Partenariat SNCF-Chasseurs en Occitanie pour Réduire les Collisions Ferroviaires avec les Animaux Sauvages

Un Partenariat Essentiel pour Réduire les Collisions entre Trains et Animaux Sauvages
Une Alliance Vitale contre les Retards et les Coûts Élevés des Collisions avec le Grand Gibier
Les collisions entre les trains et les animaux sauvages constituent un problème récurrent pour la SNCF, entraînant des millions d’euros de réparations et de nombreux retards pour les usagers. Afin de faire face à ces incidents coûteux et perturbateurs, la SNCF et les chasseurs de la région Occitanie ont renouvelé leur partenariat.
Des Dommages Considérables et des Heures de Retard
Depuis plusieurs années, la SNCF collabore étroitement avec les chasseurs dans divers départements français. Initialement impliqués de manière ponctuelle pour organiser des battues dans les zones densément peuplées de cervidés et de sangliers, les chasseurs interviennent désormais de façon plus régulière pour le bien des usagers du rail. En Occitanie, les collisions avec les cerfs et les sangliers ont causé des pertes financières à hauteur de plusieurs millions d’euros et cumulé près de 270 heures de retard en 2023 seulement.
Reconnaissant l’importance cruciale de cette coopération, la SNCF Réseau Occitanie a officialisé sa pérennisation par la signature d’une convention prolongée jusqu’en 2030.
Les Chasseurs : Régulateurs et Sentinelles du Réseau Ferré
La connaissance approfondie du terrain par les chasseurs est un atout majeur pour la SNCF. Ces experts locaux savent précisément ce qu’il se passe à proximité des voies ferrées. Par exemple, autour de Montpellier, les lapins de garenne créent des problèmes majeurs en creusant des terriers sous les structures ferroviaires, menaçant ainsi leur stabilité. Grâce à la régulation orchestrée par les chasseurs, ces risques sont grandement réduits.
Zones de Travaux et Sécurisation des Voies
Concernant le grand gibier, les chasseurs identifient les zones de passages fréquents des animaux, permettant ainsi de planifier des interventions spécifiques. Des clôtures de sécurité et des passages sous les voies ferrées sont installés pour faciliter la libre circulation de la faune sauvage. Cette organisation méticuleuse aide à prévenir les collisions fatales et assure une meilleure cohabitation avec la vie ferroviaire.
En outre, la SNCF prévoit de solliciter les chasseurs pour obtenir des données essentielles sur les populations animales lors de la construction de nouvelles lignes de chemin de fer. Ces informations faciliteront la mise en œuvre d’opérations visant à déplacer les animaux des zones en travaux vers des environnements sécurisés.
Une Coopération Humaine et Efficace pour l’Avenir
Grâce à cette collaboration de longue durée, la SNCF et les chasseurs continuent d’œuvrer ensemble, alliant expertise locale et technologie avancée pour assurer la sécurité et l’efficacité du réseau ferroviaire. La connaissance approfondie du terrain et des habitudes animales par les chasseurs, associée à l’infrastructure ferroviaire, forme une symbiose précieuse permettant de minimiser les incidents et de réduire les coûts.
Pour conclure, ce partenariat renouvelé jusqu’en 2030 est une initiative essentielle qui montre l’importance de la collaboration entre différentes entités pour résoudre des problèmes complexes et améliorer la vie quotidienne des usagers du rail.
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Ouverture Anticipée de la Chasse au Sanglier dans le Tarn-et-Garonne pour Protéger les Cultures

La Chasse au Sanglier Ouverte Anticipativement: Mesures Exceptionnelles contre une Surpopulation Dévastatrice
Le Tarn-et-Garonne sous la Menace des Sangliers: Une Urgence Agricole
Le Tarn-et-Garonne fait face à une crise sans précédent. Les sangliers, dont la population a explosé ces dernières années, ravagent les cultures locales. Les cultures de maïs ont particulièrement souffert de cette invasion, et la situation n’a fait que se dégrader ces dernières semaines. En réponse à cette situation critique, la préfecture a pris une décision radicale : avancer l’ouverture de la chasse au sanglier au 1er juin, et ce jusqu’au 31 mars 2025.
