Les Chasseurs Réclament le Retour de Willy Schraen à la Tête de la FNC

Plus de 90% des Chasseurs Soutiennent Willy Schraen à la Présidence de la FNC
Soutien Massif des Chasseurs Pour le Maintien de Willy Schraen
Les dernières élections européennes ont eu des conséquences inattendues sur divers plans, y compris sur la politique et les carrières de certains acteurs influents. Parmi eux, Willy Schraen, qui a tenu parole en annonçant sa démission de la présidence de la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC) après que l’Alliance Rurale n’a pas réussi à atteindre le seuil de 5% nécessaire.
Des Réactions Vives à Travers la France
Cette annonce a suscité une réaction massive et rapide de la part de la communauté des chasseurs au niveau national. Les réseaux sociaux et divers forums de discussion se sont rapidement animés, les chasseurs exprimant leur désapprobation face à cette démission. Il est clair que, bien que l’engagement politique ne soit pas leur priorité, les chasseurs ne souhaitent pas voir partir un homme qui a tant œuvré pour leur passion et le maintien des traditions.
Un Sondage Qui Parle de Lui-Même
Pour mesurer l’opinion des chasseurs sur cette décision, un sondage a été mené auprès de milliers de membres de la communauté. Les résultats sont sans équivoque : plus de 90% des 6000 participants ont exprimé leur souhait de voir Willy Schraen rester à la tête de la FNC. Ce résultat montre à quel point Schraen est apprécié et soutenu par les chasseurs français.
La Politique et la Chasse : Une Relation Complexe
La démission de Willy Schraen met en lumière les tensions entre politique et gestion de la chasse en France. De nombreux chasseurs estiment que l’implication politique ne devrait pas interférer avec les opérations quotidiennes et la gestion de la chasse. L’expérience passée de mouvements comme « Chasse, Pêche, Nature et Traditions » (CPNT) montre que la politique et la chasse ne se marient pas toujours bien.
L’Appel des Chasseurs à leur Président
Malgré les défis politiques, Willy Schraen reste une figure respectée et admirée dans le monde de la chasse. Les chasseurs, conscients de l’importance de son leadership et de ses réalisations, espèrent qu’il reviendra sur sa décision de démissionner. Le Conseil d’Administration de la FNC partage ce sentiment et souhaite également voir Schraen poursuivre son mandat.
Le Futur de la Présidence de la FNC
La question qui reste en suspens est de savoir si Willy Schraen entendra l’appel de la communauté des chasseurs. Pour l’heure, la situation demeure incertaine, mais une chose est sûre : les chasseurs sont unis dans leur volonté de voir leur président continuer à défendre et à promouvoir la chasse en France.
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Actuchasse
Maire et Fils Condamnés pour Braconnage dans les Hautes-Alpes

Un Maire des Hautes-Alpes Condamné pour Braconnage : Révélations et Conséquences
La justice s’attaque au braconnage dans les Hautes-Alpes
Jeudi dernier, le tribunal de Gap a rendu un verdict inattendu impliquant Jean-Marie Barral, maire de la commune de Châteauroux-les-Alpes, et son fils Hervé. Accusés de plusieurs infractions liées au braconnage, les deux hommes ont été condamnés pour des faits remontant à plusieurs années. Retour sur une enquête minutieuse et ses conclusions sévères.
Une enquête née de rumeurs et de lettres anonymes
Tout commence entre 2018 et 2023, une période durant laquelle de nombreuses rumeurs de braconnage circulaient autour du maire et de son fils. Alertée par ces murmures persistants et par des lettres anonymes, l’Office Français de la Biodiversité (OFB) s’est penchée sur cette affaire. Dès 2020, les autorités ont entamé une surveillance étroite des activités de Jean-Marie Barral et de son fils, espérant démasquer leurs actes contre la faune locale.
