Fête Champêtre des Chasseurs en Seine-Maritime

Fête Champêtre des Chasseurs en Seine-Maritime: Un Week-End Nature
Au cœur de la Seine-Maritime, le château de Mesnières-en-Bray s’est transformé le temps d’un weekend en un véritable épicentre de la convivialité et du partage autour de la chasse et de la nature. La fête, intitulée « Histoires Naturelles », a rassemblé chasseurs et amoureux de la nature pour célébrer ensemble la richesse de la faune et de la flore locales. Organisé par la fédération départementale des chasseurs de Seine-Maritime, cet événement a su allier festivités et sensibilisation à la préservation environnementale.
Un Programme Riche en Découvertes
Le coup d’envoi de ces deux jours de festivités a été donné par l’assemblée générale de la fédération, moment studieux précédant une suite d’activités plus que réjouissantes. Avec une affluence record, le public, estimé à plus de 5000 personnes, a pu s’immerger dans une foule d’activités axées sur la découverte de la nature et la pratique de la chasse. Des ateliers pour les plus jeunes, tels que le tir à l’arc, aux expositions de trophées impressionnants, le programme a été pensé pour plaire à tous.
La Culture Chasseresse à l’Honneur
Le charme discret de la messe de Saint-Hubert célébrée dans la chapelle du château a marqué un temps fort spirituel du weekend, rappelant les liens ancestraux entre la chasse et la tradition. S’en est suivie une série de concours et d’animations comme la compétition de coupe de troncs d’arbres à la tronçonneuse, reflétant l’adresse et la robustesse des amoureux de la nature.
Un Pliant Pour la Solidarité
Point d’orgue du samedi, le concert des Trompes de chasse de la Garde Républicaine a captivé l’audience, non seulement par sa majesté musicale mais également par son esprit caritatif, les fonds étant destinés aux chiens guides d’aveugles, véritable pont entre le monde de la chasse et celui du soutien aux personnes en situation de handicap.
Conclusion: Un Weekend Inoubliable
Fort de son succès, le weekend « Histoires Naturelles » a prouvé que la communauté des chasseurs de Seine-Maritime ne se limite pas à la pratique cynégétique mais s’engage activement en faveur de la conservation et de l’appréciation de notre patrimoine naturel. Plus qu’un rendez-vous annuel, cet événement s’est positionné comme un réel espace d’échanges et de partage autour des valeurs de respect de la nature et du bien-vivre rural.
Article rédigé par Actuchassse pour Caninstore
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La Prédation d’un Sanglier par un Loup

La Réalité Impitoyable de la Nature: La Prédation d’un Jeune Sanglier par un Loup
Dans un monde où la nature écrit ses propres règles, une récente vidéo capturée dans les Alpes italiennes démontre la loi impitoyable du plus fort. Les images montrent une scène de vie sauvage brutale: un jeune sanglier se retrouve dans la gueule d’un loup gris, lutte pour sa survie. Ce spectacle, bien que difficile à regarder, nous rappelle la réalité quotidienne de la faune dans nos forêts et montagnes.
L’Instinct Prédateur à l’Œuvre
La scène capturée sur la vidéo se déroule sous les phares d’une voiture, sur une route bordant le massif des Alpi Marittime. Un loup gris, puissance incarnée de la nature sauvage, tient entre ses crocs un jeune sanglier. Les cris déchirants de l’animal, dans un ultime effort pour échapper à son sort, ne font que souligner la dureté de cette lutte pour la survie. Le prédateur, implacable, commence à traîner sa proie loin de la lumière, vers l’obscurité de la forêt.
Une Fenêtre sur la Nature Sauvage
Cet événement souligne un aspect fondamental de la vie sauvage : le cycle de la prédation. Bien que les images puissent sembler choquantes, elles offrent une perspective sincère sur la nature. Loin des regards, ces scénarios se déroulent quotidiennement dans le monde naturel, jouant un rôle crucial dans l’équilibre écologique.
Un Rappel de la Réalité Sauvage
Loin d’être un fait isolé, cet incident rappelle aux spectateurs la réalité brutale mais naturelle de la prédation. Il met en lumière non seulement la lutte quotidienne pour la survie dans le monde animal, mais aussi l’importance de comprendre et de respecter les lois de la nature. La coexistence de diverses espèces, y compris des prédateurs comme le loup, est essentielle pour maintenir la biodiversité et la santé des écosystèmes.
