Transport du sanglier défis et solutions

Quand le transport du sanglier devient un véritable casse-tête
La chasse au sanglier, une activité exaltante pour de nombreux passionnés, s’accompagne souvent de défis logistiques, surtout quand il s’agit de ramener le gibier à la maison. Même si le décompte des sangliers prélevés continue d’augmenter, il y a encore beaucoup à dire sur la gestion de la venaison qui suit la chasse. Avant de pouvoir déguster un succulent pâté de sanglier lors d’un repas dominical en famille, il y a plusieurs étapes à franchir.
Tout commence juste après le tir : transporter le gibier jusqu’au local est une tâche qui requiert un minimum d’organisation. Une fois la venaison choisie, il faut procéder au partage entre les chasseurs et les traqueurs avant d’envisager le trajet retour à domicile. Et là, l’histoire devient palpitante ! Même si certains chasseurs ont une méthode bien rodée pour ce transport, il existe des pratiques qui peuvent parfois surprendre, notamment en visionnant certaines vidéos venues des pays de l’Est. Dans l’une d’elles, un sanglier est simplement attaché sur un pneu avec quelques sangles, et voilà, le tour est joué !
Dans le contexte français, les réactions auprès de ceux qui ont assisté à cette scène pourraient être variées, et sans nul doute, cela susciterait des commentaires. Quoi qu’il en soit, ce genre de situation nous rappelle les aspects amusants et parfois inattendus du monde de la chasse. Alors, la prochaine fois que vous vous retrouverez en compagnie de vos camarades chasseurs, n’oubliez pas de discuter des meilleures astuces pour transporter ce bon vieux sanglier !
Pour toutes vos questions sur la chasse, les méthodes, et la venaison, n’hésitez pas à consulter notre site !
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Protection de la faune sauvage sur les routes

Des dispositifs innovants pour protéger la faune sauvage sur la route
Durtal, le 12 février 2025. Le maire de Durtal, Pascal Farion, a assisté à l’installation de déflecteurs réfléchissants, un dispositif anticollision conçu pour dissuader les animaux de traverser les routes, au grand soulagement des automobilistes et des créatures à poils et à plumes.
Une initiative pour la sécurité routière et la préservation de la faune
Dans un effort pour allier protection de la faune sauvage et sécurité routière, le Département de Maine-et-Loire a lancé un projet pilote le long de la RD 323, entre Huillé-Lézigné et Durtal. Ces déflecteurs, qui font réfléchir la lumière des phares des véhicules, ont pour objectif de réduire les collisions fatales entre les véhicules et les animaux.
Un déploiement en phase de test
Le 13 février 2025, une dizaine d’agents du département a procédé à l’installation d’environ une centaine de ces dispositifs lumineux sur deux tronçons de la route. En phase expérimentale, cette initiative vise à évaluer l’efficacité des déflecteurs avant un éventuel déploiement plus large dans d’autres zones à risque, afin de garantir la sécurité de tous sur les routes.
Ces panneaux lumineux pourraient bien devenir les nouveaux alliés des automobilistes en aidant à prévenir des accidents nuisibles tant pour la faune que pour les conducteurs.
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Aventures d’un jeune chasseur alsacien face aux cervidés et sangliers

