Les critiques des animalistes ciblent la vente de poissons vivants chez Décathlon Niort

Le magasin Décathlon de Niort sous le feu des critiques des animalistes
La pêche aux vifs dans le viseur des défenseurs des animaux
La polémique enfle autour du magasin Décathlon de Niort, pris pour cible par des activistes animalistes qui réclament l’interdiction de la vente de poissons vivants destinés à la pêche. Alors que l’enseigne met tout en œuvre pour répondre aux attentes variées de ses clients, elle doit désormais faire face à des critiques acerbes.
Une pétition pour la suspension des ventes de poissons vivants
Les animalistes, s’opposant à diverses pratiques impliquant les animaux, ont franchi un nouveau cap en lançant une pétition contre la vente de poissons vivants chez Décathlon. Initiée par une supposée cliente du magasin, qui s’avère être une militante de l’association Paris Animaux Zoopolis (PAZ), cette pétition demande l’arrêt immédiat de la vente de vifs à Niort et plus largement au niveau national.
Cette démarche repose sur des accusations de conditions de stockage supposément inadéquates pour les poissons chez Décathlon. Selon les militants, ces poissons souffriraient avant d’être achetés par les pêcheurs. Cependant, des enquêtes menées sur place par des journalistes ont révélé des aquariums parfaitement entretenus, soulignant ainsi le sérieux avec lequel l’enseigne traite ses animaux.
Décathlon : un pionnier dans l’évolution des pratiques sportives
La controverse autour de la pêche aux vifs n’est pas nouvelle. Cette méthode est de plus en plus contestée par les associations animalistes et anti-spécistes. Toutefois, Décathlon ne reste pas les bras croisés face à cette pression. L’enseigne s’efforce continuellement de promouvoir des pratiques alternatives, notamment la pêche aux leurres, moins controversée.
Le service presse de Décathlon a d’ailleurs souligné leur engagement dans cette transition progressive : « [La pêche au vif] est une pratique traditionnelle dont l’alternative est la pêche au leurre. Décathlon promeut et distribue des leurres de plus en plus qualitatifs qui remplaceront progressivement les vifs. Pour réussir cette transition qui ne peut pas être immédiate, il est pertinent de laisser Décathlon vendre encore des vifs et de donner le temps nécessaire pour convertir à la pêche au leurre ».
La réponse aux pressions des associations
Au fil des ans, Décathlon a également fait face à des critiques similaires venant d’activistes concernant la vente de matériel de chasse. La pression des associations anti-chasse a conduit à la suppression de certains produits, démontrant à nouveau la volonté de l’enseigne de trouver un équilibre entre les différentes attentes de ses consommateurs.
Pour les amateurs de pêche, cela signifie que même si la vente de vifs venait à disparaître, il existe toujours des alternatives viables. Les pêcheurs pourraient simplement se tourner vers d’autres méthodes pour obtenir leurs appâts, comme l’utilisation de cannes pour pêcher les poissons blancs.
Conclusion
Face aux critiques des animalistes, Décathlon de Niort se trouve dans une position délicate mais continue de travailler pour une transition harmonieuse vers des pratiques plus éthiques. L’engagement de l’enseigne dans la promotion de méthodes alternatives rassure, même si les débats autour des pratiques de pêche et de chasse demeurent vifs.
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Un Cycliste Affirme Apercevoir un Ours dans les Yvelines Mobilisation de la Gendarmerie

Un Cycliste Signale la Présence d’un Ours dans les Yvelines
Un témoignage surprenant près de Bazainville mobilise les forces de l’ordre
Les grands prédateurs en France éveillent souvent des craintes et des débats, mais qu’en est-il lorsqu’ils sont signalés à proximité des grandes villes? C’est ce qu’affirme un cycliste qui aurait aperçu un ours dans les Yvelines, à deux pas de la région parisienne.
