Les mairies écolos et les paradoxes de la chasse
Il semblerait que l’horreur pour certains élus écologistes se manifeste même dans les initiatives visant à créer des emplois. Prenons le cas de Safran, un acteur majeur de l’aéronautique, qui souhaitait implanter une nouvelle fonderie à Rennes et, par là même, offrir 500 emplois. Qu’a-t-il reçu en retour ? Des tomates ! Oui, vous avez bien lu. Les élus écolos, plus préoccupés par des idéaux que par le développement local, ont considéré cette initiative comme trop polluante et pas assez « éco-responsable ». Olivier Andriès, le patron de Safran, a clairement exprimé son mécontentement, déclarant qu’il n’investirait plus dans des villes à majorité écologiste. Qui aurait cru qu’un dirigeant d’entreprise puisse être traité ainsi ?
Les décisions des mairies écologistes semblent souvent relever de l’absurde. Dans leur quête de bienveillance environnementale, elles sont devenues des serial-interdiseurs. À Bordeaux, le sapin de Noël a été qualifié d’ennemi public sous prétexte qu’il n’est pas « assez inclusif végétalement ». Et à Lyon, toute viande a été bannie des cantines, remplacée par des sermonnaires alimentaires. La sécurité et la santé des citoyens semblent parfois passer au second plan derrière une idéologie souvent déconnectée des réalités.
Et où se situe la chasse dans tout cela ? À Montpellier, la mairie a décidé de balayer la chasse de ses terrains municipaux avec pour motifs la sécurité des promeneurs (qui n’ont, pour l’honneur de la ville, jamais semblé réellement en danger) et le respect des animaux. L’issue ? Une prolifération de sangliers menaçant les cultures et une redécouverte de la vie sauvage par des habitants qui fait plus peur que plaisir. Ah, la nature vue d’un bureau, sans la présence de ceux qui l’habitent depuis toujours !
La vision de certaines mairies écologiques semble donc se dessiner : un monde sans industrie, sans viande, et, osons le dire, sans le moindre aspect traditionnel. Les tomates bio, jetées sur les porteurs de projets, semblent être la seule ressource cultivée. Mais alors, les questions se posent : comment concilier la préservation de la nature avec les réalités de l’économie locale ? Faut-il sacrificer l’emploi et la tradition sur l’autel de l’écologie militante ?
Olivier Andriès apparaît donc comme un homme lucide. Investir dans une ville écologiste, c’est prendre le risque de voir ses projets couverts de tomates — et non de succès. À méditer pour toutes les parties concernées.
Actuchassse pour Caninstore
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