, les méthodes de régulation de leur population sont un véritable casse-tête.
La chasse, un levier essentiel
En forêt de la Corbière près de Rennes, une quarantaine de chasseurs se retrouvent pour une battue. La chasse apparaît comme le principal levier pour contrôler la population de sangliers, notamment en raison de la disparition des prédateurs naturels comme le loup et le lynx.
Pas une proie facile
Selon les chasseurs, les sangliers ne sont pas faciles à attraper : « Ils savent se réfugier près des habitations ou sur le bord des routes, où ils se sentent en sécurité », explique Marcel Pincet, chasseur expérimenté. André Douard, président de la Fédération Régionale de Bretagne, ajoute : « Le sanglier est nomade. Aujourd’hui ici, demain à plusieurs kilomètres de là. »
Le coût de la chasse
La chasse au sanglier a un coût. Chaque sanglier abattu nécessite l’achat d’un bracelet de prélèvement à 40 euros, reversés à la Fédération pour couvrir les dommages aux agriculteurs. Thierry Gilbert, chasseur, souligne que cela représente un investissement significatif pour un loisir.
Des indemnisations en hausse
En Ille-et-Vilaine, les indemnisations pour les dommages aux cultures sont passées de 70 000 euros il y a 20 ans à 800 000 euros aujourd’hui. La fédération plaide pour une harmonisation des pratiques de chasse afin d’être plus efficace. André Douard propose deux stratégies : exercer une pression régulière ou organiser des chasses concertées.
Des conditions idéales pour les sangliers
La région Bretagne réunit toutes les conditions pour une prolifération rapide des sangliers : climat favorable, abondance de nourriture et zones de refuge. Mais la cohabitation avec les humains devient de plus en plus problématique, rendant leur régulation essentielle. Toutefois, il semble que la solution ne repose pas uniquement sur le fusil.
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Tableau de chasse 2023 2024 le retour en force du sanglier

« Tableau de chasse » 2023/2024 : le sanglier repasse la barre des 800 000
Le Sanglier atteint de nouveaux sommets en 2023/2024
Cette année, le « tableau de chasse » des ongulés s’annonce varié, mais la véritable surprise réside dans le retour en force du sanglier, franchissant à nouveau la barre des 800 000 animaux abattus. Il y a peu, cette situation était considérée comme exceptionnelle, le sanglier étant en dessous de ce seuil depuis longtemps.
Prélèvements du Sanglier pour la Saison 2023/2024
L’année précédente, les prélèvements de sanglier avaient baissé de 6,3 % par rapport à la saison 2021/2022, soulevant des interrogations sur une possible tendance à la baisse. Toutefois, avec 841 726 sangliers tués en 2023/2024, on frôle le record historique de 842 802 prélèvements de la saison 2021/2022.
Départements en tête des Prélèvements
Les départements affichant plus de 20 000 sangliers abattus sont : le Loir-et-Cher (31 175), le Gard (30 306), l’Hérault (26 144), le Cher (23 706), la Dordogne (21 263), l’Ardèche (20 890), le Loiret (20 789) et l’Aisne (20 093).
Le prélèvement national s’établit à 1,53 sanglier aux 100 hectares totaux et 4,72 sangliers aux 100 hectares boisés. Les densités les plus élevées de prélèvements par hectare se trouvent dans le Gard (5,2), le Loir-et-Cher (4,9), l’Hérault (4,2), l’Ardèche (3,8) et le Cher (3,3).
Augmentations et Diminutions Notables
Certaines régions ont enregistré des augmentations impressionnantes des prélèvements par rapport à la saison précédente, notamment :
- Lot (+69 %)
- Finistère (+51 %)
- Nord (+45 %)
- Cantal (+38 %)
- Puy-de-Dôme et Saône-et-Loire (+36 %)
- Côtes-d’Armor et Creuse (+35 %)
- Loire (+33 %)
- Morbihan (+32 %)
- Manche (+31 %)
A l’inverse, certaines zones ont subi des diminutions marquées :
- Corse-du-Sud (-46 %)
- Haut-Rhin (-22 %)
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Clermont un sanglier en ville maje en colère