Cervidés, sangliers et renards : les aventures d’un jeune chasseur alsacien
Dans une récente vidéo sur YouTube, un jeune chasseur alsacien, Robin, nous fait vivre des moments intenses lors de battues au grand gibier. Cet amateur de chasse, déjà vu dans plusieurs de ses exploits, nous entraîne à la découverte de ses territoires de chasse en Alsace. Équipé de sa carabine Sako 85 Carbonlight et d’une lunette Burris, il s’apprête à faire face à des cervidés, des sangliers et même des renards, tout en essayant de tirer le meilleur parti de chaque situation.
Robin est armé d’une carabine chambrée au populaire calibre 30-06 Springfield et utilise des munitions Sako Hammerhead de 180 grains. Avec cet équipement haut de gamme, il compte bien réaliser des prélèvements malgré des conditions de visibilité souvent difficiles. Qui aurait cru que la chasse pouvait se transformer en un véritable parcours du combattant ?
Des rencontres inattendues et des tirs ciblés
Lors de ses premières battues, Robin se voit confronté à quelques chevreuils qui, apparemment plus prudents que prévu, lui échappent. Pas de panique ! Sa patience est récompensée lorsqu’il réussit à abattre un renard par un tir à courte distance, une prouesse qui ne laisse aucune chance à l’animal. Un beau coup pour un jeune chasseur en devenir !
Le lendemain, la chance semble sourire encore à notre chasseur. Dans un milieu particulièrement dense, il réussit à toucher un sanglier mâle d’une soixantaine de kilos. Malgré la distance imposante, Robin fait preuve d’une grande maîtrise technique, mais il faudra un coup de main de son voisin de poste pour achever l’animal. La solidarité entre chasseurs, c’est ça aussi !
Un ultime prélèvement sur une harde de cervidés
Enfin, lors d’une dernière journée de chasse, Robin est témoin du passage d’une petite harde de grands cervidés. Après avoir réussi à tirer un faon à plus de cinquante mètres, il prouve encore une fois que le talent et l’équipement peuvent mener à des résultats. Ces expériences variées illustrent à quel point la chasse peut être imprévisible et excitante.
Pour découvrir ces moments palpitants et plonger dans l’univers de la chasse à travers les yeux de Robin, n’hésitez pas à regarder la vidéo de ses aventures. Elle pourrait bien vous donner l’envie de chausser vos bottes et d’aller à la rencontre de la nature !
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Chasse des loups filmée par un drone thermique

Une surprenante scène de chasse à travers l’œil d’un drone thermique
Une vidéo impressionnante, bien que tragique, dévoile une réalité parfois méconnue de la nature. Grâce aux avancées technologiques, notamment les drones thermiques, les passionnés de chasse et de faune peuvent désormais observer des images fascinantes en temps réel. Ce film met en lumière la stratégie des loups, les redoutables prédateurs, en pleine action contre un sanglier. Alors que certains se demandaient si la force et l’agilité de la proie seraient suffisantes pour échapper à ses poursuivants, la réponse se révèle cruelle, mais typique du règne animal.
La stratégie implacable des loups
Cette vidéo captivante illustre la chasse en meute des loups, démontrant une coordination et une détermination impressionnantes pour capturer leur proie. Au départ, le sanglier semble en mesure de défendre sa vie avec des coups de boutoir puissants, mais environné par plusieurs loups, il doit faire face à une issue inéluctable. Ce spectacle rappelle que même les plus robustes parmi les animaux sauvages ne sont jamais à l’abri. La beauté crue de la nature est souvent teintée de tragédie, une leçon dont certains « écolos de salon » pourraient bénéficier pour mieux comprendre l’écosystème complexe du Canis lupus.
Le rôle des drones thermiques dans la conservation
Les drones thermiques ne sont pas seulement des outils de divertissement pour les chasseurs ; ils jouent également un rôle crucial dans la conservation de la faune. Ils permettent de détecter des animaux en détresse, comme les faons, bien avant qu’ils ne soient victimes des faucheuses de prés. Cette technologie est un complément précieux pour ceux qui œuvrent à la préservation des espèces, tout en apportant une vision unique des interactions naturelles.
Lorsqu’il s’agit de comprendre les dynamiques de la nature, des outils comme le drone thermique ouvrent la voie à de nouvelles perspectives. Cela pose la question : combien d’autres scènes étonnantes demeurent cachées dans nos forêts, attendant d’être découvertes ?
Pour en apprendre davantage sur la faune et la chasse, ainsi que pour découvrir d’autres vidéos fascinantes, rendez-vous sur Caninstore.
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Aveyron Novembre La venaison accessible au grand public

