Montée de la Sécurité dans la Chasse du Lot


La Montée de la Sécurité dans la Chasse Lotoise
Pour un chasseur, la sécurité reste la règle d’or, un principe que les chasseurs du Lot prennent très à cœur. D’initiatives innovantes à des formations désormais incontournables, le département du Lot se place en précurseur pour un exercice de la chasse plus sûr.
Une Formation Obligatoire pour Renouveler le Permis de Chasse
La sécurité à la chasse n’est pas un concept nouveau, mais Michel Bouscary, président de la Fédération de chasse du Lot, lui donne un coup d’accélérateur. Sous son impulsion depuis 2022, une formation décennale est devenue incontournable pour tout chasseur souhaitant renouveler son permis. Un dispositif qui s’inscrit dans une démarche préventive, avec une attention tout particulière portée sur les règles de sécurité basal. D’ici septembre 2024, deux tiers des chasseurs de ce département auront actualisé leurs connaissances en matière de sécurité, s’assurant ainsi que la tradition de la chasse se perpétue dans les conditions les plus sûres.
Une Formation Avancée pour les Directeurs de Battues
Le Lot innove également avec la formation obligatoire pour les directeurs de battues, une journée intense de préparation spécifique assurant que chaque battue est conduite avec le maximum de précautions. De la reconnaissance du gibier à l’installation des panneaux d’avertissement, en passant par l’angle de tir de sécurité, tout est mis en œuvre pour garantir la sécurité de tous.
Un Défi Démographique
Le département compte 6 222 chasseurs, majoritairement situés dans la tranche d’âge des 60 à 69 ans. Malgré l’arrivée de 130 nouveaux pratiquants la saison passée, le nombre de permis continue de diminuer, reflétant une tendance nationale. Les femmes, représentant 3% des chasseurs lotois, ne suffisent pas à inverser cette dynamique.
Sécurité et Incidents : Un Bilan National
La sécurité à la chasse est une question brûlante. Malgré les efforts, la saison précédente a enregistré six décès parmi les chasseurs en France, la moitié lors de la manipulation d’armes. Un chiffre qui, bien que faible, est considéré comme inacceptable par les responsables du secteur.
Avec ces initiatives et formations, la Fédération de chasse du Lot s’engage fermement sur la voie d’une pratique plus sûre et plus responsable de la chasse, un loisir profondément ancré dans les traditions locales, mais qui doit évoluer avec son temps pour garantir la sécurité de tous.
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Les chasseurs de l’Ain réinventent leur sport


Les chasseurs de l’Ain réinventent leur sport pour attirer jeunes et femmes
Le milieu traditionnellement masculin de la chasse dans l’Ain est en pleine révolution. Confrontée à une image vieillissante et à la nécessité de diversifier ses pratiquants, la Fédération départementale des chasseurs de l’Ain (FDCA) met en œuvre des stratégies ambitieuses pour séduire un public plus jeune et surtout, pour la première fois, attirer les femmes.
Durant leur assemblée générale au Centre international des rencontres de Saint-Vulbas, un constat était indéniable : le public traditionnel de la chasse vieillit. La présence limitée de jeunes et de femmes parmi les 350 participants a souligné l’urgence d’un changement. « Notre objectif est de renouveler nos effectifs », confie Gontran Bénier, le chef de file de la chasse locale, « nous devons rééquilibrer notre pyramide des âges et incorporer davantage de jeunes. »
Pour atteindre ces nouveaux horizons, la FDCA ne ménage pas ses efforts. Entre la création d’une ligne de vêtements « Fier d’être chasseur dans l’Ain » et une présence accrue sur les plateformes digitales comme Facebook, X (anciennement Twitter) et Instagram, la fédération espère rajeunir son image. « Nous n’avons pas encore un grand nombre d’abonnés, mais l’interaction est là. Cela montre un réel intérêt de la part des jeunes », observe Jules de Montgolfier, directeur de la FDCA.
Soutien et éducation: vers une pratique inclusive
La chasse souffre souvent d’une mécompréhension plutôt que d’une hostilité franche. Pour y remédier, des sessions d’information et d’initiation sont organisées pour démystifier la pratique et montrer son importance dans la gestion durable des écosystèmes. C’est un effort pour modifier la perception publique, en soulignant le rôle écologique que jouent les chasseurs dans la conservation de la nature.
Ces efforts de modernisation et d’inclusion sont essentiels pour que la chasse perdure et évolue. En s’ouvrant aux femmes et aux jeunes, la FDCA espère non seulement rajeunir sa base mais aussi enrichir la pratique de la chasse de nouvelles perspectives et sensibilités.
La route vers une réelle diversification sera longue et complexe, mais les premiers pas de la FDCA sont prometteurs. En déconstruisant les stéréotypes et en invitant de nouveaux groupes à rejoindre leurs rangs, les chasseurs de l’Ain pourraient bien être en train de redessiner l’avenir de leur passion.
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La révolte des chasseurs de Dordogne


