Estelle infirmière chasseresse passionnée

Estelle : Infirmière dévouée et chasseresse au grand cœur
Une infirmière qui troque sa blouse pour l’orange fluo
Rencontrez Estelle, une jeune femme du Vaucluse qui jongle avec brio entre son métier d’infirmière à domicile et sa passion pour la chasse au sanglier. Chaque jour, elle prodigue des soins à une population âgée souvent isolée, apportant avec elle une lumière dans leur quotidien. Estelle ne se contente pas d’être une professionnelle attentionnée ; elle tisse également des liens presque familiaux avec ses patients, leur offrant réconfort et bienveillance.
La chasse, un moment de décompression
Après avoir passé la journée à s’occuper de ses « papis et mamies », Estelle a besoin d’évasion. C’est là que la chasse entre en jeu. Dès qu’elle le peut, elle abandonne le blanc de sa blouse pour revêtir l’orange fluo emblématique des traqueurs de sangliers. Accompagnée de ses fidèles chiens, elle part à l’assaut des forêts pour débusquer ces suidés, tout en rechargeant ses batteries aux côtés de ses amis chasseurs. Ces moments lui permettent de se ressourcer et de se vider la tête, offrant un contraste bienvenu avec son travail épuisant mais gratifiant.
Suivez les aventures d’Estelle
Pour découvrir la vie d’Estelle et partager sa passion pour la chasse, n’hésitez pas à suivre son compte Instagram @estellehuntress. Que vous soyez un amateur de chasse ou simplement curieux de voir comment cette jeune femme allie vie professionnelle et loisir, sa page est une véritable source d’inspiration.
La passion d’Estelle pour la chasse illustre parfaitement comment cette activité peut servir de soupape de décompression pour ceux qui travaillent dans des métiers exigeants. Qui aurait cru qu’une infirmière aurait tant de facettes ? La chasse, au-delà d’être un loisir, devient alors un moyen d’équilibrer vie professionnelle et personnelle, tout en participant à un mode de vie traditionnel plein d’histoires à raconter.
Retrouvez plus d’histoires inspirantes comme celle d’Estelle sur Caninstore.
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Journée mondiale des zones humides et engagement des chasseurs

Journée mondiale des zones humides : Les chasseurs mettent les mains dans l’eau!
Mobilisation exceptionnelle des chasseurs pour la préservation des zones humides
Du 1er au 28 février 2025, toute la France se met au parfum des zones humides, ces écosystèmes vitaux souvent méconnus. La Journée mondiale des zones humides (JMZH) rend honneur à ces milieux fragiles tels que mares, étangs et lacs. Pour cette édition, les chasseurs, en collaboration avec leurs fédérations nationales et départementales, prennent un rôle de premier plan en tant que partenaires officiels de cet événement. Au programme, près de 40 animations proposées par les Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) et des Fédérations Départementales des Chasseurs (FDC), sans oublier d’autres acteurs engagés dans la préservation de la nature!
Un véritable festival d’animations autour de la nature
Sur le territoire, plus de 900 animations seront organisées dans le cadre de cette célébration, permettant à chacun d’explorer ou redécouvrir ces zones humides si précieuses. La richesse de cet événement joue avec les connaissances et l’expertise des chasseurs, qui ne se contentent pas d’observer la nature; ils s’activent pour la protéger en organisant des ateliers, des sorties sur le terrain et bien plus encore, souvent en partenariat avec des réserves naturelles et d’autres structures écologiques.
Un enjeu vital pour la biodiversité et le climat
Placée sous le thème « Protéger les zones humides pour notre avenir commun », cette édition de la JMZH n’est pas qu’un simple événement festif. C’est un appel à la prise de conscience collective sur la santé de notre planète. Les zones humides, véritables refuges pour une multitude d’espèces végétales et animales, sont aujourd’hui menacées par le changement climatique, l’artificialisation des sols, et leur surexploitation. À cet égard, les chasseurs se positionnent comme des acteurs essentiels, témoins des évolutions de ces écosystèmes, et s’engagent par des actions concrètes pour maintenir et restaurer ces précieux habitats.