Aveyron : La venaison à la rencontre du grand public
En été 2024, les chasseurs de l’Aveyron ont réussi un véritable tour de force en faisant découvrir la viande de gibier à plus de 5000 personnes. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’opération « Valorisation de la venaison », lancée par le ministère de l’Agriculture et la Fédération nationale des chasseurs, et a convaincu lors de fêtes de village, concerts, randonnées, et même à des rallyes automobiles.
Une opération en plein essor
La Fédération départementale des chasseurs de l’Aveyron (FDC 12) a révélé les résultats de cette opération durant la période estivale. Les chasseurs se sont déplacés sur 18 événements pour proposer des dégustations de venaison, mettant en avant des plats préparés à partir de gibier. Un véritable festin pour les papilles, où la curiosité du grand public a été satisfaite. Qui aurait cru que le gibier séduirait tant de gourmets ?
Un lien entre les chasseurs et la communauté
Au-delà de la simple découverte gustative, cette opération témoigne du rôle essentiel des chasseurs dans la vie rurale. Selon Jean-Pierre Authier, président de la FDC 12, les chasseurs sont des acteurs incontournables de leur territoire, contribuant à l’entretien des chemins et à la restauration des milieux naturels. La différence aujourd’hui ? La mise en avant de leur engagement et de leur savoir-faire à travers ces dégustations. Une belle façon de tordre le cou aux idées reçues sur les chasseurs !
Bravo aux chasseurs de l’Aveyron !
Les efforts des chasseurs aveyronnais pour valoriser la venaison font d’eux des ambassadeurs de la nature. En offrant cette expérience culinaire, ils tissent des liens précieux avec la population locale, mais aussi avec ceux qui n’avaient jamais goûté à ces trésors de la faune. Une véritable connexion entre le monde de la chasse et le grand public, qui mérite d’être saluée.
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Signé : Actuchassse pour Caninstore
Cerf de Virginie blanc émerveille au Wisconsin

Un cerf de Virginie blanc fait sensation
Aux États-Unis, la faune sauvage offre des surprises qui feraient rêver n’importe quel passionné de nature. Parmi ces merveilles, le cerf de Virginie, un cervidé moins robuste que nos cerfs élaphes européens, attire de plus en plus l’attention, notamment lorsque certains d’entre eux arborent une couleur blanche éclatante.
Récemment, un conducteur a eu la chance de croiser un de ces spécimens exceptionnels au bord d’une route dans le Wisconsin. Fasciné, il s’est arrêté pour immortaliser ce moment rare, alors que cet impressionnant cerf de Virginie, échappé d’un bois, traversait tranquillement. Le contraste de son pelage lumineux sur fond de verdure a sans aucun doute conquis le cœur de plus d’un amateur de la nature.
Il est intéressant de noter que ce type de cerf, bien qu’il soit moins imposant en taille que ses homologues européens comme le chevreuil ou l’orignal, continue de captiver l’imagination des observateurs. Ses particularités, non seulement esthétiques mais également comportementales, font de lui un acteur incontournable de la biodiversité locale.
Alors, qui a dit que la taille faisait tout dans le monde animal ? Parfois, il suffit d’une touche de blanc pour faire briller un instant de pure magie en pleine nature.
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Wallaby en liberté à Plumelin curiosité et inquiétude

