Les Forces du Sanglier

Les Forces du Sanglier : Une Créature Extraordinaire
Des caractéristiques physiques impressionnantes
Le sanglier (Sus scrofa) est largement reconnu comme un symbole de puissance et de courage, incarnant une véritable force de la nature. Ce suidé, qui ne manque pas d’impressionner par ses attributs physiques, affiche généralement un poids variant entre 90 et 150 kg pour les mâles adultes, tandis que les laies pèsent autour de 90 à 100 kg. Sa longueur oscille entre 1,10 et 1,80 mètre, lui conférant une stature robuste. Cette musculature lui permet de se défendre et de s’adapter efficacement à divers environnements.
Mais ce n’est pas tout. Le sanglier possède des défenses acérées qui lui permettent non seulement de se défendre, mais aussi de fouiller le sol à la recherche de nourriture. Avec la capacité de courir à des vitesses atteignant jusqu’à 70 km/h, l’impact d’une collision avec cet animal est assurément puissant. On pourrait dire que croiser un sanglier sur sa route, c’est un peu comme avoir un train de marchandises devant soi… à éviter comme la peste !
Adaptabilité hors norme
Au-delà de sa force physique, le sanglier est également doté d’une intelligence remarquable. Cette qualité précieuse lui confère une adaptabilité impressionnante, condition essentielle à sa survie dans divers milieux, allant des forêts denses aux parcs urbains. Le sanglier semble avoir une mémoire infaillible, se souvenant des lieux les plus favorables pour se nourrir, que ce soit dans un champ de maïs ou, étonnamment, dans une poubelle citadine.
En outre, sa nature sociale est fascinante. Les sangliers ont tendance à former des groupes, et la femelle joue un rôle clé en ralliant des membres non apparentés lorsque la structure sociale est perturbée par des prédateurs. Cette capacité d’ajustement assure non seulement leur survie, mais témoigne également de leur résilience face aux défis de la nature.
En somme, la force du sanglier réside dans une combinaison de caractéristiques physiques impressionnantes et d’une intelligence adaptative. Relié à des écosystèmes divers et souvent à la croisée des chemins entre nature et culture, cet animal n’est pas seulement un gibier, mais un véritable emblème de la puissance et de la résilience.
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Aude innovation castors barrages gestion aquatique opinions divergentes

L’Aude et ses barrages inspirés des castors : un projet qui suscite des avis partagés
Dans le département de l’Aude, l’innovation s’invite dans la gestion aquatique avec une méthode peu conventionnelle. Inspirés par les efforts de construction des castors, des acteurs locaux cherchent à restaurer les rivières et cours d’eau. Toutefois, cette initiative soulève des controverses, notamment chez les agriculteurs, qui craignent des conséquences sur leurs terres.
Une formation atypique pour la régénération des cours d’eau
Entre le 22 et le 25 avril 2025, une formation originale a été dispensée à des professionnels du milieu aquatique audois. L’objectif de cette formation ? Apprendre à ériger des barrages de castors ! Les techniques de ces ingénieurs naturels sont ainsi remises à l’honneur dans un effort pour favoriser la régénération des rivières. Cinq ouvrages tests ont vu le jour grâce à la collaboration des syndicats de rivières, de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM), ainsi que de l’Office Français de la Biodiversité (OFB).
Pourtant, l’Aude ne compte pas encore de castors dans ses rivières, tandis que d’autres régions de France abritent plusieurs milliers de ces rongeurs. La situation soulève des débats, et en 2022, une discussion au Sénat a mis en lumière les craintes concernant les inondations potentielles causées par ces barrages sur les terres agricoles. Le ministère de la Transition écologique a rappelé que le castor est une espèce protégée, rendant illégale la destruction de ses constructions. Un « réseau Castor » a été mis en place pour épauler les agriculteurs, bien que les dégât sporadiques sur les cultures ne donnent pas droit à une indemnisation exceptionnelle.
Des barrages de castors, mais à quel prix ?