La révolte des chasseurs de Dordogne contre la taxe grand gibier
La récente fronde lancée par les sociétés de chasse de Dordogne contre une nouvelle taxe liée aux dégâts du grand gibier soulève des vagues dans la communauté chasseuse du département. En lutte contre cette mesure jugée injuste par bon nombre d’entre eux, les chasseurs se sont retrouvés en première ligne d’un débat passionné sur l’équité et la gestion de la faune sauvage.
Une taxe à géométrie variable
Débutée en 2024, la controverse porte sur la contribution exigée par la fédération départementale des chasseurs vis-à-vis des dégâts causés aux cultures par les sangliers. Selon la nouvelle réglementation, le montant de cette contribution fluctue en fonction de l’importance des dégâts rapportés, ce qui a immédiatement soulevé l’ire des sociétés de chasse, celles-ci estimant cette mesure disproportionnée et inéquitable.
Plus de dégâts, plus on paie
Le cœur du problème réside dans le calcul de cette taxe : une société de chasse dont le territoire est affecté par des dégâts importants se voit contrainte de payer un montant bien plus élevé que celui dont les terres ont été épargnées, créant ainsi une disparité considérable entre les différentes sociétés. Cette situation a conduit à la création d’un collectif regroupant une soixantaine de sociétés mécontentes, prêtes à en découdre avec la fédération pour faire revoir ce système de taxation.
Une première victoire, mais la lutte continue
Leur persévérance a porté ses fruits lors de l’assemblée générale de la fédération en avril, où les frondeurs ont réussi à faire baisser légèrement le montant de la taxe. Néanmoins, ils ne comptent pas s’arrêter là. En effet, l’objectif est maintenant d’obtenir une taxation uniforme pour toutes les sociétés, mettant fin à une disparité jugée injuste.
Perspectives futures
Les opposants à cette nouvelle taxe grand gibier se donnent rendez-vous en janvier 2025, dans l’espoir d’avoir mené à bien leur combat pour une tarification équitable, reflétant un consensus plus large sur la manière de gérer les impacts de la faune sur l’agriculture, sans pour autant pénaliser injustement les passionnés de chasse.
Le débat sur la contribution des sociétés de chasse aux dégâts causés par les sangliers en Dordogne est loin d’être clos. Il soulève une question plus large sur la nécessité d’une gestion faunique équilibrée et juste, qui prenne en compte à la fois les intérêts des agriculteurs, des chasseurs et de l’environnement.
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Le Président des Chasseurs de Haute-Corse Défend la Tradition et le Rôle de la Chasse