La scène de l’acte : une intervention en flagrant délit
Le 1er septembre 2023, la surveillance s’est avérée fructueuse. Trois agents de l’OFB ont surpris le duo en pleine action de braconnage. Selon les témoignages au procès, l’un des agents a décrit avoir vu Jean-Marie Barral « sortir l’arme de son sac à dos avant de tirer à une vingtaine de mètres ». Cette intervention a marqué un tournant crucial dans l’enquête, ouvrant la voie à une perquisition capitale.
Les découvertes choquantes lors de la perquisition
Le lendemain de leur arrestation, une perquisition fut menée au domicile du maire. Les enquêteurs ne s’attendaient sûrement pas à une découverte d’une telle envergure : 386 pièces de gibier entreposées dans un congélateur. Parfaitement conservées, ces pièces auraient majoritairement été obtenues de manière illégale. Parmi les trouvailles, cerfs, chevreuils et même chamois n’étaient pas rares, mais c’est la viande de bouquetins qui a particulièrement indigné le tribunal. En effet, la fédération, présente en tant que partie civile, a déclaré que «c’est la première fois en dix ans que nous sommes confrontés au prélèvement d’un bouquetin». Un témoignage qui a pesé lourd dans la balance du tribunal.
Verdict et Réactions
Le verdict tombe : Jean-Marie Barral est condamné à six mois de prison avec sursis assortis d’une interdiction de passer le permis de chasse pendant trois ans. Son fils, Hervé, écope d’un an de prison avec sursis et se voit interdit de chasse pour une période de cinq ans. Pourtant, les avocats de Jean-Marie Barral estiment que les accusations reposent sur des fondements incertains, qualifiant le dossier de «vide» et «basé uniquement sur des rumeurs». Les condamnés disposent de la possibilité de faire appel, laissant un ultime suspense dans cette affaire.
Les leçons à retenir sur le braconnage
Cette affaire met en lumière l’importance cruciale de la surveillance et de la rigueur en matière de préservation de la faune. Braconner n’est pas seulement une infraction légale ; c’est un acte qui compromet l’équilibre de nos écosystèmes et la biodiversité. Les autorités, par ce verdict, envoient un message clair : la lutte contre le braconnage est une priorité absolue.
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Plan National Français Révolutionne le Bien-être des Animaux de Compagnie

Interdiction des Colliers Électriques : Une Révolution Pour le Bien-être Animal
Une Nouvelle Feuille de Route Gouvernementale pour les Animaux de Compagnie
Le gouvernement français a récemment dévoilé son « Plan national pour améliorer le bien-être des animaux de compagnie », introduisant plusieurs mesures significatives, notamment l’interdiction des colliers électriques. Ce plan s’annonce comme une initiative majeure visant à dépasser les standards européens énoncés en 2023 sous la présidence belge du Conseil de l’Union européenne.
Les Chiens au Cœur du Débat
Le plan met en lumière quatre mesures principales : l’interdiction totale de la caudectomie (ablation ou réduction de la queue), l’interdiction de l’usage prolongé de la muselière, la suppression du tatouage au profit des puces électroniques et, bien sûr, l’interdiction des colliers électriques. Ces mesures, bien que louables du point de vue de la protection animale, génèrent des inquiétudes chez les éleveurs, les professionnels du monde canin et les chasseurs.
Impact sur les Pratiques Cynégétiques
Parmi les nouvelles règles, l’interdiction des colliers électriques pourrait impacter directement les chasseurs. Ces dispositifs sont principalement utilisés pour garantir la sécurité des chiens durant les activités de chasse, mais cette pratique est désormais remise en question. Les discussions promettent d’être animées, opposant souvent les perceptions des animalistes à celles des chasseurs, qui revendiquent l’utilisation de ces outils pour la protection de leurs compagnons à quatre pattes.