Certaines craintes demeurent autour de l’expansion de cette espèce et des structures qu’elle édifie. Ailleurs, des voix s’élèvent en faveur de cette initiative, arguant qu’elle pourrait représenter une réelle opportunité. Prenons l’exemple de la République tchèque, où les castors avait permis d’éviter des dépenses considérables à l’État en février 2025. L’agence nationale de conservation de la nature a applaudi la création d’une grande zone humide sur le fleuve Vltava, entièrement façonnée par ces animaux.
Initialement, l’État avait prévu d’ériger un barrage artificiel, dont le coût était estimé à 1,19 million d’euros. Grâce à l’intervention des castors, cette infrastructure naturelle a été réalisée gratuitement, tout en couvrant une surface deux fois plus importante que prévu. Les spécialistes tchèques saluent cette solution naturelle pour son efficacité et ses économies considérables.
Conclusion
Les efforts déployés en Aude pour imiter les castors dans la gestion des rivières soulignent un débat fascinant sur la coexistence entre activités humaines et nature. Si cette approche peut susciter des inquiétudes, elle offre également des perspectives intéressantes sur la restauration des écosystèmes aquatiques. Qui sait ? La solution pour nos rivières pourrait bien se trouver du côté des rongeurs aquatiques.
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Duel entre marcassins dans la nature

Les Lits de la Loi du Plus Fort : Duel entre Marcassins
Dans le monde sauvage, la survie est souvent une question de force. C’est une leçon que les jeunes animaux apprennent dès leur plus tendre enfance. Deux marcassins, en pleine « dispute », s’affrontent dans un échange à la fois drôle et impressionnant, symbole des luttes futures qui les attendent à l’âge adulte. Bien que ce petit duel puisse prêter à sourire, il est évident que ces deux futurs poids lourds de la forêt préparent le terrain pour des confrontations bien plus sérieuses, une fois qu’ils auront atteint leurs cent kilos.
Ce ballet entre camarades, souvent perçu comme un jeu, est en réalité un entraînement crucial. Chaque coup donné, chaque pas mesuré, les prépare à naviguer dans un monde où la loi du plus fort règne et où seules les meilleures techniques de combat assureront leur survie.
Rappelons-nous que même ces moments de légèreté dans la nature ont un but sérieux. Les repas, la reproduction et même la vie elle-même peuvent dépendre de ces interactions initiales. Ces marcassins, à travers leur jeu, s’initient à la compétition qui les attend, illustrant ainsi la beauté et la brutalité de la vie sauvage.
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Chevreuil ivre fait une escapade dans une école du Jura

Un chevreuil en état d’ébriété s’introduit dans une école du Jura
Les comportements insolites du chevreuil éméché
Chaque année, à l’arrivée des beaux jours, les chevreuils de France se lancent dans une véritable course aux bourgeons. Malheureusement, cette gloutonnerie peut parfois avoir des conséquences inattendues, comme en témoigne un incident pour le moins cocasse survenu dans le Jura. Un brocard s’est retrouvé coincé dans la cour de l’école Rockefeller à Dole, le 22 avril dernier, visiblement victime d’une trop grande consommation de verdure.
Ce mardi matin, très tôt, l’animal a fait irruption dans l’enceinte de l’école, juste avant l’arrivée des élèves. C’est le personnel périscolaire qui a découvert ce visiteur inhabituel. Constatant que le chevreuil semblait dans un état peu ordinaire – en d’autres termes, un peu trop joyeux pour un animal sauvage – ils ont rapidement alerté le commissariat de police, dès 6h30 du matin, pour obtenir de l’aide afin d’évacuer le chevreuil en douceur.
Intervention d’urgence des autorités compétentes
La situation était pour le moins délicate : entre le chevreuil rampant le long des murs et les inquiétudes croissantes des observateurs, les forces de l’ordre n’avaient pas d’éthylotests à leur disposition pour tester l’alcoolémie de ce faon. En effet, il n’est pas courant que la police se lance dans un contrôle d’ivresse sur un animal, aussi mal en point soit-il. Finalement, le lieutenant de louveterie a été appelé à la rescousse. Arrivé sur les lieux, il a confirmé que le brocard était bel et bien ivre en raison d’une consommation excessive de bourgeons.