En 2022 seulement, près de 13 000 hectares de zones humides ont été aménagés ou entretenus par les chasseurs, prouvant ainsi leur dévouement et leur savoir-faire dans ce domaine.
Un impact colossal des zones humides sur notre planète
D’après une vidéo partagée sur la page Facebook de la FNC, la chasseresse et influenceuse Cam Chasse Ball-Trap, nous fait découvrir l’importance cruciale des zones humides pour notre planète. Saviez-vous que ces milieux abritent 50% des oiseaux, 33% des végétaux et 100% des amphibiens dans le monde? Malheureusement, 25% des espèces vivant dans ces écosystèmes sont en danger d’extinction, et ces lieux jouent un rôle primordial dans le stockage de 30% du carbone mondial. Voilà pourquoi la préservation des zones humides ne doit pas être une option, mais une priorité! Les chasseurs, avec leurs efforts, sont appelés à jouer un rôle clé dans cette sauvegarde.
Face à ces enjeux écologiques, l’union est nécessaire. Ensemble, engageons-nous pour un avenir où nos zones humides continueront de fleurir et de nourrir la biodiversité.
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Observation de loups noirs en Pologne

Observation rare de loups noirs en Pologne
Un événement atypique dans les forêts polonaises
Lorsqu’on évoque la faune européenne, le loup gris est souvent le premier qui vient à l’esprit. Pourtant, les loups noirs, bien que plus fréquents en Amérique du Nord, restent une rareté sur le vieux continent. Toutefois, début février, une vidéo étonnante a réalisé un exploit ; elle a capturé l’image de deux de ces créatures mystérieuses en train de traverser un ruisseau dans une forêt de Pologne.
Le 4 février 2025, l’équipe scientifique du Wildlife Conservation Fund Poland a révélé cette découverte fascinante, orchestrée par Joanna Toczydłowska, coordinatrice du projet SAVE. Initialement, ces caméras avaient été installées pour observer des castors, mais elles ont plutôt filmé un spectacle inespéré : un loup noir accompagné d’un loup gris, suivi de deux loups noirs et d’un loup gris prenant le même cours d’eau. « C’est vraiment un phénomène inédit », a déclaré la coordinatrice. Ces loups, vraisemblablement frère et sœur et âgés d’environ un an, intriguent la communauté scientifique par leur pelage atypique.
La génétique des loups et l’émergence des pelages noirs
Le pelage noir chez le loup est un sujet de curiosité : il est bien plus courant en Amérique du Nord qu’en Europe, où la diversité génétique des populations est relativement faible. Les scientifiques suggèrent que cette particularité pourrait être le résultat d’une mutation génétique datant de plusieurs milliers d’années, d’abord observée chez le chien domestique avant d’être réintroduite chez les loups sauvages. En Pologne, la population de loups est estimée entre 2 500 et 3 000 individus, la plupart arborant un pelage gris, parfois teinté de rouge ou de noir. Cependant, un pelage entièrement noir reste un fait exceptionnel.
Protection et préservation : un enjeu crucial
Les chercheurs entendent approfondir leurs études sur ces loups noirs, notamment en collectant des échantillons pour analyser leur ADN. Toutefois, pour des raisons de sécurité, l’emplacement exact de leur observation demeure secret, protégeant ainsi ces animaux des dangers du braconnage. Il est important de rappeler qu’après un déclin dramatique dans les années 1950, la population de loups en Pologne a commencé à se rétablir au début des années 2000, mais pas sans défis : conflits avec les éleveurs et braconnage représentent de réels dangers pour leur survie.
L’observation de ces deux loups noirs en Pologne n’est pas seulement un événement à caractère scientifique, mais soulève aussi des questions sur la conservation de l’espèce et la préservation de la biodiversité en Europe. Cette découverte pourrait ouvrir une nouvelle page sur l’évolution du loup, ajoutant un chapitre intrigant à l’histoire de ces majestueux prédateurs.
