Loup aperçu près d’une école dans les Hautes-Pyrénées

Un loup filmé tranquillement aux abords d’une école des Hautes-Pyrénées
Une vidéo nocturne d’un loup capturée dans le village d’Agos-Vidalos fait couler beaucoup d’encre. Cette séquence, publiée sur la page Facebook « Non au Loup », illustre la présence intrépide de cet animal dans une zone habitée, juste à côté d’une école, le tout sous les réverbères. Le remarquable spécimen de Canis lupus, plus communément appelé loup gris, semble faire fi de la présence humaine, déambulant sans une once d’hésitation au cœur du village.
Une augmentation des prédations signalées
La vidéo n’est pas le seul sujet de préoccupation pour les éleveurs de la région. En effet, quelques jours avant cette capture vidéo, une attaque majeure a été constatée sur un troupeau local, avec deux brebis tuées et trois autres blessées. Ce constat a été confirmé par la préfecture, sur avis de l’Office français de la biodiversité (OFB), qui a évoqué « probablement » le loup comme responsable. Dans une ambiance de tension croissante, les Jeunes Agriculteurs (JA) du département se sont mobilisés pour faire entendre leur voix et dénoncer le retour de ce prédateur dans leur région, le qualifiant d’incompatible avec leurs activités agricoles.
Réaction des autorités et mesures préventives
Face à cette situation, les autorités ont réagi rapidement. Le préfet Jean Salomon a accordé une autorisation de tir de défense simple pour protéger le troupeau touché par la prédation. Ce type de mesure vise à apporter un soutien aux éleveurs confrontés à des désagréments causés par le loup, permettant ainsi de limiter les impacts sur leur activité.
Avec ces récents événements, le débat autour de la coexistence entre loup et agriculture continue de se poser dans les Hautes-Pyrénées, où les éleveurs, de plus en plus inquiets, attendent des réponses concrètes et des solutions durables.
Pour suivre les évolutions de cette situation et découvrir plus d’actualités sur la chasse, visitez Caninstore.
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Cambriolage audacieux à Notre-Dame-d’Oé 17 fusils de chasse volés

Cambriolages d’armureries : 17 fusils de chasse dérobés à Notre-Dame-d’Oé
Un braquage retentissant au magasin Chasse Nature Passion
Dans la nuit du 18 au 19 janvier 2025, la tranquillité de Notre-Dame-d’Oé, en périphérie de Tours, a été troublée par un vol audacieux à l’armurerie Chasse Nature Passion. Les malfaiteurs, avec une imagination digne des films d’action, ont utilisé un camion bélier pour fracasser la vitrine du magasin. Dans un véritable coup de maître, ils ont réussi à dérober 17 fusils de chasse, chacun d’une valeur d’environ 1 500 euros. Mais ce n’était pas tout, une lunette thermique, valant 3 000 euros, a également été ajoutée à leur butin.
Le cambriolage a été rapidement contrecarré par un système de sécurité efficace qui a déclenché une alerte à 4h40 du matin, en diffusant de la fumée dans les lieux. Dans leur précipitation pour s’échapper, les voleurs ont laissé le camion utilisé pour leur méfait sur le parking d’un supermarché voisin, après avoir brisé le portail d’entrée. Pour continuer leur fuite, ils ont tenté de dérober un autre véhicule avant de finalement s’emparer d’une Peugeot 205, retrouvée calcinée plus tard dans la journée à Saint-Antoine-du-Rocher. Le montant total des pertes, dommages matériels inclus, est estimé à près de 28 500 euros.
Une série inquiétante de vols à travers le pays
Malheureusement, cette aventure ne constitue pas un malheureux incident isolé. En effet, ces derniers mois, une série de cambriolages similaires a touché plusieurs armureries à travers la France. Récemment, le 1er janvier 2025, l’armurerie Baumel, à Marguerittes, a aussi été la cible des malfaiteurs qui ont dérobé une soixantaine d’armes, incluant des kalachnikovs. Certaines arrestations ont eu lieu grâce à des caméras de vidéosurveillance, mettant en lumière l’organisation de ces bandes agissantes.