Clermont. Un sanglier et une meute de chiens de chasse en ville : le maire va porter plainte
La chasse à courre sème la pagaille en ville, les opposants et le maire en colère
Le mardi 26 novembre à Clermont (Oise), un événement inhabituel a captivé les habitants. Un sanglier, pourchassé par une meute de chiens de chasse, a semé la panique en ville. Le parcours chaotique a fini dans le quartier des Sables et sur le parking d’un centre commercial local.
Ce qui a commencé comme une chasse à courre ordinaire s’est rapidement transformé en un spectacle inédit. Suivi par une meute de chiens – une douzaine selon les chasseurs, mais une trentaine d’après les témoins et le collectif Abolissons la Vénerie Aujourd’hui – le sanglier a cherché refuge dans les rues de Clermont. Au cours de sa fuite, l’animal et ses poursuivants ont traversé la RN31, non sans provoquer des perturbations.
Les habitants ont été nombreux à relater l’incident sur les réseaux sociaux. « Nous avons vécu un moment incroyable », explique une résidente du quartier des Sables. « Un pauvre sanglier apeuré et des dizaines de chiens qui couraient dans tous les sens entre les gens et les bâtiments. Cela a duré plus d’une demi-heure. » Un autre témoin décrit comment le sanglier est entré dans un jardin privé et a fouillé les poubelles.
Les chiens appartenaient à l’équipage du Vautrait Tiens Bon Picard, basé à Autrêches, à la frontière entre l’Oise et l’Aisne. Après que les lieux ont été sécurisés par la gendarmerie, les chasseurs ont pu récupérer leurs animaux.
La Fédération des chasseurs de l’Oise a réagi en imputant la responsabilité de l’incident aux opposants à la chasse à courre, qu’elle accuse de « propagande intolérable » visant à amplifier l’incident. Selon un communiqué de l’organisation, les opposants cherchent à inventer des scènes de chaos pour leur propre intérêt.
Pour les chasseurs, cet incident est inédit et serait attribué à « l’urbanisation croissante » et au manque de passages pour la faune le long de la RN31. Cependant, cette explication ne satisfait pas le maire de Clermont, Lionel Ollivier, qui prévoit de porter plainte contre l’équipage de chasse à courre en question.
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Une joyeuse baignade pour une compagnie de sangliers

Une joyeuse baignade pour une compagnie de sangliers!
Pluie, vent ou encore neige, rien ne fait reculer nos bêtes noires, pas même les trois éléments réunis ! Les sangliers sont incroyablement bien protégés contre le froid grâce à leur épais sous-poil et leur couche de graisse. Ainsi, se baigner alors que les températures avoisinent les 0 degré n’est pas du tout un problème pour eux.
Voici une vidéo filmée la semaine dernière en France, alors que les premiers flocons de la saison ont recouvert de nombreux départements. Elle montre une jolie compagnie de sangliers traversant une rivière. Mention spéciale pour la présence de nombreux sangliers de belle taille.
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Train Caen Paris retenu 10 heures par tempête et sangliers

Train Caen-Paris : Un Trajet de 10 Heures Perturbé par des Sangliers
TRANSPORT – C’était une nuit de cauchemar pour les passagers du train 3348 reliant Caen à Paris, qui, au lieu d’arriver à 21h26 comme prévu le dimanche soir, n’a atteint sa destination qu’à 5 heures le lundi matin suivant. Entre tempête et sangliers, les mésaventures se sont enchaînées.
Tempête Bert et Branches sur les Voies
Le périple a commencé vers 20h30 à Romilly-la-Puthenaye, dans l’Eure, où des vents violents de la tempête Bert ont fait tomber plus d’une quinzaine d’arbres et de branches sur les voies et les caténaires. La chute de ces branches a entraîné une coupure d’électricité, immobilisant le train. Grâce aux vaillants efforts des agents de SNCF Réseau, le dégagement des branches et la rétablissement de l’alimentation électrique ont été enfin réalisés vers 23h30.
Quand les Sangliers S’invitent
Ce premier contretemps ne fut que le début. Après trois heures de retard, le train a redémarré, mais la malchance n’était pas terminée. À hauteur de Conches, le train a heurté quatre sangliers, endommageant la rame au point qu’elle ne pouvait plus repartir. SNCF Réseau et les pompiers ont été à nouveau mobilisés, mais la rame endommagée a nécessité l’organisation du transfert des passagers dans un autre train, occasionnant un nouveau retard.
Retards en Cascade sur Plusieurs Trains
Ce chaos ferroviaire ne s’est pas limité au seul train 3348. Ce dernier incident a eu un impact sur cinq autres trains sur cette même ligne, certains, comme la gare d’Évreux, ont dû passer la nuit sur les rails. Les voyageurs bloqués ont dû se contenter de coffrets repas distribués bien tard dans la nuit, certains n’étant servis qu’à 2h du matin. Une passagère a déploré au micro de BFM-RMC que « la moitié des wagons n’ont pas été ravitaillés en nourriture et en eau ».
Conditions de Voyage Désastreuses
Elyas, un autre utilisateur frustré, a décrit la situation sur RMC : « La moitié des toilettes étaient bouchées, on ne pouvait pas avoir d’eau, il y a eu des coupures d’électricité… ». Face à cette série noire, la SNCF a promis une compensation généreuse, offrant un dédommagement de 200 % du prix du billet à tous les usagers concernés.
Prévisions Météo et Impact sur les Transports
Alors que Météo France maintient sept départements en vigilance orange pour « vents violents », la SNCF a décidé d’interrompre certaines lignes dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Dans les Hauts-de-France, les problèmes d’enrayage et de patinage causés par la chute des feuilles mortes sont à l’origine de nombreux autres retards.
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Rédigé par Actuchasse pour Caninstore