Des Dégâts Chiffrés en Milliers d’Euros
Thierry Cabanes, Président de la Fédération des chasseurs du Tarn-et-Garonne, a dressé un sombre tableau de la situation. Les pertes financières se sont chiffrées à 100 000 euros en seulement trois semaines. La cause principale de cette augmentation alarmante des dégâts est une combinaison de la surpopulation de sangliers et des conditions météorologiques défavorables qui empêchent les agriculteurs d’agir efficacement.
Les Facteurs Contributifs
Les intempéries ont retardé les semis de maïs, rendant ces cultures vulnérables aux incursions répétées des sangliers. La faible présence humaine, due à ces conditions météorologiques, a laissé le champ libre aux sangliers pour détruite les exploitations agricoles à un rythme effréné. Jusqu’à présent, les chasseurs s’étaient assurés de compenser les pertes liées aux dégâts du grand gibier, mais cette année, la fédération pourrait être mise à mal financièrement si aucune action rapide n’est entreprise.
Une Chasse Extraordinaire pour une Situation Exceptionnelle
Face à cette urgence, un arrêté préfectoral a été émis. La chasse au sanglier est maintenant autorisée à l’affût, à l’approche et en battue dès ce samedi 1er juin, et sera prolongée jusqu’au 31 mars 2025. Cette décision est loin d’être anodine; elle permet aux chasseurs de réaliser des prélèvements massifs afin de maîtriser la population de sangliers.
Les estimations des chasseurs placent actuellement la population de sangliers dans le Tarn-et-Garonne à environ 15 000 individus, bien plus que les 10 000 enregistrés les années précédentes. Les chasseurs doivent donc redoubler d’efforts pour contribuer à la régulation nécessaire de cette population invasive.
Répercussions et Conséquences pour les Chasseurs
Cependant, réguler cette population ne se fera pas sans coûts. Les chasseurs du département devront s’accommoder d’une augmentation significative du prix de la validation de leur permis de chasser. Cette hausse de la contribution territoriale est inévitable face aux dommages causés par les sangliers.
Pour ajouter à cette complexité, les départements voisins, confrontés à l’interdiction des chasses traditionnelles, ont décidé de suspendre temporairement la chasse au sanglier. Cette décision pourrait avoir d’importantes répercussions sur la faune du Tarn-et-Garonne, et par conséquent sur ses chasseurs.
Un Combat Collectif Nécessaire
La participation active des chasseurs est impérative pour endiguer cette crise. La préfecture compte sur leur engagement et leur expertise pour limiter les dégâts agricoles et ramener un équilibre dans l’écosystème local. Le défi est de taille, mais avec une action coordonnée et déterminée, les chasseurs du Tarn-et-Garonne pourraient bien réussir à surmonter cette crise.
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L’ONF Déclenche des Tensions en Excluant la Chasse du Renard et du Blaireau

Un Coup de Tonnerre : L’ONF Propose d’Exclure la Chasse du Renard et du Blaireau
Quand la collaboration avec les chasseurs est mise à mal
La récente annonce de l’Office National des Forêts (ONF) visant à exclure la chasse du renard et du blaireau des lots qu’elle gère a suscité une onde de choc parmi les chasseurs français. Il ne s’agit pas d’une simple rumeur; cette décision a été officiellement transmise à la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO), attisant ainsi les tensions. Willy Schraen, Président de la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC), a immédiatement réagi pour exprimer son désaccord, dénonçant une mesure prise sans concertation préalable avec les chasseurs.
Une décision unilatérale critiquée par les chasseurs
Willy Schraen n’a pas tardé à réagir. Dans une lettre adressée à Valérie Metric-Hecquet, directrice de l’ONF, il exprime son mécontentement face à cette décision qu’il qualifie de « faute professionnelle ». Selon lui, cette initiative va à contre-courant des accords de collaboration existants entre l’ONF et la FNC. Il pointe du doigt l’exclusion des chasseurs de cette décision, tout en soulignant que la chasse en forêt domaniale devrait être discutée en amont et non imposée de manière unilatérale.
Des tensions déjà existantes entre chasseurs et l’ONF
Cette nouvelle directive de l’ONF n’est pas un cas isolé. Les tensions entre les chasseurs et l’ONF ne sont pas nouvelles. Récemment, plusieurs incidents similaires ont émaillé les relations entre les deux entités, comme dans le Bas-Rhin où des « battues punitives » avaient déjà mis à mal cette coopération. Malgré un accord signé il y a deux mois pour entériner le travail conjoint des chasseurs et de l’ONF dans les massifs, cette décision inattendue relance les hostilités.