Paniqué par le bruit et l’agitation causés par cette intervention, le chevreuil a effectué des allers-retours nerveux, laissant même craindre qu’il ne se jette à travers une porte vitrée pour s’introduire à l’intérieur des salles de classe. Mais heureusement, grâce aux compétences du lieutenant, le brocard a pu être immobilisé sans encombre.
Un retour à la nature bien mérité
Le brocard a été chargé avec soin dans le véhicule du lieutenant, qui l’a ensuite relâché sain et sauf dans la forêt de Chaux. Cet échange un peu particulier entre le monde animal et humain s’est donc terminé sans incident, évitant de justesse une journée de dégrisement pour notre ami à quatre pattes !
Il est toujours fascinant de constater que même dans des situations délicates, la nature trouve parfois le moyen de nous faire sourire. Qui aurait cru qu’un chevreuil irait faire un tour dans une école pour une petite frénésie végétale ? Et qui sait, peut-être qu’en regardant par la fenêtre, quelques écoliers auraient pu apercevoir un chevreuil finlandais revenant d’une fête un peu trop arrosée !
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Chasse au sanglier en Corse nécessité écologique et tradition culturelle

Chasse au sanglier en Corse : entre tradition ancestrale et nécessité écologique
La chasse au sanglier en Corse transcende le simple acte cynégétique, s’affirmant comme un élément essentiel de l’identité culturelle insulaire tout en répondant à des enjeux écologiques et agricoles pressants. Entre un héritage séculaire et un besoin contemporain, ce rituel soulève des interrogations quant à son rôle dans l’équilibre naturel et social de l’île.
Un héritage culturel profondément enraciné
La chasse au sanglier en Corse est une tradition vibrante, transmise à travers les âges. Réalisée principalement en battue, elle mobilise des groupes de chasseurs accompagnés de chiens, comme le cursinu, fier représentant de la faune canine locale. Ces battues, organisées dans les maquis et montagnes, se révèlent être des instants de convivialité et des démonstrations d’un savoir-faire traditionnel.
Le sanglier occupe une place prépondérante dans la culture corse, apparaissant dans de nombreux récits, chansons et spécialités culinaires. Ainsi, sa chasse échappe à la simple dimension récréative, servant de véritable rite social qui renforce les liens communautaires et maintient une identité insulaire forte. En effet, environ 18 000 chasseurs réguliers, soit 5 % de la population de l’île, témoignent de cette passion, un chiffre largement au-dessus de la moyenne nationale française. La Fédération Départementale des Chasseurs de Haute-Corse émet chaque année près de 8 000 permis, attestant de l’engagement des insulaires envers cette activité.
Une réponse aux défis écologiques et agricoles
En parallèle de cet ancrage culturel, la chasse au sanglier répond à des impératifs écologiques et agricolescruciaux. La population de sangliers explosée ces dernières années cause des ravages sur les cultures, pâturages et infrastructures. Les agriculteurs et éleveurs font face à des pertes conséquentes dues à l’intrusion de ces animaux dans leurs exploitations.
Pour contrer ce problème, les autorités ont ajusté la réglementation afin de gérer plus efficacement la population porcine. En Haute-Corse, la période de chasse a été prolongée jusqu’à fin février pour atténuer les dégâts. Dans des zones particulièrement affectées, comme la Balagne, cette période s’étire jusqu’au 31 mars, concernent des communes telles que Calvi, Calenzana, et Lumio, où les sangliers causent des dommages importants aux cultures comme les vignes. Dans cette dynamique, la chasse devient un instrument de régulation indispensable pour maintenir un équilibre entre le règne animal et les aspirations humaines.