Le Président des Chasseurs de Haute-Corse Défend la Tradition et le Rôle de la Chasse
Lors de l’assemblée générale de la fédération des chasseurs de Haute-Corse, réunissant 130 participants à Tagliu Isulacciu, Jean-Baptiste Mari, a mis en lumière l’importance cruciale de la chasse pour les communautés rurales. Au cœur des discussions, une activité souvent critiquée mais essentielle à la culture et à l’économie locales.
La Chasse en Corse : Plus qu’un Simple Loisir
Contrastant avec certaines idées reçues, la chasse en Corse se distingue par son caractère populaire et inclusif. Intégrée au mode de vie corse, elle reflète des valeurs profondes de partage et de connexion à la terre. Avec 18,000 pratiquants, représentant 5 % de la population – un taux bien supérieur à la moyenne nationale – la chasse s’inscrit comme une tradition vivante.
Des Défis à Relever
Cependant, cet ancrage culturel ne va pas sans défis. L’augmentation de la population de sangliers, avec les nuisances correspondantes dans les zones urbaines et agricoles, pose question. Tout comme le renouvellement des générations de chasseurs qui évolue avec les changements sociétaux. La régulation de ces populations animales, notamment à travers des battues administratives, devient ainsi un enjeu central de cohabitation.
Sécurité et Convivialité : Les Priorités des Chasseurs Corses
Face à certaines inquiétudes du grand public, notamment concernant la sécurité, la fédération met en place des mesures préventives strictes. Le port de gilets de signalisation et une réglementation rigoureuse contribuent à minimiser les risques d’accidents, qui restent plus rares sur l’île comparativement au continent.
La Chasse, Un Sujet Politique
La chasse dépasse le cadre de la simple activité de loisir pour devenir un enjeu politique, en témoigne la candidature de Willy Schraen aux élections européennes. Ce mouvement vise à protéger l’identité rurale et les traditions de chasse face aux régulations toujours plus strictes émanant de Bruxelles.
En somme, le rôle des chasseurs en Corse s’étend bien au-delà de la chasse elle-même, englobant la préservation du patrimoine naturel et culturel, ainsi que la maintenance des liens communautaires dans les zones rurales. Un équilibre entre tradition et adaptation aux enjeux contemporains qui mérite reconnaissance et soutien.
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Les chasseurs tarn-et-garonnais célèbrent leur passion et défendent leur identité


Les chasseurs tarn-et-garonnais célèbrent leur passion et défendent leur identité
Lors d’un rassemblement significatif à la salle polyvalente de Bressols, le congrès annuel des chasseurs du Tarn-et-Garonne a brillé par sa convivialité et l’affirmation d’une identité forte. Ce rendez-vous, très attendu par la communauté des chasseurs, a vu la présence remarquée d’élus locaux et a été l’occasion de réaffirmer la place essentielle de la chasse dans la culture et l’équilibre écologique du département.
La chasse, cette tradition séculaire, trouve encore aujourd’hui sa place au cœur des loisirs français. Elle se retrouve toutefois questionnée, voire contestée, dans ses pratiques et son impact. Le congrès a donc été l’occasion pour les participants d’exprimer leur engagement pour une chasse responsable et populaire, soucieuse de la protection et de la gestion du patrimoine faunique.
Thierry Cabanes, président de la fédération départementale, a souligné devant un auditoire attentif le rôle crucial des chasseurs dans la conservation de la nature et le maintien d’un équilibre durable entre les espèces. « Nous avons un engagement au service de notre passion et un sens des responsabilités face aux enjeux d’une chasse durable », a-t-il déclaré, valorisant les efforts continus pour renforcer la sécurité lors des parties de chasse, comme en témoigne la baisse notable des accidents.
Le congrès a également été l’occasion de débattre sur la perception de la chasse dans l’opinion publique et la justice, amenant une réflexion sur le dualisme des jugements portés sur les écologistes et les chasseurs. Dans une ambiance teintée d’humour mais aussi de critique, Thierry Cabanes a invité à une réflexion sur les préjugés et les attentes envers les chasseurs.
Des soutiens politiques se sont exprimés, témoignant de la reconnaissance du rôle social et écologique de la chasse. Michel Weill, en décernant la médaille du département, et Jean-Michel Baylet, par ses paroles affirmées, ont tous deux salué la contribution des chasseurs à la préservation de l’identité territoriale et de la biodiversité.
L’appel à l’unité et à la défense d’une passion commune était clair : devenir des ambassadeurs d’une cause partagée est une nécessité. Le congrès a ainsi réaffirmé la solidarité du monde de la chasse, prêt à relever les défis d’aujourd’hui et de demain pour assurer la pérennité de ses traditions tout en respectant les exigences environnementales.
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Bilan annuel positif des gardes-chasses de Peyrusse-Vieille


