Protection des Vignes Bordelaises par un Partenariat avec les Chasseurs

Protection des Vignes Bordelaises contre les Sangliers : Un Partenariat Gagnant
Dans le Bordelais, les sangliers ne sont pas que de simples protagonistes d’un récit de chasse, ils constituent également une menace bien réelle pour les vignes des viticulteurs. Pour le Château Lajarre, une exploitation viticole située à Mouliets-et-Villemartin, cette problématique ne fait pas rire tout le monde, mais elle a mené à un partenariat surprenant : celui entre un médecin devenu viticulteur et les chasseurs locaux.
Un Domaine Chargé d’Histoire
Grégory Lovato, qui a repris le Château Lajarre en 2005, se trouve à la tête d’une propriété au riche passé. Avec 55 hectares, dont 32 dédiés aux vignes, ce lieu est non seulement imprégné d’histoire viticole, mais il offre également des paysages magnifiques, entre vignes en pied de côtes et en coteaux. Les cépages de merlot et cabernet franc imprègnent le vin d’un caractère unique, reflétant l’engagement de Grégory envers une agriculture raisonnée.
Des Sangliers à la Fête sur le Domaine
Malgré cette belle histoire, la faune locale pose de sérieux défis. Les sangliers, cet adorable gibier dont on peut facilement deviner la frénésie à la recherche des baies mûres, ne se contentent pas d’admirer le paysage. Ils se sont donné pour mission de transformer le domaine en véritable buffet à volonté, en défonçant les clôtures pour se faire plaisir aux pieds des vignes. C’est un peu comme si un groupe de joyeux fêtards s’invitait à une réception et renversait les mets savoureux.
Action Concertée pour Limiter les Dégâts
Face à ces incursions, Grégory a su fédérer les compétences de son ami Joël Justo, président de l’association communale de chasse agréée (ACCA). Ensemble, ils organisent trois à quatre battues par saison pour contrôler cette surpopulation de sangliers. Ces actions permettent non seulement de limiter les dégâts, mais offrent également à Grégory l’occasion de savourer, sans mauvaise conscience, une bonne venaison après chaque battue.
En somme, la collaboration entre viticulteurs et chasseurs s’avère être un modèle à suivre. Cela montre qu’avec un peu de créativité et une bonne dose de camaraderie, on peut relever des défis inattendus. Qui aurait cru que les sangliers, souvent associés à la nuisance, pourraient également contribuer à renforcer les liens entre la terre et ceux qui la cultivent ?
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Déclin des petits gibiers en Haute-Vienne

Déclin alarmant des petits gibiers en Haute-Vienne
Une tradition en péril face à la raréfaction des espèces
En Haute-Vienne, au cœur du Limousin, les chasseurs se retrouvent confrontés à une situation préoccupante : le déclin des populations de petits gibiers tels que faisans, perdreaux et lapins de garenne. Autrefois présents en grand nombre dans les campagnes, ces animaux emblématiques se font aujourd’hui de plus en plus rares. Ce phénomène, loin d’être isolé, s’inscrit dans une tendance nationale marquée par la dégradation des habitats naturels, due à l’urbanisation galopante et à l’agriculture intensive.
Les conséquences de ces changements sont dévastatrices pour la biodiversité locale. Comme le souligne Natasha Poirier, directrice adjointe de la Fédération des chasseurs de la Haute-Vienne, la transformation des paysages agricoles a été radicale : “On est passé des petites cultures avec beaucoup de haies et de bocages à une monoculture herbagère.” Cette évolution transforme les paysages, réduisant ainsi les espaces où ces animaux peuvent se cacher et trouver leur nourriture.
