Moustiques les plantes reconnues comme répulsifs naturels

Moustiques : ces plantes sont reconnues comme des répulsifs naturels
La citronnelle et la bergamote sauvage, deux plantes parfaites pour éloigner les moustiques
L’été et le printemps apportent un temps agréable et la beauté de la nature. Mais avec ces saisons viennent aussi les redoutables moustiques, ces petits piqueurs nocturnes. Outre les démangeaisons qu’ils provoquent, ils véhiculent des maladies graves comme le paludisme, l’encéphalite japonaise et la fièvre jaune. En France, bien que ces infections ne soient pas courantes, les moustiques peuvent transmettre le chikungunya et la dengue.
Heureusement, il existe des solutions naturelles pour éloigner ces insectes. Certaines plantes sont bien connues pour leurs propriétés répulsives. La citronnelle, par exemple, dégage une odeur agréable pour les humains mais insupportable pour les moustiques. Vous pouvez donc planter plusieurs pieds de citronnelle dans votre jardin pour profiter de ses bienfaits. Le thym citronné, la verveine citronnée et la mélisse citronnelle ont également un effet répulsif similaire.
Parlant d’insectes, la bergamote sauvage est une autre plante efficace contre les moustiques, bien qu’elle soit très appréciée des abeilles. En ajoutant cette plante à votre jardin, vous non seulement éloignez les moustiques mais vous contribuez également à la biodiversité locale et à la production de miel.
Les plantes anti-moustiques sont légion
La citronnelle et la bergamote sauvage ne sont pas les seules plantes utiles contre les moustiques. La lavande, le pélargonium odorant, la menthe, la menthe poivrée, le basilic, la tanaisie, le cierge d’argent et le souci sont tous reconnus pour repousser ces insectes. Le romarin et le népéta sont aussi des options efficaces.
En exploitant cette faiblesse des moustiques, vous pouvez créer un véritable bouclier végétal autour de votre maison. Ainsi, en été et au printemps, vous pourrez profiter de la beauté de la nature sans être perturbé par ces indésirables, et passer des vacances paisibles loin des moustiques.
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La Réapparition du Loup Dans Les Landes Un Défi Pour La Coexistence

Le Loup S’installe : Une Nouvelle Réalité Pour Les Landes
Le Parc Naturel Régional des Landes : Nouveau Territoire du Grand Canidé
Les amateurs de nature le savent, la biodiversité évolue constamment. Et semble-t-il que les Landes sont en train d’accueillir un locataire inattendu, mais redouté : le loup. Des indices de sa présence ont été découverts, signalant une installation progressive de l’animal dans ce département du sud-ouest de la France. Une nouvelle qui amorce un véritable bouleversement pour les habitants de la région.
Indices et Alertes : Le Loup Détecté dans le Parc Naturel
L’Observatoire du Loup, organisme dédié au suivi de cette espèce emblématique, a récemment communiqué des informations cruciales. En observant différents signes, tels que des empreintes et des traces de déjections, ils ont confirmé que le prédateur rôde dans le Parc Naturel Régional des Landes. Jusqu’à présent, les témoignages des randonneurs mentionnaient des observations épisodiques, souvent interprétées comme le passage d’individus solitaires. Cependant, les nouvelles découvertes attestent d’une présence plus stable.
Vivre avec le Loup : Une Réalité Quotidienne pour les Citadins
Pour les résidents des zones rurales, cette nouvelle n’est pas vraiment une surprise. Plusieurs d’entre eux, déjà confrontés au prédateur, ont pris les mesures nécessaires pour protéger leurs troupeaux. Certains choisissent d’éviter les promenades en solitaire, adoptant des précautions pour cohabiter avec dignité et sécurité. Le sentiment général parmi cette population est que la présence du loup n’a jamais été qu’un simple soupçon, mais une réalité déjà bien ancrée.
Le Gouvernement et Les Éleveurs : Entre Déni et Réalité
Les relations entre les services de l’État et les ruraux ne sont pas toujours harmonieuses. Souvent accusées de minimiser la situation, les autorités peinent à convaincre les locaux de leur implication. Les agriculteurs et éleveurs, principaux concernés, réclament des actions concrètes plutôt que des discours flous. Ils souhaitent des mesures de protection et des compensations financières rapidement dès qu’une attaque est avérée, afin de ne pas voir leur métier devenir une lutte incessante contre ce prédateur furtif.