Les agents de l’ONF sous pression
Parallèlement, les agents de l’ONF ne cessent de dénoncer les attaques qu’ils subissent de la part de militants écologistes. Ces derniers n’hésitent pas à détériorer le matériel de l’ONF et à s’en prendre verbalement ou physiquement aux agents forestiers. Ironiquement, cette mesure de l’ONF pourrait bien être une réponse aux pressions exercées par ces militants, ce qui ne fait qu’ajouter de l’huile sur le feu.
Une stratégie de « greenwashing » ?
La décision de l’ONF a également suscité des spéculations. Certains se demandent s’il ne s’agit pas d’une stratégie de « greenwashing », visant à apaiser les écologistes à l’approche des élections européennes. Sacrifier la chasse du renard et du blaireau pourrait être un moyen pour l’ONF de montrer un visage plus écologique, même si cela signifie mettre à mal une collaboration de longue date avec les chasseurs.
Un avenir incertain pour la collaboration chasseurs-ONF
La question demeure : quelle sera la suite de cette affaire ? La réponse de Willy Schraen à l’ONF pourrait bien signer le début d’une nouvelle ère de tensions entre les chasseurs et l’organisme forestier. La collaboration, autrefois fructueuse, semble désormais très fragilisée.
Avec de nombreuses questions laissées en suspens, une chose est certaine : cette situation va nécessiter des négociations intenses et probablement une révision des accords actuels pour qu’une coopération saine puisse être restaurée.
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Volotea Bannit les Trophées de Chasse: Un Débat sur l’Éthique et le Marketing

Volotea Dit Non aux Trophées de Chasse : Une Mesure Qui Fait Débat
La Compagnie Aérienne qui Se Tourne Vers la Protection Animale
La compagnie aérienne espagnole Volotea, dans le sillage de son partenariat avec diverses associations de protection animale, a pris une décision audacieuse : interdire le transport de trophées de chasse ainsi que tous les produits d’origine animale résultant de la chasse. Cette prise de position s’inscrit dans une tentative de réorientation de l’image publique de la marque, en misant sur l’engagement écologique et éthique.
Volotea et l’Interdiction des Trophées de Chasse : Une Décision à Double Tranchant
En collaboration avec Humane Society International, Volotea a décidé de bannir à bord de ses avions tout trophée de chasse. Bien que certains puissent voir cette mesure comme une initiative honorable en faveur de la protection des animaux, d’autres y discernent une action plus calculée et marketing. En effet, plusieurs pays européens travaillent actuellement sur des projets de loi similaires visant à interdire l’importation de trophées de chasse. Cette initiative de Volotea pourrait donc être interprétée comme un coup de poker, anticipant une réglementation qui pourrait devenir la norme à l’échelle européenne.
Un Impact Limité sur la Clientèle
Cette décision soulève toutefois des questions quant à son impact réel. Volotea dessert principalement des destinations en Europe occidentale, où la pratique de la chasse aux trophées est beaucoup moins fréquente. L’interdiction risque donc de ne pas affecter de nombreux clients. À titre de comparaison, on se souvient qu’American Airlines avait précédemment banni « les trophées de lions, léopards, éléphants, rhinocéros et buffles » sans même desservir de destinations en Afrique, où ces espèces sont principalement chassées.
La Dimension Marketing de l’Annonce
On pourrait voir cette décision comme un simple coup de publicité. La tendance actuelle est en effet au greenwashing, où les entreprises adoptent des mesures écologiques principalement pour améliorer leur image publique. Volotea ne ferait-elle pas partie de cette stratégie globale ? Le fait de s’associer avec des organisations de protection animale et d’interdire les trophées de chasse pourrait attirer une clientèle plus soucieuse de l’éthique et de l’écologie.