Conclusion
Alors que la vidéo peut éveiller chez certains spectateurs un sentiment de tristesse pour le jeune sanglier, elle offre une occasion d’appréhension et de respect pour la complexité de la vie sauvage. La nature, dans sa beauté et sa brutalité, continue de nous rappeler que chaque créature joue un rôle dans le grand schéma de l’existence.
Protégez et Respectez la Nature
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Par Actuchassse pour Caninstore
Formation des chasseurs à l’arc en Dordogne

Formation des chasseurs à l’arc en Dordogne: Un nouvel horizon pour la chasse responsable
Dans les contrées pittoresques de la Dordogne, un renouveau se profile à l’horizon pour les adeptes de chasse. Ce n’est pas la traditionnelle image que plusieurs pourraient avoir de la chasse qui est mise en avant, mais plutôt une approche qui suscite un intérêt croissant : la chasse à l’arc. À la croisée des chemins entre tradition et modernité, cette forme de chasse séduit par son approche subtile et respectueuse de la nature.
La Fédération Départementale des Chasseurs de Dordogne, consciente de l’engouement pour cette pratique, propose des formations destinées aux nouveaux adeptes. En collaboration avec l’Association des Chasseurs à l’Arc du Périgord (ASCAPER 24), cette initiative vise à équiper les futurs chasseurs des connaissances et compétences nécessaires pour une pratique ethique et responsable.
Un apprentissage aux multifacettes
Au cœur de ce programme de formation, on retrouve un dualisme entre théorie et pratique. Le premier volet couvre des sujets cruciaux comme la législation, la connaissance des espèces, la sécurité et la recherche au sang. L’aspect pratique, quant à lui, plonge les participants dans le vif du sujet avec des exercices pour maîtriser l’arc, outil ancestral remis au goût du jour.
Organisées à l’École de Chasse Nature de Saint-Astier, ces sessions sont une opportunité pour les participants de non seulement appréhender les subtilités de cette pratique mais aussi de s’immerger dans la richesse de la faune et la flore locale.
Comment participer ?
La formation est accessible à tous ceux désireux d’embrasser la chasse à l’arc, moyennant une modeste cotisation et un chèque de caution. L’inscription se fait directement auprès de la Fédération des Chasseurs de la Dordogne, qui accueille les futurs participants à leurs locaux ou par téléphone.
Le renouvellement de l’intérêt pour la chasse à l’arc en Dordogne est non seulement un témoignage de la diversité des pratiques cynégétiques mais aussi une marque de l’évolution vers une approche plus contemplative et respectueuse de la nature. C’est une porte ouverte vers un monde où la chasse rime avec éthique et connaissance approfondie de l’écosystème.
En conclusion :
La chasse à l’arc représente plus qu’une simple alternative à la chasse traditionnelle. Elle est le symbole d’un engagement vers une pratique plus harmonieuse avec la nature. La formation proposée par la Fédération de Dordogne est un premier pas vers cette quête d’harmonie, offrant à tous les passionnés, amateurs ou expérimentés, les clés pour une chasse responsable et respectueuse.
Actuchasse pour Caninstore
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Un Engagement Vert des Chasseurs des Vosges

Un Engagement Vert: Les Chasseurs des Vosges Plantent Leur Cent Millième Arbre
Dans un geste spectaculaire de conservation, la fédération des chasseurs des Vosges a atteint un jalon remarquable en plantant son 100 000ème arbre, marquant ainsi un engagement durable en faveur de la biodiversité et de la protection de l’environnement. Ce projet ambitieux, initié dans les années 1990, vise à combattre efficacement la disparition des haies et des îlots arbustifs, essentiels pour l’équilibre de nos campagnes.
La cérémonie de plantation, ayant eu lieu en présence de figures importantes telles que Willy Schraen, président de la fédération nationale des chasseurs, et Frédéric Tissier, président de la fédération départementale des chasseurs des Vosges, a été l’occasion de souligner l’importance cruciale de la collaboration entre chasseurs et protecteurs de la nature. Ensemble, ils ont réaffirmé leur engagement commun à préserver l’environnement au travers d’actions concrètes et significatives.