Une rencontre inattendue sur la route
En ce mardi 4 juin, un jeune homme, profitant d’une balade à vélo avec sa compagne, affirme avoir vu une masse noire se dresser sur ses pattes arrière sur la route d’Orgerus, près de Bazainville. D’abord pensé être un sanglier, l’animal s’est révélé être un ours, selon le témoignage du cycliste. Pris de panique, le couple a quitté la zone au plus vite, après quoi le jeune homme a immédiatement alerté la gendarmerie.
Les forces de l’ordre sur le qui-vive
Bien que ce signalement soit inhabituel, les gendarmes des Yvelines ont pris l’alerte au sérieux. Une patrouille a été envoyée sur place pour rechercher le plantigrade présumé. En parallèle, ils ont contacté le zoo de Thoiry, situé à proximité, pour vérifier si un pensionnaire manquait à l’appel. Les recherches n’ont pas révélé d’évasion ni de trace d’ours dans les environs.
Un mystère non résolu
Malgré la minutie de leur investigation, aucune preuve tangible n’a été trouvée pour corroborer le témoignage du cycliste. Ni la municipalité, ni les agriculteurs locaux n’avaient aperçu de plantigrade dans la région récemment. Le témoignage reste cependant pris au sérieux par l’Observatoire de la Faune et de la Biodiversité (OFB), qui note la récurrence de ces signalements, notamment près de Rouen en Seine-Maritime.
La prudence reste de mise
En attendant une possible confirmation de la présence d’un ours, la vigilance reste de mise. Les autorités continueront de surveiller la zone et recommandent au public de signaler toute observation inhabituelle. Bien que ce genre d’incident soit rare, il est essentiel d’être préparé.
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Actuchasse
Chevreuil en Dordogne Accident et Conséquences sur la Route

Un Chevreuil Surprend les Conducteurs en Dordogne : Carambolage et Conséquences
Un animal sauvage à l’origine d’un carambolage impliquant trois véhicules
En début de semaine, la tranquillité de la route départementale 703 à Castels-et-Bézenac en Dordogne a été brusquement perturbée par un carambolage inhabituel impliquant trois véhicules. Contrairement aux apparences, ce n’est pas à l’activité humaine que l’on doit cet incident mais à la présence d’un chevreuil, ou plutôt à sa carcasse, reposant sur le bas-côté.
Le Grand Gibier : Source Fréquente d’Accidents de la Route
Les automobilistes de certaines régions de France connaissent bien ce fléau. Les accidents impliquant le gros gibier, notamment les sangliers et les cervidés, sont devenus monnaie courante. La régulation des populations animales par la chasse est souvent mise en péril par des décisions politiques, notamment dans les zones gérées par des élus écologistes. Ces restrictions ont des répercussions directes sur la sécurité routière et les dommages agricoles.
Les sangliers, en particulier, sont connus pour traverser les chaussées de manière imprévisible. Cependant, les cervidés ne sont pas en reste et leur apparition soudaine sur la route provoque souvent des accidents dramatiques. Alors que cette fois, l’incident est lié à un chevreuil, la diversité des animaux en cause témoigne de l’ampleur du problème.
Le Scénario d’un Carambolage
Revenons aux événements de Castels-et-Bézenac. Selon des témoignages variés et des rapports médiatiques encore flous, l’accident semble avoir été déclenché par un automobiliste souhaitant éviter la carcasse d’un chevreuil sur le bas-côté de la route. Dans une version des faits, cet automobiliste aurait simplement été distrait par la vision de l’animal, tandis que d’autres rapportent qu’il aurait fait un écart pour totalement éviter la collision avec le cadavre.
Quel que soit le déclencheur exact, le premier véhicule a dévié de sa trajectoire, percutant de plein fouet une voiture qui venait en sens inverse. L’impact a ensuite provoqué une perte de contrôle du véhicule percuté, qui à son tour est entré en collision avec un troisième véhicule. En quelques secondes, une scène de chaos s’est déroulée sur cette route départementale, laissant les témoins et les conducteurs sous le choc.
Bilan et Interventions
Sur les six personnes impliquées dans ce carambolage, quatre ont été transportées à l’hôpital de Périgueux pour des soins. Heureusement, la majorité d’entre elles n’ont subi que des blessures mineures. Une seule personne a été sérieusement touchée, souffrant de douleurs aux lombaires, mais ses jours ne sont pas en danger.
