Le sauvetage insolite d’un flamant rose en pleine ville

Le sauvetage insolite d'un flamant rose en pleine ville

Le sauvetage insolite d’un flamant rose en pleine ville

Un flamant rose égaré secouru en centre-ville de Pau

Les pompiers de Pau ont récemment fait une découverte des plus surprenantes : un flamant rose en détresse en plein milieu de la ville. Le 25 septembre dernier, ces braves soldats du feu ont été appelés pour une mission aussi inédite qu’inhabituelle.

Dans le quartier de Trespoey, à l’est de Pau, l’oiseau, baptisé Roland par ses soigneurs, a été trouvé affaibli et immobile, bloquant une voie de circulation sur l’avenue des Acacias. Les spécialistes, après contact avec le zoo Exotic Park à Lescar, ont déterminé que le flamant rose s’était probablement égaré pendant sa migration, épuisé et affamé.

Une aile fracturée pour le flamant rose

Les vétérinaires ont rapidement pris en charge Roland et l’ont transporté en sécurité à la clinique pour une évaluation plus poussée. À leur grande surprise, ils ont découvert que l’oiseau souffrait d’une fracture de l’aile, ce qui explique son incapacité à continuer son vol.

Un message rassurant a été publié sur la page Facebook des vétérinaires : « Une fracture est visible à l’aile, mais avec du repos, il pourra retrouver sa liberté ». Roland se trouve maintenant au centre de soins Hegalaldia à Ustaritz où il reprend des forces avant de pouvoir rejoindre ses compagnons.

On ne sait toujours pas comment un flamant rose s’est retrouvé à Pau

Les flamants roses, ou Phoenicopterus roseus Pallas, migrent régulièrement en France, mais préfèrent les zones humides de la Méditerranée, comme la Camargue, plutôt que le Béarn. La présence de Roland à Pau demeure un mystère pour les pompiers et les spécialistes qui l’ont secouru.

Une hypothèse avancée est qu’il aurait dévié de sa route en raison de sa blessure, finissant par atterrir sur l’avenue des Acacias par épuisement et manque de nourriture.

Hegalaldia, un refuge indispensable pour Roland

Le centre de soin Hegalaldia, le seul du département apte à accueillir des animaux sauvages, a pour mission de soigner et de remettre en liberté les animaux en détresse. Fondé en 1995, il aide chaque année plus de 2500 animaux, dont plusieurs dizaines de milliers ont survécu grâce à ses efforts.

Le maintien de ce centre vital nécessite des fonds importants. Pour l’année 2024, il manque encore 40 000€. Un appel aux dons a été lancé, espérant que l’histoire de Roland attirera l’attention et la générosité nécessaires. Chaque contribution compte pour continuer à sauver des animaux comme ce flamant rose.

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Trois forêts françaises à explorer en automne

Trois forêts françaises à explorer en automne

Trois forêts françaises dans lesquelles profiter de la magie de l’automne

Découvrez la féerie des forêts françaises en automne

La forêt de Brocéliande, Bretagne

La forêt de Brocéliande, située en Bretagne, à Paimpont, est un véritable écrin de légendes et de mystères. Associée aux récits du roi Arthur et des chevaliers de la Table ronde, Brocéliande est célèbre depuis les écrits de Chrétien de Troyes à la fin du XIIe siècle. À l’automne, cette forêt se transforme en une symphonie de couleurs flamboyantes. En vous aventurant sur ses sentiers sinueux, vous pourrez découvrir des sites mythiques comme la fontaine de Barenton ou le tombeau de Merlin. Laissez-vous envoûter par les chênes millénaires et le chant mélodieux des oiseaux, pour une expérience féerique inoubliable.

