Chasse aux sangliers dans le Gers des mesures pour protéger les cultures

Chasse aux sangliers : mesures exceptionnelles dans le Gers pour protéger les cultures
Au cœur du département du Gers, les sangliers font des ravages chaque nuit, menaçant les cultures des agriculteurs, tout en suscitant des préoccupations croissantes au sein de la communauté. Face à cette situation, le préfet du Gers a décidé de prendre des mesures temporaires pour limiter les dégâts, particulièrement lors des semis qui se déroulent du 1er avril au 31 mai.
Une surpopulation inquiétante
Chaque année, les agriculteurs du Gers sont confrontés à une problématique majeure : la surpopulation de sangliers qui entraîne des pertes financières considérables. Daniel, agriculteur céréalier à Auch, témoigne des conséquences dévastatrices sur ses récoltes : « L’année dernière, les sangliers m’ont retourné mes pois chiches. Ça m’a coûté à peu près 600 euros l’hectare », avoue-t-il, inquiet pour l’année en cours.
Des mesures allégées pour la chasse
Pour pallier cette situation, le préfet a décidé d’assouplir les règles de chasse pendant la période des semis. Ainsi, les chasseurs peuvent, sur demande, obtenir des autorisations pour des tirs à l’affût et organiser des battues exceptionnelles, même lorsque la chasse est normalement interdite. De plus, les agriculteurs ont la possibilité de faire appel aux lieutenants de louveterie en cas de dommages constatés sur leurs exploitations.
Collaboration entre agriculteurs et louvetiers
Florent Deyris, président des louvetiers du Gers, souligne l’urgence d’agir : « Il reste encore beaucoup de sangliers, il faut qu’on fasse un maximum de travail », explique-t-il. Avec des dégâts estimés à environ 300 000 euros pour l’année, il insiste sur l’importance de travailler ensemble pour contrôler les populations de ces animaux.
Un impact sur la communauté
Mais les soucis ne s’arrêtent pas aux champs. Les particuliers ont eux aussi leur part de désagréments. Jean-Louis Ferres, lieutenant de louveterie dans le secteur d’Auch, indique que la moitié de ses interventions concerne des propriétaires privés. Il évoque des cas de gazons ravagés et de mobilier de jardin endommagé, sans oublier les accidents de la route dus aux collisions avec des sangliers, un problème qui ne fait qu’empirer.
Des inquiétudes au golf d’Auch Embats
Le golf d’Auch Embats est également touché par cette invasion nocturne. Son président, Jacques Dupuy, constate avec regret les dégâts causés sur le parcours, tout en admettant l’impossibilité de clôturer efficacement les lieux. Ainsi, il espère le soutien des lieutenants de louveterie pour limiter ces incursions.
Une chasse nocturne en perspective
Jean-Louis Ferres ne se laisse pas décourager. « Je vais revenir ce soir avec une vingtaine de louvetiers. En général, on peut tirer trois ou quatre sangliers lors de soirées comme celle-là », déclare-t-il avec détermination, évalue les empreintes laissées sur le sol. Les nuits à venir s’annoncent donc particulièrement occupées pour ceux qui veillent à la sécurité des cultures et des usagers.
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Inauguration de la Maison des chasseurs à Lumio

Balagne : Inauguration de la Maison des chasseurs à Lumio
Une initiative communale pour soutenir la régulation du gibier
La société de chasse de Lumio a récemment célébré l’inauguration de sa toute nouvelle Maison des chasseurs, située au lieu-dit Cala Feccia, à proximité de la plage du Matahari. Ce projet ambitieux a été presque entièrement financé par la commune, qui montre ainsi son engagement à favoriser la régulation des populations de sangliers et de lapins.
Les installations comprennent une fosse à chaux destinée aux dépouilles de sangliers, un laboratoire entièrement équipé pour la découpe, ainsi qu’une salle polyvalente munie d’une cuisine, idéale pour les moments de convivialité entre chasseurs. Avec de telles infrastructures, l’équipe de chasse aux sangliers de Lumio bénéficie d’un cadre propice à l’exercice de sa passion.
Cette initiative souligne l’importance de la collaboration entre la commune et les chasseurs pour la gestion des espèces locales et le bien-être des écosystèmes. La Maison des chasseurs n’est pas seulement un lieu de travail, mais aussi un espace de partage et d’échanges, renforçant les liens au sein de la communauté.
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Justice appelle à actions contre algues vertes menaçant sangliers