Les secours sont rapidement intervenus pour sécuriser la zone et prendre en charge les victimes. Cet incident relance le débat sur la sécurité routière en zones rurales et la gestion des populations de gibier.
Mesures de Sécurité et Prévention
Que peut-on tirer de cet épisode pour améliorer la sécurité sur nos routes ? Premièrement, une vigilance accrue est nécessaire lorsqu’on circule dans des zones où le gros gibier est présent. Les automobilistes doivent être prêts à réagir rapidement et de manière sûre en cas de rencontre avec un animal, vivant ou mort. Éviter les coups de volant brusques et réduire la vitesse sont des mesures simples mais efficaces.
Ensuite, il est essentiel de renforcer les efforts de régulation des populations de gibier. Les chasseurs jouent un rôle crucial dans cet équilibre et doivent recevoir le soutien nécessaire pour exercer leur activité de manière responsable et efficace.
Enfin, pour les autorités locales et les responsables de la sécurité routière, l’incident de Castels-et-Bézenac rappelle l’importance d’une signalisation adéquate et de campagnes de sensibilisation régulières à l’attention des automobilistes. Une meilleure information peut sauver des vies.
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Suspension Temporaire de la Chasse au Blaireau dans les Côtes-d’Armor : Une Décision Juridique Retentissante

Suspension de la Chasse au Blaireau dans les Côtes-d’Armor : Un Revirement Juridique
La justice tranche temporairement contre la chasse complémentaire
Le tribunal administratif de Rennes a récemment pris une décision qui fait grand bruit dans le monde de la chasse. En réponse à un recours de deux associations anti-chasse, la chasse complémentaire au blaireau dans les Côtes-d’Armor a été suspendue. Cette décision marque une nouvelle étape dans le débat récurrent sur la chasse et la protection des espèces en France.
Les associations anti-chasse montent au créneau
Les associations AVES France et One Voice ont réussi à faire entendre leur voix en déposant un recours contre l’arrêté préfectoral autorisant la chasse complémentaire au blaireau. Cette période, qui avait débuté le 15 mai et devait se poursuivre jusqu’au 14 septembre, est désormais mise en suspens. Selon le Préfet, l’espèce n’est pas menacée et se porte bien dans le département, ce qui justifiait la chasse complémentaire. Mais les associations ont contesté cette appréciation, arguant que la pratique pourrait nuire au renouvellement de l’espèce.
La vènerie sous terre remise en question
Le tribunal administratif de Rennes a en effet jugé que la vènerie sous terre pouvait poser problème, notamment lorsque des petits blaireaux, ou blaireautins, sont découverts dans les terriers. Cette découverte a conduit les juges à considérer que la pratique spécifique de la vènerie sous terre pouvait compromettre la survie de l’espèce, au moins temporairement.
Un débat qui s’étend au-delà des Côtes-d’Armor
Ce n’est pas la première fois que des arrêtés relatifs à la chasse au blaireau sont contestés. Dans d’autres départements comme l’Aveyron, le Finistère ou les Pyrénées-Atlantiques, des décisions similaires ont été prises. Les chasseurs voient ces recours comme une série de victoires militantes sans réelle base juridique, tandis que les associations considèrent qu’il s’agit de mesures de protection nécessaires pour la faune sauvage.
Quelles implications pour les autres espèces ?
La suspension de l’arrêté préfectoral des Côtes-d’Armor pourrait n’être qu’un début. Des échanges récents entre l’Office National des Forêts (ONF) et la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) suggèrent que les futurs contrats de location de territoires gérés par l’ONF pourraient inclure des clauses excluant la chasse non seulement au blaireau, mais aussi au renard. Ces éléments alimentent les craintes des chasseurs, qui redoutent une remise en cause progressive de leurs pratiques traditionnelles.