Des Mesures Coercitives pour les propriétaires de Chiens
Si les propriétaires de chiens se sentent visés par des mesures plus restrictives, la situation semble plus favorable pour les amateurs de félins. Le plan prévoit, entre autres, le financement de la stérilisation des chats errants, dans un souci de gestion de la population féline et de préservation de la biodiversité, notamment des oiseaux et des petits reptiles.
Financement et Gestion des Animaux Errants
Dans le cadre de ce Plan national, le gouvernement a décidé d’attribuer 3 millions d’euros aux collectivités territoriales via la loi de finances 2024, pour couvrir les coûts de stérilisation des chats errants. Cependant, aucune mesure concrète n’est annoncée pour les chats domestiques divagants, qui peuvent également poser des problèmes de surpopulation et de menace pour la faune locale.
Réactions des Associations Animalistes et Allocations Financières
Les associations de protection animale accueillent favorablement ce plan, destiné aussi à leur professionnalisation. En effet, plus de 36 millions d’euros ont été déjà accordés à ces associations dans le cadre du plan France Relance. Ces fonds sont censés les aider à mieux structurer leurs actions de protection et de bien-être animal.
Conclusion
La transition vers cette nouvelle réglementation ne sera pas sans débat. L’interdiction des colliers électriques, tout comme les autres mesures proposées, risque de polariser les opinions au sein de la communauté concernée. La quête d’un équilibre entre protection animale et pratiques traditionnelles continuera de susciter de nombreux échanges et réflexions.
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Braconnage de Nuit Déjoué par la Fédération des Chasseurs du Gard

Gard : Un Braconnier Pris en Flagranterie par la Fédération des Chasseurs
Un Flagran Délit au Cœur de la Nuit
Alors que l’attention générale était focalisée sur la campagne électorale, les agents de la Fédération des chasseurs du Gard ont réussi à déjouer les plans d’un braconnier, bien décidé à se jouer des règles en vigueur. Dans la nuit du 5 au 6 juin, un homme a été surpris en pleine action de braconnage dans la région de Remoulins.
Les Motivations des Braconniers : Entre Frissons et Illégalité
Le braconnage demeure un problème récurrent dans de nombreuses régions de France, et le Gard ne fait pas exception. Malgré les autorisations de chasse spécifiques, comme celles pour le tir d’été du sanglier, certains individus cherchent à contourner les règles. Pour ces braconniers, le désir de repousser les limites et de ressentir une dose d’adrénaline semble l’emporter sur le respect des lois. La vente illégale de venaison étant compliquée, ces individus prennent délibérément le risque d’agir en dehors de la légalité.
Une Surveillance Accrue pour Protéger la Faune
C’est grâce à une surveillance efficace que les agents de la Fédération des chasseurs du Gard ont pu intervenir à temps. En patrouille nocturne autour de la plaine de Remoulins, ils ont été alertés par un coup de feu. Immédiatement, trois agents se sont dirigés vers la source du tir, où ils ont découvert un homme en haut d’un mirador, en pleine activité de chasse illégale.
Conséquences Légales pour le Braconnier
Surpris en flagrant délit, le braconnier n’a pas pu échapper à la loi. Il a été verbalisé pour chasse de nuit et pour l’usage d’une lunette à vision thermique, des infractions sévèrement réprimées par la loi. L’affaire a été rapidement transférée au Tribunal Judiciaire de Nîmes pour jugement. Parmi les sanctions potentielles qui l’attendent figurent la suspension de son permis de chasse, la confiscation de son arme, une amende substantielle, et d’éventuels dommages et intérêts si la Fédération des chasseurs du Gard décide de se constituer partie civile.
Le Rôle Crucial de la Fédération des Chasseurs
Ce coup d’éclat souligne le rôle indispensable des agents de la Fédération des chasseurs dans la protection de la faune et le respect des réglementations. Leur vigilance permet non seulement de prévenir les abus, mais aussi d’assurer que la chasse reste une activité pratiquée dans le cadre des lois et des valeurs traditionnelles.