Le bois de Païolive, Ardèche

Situé au cœur de l’Ardèche, le bois de Païolive est un trésor naturel sculpté par l’érosion. Cette forêt ancienne, protégée depuis 1934, est connue pour sa biodiversité exceptionnelle et ses paysages de pierre. En automne, les roches calcaires se couvrent de nuances dorées et rouges, offrant un contraste saisissant avec le vert des feuillages. En arpentant les sentiers, vous rencontrerez une faune aviaire variée, y compris des oiseaux rares comme le martin-pêcheur et le grand-duc d’Europe. Les gorges du Chassezac, qui traversent la forêt, ajoutent une touche de magie à ce lieu paisible, idéal pour une balade automnale entre forêts, rivières et clairières enchanteurs.

La forêt d’Iraty, Pays basque

La forêt d’Iraty, nichée au cœur des montagnes basques et étendue sur plus de 17 000 hectares, est l’une des plus grandes de France. Ce sanctuaire naturel, à cheval entre la France et l’Espagne, est peuplé de légendes, dont celle de Basajaun, le « seigneur de la forêt ». Dominée par le hêtre, Iraty est la plus grande hêtraie d’Europe, mais abrite aussi des frênes et des chênes pédonculés vieux de 500 ans. La forêt accueille une richesse faunistique incluant cerfs élaphes, chevreuils et sangliers. Que vous soyez un randonneur expérimenté ou un simple promeneur, la tranquillité et les vues imprenables sur les Pyrénées feront de Iraty une expérience mémorable.

L’invitation à la célébration automnale

L’automne métamorphose les forêts de France en véritables toiles vivantes. Chaque promenade devient une invitation à la contemplation et à l’évasion. Que vous choisissiez Brocéliande, Païolive ou Iraty, ces lieux offrent des expériences uniques à la frontière entre réalité et mythe. Embarquez pour une promenade dans l’une de ces forêts et laissez-vous séduire par la magie automnale !

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La Symbolique du Sanglier

La Symbolique du Sanglier

La Symbolique du Sanglier

Force, Vitalité et Guerrier Sacré

Dans les antiques représentations, les animaux jouent souvent un rôle symbolique, beaucoup de civilisations leur attribuent une signification spécifique. Par exemple, chez les Romains, l’aigle représente la suprématie, symbolisant l’image même de l’empire. Aujourd’hui, nous nous intéressons au sanglier, un grand gibier très prisé par les chasseurs, moins connu pour son symbolisme comparé au cerf, surnommé le « roi de la forêt ».

Le Sanglier comme Symbole de la Force

Un Mammifère Sacré chez les Celtes

Chez les Celtes, le sanglier est un animal sacré, fièrement représenté sur les carnyx, des cors de musique en forme de hure de sanglier, utilisés pour galvaniser les troupes avant le combat. Cette association entre le guerrier en furie et le sanglier est aisée à comprendre. La force brute et la détermination du sanglier, ainsi que sa vitesse, en font un symbole du guerrier invincible, puissant, rapide et tenace.

Un Petit Tour par le Japon

Cette symbolique guerrière n’est pas exclusive à l’Occident. En Extrême-Orient, et particulièrement au Japon, le sanglier est également célébré pour sa force et est même un animal zodiacal associé au courage et à la témérité. Le sanctuaire shinto Goô Jinja à Kyoto est gardé par des statues de sangliers, une particularité inspirée d’une légende où un fonctionnaire impérial, Wakeno Kiyomaro, fut escorté et protégé par 300 sangliers. Ainsi, la symbolique japonaise fait écho à celle des Celtes : l’animal est sacré et symbolise à la fois la nature dans sa brutalité et sa vitalité.

Le Revers du Symbole

Le Sanglier, un Animal Démoniaque

Si le sanglier est souvent célébré dans les cultures païennes, le christianisme en fait une créature diabolique, souvent assimilée au porc domestique. Dans la tradition chrétienne, le sanglier symbolise le démon, la luxure et la fougue des passions, rappelant son passage dévastateur dans les champs et vignobles. Cette image diabolique est illustrée par Jérôme Bosch dans « La Tentation de saint Antoine » où un personnage arbore le groin du sanglier.

En Contexte Bouddhique

Le bouddhisme n’est pas plus clément envers le suidé. Le sanglier y est associé aux « trois poisons » de l’existence karmique : la convoitise, la haine et l’ignorance, des pathologies existentielles menant à l’insatisfaction de l’être. Dans cette culture, le sanglier demeure la « bête noire », symbolisant des états négatifs.