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Restaurer les mares en Occitanie par les chasseurs

Des efforts remarquables des chasseurs pour restaurer les mares en Occitanie
En 2024, la Fédération Régionale des chasseurs d’Occitanie (FRCO) a mis en œuvre des actions significatives dans le cadre du projet MILEOC, dédié à la restauration des Milieux Lentiques, soit les eaux douces à circulation lente ou nulle. Ces efforts, loin d’être de simples promesses, ont mené à la préservation et à la remise en état de plusieurs mares dégradées à travers la région.
Des résultats concrets pour la biodiversité
Dans une dynamique encourageante, 270 mares ont été recensées dans divers départements tels que l’Aude, l’Aveyron, le Gard, la Haute-Garonne, le Gers, le Lot, les Hautes-Pyrénées, le Tarn et le Tarn-et-Garonne. De plus, 60 mares ont été restaurées par les chasseurs, prouvant ainsi leur détermination à agir pour la biodiversité. Ces actions s’appuient sur un processus rigoureux, incluant recensement, diagnostic écologique et travaux nécessaires.
Collaboration et plan d’action pour 2025
Le 10 décembre 2024, un comité technique s’est tenu avec les fédérations départementales de la FRCO. Ce rassemblement a permis de partager expériences et bonnes pratiques, centrées sur l’animation auprès des propriétaires de terrains, la valorisation des données écologiques et l’adaptation des démarches aux enjeux locaux. Pour 2025, les chasseurs d’Occitanie visent à intensifier ces efforts, soutenus par le programme Trame Verte et Bleue, ainsi que par des financements provenant des Fonds Européens de Développement Régional (FEDER), de la Région Occitanie, et de l’Agence de l’Eau Adour-Garonne et Rhône-Méditerranée Corse.
Les chasseurs d’Occitanie illustrent par leurs actions un engagement exemplaire envers la préservation des milieux lentiques et, par extension, de la biodiversité tout entière.
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Chasseurs et biodiversité au cœur des actions du CESE

Les chasseurs et leur contribution à la biodiversité mise en lumière par le CESE
Le 6 novembre 2024, la commission de l’environnement du Conseil Économique Social et Environnemental (CESE) s’est rendue sur le terrain, en Seine-Maritime, pour constater l’action significative des chasseurs en faveur de la biodiversité. Cette visite, destinée à éclairer le gouvernement et les parlementaires sur la restauration des écosystèmes, a inclus des sites écologiques restaurés tels que marais et tourbières, situés à Mesnil-sous-Jumièges et Forges-les-Eaux.
Une journée sur le terrain avec les acteurs de la biodiversité
Lors de cette journée, la commission a eu l’opportunité de rencontrer un large éventail de parties prenantes, notamment des élus locaux, des membres de la Fédération départementale des chasseurs de Seine-Maritime (FDC 76), des représentants de l’Office français de la biodiversité (OFB) en Normandie, ainsi que d’autres acteurs du secteur public et associatif. Ces échanges ont permis de mettre en avant les nombreuses initiatives qui témoignent de l’implication des chasseurs dans la préservation et la restauration des milieux naturels.
Les chasseurs, des acteurs essentiels de la biodiversité
« Les chasseurs, acteurs majeurs des projets en faveur de la biodiversité », a affirmé Sylvain Boucherand, Président de la commission Environnement du CESE. En observant les efforts de ces derniers sur le terrain, il a été possible de mesurer l’ampleur de leur engagement. Les restaurations d’écosystèmes réalisées avec leur participation sont des exemples concrets de leur contribution en matière de biodiversité.
Des initiatives inspirantes et réussies
Les projets observés durant cette visite montrent que les chasseurs ne se contentent pas d’exercer leur passion; ils s’impliquent activement dans des actions bénéfiques pour l’environnement. Il est donc essentiel de reconnaître leur rôle dans la lutte contre la dégradation des écosystèmes et de promouvoir ces initiatives qui contribuent à la richesse de notre biodiversité.