Entre tradition et modernité : un équilibre à préserver
La chasse au sanglier en Corse illustre ainsi le défi de concilier traditions et exigences modernes. Bien qu’elle demeure un pilier de l’identité insulaire, elle doit s’adapter aux enjeux contemporains liés à la biodiversité, l’agriculture, et la sécurité. Cette pratique, encadrée et réfléchie, offre un moyen de préservation des équilibres naturels tout en honorant un patrimoine vivant et dynamique.
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Le retour du Castor d’Europe dans nos rivières

Le castor étend son territoire
Un retour en force du Castor d’Europe dans nos cours d’eau
Le 7 avril, la journée internationale du castor nous rappelle l’importance et le retour spectaculaire de cette espèce emblématique de nos rivières. Le Castor d’Europe (Castor fiber), ce mammifère semi-aquatique, n’est pas seulement reconnu pour ses constructions de barrages, mais aussi pour son impressionnante taille, puisque c’est le plus gros rongeur d’Europe, pesant en moyenne plus de 20 kg et mesurant jusqu’à 1,20 m. Que de bonnes raisons de lui rendre hommage !
Une histoire tumultueuse et un retour de l’espèce
Autrefois omniprésent sur le continent européen et en Asie, le Castor d’Europe a vu son nombre d’individus plongé dans les abîmes à partir du XIIe siècle. La cause ? Une exploitation effrénée de sa fourrure, sa viande délicate et le castoréum, ce produit aromatique prisé en parfumerie et en médecine. Il a également souffert d’une réputation de nuisible, engendrant sa quasi-disparition au début du XXe siècle, où seuls un millier d’individus survivaient, principalement en Allemagne, en Norvège, et dans le delta du Rhône.
Heureusement, des actions de réintroduction ont pris le relais à partir des années 50. Avec l’instauration du statut d’« espèce protégée » en 1968, le Castor d’Europe a retrouvé des rivages, s’étendant désormais sur plus de 18 000 km de cours d’eau et comptant environ 20 000 individus. La colonisation de nouveaux bassins est en cours, offrant de belles perspectives à cet animal fascinant.
L’implication de l’OFB dans la protection du Castor
L’Office Français de la Biodiversité (OFB) a pris les rênes du suivi de cette espèce depuis 1987. Grâce à un réseau de partenaires, allant des associations de protection de la nature aux fédérations de pêche et de chasse, les spécialistes parcourent les milieux aquatiques à la recherche d’indices de la présence de cette espèce. Ces données permettent non seulement de dresser une carte de répartition actualisée, mais aussi d’évaluer la conservation de l’espèce au niveau européen.
Divers enjeux de protection à relever
Malgré un état de conservation jugé favorable en France, plusieurs défis demeurent. La cohabitation entre le Castor et les activités humaines peut parfois s’avérer délicate : coupes d’arbres, inondations de terres cultivées… Par ailleurs, la vigilance s’impose face au risque de croisement avec le castor canadien, une espèce exotique envahissante. Un arrière-plan génétique réduit pourrait également poser problème à la diversité de l’espèce européenne.
Pour relever ces défis, l’OFB, la Société française pour l’étude et la protection des mammifères (SFEPM) et la Société nationale de protection de la nature (SNPN) élaborent actuellement une stratégie nationale autour du Castor d’Europe, centrée sur trois axes : le développement des connaissances, l’intégration dans la gestion des socio-écosystèmes et l’amélioration de la cohabitation avec les humains.
En somme, le retour du castor dans nos écosystèmes aquatiques représente une success story à suivre, mais cela nécessite une vigilance collective et des efforts conjoints pour protéger cette espèce essentielle. Alors, que diriez-vous de faire un petit tour près des rivières pour observer ces bâtisseurs impressionnants ?
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Sanglier exécute un salto spectaculaire après un tir dans le Gers

Un sanglier de 80 kilos en pleine acrobatie au moment du tir dans le Gers
Lors d’une battue au sanglier sur la commune des Termes-d’Armagnac dans le Gers, un chasseur a récemment réalisé un tir exceptionnel qui n’a pas manqué d’impressionner les passionnés de chasse. Le protagoniste de cette extravagante scène? Un sanglier majestueux pesant environ 80 kilos, qui, sous l’effet de l’impact de la balle, exécute un spectaculaire double salto avant.