Des souvenirs nostalgiques et un avenir incertain
Pour les chasseurs, ce déclin ne se traduit pas seulement par un changement dans la nature, mais aussi par une perte de convivialité et de traditions. Raymond, chasseur de 82 ans, se remémore : “Il y avait des perdreaux, des faisans… et des lapins de garenne, aussi, en quantité. Le paysage était totalement différent. Je regrette, parce que c’était convivial.” Ces souvenirs tragiquement lointains révèlent combien l’environnement a changé, affectant également la relation des chasseurs à leur passion.
Mais la situation n’est pas entièrement désespérée. Les maladies et la destruction de l’habitat ne sont pas les seules menaces auxquelles font face ces espèces. Les chasseurs de Haute-Vienne prennent les choses en main en s’organisant à travers plusieurs associations cynégétiques pour tenter de relancer ces populations.
Des initiatives prometteuses pour la préservation des espèces
A Azat-le-Ris, dans le nord du département, un projet ambitieux a été mis en place par le Groupement d’intérêt cynégétique de la Basse Marche. Chaque année, un millier de faisans sauvages sont relâchés sur un territoire de 10 000 hectares, dans l’espoir de repeupler durablement ces espaces. Les résultats commencent à se faire sentir, avec le recensement de 500 faisans sauvages au printemps dernier. Jean-Paul Lavaud, un fervent défenseur de ces réintroductions, se réjouit : “On a prouvé que ces animaux pouvaient survivre et se reproduire.”
Ces efforts sont cruciaux, et leur succès repose sur le respect de règles strictes, notamment en matière de quotas de tirs. Ce cadre de gestion est indispensable pour permettre à ces espèces de se régénérer. Les chasseurs, loin d’être de simples prédateurs, deviennent ainsi des acteurs clés dans la préservation et la gestion durable de la faune.
Un espoir pour l’avenir
Alors que le déclin du petit gibier en Haute-Vienne suscite des inquiétudes légitimes, les efforts des chasseurs illustrent qu’il est encore possible d’inverser la tendance. En conjuguant gestion rigoureuse et respect de l’environnement, ils portent l’espoir de rendre à la région ses paysages vivants d’antan, où faisans, perdreaux et lapins de garenne pouvaient prospérer.
En conclusion, la solidarité et la détermination des chasseurs de Haute-Vienne sont des atouts précieux pour l’avenir de ces espèces tant appréciées. La lutte pour leur préservations peut sembler difficile, mais il est encore temps de sauvegarder ce patrimoine cynégétique avant qu’il ne disparaisse complètement.
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Nouvelle méthode de comptage des loups en 2025

Entrée en vigueur d’une nouvelle méthode de comptage pour les loups en 2025
L’estimation des populations de loups en France subit une profonde transformation avec l’arrivée d’une nouvelle méthode de comptage qui sera appliquée à partir du 1er janvier 2025. Les débats autour du nombre exact de loups se poursuivent, alimentés par la complexité des chiffres et la diversité des acteurs engagés dans cette question fascinante.
Une méthode simplifiée mais contestée
Jusqu’à présent, le comptage des loups reposait sur deux indicateurs : la méthode du « capture-marquage-recapture » (CMR) et l’« effectif minimal retenu » (EMR). La première, plutôt technique, consiste à recueillir divers indices biologiques, tels que des fèces ou des traces ADN, afin d’évaluer la présence d’individus dans un territoire donné. La seconde se basait sur une estimation des populations observées à la fin de l’hiver par le Réseau Loup-Lynx, croisant les deux méthodes pour obtenir une estimation plus précise.
Avec le nouvel arrêté ministériel, la situation change. À partir de 2025, seul le CMR sera utilisé pour le comptage. Cette décision provoque déjà des remous, en particulier parmi les membres du Groupe National Loup (GNR), certains choisissant de boycotter les réunions sur ce sujet. Que penser de ce changement ? S’agit-il d’un pas vers plus de clarté ou d’une simplification excessive ?