Pour en savoir plus sur les actions menées et découvrir des exemples inspirants, n’hésitez pas à visiter notre site internet Caninstore.
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La chasse en France appel à une pause durant les vacances et week-ends

La chasse en France : Un appel à la pause pendant les vacances et les week-ends
Selon un récent sondage, il semblerait que les Français aient très envie de voir la chasse faire une pause bien méritée. Effectivement, une majorité significative des répondants exprime son souhait pour une suspension de cette pratique pendant les vacances scolaires et les week-ends.
Le souhait d’une interruption de la chasse
Les résultats du baromètre annuel révèlent que 81 % des Français souhaitent que la chasse soit suspendue pendant les vacances scolaires, une augmentation par rapport aux 77 % observés en 2023. De plus, 79 % des sondés veulent que les week-ends et jours fériés deviennent des journées exclusivement exemptes de chasse. À quand une fin de semaine paisible en forêt sans les tirs de fusils ?
Des préoccupations concernant le bien-être animal
Les craintes concernant le bien-être des animaux sauvages sont également présentes, puisque 50 % des Français estiment que ce dernier n’est pas assuré. Ce malaise grandissant se traduit par un soutien majoritaire en faveur de l’interdiction de la chasse à courre, avec 76 % de personnes favorables à cette idée. La question se pose : la chasse peut-elle vraiment coexister avec la préservation de la faune ?
Les accidents de chasse : un point préoccupant
La chasse n’est pas seulement un sujet théorique ; elle a des conséquences réelles, comme le démontrent les incidents fréquents relayés par les médias. L’un des faits tragiques les plus récents concerne un chasseur tué par balle lors d’une battue à Selonnet, dans les Alpes-de-Haute-Provence, le 22 décembre dernier. Cela soulève une question cruciale : la sécurité des participants et du public est-elle suffisamment protégée dans le cadre des activités de chasse ?
Face à cette cascade de préoccupations et d’accidents, le dialogue sur la régulation de la chasse en France semble plus que jamais pertinent. Espérons que les voix des Français trouveront écho auprès des législateurs pour établir un équilibre satisfaisant entre la pratique de la chasse et la protection du bien-être animal.
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Techniques de chasse du renard roux

Les techniques de chasse du renard roux
Un prédateur malicieux et ingénieux
Le renard roux, souvent considéré comme le roi de la ruse, utilise son intelligence pour chasser ses proies avec une remarquable adaptabilité. Équipé d’une ouïe exceptionnelle, il peut détecter le moindre mouvement, même sous la neige ou à travers la végétation dense. Ses oreilles, délicatement mobiles, lui permettent de localiser avec précision l’origine des sons, tandis que sa vue aiguisée lui offre un atout pour évaluer les distances lors de ses approches furtives. Le crépuscule et l’aube sont ses heures de prédilection, profitant de la vigilance réduite de ses proies à ces moments-là. Qui aurait cru que le renard pouvait être un tel champion du camouflage nocturne ?
Le mulotage : la technique phare du renard roux
Parmi ses nombreuses stratégies, le mulotage se démarque en tant que favori du renard roux. Cette méthode consiste à détecter un rongeur, à se figer puis à bondir avec précision pour l’attraper. Ce saut majestueux, dont il devient maître dès son jeune âge par observation, est particulièrement redoutable dans un environnement enneigé ou lorsqu’il est camouflé par une végétation épaisse. Mais ne vous y trompez pas, notre ami roux n’est pas que sauteur ; il sait également poursuivre des proies telles que les lapins ou les oiseaux avec une vitesse impressionnante, variant sa technique selon le terrain. Qui a dit que le renard n’avait pas plusieurs cordes à son arc ?