Les Conséquences à Long Terme
À bien y réfléchir, la décision de Volotea pourrait cependant avoir des répercussions positives sur la sensibilisation à la cause animale. En prenant cette initiative, la compagnie aérienne pourrait inciter d’autres entreprises à suivre le mouvement, poussant ainsi à une prise de conscience collective sur les pratiques de chasse aux trophées et leurs conséquences écologiques et éthiques. Néanmoins, seule l’avenir nous dira si ces initiatives seront suivies par d’autres acteurs du secteur aérien et si elles auront un impact significatif sur la protection de la faune sauvage.
Conclusion
La décision de Volotea de bannir les trophées de chasse de ses vols s’inscrit dans un contexte complexe et multifacette. Entre stratégie marketing et engagement écologique, cette mesure a le mérite de susciter le débat et d’attirer l’attention sur la question des trophées de chasse. Reste à voir si d’autres compagnies aériennes rejoindront cette cause et si cette initiative aura un réel impact sur la protection des animaux. Une chose est sûre, elle remet la question de l’éthique et de la chasse au cœur de discussions plus larges sur les pratiques commerciales et leurs implications environnementales.
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Erreur judiciaire en Normandie : suspect de braquage libéré accidentellement

L’un des participants au braquage d’une armurerie en Normandie libéré par erreur
Un oubli magistral libératoire
En janvier dernier, un braquage survenu dans une armurerie de Normandie a marqué les esprits par son dénouement tragique. Ce n’est que récemment qu’un inattendu rebondissement a eu lieu lorsque le suspect, impliqué dans ce crime, a été libéré par erreur. En cause ? Un oubli administratif retentissant.
Le contexte du drame
L’affaire a débuté en janvier 2024, lorsque l’armurerie d’Eslettes en Seine-Maritime a été la cible d’un braquage. L’incident a rapidement dégénéré en une fusillade. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’employé de l’établissement, se sentant menacé, aurait ouvert le feu sur les assaillants en légitime défense, ce qui a entraîné la mort de l’un des braqueurs. Les deux autres malfaiteurs ont eu des parcours différents : tandis que l’un réussissait à s’enfuir pour se rendre plus tard, l’autre était arrêté sur le champ.
Un magistrat à l’origine de la confusion
Le 15 mai dernier, les autorités judiciaires ont été contraintes de libérer l’un des suspects impliqués dans le braquage. La raison ? Un magistrat chargé de l’affaire a omis de renouveler le mandat de dépôt permettant de maintenir le suspect en détention provisoire. Cette erreur administrative a donc conduit à la libération d’un individu soupçonné d’avoir participé au braquage en tant que chauffeur pour les cambrioleurs en fuite.
Liberté conditionnelle temporaire
Suite à cette libération, le suspect reste sous contrôle judiciaire. En d’autres termes, il peut demeurer en liberté à condition de respecter les conditions imposées par le tribunal. Toutefois, il pourrait être de nouveau incarcéré si des éléments nouveaux venaient à apparaître dans l’enquête, ou s’il enfreignait les règles de sa liberté surveillée.
Profil des braqueurs
Les investigations ont révélé que le braqueur abattu par le salarié de l’armurerie était connu des services de police et pourrait être lié à une autre affaire criminelle grave, notamment un meurtre d’adolescent dans le Val-de-Marne. Ces découvertes montrent l’implication de ce groupe dans des activités criminelles plus larges.
Soutien à l’employé de l’armurerie
Le salarié ayant ouvert le feu est également sous le coup d’une enquête judiciaire. Bien qu’il soit actuellement en liberté sous contrôle judiciaire, il n’a pas pu reprendre son travail et fait face à des coûts juridiques importants. Pour le soutenir, une cagnotte en ligne a été lancée.
Vous pouvez contribuer à cette cagnotte et soutenir l’armurier en difficulté via le lien suivant : Cagnotte de soutien pour le salarié de l’armurerie d’Eslettes.
Conclusion
Cette affaire montre à quel point les détails administratifs peuvent avoir des répercussions significatives sur la justice et la sécurité. L’erreur d’un magistrat a permis à un suspect potentiellement dangereux de retrouver temporairement sa liberté, ajoutant une nouvelle dimension à une affaire déjà complexe et tragique.
Article rédigé par Actuchasse en partenariat avec Caninstore. Pour plus d’information, visitez notre partenaire : Caninstore.