Un Avenir Inévitable et Imprévisible
Dès lors, comment peut-on anticiper l’avenir avec la présence confirmée du loup dans les Landes ? Il est évident que des adaptations seront nécessaires. Autant pour les habitants que pour les autorités, une stratégie conjointe s’avère indispensable. Déployer des moyens de surveillance plus efficaces, éduquer les citoyens sur la cohabitation avec ce prédateur et élaborer des plans de gestion pour les attaques sur les troupeaux sont quelques pistes à envisager.
Enfin, il est primordial de sensibiliser largement sur ce sujet complexe. Car la présence du loup est non seulement un enjeu écologique mais aussi économique et culturel. Pour l’instant, les Landais s’organisent et réagissent, parfois dans le désarroi, face à cet hôte inattendu.
Article rédigé par Actuchasse en partenariat avec notre fidèle sponsor : Caninstore
Crise Financière et Survie des Chasseurs du Gers Face aux Dégâts des Sangliers

Les sociétés de chasse du Gers en difficulté : une impasse financière face aux dégâts de sangliers
Les sangliers continuent de semer le chaos dans les campagnes du Gers, laissant dans leur sillage des champs dévastés et des comptes financiers fragilisés. Si les agriculteurs sont les premières victimes directes, les chasseurs aussi paient un lourd tribut. Les associations de chasse du département se retrouvent dans une situation de précarité financière qui menace leur survie.
Réunion de crise avec la Fédération des chasseurs du Gers
Les représentants de plusieurs sociétés de chasse du Gers ont récemment fait part de leurs préoccupations financières lors d’une réunion d’urgence convoquée avec la Fédération des chasseurs du Gers (FDC). Le point central de cette rencontre ? Un appel de fonds de 1 000 euros par association, voté par la fédération, destiné à couvrir les indemnisations liées aux dégâts causés par le grand gibier.
Un coût insupportable pour les petites associations
La situation est particulièrement alarmante pour les petites associations de chasse, dont certaines ne comptent qu’une dizaine de membres. Avec des cotisations annuelles de seulement 50 euros par chasseur, il devient quasiment impossible de lever 1 000 euros sans mettre en péril les finances de ces groupes. Le paiement de cette somme pourrait entraîner la fermeture de plusieurs sociétés de chasse, incapables d’absorber un tel choc financier.
Le dilemme des cotisations
Augmenter les cotisations semble être une solution logique pour certains, mais cela va à l’encontre de l’objectif de rendre la chasse accessible à tous, soulignent plusieurs administrateurs. Ces derniers s’opposent fermement à une hausse des cotisations communales qui pourrait décourager les petits chasseurs.
Un dialogue de sourds
Face aux demandes d’annulation de l’appel de fonds, la Fédération des chasseurs du Gers a fermement décliné, expliquant que les subventions et aides de l’État sont conditionnées au maintien de leur solvabilité. Selon la fédération, les cotisations actuelles sont insuffisantes et un manque d’initiatives compromet la collecte des fonds nécessaires.
Quel avenir pour les sociétés de chasse ?
Puisque la Fédération ne peut pas faire d’exception sans risquer de voir l’ensemble des associations refuser de payer, les chasseurs du Gers doivent trouver une solution. L’argument de la fédération est clair : cette décision a été prise lors d’une assemblée générale où certains chasseurs n’ont pas daigné se présenter, et encore moins voter.
La chasse : un loisir à réinventer financièrement
Il est alors suggéré aux associations d’explorer d’autres sources de revenus comme l’organisation de repas, ou encore la vente de venaison. Cependant, cette réunion n’a fait émerger aucune solution concrète, laissant les associations dans l’incertitude. Plusieurs d’entre elles envisageraient de geler leurs activités ou même de fermer boutique si aucune alternative viable n’est trouvée.
Le bras de fer continue, et les chasseurs du Gers doivent désormais jongler entre passion et nécessité d’improviser pour trouver un terrain d’entente financier. L’avenir de nombreuses sociétés de chasse dépend de la capacité de leurs membres à réinventer leur modèle économique.