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Rédaction : Actuchasse, en partenariat avec Caninstore
La débâcle des écologistes aux élections européennes : Une reconquête nécessaire

Les écologistes en déroute au Parlement Européen : Une élection sous le signe de la désillusion
Des résultats décevants pour les verts : L’Alliance Rurale et les partis traditionnels en tête
Les élections européennes de 2024 ont laissé un goût amer aux écologistes français. Alors que l’Alliance Rurale n’a pas réussi à engranger de gros succès, il en va de même pour les écologistes qui se retrouvent relégués loin derrière les partis traditionnels. La véritable surprise vient de l’écrasante victoire du Rassemblement National, laissant les verts en débandade. En l’espace d’un mandat, les écologistes ont vu leur représentation au Parlement Européen réduite de moitié, passant ainsi de 10 à seulement 5 sièges.
La radicalisation et les échecs de communication : Des points de rupture
Les résultats actuels posent une question cruciale : pourquoi la stratégie des écologistes n’a-t-elle pas fonctionné ? Plusieurs facteurs semblent expliquer cette déconfiture. Tout d’abord, la radicalisation du mouvement et les conflits violents, comme ceux observés à Sainte-Soline, ont terni l’image du parti. Les attaques répétées contre les agriculteurs, suivies de tentatives maladroites de réconciliation avant les élections, n’ont fait qu’ajouter à la confusion. Des initiatives telles que la « booty therapy » ont peut-être attiré l’attention médiatique mais n’ont certainement pas convaincu l’électorat.
Les enjeux écologiques : Une cause prise en main par tous les partis
Le manque de succès des écologistes peut également être attribué à une prise de conscience plus large des enjeux climatiques par divers partis politiques. Ces derniers ont décidé d’intégrer des mesures concrètes et sérieuses dans leurs programmes, misant sur le travail et la rigueur plutôt que sur le sensationnalisme. Cela a rendu l’offre des verts moins attractive, diluée parmi d’autres propositions mieux structurées et surtout, mieux accueillies par l’électorat.
Marie Toussaint, un succès en demi-teinte
Marie Toussaint, accompagnée de quelques colistiers, est parvenue à conserver son siège de justesse. Cependant, le groupe écologiste français a vu sa représentation fondre à vue d’œil, de 10 à 5 sièges. Cette perte significative illustre bien les défis auxquels le parti est confronté dans un paysage politique européen de plus en plus compétitif.
Retour potentiel de la NUPES : Une nouvelle carte à jouer pour les verts ?
Alors que les résultats désastreux des écologistes pourraient conforter certains secteurs, comme celui de la chasse, dans l’idée que les Français ne sont pas dupes face à certaines stratégies de communication, un autre scénario se profile à l’horizon. Le succès de Jordan Bardella aux élections européennes pousse divers partis de gauche à envisager un rassemblement similaire à celui de la NUPES en 2022. Cette union potentielle pourrait être une bouée de sauvetage pour les écologistes, leur permettant de retrouver une certaine influence au sein de l’Assemblée Nationale, surtout avec les nouvelles élections prévues pour la fin juin.
Un avenir incertain pour le monde rural
Les semaines à venir seront décisives pour les ruraux et les partisans de la chasse. Alors que l’attention se tourne désormais vers les élections nationales, l’enjeu sera de savoir quel parti politique sera en mesure de défendre les modes de vie traditionnels, la culture et les traditions rurales. Il est crucial que les voix rurales trouvent un écho dans les politiques à venir afin de préserver ces aspects indispensable de notre société.
En conclusion, cette élection européenne a marqué un tournant pour les écologistes, avec des résultats décevants et une perte de poids politique significative. Cependant, le jeu n’est pas terminé; un éventuel retour de la NUPES pourrait bien redistribuer les cartes et offrir une nouvelle opportunité de rebond.
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Willy Schraen Envisage de Quitter la FNC Après l’Échec de l’Alliance Rurale

Vers une Possible Démission de Willy Schraen de la Fédération Nationale des Chasseurs Après les Élections Européennes ?