Gilet Wildtracker par Espuna

Gilet Wildtracker par Espuna Un nouveau dans le gilet de protection canin : le gilet X-PROTECT Wildtracker par Espuna. Fruit d’une longue expérience dans les Équipements de protection individuel (EPI), la marque Espuna a sorti un gilet de chasse. Où le trouver le moins cher ? Où trouver les meilleures offres pour acheter le gilet Wildtracker ? On vous conseille d’appeler CANINSTORE, en effet selon la saison ils peuvent avoir des promotions. Pour cela, il suffit de les appeler au 06 49 87 80 82 . Le gilet bénéficie du savoir-faire et la technologie de son fabricant français. Le gilet X-PROTECT allie confort, souplesse et robustesse pour un gilet de protection haute technologie « made in France ». Composition du gilet, ses atouts Le tissu Cordura® est un tissu synthétique solide, réputé pour sa résistance optimale à l’usure. Sa résistance à l’abrasion 3x supérieure à celle du nylon classique et 20x supérieure à celle du coton, en font un tissu parfaitement adapté pour résister aux agressions des biotopes les plus sauvages. Très léger, le tissu est imperméable et permet également une très bonne respirabilité. Superposition de deux couches de toiles en polyester de type DYNEEMA®, répondant à la norme NF EN 13567+A1. Ce matériau a été sélectionné pour ses capacités de résistance aux chocs et aux perforations, mais également pour sa souplesse et son extrême légèreté. Une doublure en polypropylène (PP) de la marque TEXSILK® avec traitement TEFLON®, un matériau hydrophobe qui n’absorbe pas l’humidité et protège ainsi de la prolifération des bactéries et mauvaises odeurs. Le tissu TEXSILK® est extrêment robuste : il résiste à la tension jusqu’à 750 kg et à la déchirure jusqu’à une force de 43 kg. De plus, il est labellisé Oeko-Tex® pour le plus grand respect de l’épiderme. L’assemblage du gilet est réalisé avec le fil de la gamme Amifil de GÜTERMANN®, marque mondialement connue pour la qualité et la haute technicité de ses produits. Le fil Amifil est un fil à coudre 100% polyamide 4 brins, très résistant à l’abrasion et très solide, qui résiste à une pression jusqu’à 7 kg. Caractéristiques du gilet X-PROTECT RENFORCEMENT DORSAL EN KEVLAR® Les fibres KEVLAR® sont tissées si étroitement qu’il est presque impossible de les séparer. Lorsqu’un projectile haute vitesse heurte du KEVLAR®, les fibres dissipent son énergie afin que l’onde du choc soit répartie, diminuant ainsi son impact traumatique. Le gilet X-PROTECT intègre des pièces en KEVLAR® trempées dans un bain de TEFLON®, un procédé qui lui confère des propriétés imperméables et une haute résistance à l’abrasion. Le gilet de protection est ainsi renforcé sur toute la partie vertébrale, protégeant le chien contre les chocs traumatiques, mais également contre les abrasions dues au biotope (ronces, barbelés…). BORDURES ANTIFROTTEMENT Le gilet est bordé avec du tissu polaire afin de limiter les irritations cutanées sur les zones sensibles et soumises aux frottements répétitifs telles que les aisselles, le bas-ventre, le cou, les flancs…). MOBILITÉ OPTIMALE Une coupe échancrée au niveau des épaules et des bras qui permet une aisance maximale de mouvements et qui ne fait pas obstacle à la motricité naturelle du chien. Grâce à ce design unique, le chien ne perd ni en vitesse ni en mobilité tout en bénéficiant d’une protection optimale. FERMETURES À GLISSIÈRES Le gilet X-PROTECT est équipé de deux fermetures à glissières, permettant d’accompagner les changements morphologiques au cours de la saison de chasse. Il est ainsi possible de réduire ou d’agrandir le tour de poitrail d’environ 5 cm. De plus, les glissières sont cousues sur du jersey de 240 g/m2, un tissu élastique très résistant qui permet de s’ajuster au mieux à la morphologie du chien, même après une perte de masse corporelle pendant une sortie de chasse. PROTECTION FEMELLE INTÉGRÉE Un rabat de protection ventrale est directement intégré à l’intérieur du gilet. Ce rabat se déplie simplement en cas de besoin et offre ainsi une protection intégrale du bas-ventre et des mamelles. COUPE POITRAIL AJUSTÉE Le poitrail du chien a la particularité d’être de forme bombée ; le gilet X-PROTECT comprend une pince qui permet d’apporter du volume et d’épouser parfaitement le poitrail du chien, sans comprimer sa cage thoracique. TAILLES Le gilet de protection X-PROTECT par ESPUNA se décompose de 12 tailles Tarifs Le gilet de protection X-PROTECT propose des prix très attractifs et un excellent rapport qualité prix et se pose en une sérieuse alternative aux modèles les plus chers.. En outre, vous pouvez éventuellement trouver chez notre partenaire CANINSTORE une offre promotionnelle éventuelle, il ne manque plus qu’à les appeler au 0645292401 de notre part ACTUCHASSE.