Rému Nicolas, le maire de Marguerittes, n’a pas mâché ses mots : “C’est un lieu qui est sécurisé, avec des systèmes d’alarmes, de vidéosurveillance, de portes blindées et pourtant ils ont su où il fallait aller pour dérober ce qu’ils cherchaient.” Une situation qui soulève des questions sur la sécurité des armureries mais aussi sur l’efficacité des mesures en place.
Des enjeux de sécurité publique à considérer
Ces incidents révèlent non seulement l’ingéniosité et la détermination des criminels, mais aussi les défis sécuritaires auxquels les armureries font face. Malgré un système de contrôle des armes parmi les plus rigoureux d’Europe, la France fait face à une hausse inquiétante de l’utilisation d’armes détenues illégalement dans des affaires criminelles. Si la tendance actuelle des vols d’armureries n’est pas maîtrisée rapidement, le risque d’intensification du trafic d’armes pourrait engendrer des répercussions graves sur la sécurité publique.
Alors, chères armureries, une réunion urgente sur la sécurité ne serait-elle pas la bienvenue ? L’heure est peut-être à la réflexion et à la prévention pour éviter de futurs braquages comme celui de Notre-Dame-d’Oé.
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Mort Sélective et Gestion Éthique des Animaux en Zoo

La Mort Sélective dans les Zoos : Une Réflexion Controversée
Des chercheurs suggèrent de réévaluer la gestion des populations animales en captivité
Des chercheurs livrent une idée qui fait trembler le monde des zoos : il pourrait être nécessaire de procéder à un abattage « sélectif » des animaux pour éviter que ces institutions ne deviennent de simples refuges pour animaux âgés. Loin d’être une manœuvre choquante, cette proposition pourrait bien refléter une approche plus réaliste de la conservation et de l’éducation.
Les zoos, traditionnellement perçus comme des bastions de protection des espèces, doivent pourtant faire face à un paradoxe. Ils abritent de plus en plus d’animaux vieillissants, souvent à l’abri de prédateurs naturels et de la concurrence, transformant leurs espaces en véritables maisons de retraite. Si l’on se penche sur ces établissements, un constat s’impose : le sujet de la mortalité animale est souvent soigneusement évité. Alors que la naissance d’une portée de tigres fait la une des journaux, le décès d’un zèbre passe inaperçu.
La Surpopulation, une Réflexion sur la Nature
Dans une récente publication de la revue américaine PNAS, des scientifiques affirment que la surpopulation d’animaux dans les zoos n’est pas sans conséquence. Contrairement aux populations sauvages, les animaux en captivité ne sont pas soumis aux défis de la survie tels que la prédation ou les pénuries alimentaires, et ils vivent souvent plus longtemps que leur espérance de vie naturelle. Ce facteur pousse les zoos à mettre en place des mesures contraceptives qui, selon eux, privent ces espèces de leur instinct le plus fondamental : la reproduction.
Cette dynamique soulève une question cruciale : les zoos devraient-ils jouer le rôle de garderies pour animaux âgés, ou doivent-ils se concentrer sur des pratiques qui imitent la nature? Les chercheurs soulignent que les établissements se sont davantage tournés vers une gestion gériatrique qu’une réelle conservation des espèces.
Une Gestion Éthique de la Population
Pour aborder cette problématique, certains chercheurs plaident pour une approche plus naturelle. Ils suggèrent qu’un abattage sélectif, prenant en compte les taux de mortalité naturels selon l’âge des animaux, pourrait être une solution. Les carcasses des animaux abattus pourraient même servir de nourriture à d’autres espèces dans le zoo, favorisant ainsi un écosystème plus durable.
Marco Roller, vétérinaire au zoo de Karlsruhe, a déjà mis en place cette méthode. Grâce à elle, son établissement peut fournir jusqu’à 30 % de sa viande en interne, réduisant ainsi les besoins d’approvisionnement extérieur et les émissions de carbone qu’implique le transport de bétail.