La symbolique du sanglier est donc riche et complexe. Il représente dans de nombreuses cultures la force et la vitalité du monde naturel, accompagne les guerriers au combat et protège les justes. Toutefois, sa puissance peut facilement être vue comme de la violence, illustrant parfois des aspects négatifs comme la subversion. Cela montre la capacité de l’homme à exprimer l’ordre cosmique à travers des symboles ambivalents.

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Perdu en forêt comment réagir et survivre

Perdu en forêt comment réagir et survivre

Perdu en forêt : Comment réagir et survivre en attendant les secours

Se perdre en forêt peut arriver à tout le monde, même aux plus expérimentés. Que vous soyez en randonnée, en pique-nique ou même en simple promenade, il est crucial de savoir comment réagir en cas de désorientation. Suivez ces quelques clés pour vous orienter et signaler votre présence jusqu’à l’arrivée des secours.

Anticipation : La clé de la sécurité

Partir en forêt, c’est avant tout une question de préparation. Avant de chausser vos bottes, assurez-vous de disposer du bon équipement : carte détaillée de la région (de préférence une carte IGN), boussole, GPS, téléphone portable bien chargé, lampe de poche, trousse de premiers secours et une couverture de survie. Portez des vêtements adaptés aux conditions météorologiques et n’oubliez pas de prendre de l’eau et de la nourriture. Enfin, n’oubliez pas de prévenir un proche du moment de votre départ et de votre retour présumé.

Garder son calme

En cas de perte d’orientation, votre premier réflexe doit être de garder votre calme. La peur peut vous faire perdre le contrôle et vous pousser à prendre des décisions irrationnelles. Selon Kenneth Hill, psychologue à l’université Saint Mary au Canada, les personnes perdues ont tendance à céder à la panique et à prendre des décisions impulsives, aggravant leur situation. Une seule règle : ne pas paniquer. La rationalité et le calme augmentent considérablement vos chances de survie.

Techniques d’orientation en forêt

Si vous n’avez pas de boussole, plusieurs méthodes peuvent vous aider à vous orienter. Par exemple, la méthode du bâton consiste à planter un bâton vertical et suivre l’évolution de son ombre pour déterminer la direction est-ouest. Une autre solution consiste à improviser une boussole à l’aide d’une aiguille magnétisée déposée sur un morceau de papier ou de bois à la surface de l’eau, indiquant ainsi le nord. Quant à la méthode traditionnelle de la mousse sur les troncs, méfiez-vous : elle n’est pas fiable car la mousse pousse partout sous les feuillages des arbres.

Se signaler en forêt

La visibilité est cruciale en situation de survie. Après avoir sécurisé votre environnement immédiat, créez des signaux visuels pour faciliter votre repérage depuis les airs. Par exemple, vous pouvez écrire SOS avec des pierres ou des branches. Utilisez tout objet réfléchissant, comme un miroir, un morceau de verre ou de métal poli, pour projeter des faisceaux lumineux et attirer l’attention des secours.

En attendant les secours

En attendant les secours, protégez-vous des éléments. Trouvez un abri naturel comme une grotte, un rocher ou un arbre creux. Si possible, allumez un feu pour vous réchauffer et sécher vos vêtements. Ces gestes simples peuvent considérablement améliorer votre confort et votre sécurité en attendant les secours.

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Corbeau et corneille comment les différencier

Corbeau et corneille comment les différencier

Corbeau et Corneille : Les Clés pour ne Plus les Confondre

Différences physiques révélatrices

À première vue, le corbeau et la corneille se ressemblent beaucoup à cause de leur plumage noir et de leur apparence robuste. Pourtant, ces deux espèces sont bien distinctes. Le grand corbeau, connu sous le nom de Corvus corax, et la corneille noire, appelée Corvus corone, appartiennent à la même famille (les corvidés) et au même genre (Corvus), mais pas à la même espèce. Il est aussi crucial de préciser que la corneille n’est pas la femelle du corbeau.