Signé : Actuchasse
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Plantes Toxiques à Connaître pour Profiter de la Nature en Toute Sécurité

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Plantes Toxiques à Connaître pour Profiter de la Nature en Toute Sécurité
Des Apparences Trompeuses : Ces Plantes Qui Cachent Bien Leur Jeu
La nature regorge de plantes et de fleurs aux couleurs éclatantes et aux parfums enivrants. Cependant, derrière cette splendeur se cachent parfois des dangers insoupçonnés. Certaines plantes, malgré leur apparence innocente, sont en réalité des poisons redoutables. Que ce soit dans nos jardins ou le long de nos chemins, il est essentiel de connaître ces plantes toxiques pour se prémunir contre les accidents. Voici quelques-unes de ces plantes aux propriétés dangereuses.
La Stramoine
La stramoine (Datura stramonium) appartient à la famille des solanacées. Également connue sous les noms d’herbe aux fous, d’herbe du diable, de pomme poison ou de trompette de la mort, cette plante a une réputation sulfureuse en raison de sa toxicité.
Consommer de la stramoine peut entraîner de graves symptômes tels que des hallucinations, des comportements anormaux ou des amnésies. Ces symptômes peuvent conduire au coma et à l’arrêt cardiaque ou respiratoire. Une simple poignée de feuilles fraîches de stramoine peut être fatale pour un enfant. Par le passé, cette plante était souvent associée à la sorcellerie en raison de ses effets hallucinogènes, renforçant ainsi son aura mystique.
Le Lierre Grimpant
Le lierre grimpant (Hedera helix), une espèce de lianes arbustives de la famille des araliacées, est omniprésent et souvent perçu comme inoffensif. Pourtant, sa toxicité est méconnue. Toutes les parties de la plante contiennent des saponosides toxiques, particulièrement concentrés dans les drupes, ses fruits.
La consommation de quelques baies de lierre peut provoquer des symptômes tels que des brûlures de la bouche, une hyper salivation, des vomissements et des diarrhées. Une ingestion plus importante peut entraîner des hallucinations, des convulsions, voire un coma et la mort. Heureusement, le goût amer des baies dissuade généralement les enfants, limitant ainsi les risques d’absorption mortelle. Les tiges du lierre contiennent des propriétés allergisantes, alors évitez de les couper ou arracher à main nue pour éviter irritations et démangeaisons cutanées.
L’Aconit Napel
L’aconit napel (Aconitum napellus), une sous-espèce de plantes à fleurs de la famille des renonculacées, est l’une des plantes les plus toxiques pour l’homme. Connu aussi sous les noms de casque-de-Jupiter, capuche de moine ou coqueluchon, l’aconit napel était utilisé dès l’Antiquité par les Gaulois pour chasser les loups et les ours en enduisant leurs flèches de cette plante toxique.
Toute la plante, de ses feuilles à ses racines, est vénéneuse. Toucher seulement ses parties peut provoquer des démangeaisons. Les symptômes d’une intoxication comprennent des sueurs, une hypersalivation et peuvent entraîner la mort par paralysie des systèmes vitaux. Cette plante, haute de 1,5 mètre, se distingue par ses fleurs violet foncé en forme de casque et pousse jusqu’à 2500 mètres d’altitude dans les zones humides de montagne.
Si la nature regorge de véritables trésors, elle recèle également des dangers, dont ces plantes toxiques. Pour éviter tout risque d’intoxication ou d’accident, il est essentiel de savoir reconnaître ces plantes. La même vigilance s’applique aussi aux champignons toxiques.
En vous familiarisant avec les caractéristiques et les dangers de ces espèces vénéneuses, vous pouvez profiter en toute quiétude de la nature.
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Les bienfaits de la blette dans le potager

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Pourquoi La Blette Mérite Absolument Une Place Dans Votre Potager
Un Trésor Nutritionnel Au Jardin
Loin de n’être qu’un simple légume feuille souvent oublié, la blette est en réalité un véritable trésor nutritionnel et gustatif. Facile à cultiver et généreuse en récoltes, elle promet une diversité de saveurs et de textures pour ravir vos papilles et égayer vos assiettes. Son statut de légume perpétuel en fait une culture simple et gratifiante. Vous vous demandez encore pourquoi chaque potager devrait avoir ses pieds de blette ? La réponse réside dans ses innombrables bienfaits.
Un Légume Aux Innombrables Vertus
La blette est riche en vitamine A, essentielle pour la vision et le système immunitaire, contribuant à une meilleure résistance aux infections. Sa vitamine C stimule la production de collagène, protéine cruciale pour la peau, les os et les cartilages. La blette est également une excellente source de potassium pour réguler la pression artérielle et la santé cardiaque. Sans oublier le magnésium, le calcium, le fer et le phosphore, indispensables au bon fonctionnement de l’organisme.