Un Débat sur la Mort dans le Monde Animal
La mort, processus naturel dans la vie animale, est souvent mise de côté par le public, qui préfère ne pas y penser. Cependant, l’éducation à cette réalité pourrait aider à mieux comprendre le cycle de la vie et les responsabilités que le monde moderne doit envers les espèces sous protection humaine. Il est temps d’ouvrir le débat sur la nécessité d’intégrer la mort dans la narration que nous construisons autour des animaux en captivité.
La gestion des zoos doit aller au-delà de la simple survie des individus et se recentrer sur la dynamique naturelle des populations. Et vous, que pensez-vous de cette proposition d’abattage sélectif ? Est-ce un pas vers une meilleure conservation ou un travers éthique que nous devrions éviter ?
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Engagement des Chasseurs dans la Santé Animale

Implication des Chasseurs dans les Assises du Sanitaire Animal
La Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) montre son engagement en participant activement à la préparation des Assises du sanitaire animal. Ces assises, qui seront inaugurées par la Ministre de l’Agriculture Annie Genevard le 30 janvier 2025, visent à rassembler divers acteurs de la santé animale pour discuter des enjeux majeurs qui touchent notre écosystème.
Un rôle clé pour les chasseurs
Les chasseurs, acteurs souvent méconnus de la santé animale, prennent donc part à cette initiative cruciale. Le ministère de l’Agriculture a déjà commencé à solliciter le retour des acteurs du secteur animalier afin de poser les fondements des futurs travaux. Lors d’un groupe de travail le 15 janvier, des thématiques comme « One Health », les modifications des écosystèmes et l’évolution de la faune sauvage ont été abordées, mettant en lumière l’importance du rôle des chasseurs dans ce cadre.
Comprendre les Assises du Sanitaire Animal
Organisées par le ministère de l’Agriculture, ces assises ont pour objectif de revoir en profondeur le système sanitaire français. Cela inclut des réflexions sur la gouvernance, le financement, la stratégie, et la répartition des responsabilités entre l’État et les filières. Le Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) a été chargé de réaliser un diagnostic sur l’organisation actuelle, ce qui permettra de mieux cerner les enjeux à venir.
Diagnostic et Contributions des Acteurs
Ce diagnostic se veut un instantané de l’existant sans porter de jugement sur l’efficacité des dispositifs en place. Cependant, il souligne bien la contribution indispensable des chasseurs. Reconnus comme des « sentinelles sanitaires pour les maladies du gibier », ils jouent un rôle déterminant dans la surveillance de la faune sauvage, notamment lors de la gestion de crises sanitaires comme la peste porcine africaine (PPA) à la frontière franco-belge.
Ainsi, la participation active de la FNC aux Assises du sanitaire animal met en lumière l’importance de l’engagement des chasseurs dans la préservation de l’équilibre sanitaire, tout en assurant un système de santé animal robuste et réactif. C’est un sujet qui sera au cœur des préoccupations pour l’année à venir, montrant que les chasseurs ne sont pas seulement là pour tirer, mais pour protéger.
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Refuser dêtre filmé à la chasse

Peut-on refuser d’être filmé ou photographié à la chasse ?
Les droits des chasseurs face à l’objectif
De plus en plus de militants anti-chasse se rendent sur le terrain équipés de smartphones, prêts à capturer chaque moment de la chasse pour le publier sur les réseaux sociaux. Mais est-il possible de refuser d’être filmé dans de telles situations? La réponse est oui, et connaître ses droits est essentiel pour protéger son image et sa vie privée.
Le Code pénal français accorde une protection contre l’enregistrement et la diffusion d’images sans consentement. Toutefois, cette protection varie selon le type de terrain. Sur une propriété privée, toute prise de vue sans l’accord écrit de la personne filmée constitue une violation de la vie privée, même si l’accès est possible depuis des chemins publics.
En revanche, si vous êtes dans un lieu public et que des détails ou des plans serrés vous concernant sont capturés, vous avez également des moyens pour vous opposer à cela. Cette dernière situation est particulièrement cruciale. Les personnes qui enfreignent ces règles s’exposent à des sanctions sévères: jusqu’à un an d’emprisonnement et 45 000 € d’amende.
Et ce n’est pas tout. Si les images filmées sont diffusées sur les réseaux sociaux sans votre accord, la sanction peut devenir encore plus sévère, atteignant deux ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amende, conformément à l’article 226-8 du Code pénal.