Les avis partagés des acteurs impliqués
Le ministère de l’Environnement défend cette nouvelle approche, la qualifiant de scientifiquement fiable. Toutefois, des critiques émergent. En effet, la finalisation des chiffres selon la méthode CMR peut prendre plusieurs années, laissant les acteurs de la ruralité dans l’incertitude. En attendant, les éleveurs, particulièrement concernés par la sécurité de leurs troupeaux, réclament une réactivité accrue pour pouvoir obtenir des autorisations de tirs rapide en cas d’attaques potentielles.
Le ministère de la Transition écologique s’engage tout de même à fournir un chiffre unique et fiable en fin d’année, avec un intervalle de confiance disponible dans les six mois suivant la collecte des données. Mais pour de nombreux ruraux, cette promesse semble insuffisante face aux réalités du terrain, où les incertitudes peuvent coûter cher.
Une évolution nécessaire mais délicate
Cette nouvelle méthode pourrait bien signifier une simplification bienvenue dans un domaine réputé complexe, mais elle doit également alors compenser par une réactivité et une précision accrues. La conversation autour de la population de loups en France ne fait que commencer, et chacun a son mot à dire. Une question demeure : ce nouvel outil de comptage réussira-t-il à apporter une réponse aux préoccupations des éleveurs tout en tenant compte des impératifs de protection de la faune sauvage ? Seule l’avenir nous le dira.
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Julien Courbet défend un sanglier menacé d’euthanasie

Julien Courbet s’engage pour sauver un sanglier menacé d’euthanasie
La situation inédite d’un sanglier devenu animal de compagnie a récemment attiré l’attention des médias. Dans son émission « Ca peut vous arriver », Julien Courbet a porté le cas de « Rillette », un sanglier visé par des mesures administratives qui prévoient son euthanasie. L’histoire commence avec une jeune femme qui, après avoir recueilli un marcassin errant trouvé près de ses poubelles, a pris soin de lui en respectant les normes sanitaires en vigueur.
Certes, sa démarche était louable : vaccination, stérilisation et respect des réglementations sanitaires étaient au rendez-vous. Mais la loi française interdit strictement la détention d’animaux sauvages sans les certificats appropriés. Saviez-vous qu’à Marseille, nourrir des sangliers peut vous coûter jusqu’à 135 euros d’amende ?
Les autorités, bien que conscientes des efforts de cette jeune femme, soulignent que permettre à une personne de garder un sanglier pourrait ouvrir la voie à d’autres cas similaires, compliquant ainsi la gestion de la faune sauvage. Julien Courbet, avec sa verve habituelle, souhaite secouer les consciences : « Je veux que la France entière sache ce qu’il se passe ». Il ne recule devant rien pour interroger les autorités sur la situation de « Rillette ». Que diriez-vous si votre adorable compagnon sur pattes était menacé d’euthanasie ?
La situation soulève des interrogations sur la capacité de certains à exercer des pressions médiatiques au détriment des décisions légales. Alors qu’un homme se bat pour un sanglier qu’il considère comme un membre de sa famille, on ne peut s’empêcher de penser à la complexité des enjeux entre le bien-être animal et les lois qui régissent la faune sauvage. Qui doit avoir le dernier mot, entre le cœur et la loi ?
🐗 Vous tenez à voir l’évolution de cette affaire ? Restez informés et suivez @courbet_julien et son équipe de « Ca Peut Vous Arriver » chaque semaine.
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Coupure de la RN20 pour battue aux sangliers ce jeudi

Coupure de la RN20 : une battue aux sangliers prévue ce jeudi
Ce jeudi 12 décembre, la RN20, reliant Foix à Andorre, va connaître une pause imprévue : une battue administrative aux sangliers et cervidés se déroulera sur ce tronçon entre 10 heures et 12 h 30. Cette opération, orchestrée par les louvetiers et les chasseurs en collaboration avec les services de l’État, vise à réduire le risque d’accidents dus aux traversées d’animaux sur cette route, un problème signalé depuis plusieurs années par les maires et les usagers.