Sociétés de Chasse du Gers Menacées par une Crise Financière Due aux Dégâts de Sangliers

Les Sociétés de Chasse du Gers Confrontées à une Crise Financières en Raison des Dégâts de Sangliers
Une Problématique Économique de Taille
Les dégâts provoqués par les sangliers sur les terres agricoles ne se limitent pas à l’impact direct sur les agriculteurs. Les sociétés de chasse du Gers sont, elles aussi, fortement impactées par ces dévastations répétées. En effet, les coûts engendrés pour compenser les dommages causés par ces animaux mettent à rude épreuve les finances de ces associations. Certaines d’entre elles, déjà fragiles, se trouvent aujourd’hui au bord du gouffre financier.
Un Appel de Fonds Inédit
Face à cette situation alarmante, la Fédération des chasseurs du Gers a décidé de lancer un appel de fonds exceptionnel auprès des différentes associations de chasse du département. La somme demandée, s’élevant à 1 000 euros, vise à couvrir les indemnisations des dégâts occasionnés par le grand gibier. Cependant, cette décision a suscité de vives inquiétudes chez les petites associations, souvent constituées de quelques membres seulement, dont les moyens financiers sont très limités.
Réactions des Associations de Chasse
Pour certaines de ces petites associations, qui ne comptent qu’une dizaine de membres, le montant de la cotisation annuelle ne dépasse pas les 50 euros. Cela suffit tout juste à couvrir les charges courantes, sans pour autant permettre de répondre à des appels de fonds aussi conséquents. C’est donc dans ce contexte difficile que des représentants des sociétés de chasse ont demandé un entretien avec le président de la Fédération des chasseurs du Gers afin d’expliquer l’impossibilité de répondre financièrement à cette nouvelle exigence.
Refus de la Fédération et Impasse Financière
Malheureusement pour ces associations, la réponse de la Fédération a été catégorique : l’appel de fonds ne peut pas être annulé. Selon elle, il est impératif de récolter les sommes demandées pour éviter une mise sous tutelle par la préfecture. La Fédération a également pointé du doigt les cotisations jugées trop faibles et a critiqué le manque d’initiatives pour générer des revenus supplémentaires. Elle a insisté sur le fait que la chasse, comme tout autre loisir, a un coût et que les chasseurs devaient accepter de le supporter.
Vers des Solutions Alternatives ?
Si l’idée d’augmenter drastiquement les cotisations communales a été écartée au sein des associations, certains membres ont proposé des alternatives telles que l’organisation de repas ou la vente de venaison pour générer des revenus. Toutefois, aucune solution concrète n’a été adoptée lors de l’entrevue, laissant les sociétés de chasse dans une impasse.
Des Conséquences Potentiellement Désastreuses
Cette situation financière critique pourrait avoir des conséquences graves : certaines associations ont déjà annoncé leur intention de mettre leurs comptes en standby, en attendant de voir si une solution viable pouvait être trouvée. Dans le pire des cas, des bureaux entiers pourraient décider de démissionner et certaines associations risquent tout simplement de disparaître.
Le Futur de la Chasse dans le Gers
Le statu quo actuel entre la Fédération et les sociétés de chasse laisse planer une ombre sur l’avenir de la chasse dans le Gers. Les discussions doivent se poursuivre pour trouver un modus vivendi qui permette à la fois de compenser les dégâts causés par les sangliers et de préserver la pérennité des associations de chasse locales. Reste à savoir si des compromis pourront être trouvés avant que certaines de ces sociétés ne disparaissent sous le poids des contraintes financières.