Marées vertes : la justice demande des actions à l’État face aux dangers pour les sangliers
La découverte d’un sanglier retrouvé sans vie sur la plage de Saint-Brieuc a suscité de nombreuses interrogations et préoccupations parmi les habitants de la région. Cette situation a conduit les autorités à procéder à une autopsie de l’animal afin d’évaluer les causes de sa mort. Les résultats pointent vers un coupable peu glamour : les algues vertes.
Les menaces des algues vertes sur la faune locale
Quand les algues vertes se multiplient, elles provoquent un ensemble de désagréments notables. En saturant l’eau, elles diminuent son oxygène, entraînant la mort de nombreuses espèces aquatiques. Mais ce n’est pas tout : la décomposition de ces algues génère des gaz toxiques, comme le sulfure d’hydrogène, potentiellement mortels pour les humains et les animaux. Résultat, les plages affectées par ces marées vertes deviennent des zones à éviter, ternissant leur réputation et impactant le tourisme local.
La justice au secours de l’environnement
La prolifération des algues vertes est souvent attribuée aux rejets agricoles excessifs et à la surutilisation des nitrates. C’est un problème récurrent que les experts prennent très au sérieux et qui nécessite des interventions concrètes. Récemment, des associations ont eu recours à la justice pour faire entendre leurs voix. Le tribunal de Rennes a ainsi réussi à faire entendre raison à l’État, le sommant d’agir rapidement pour diminuer la pollution des eaux, notamment en ce qui concerne les nitrates d’origine agricole.
Une situation à suivre de près
Alors que les relations entre le gouvernement et le monde agricole sont souvent tendues, la question se pose : des mesures seront-elles réellement mises en place ? Les agriculteurs et leurs pratiques seront-ils enfin adaptés pour protéger la biodiversité locale et, par la même occasion, les sangliers et autres animaux menacés par cette situation ? La réponse est à surveiller de près.
Restez informés sur l’évolution de cette affaire et les actions entreprises pour sauver nos plages et nos animaux. Pour en savoir plus sur la chasse et la nature, n’hésitez pas à visiter Caninstore.
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Fabrication d’un piège à rats économique et efficace

Fabrication d’un piège à rats : économisez tout en gérant les nuisibles !
Créer un piège à rats efficace et économique n’est pas sorcier. Avec juste quelques matériaux simples, vous pourrez dire adieu à ces visiteurs indésirables qui s’invitent chez vous chaque année, que ce soit à cause de l’ensilage, des fortes pluies, ou de la coupe d’herbe.
Matériel requis pour un piège à rats efficace
Pour fabriquer ce piège ingénieux, il vous faudra :
- Un bout de bois
- Un tendeur
- Du fil de fer
- De la ficelle
- Des rayons de vélo
Avec ces éléments, vous n’aurez besoin que de peu de matériel pour un piège redoutable. Qui aurait cru que la chasse aux rats pouvait être aussi simple et économique ?
Comment installer votre piège pour un maximum d’efficacité
Il est essentiel de bien placer votre piège dans des zones stratégiques, comme les passages habituels des rats, les haies ou les bordures de parc. Une fois que votre odeur humaine s’est dissipée, les chances de succès augmentent. L’observation attentive et le choix de l’emplacement sont cruciaux pour optimiser l’efficacité de votre piège.
Alors, êtes-vous prêt à mettre ces conseils en pratique et à prendre le contrôle de l’invasion de rats ?
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Chasseurs aveyronnais sauvent deux daims en détresse