Le rôle des chasseurs dans la préservation des habitats naturels et la promotion de la biodiversité est souvent sous-estimé. Cet événement vient rappeler au grand public que les passionnés de la chasse sont également des yeomans de notre patrimoine naturel, jouant un rôle actif dans le maintien et la restauration des écosystèmes. Willy Schraen en a profité pour adresser un message fort à ceux qui, depuis leur confort urbain, tendent à critiquer les initiatives rurales sans apporter de solutions concrètes, mettant en avant l’action positive de ses membres sur le terrain.
Cette initiative est un modèle d’engagement communautaire, où les chasseurs prennent la tête d’initiatives écologiques d’importance. Elle souligne l’importance de travailler ensemble pour un avenir plus vert, montrant comment la passion pour la chasse peut cohabiter harmonieusement avec un engagement ferme pour la sauvegarde de notre planète.
Au-delà de la plantation d’arbres, cette action se veut un symbole fort de l’engagement des chasseurs dans la transition écologique. Elle rappelle également l’importance de reconnaître et de valoriser les efforts de toutes les parties prenantes œuvrant pour la protection de l’environnement.
Le projet de reforestation dans les Vosges est une preuve tangible que les communautés de chasseurs sont prêtes à prendre des mesures significatives, non seulement pour protéger la faune qu’ils chérissent, mais aussi pour assurer un équilibre écologique durable pour les générations futures.
Signé: Actuchasse pour Caninstore
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Une Aventure de Chasse en Forêt Ardennaise

Une Aventure de Chasse Emblématique pour Un Jeune Ardennais
Imaginez un jeune chasseur, armé de sa passion et de son adresse, se lançant dans les forêts ardennaises avec une détermination farouche. Au cœur de cette scène bucolique, notre protagoniste se prépare à une série de battues au grand gibier, une tradition chère aux amateurs de nature sauvage et de défis sportifs. Son équipement ? Une carabine Mauser 98 Stutzen calibrée pour l’impressionnant 9,3×62 mm, complétée par un viseur point rouge Aimpoint 5000. Ces outils ne sont pas seulement le prolongement de son bras ; ils incarnent le lien entre l’homme et la nature, le chasseur et sa proie.
Dans le théâtre des bois, où chaque feuille et branche forme l’arrière-plan d’une histoire millénaire entre l’homme et le faune, notre jeune chasseur fait preuve d’une adresse remarquable. Confronté aux défis que seul ce terrain peut offrir – la distance, la végétation dense, l’imprévisibilité de la faune – il réussit à prélever trois animaux, chacun avec une précision qui témoigne de ses compétences et de son respect pour la chasse.
Le premier trophée de sa quête est un faon, suivi de près par un jeune brocard et enfin, le clou du spectacle, un magnifique sanglier. Chaque prélèvement est un récit en lui-même, une expérience gravée dans la mémoire de notre chasseur, mais aussi une contribution à la gestion durable des populations de gibier.
La vidéo de cette aventure, bien plus qu’un simple documentaire, nous invite à partager le frisson de la chasse, les moments de tension et l’ultime satisfaction de contribuer à une tradition qui lie l’homme à la nature. C’est une célébration de la chasse responsable, un art qui exige non seulement de l’habileté mais aussi une compréhension profonde de l’environnement.
Pour ceux qui sont fascinés par cet univers, qui rêvent de nature sauvage et de défis en forêt, Caninstore vous propose tout le nécessaire pour vous lancer dans l’aventure. Que vous soyez novice ou expérimenté, vous trouverez l’équipement, les conseils et l’inspiration nécessaire pour vos propres expéditions de chasse.
Signé : Actuchasse pour Caninstore
Suspension de l’interdiction des noms de produits végétaux imitant la viande

Suspension temporaire pour les produits végétaux imitant la viande
Le décret gouvernemental interdisant l’utilisation de termes associés à la viande pour désigner des produits végétaux a été récemment suspendu par le Conseil d’État. Cette décision survient suite à une controverse grandissante parmi les producteurs de substituts alimentaires, qui ont fait appel à la plus haute juridiction administrative pour contester cette mesure. Voyons de plus près les enjeux de cette saga alimentaire.
Une interdiction qui soulève des questions
En établissant l’interdiction d’utiliser des appellations traditionnellement carnées pour des produits entièrement végétalisés, le gouvernement français souhaitait protéger les intérêts de la filière viande. Toutefois, l’impact de cette mesure semblait limité auprès du grand public, et surtout, elle mettait dans une position délicate les entreprises françaises face à la concurrence internationale. Plusieurs de ces entreprises ont alors décidé de défendre leurs droits en saisissant le Conseil d’État.
