Rillette, la laie sauvée de l’euthanasie : une nouvelle vie commence
L’affaire Rillette prend un tournant positif pour cette laie qui avait échappé de justesse à l’euthanasie. La justice a décidé de donner une seconde chance à ce sanglier femelle, recueilli dans l’Aube par Élodie Cappé. Le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne a ordonné au préfet de réexaminer la demande de détention de l’éleveuse et d’accorder une compensation financière.
Une décision qui change la donne
La décision tant attendue a été rendue, stipulant que « Rillette se voit accorder une nouvelle chance et peut rester auprès de madame Élodie Cappé ». Cette laie, trouvée le 1er avril 2023 après avoir perdu sa harde, était menacée d’euthanasie après que les services de l’État aient refusé sa détention. Le tribunal a suspendu la décision de refus de déclaration et ordonné un réexamen dans un délai d’un mois.
Le cadre légal en question
Bien que la capture de sangliers vivants soit en théorie interdite, le tribunal a rappelé que le préfet a la possibilité d’autoriser des dérogations. Lors de l’analyse du dossier, le juge a conclu que la loi ne stipule pas que les animaux non domestiques doivent être nés en captivité pour être légalement détenus.
Une lueur d’espoir pour Élodie Cappé
Élodie Cappé, soulagée par cette issue, a partagé son ressenti : « On ne parle plus d’euthanasie ou de saisie », signifiant une nouvelle ère pour Rillette. Elle avait pris les devants en cherchant des solutions dès qu’elle a recueilli l’animal, mais malheureusement, les réponses des autorités avaient été négatives.
Vers un avenir radieux
Avec la suspension de l’euthanasie, Rillette peut enfin envisager un avenir serein. À travers cette affaire, un message fort est envoyé : la protection des animaux peut parfois prime sur des procédures administratives rigides.
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Actuchassse pour Caninstore