Des chasseurs aveyronnais, héros de deux daims en détresse
Les chasseurs ne sont pas uniquement en quête de gibier lors de leurs sorties en forêt ; ils jouent également un rôle important dans la protection de la faune locale. Récemment, dans l’Aveyron, deux daims ont été secourus d’une mort imminente grâce à l’intervention rapide de ces passionnés de la nature qui ont su agir avec détermination.
Le mardi 18 mars 2025, au cours d’une de ses rondes habituelles, un garde-chasse de l’Association communale de chasse agréée (ACCA) de Boisset-Saint-Priest a repéré deux daims en difficulté près du lieu-dit Fontamalard, proche d’une route départementale. Les animaux s’étaient pris dans des ficelles, probablement celles utilisées pour les balles de foin. Incapables de se libérer, les deux mâles étaient en danger de mort, souffrant d’épuisement et de faim.
Bruno Juste, trésorier de l’ACCA, a expliqué que l’un des daims avait déjà été observé avec ces ficelles accrochées à ses bois. “Cela faisait déjà un moment que l’on avait aperçu un daim dans cette situation. Ces deux mâles ont dû se rencontrer et se battre, ce qui a entraîné cet emmêlement tragique. Ils étaient ainsi piégés et allaient périr.” Comme si cela ne suffisait pas, la proximité de la route représentait un danger supplémentaire, les animaux affolés risquant de s’y précipiter.
Conscients de l’urgence, les chasseurs ont vite décidé d’intervenir. Toutefois, s’approcher des daims, nerveux et méfiants, ne s’est pas révélé simple. Pour éviter que la situation ne dégénère, la brigade animalière des sapeurs-pompiers de la Loire a été sollicitée. Grâce à un fusil hypodermique, les pompiers ont endormi les daims à distance. Une fois immobilisés, chasseurs et pompiers ont pu procéder au découpage des ficelles sans porter préjudice aux animaux. L’opération s’est déroulée rapidement, les daims étant surveillés jusqu’à leur réveil complet. Libérés et à nouveau en pleine forme, ils ont pu regagner leur habitat naturel.
Cette histoire soulève une question intrigante : comment des daims se sont-ils retrouvés dans cette région ? Bruno Juste a expliqué que ces animaux étaient des descendants de daims échappés en 1999 d’un élevage situé à Gumières, dans le Haut-Forez. Originellement six ou sept, leur nombre a considérablement augmenté et ils sont désormais environ une centaine à vivre en liberté sur plusieurs communes, dont Boisset-Saint-Priest, Margerie-Chantagret et Lézigneux. Par ailleurs, la plaine du Forez attire aussi d’autres grands gibiers, tels que des chamois, qui ont été signalés récemment.
Ce sauvetage exemplaire démontre le dévouement des chasseurs aveyronnais et leur engagement pour la préservation de la vie sauvage. Loin des stéréotypes négatifs souvent associés à la chasse, cet événement prouve que ceux qui évoluent dans la nature se soucient véritablement de la faune qu’ils protègent.
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Terrines de sanglier réalisées par les chasseurs de Romanèche-Thorins

Romanèche-Thorins : 270 terrines de sanglier réalisées par la communauté des chasseurs
Dans une belle démonstration de camaraderie et d’habileté culinaire, les chasseurs de Romanèche-Thorins, une équipe dynamique forte de 31 membres, ont fièrement confectionné pas moins de 270 terrines de sanglier. Cet événement captivant met non seulement en lumière les talents des chasseurs, mais également leur engagement envers la valorisation des ressources naturelles de leur région.
Un savoir-faire ancestral
La confection de terrines est un art qui se transmet de génération en génération. Les chasseurs, armés de leurs traditions et d’un savoir-faire impressionnant, ont réussi à créer ces délicieuses terrines qui sauront ravir les papilles des amateurs de gibier. Ces créations s’inscrivent dans une démarche de respect et de valorisation de la faune locale, tout en permettant de lutter contre les idées reçues sur la chasse.
Les bienfaits de la gastronomie de gibier
Qui aurait pensé qu’un plat à base de sanglier pourrait provoquer autant d’engouement ? La terrine de sanglier est non seulement savoureuse, mais elle s’inscrit également dans une logique nutritionnelle. Elle est souvent plus maigre et riche en éléments nutritifs par rapport à d’autres types de viandes. En se tournant vers des produits locaux comme ceux issus de la chasse, on favorise une consommation plus éthique et durable.
Un acte communautaire fort
La production de ces 270 terrines ne se limite pas à la simple préparation culinaire. C’est un véritable acte communautaire qui rassemble les membres autour d’une passion commune. Les échanges, les rires et les anecdotes partagés au cours de ce processus sont tout aussi précieux que le produit final. N’est-ce pas là l’essence même de la chasse ?
Conclusion
Les chasseurs de Romanèche-Thorins ont su prouver que la chasse peut être synonyme de convivialité, de respect de l’environnement et même de gastronomie. Alors, la prochaine fois que vous croisez une terrine de sanglier, pensez à toutes les histoires qui se cachent derrière sa confection.
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Sondage sur la chasse et opinions des Français