Un Bilan Annuel Positif pour les Gardes-Chasses de Peyrusse-Vieille
Au coeur des préoccupations locales, le respect des lois et règlements de chasse est une mission quotidienne pour les gardes-chasses particuliers. A Peyrusse-Vieille, ces bénévoles dévoués ont récemment partagé les résultats de leur laborieux engagement au sein de leur communauté.
Des Missions Claires, Des Résultats Tangibles
Les gardes-chasses, ces sentinelles de la biodiversité, œuvrent sans relâche pour la préservation de notre patrimoine naturel. Avec un total impressionnant de 282 sorties effectuées cette année, leur vigilance constante a permis de maintenir l’ordre et le respect des règles au sein de la chasse locale. Pendant leurs missions, 127 chasseurs ont été contrôlés, donnant lieu à des interventions ciblées : 7 avertissements émis sans pour autant verbaliser, ainsi que des signalements auprès des forces de l’ordre en cas d’infractions sévères.
Une Coopération Renforcée pour Plus d’Efficacité
La force des gardes-chasses réside également dans leur capacité à tisser des liens forts avec les autres acteurs du territoire. En 2023, l’ADGCP 32 a signé deux conventions de partenariat stratégique avec la gendarmerie nationale et la fédération des chasseurs du Gers, illustrant un modèle de coopération pour une gestion durable de la faune et de ses habitats.
Une Formation Continue pour Face aux Défis
La formation des gardes-chasses est une pierre angulaire de leur efficacité. Cet engagement vers l’excellence s’est traduit par des sessions de formations continues, tant théoriques que pratiques, permettant de rester à la pointe dans la gestion des situations parfois délicates rencontrées sur le terrain.
Un Esprit de Communauté
Le rôle des gardes-chasses dépasse souvent la simple surveillance. Ce sont des membres actifs de leur communauté, comme le montre leur assemblée générale, moment d’échange et de partage, conclue par un repas convivial. Ce moment de fraternité renforce les liens et consolide l’esprit d’équipe indispensable à leur mission.
Conclusion : Un Engagement Sans Faille
Les gardes-chasses de Peyrusse-Vieille illustrent parfaitement l’importance d’une gestion équilibrée et respectueuse de la faune. Par leur engagement, ils contribuent à préserver l’éthique de la chasse, un héritage commun qu’il nous appartient de transmettre aux générations futures.
Le bilan de cette année est une preuve de leur dévouement et un appel à la continuité pour la protection de nos campagnes. Chez Caninstore, nous saluons leur travail et rappelons à nos lecteurs l’importance de soutenir ces actions pour un avenir durable et harmonieux entre l’homme et la nature.
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La Survivante de Groix


La Survivante de Groix : Une Laie et Ses Marcassins à l’Abri des Chasseurs?
Le courage incroyable d’une laie, fuyant une battue en nageant jusqu’à l’île de Groix pour mettre bas, a captivé les habitants et soulevé des questions éthiques sur la pratique de la chasse. Protégeant désormais ses trois marcassins, cette femelle sanglier défie les normes, au grand dam de certains chasseurs prêts à tout pour ajouter de gros gibiers à leur tableau de chasse, même au prix de laisser orphelins de jeunes animaux.
La situation soulève un dilemme : comment gérer le risque de prolifération des sangliers, crainte légitime des résidents attentifs à leurs jardins, sans sacrifier les principes de compassion et de cohabitation respectueuse avec la faune locale ?
Les pour et contre fusent de part et d’autre. Certains prônent des solutions drastiques, ne reculant devant rien pour protéger leurs biens. D’autres, à l’instar des défenseurs de la faune, cherchent des alternatives plus harmonieuses, plaidant pour une coexistence pacifique qui ne se conclut pas systématiquement par une balle.
La pression monte côté chasseurs. Face aux dégâts causés par les sangliers et aux coûts associés, ceux-ci se sentent justifiés dans leur quête, bien soutenus par les directives fédérales et les indemnisations pour dommages de gibiers. Mais est-ce suffisant pour contrebalancer l’image parfois violente de la chasse, accentuée par des pratiques qui semblent d’un autre âge à une partie de la population ?
Le débat se corse sur l’île, entre appels à la régulation non létale et rappels à l’ordre quant au respect des lois encadrant la chasse. Les arguments s’entrechoquent, reflétant une société partagée entre tradition et modernité, entre le désir de préserver la nature et celui de contrôler ses éléments.
En conclusion, cette histoire nous invite à réfléchir sur notre relation avec le monde sauvage. Vivre avec, plutôt que contre, pourrait être l’amorce d’un changement durable dans notre traitement des créatures partageant notre espace. En attendant, cette laie et ses marcassins sont devenus bien plus qu’un simple fait divers, ils nous rappellent les défis de cohabitation entre l’homme et la nature.
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Rassemblement des Chiens de Chasse à Tarascon-sur-Ariège