Le Conseil d’État met en pause le décret
Après examen de la situation, le Conseil d’État a tranché en faveur d’une suspension du décret sur les « steaks végétaux » et autres appellations similaires, pointant ainsi du doigt les zones d’ombre de la loi. Selon la juridiction, ce décret pose plus de problèmes qu’il n’en résout, notamment en instaurant une distorsion de concurrence déloyale pour les producteurs français.
Cette décision reflète les complexités entourant la question de l’alimentation durable et des alternatives végétales. Elle met en lumière la nécessité de trouver un équilibre entre la protection des appellations traditionnelles et la promotion de nouvelles habitudes alimentaires plus soutenables.
En bref, la suspension de ce décret par le Conseil d’État ouvre le débat sur l’avenir de la nomenclature des produits alternatifs à la viande et souligne l’urgence de redéfinir les règles du jeu de manière équitable et cohérente. Les passionnés de chasse à la recherche d’accessoires pour leurs compagnons canins trouveront un large choix sur Caninstore.
Actuchassse pour Caninstore
Suspension temporaire pour les produits végétaux imitant la viande
Le décret gouvernemental interdisant l’utilisation de termes associés à la viande pour désigner des produits végétaux a été récemment suspendu par le Conseil d’État. Cette décision survient suite à une controverse grandissante parmi les producteurs de substituts alimentaires, qui ont fait appel à la plus haute juridiction administrative pour contester cette mesure. Voyons de plus près les enjeux de cette saga alimentaire.
Une interdiction qui soulève des questions
En établissant l’interdiction d’utiliser des appellations traditionnellement carnées pour des produits entièrement végétalisés, le gouvernement français souhaitait protéger les intérêts de la filière viande. Toutefois, l’impact de cette mesure semblait limité auprès du grand public, et surtout, elle mettait dans une position délicate les entreprises françaises face à la concurrence internationale. Plusieurs de ces entreprises ont alors décidé de défendre leurs droits en saisissant le Conseil d’État.
Le Conseil d’État met en pause le décret
Après examen de la situation, le Conseil d’État a tranché en faveur d’une suspension du décret sur les « steaks végétaux » et autres appellations similaires, pointant ainsi du doigt les zones d’ombre de la loi. Selon la juridiction, ce décret pose plus de problèmes qu’il n’en résout, notamment en instaurant une distorsion de concurrence déloyale pour les producteurs français.
Cette décision reflète les complexités entourant la question de l’alimentation durable et des alternatives végétales. Elle met en lumière la nécessité de trouver un équilibre entre la protection des appellations traditionnelles et la promotion de nouvelles habitudes alimentaires plus soutenables.
En bref, la suspension de ce décret par le Conseil d’État ouvre le débat sur l’avenir de la nomenclature des produits alternatifs à la viande et souligne l’urgence de redéfinir les règles du jeu de manière équitable et cohérente. Les passionnés de chasse à la recherche d’accessoires pour leurs compagnons canins trouveront un large choix sur Caninstore.
Actuchassse pour Caninstore
Quand le lièvre était considéré nuisible à Paris

Quand le lièvre jouait le rôle de nuisible en périphérie parisienne
Au début du XXe siècle, la gestion de la faune sauvage en périphérie de Paris tenait déjà à cœur les agriculteurs et chasseurs, le lièvre étant notamment considéré comme nuisible.
Un voyage dans le temps au cœur de Plessis-Robinson
Remontons le temps jusqu’en 1915, dans l’ancienne commune de Plessis-Robinson, encore appelée Le Plessis-Piquet jusqu’en 1909. Cette localité, située au Sud-Ouest de Paris, livrait déjà bataille contre les lapins et les lièvres prolifiques, perturbant les terres agricoles.
Dans un courrier du pépiniériste du Val d’Aulnay, une demande d’organisation de battue est émise au maire pour réguler les populations de lièvres, témoignant de leur statut de nuisible à l’époque. Une condition bien loin de la protection dont jouit l’espèce de nos jours, où les chasseurs veillent davantage sur sa conservation.