Pour ceux qui se sentent lésés par des diffusions non consenties, la meilleure démarche reste de déposer une plainte avec constitution de partie civile par l’intermédiaire d’un avocat au Procureur du Tribunal judiciaire local. Cela permet de donner un poids légal à votre demande et d’espérer une issue favorable.
En somme
Il est donc essentiel pour les chasseurs de connaître leurs droits en matière de protection de l’image, surtout à une époque où les images peuvent être facilement diffusées et manipulées à des fins de désinformation. Protégez-vous et sachez que vous avez le droit de refuser d’être filmé !
Pour plus d’informations et de conseils sur la chasse, rendez-vous sur Caninstore.
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Plan national pour la protection des vipères en France

Un plan national d’actions en faveur des Vipères
Un état des lieux alarmant pour les populations de vipères en France
Malgré leur récente protection officielle depuis janvier 2021, les populations de vipères en France affichent un déclin préoccupant. Ce constat alarmant incite l’État à mettre en place un Plan National d’Actions (PNA) pour inverser cette tendance. En effet, les experts mettent en lumière plusieurs menaces pesant sur ces reptiles, comme l’altération, la disparition et la fragmentation de leurs habitats, mais aussi l’impact des changements climatiques, le dérangement humain et la destruction volontaire.
Il faut dire que la protection législative globale des vipères en France hexagonale ne suffit pas à elles seules à garantir leur survie. À l’heure actuelle, seules la Vipère d’Orsini est prise en compte dans un programme de conservation spécifique. Les autres espèces, tout autant menacées, ont encore un long chemin à parcourir pour bénéficier d’un cadre de protection adéquat.
Le Plan National d’Actions 2025-2030 : une stratégie pour l’avenir
Le nouveau PNA, s’étalant de 2025 à 2030, cible principalement les espèces de vipères aspic, péliade et de Seoane. Ce plan stratégique est articulé autour de 11 actions clés, visant à améliorer la compréhension et la gestion des populations ainsi que de leurs habitats. Parmi ces initiatives, on retrouvera des objectifs variés allant de l’évaluation des pressions sur les vipères à la sensibilisation du grand public.
Concrétisé dans le cadre d’une stratégie nationale pour la biodiversité, ce plan révèle une ambition forte pour la préservation des espèces les plus vulnérables sur le territoire. Il s’intègre ainsi parfaitement aux dispositifs législatifs protégeant ces reptiles, en cherchant à coordonner les efforts de sauvegarde.
Les 11 actions du PNA : un plan d’attaque complet
Le PNA se décline en plusieurs axes d’intervention :
- Animer, coordonner et accompagner la mise en œuvre du plan 2025-2030
- Améliorer la compréhension de la dynamique des populations des espèces
- Mieux évaluer les pressions et menaces pesant sur les vipères
- Définir une gestion adaptée des milieux abritant les vipères
- Conserver les populations, en priorisant les plus fragiles
- Améliorer la prise en compte des habitats utilisés par les vipères dans les politiques publiques
- Mieux appréhender les enjeux sanitaires autour des vipères selon le concept One Health
- Développer une offre de formation multicibles
- Sensibiliser les scolaires à la conservation des vipères
- Sensibiliser le grand public
- Réaliser des actions de sensibilisation à destination des gestionnaires d’espaces naturels et autres acteurs du territoire
Actuellement, le Plan national d’actions sur les « Vipères de France hexagonale » est en consultation publique jusqu’au 7 février. N’hésitez pas à vous renseigner pour contribuer à la protection de ces espèces fascinantes !
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Expressions de chasse et de pêche

Expressions populaires liées à la chasse et la pêche
Un voyage à travers le langage du gibier
Les expressions populaires, parfois utilisées sans y penser, font partie intégrante de notre quotidien. Pourtant, avez-vous déjà pris le temps de découvrir l’origine et le sens de ces phrases qui résonnent dans l’univers des chasseurs et des pêcheurs ? Que ce soit d’un « chaud lapin » à un « froid de canard », notre langue regorge de pépites qui méritent d’être explorées.