Les communes concernées par cette battue incluent Ferrières, Montgailhard, Saint-Paul-de-Jarrat, Montoulieu, Mercus-Garrabet, Arignac, Bompas et Tarascon-sur-Ariège. De quoi rappeler aux automobilistes que, même sur la route, la faune sauvage n’a pas la même notion des horaires que nous. Donc, attention avant d’accélérer, ils pourraient bien faire un passage surprise !
Déviations mises en place pour la sécurité de tous
Pour garantir la sécurité des usagers, la circulation sur la RN20 sera totalement fermée entre 9 heures et 14 heures. Des déviations seront mises en place. La préfecture a précisé que dans le sens Toulouse-Andorre, la route sera fermée entre l’échangeur 10 et le giratoire de Tarascon-sur-Ariège, avec un itinéraire alternatif passant par les RD919, RD117 et RD618.
Dans le sens inverse, Andorre-Toulouse, la fermeture se situera entre le giratoire de Tarascon-sur-Ariège et l’échangeur 11. Les véhicules légers et les poids lourds inférieurs à 3,5 tonnes devront emprunter les RD618 et RD117, tandis que les poids lourds supérieurs à 3,5 tonnes utiliseront les RD117, RD625 et RD119, via Lavelanet, Mirepoix et Pamiers.
Les services de l’État rappellent aux automobilistes que le respect des limitations de vitesse sur les axes de déviation est une condition sine qua non pour garantir la sécurité de tous. En somme, pas de vitesse, pas de fiesta, surtout quand des sangliers sont de la partie, même s’ils ne sont pas du genre à faire la fête !
Pour plus d’informations pratiques sur la sécurité et les activités de chasse, rendez-vous sur notre site : Caninstore.
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Generosite des chasseurs pour la Banque alimentaire du Gard

Générosité des chasseurs : 100 faisans et 150 terrines pour la Banque alimentaire du Gard
Dans un élan de solidarité fort apprécié, des chasseurs du Gard ont récemment fait don de 100 faisans et de 150 terrines à la Banque alimentaire. Cet acte généreux s’inscrit dans une tradition bien ancrée chez les passionnés de la chasse, qui, à l’approche des fêtes de fin d’année, souhaitent apporter un peu de réconfort aux personnes en difficulté.
Une action qui fait plaisir
Les chasseurs, accompagnés par Interprochasse, ont mobilisé leurs efforts pour offrir une centaine de faisans, accompagnés de 150 terrines préparées à partir du même gibier. Ces dons arrivent à point nommé, apportant une touche de festivité au menu des bénéficiaires qui, pour certains, n’ont jamais eu l’occasion de goûter à cette viande réputée. Un vrai plus pour ceux qui souvent manquent d’aliments riches et variés dans leur alimentation quotidienne!
Un soutien bienvenu pour la Banque alimentaire
La Banque alimentaire du Gard a été agréablement surprise par cette initiative. En plus des dons des chasseurs, la mobilisation générale des donateurs a permis de soutenir l’association, récemment frappée par un incendie ayant détruit six de ses camions, entraînant un préjudice de moitié million d’euros. Malgré cette épreuve, la solidarité des donateurs montre que l’union fait vraiment la force et offre une lueur d’espoir pour les bénévoles déterminés à continuer leur mission.
Une cause qui mérite d’être célébrée
Les défis peuvent être nombreux, mais l’esprit de solidarité demeure intact. Ce type de don, bien plus qu’un simple cadeau alimentaire, apporte un véritable sens de communauté, et rappelle que la chasse peut aussi participer à des causes nobles. Alors, que votre prochain plat soit à base de faisan ou non, n’oublions pas d’applaudir ces initiatives qui renforcent les liens humains, surtout à l’approche des fêtes.
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Bilan controversé de la population de loups en France

La bataille des chiffres : quel est vraiment l’état de la population de loups en France ?