Polyvalence, le maître mot de son adaptation
Un autre point fort du renard roux est sa capacité d’adaptation. En fonction de son environnement, il modifie ses méthodes de chasse : dans les zones enneigées, il privilégie le mulotage, tandis que dans les forêts, il opte pour la technique de l’affût. Dans les villes, il se transforme en opportuniste, fouillant les poubelles à la recherche d’un repas. Avec cette capacité à se rendre invisible même dans les rues animées, il a su tirer son épingle du jeu dans des habitats variés, devenant parfois un spectacle habituel pour les citadins.
Une diversité de techniques à travers le monde
Il existe une multitude d’espèces de renards, chacune avec ses propres techniques de chasse. Par exemple, le renard polaire est un expert dans la capture des lemmings sous la neige, tandis que son cousin des steppes, moins agile mais bien plus endurant, préfère chasser en petits groupes pour optimiser ses chances de succès. De l’autre côté de l’Atlantique, le renard gris utilise ses talents d’escalade pour chasser des oiseaux ou repérer des œufs. Cette variété de comportements de chasse souligne non seulement la richesse de la famille des renards, mais aussi leur extraordinaire adaptabilité face aux challenges de la vie sauvage.
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Accroissement de la population de sangliers à Dinan

Un accroissement préoccupant de la population de sangliers à Dinan
Dépôts de traces au cœur de la ville bretonne
La charmante ville de Dinan, en Côtes-d’Armor, fait face à un phénomène inattendu : une augmentation significative de la population de sangliers. En ce début d’année 2025, ces mammifères ont été mis en cause dans plusieurs dégradations sur des sites emblématiques, notamment aux Cordiers et au parc du Connétable.
Les traces laissées par ces animaux sauvages sont bien visibles et témoignent de leur passage insouciant à travers ces espaces publics. Les habitant(e)s, tout en s’interrogeant sur les raisons de cette affluence, constatent les dégâts causés. Mais que se passe-t-il réellement dans cette ville paisible ? Il semblerait que les sangliers ne soient pas seulement en quête d’aventures nocturnes, mais qu’ils cherchent également leur place dans un environnement de plus en plus urbanisé.
Quelles solutions pour gérer la situation ?
Face à cette situation, la municipalité de Dinan pourrait envisager diverses stratégies. Une gestion proactive de la population de sangliers pourrait nécessiter une évaluation de leur impact sur les écosystèmes locaux et sur la sécurité des citoyens. Des mesures de prévention, telles que des campagnes d’information à destination des usagers des lieux publics, pourraient également être mises en place.
En somme, la cohabitation entre la faune sauvage et les environnements urbains exige une attention particulière et des adaptations de la part de chacun. Qui sait, peut-être qu’un jour, les sangliers deviendront les nouveaux ambassadeurs de Dinan, profitant des jardins tout en laissant derrière eux des histoires à raconter.
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Plan de Réintroduction des Faisans dans le Calvados

Un Plan Audacieux pour Soutenir les Populations de Faisans dans le Calvados
Un Projet de Réintroduction Majeur
La Fédération des chasseurs du Calvados lance un projet ambitieux pour revitaliser les populations de faisans, un petit gibier emblématique en péril. Depuis plusieurs années, divers changements environnementaux ont mis à mal les effectifs de ce gallinacé, autrefois cher aux chasseurs français. Avec la pratique de la chasse au petit gibier qui perd du terrain, les efforts de réintroduction deviennent essentiels pour soutenir cette espèce.
Le Faisan, un Gibier Précieux
Le faisan, tout comme la perdrix, occupe une place de choix dans le cœur des chasseurs. Cependant, il a récemment fait face à une multitude de défis, notamment les changements de cultures, le réchauffement climatique, l’arrachage des haies et l’augmentation des prédateurs. Tout cela a contribué à réduire les populations de faisans dans les zones rurales françaises.
Des Efforts Collectifs pour un Résultat Durable
Lorsque des associations s’unissent pour travailler sérieusement sur un territoire, elles constatent souvent des résultats tangibles. Les populations de faisans peuvent ainsi recommencer à prospérer. La Fédération des chasseurs du Calvados a donc décidé de prendre les choses en main en mettant en place un plan de réintroduction de 14 000 faisans dans le département. Mais attention, cela ne peut pas se faire sans la participation active des chasseurs locaux.