Expressions autour du gibier à poils
Poser un lapin : Cette expression, née à la fin du XIXe siècle, évoque le fait de ne pas se présenter à un rendez-vous. Son origine ? Un mystère sans réponse. À l’époque, elle désignait aussi le fait de partir sans payer, le lapin étant perçu comme un animal imprévisible.
Être un chaud lapin : Ici, on parle d’un homme avec des besoins sexuels pressants. L’expression semble provenir d’une tournure plus explicite, mais l’image d’un lapin au tempérament ardent perdure.
Un fin limier : Utilisée pour désigner quelqu’un de perspicace, elle a ses racines dans la chasse à courre. Le limier, un chien entraîné, sait remonter la piste des animaux comme personne.
Lever un lièvre : Quand il s’agit de débusquer des secrets bien gardés, cette expression s’applique à merveille. C’est un clin d’œil à la rapidité et à l’agilité du lièvre qui échappe aux pièges du chasseur.
Expressions en lien avec le gibier à plumes
Un froid de canard : En clair, cela signifie un froid glacial. Que ce soit les canards qui bravent le gel ou les chutes de températures, cette expression évoque la résistance d’un animal qui ne plie pas face au froid.
Bayer aux corneilles : Une belle manière de parler de l’ennui. Si vous avez déjà vu un chasseur perdre son temps à attendre des corneilles peu passionnantes, vous comprendrez l’allusion.
De la roupie de sansonnet : Pour signifier que quelque chose n’a aucune valeur, cette expression se base sur une blague de mots datant du Moyen Âge, capturant l’essence de l’insignifiance.
C’est un faisan : Autrefois utilisé pour qualifier un escroc, cette expression a glissé du mot faiseur au très respecté faisan, soulignant une perception erronée de cet animal.
Elle est un peu bécasse : Malheureusement, cet oiseau a vu sa réputation entachée. Utilisé pour désigner une femme naïve, le terme bécassine provient d’un personnage de bande dessinée, consolidant l’image de l’étourdie.
Les pépites des pêcheurs
Il y a anguille sous roche : Cette expression suggère qu’il y a quelque chose de suspect. Elle trouve ses origines au Moyen Âge et évoque de manière imagée l’idée de dissimulation.
Noyer le poisson : Pour ceux qui cherchent à embrouiller, cette formule explique à partir d’une technique de pêche, où l’on affaiblit le poisson pour mieux le capturer. Une méthode digne d’un bon stratège !
Être muet comme une carpe : Qui peut se vanter de ne jamais avoir gardé le silence ? La carpe, avec sa manière discrète de se nourrir, incarne parfaitement cette idée.
Faire des yeux de merlan frit : Quand le regard devient niais, c’est souvent l’amour qui prend le dessus. Une expression qui sonne juste dans de nombreuses situations, pas vrai ?
Autres animaux et leurs expressions
Sauter du coq à l’âne : Quand une discussion bifurque sans lien apparent, cette expression met en lumière la tendance humaine à la distraction.
Fier comme un pou : Ce sentiment de fierté sans raison provient d’une confusion linguistique qui remonte au Moyen Âge. Les poules n’en sont pas… fières, il faut le dire !
Avoir des yeux de lynx : Pour ceux dotés d’une vision extraordinaire, les lynx sont des symboles d’observation aigüe. Cela vient peut-être d’anciennes légendes grecques.
Ne pas attacher son chien avec des saucisses : Un appel amusant à ne pas être trop avare. Qui penserait qu’attacher un chien avec de la charcuterie serait une bonne idée ?
Avaler des couleuvres : Fran-CHIR un affront sans mot dire, voilà qui est difficile. Une belle métaphore pour illustrer les situations délicates !
Être cocu : Le coucou et le cocu, deux notions qui se croisent ici. C’est marrant de voir comment les mots et les comportements des oiseaux influencent notre langage.
En conclusion, une girafe et son mystère
Peigner la girafe : Enfin, cette expression mystérieuse nous rappelle que parfois, les mots ne veulent rien dire ! Un clin d’œil à l’histoire de l’animal qui a captivé les foules à son arrivée à Paris. C’est à la fois intrigant et très amusant !