Une scène à couper le souffle
Dans une courte vidéo qui a fait le tour des réseaux sociaux, nous assistons à une démonstration de précision et de maîtrise. Le sanglier, perçu comme une proie, déboule avec entrain dans la ligne de tir du chasseur, qui semble avoir réussi à choisir l’angle idéal pour un tir net et efficace. La carabine semi-automatique utilisée, chambrée en 7 mm Remington Magnum, montre que le tireur possède des compétences bien aiguisées.
Un spectacle des plus insolites
Suite au tir, le sanglier ne se contente pas de s’effondrer, mais réalise un double salto avant, un moment qui pourrait presque rivaliser avec les performances des athlètes des Jeux Olympiques, si ce n’était pas un animal en détresse ! Ce type d’évènement, bien que rare, rappelle que la chasse est souvent pleine de surprises, et pas seulement les plus sérieuses.
Pour en voir plus
Si vous souhaitez visionner cette vidéo impressionnante et constater par vous-même l’exploit du sanglier, n’hésitez pas à cliquer sur le lien suivant : Spectacle d’acrobaties de sangliers.
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Mortagne-sur-Gironde 62 sangliers chassés par l ASCGE

Mortagne-sur-Gironde : 62 sangliers prélevés par l’ASCGE
L’Association saintongeaise de chasse au gibier d’eau (ASCGE) a récemment tenu son assemblée générale à Saint-Fort-sur-Gironde, où elle a rendu compte de ses activités et de sa gestion financière pour l’année 2024. Cet événement a rassemblé 422 adhérents prêts à défendre leurs territoires de chasse, couvrant une vaste zone entre la forêt de Suzac et le pôle nature de Vitrezay.
Un bilan satisfaisant pour la régulation des sangliers
Au cours de cette saison, l’association a organisé 14 battues et a réussi à prélever 62 sangliers, dont 26 mâles et 36 femelles. Cette régulation est particulièrement importante, étant donné que la population de sangliers avait fortement augmenté pendant la crise sanitaire et les restrictions qui en ont découlé.
Des finances en bonne santé
Mickaël Couzinet, président de l’ASCGE, a également présenté un rapport financier positif, avec des recettes atteignant 63 722,50 € contre des dépenses de 58 510,54 €, permettant de dégager un solde de 5 212,96 €. Ces chiffres reflètent la santé financière de l’association, importante pour continuer à mener à bien ses missions de gestion et de conservation.
L’importance du suivi des prélèvements
Lors de son discours, Couzinet a souligné la nécessité de retourner les carnets de tonne pour un meilleur suivi des oiseaux migrateurs, ainsi que de faire remonter les ailes lues. Ces informations, cruciales pour déterminer le profil demographique des oiseaux prélevés, contribuent à la gestion adaptative des populations de gibier d’eau.
Un partenariat durable avec le Conservatoire du littoral
Enfin, l’assemblée a été l’occasion d’évoquer la reconduction du bail d’occupation avec le Conservatoire du littoral, qui sera signé en 2026. Ce partenariat assure la pérennité des activités de l’ASCGE sur ses zones de chasse, tout en contribuant à la préservation de l’environnement.
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Chute des chasseurs et essor des sangliers

Des chasseurs en déclin, des sangliers en plein essor
Le président de la Fédération départementale des chasseurs du Territoire de Belfort s’inquiète d’une situation alarmante : le nombre de chasseurs tend à diminuer, tandis que celui des sangliers ne cesse de croître. Ce constat préoccupant a été souligné lors de la 97e assemblée générale qui s’est tenue récemment à la Maison pour tous de Danjoutin.
Une assemblée sous tension
Lors de cet événement, de nombreux officiers et passionnés de chasse se sont rassemblés pour écouter le bilan de l’année présenté par Daniel Jacques. Ce dernier n’a pas mâché ses mots : « Le nombre de chasseurs est dangereusement en baisse », a-t-il déclaré. En effet, seulement 38 candidats se sont présentés pour obtenir leur permis de chasser, un chiffre tristement insuffisant pour compenser les départs à la retraite des chasseurs plus âgés.