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Nagui maintient ses critiques envers les chasseurs dans son émission

Insultes envers les chasseurs : Nagui persiste dans « N’oubliez pas les paroles »
Un discours anti-chasse récurrent sur France 2
Le célèbre animateur Nagui, une figure emblématique de France 2, n’a jamais caché son opposition à la chasse. Lors de son émission « N’oubliez pas les paroles », il a une fois de plus profité de son statut pour exprimer publiquement ses opinions, souvent de manière virulente. Les propos tenus par Nagui à l’antenne, à l’encontre des chasseurs, ont suscité des réactions mitigées parmi les téléspectateurs.
Un débat sur la biodiversité qui tourne à la diatribe
Lors d’une de ses émissions du soir, Nagui s’est aventuré sur le terrain de la chasse en discutant avec le Maestro du jour, un professeur de sciences de la vie et de la terre (SVT). Tandis que ce dernier partageait sa vision de l’écologie et de la biodiversité, Nagui, connu pour ses critiques acerbes envers la chasse, a rapidement redirigé la conversation. Sous couvert d’humour, il a lancé des commentaires acerbes, qualifiant les chasseurs de « poivrots » et insistant sur les dangers qu’ils représenteraient pour les promeneurs et cyclistes en forêt.
Un passé consistant de propos virulents
Les déclarations de Nagui ne sont pas une nouveauté. Depuis 2019, il a régulièrement utilisé ses plateformes télévisuelles pour attaquer verbalement les chasseurs. Parmi ses interventions les plus marquantes, on se souvient de sa préférence affichée pour un lapin capable de tuer un chasseur, et de ses accusations généralisantes envers les chasseurs qu’il a qualifiés d’alcooliques. Ces attaques répétées ont forgé l’image d’un Nagui particulièrement virulent dès qu’il s’agit de chasse.
La position de l’Arcom
En 2020, les communautés de chasseurs avaient porté plainte auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), aujourd’hui renommé l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), espérant obtenir une sanction contre l’animateur. Cependant, l’Arcom a considéré que les propos de Nagui relevaient de la liberté d’expression, rejetant ainsi toute sanction. Cette décision a laissé un goût amer aux chasseurs qui se sentent ouvertement insultés et stigmatisés sur une chaîne publique.
L’ironie des critiques
Nagui se présente comme un défenseur fervent de l’écologie et du bien-être animal. Pourtant, ses actions ne sont pas toujours en phase avec ses discours. Par exemple, il n’hésite pas à utiliser des moyens de transport polluants, comme le jet privé, pour ses déplacements personnels. Cette contradiction entre ses déclarations et ses actes n’échappe pas aux observateurs critiques.
Un avenir télévisuel toujours incertain pour les chasseurs
Il est probable que Nagui ne s’arrêtera pas là et continuera à exprimer ses opinions sur la chasse dans ses futures émissions. Face à cette situation, les chasseurs de France devront continuer à supporter ces attaques verbales, faisant preuve de résilience et d’endurance. Quelles que soient les prochaines étapes, une chose est certaine : le débat sur la chasse à la télévision française est loin d’être clos.
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La Suspension de la Chasse aux Sangliers et ses Impacts dans le Sud-Ouest

La chasse aux sangliers suspendue jusqu’à nouvel ordre dans le Sud-Ouest
Répercussions de la Décision du Conseil d’État sur les Chasses Traditionnelles
Le Conseil d’État a récemment annoncé la suspension définitive des arrêtés permettant la chasse de l’alouette avec des dispositifs traditionnels tels que les pantes et les matoles. Ces méthodes, ancrées dans les pratiques locales du Sud-Ouest depuis des décennies, ont fait l’objet de nombreux débats. Les chasseurs, déterminés à prouver leur légitimité, ont réalisé plusieurs études démontrant que ces techniques étaient à la fois sélectives et respectueuses de la réglementation européenne.
Les Efforts des Chasseurs Restent Vains
Bien qu’une étude conjointe avec l’Office Français de la Biodiversité (OFB) ait validé l’innocuité de ces pratiques sur les populations d’alouettes, les arguments n’ont pas suffi à convaincre les juges. La décision du Conseil d’État a été perçue comme un véritable camouflet par les chasseurs du Sud-Ouest, qui ont vu leurs traditions balayées au profit des pressions exercées par les groupes anti-chasse.