La taille est un premier indice notable. Le corbeau, avec une envergure de 150 cm, est nettement plus grand que la corneille dont l’envergure est de 75 cm. Le bec du corbeau, plus massif et légèrement courbé, souvent de couleur grise, est un autre élément distinctif par rapport au bec plus petit et totalement noir de la corneille.

Le crâne du corbeau est plus arrondi et imposant, tandis que celui de la corneille est plus plat. Concernant le plumage, bien que les deux oiseaux soient noirs, la corneille arbore une teinte plus uniforme et sombre, se ternissant avec l’âge. Le corbeau, lui, exhibe des reflets irisés allant du bleu au violet selon la luminosité. Enfin, la queue du corbeau est longue et en forme de coin, alors que celle de la corneille est plus courte et arrondie.

Des comportements révélateurs

Le comportement de ces oiseaux offre également des indices pour les différencier. Le corbeau marche d’un pas régulier au sol, rappelant celui des humains, tandis que la corneille effectue de petits bonds. En vol, le corbeau est capable de planer grâce aux courants d’air, contrairement à la corneille qui a un vol plus dynamique avec des battements d’ailes amples et cadencés.

Le cri est aussi révélateur. La corneille émet un cri grave et rauque tandis que le corbeau produit un croassement aigu et bref, facilement reconnaissable. La prochaine fois que vous les entendrez, tendez l’oreille pour les différencier!

Les modes de vie diffèrent également. La corneille est souvent vue en groupe, surtout après la saison de reproduction, avec des regroupements pouvant atteindre plus de 100 individus. Cet oiseau vit à proximité des humains et se nourrit de leurs déchets. Le corbeau, plus solitaire ou vivant en couple, évite les zones habitées et préfère les zones agricoles.

Une intelligence hors norme

Malgré leurs différences, corbeau et corneille partagent une intelligence exceptionnelle. Capables de fabriquer et utiliser des outils, ces oiseaux montrent des compétences comparables à celles d’enfants de 4 à 6 ans. Ils sont aussi connus pour cacher leur nourriture et revenir la chercher plus tard, en plus d’imiter les cris de divers autres oiseaux.

En conclusion, même si corbeaux et corneilles se ressemblent, il est possible de les distinguer grâce aux différences physiques et comportementales. La taille, la forme du bec, la couleur du plumage, la forme de la queue, et leurs habitudes de vol sont des indices sûrs pour les identifier.

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L OFB et fondation Brigitte Bardot contre trafic d espèces protégées

L OFB et fondation Brigitte Bardot contre trafic d espèces protégées

L’OFB et la Fondation Brigitte Bardot unis contre le trafic d’espèces protégées

Des objets rares pour une cause noble

La semaine dernière, le musée de la Contrefaçon à Paris a accueilli une cérémonie un peu spéciale. La Fondation Brigitte Bardot a remis à l’OFB (Office Français de la Biodiversité) une collection d’objets concernés par la réglementation CITES. Ce don comprenait des coraux, des coquillages, un pied d’éléphant, des objets en peau de crocodile et de nombreux ivoires tournés.

Cette initiative vise à enrichir les ressources pédagogiques de l’OFB pour la formation des futurs inspecteurs de l’environnement. Ces derniers sont chargés de l’application de la convention de Washington en France. La collaboration entre l’OFB et la Fondation Brigitte Bardot s’étend également à d’autres partenaires tels que les douanes et les magistrats.

Un effort conjoint pour sensibiliser et former

C’est la deuxième fois que la Fondation Brigitte Bardot fait un tel don à l’OFB, la première remontant à septembre 2016. Ghyslaine Calmels-Bock, Directeur Général de la Fondation, a déclaré : « Il nous est apparu évident de vous confier ces objets, car nous sommes convaincus qu’ils contribueront à la lutte contre le trafic des espèces protégées. En les utilisant pour former vos agents et sensibiliser vos partenaires, nous espérons que le sacrifice des animaux dont ils proviennent ne sera pas vain ».