Pour les adeptes d’une alimentation équilibrée, la blette est faible en calories mais riche en fibres, aidant ainsi à la satiété et à une meilleure digestion. Un atout non négligeable pour ceux souhaitant perdre ou maintenir leur poids. De plus, son effet diurétique en fait un allié précieux pour éliminer les toxines et combattre la rétention d’eau.
Un Emblème De L’Identité Niçoise
Dans la culture et la gastronomie niçoises, la blette tient une place spéciale. Cultivée depuis des siècles, elle est ancrée dans les traditions des Niçois et fait partie de leur identité. Ses traces sont visibles dès le Moyen Âge à travers des écrits et œuvres d’art. Appréciée pour sa rusticité et sa facilité de culture, elle figure dans de nombreuses recettes traditionnelles, comme le gratin de blettes, la daube niçoise, et même la tourte de blettes.
Un Atout Pour Tous Les Jardins
Également connue sous le nom de Poirée, la blette est un légume cultivé pour ses feuilles et ses cardes colorées (blanches, jaunes, rouges, ou roses). Sa facilité de culture en fait le légume idéal pour tous les jardiniers, novices ou expérimentés. Elle s’adapte à tous les sols, apprécie un arrosage régulier et résiste bien aux maladies et parasites. En plus, elle se multiplie aisément par semis ou division des touffes.
Avec un goût qui rappelle celui de l’épinard, la blette est un aliment incontournable pour une source quasi constante de vitamines et minéraux.
Alors, prêt à intégrer ce super aliment dans votre potager ? Consultez dès maintenant Caninstore pour plus d’astuces et informations sur la blette et d’autres légumes de choix pour votre jardin.
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Bouquetin coincé avec des crampons en Haute-Savoie

Bouquetin Prisonnier de Crampons d’Alpiniste en Haute-Savoie
L’image a fait le tour des réseaux sociaux : un bouquetin avec des crampons d’alpiniste coincés dans la gueule. Comment un tel incident a-t-il pu se produire ? Il semble que certains usagers de la nature oublient que celle-ci n’est pas une poubelle. Déjà largement confrontée à des obstacles comme les barbelés et les clôtures électriques abandonnées, la faune sauvage doit maintenant composer avec du matériel d’alpinisme laissé traîner.
Un Incident Saisissant
Un couple de randonneurs a capturé en vidéo un bouquetin portant un crampon métallique coincé dans sa mâchoire. Sans perdre de temps, ils ont informé le refuge le plus proche et contacté plusieurs associations de protection des animaux. L’Office Français de la Biodiversité (OFB) est intervenu avec des sapeurs-pompiers pour tenter de capturer l’animal, mais la complexité de l’accès a rendu l’opération infructueuse. La préfecture a cependant rassuré en affirmant que l’animal semblait en bonne santé, et qu’une nouvelle tentative de sauvetage serait entreprise en début de semaine prochaine.
Une Mobilisation Passionnée
Le récit des randonneurs a vivement touché la communauté en ligne. Des initiatives pour sauver le bouquetin se sont multipliées, impliquant plusieurs associations déterminées à ne pas abandonner l’animal. « Ce n’est pas ‘juste un bouquetin’, » déclarent les défenseurs de la nature. « Nous lui viendrons en aide, coûte que coûte. » Il est estimé que l’animal souffre de cette situation depuis déjà une dizaine de jours.
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Les maladies des plantes les plus courantes

Quelles sont les maladies de plantes les plus courantes ?
Aucun jardinier, débutant ou expérimenté, n’échappe aux imprévus de la nature. Ceux-ci peuvent parfois conduire à de mauvaises récoltes. Cultiver des légumes, des fleurs ou des arbres fruitiers peut être gratifiant, mais cela peut aussi s’avérer difficile. En effet, la présence de maladies peut parfois causer la perte de notre dur labeur. Heureusement, une réaction rapide peut souvent faire toute la différence. Savoir détecter et reconnaître les maladies des plantes est essentiel pour intervenir à temps et sauver les cultures. Dans cet article, découvrez quelques-unes des maladies les plus courantes qui peuvent affecter nos jardins et nos espaces verts.