Le wallaby de Plumelin : un marsupial en liberté suscite curiosité et inquiétude
Depuis deux mois, un wallaby fait les frais d’une véritable course-poursuite à travers la commune de Plumelin. Ce petit marsupial, devenu la coqueluche des habitants, se montre insaisissable et attire toutes les attentions. Les premiers témoignages sont venus de rencontres inattendues, où les témoins, avec un brin d’incrédulité, ont alerté la mairie sur la présence de l’animal. L’un d’eux, tout en affirmant n’avoir consommé aucune substance compromettante, a affirmé avec ferveur : « Je vous jure que j’ai vu un wallaby ! » Une déclaration qui n’a pas manqué d’amuser le maire, mais qui s’est avérée plutôt véridique.
Depuis, le mur d’alerte de la mairie s’est enflammé avec de nombreux biens-fondés : des photos, des vidéos, tout y passe, mais l’animal reste introuvable. « En rentrant d’une réunion un soir, je l’ai aperçu également en bord de route », raconte le maire, précisant que ces apparitions se multiplient plutôt en fin de journée et durant la nuit.
Un wallaby en pleine nature : entre sécurité et folklore local
Malgré son allure charmante, le wallaby ne peut pas continuer à se faufiler sans restrictions dans la campagne bretonne. Nul doute que sa présence sur les routes représente un risque tant pour lui que pour les automobilistes. Soucieux de la sécurité de tous, le maire a donc sollicité les pompiers. Toutefois, même pour ce service de secours, attraper un wallaby semble relever de l’exploit. En effet, bien que le SDIS du Morbihan dispose d’une unité de secours animaliers, l’intervention sur un animal dit « exotique » ne fait pas partie de leur quotidien.
Dans l’attente d’une solution, trois panneaux ont été installés en bordure des routes pour avertir les conducteurs. Fait étonnant : deux de ces panneaux ont déjà disparu. Un mystère supplémentaire à ajouter à l’étrange aventure de ce wallaby.
D’où vient ce wallaby ?
La question qui demeure est : d’où vient cet intrépide wallaby ? Selon l’Office français de la biodiversité (OFB), plusieurs élevages de wallabies existent dans le Morbihan, certains d’entre eux ne tenant pas forcément de registre. On observe également des particuliers les adoptant comme animaux de compagnie. La vente de ces marsupiaux est légale, à condition qu’ils soient pucés et déclarés. Un potentiel propriétaire négligent risquerait, en cas de fugue, une amende de 750 euros pour avoir introduit l’animal dans un milieu non approprié.
Yves Rousselle, chef d’unité territoriale de l’OFB, rappelle que « ces animaux sont placides, herbivores et peu contraignants », tout en déconseillant formellement de s’en approcher. « C’est un animal sauvage avec des griffes acérées, s’il se débat, les choses pourraient tourner au vinaigre », prévient-il.
Des wallabies en cavale : un phénomène fréquent en France
Ce n’est pas la première fois qu’un wallaby fugue. Des exemples similaires ont été rapportés à Rambouillet, dans la forêt du Gâvre en Loire-Atlantique, ou encore à Saint-Yrieix-la-Perche, témoignant d’une certaine popularité de ces marsupiaux en dehors des circuits traditionnels.
En somme, l’histoire du wallaby de Plumelin illustre à quel point la nature et l’humain peuvent parfois entretenir des rapports pour le moins inattendus. Les habitants guettent le prochain bond de cet imprévisible marsupial, tout en espérant qu’il trouve rapidement sa place – et surtout en toute sécurité – loin des routes.
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Cerf surprenant au bain dans une souille

Un cerf inattendu se rafraîchit à la souille
Les chasseurs d’aujourd’hui ont à leur disposition des outils modernes, tels que les pièges photographiques, qui permettent d’observer la faune sur un territoire donné. Ces appareils sont particulièrement utiles pour surveiller des zones stratégiques comme les coulées et les souilles, où l’on s’attend généralement à croiser quelques sangliers.
Cependant, une surprise de taille attendait un chasseur qui avait placé son piège devant une souille. Plutôt que de capturer le passage habituel des suidés, celui-ci a eu la chance (ou la malchance, selon le point de vue) de filmer un cerf de 10 cors profitant d’un moment de fraîcheur. Voilà un spectacle qui vient rompre la monotonie que l’on pourrait craindre en attendant d’apercevoir des sangliers!
Cette anecdote nous rappelle que la nature peut être imprévisible, et qu’avec un peu de patience et de technologie, des moments inattendus peuvent survenir. Qui aurait cru qu’un cerf, habitué à fouler les sous-bois en toute discrétion, ferait escale à la souille comme un touriste en quête de rafraîchissement ?
La prochaine fois que vous installez un piège photographique, attendez-vous à l’inattendu. Et n’oubliez pas : la nature a ses propres règles de jeu, et elle sait parfois nous surprendre !
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Rejet des demandes de chasse sur les espèces protégées par le Conseil d’État