De son côté, Olivier Thibault, Directeur Général de l’OFB, a souligné l’importance de cette lutte en rappelant : « Le trafic des espèces protégées issues de la faune sauvage est considéré comme la troisième activité de criminalité transnationale organisée la plus lucrative au monde, représentant 80 à 230 milliards de gains illicites chaque année. Ce trafic est malheureusement toujours en hausse. La lutte contre les trafics de faune et de flore est l’une des missions de l’OFB, et ses agents y sont pleinement engagés au quotidien pour endiguer ce fléau. »

CITES et l’OFB : une alliance pour la biodiversité

La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), aussi appelée Convention de Washington, a été adoptée en 1973. Son objectif est d’assurer qu’aucune espèce sauvage, animale ou végétale, ne devienne ou ne reste soumise à une exploitation non durable par suite du commerce international.

En France, le réseau CITES de l’OFB compte 200 agents qualifiés qui travaillent en étroite collaboration avec les différents services de contrôle. À ce jour, plus de 40 000 espèces sauvages bénéficient de cette protection, dont 6 601 espèces animales et 34 000 espèces végétales.

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Les écureuils et l’exploration spatiale

Les écureuils et l'exploration spatiale

L’écureuil, modèle inspirant pour les futurs voyages spatiaux

S’inspirer des écureuils pour des voyages interplanétaires

Qui aurait cru que les petits écureuils de nos forêts puissent un jour être au cœur des plus grands projets spatiaux de l’humanité ? En se penchant sur les mécanismes qui permettent à ces petits rongeurs de survivre aux rigueurs de l’hiver, les chercheurs espèrent révolutionner les voyages spatiaux de longue durée. L’hibernation, cet état de vie suspendu, pourrait bien être la clé pour conquérir les étoiles.

Les pionniers de l’espace : Gagarine et Armstrong

En 1961, Iouri Gagarine est devenu le premier homme à effectuer un vol habité dans l’espace. Plus tard, en 1969, Neil Armstrong marquait l’histoire en étant le premier homme à poser le pied sur la Lune. Mais depuis, la Lune reste une limite. Voyager plus loin présente des défis majeurs, notamment pour la physiologie humaine. La microgravité, les radiations cosmiques et l’isolement sont des obstacles sérieux pour la durée des missions spatiales.

L’hibernation : le secret de l’écureuil

L’hibernation est un état physiologique où la diminution du métabolisme, de la température corporelle et de l’activité cérébrale permet aux écureuils de traverser l’hiver en économisant leurs ressources. Pendant cette période, le cœur bat lentement, la respiration est ralentie et la température corporelle chute de plusieurs degrés. Malgré cette léthargie apparente, les écureuils se réveillent au printemps en pleine forme.

Les mécanismes de survie en hibernation

Comment les écureuils survivent-ils à de longues périodes d’inactivité sans que leurs organes ne s’atrophient ? Les chercheurs ont identifié plusieurs mécanismes essentiels :

  • Accumulation de réserves énergétiques sous forme de graisse, essentielle pour survivre durant l’hiver.
  • Modifications métaboliques profondes réduisant les besoins énergétiques.
  • Régulation hormonale spécifique induisant et maintenant l’état d’hibernation en modulant l’activité des organes et tissus.
  • Baisse significative de la température corporelle permettant de réduire encore les besoins énergétiques.

En combinant ces mécanismes, les écureuils traversent les rigueurs de l’hiver en léthargie profonde tout en préservant l’intégrité de leurs organes, un sujet fascinant pour les chercheurs en quête d’innovations spatiales.

L’hibernation artificielle pour l’exploration spatiale

Les chercheurs se tournent vers des techniques d’hibernation artificielle pour les astronautes, s’inspirant spécifiquement du spermophile rayé, Spermophilus tridecemlineatus. Ce rongeur entre en léthargie prolongée, utilisant ses réserves lipidiques sans perdre de masse musculaire, grâce à un microbiote intestinal qui optimise l’utilisation des ressources et fabrique de nouvelles protéines tissulaires.