Les Résultats Décevants de l’Alliance Rurale
Le dimanche 09 juin, les élections européennes ont vu l’Alliance Rurale, initiative portée par Willy Schraen, obtenir seulement 2,36% des suffrages, bien loin du seuil de 5% nécessaire pour être représentée au Parlement Européen. Cet échec pourrait bien avoir des répercussions majeures pour l’avenir du Président de la Fédération Nationale des Chasseurs (FNC).
Willy Schraen : Un Homme de Terrain Engagé
Willy Schraen, bien qu’affirmant ne pas être un homme politique, s’était investi pleinement dans la création et la campagne de l’Alliance Rurale. Sa mission ? Défendre non seulement la chasse française, mais également toute la ruralité, afin de préserver les modes de vie traditionnels face aux décisions du Parlement Européen. Toutefois, face au verdict des urnes, la question se pose légitimement : que décidera Schraen sur son avenir à la tête de la FNC ?
Déclarations et Possibilités de Démission
Willy Schraen n’avait pas caché que son maintien à la présidence de la FNC dépendrait largement des résultats de l’Alliance Rurale. Avec des scores bien en deçà des espérances, une démission pourrait être annoncée sous peu. Une telle décision résonnerait comme un coup de tonnerre dans le paysage cynégétique français.
Un Bilan Contrasté
Durant son mandat, Schraen a su apporter un souffle nouveau et défendu vigoureusement les intérêts des chasseurs français. Sous sa direction, des dossiers complexes ont été abordés, même si certains, comme celui des chasses traditionnelles, n’ont pas toujours abouti comme espéré. Néanmoins, son engagement pour moderniser l’image et les pratiques de la chasse en France est indéniable.
Les Voix Discordantes au Sein de la Communauté des Chasseurs
Schraen n’a pas que des partisans. Certains chasseurs ne lui ont jamais pardonné son alignement avec le mouvement d’Emmanuel Macron lors de la présidentielle de 2017. Cette frange de la communauté pourrait voir en sa possible démission une opportunité de réorienter les stratégies et les alliances futures de la FNC.
Vers un Avenir Incertain
Les prochaines heures ou jours seront cruciaux pour l’avenir de Willy Schraen à la présidence de la FNC. Sa décision influencera indubitablement l’orientation future de la fédération et la manière dont elle interagira avec le monde politique et les instances européennes. Comme le dit le célèbre adage, on sait ce que l’on perd, mais pas toujours ce que l’on gagne…
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Les Chasseurs Canadiens et la Lutte contre la Grippe Aviaire

Les Chasseurs Canadiens Face à la Menace de la Grippe Aviaire
Les Répercussions Mondiales de la Grippe Aviaire
La grippe aviaire, essentiellement provoquée par le virus H5N1, ne connaît malheureusement pas de frontières. Alors que l’Europe continue de lutter contre ce fléau, nos voisins canadiens subissent également les conséquences de cette maladie qui se propage parmi les oiseaux migrateurs. Le ministère du Nunavut a récemment lancé un appel aux chasseurs, les invitant à redoubler de vigilance face à cette menace.
Un Défi pour les Espèces Sauvages et les Éleveurs
En France, les dégâts causés par une épidémie de grippe aviaire sont bien connus. Non seulement les populations d’oiseaux sauvages en souffrent, mais les éleveurs de volailles sont également sévèrement touchés, certains ayant dû fermer leurs exploitations après que le virus ait ravagé leurs élevages. D’un point de vue écologique et économique, les répercussions sont considérables.
La Situation au Canada
À l’instar de l’Europe, le Canada n’est pas épargné. La migration des oiseaux vers le Grand Nord, qui a débuté il y a plusieurs semaines, pourrait bien contribuer à la propagation continue du virus H5N1. Depuis 2022, plusieurs cas ont été confirmés dans la région du Nunavut. Cependant, étant donné l’immensité du territoire, de nombreux experts estiment que la situation pourrait être bien pire que ce qui est actuellement documenté.