Rejet des demandes des Fédérations de chasse par le Conseil d’État : un nouveau rebondissement sur les espèces ESOD
Dans une décision récente, le Conseil d’État a mis un coup d’arrêt aux revendications de huit Fédérations de chasse concernant les espèces ESOD (Espèces Soumises à Régime de Protection). Les oppositions entre écologistes et chasseurs continuent de se cristalliser autour de cette question, faisant du sujet un enjeu majeur au sein des zones rurales.
Les espèces ESOD sous le feu des critiques
Le Conseil d’État a décidé de ne pas valider les arguments avancés par les chasseurs, qui avaient fait appel à la suite des modifications d’arrêtés concernant les ESOD. Ces changements avaient été impulsés par des associations écologistes, exerçant ainsi une pression sur les décideurs politiques. Les Fédérations concernées proviennent de départements tels que l’Aube, la Corrèze, l’Eure, la Meurthe-et-Moselle, et la Meuse, avec des demandes spécifiquement liées à la pie, la fouine, et la martre, entre autres.
Des preuves jugées insuffisantes
Selon les juges du Conseil d’État, les éléments fournis par les Fédérations de chasse manquaient de sérieux et de précision. Un extrait de leur décision souligne que « l’animal n’est pas répandu de façon significative dans le département, ni à l’origine d’atteintes considérables aux intérêts protégés ». Une fois de plus, le manque de données tangibles a conduit à un rejet des demandes de régulation.
Les réactions : entre soulagement et préoccupation
La Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) a exprimé sa satisfaction face à cette décision. Bien qu’elle reconnaisse que certaines espèces contribuent à la diminution de la population de divers oiseaux et petits mammifères, elle continue de plaider pour une « cohabitation pacifique » avec ces animaux problématiques. La LPO envisage de contester un arrêté ministériel relatif à ces espèces, remettant en question 145 classements dans 93 départements.
À l’horizon : quel avenir pour la réglementation des ESOD ?
Alors que le débat entre les différentes parties prenantes semble loin d’être résolu, il est essentiel de se rappeler que la gestion des populations animales est un domaine complexe. Avec la LPO qui demande des méthodes non létales et les chasseurs qui insistent sur la nécessité de réguler les populations pour préserver d’autres espèces, l’avenir des espèces ESOD demeure incertain. Les discussions autour de ces édifices législatifs ne manqueront pas de susciter des passions, et c’est sans aucun doute un sujet à suivre de près.
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Accidents de la route dans le Gard entre Saint-Gilles et Bellegarde

Accidents nocturnes dans le Gard : renversement de camion et collision avec un sanglier
Dramatique duo d’accidents sur la D38 entre Saint-Gilles et Bellegarde
Dans une nuit mouvementée du 11 février dans le Gard, deux incidents de la route ont marqué les esprits. Le premier accident s’est produit aux alentours de 4 heures du matin, lorsque qu’un camion, glissant sur une chaussée détrempée par la pluie, a sombré dans un fossé sur la D38 entre Saint-Gilles et Bellegarde.
La gendarmerie de Nîmes est rapidement intervenue pour sécuriser la zone, assurant la régulation du trafic jusqu’à ce que le dépannage du véhicule commence, vers 7 heures, pour s’achever à 8 heures. Heureusement, aucun blessé n’a été signalé dans cet incident, et les dépistages réalisés se sont révélés négatifs.
Mais les mésaventures ne se sont pas arrêtées là. En effet, quelques heures auparavant, vers 20 heures, un autre accident a eu lieu sur le même axe, impliquant cette fois un véhicule ayant percuté un sanglier. Encore une fois, la chance était de mise car aucun blessé n’est à déplorer et les tests de dépistage d’alcool et de stupéfiants se sont avérés négatifs pour le conducteur.
Ces événements rappellent l’importance de rester vigilant sur les routes, surtout en cas de conditions météorologiques difficiles. La prudence est plus que jamais de mise, tant pour les automobilistes que pour la faune locale.
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