La rouille
Parmi les maladies pouvant sévir dans nos jardins, se trouve la rouille, ou plutôt les rouilles. Il s’agit d’un ensemble de maladies cryptogamiques causées par divers champignons. Ces nuisibles se développent principalement entre le printemps et l’automne. Ils trouvent leur terrain de prédilection sur une variété impressionnante de végétaux : arbres, arbustes, fleurs, légumes, fruits et même plantes d’intérieur.
La rouille se distingue par des tâches ou auréoles de couleur jaune, orange, voire brun foncé, comme son nom l’indique. Ces marques disgracieuses peuvent apparaître tant sur les feuilles que sur les tiges des plantes infectées. Au fil du temps, les feuilles touchées par la rouille finissent par se détériorer et tomber, affaiblissant ainsi la plante. En plus d’altérer sa santé, elle détériore également son aspect. Heureusement, bien que la rouille puisse entraîner la chute de l’ensemble des feuilles en cas de contamination importante, la survie de la plante n’est généralement pas menacée.
Les conditions idéales pour le développement de la rouille sont un temps pluvieux et donc humide, un arrosage excessif ou une mauvaise circulation de l’air.
Le mildiou
Le mildiou est l’un des pires cauchemars de tout jardinier. Cette maladie cryptogamique, tout comme la rouille, représente une menace sérieuse pour de nombreuses espèces de plantes. En effet, elle se propage très rapidement et est capable de détruire une récolte entière en un rien de temps. Elle attaque notamment les tomates, les pommes de terre, les laitues ou encore les courges.
Le mildiou se manifeste par l’apparition de taches brunes sur les feuilles. Ces taches sont également accompagnées d’une apparence de moisissures blanches et cotonneuses. La pourriture rapide des tubercules touchés et l’émission d’une odeur désagréable sont des signes supplémentaires de l’infection par le mildiou. À l’origine de cette maladie, on trouve des parasites microscopiques classés parmi les oomycètes. Comme pour la rouille, le mildiou se développe particulièrement en période de pluie et de forte humidité.
Un conseil crucial pour prévenir l’apparition du mildiou est de veiller à maintenir une bonne aération autour des plantes. Lors de la plantation de pieds de tomates, par exemple, il est essentiel de bien espacer les plants. Cela permet de favoriser une bonne circulation de l’air afin de limiter les risques d’infection et de propagation.
La fumagine
La fumagine est une maladie qui se caractérise par l’apparition d’une substance noire et collante sur les feuilles et les tiges. Elle donne à la plante une apparence “enfumée”, notamment lorsqu’on la frotte. La fumagine est provoquée par des moisissures noires qui se développent sur une substance appelée miellat. Il s’agit d’un liquide excrété par des insectes suceurs, tels que les pucerons, les psylles ou les aleurodes. Ce liquide épais et visqueux sert de substrat idéal à la croissance des champignons responsables de la fumagine.
Lorsque les champignons se multiplient, ils forment des taches noires sur les parties affectées des plantes. Ces taches obstruent les stomates et empêchent les tissus végétaux de respirer. Pour lutter contre la fumagine, il est crucial de s’attaquer à la principale source du problème : les insectes nuisibles responsables du dépôt de miellat. Parallèlement, vous pouvez effectuer un nettoyage régulier du feuillage des plantes. Cela permet d’éliminer le miellat et de réduire le risque de développement de la fumagine.
Vous l’aurez compris, nos cultures ne sont jamais à l’abri des maladies. On retrouve d’ailleurs également l’oïdium, les acariens, la tavelure, la moniliose et bien d’autres encore. Face à ces menaces, il est crucial de prendre soin de nos plantes de manière proactive.
Installer une ruche d’abeilles chez soi obligations et précautions

Peut-on installer une ruche d’abeilles chez soi ?
Installer une ruche d’abeilles à domicile : obligations et précautions
Les abeilles jouent un rôle essentiel dans notre écosystème et notre alimentation. Alors, si vous souhaitez participer à la préservation de ces précieuses pollinisatrices ou tout simplement cultiver votre propre miel, il est tout à fait possible d’installer une ruche à domicile. Cependant, cette démarche ne doit pas être prise à la légère. Il est crucial de comprendre les implications et les responsabilités qui accompagnent l’installation d’une ruche domestique. Voici ce que vous devez savoir pour accueillir ces précieux insectes.