Les loups font couler beaucoup d’encre en France, notamment avec les chiffres fournis par l’Office français de la biodiversité, qui suggèrent une augmentation de leur population. Mais ces données sont loin de faire l’unanimité, notamment parmi les associations de protection des animaux, qui parlent de véritables guerres de chiffres.
Une population lupine en expansion
Selon les données officielles, la population de loups en France atteint un total estimé à 1.200 individus, y compris 800 spécimens dans la Région Sud, avec des concentrations notables dans les Alpes-Maritimes et le Var. Le nombre de meutes a également été constaté en hausse : 24 dans le Var, 15 dans les Alpes-Maritimes, et d’autres réparties sur plusieurs départements. D’une population de seulement 0 à 200 loups en l’an 2000, on passerait donc progressivement à 1.200 en 2023, comme l’a précisé la Région Sud.
Des méthodes de suivi spécifiques
Le suivi des loups en France repose sur des méthodes indirectes, comme l’analyse des excréments ou les traces laissées par ces animaux dans leur habitat. L’Office français de la biodiversité a mis en place un suivi permanent depuis 1992, date de la première détection de l’espèce dans le parc du Mercantour. Bien que les loups soient des créatures discrètes, leur présence sur le territoire est de plus en plus difficile à ignorer.
Des estimations controversées
Pourtant, les chiffres officiels ne sont pas sans controverse. Des organisations telles que le WWF avancent que la population serait en baisse, avec une diminution de 9 % de 2022 à 2023. Ils pointent du doigt les destructions autorisées par l’État, qui pourraient compromettre la viabilité de la population lupine française. En effet, les scientifiques du Muséum d’histoire naturelle ont déjà alerté sur les effets négatifs d’un taux de destruction trop élevé, mais ces mises en garde n’ont pas été prises en compte par les autorités.
Conclusion : vers un avenir incertain pour le loup en France
La situation du loup en France soulève de nombreuses questions, entre préoccupations des éleveurs et défense de la biodiversité. Les débats autour de la protection de cette espèce emblématique se poursuivent, entre réalités scientifiques et opinions politiques. Reste à espérer que ces millions de chiffres ne resteront pas que des mots, mais trouveront un écho dans des actions concrètes.
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Un brocard filmé par un drone en pleine nature

Un brocard filmé en pleine nature grâce à un drone
La beauté de la nature ne cesse de nous émerveiller, et pour ceux d’entre nous qui s’intéressent à l’observation de la faune, les nouvelles technologies sont de véritables alliées. Les drones, en particulier, offrent une vue aérienne inédite, permettant de capturer des images d’animaux dans leur habitat naturel sans les déranger.
Une rencontre inattendue au cœur des champs
Dans une vidéo récente, un drone a surpris un magnifique brocard accompagné de ses congénères, paisiblement installé dans un champ. Pendant ce temps, un tracteur s’affairait un peu plus loin, presque comme s’il était un acteur secondaire dans ce tableau vivant. Les drones s’imposent ainsi comme un outil idéal pour les passionnés de chasse et de nature, révélant des scènes que l’œil humain aurait du mal à apercevoir.
La magie des drones au service de l’observation
L’utilisation de drones pour observer la faune sauvage représente un tournant dans la manière dont nous explorons l’environnement. Ils permettent non seulement de minimaliser notre impact sur les animaux, mais offrent également des perspectives visuelles fascinantes. Ces appareils sont tout aussi discrets qu’un chasseur aguerri, mais avec une technologie de pointe à leur disposition.
Un rendez-vous avec la nature
La rencontre entre le brocard et les champs cultivés est une parfaite illustration de l’harmonie qui peut exister entre la nature et l’agriculture. Et qui sait, la prochaine fois que vous serez en pleine campagne, peut-être aurez-vous la chance d’apercevoir un spectacle aussi captivant ! En attendant, pourquoi ne pas envisager d’explorer votre propre environnement avec un drone et découvrir les merveilles de la faune ?