La chasse : une tradition régulatrice
Les archives révèlent que les battues étaient encadrées avec rigueur, limitées à des chasseurs aguerris et accompagnées de rabatteurs. Les agriculteurs, eux-mêmes chasseurs pour la plupart, organisaient ces rassemblements pour protéger leurs cultures. Les prises étaient ensuite offertes aux plus démunis, illustrant un geste de solidarité communautaire.
Cette époque marque également la lutte contre d’autres espèces telles que les pigeons ou hannetons, en offrant même des récompenses pour leur capture, une pratique difficile à imaginer aujourd’hui, alors que les zones rurales voient leur biodiversité se réduire face à l’extension urbaine.
De 686 habitants en 1911, Plessis-Robinson en compte désormais plus de 29 000, symbolisant le défi constant entre préservation de la nature et expansion humaine. Un dilemme que nos anciens pouvaient déjà entrevoir, témoignant des changements profonds subis par notre rapport à la biodiversité.
Cet article brossant une page d’histoire de la régulation faunistique parisienne rappelle l’importance de l’équilibre entre activités humaines et respect du vivant. Une leçon du passé qui garde toute sa pertinence dans nos sociétés contemporaines.
Signé : Actuchasse pour Caninstore
La Régulation des Populations de Cormorans en France

La Nécessité Urgente de Réguler les Populations de Cormorans en France
Face à l’accroissement inquiétant des populations de cormorans en France, les dégâts sur les écosystèmes aquatiques deviennent une préoccupation majeure pour de nombreuses associations de protection des eaux et rivières.
Impact Profond sur la Faune Aquatique
L’Association Nationale pour la Protection des Eaux & Rivières – Truites, Ombres, Saumons (ANPER-TOS) tire la sonnette d’alarme sur l’impact dévastateur des cormorans sur les écosystèmes aquatiques français. Ce prédateur, fort d’un appétit vorace, menace directement des espèces de poissons protégées, entrainant une diminution notable de la biodiversité dans nos plans d’eau et cours d’eau.
Entre autres, le cormoran s’avère être un redoutable prédateur pour le Saumon Atlantique, espèce d’intérêt communautaire à l’échelle européenne. La situation est telle que sans une régulation efficace, nous risquons de voir disparaître certaines espèces autochtones déjà fragilisées.
Une Pétition pour l’Action
Dans un souci de préservation de notre patrimoine naturel, l’ANPER-TOS plaide pour une reprise contrôlée de la régulation du cormoran, notamment à travers des autorisations préfectorales permettant des interventions ciblées selon les zones où les dégâts sont les plus importants.
Une pétition a été mise en ligne pour sensibiliser et mobiliser le public ainsi que les pouvoirs publics sur cette problématique. L’objectif est de promouvoir une approche équilibrée qui permette à la fois de protéger nos espèces piscicoles menacées et de maintenir les populations de cormorans à des niveaux supportables pour les écosystèmes.
Il est impératif de sortir de l’immobilisme actuel pour agir efficacement contre une situation qui, si elle continue de se dégrader, pourrait avoir des conséquences irréversibles sur nos milieux aquatiques et la biodiversité qu’ils abritent.
Face à une menace croissante et une situation alarmante pour certains cours d’eau et écosystèmes, l’initiative de l’ANPER-TOS mérite toute notre attention et notre soutien. Il est temps de prendre conscience de l’urgence et d’agir pour préserver notre patrimoine naturel aquatique.
Engageons-nous, soutenons cette cause et contribuons à la préservation de la biodiversité aquatique française. L’avenir de nos cours d’eau, de nos espèces piscicoles et de nos écosystèmes dans leur globalité en dépend.
CTA
Pour en savoir plus sur la pétition ou pour apporter votre soutien à cette cause, visitez Caninstore.com et rejoignez-nous dans notre engagement pour la protection des eaux et rivières face aux dégâts causés par les cormorans.
Signé : Actuchasse pour Caninstore
Le Combat Entre Chasse Traditionnelle et Protection de la Faune à La Réunion

Le Combat Continue Contre la Chasse Traditionnelle au Tangue à La Réunion
La chasse au tangue à La Réunion a toujours été une pratique traditionnelle importante pour les habitants de l’île. Malgré sa popularité et son ancrage dans les traditions locales, cette chasse se retrouve sous le feu des critiques de l’association One Voice. Celle-ci a lancé une nouvelle offensive juridique visant à interdire cette activité cynégétique qu’elle juge inacceptable. One Voice, bien connue pour ses actions contre différentes formes de chasses traditionnelles, s’appuie sur des arguments environnementaux et éthiques pour soutenir sa cause.