L’avenir de la chasse en France
Face à ces tensions, les chasseurs sont invités à redoubler d’efforts pour la défense de leurs pratiques. Travailler en collaboration étroite avec les préfectures, constituer des dossiers solides et montrer que leurs méthodes respectent l’équilibre de la nature sont des démarches essentielles pour préserver l’avenir de la chasse en France. La vigilance est de mise, car les décisions actuelles peuvent avoir des répercussions à long terme sur l’ensemble du monde cynégétique.
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Vente aux enchères de fusils et carabines de chasse au Game Fair

Vente aux enchères de 400 fusils et carabines de chasse au Game Fair
Rendez-vous les 15 et 16 juin pour une collection exceptionnelle d’armes de chasse
Comme chaque année, la Maison de Vente Pousse-Cornet organise une grande vente aux enchères au Game Fair. Cette année, les amateurs d’armes auront rendez-vous le samedi 15 juin à partir de 12h30 pour les fusils et carabines et le dimanche 16 juin pour les gravures, bronzes et taxidermie.
Voici un aperçu de quelques pièces d’exception disponibles lors de cette vente :
Paire de fusils à platines G. GRANGER
Calibre 12/70, système de fermeture Aiglon, platines démontables à la main numérotées 7160 et 7161. Éjecteurs, magnifique gravure florale signée Freycon, canons juxtaposés de 72 cm, double détente. Crosse anglaise en noyer partiellement quadrillée de 37 cm. Longueur totale : 115 cm. Dans sa valise de chasse en cuir fauve de la maison Fauré Le Page. Catégorie C. Estimation : 5000-8000 €.
Fusil de chasse HOLLAND & HOLLAND
Modèle royal Hammerless ejector, calibre 12/65. Canons juxtaposés de 71 cm (restaurés). Double détente, crosse anglaise en noyer en partie quadrillée de 36,5 cm. Armoiries chiffrées BK, fissure à la crosse au niveau du quadrillage de la poignée. N°16369. RGA AY291. Catégorie C. Estimation : 1500-2000 €.
Paire de fusils à platines COGSWELL & HARRISON
Calibre 12/65, canons juxtaposés de 76 cm, gravure de bouquets floraux, double détente à éjecteurs automatiques. Crosse anglaise de 36 cm. Longueur totale : 118 cm. Présenté dans une mallette en bois gainée de cuir marron. Catégorie C. Estimation : 3000-5000 €.
Carabine de chasse BSA à verrou
Calibre 7 x 64 mm, boîtier gravé de dragons, lions et boules. Crosse en noyer incrustée de fils de laiton, d’os et de nacre. Marqué BNP couronné Tonsper. Avec lunette. Longueur totale : 113 cm. Catégorie C. Estimation : 5000-6000 €.
Kipplauf G. RETZ Goldlauter
Calibre 8 x 57 JRS, canon octogonal de 64 cm, double détente, stecher. Crosse pistolet en noyer sculpté de biches, cerfs, sangliers et feuillages, incrustations probables d’argent. Longueur totale : 106 cm. Lunette Zeiss Diavari Z 2,5-10 x 52. Catégorie C. Estimation : 2000-2500 €.
Exceptionnelle carabine à éléphant
Fabrication artisanale Saint-Etienne, calibre 4, boîtier système Gras 1874 hypertrophié. Canon rayé de 835 mm. Poids : 8,5 kg. Longueur totale : 1400 mm. Catégorie D. Estimation : 800-1200 €.
Exceptionnelle canardière
Bloc basculant et verrouillage par levier, fin du XIXe siècle. Longueur : 370 cm. Catégorie D. Estimation : 1500-2000 €.
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L Open de France de Sanglier Courant au Game Fair

L’Open de France de Sanglier Courant au Game Fair : Une Compétition Pour Tous !
Le rendez-vous des chasseurs sportifs au Game Fair
Chaque année, les établissements Sidam, en collaboration avec Connaissance de la Chasse, Savage et Sellier & Bellot, organisent l’Open de France de Sanglier Courant. Cette compétition se tiendra lors du Game Fair et est ouverte à tous les chasseurs.
Comment se déroule l’épreuve ?