Déclarer votre ruche d’abeilles : une étape obligatoire
Lorsque l’on envisage d’installer une ruche chez soi, la première étape à connaître est la déclaration, qui est obligatoire. Selon le ministère de l’Agriculture, « Tout apiculteur est tenu de déclarer chaque année pendant la période obligatoire les colonies d’abeilles dont il est propriétaire ou détenteur, en précisant notamment leur nombre total et leurs emplacements. »
En clair, cela signifie que tous les nouveaux propriétaires de ruches doivent remplir une déclaration dès l’installation de la première colonie afin d’obtenir un numéro d’apiculteur, appelé Napi. Cette démarche peut être effectuée en ligne ou par voie postale en remplissant le formulaire Cerfa n° 13995*06.
Il est possible d’effectuer cette démarche en ligne toute l’année pour obtenir votre numéro d’apiculteur. Cependant, il sera obligatoire de renouveler votre déclaration entre le 1er septembre et le 31 décembre. Les déclarations papier ne seront pas enregistrées en dehors de cette période. Cette déclaration aide à mieux connaître les ruchers en France et contribue à leur suivi sanitaire, notamment pour contrer la menace que représente le parasite Aethina tumida (le petit coléoptère des ruches).
Bien choisir l’emplacement de votre ruche
Outre la déclaration obligatoire, installer une ruche chez soi implique le respect de certaines règles, notamment en ce qui concerne son emplacement. Une ruche ne peut pas être installée n’importe où sur votre propriété. Selon l’article L. 211-6 du Code rural et de la pêche maritime, « Les préfets déterminent, après avis des conseils généraux, la distance à observer entre les ruches d’abeilles et les propriétés voisines ou la voie publique. »
Il est essentiel de vérifier si des dispositions préfectorales existent dans votre région. À défaut, le maire de votre commune dicte les distances réglementaires. Comme le stipule l’article L. 211-7 du Code rural et de la pêche maritime, « Les maires prescrivent aux propriétaires de ruches toutes les mesures qui peuvent assurer la sécurité des personnes, des animaux, et la préservation des récoltes et des fruits. » Pour connaître ces distances spécifiques, renseignez-vous auprès de votre mairie.
Toutefois, une exception existe à la règle : « ne sont assujetties à aucune prescription de distance les ruches isolées des propriétés voisines ou des chemins publics par un mur, une palissade en planches jointes, une haie vive ou sèche, sans solution de continuité. »
Cette exception permet une certaine flexibilité dans le choix de l’emplacement de votre ruche. Néanmoins, il est recommandé de veiller à ce qu’elle soit installée dans un endroit sûr et approprié pour éviter tout désagrément pour vous-même ou pour votre entourage.
Conseils pour bien débuter en apiculture
Vous disposez désormais de toutes les informations nécessaires concernant les démarches à effectuer et les règles à respecter pour installer une ruche d’abeilles chez vous. Cependant, il est essentiel de rappeler que s’occuper des abeilles est une activité qui demande diverses connaissances et surtout une certaine technique. Pour cela, n’hésitez pas à solliciter les conseils et les recommandations d’un apiculteur professionnel. Son expertise vous sera précieuse pour assurer le bien-être de vos abeilles et obtenir ainsi des pots de miel de qualité.
Pour plus de conseils sur l’installation de ruches et bien d’autres sujets, rendez-vous sur Caninstore.
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Incident Rare à Barzy-en-Thiérache: Un Chevreuil Agressif Neutralisé

Un Chevreuil Abattu après une Attaque sur des Adolescents à Barzy-en-Thiérache
Un brocard en furie sème la panique dans une commune tranquille
Fin avril, un événement inhabituel a troublé la tranquillité de Barzy-en-Thiérache, une petite commune de l’Aisne. Un chevreuil mâle, aussi connu sous le nom de brocard, a été abattu après avoir affiché un comportement anormalement agressif envers un groupe d’adolescents. Retour sur un incident surprenant et méconnu.
Une attaque inattendue en pleine après-midi
Le 29 avril, un après-midi a priori ordinaire s’est transformé en scène d’angoisse pour quatre adolescents de Barzy-en-Thiérache. Le petit groupe a été pris à partie par un chevreuil en furie. Sur les quatre jeunes présents, trois ont dû être transportés à l’hôpital de Saint-Quentin pour une évaluation. Fort heureusement, les blessures physiques, bien que traumatisantes, étaient superficielles. Cependant, l’état de choc induit par cette attaque inattendue domine encore les esprits des jeunes victimes.