Le Rôle Crucial des Chasseurs
Les chasseurs jouent un rôle essentiel en tant que sentinelles de la nature. Le ministère du Nunavut reconnaît l’importance de leur contribution dans la surveillance sanitaire des espaces naturels. Dans ce contexte de pandémie, leur vigilance est plus précieuse que jamais. Ils sont encouragés à observer et signaler tout comportement anormal chez les oiseaux, tels que des membres enflés, une nervosité accrue ou des tremblements.
Mesures de Précaution Recommandées
Pour éviter d’être des vecteurs de la maladie, les chasseurs doivent suivre certaines précautions. Il est recommandé de toujours porter des gants, de se laver les mains au savon de manière régulière et de nettoyer soigneusement ses vêtements après chaque sortie en pleine nature.
Un Appel à la Coopération
Le responsable de la Division des activités de la faune du ministère de l’Environnement du Nunavut souligne la dépendance des autorités locales envers les chasseurs : « Le Nunavut est un vaste territoire avec des espaces immenses et la plupart des communautés ne disposent que d’un seul agent de conservation. Nous comptons donc énormément sur nos relations avec les chasseurs locaux et les associations de chasseurs et de trappeurs. »
Une Surveillance Active Continue
Il faut noter que les chasseurs et trappeurs du Nunavut jouent déjà un rôle actif dans la surveillance d’autres maladies, comme la rage ou la trichinellose. Leur expertise est donc cruciale pour le suivi et la prévention de la grippe aviaire.
Conclusion
En ces temps incertains, il est impératif que tous les acteurs de la faune sauvage, y compris les chasseurs, demeurent vigilants et conscients des risques associés à la grippe aviaire. Leur contribution est essentielle pour gérer et limiter la propagation de cette maladie qui affecte non seulement les oiseaux migrateurs, mais aussi les écosystèmes et les communautés humaines.
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Un Ours Signalé par un Cycliste dans les Yvelines

Un Cycliste de la Région Parisienne Signale la Présence d’un Ours dans les Yvelines
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Un Petit Tour à Vélo et une Rencontre Inattendue
La tranquillité des Yvelines a récemment été troublée par une nouvelle des plus étonnantes: un ours aurait été aperçu en périphérie de la région parisienne. C’est en tout cas ce qu’a rapporté un cycliste aux gendarmes locaux.
Un Signalement Hors du Commun
Tout a commencé lorsqu’un jeune cycliste et sa compagne ont contacté la gendarmerie des Yvelines pour signaler une rencontre inhabituellement sauvage. Selon l’homme, alors qu’ils pédalaient sur la route d’Orgerus, près de Bazainville, il aurait aperçu ce qu’il a d’abord pris pour un sanglier. En s’approchant, la silhouette sombre s’est dressée sur ses pattes arrière, révélant, selon lui, la forme indubitable d’un ours.
Une Réponse Immédiate des Autorités
Bien que sceptiques, les gendarmes ont pris la déclaration au sérieux. Ils se sont rapidement rendus sur les lieux pour vérifier l’allégation surprenante. Les autorités ont également contacté le zoo de Thoiry, situé à proximité, pour s’assurer qu’aucun ours n’avait échappé à son enclos. La réponse fut unanime : aucun pensionnaire manquant et aucune trace d’ours.
Des Recherches Sans Résultat
Malgré une patrouille méticuleuse et le passage au peigne fin des environs, ni les autorités ni les habitants locaux n’ont trouvé de preuve supplémentaire de la présence de cet ours mystérieux. En toute déduction, il semble que l’alerte ne repose que sur un témoignage unique et isolé.