Le sanglier courant, qu’est-ce que c’est ? C’est une discipline sportive permettant aux chasseurs de s’entraîner au tir, même en dehors de la saison de chasse. Vous n’avez pas besoin d’être un tireur sportif pour participer ; le but est simplement d’améliorer vos compétences pour la saison de chasse.
Le principe est simple : le tireur se place à environ 30 mètres d’une cible mobile représentant un sanglier. Ce dernier effectue 10 passages, 5 de gauche vers la droite et 5 de droite vers la gauche. Le tireur ne peut tirer qu’une seule fois par passage.
Qui peut participer ?
Cette année, la compétition est ouverte à tous les visiteurs du Game Fair munis d’un permis de chasser et d’une validation pour les années 2023-2024 ou 2024-2025. Et bonne nouvelle, les armes utilisées pour l’épreuve sont prêtées par Sidam. Donc, pas d’excuses pour ne pas tenter l’expérience !
Inscription et détails pratiques
Pour participer, rendez-vous au stand de la Sidam (stand A41) pour vous inscrire. Préparez-vous à une dose d’adrénaline et de convivialité entre passionnés de chasse.
Alors, si vous avez toujours rêvé de tester vos compétences de tir sur une cible mobile ou simplement de vous préparer pour la saison de chasse, l’Open de France de Sanglier Courant est l’événement à ne pas manquer.
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Publié par Actuchasse pour Caninstore.
Récit d’une Polémique entre un Vétérinaire et le Parti Animaliste

Un Vétérinaire Célèbre Recadre Fermement le Parti Animaliste
Récit d’un Buzz Politique, ou Comment Utiliser des Concept Inexactes pour Attirer l’Électorat
À l’approche des élections européennes, chaque parti politique cherche à se démarquer pour capter l’attention des électeurs. Toutefois, il semble que certains n’hésitent pas à distordre les faits pour alimenter leurs campagnes. C’est ce que dénonce un vétérinaire bien connu des réseaux sociaux face aux récentes déclarations d’Hélène Thouy, leader du Parti Animaliste.
Un Débat qui Fait Débat
Hélène Thouy, lors de sa participation à l’émission « L’évènement – Le grand débat des Européennes 2024 », a mis en avant un sujet qui lui tient à cœur : le bien-être animal. En conclusion du débat, elle présente un objet appelé anneau anti-tétée, dénonçant son utilisation comme un acte de torture. Selon elle, cet appareil serait inséré dans le nez des veaux pour les empêcher de téter leur mère, avec des narrations suggestives de veaux affamés et de mères rejetant leur progéniture.
Le Véritable Usage de l’Anneau Anti-tétée
Afin de rectifier ces assertions, le Dr Toudou, un vétérinaire très actif sur X (anciennement appelé Twitter), a pris la parole pour partager son expertise. Connu pour ses publications mêlant information et émotion, ce vétérinaire n’a pas mâché ses mots en réagissant aux propos de Thouy. Il a re-contextualisé l’utilisation de l’anneau anti-tétée, expliquant qu’il s’agit en fait d’un dispositif employé pour empêcher les jeunes bovins de téter excessivement.
Placé sur des génisses ou des vaches ayant tendance à téter les autres, cet anneau prévient les déformations des trayons et les infections mammites. Loin d’être un instrument de torture, il s’agit d’un outil préventif pour protéger la santé du troupeau.
La Réaction des Professionnels du Secteur
Les assertions d’Hélène Thouy n’ont pas seulement exaspéré le Dr Toudou. Étienne Agri, un agriculteur lui aussi très actif sur les réseaux sociaux, a soutenu les propos du vétérinaire en précisant à son tour l’utilisation correcte de cet outil. Il a éclairé l’audience sur le fait que l’anneau anti-tétée est utilisé pour les veaux sevrés afin de les empêcher de téter leurs congénères, un sujet méconnu par le grand public.
Les Conséquences de la Désinformation
La désinformation véhiculée par certains partis animalistes n’est pas sans conséquence. Les professionnels du secteur soulignent qu’une mauvaise compréhension des pratiques agricoles peut mener à des règlements contre-productifs, nuisibles à la fois pour les animaux et ceux qui s’en occupent. Le Dr Toudou insiste sur l’importance de comprendre le fonctionnement quotidien des élevages avant de porter des jugements hâtifs.