L’origine de l’agressivité : une hypothèse « ivre »
Plusieurs hypothèses ont été émises pour expliquer le comportement belliqueux du brocard. Parmi elles, la plus probable serait que cet animal aurait abusé des bourgeons, une plante qui, une fois fermentée dans leur estomac, peut provoquer un état proche de l’ébriété. Les chevreuils en état d’ivresse peuvent devenir imprévisibles et parfois violents, comme ce fut apparemment le cas ici.
Aucune action de chasse en cours
Face à une telle attaque, certains ont naturellement soupçonné qu’une chasse était en cours à proximité, ce qui aurait pu pousser l’animal à devenir agressif. Néanmoins, après enquête, il a été confirmé qu’aucune chasse n’était en cours à ce moment-là, écartant immédiatement cette possibilité.
L’intervention du lieutenant de louveterie
Pour parer à cette menace potentielle pour les habitants, le lieutenant de louveterie local est rapidement intervenu. L’animal a été abattu la semaine suivante afin de garantir la sécurité publique. Bien qu’il soit rare de voir un chevreuil attaquer des humains, cet acte préventif était jugé nécessaire pour éviter tout nouveau drame.
Les leçons tirées de cet incident
Ce rare incident souligne l’importance de connaître le comportement de la faune locale et d’adopter des mesures appropriées pour gérer de telles situations. Pour ceux qui vivent près de zones boisées, il peut être utile d’être informé des dangers potentiels que représentent même les animaux apparemment inoffensifs.
Conclusion
Cet incident tragique à Barzy-en-Thiérache rappelle que la nature peut être imprévisible et que même des créatures paisibles comme les chevreuils peuvent, dans des circonstances particulières, devenir dangereuses. L’intervention rapide et contrôlée des autorités locales a permis d’éviter de potentielles futures attaques, assurant ainsi la sécurité des habitants.
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La Norma Whitetail 8×57 JRS et les grands gibiers

La Norma Whitetail 8×57 JRS 196 gr : L’arme secrète pour les grands gibiers
Une munition suédoise innovante pour la chasse au grand gibier
La firme suédoise Norma nous surprend une fois de plus avec sa nouvelle munition : la Whitetail. Cette balle à pointe molle, bien que discrète en apparence, n’est pas là pour plaisanter !
L’ingéniosité derrière la munition Norma Whitetail 8×57 JRS 196 gr réside dans chaque élément la constituant. De l’amorçage à la balle elle-même, en passant par la poudre maison, chaque composant est minutieusement travaillé pour garantir une efficacité inégalée. Spécialement conçue pour les grands animaux résistants, cette munition fait partie des classiques revisités de Norma.
Des caractéristiques de conception éprouvées
Adieu le majestueux orignal qui trônait autrefois sur les boîtes des légendaires munitions Alaska ; aujourd’hui, un cerf de Virginie prend la relève pour illustrer cette balle polyvalente en plomb chemisée. Bien que la Whitetail conserve les caractéristiques fondamentales de l’Alaska, elle se distingue par une modification des poids de balles selon les calibres, rendant ainsi ces munitions plus adaptées aux chasses modernes.
Le secret de cette munition ? Une chemise en cuivre fortement sertie sur le noyau de plomb, maintenue au tiers de la hauteur du projectile. Cela permet à la partie inférieure de conserver son intégrité, tandis que la partie avant, propulsée par l’amorce d’expansion de la pointe molle, offre une surface considérable à l’impact.
Verdict : une expansion régulière et fiable
Testée en version 196 gr pour les armes basculantes 8×57 JRS, la Whitetail a brillé par sa régularité d’expansion dans le gel balistique. Avec 10 tirs pour 10 expansions identiques, cette munition assure aux chasseurs la possibilité de viser les plus grands animaux en battue, sans crainte de mauvaises surprises !
À retenir :
Origine : Suède
Tarif : 87 € la boîte de 20
Poids résiduel du projectile : 12,01 g après tir dans le gel balistique à 100 m
Calibres disponibles : 5,6×52 R (71 gr) ; 243 Victoire (100 gr) ; 7 mm 08 Rem (150 gr) ; 6,5×55 suédois (156 gr) ; 270 Victoires (130 gr) ; 30-06 Sprg (150 gr) ; 308 Victoire (150 gr) ; Rem Mag 7 mm (150 gr) ; 300 Win Mag (150 gr) ; 8×57 JS (196 gr) ; 9,3×62 (285 gr)
Distributeur : Ammotec France
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