Précédents et Théories
Ce n’est pas la première fois qu’un tel signalement est fait dans la région. Il y a quelques années, une allégation similaire avait été déposée, sans suite concrète après enquête. De même, plusieurs rapports non confirmés décrivent la potentielle présence d’un ours près de Rouen, en Seine-Maritime. Même si aucune observation n’a été formellement enregistrée, certaines voix suggèrent la possibilité d’un ours ayant parcouru une distance considérable jusque dans les Yvelines, si tant est qu’il existe réellement.
Conclusions et Perspectives
Pour l’heure, le mystère reste entier. Le cycliste, quant à lui, maintient obstinément qu’il ne s’agissait pas d’un canular. La prudence reste de mise, et les autorités surveilleront toute nouvelle indication alignée sur cette étrange apparition.
Souvenirs d’une rencontre inhabituelle ou imagination débordante d’un cycliste? Seul le temps pourra dévoiler ce mystère qui, pour l’instant, alimente les discussions locales.
Article rédigé par Actuchasse.
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Chevreuil et Carambolage en Dordogne Trois Véhicules Impliqués

Un chevreuil déclenche un carambolage en Dordogne
La carcasse d’un chevreuil cause un accident à Castels-et-Bézenac, impliquant trois véhicules
Il ne se passe pas une semaine sans qu’un nouvel incident impliquant le grand gibier ne survienne en France. Cette fois, la Dordogne a été le théâtre d’un événement dramatique qui laisse les habitants sans voix. Sur une route de Castels-et-Bézenac, un carambolage impliquant trois véhicules a eu lieu à cause d’un chevreuil – mais pas tout à fait de la manière que l’on pourrait imaginer.
Un accident qui fait parler de lui
Trois voitures se sont percutées de manière violente, avec comme point commun une carcasse de chevreuil gisant sur le bas-côté de la départementale 703. Selon les informations relayées par les médias locaux, les versions divergent : certains témoins affirment qu’un conducteur a tenté d’éviter le cadavre de l’animal, tandis que d’autres soutiennent qu’il a été distrait en le regardant. Quoiqu’il en soit, ce premier véhicule a fait une embardée, percutant autre voiture arrivant en sens inverse. L’impact a entraîné la perte de contrôle du second véhicule, qui est à son tour entré en collision avec un troisième véhicule circulant dans le même sens que le premier.
Un risque sous-estimé
Les collisions impliquant le grand gibier sont monnaie courante en milieu rural, et pas uniquement en Dordogne. Les élus écologistes tentent de réguler la situation, parfois en mettant des restrictions sur les activités de chasse. Cette régulation insuffisante peut avoir des conséquences directes, telles que des dégâts agricoles ou des accidents de la route. Bien souvent, ce sont les sangliers qui sont pointés du doigt pour ces incidents, mais les cervidés, y compris les chevreuils, peuvent également surprendre les automobilistes par des apparitions soudaines.
Conséquences pour les victimes
Sur les six personnes impliquées dans ce carambolage, quatre ont été transportées à l’hôpital de Périgueux. Heureusement, seule une d’entre elles a subi des blessures sérieuses, se plaignant de douleurs lombaires. Les secours ont rapidement pris en charge les blessés, évitant ainsi que la situation ne s’aggrave.
Prévention et sécurité routière
Pour éviter ce genre de situation, quelques mesures de précaution s’imposent. Les automobilistes devraient réduire leur vitesse en zones rurales, surtout à l’aube et au crépuscule, moments où la faune est particulièrement active. De plus, surveiller constamment les bas-côtés et être prêt à freiner peut faire la différence en cas de rencontre inopinée avec un animal. Enfin, les campagnes de sensibilisation et les panneaux signalant la présence possible de grands gibiers pourraient également contribuer à diminuer le nombre d’accidents.
Si vous êtes chasseur, mieux vaut suivre scrupuleusement les réglementations locales pour veiller à une régulation efficace des populations animales. En cas d’accident, il est primordial de signaler rapidement l’incident aux autorités compétentes pour éviter d’autres conséquences désastreuses.