Conclusion : Un Appel à la Raison et à la Pédagogie
Le monde de l’agriculture et de l’élevage est souvent la cible de multiples attaques basées sur une connaissance parcellaire des faits. Les initiatives comme celles du Dr Toudou et d’Étienne Agri sont essentielles pour rétablir la vérité et éduquer le grand public sur les réalités du terrain. Leurs interventions nous rappellent l’importance de la pédagogie face aux tentatives de buzz politique.
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Open de France de sanglier courant au Game Fair 2023

L’Open de France de sanglier courant ouvert à tous les chasseurs au Game Fair!
Une Compétition de Tir pour Tous les Passionnés de Chasse
Comme chaque année, les établissements Sidam organisent l’Open de France de Sanglier Courant en partenariat avec Connaissance de la Chasse, Savage et Sellier & Bellot.
Comment se déroule l’épreuve?
Le sanglier courant est une discipline permettant aux chasseurs de s’entraîner au tir en dehors de la période de chasse. Cette discipline sportive est ouverte à tous les chasseurs. Il n’est pas nécessaire d’être tireur sportif pour y participer; le principal objectif est de s’entraîner pour être plus efficace en période de chasse.
Le Principe
Le tireur est placé à une distance d’environ 30 mètres de la cible mobile « sanglier ». Le sanglier passe alternativement 5 fois de gauche vers la droite et 5 fois de droite vers la gauche. Le tireur ne peut tirer qu’une seule fois à chaque passage du sanglier.
Inscription et Participation
Cette année, la compétition est ouverte à tous les visiteurs du Game Fair ayant un permis de chasser et une validation 2023-2024 ou 2024-2025. Les armes sont prêtées par la Sidam! Pour participer, inscrivez-vous directement sur le stand de la Sidam (Stand A41).
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Partenariat entre SNCF et Chasseurs d’Occitanie pour la Sécurité Ferroviaire

Un Partenariat Vital pour la Sécurité Ferroviaire en Occitanie
Des Collisions Coûteuses et des Retards Inévitables
Le réseau ferroviaire français, en particulier en Occitanie, est fréquemment perturbé par les collisions entre les trains et les animaux sauvages. Ces incidents non seulement entraînent d’importants retards pour les passagers, mais génèrent également des coûts de réparation se chiffrant en millions d’euros pour la SNCF. Face à cette situation préoccupante, la SNCF et les chasseurs d’Occitanie ont décidé de renforcer leur collaboration afin de minimiser ces événements tragiques et coûteux.
Une Collaboration Renforcée et Pérenne
Depuis plusieurs années, des chasseurs interviennent ponctuellement dans diverses régions de France pour réguler la population de gibier à proximité des voies ferrées. Toutefois, en raison de l’augmentation des incidents liés aux animaux, cette collaboration s’est intensifiée et diversifiée. En Nièvre, en Loire-Atlantique, et plus récemment en Occitanie, les chasseurs sont devenus des partenaires incontournables de la SNCF, assurant des battues régulières pour éloigner les sangliers, cervidés, et autres animaux susceptibles de créer des perturbations.
Selon un récent rapport de France Bleu, les collisions avec les grands gibiers en Occitanie ont causé des millions d’euros de pertes à la SNCF en 2023, ainsi que 270 heures de retard cumulées. Consciente de la gravité de la situation, la SNCF Réseau Occitanie a signé une convention avec les chasseurs d’une durée de sept ans, étendant ce partenariat jusqu’en 2030. Ce geste symbolise la reconnaissance d’une relation devenue essentielle pour la pérennité et la sécurité du réseau ferroviaire.
Les Chasseurs : Gardiens des Rails
Le rôle des chasseurs va bien au-delà de la simple régulation animale. Leur connaissance approfondie des territoires constitue un avantage indéniable pour la SNCF. Prenons l’exemple de Montpellier où les lapins de garenne creusent des terriers menaçant la stabilité des structures ferroviaires. Grâce à l’intervention des chasseurs, ces nuisances sont contrôlées, évitant ainsi des catastrophes potentielles.