Les Renards Australiens et le Sondage de la Fondation Bardot
La Fondation Bardot a récemment attiré l’attention avec les résultats de son sondage sur les Français et la chasse, accompagnés d’une image iconique de renards… venant d’Australie ! Une originalité qui a suscité les interrogations, notamment sur la manière dont sont interprétés ces chiffres. BFM TV a consacré une grande partie de son émission matinale à ce sujet, invitant Brigitte Bardot, qui, rappelons-le, n’est pas une novice dans l’art de défendre la cause animale.
Lors de l’interview, l’icône du cinéma français ne s’est pas démontée et a vociféré contre les chasseurs, les qualifiant de « méchants » et dénonçant la pratique de tuer des animaux « qui ne nous ont rien fait ». Mais qu’en est-il vraiment des données du sondage IFOP qui a interrogé un échantillon de 1000 Français ?
Les Résultats du Sondage : Un Contre-courant Étonnant
Les résultats du sondage révèlent que 62% des personnes interrogées déclarent ne pas se sentir en sécurité lors de promenades en nature pendant la période de chasse, un chiffre en baisse par rapport à 71% en 2021. Sergeait-ce le début d’un retour à la normalité pour les amateurs de la chasse ? Peut-être. Concernant la chasse à courre, la situation est un peu plus troublée : 72% des sondés se sont prononcés pour son abolition, contre 86% dans le précédent sondage, montrant ainsi une évolution de l’opinion publique.
Il est intéressant de noter que Brigitte Bardot n’a pas laissé tomber son appel à l’interdiction de cette pratique, malgré le retour en force de certaines opinions pro-chasse. En ce qui concerne la gestion des Espèces Sauvages à Destinataire (ESOD), 62% des interrogés se sont déclarés défavorables à la réglementation permettant leur destruction à longueur d’année, un chiffre qui montre également un léger recul par rapport à 69% en 2021.
Le Dimanche sans Chasse : Un Sursaut d’Adhésion
Le sujet du dimanche sans chasse voit également une progression, augmentant de 78% à 82%. Ce point précis, notez-le, est le seul qui a été mis en avant dans le reportage de BFM. En somme, ce sondage, parmi tant d’autres, ouvre la porte à de nombreuses réflexions sans pour autant donner un tableau complet de la situation actuelle en matière de chasse en France.
Alors, que penser de tout cela ? Les chiffres sont parfois surprenants, mais une chose est certaine : la discussion sur la chasse et son rôle dans notre société reste brûlante. Si rien d’autre, cette controverse offre un terrain fertile pour les débats futurs.
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Etat des lieux des mammifères de la Loire entre retours et défis

Loire : État des lieux des mammifères, entre retours prometteurs et défis persistants
Dans le paysage vivant de la Loire, la cohabitation avec la faune locale présente des hauts et des bas significatifs. Parmi les représentants emblématiques de la région, la loutre, le castor, le sanglier et le hérisson illustrent parfaitement cette dynamique. Faisons un tour d’horizon des espèces qui peuplent notre environnement, entre réussites de conservation et défis à relever.
Retour bienvenu de la loutre
La loutre, autrefois en déclin, a fait un spectaculaire retour en force, et ce, sans intervention humaine majeure. Grâce à des efforts de protection efficaces, elle a réussi à réinvestir son habitat naturel. C’est une victoire à célébrer pour les conservateurs de la faune et un bon exemple d’équilibre naturel retrouvé.
Le castor et ses nouvelles rives
Outre la loutre, le castor a également fait l’objet d’une réintroduction professionnelle et semble se porter à merveille. Ces ingénieurs de l’écosystème contribuent à la régulation des cours d’eau et à la biodiversité environnante. Leur présence enrichit les milieux aquatiques, ce qui est de bon augure pour l’écosystème global de la Loire.
Le raton laveur, un nouvel hôte intrigant
Le raton laveur est en pleine phase d’installation dans la plaine du Forez. Bien que séduisant avec son allure espiègle, cet animal soulève également des questions sur l’impact de son adaptation sur les espèces locales. Si vous apercevez un raton laveur, n’hésitez pas à le signaler ; chaque observation compte pour mieux comprendre son développement dans notre région.
Les enjeux autour du ragondin
Le ragondin, quant à lui, pose son lot de défis. Bien que moins aimé que ses congénères préalablement mentionnés, il est crucial de surveiller son impact sur la flore locale. La gestion de cette espèce invasice est essentielle afin de préserver l’équilibre écologique de nos rivières et des zones humides.
Les mammifères de la Loire connaissent donc des hauts et des bas, mais ces récents développements offrent un tableau encourageant. La protection et la gestion des espèces restent des éléments clés pour garantir un avenir harmonieux pour notre faune locale.
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La chasse entre tradition et enjeux contemporains