Ce phénomène intrigue les scientifiques, car la microgravité de l’espace affecte la masse musculaire des astronautes, limitant ainsi les possibilités de voyages prolongés. Les découvertes réalisées dans ce domaine pourraient avoir des répercussions au-delà de l’exploration spatiale, profitant notamment aux personnes âgées, sédentaires ou malades alitées.

Survivre à l’hiver le guide ultime du survivaliste

Survivre à l'hiver le guide ultime du survivaliste

Survivre à l’hiver : le guide ultime du survivaliste

L’hiver peut transformer une randonnée paisible en une véritable épreuve de survie. Le survivalisme, cette pratique axée sur l’autonomie et la préparation, propose des compétences cruciales pour affronter la saison froide. Voici quelques techniques indispensables pour résister aux éléments.

L’abri : votre premier rempart contre le froid

Un abri adéquat est essentiel pour survivre en hiver. Il doit vous protéger du vent, de la neige et de la pluie. L’igloo, bien que très isolant, est rarement utilisé en France en raison de sa complexité. À la place, le quinzhee, une cavité remplie de neige puis compactée, est une option plus viable. Dans les environnements boisés, le lean-to, fait de branches et d’une bâche, offre une protection rapide et efficace.

Techniques à maîtriser

Il est crucial d’observer le terrain et d’utiliser le relief. Les abris naturels comme les grottes ou les dépressions offrent une protection instantanée. Quelle que soit la méthode choisie, maîtriser les techniques de nœuds et de montage de structures est un grand avantage. Un abri doit être bien isolé en remplissant le sol de feuilles et de mousse, puis en renforçant les parois avec des branchages et du feuillage.

Le feu : indispensable pour survivre

Le feu est central à la survie, servant à la thermorégulation corporelle, à la préparation des aliments et à la purification de l’eau. Avec des allumettes ou un briquet, un feu peut s’allumer facilement, sous réserve de combustible sec. Sinon, la technique d’allumage par friction, bien que nécessitant beaucoup d’entraînement, reste une méthode fiable.

L’habillement : la première ligne de défense contre le froid

Votre habillement joue un rôle crucial dans la lutte contre le froid. Le système à trois couches est fondamental : une couche de base pour la thermorégulation, une couche intermédiaire pour conserver la chaleur, et une couche extérieure pour vous protéger des intempéries. Chaque couche doit être choisie avec soin pour maximiser son efficacité.

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Précautions pour une Cueillette de Champignons Sécurisée en Automne

Précautions pour une Cueillette de Champignons Sécurisée en Automne

Les Précautions Essentielles pour la Cueillette des Champignons en Automne

L’automne est une saison chérie par les randonneurs et les adeptes de la cueillette de champignons. Bien que les champignons puissent être récoltés toute l’année, l’automne offre une diversité incomparable. Cependant, une activité aussi plaisante soit-elle n’est pas dénuée de risques, que ce soit pour votre sécurité ou pour l’environnement. Voici quelques conseils indispensables pour une cueillette sereine et respectueuse des forêts.

Informer ses Proches

Chaque année, des amateurs de champignons se perdent en forêt, nécessitant l’intervention des secours. Avant de partir, informez vos proches de votre itinéraire précis et de votre heure prévue de retour. N’oubliez pas qu’une forêt peut être un lieu hostile avec des risques de chutes, blessures ou rencontres inattendues avec la faune locale (sangliers, serpents, etc.). Prenez un téléphone portable bien chargé et, si possible, une carte de la zone.

Se Renseigner sur le Lieu de Cueillette

Avant de vous lancer dans la cueillette, vérifiez que celle-ci est autorisée dans la zone choisie. Les forêts domaniales permettent généralement la cueillette sous certaines conditions, tandis que les forêts privées l’interdisent sauf autorisation du propriétaire, comme le stipule l’article 547 du Code civil. Respectez les limites de quantité imposées par de nombreuses communes (souvent 5 litres par personne et par jour) pour éviter la surexploitation des ressources naturelles.