Une Mobilisation Nécessaire
Pour garantir la réussite de ce projet, il est demandé aux chasseurs de s’engager et de participer à des initiatives telles que la tenue de volières. Ces volières permettront aux faisans de mieux s’intégrer dans leur nouvel environnement. De plus, il est crucial de préparer le territoire de chasse pour qu’il devienne un habitat accueillant pour ces oiseaux.
La Régulation des Prédateurs : Un Défi à Relever
Un autre challenge majeur est la gestion des prédateurs. Les chasseurs doivent s’impliquer activement dans la régulation des populations de corbeaux, de renards et d’autres espèces qui pourraient nuire aux faisans sur le long terme. C’est un partenariat de terrain qui vise à renouveler l’intérêt pour la chasse au petit gibier tout en redonnant ses lettres de noblesse au faisan sauvage, dont les effectifs sont affectés par une chasse du grand gibier devenue trop prédominante.
En somme, ce projet vise à revitaliser non seulement le faisan, mais aussi l’ensemble de l’écosystème de la chasse au petit gibier dans le Calvados. Qui aurait cru qu’un faisan pouvait susciter autant d’enthousiasme ? La chasse au petit gibier n’a pas encore dit son dernier mot !
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Filière viande de sanglier dans la Manche

Vers une filière de viande de sanglier dans la Manche
Une opportunité à saisir face à la prolifération du sanglier
La Fédération départementale des chasseurs de la Manche envisage le développement d’une filière autour de la viande de sanglier, en réponse à l’augmentation significative de cette espèce dans la région. Alors que la consommation de cette viande se développe progressivement dans plusieurs régions françaises, la Manche se limite encore souvent à sa dégustation lors des repas festifs, principalement dans les familles de chasseurs. Pourtant, avec le sanglier qui envahit les forêts et les zones urbaines, les opportunités pour valoriser cette ressource n’ont jamais été aussi pertinentes.
Des chiffres qui parlent d’eux-mêmes
En effet, comme l’indiquent les derniers rapports, 2 101 sangliers ont été abattus entre janvier 2024 et janvier 2025, et ce nombre ne fait que croître. À l’échelle nationale, plus de 800 000 sangliers sont chassés chaque année. Cela représente un potentiel énorme pour le développement d’une filière locale, qui pourrait à la fois réduire la population de sangliers et encourager les pratiques de consommation de cette viande de gibier, tant prisée pour ses qualités gustatives et nutritionnelles.
Un impact économique à ne pas négliger
Les sangliers ne se font pas que de là en forêt, ils causent également des dégâts considérables dans les cultures agricoles. La Fédération des chasseurs de la Manche a indemnisé les agriculteurs à hauteur de 342 000 euros en 2024-2025, un montant qui souligne l’urgence d’agir. En collaborant étroitement avec les agriculteurs, la Fédération cherche à mettre en place des solutions pour diminuer ces pertes et mieux gérer cette ressource. Hélas, les prélèvements de sangliers ont doublé et la dynamique de reproduction, exacerbée par des conditions climatiques favorables, s’élève à 150 voire 200 %.
Une viande à redécouvrir
David Guérin, directeur de la Fédération, souligne la nécessité d’augmenter la pression de chasse tout en développant de nouvelles pratiques de consommation. Avec des produits comme des saucisses ou des brochettes de sanglier qui émergent sur le marché, la viande de ce gibier se présente comme une alternative savoureuse et saine. Sa réputation ne cesse d’accroître, mais la vraie question reste de savoir comment organiser cette filière efficacement : actuellement, le dépouillement des sangliers est essentiellement une activité privée, mais une commercialisation à plus grande échelle requiert l’intervention de professionnels.
Avec ces perspectives prometteuses, la Manche pourrait bien devenir un acteur important de la venaison en France, alliant tradition de la chasse et gastronomie. Alors, prêts à goûter à la viande de sanglier cet été au barbecue ?
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