Des sangliers en fête, des dégâts en hausse
Le paradoxe est saisissant : tandis que la communauté des chasseurs se réduit, la population de sangliers explose. Ces animaux, loin d’être dérangés par la diminution des chasseurs, semblent en pleine forme, comme en témoignent les récents dégâts constatés, notamment à Valdoie l’automne dernier. Ces incidents ont également été abordés lors de l’assemblée, suscitant des préoccupations croissantes parmi les agriculteurs et les riverains.
Vers de nouvelles mesures pour revitaliser la chasse
Face à cette situation, des mesures ont été proposées pour attirer de nouveaux chasseurs. L’une d’entre elles consiste à permettre le règlement de la validation du permis de chasser en trois fois, rendant ainsi l’accès à la chasse plus abordable pour les novices.
Dans un contexte où l’équilibre entre chasseur et gibier est plus que jamais à la une, la Fédération départementale propose une série d’initiatives pour attirer les jeunes et maintenir une chasse responsable.
À la lumière de ces informations, il est crucial de se poser la question : comment l’avenir de la chasse se dessinera-t-il face à cette dualité entre la réduction des chasseurs et l’augmentation des sangliers ?
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Vautours attaquent vache et veau dans les Pyrénées

Scène choc : des vautours attaquent une vache et son veau dans les Pyrénées
Dans une scène pour le moins troublante, un éleveur des Pyrénées-Atlantiques a récemment été témoin d’une attaque brutale menée par des vautours sur une vache en train de vêler. Cette situation, bien que choquante, semble devenir de plus en plus fréquente et soulève des questions sur le rôle réel de ces oiseaux dans l’écosystème.
Des vautours omniprésents
Le récit de Pierre Coumes, l’éleveur en question, est aussi marquant que terrible. En découvrant sa vache agonisante et son veau à peine né, il ne cache pas son dégoût. « La vache vivante, le veau né vivant, bouffés par les vautours. On est bien là ? Impeccable. Et la vache qui bouge encore », décrit-il. Pour lui, ce tableau macabre était inattendu, alors qu’il pensait sa vache à l’abri, à moins de 100 mètres de la ferme. Après avoir été absent entre 30 et 40 minutes pour aller chercher un autre troupeau, il revient pour se heurter à une vision cauchemardesque : près de 200 vautours grouillant autour de ses animaux.
« C’était violent. Je suis arrivé trop tard, je n’ai pu que constater les dégâts », se lamente-t-il. Cette scène n’est malheureusement pas isolée. Des incidents similaires ont été signalés à plusieurs reprises, tant en France qu’en Espagne, où un randonneur a capturé la scène de vautours dévorant une vache vivante en juillet 2024.
Un comportement prédateur sans préjugés
Bien que les vautours soient souvent qualifiés de nécrophages, leur comportement dans ces cas témoigne d’une réalité plus nuancée. Selon les experts, un vautour ne fait pas de distinction nette entre un animal en bonne santé et un autre qui est mourant. Son anatomie, hélas, ne lui permet pas de chasser comme d’autres prédateurs. Au lieu de cela, il se concentre sur les animaux affaiblis, qu’il considère comme des proies à consommer « encore fraîches ». C’est ainsi que la frontière entre la vie et la mort se trouve redéfinie pour ces oiseaux au regard acéré.
Alors, que peut-on tirer de cette situation ? Il est essentiel de sensibiliser les éleveurs et le grand public à ces dynamiques complexes, surtout dans les zones où la cohabitation entre faune sauvage et élevage est de plus en plus fréquente.
Malgré les difficultés, maintenir un équilibre entre la protection des élevages et celle des espèces sauvages est crucial. La gestion des populations de vautours et la mise en place de mesures préventives pourraient être des étapes nécessaires pour éviter de telles atrocités à l’avenir.
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