En ce qui concerne le grand gibier, les chasseurs identifient les zones de forte fréquentation, permettant à la SNCF de planifier et d’installer des clôtures ou des passages sécurisés pour protéger à la fois la faune et les infrastructures ferroviaires. Par ailleurs, lors de la création de nouvelles lignes ferroviaires, les chasseurs renseignent la SNCF sur les populations animales présentes, facilitant les opérations de déplacement vers des zones sûres et adaptées.
Implications pour l’Avenir et Sécurité Ferroviaire
Ce partenariat entre la SNCF et les chasseurs démontre comment une coopération interdisciplinaire peut contribuer à résoudre des problématiques complexes et coûteuses. La pérennisation de cette collaboration jusqu’en 2030 montre l’importance cruciale des chasseurs dans la gestion et la protection des infrastructures ferroviaires face aux risques posés par la faune.
En conclusion, ce partenariat entre la SNCF et les chasseurs d’Occitanie est un exemple probant de synergie gagnant-gagnant. La sécurité des passagers est améliorée, les coûts de réparation sont réduits, et la cohabitation entre le développement humain et le monde animal est facilitée de manière respectueuse et efficace.
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Marc Fesneau Défie les Propositions des Écologistes sur l’Agriculture à l’Assemblée Nationale

Marc Fesneau Répond Vivement aux Propositions Écologistes sur l’Agriculture
Un Débat Passionné à l’Assemblée Nationale
Les récents débats à l’Assemblée Nationale ont été particulièrement animés, opposant Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture, au groupe écologiste. Le ton est monté lors des discussions sur les projets de loi concernant la souveraineté agricole et le renouvellement des générations en agriculture.
Un Échange Houleux Initié par les Écologistes
Lors de son intervention, Mme Pochon, du groupe écologiste, a mis en avant les initiatives de son groupe en matière d’agriculture biologique. Elle a argué que les écologistes, ayant toujours un temps d’avance, devraient être davantage écoutés. Elle a même proposé que des objectifs chiffrés soient instaurés pour réserver des terres agricoles à l’agriculture biologique, concluant son intervention par un appel à suivre les directives écologistes pour un avenir meilleur.
Marc Fesneau : Un Réquisitoire Sans Concession
Face à cette proposition, Marc Fesneau n’a pas mâché ses mots. Il a catégoriquement refusé de suivre aveuglément les recommandations écologistes. Le ministre a illustré ses propos en faisant référence aux difficultés énergétiques de la France, qu’il a attribuées aux décisions anti-nucléaires promues par les écologistes. Il a critiqué vigoureusement cette position en suggérant que de telles orientations pourraient mener l’agriculture à un échec similaire si elles étaient appliquées.
Un Échange Virulent et Détouré
Durant son offensive, Fesneau a exhorté les écologistes à abandonner ce qu’il considère comme un dogme rigide. Selon lui, les propositions avancées, bien que parfois séduisantes, manquent de pragmatisme et peuvent conduire à des impasses. Le ministre a aussi rappelé que dans le contexte actuel de crise, il est essentiel de démontrer la rentabilité des pratiques bio par rapport aux méthodes conventionnelles.
Un Appel au Réalisme et à la Diversité des Pratiques Agricoles
Marc Fesneau a tenu à nuancer son propos en reconnaissant la nécessité de soutenir l’agriculture biologique. Cependant, il a souligné que réduire les débats à une opposition binaire entre bio et conventionnel est contre-productif. Il a plaidé pour une approche plus équilibrée, tenant compte de la diversité des pratiques agricoles et des besoins variés de la société.
Des Propos qui Résonnent
Les paroles de Fesneau ont marqué l’Assemblée et illustrent un débat de fond sur les orientations futures de l’agriculture française. En appelant à sortir des « couloirs » idéologiques, le ministre invite à une réflexion plus large et moins sectaire sur les enjeux agricoles.
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