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Chasseur primé pour son civet de sanglier à Varces-Allières-et-Risset

Un chasseur récompensé pour son civet de sanglier à Varces-Allières-et-Risset
Alain Bernard, lauréat du championnat de France amateur de civet de sanglier
À Varces-Allières-et-Risset, Alain Bernard a fait forte impression en remportant la médaille d’or lors du premier championnat de France amateur de civet de sanglier, événement organisé par un célèbre magazine spécialisé. Ce Claixois de 77 ans, passionné de chasse, concourt avec une recette transmise par son arrière-grand-mère et qui a su séduire un jury de 16 personnes.
Alain, qui se définit comme un « jeune » chasseur de sanglier depuis huit ans, considère sa pratique comme un service public, participant à la régulation du gibier. Pour lui, la connaissance de la nature et le respect des animaux sont les piliers d’un vrai chasseur. Originaire de Réaumont, ses passions s’étendent à la randonnée et à la pêche, ce qui témoigne d’un profond amour pour la nature.
« Cette recette a plus de 150 ans », se réjouit Alain, fier de ses racines et de son savoir-faire culinaire. Le civet de sanglier, bien plus qu’un plat, est pour lui un hommage à ses ancêtres et à la tradition gastronomique locale.
En somme, la victoire d’Alain Bernard est non seulement un exploit culinaire, mais également une célébration de l’héritage et de l’éthique de chasse, des éléments qui façonnent la culture de la chasse en France.
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La chasse à Andilly et son engagement pour la sécurité

La chasse à Andilly : un engagement envers la sécurité
À Andilly, la chasse ne se résume pas à une simple sortie en forêt. Elle est rythmée par un ensemble de règles de sécurité strictes qui garantissent la protection de tous les participants. Dès l’aube, les membres de l’ACCA (Association de Chasse et de Conservation) se rassemblent dans leur quartier général, prêts à se lancer dans cette activité traditionnelle.
Rituels et préparation avant la battue
Avant de chausser les bottes et d’attraper le fusil, la sécurité est au cœur des préoccupations. Le responsable de la chasse rappelle avec sérieux l’importance de respecter les angles de tir et d’installer les panneaux « chasse en cours » sur les différents chemins. Il semble que, dans ce monde, on ne rigole pas avec les consignes de sécurité ! Mais qui pourrait blâmer ces passionnés qui souhaitent chasser tout en préservant l’intégrité de leurs collègues et des promeneurs ?
En parallèle, la meute de chiens, animée d’une excitation palpable, se prépare pour le grand moment. Ces compagnons à quatre pattes sont essentiels pour une battue réussie, et leur enthousiasme est tout à fait contagieux. Chaque rencontre sur le terrain est une répétition qui se produit toutes les trois semaines, un vrai rendez-vous pour les amoureux de la nature et de la chasse.
L’importance des règles de sécurité
Il est indéniable que la chasse, tant appréciée dans notre culture, nécessite une attention particulière en matière de sécurité. Les accidents peuvent survenir en un clin d’œil, et c’est pourquoi les chasseurs doivent être à la fois vigilants et bien informés. Rappeler constamment ces principes de prudence permet de conserver un environnement sûr et agréable pour tous.
Qu’il s’agisse de s’assurer que l’on tire uniquement dans des zones sécurisées ou de vérifier que chaque membre du groupe est bien informé, ces pratiques réduisent considérablement les risques pendant la battue.
Avec le chant des oiseaux en toile de fond et la promesse d’une journée enrichissante en pleine nature, les chasseurs d’Andilly continuent de perpétuer cette tradition, armés de leurs fusils, de leur passion, et surtout, de leur engagement envers la sécurité. Car après tout, qui voudrait se retrouver sur un plateau télé avec un titre du genre « Chasseur malheureux, blessé par un tir ami » ?
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