L’association a réussi à reporter l’ouverture de la saison de chasse au tangue, initialement prévue le 17 février, au 15 mars, privant ainsi les chasseurs de près d’un mois de pratique. La décision a été accueillie avec indignation par les chasseurs locaux, qui ont rapidement organisé des manifestations devant la préfecture pour exprimer leur désaccord. Malgré leur mobilisation, le report a été maintenu, laissant planer une ambiance de tension sur l’île.
Un Nouveau Défi Légal se Profil
Peu de temps après l’ouverture tant attendue de la saison de chasse, l’association One Voice a diffusé un communiqué annonçant qu’elle ne s’arrêterait pas là et qu’une nouvelle audience était prévue pour le 4 avril. Les militants espèrent voir la chasse aux tangues interdite pour le reste de la saison et, idéalement, pour les années à venir. Selon eux, la préfecture serait trop conciliante avec les chasseurs et ignorerait les voix des opposants à cette pratique.
Les habitants de La Réunion et les chasseurs, en particulier, voient les choses différemment. Pour eux, la chasse au tangue fait partie intégrante de leur culture et de leur patrimoine. Elle est non seulement un moyen de réguler une espèce considérée comme nuisible mais aussi une tradition culinaire avec le fameux « Cari Tang ». Malgré les mesures strictes régissant cette chasse, One Voice reste inflexible et poursuit son combat.
Alors que la date de la nouvelle audience se rapproche, la tension monte entre les défenseurs de la tradition et les militants écologistes. La décision du tribunal pourrait bien changer durablement la pratique de la chasse au tangue à La Réunion, impactant non seulement la biodiversité locale mais également le patrimoine culturel de l’île.
La suite de ce combat juridique et idéologique sera décisive pour l’avenir de la chasse au tangue à La Réunion.
Signé : Actuchassse pour Caninstore
L’invasion du raton laveur en France

L’invasion silencieuse du raton laveur en France
La France est confrontée à un nouveau résident qui, malgré son apparence adorable et inoffensive, représente une menace sérieuse pour l’équilibre écologique local : le raton laveur. Cet animal, connu pour son masque facial caractéristique et ses habitudes alimentaires omnivores, se propage progressivement sur le territoire hexagonal. Remarqués initialement dans le Nord et l’Est de la France, ces petits mammifères ont désormais étendu leur présence à d’autres régions, suscitant une inquiétude croissante chez les spécialistes de la faune sauvage.
Un adorable envahisseur au lourd impact
Le raton laveur, avec sa bouille de peluche, mériterait d’être dans une collection de jouets plutôt que dans la nature en France. Ces animaux ne sont pas natifs d’Europe ; ils ont d’abord été introduits comme mascottes par des bases militaires. Très vite, ils ont commencé à se reproduire avec des congénères échappés ou relâchés par des propriétaires dépassés par leurs besoins spécifiques en tant qu’animaux de compagnie.
Ce prédateur omnivore sans prédateurs naturels, à part l’homme, s’est avéré être un survivant et un reproducteur efficace, s’adaptant rapidement à divers environnements et menaçant les espèces autochtones. Son régime alimentaire varié lui permet de s’alimenter autant de petits animaux que de détritus humains, augmentant ainsi sa capacité à survivre dans des zones urbanisées.
Des mesures pour limiter sa propagation
Classifié comme une espèce exotique envahissante, le raton laveur pourrait avoir des répercussions significatives sur la biodiversité et la santé publique du pays. Pour ces raisons, la régulation de sa population est devenue une priorité. Les citoyens sont invités à ne pas nourrir ces animaux et à sécuriser leurs poubelles pour ne pas les attirer.
Dans le cas où un individu serait repéré à proximité d’habitations, il est recommandé de contacter les associations de piégeurs agréés pour une intervention. Malgré leur apparence mignonne, les ratons laveurs restent des animaux sauvages qui peuvent devenir agressifs et transmettre des maladies s’ils se sentent menacés.
Face à cette invasion discrète mais préoccupante, la vigilance de tous est requise pour protéger notre écosystème et garantir la sécurité de nos communautés.
Actuchassse pour Caninstore
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