Pour découvrir d’autres facettes de la langue et de la chasse, n’hésitez pas à visiter notre site Caninstore.
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Vandalisme persistant contre les chasseurs du Doubs

Chasseurs du Doubs : Victimes d’actes de vandalisme persistants
Dans une petite commune du Doubs, les chasseurs de l’AICA d’Étupes-Taillecourt se heurtent à un mystère particulièrement agaçant : des dégradations répétées sur leurs véhicules. Depuis septembre 2024, de nombreux membres de l’association se plaignent de pneus crevés et de carrosseries profondément rayées, des actes qui se produisent principalement alors que les chasseurs sont absents, en pleine battue au grand gibier ou en quête de bécasses.
Un acharnement difficile à comprendre
Le président de l’association, Éric Ajoux, est perplexe face à ce comportement qu’il qualifie d’« incompréhensible ». Il s’interroge : « Qui nous en veut ? Nous avons de bonnes relations avec les autres usagers de la forêt, qu’il s’agisse de randonneurs ou de cyclistes. Nous sommes respectueux de tous. »
Les conséquences financières pour les chasseurs sont également préoccupantes, chaque dégradation coûtant plusieurs centaines d’euros, sans que les assurances ne prennent en charge ces dommages. Face à cette situation, Éric Ajoux et ses camarades n’ont pas hésité à saisir la gendarmerie, et une enquête est actuellement en cours.
Des soupçons parmi la communauté
Les chasseurs estiment que ces actes malveillants proviennent probablement de la commune elle-même, étant donné qu’ils sont la seule association de chasse de la région à faire face à de telles attaques. Éric Ajoux évoque « une lâcheté qui vaut bien sa bêtise ». Les villageois doivent espérer que l’auteur de ces dégradations soit rapidement démasqué, afin de permettre aux chasseurs de continuer leurs activités dans un climat serein.
Les répercussions de ces actes de vandalisme ne sont pas seulement financières : elles pèsent également sur le moral des chasseurs, certains envisageant même de mettre un terme à leur passion. En attendant que justice soit faite, la communauté se retrouve plus que jamais en émoi face à ces actes de malveillance.
Souhaitons que cette situation se règle rapidement pour que la chasse puisse reprendre son cours paisible et respectueux!
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Actions des chasseurs pour la biodiversité dans le Loir-et-Cher

Actions des chasseurs du Loir-et-Cher pour la préservation de la biodiversité
Sensibilisation à la biodiversité et plantation de haies
La Fédération Départementale des Chasseurs (FDC 41) du Loir-et-Cher, dans le cadre du programme Sensibilis’haie, multiplie les actions pour sensibiliser à la biodiversité. Ce programme, soutenu par la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) et financé par l’Office Français de la Biodiversité (OFB), aide les collectivités territoriales à organiser des plantations de haies, véritables refuges pour la faune locale. Ces efforts se déroulent entre novembre et mars et mobilisent des bénévoles passionnés par la protection de l’environnement.
Sensibilisation des jeunes écoliers à l’importance des haies
Récemment, des chasseurs de la FDC 41 ont effectué une intervention dans une école élémentaire à Talcy, où les élèves de CP/CE1 ont découvert le rôle vital des haies. Ces jeunes écoliers ont eu la chance de fabriquer des nichoirs pour aider les oiseaux à passer l’hiver et à se préparer pour le printemps. Avec une motivation débordante, les enfants ont su apprécier cette initiative, ravis de pouvoir soutenir la faune sauvage grâce aux conseils avisés des chasseurs.
Des plantations communautaires en action
Les actions de sensibilisation ne se limitent pas aux écoles. Le mois dernier, la FDC 41 a également organisé une plantation communautaire à La Madeleine-Villefrouin, un exemple de solidarité où de nombreux volontaires de la commune et des environs se sont mobilisés. Ensemble, petits et grands ont œuvré pour créer un habitat bénéfique pour les espèces locales. Lors de cette journée, le maire, Antoine Beck, a apporté ses vœux, soulignant ainsi le rôle fondamental des chasseurs dans la protection de la biodiversité.