La chasse : Tradition et curiosités de cet art ancestral
Un aperçu sur la pratique de la chasse
La chasse n’est pas seulement une activité de loisir ; elle est profondément ancrée dans nos traditions culturelles et constitue une composante importante de la gestion des populations animales. Cette pratique ancienne suscite souvent des débats, mais elle bénéficie également d’un certain nombre d’aspects positifs souvent méconnus.
Les bienfaits de la chasse
Saviez-vous que la chasse peut contribuer à la préservation de certaines espèces ? En régulant les populations d’animaux, elle aide à maintenir l’équilibre des écosystèmes locaux. De plus, la chasse apporte des bénéfices économiques, notamment à travers la création d’emplois et le soutien aux économies rurales. Sans oublier le côté palpitant : qu’y a-t-il de plus exaltant que de traquer un gibier tout en profitant d’un contact étroit avec la nature ?
La chasse responsable et éthique
Au-delà des frissons de l’aventure, il existe des pratiques de chasse qui respectent l’éthique et la réglementation. Le bon chasseur est celui qui chasse avec discernement, qui choisit ses cibles, et qui respecte les saisons et les quotas. Garder une attitude responsable est essentiel pour la pérennité des ressources naturelles.
Comment se préparer pour une sortie de chasse ?
Avant de vous lancer dans l’aventure, il est crucial de bien se préparer. Cela commence par se renseigner sur les lois locales concernant la chasse. Ensuite, il est important de choisir l’équipement adéquat : fusil, vêtements appropriés, et surtout, une bonne connaissance de la faune que vous espérez rencontrer. N’oubliez pas les essentials de sécurité, comme des lunettes de protection et un gilet fluorescent, qui garantiront votre sécurité et celle des autres lors de vos sorties.
Les défis modernes de la chasse
Dans un monde en constante évolution, la chasse fait face à de nouveaux défis, qu’il s’agisse de changements climatiques, de restrictions réglementaires ou de mouvements sociaux soutenant davantage les droits des animaux. Ces éléments incitent à réfléchir et à adapter nos pratiques de chasse dans le respect des règlements environnementaux.
Conclusion : Une pratique à découvrir
La chasse demeure une activité riche en histoire et en tradition, tout en étant soumise à des mois d’adaptation face aux réalités contemporaines. S’engager avec le monde de la chasse peut offrir des expériences d’apprentissage enrichissantes, révélant non seulement des aspects pratiques mais aussi une connexion profonde avec la nature.
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Les mares et leur rôle essentiel pour la biodiversité par les chasseurs

Les mares, un enjeu majeur pour la conservation par les chasseurs
Les mares, un point vital pour la biodiversité
La nécessité de préserver et de restaurer les mares est devenue une priorité pour les chasseurs. Ce n’est pas simplement une question de passion, mais un engagement envers la biodiversité qui prend tout son sens grâce à des projets comme celui de la Fédération des Chasseurs 31, connu sous le nom d’Habitat Trame Verte et Bleue. Ces points d’eau jouent un rôle crucial pour le développement des espèces dans nos forêts, et leur entretien devient impératif.
Une mobilisation active et encore des défis
Au total, 105 mares ont été identifiées, dont 46 nécessitent un entretien urgent pour éviter qu’elles ne disparaissent. Malgré des conditions météorologiques difficiles l’année dernière, les efforts des chasseurs n’ont pas faibli. Sur 30 mares nécessitant une intervention, 23 ont pu être réhabilitées grâce à des entreprises spécialisées. Pour 2025, de nouvelles communes se joindront à l’initiative, signifiant que la mobilisation pour la biodiversité va encore s’amplifier.
Le rôle indispensable des mares dans la préservation des écosystèmes
Dans le Tarn, les chasseurs s’impliquent dans le programme Mileoc, et leur action va bien au-delà de la simple création de mares. Ces espaces aquatiques deviennent des refuges pour la faune et la flore locales, leur permettant de prospérer. Lors des périodes de chaleur, ces mares constituent également une source d’eau essentielle. Tout cela montre à quel point les chasseurs participent activement à la restauration des écosystèmes aquatiques.
Innovations pour la restauration des écosystèmes
Les initiatives ne s’arrêtent pas aux mares. Les chasseurs du Tarn explorent des solutions novatrices pour rétablir des écosystèmes disparus. Récemment, un îlot flottant végétalisé a été installé pour compenser l’érosion et les variations du niveau de l’eau. Ce type de projet fait partie d’une stratégie plus large pour restaurer les corridors écologiques, tout en collaborant avec des associations locales et des citoyens. Un effort collectif qui mérite d’être salué.
Est-ce que vous avez déjà réfléchi à l’importance de ces petites mares autour de vous ? Elles pourraient être de vraies centrales de vie, à surveiller précieusement. Chaque goutte d’eau compte !