La Rupture des Relations avec l’État
En réaction, plusieurs Fédérations de chasseurs de la région ont décidé de suspendre partiellement leurs relations avec les services de l’État, notamment en ce qui concerne le suivi et la surveillance de la faune sauvage. Les Fédérations des Landes et des Pyrénées-Atlantiques ont même annoncé en fin de semaine dernière qu’elles allaient encore plus loin en suspendant des actions clés comme la régulation des sangliers.
Suspension de la Régulation des Sangliers
À partir du 1er juin, la régulation des sangliers en battue collective par les chasseurs de ces Fédérations est mise en pause indéfiniment. Cette décision pourrait avoir des conséquences majeures sur le terrain, les sangliers étant connus pour causer des dommages importants aux cultures et dans les zones urbaines. Cependant, pour ne pas laisser les agriculteurs dans une situation critique, les actions de protection à l’affût et les démarches administratives seront maintenues pour le moment.
Un Appel à une Réévaluation de la Décision
La suspension de la régulation des sangliers intervient à un moment critique où le gouvernement cherche désespérément des solutions pour contrôler la prolifération de ces animaux. Les chasseurs espèrent que cette pression supplémentaire permettra de revoir la décision du Conseil d’État. De nouvelles actions fortes sont en préparation, et d’autres départements pourraient bientôt rejoindre cette initiative.
Conclusion et Regards vers l’Avenir
Alors que la situation s’envenime entre les chasseurs du Sud-Ouest et les autorités, une solution rapide et efficace sera nécessaire pour apaiser les tensions et gérer la croissance des populations de sangliers. Le dialogue doit être remis au centre des débats pour trouver une issue qui respecte à la fois les traditions locales et les impératifs écologiques et sociétaux actuels.
En partenariat avec Caninstore, restez informés de l’évolution de cette situation et des actions menées par les chasseurs.
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Une étude révèle que 26% des rats des parcs de Lyon sont porteurs de la leptospirose

Une étude scientifique révèle que 26% des rats des parcs de Lyon sont porteurs de la leptospirose
Près d’un rat sur quatre porteur de la leptospirose
Voici une étude qui devrait faire passer de bien mauvaises nuits à Grégory Doucet, maire écologiste de la ville de Lyon, à l’heure où certains élus de la municipalité veulent favoriser la cohabitation avec les « animaux liminaires ». Une revue américaine spécialisée dans les études scientifiques a publié le mois dernier les résultats de son travail et le moins que l’on puisse dire, c’est que les chiffres sont alarmants.
Une collaboration scientifique en plein cœur de Lyon
La recherche a été menée conjointement par l’Institut Pasteur, l’école vétérinaire VetAgro Sup de Lyon ainsi que l’Agence Nationale de la Recherche dans le parc urbain de la Tête d’Or et au Parc de Lacroix-Laval de la Métropole de Lyon. Ces deux parcs, abritant un nombre significatif de rongeurs, se sont révélés parfaits pour que les scientifiques mènent leurs tests.
L’objectif de l’étude était avant tout d’évaluer les risques pour la santé des habitants de la zone urbaine de Lyon tout en suivant l’évolution de la leptospirose au sein de la faune sauvage. Des pièges ont donc été positionnés pour capturer les rongeurs et lors des tests visant à dépister la leptospirose, près de 26% d’entre eux ont été testés positifs.
La leptospirose, une maladie potentiellement mortelle
La leptospirose est une maladie suivie de près par les scientifiques et causée par différentes souches de bactéries de la même famille. Ces bactéries survivent assez facilement dans la nature et les rongeurs sont un facteur important de leur diffusion.
Elle peut être mortelle dans 5 à 20% des cas. En milieu rural, les habitants sont souvent sensibilisés aux risques liés à cette maladie, mais c’est souvent bien moins le cas en milieu urbain. Son incubation est relativement rapide, et il est primordial de pouvoir poser un diagnostic rapide afin d’éviter une issue fatale pour la personne infectée par la leptospirose.
La prolifération des rats dans les grandes villes de France est un terreau fertile pour les scientifiques qui traquent les changements et les évolutions, mais les résultats de cette étude ne manqueront pas d’inquiéter les riverains ainsi que les habitués de ces parcs.
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