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Insectes et idées reçues à démystifier

Insectes et petites bestioles : la vérité dévoilée
Dans cet article, nous allons faire le tri entre le vrai et le faux concernant nos amis insectes et autres petites bestioles. Que se cache derrière les idées reçues ? Une chenille noire devient-elle un papillon sombre ? Les moustiques sont-ils attirés uniquement par la lumière ? Qu’en est-il des mites et de leurs trous dans les vêtements ? Voici les vérités qu’il est temps de découvrir.
Le vrai qui a besoin de précisions
« La pointe en sabre d’une sauterelle peut nous piquer » : En réalité, son organe, appelé tarière ou ovipositeur, n’est pas conçu pour piquer, mais plutôt pour permettre aux femelles de pondre leurs œufs dans le sol ou sur les plantes.
« Une chenille noire se transformera en papillon sombre » : Ce n’est pas si simple ! La couleur des larves n’indique en rien celle des adultes. Par exemple, la chenille noire du paon du jour se métamorphose en un magnifique papillon coloré.
« On peut dormir les fenêtres ouvertes, lampes éteintes, sans attirer les moustiques » : Faux ! Ces petites pestes se laissent guider par l’odorat, particulièrement par le dioxyde de carbone que nous dégageons. Les « peaux à moustiques » sont donc bien réelles, bien loin des mythiques « peaux sucrées ».
Des mythes sur les insectes : à nuancer
« Les bourdons n’ont pas de dard » : Surprise ! Les filles bourdons peuvent piquer pour se défendre, mais elles ne le font que rarement, car elles sont plutôt pacifiques par nature.
« Les cousins sont de gros moustiques » : Non, ce sont des tipules ! Malgré leur apparence, ils ne piquent pas. Leur nom provient d’une confusion avec les moustiques, mais ce sont de véritables pacifistes.
« Une guêpe qui a piqué meurt obligatoirement » : À l’inverse, les guêpes survivent à de telles mésaventures grâce à leur aiguillon lisse. Contrairement aux abeilles, dont le dard barbelé les condamne à une mort certaine après une piqûre.
Des erreurs à ne pas généraliser
« Les coccinelles sont des prédatrices des cochenilles et des pucerons » : Attention à ne pas idéaliser ces insectes ! Si la coccinelle à sept points fait honneur à sa réputation de régulatrice des pucerons, plusieurs autres espèces sont plutôt végétariennes.
« Les abeilles sont des insectes sociaux » : Détrompez-vous ! La France abrite environ 1 000 espèces d’abeilles. Moins de 6 % vivent en colonies, la majorité étant des solitaires qui construisent leurs nids individuellement.
Les idées reçues qui ont la vie dure
« Les insectes respirent par la bouche » : Malheureusement pour eux, ce n’est pas le cas. Les insectes terrestres absorbent l’oxygène par de minuscules ouvertures sur leurs flancs, tandis que les aquatiques optent pour la respiration cutanée ou branchiale.
« Les vers blancs du compost sont nuisibles » : Faux ! Ce sont souvent des larves qui aident à décomposer la matière végétale… Ces petites bêtes rendent en réalité un grand service au jardinier.
« Les mites font des trous dans les vêtements » : Encore un contre-sens. Les délicats papillons adultes causent peu de dommages, ce sont les chenilles qui s’attaquent aux tissus.
« Les insectes se brûlent au contact des lampes » : En fait, ce qui attire les insectes nocturnes, ce sont les sources lumineuses, semblables à la lumière de la lune, et non la chaleur.
« Si l’on touche les ailes d’un papillon, il meurt » : Faux ! Ils perdent seulement quelques écailles, mais leur vie n’est pas en danger.
« Les mille-pattes possèdent un millier de pattes » : Ça reste à prouver ! Ils en ont généralement entre 18 et 752, alors parlons plutôt de « myriapodes » pour la justesse.
À quoi se fier ?
Ne laissez pas les idées reçues vous influencer ! Informez-vous et approchez les insectes avec un esprit ouvert. En fin de compte, qui aurait cru que ces petites bêtes avaient tant à nous apprendre ? Si la nature vous intéresse, restez curieux !
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