Cueillir Uniquement les Champignons Connaissables

Le risque d’intoxication est un danger réel lors de la cueillette de champignons. Certaines espèces toxiques ressemblent à s’y méprendre à leurs homologues comestibles. Pour éviter les accidents, ne cueillez que les champignons que vous pouvez identifier avec certitude. Si vous êtes débutant, accompagnez-vous d’une personne expérimentée ou utilisez un guide spécialisé. Ne vous fiez pas à la couleur ou à la forme pour identifier un champignon, car ces critères peuvent être trompeurs.

Respecter l’Environnement

La cueillette doit se faire dans le respect de l’écosystème forestier. Dégagez le champignon en entier sans le couper à la base pour préserver le mycélium, et prenez soin de ne pas perturber l’humus. Récoltez avec modération et ne prenez que les champignons en bon état. Laissez ceux qui sont abîmés, car ils participent à l’équilibre de l’écosystème en se décomposant. Utilisez un panier en osier plutôt qu’un sac plastique pour favoriser la conservation.

En suivant ces conseils, vous pourrez profiter de la cueillette de champignons en toute sécurité et en respectant l’environnement. Alors, équipez-vous de votre panier, soyez prudent et savourez les trésors de l’automne!

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Le partenariat entre chasseurs et gendarmes du Gard contribue à la sécurité rurale et à la protection de la nature

Le partenariat entre chasseurs et gendarmes du Gard contribue à la sécurité rurale et à la protection de la nature

Les chasseurs du Gard renforcent la sécurité et la préservation grâce à un partenariat avec la gendarmerie

Une collaboration fructueuse pour la troisième année consécutive

Dans plusieurs départements français, les Fédérations de chasse et les forces de l’ordre travaillent main dans la main pour diverses missions telles que la surveillance sanitaire, la protection des espaces naturels et la lutte contre le braconnage. Le Gard ne fait pas exception, et pour la troisième année consécutive, la gendarmerie locale et les chasseurs ont renouvelé leur partenariat pour le bénéfice de tous.

Un atout pour l’entraînement des forces de l’ordre

Les gendarmes du Gard profitent largement de cette convention, notamment en utilisant le stand de tir de la Fédération des chasseurs à Nîmes pour leur entraînement. Un aspect parfois méconnu mais crucial, car maintenir une compétence de tir élevée est essentiel pour les forces de l’ordre. Ce partenariat offre donc aux gendarmes un lieu pratique et adapté pour ces sessions critiques.

Surveillance accrue du monde rural

Ce partenariat ne se limite pas aux aspects pratiques pour les forces de l’ordre. Les chasseurs, par leur présence constante sur le terrain, jouent un rôle précieux dans la surveillance de la campagne. Toujours aux aguets, ils sont souvent les premiers témoins d’anomalies ou d’activités suspectes. Des enquêtes récentes menées par la gendarmerie ont abouti grâce aux informations fournies par ces vigies rurales.

Cas concrets de collaborations réussies

Les chasseurs ne sont pas seulement utiles pour prévenir le braconnage. Il y a quelques années, leur vigilance a permis de mettre au jour une plantation de cannabis dissimulée en pleine nature. Grâce à cette intervention, la gendarmerie a pu agir avant que les cultivateurs illégaux ne réussissent leur manœuvre. Ce genre de coopération prouve l’efficacité du partenariat.

Une aide précieuse dans des enquêtes sensibles

Les gendarmes apprécient particulièrement l’aide des chasseurs dans les affaires nécessitant une connaissance approfondie du terrain. Qu’il s’agisse de traquer des braconniers ou de repérer des activités illégales en zones reculées, les chasseurs deviennent des alliés indispensables. Leur expertise et leur connaissance locale sont inestimables pour les forces de l’ordre.

Renouvellement officiel de la convention

Ce partenariat, dont l’efficacité n’est plus à prouver, a été officiellement reconduit le 11 octobre. La gendarmerie du Gard peut donc compter sur le soutien constant et vigilant des chasseurs pour encore une année. Une alliance qui promet de continuer à apporter des résultats concrets en matière de sécurité et de préservation des espaces naturels.

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