Conclusion
Le carambolage survenu à Castels-et-Bézenac rappelle une fois de plus la nécessité d’une gestion rigoureuse des populations de grand gibier pour la sécurité de tous. Des mesures de prévention adaptées et une réponse rapide des secours peuvent grandement atténuer les impacts de tels incidents.
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Les Chasseurs du Sud-Ouest en Rébellion Contre l’Interdiction des Chasses Traditionnelles

Les Chasseurs Mobilisés contre l’Interdiction des Chasses Traditionnelles
Le bras de fer entre chasseurs et gouvernement se durcit
Dans le Sud-Ouest de la France, une tension croissante se fait sentir entre les chasseurs locaux et les autorités. En cause : la récente interdiction des chasses aux pantes et à la matole décidée par le Conseil d’État, une décision qui a provoqué une levée de boucliers chez les passionnés de chasse.
Réactions en chaîne dans les départements affectés
Depuis cette interdiction, des voix fortes s’élèvent dans les Landes, les Pyrénées-Atlantiques, la Gironde et le Lot-et-Garonne. Dans ces départements, les chasseurs se sentent dépossédés d’une part essentielle de leur culture locale et cynégétique. Face à cette situation, des mesures de protestation ont été prises, allant jusqu’à la suspension de certaines activités comme la chasse aux sangliers. Le refrain est unanime : trop, c’est trop !
Bloquage des relations avec les services de l’État
En Lot-et-Garonne, la Fédération des chasseurs a choisi de durcir le ton. Tous les échanges avec les services de l’État sont suspendus, qu’il s’agisse du suivi sanitaire de la faune, des prélèvements ou de la gestion des dégâts causés par le grand gibier. Cette action, concertée avec les fédérations voisines, montre à quel point les chasseurs sont prêts à aller pour défendre leurs traditions. Il ne s’agit pas seulement de préserver une pratique, mais bien un pan entier du patrimoine régional.
L’appel à la concertation avec le Président
Devant l’absence de dialogue et le silence persistant de l’administration, les chasseurs du Lot-et-Garonne ont décidé de frapper à la porte la plus élevée du pouvoir. Une délégation, déterminée à se faire entendre, s’est présentée à la préfecture d’Agen le vendredi 24 mai, exigeant une entrevue avec le Président de la République. Leur objectif est clair : exposer directement au chef de l’État les incohérences qu’ils perçoivent dans la décision du Conseil d’État et l’impact minime des chasses traditionnelles sur les populations d’alouettes.
Des études contestées et des arguments peu entendus
Les chasseurs regrettent que leurs arguments, pourtant étayés par des études et des preuves, n’aient pas été pris en compte. Ils pointent du doigt les associations anti-chasse, accusées d’exercer une pression démesurée sans avoir conduit de véritables études sur l’impact des chasses aux pantes et à la matole. Selon eux, cette interdiction ne repose sur aucune base scientifique solide, puisque la chasse à l’alouette au fusil reste autorisée durant la saison régulière, prouvant ainsi que la population d’alouettes n’est nullement menacée.
Des chasseurs mal entendus
Malgré les multiples lettres restées sans réponse, les chasseurs refusent de baisser les bras. Ils se sentent mis de côté, traités comme des citoyens de seconde zone. Pour eux, cette exclusion est inacceptable. Le combat est donc loin d’être terminé, et différentes actions pourraient être mises en place pour maintenir la pression sur le gouvernement.
Un appel à la mobilisation continue
Les chasseurs du Sud-Ouest sont décidés à ne rien lâcher. La mobilisation se poursuit et d’autres actions, pour l’instant gardées secrètes, sont en préparation. Si le gouvernement continue de ne pas répondre à leurs demandes, il peut s’attendre à une montée en puissance des protestations. Pour les passionnés de chasse traditionnelle, il en va de la sauvegarde d’un héritage culturel séculaire.
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