Rassemblement Inédit des Chiens de Chasse à Tarascon-sur-Ariège
Le week-end s’annonce palpitant pour les amateurs de chiens de chasse à Tarascon-sur-Ariège, où se déroulera la toute première édition de la Journée des Chiens de Chasse ce samedi 20 avril dès 9h. Pour ceux qui pensent que la chasse consiste uniquement en un sport de tir, cet événement est une parfaite occasion de découvrir une facette plus complice et respectueuse de cette pratique, celle de l’harmonie entre le chasseur et son chien.
Une Journée Dédiée au Lien Unique Entre Chasseurs et Chiens
Ce rassemblement unique, orchestré par les associations de chasse agréées de Tarascon-sur-Ariège et des villes avoisinantes, promet de mettre en lumière les races canines dédiées à la chasse, dans toute leur diversité et spécificité. Près de 40 éleveurs et environ 250 chiens sont attendus, offrant aux participants une occasion en or de rencontrer des chiens courants, d’arrêt, rapporteurs de gibier, et même ceux spécialisés dans la chasse aux grands prédateurs.
Une Tradition Ancestrale au Cœur du Rassemblement
Les chiens de chasse, alliant force, endurance, et intelligence, tiennent une place spéciale dans le cœur des chasseurs. Cette journée sera aussi une opportunité d’en apprendre davantage sur l’histoire de ces races, certaines compagnies des hommes depuis plus de 9.000 ans. Loin des clichés, l’événement soulignera l’importance de la sélection et de l’entraînement, des aspects cruciaux pour développer les aptitudes naturelles de ces animaux exceptionnels.
Plus qu’un Événement, une Célébration
Outre la présentation des races par une quarantaine d’éleveurs, la journée sera animée par la présence de diverses associations, clubs de races, boutiques animalières et spécialistes en équipement de chasse. Ce sera une occasion festive, aussi, avec un menu local proposé sur place pour permettre à tous de se régaler tout en découvrant la riche culture de la chasse et le lien profond qui unit le chasseur à son chien.
Cette première édition de la journée des chiens de chasse est bien plus qu’un simple rassemblement; elle est une célébration de la passion, de la tradition, et surtout, du respect mutuel entre le chasseur et son fidèle compagnon. Une occasion à ne pas manquer pour tous ceux curieux de plonger dans l’univers de la chasse et de découvrir ces merveilleuses races de chiens qui y sont dédiées.
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Sangliers en surnombre et défis pour les chasseurs du Lot


Sangliers en Surnombre : Quand la Nature Défie les Chasseurs Lotois
La question de la prolifération des grands gibiers, et en particulier des sangliers, se pose avec acuité dans le Lot, où les chasseurs font face à une situation à la fois complexe et délicate. Avec une population croissante de ces animaux, la tâche des 6 222 chasseurs locaux devient chaque année plus ardue, malgré un effectif en baisse constante.
Lors de l’assemblée générale de la fédération départementale de la chasse à Cahors, des sujets brûlants comme la gestion du grand gibier, la compensation des dégâts agricoles, et les initiatives pour la biodiversité ont été abordés. Les sangliers, devenus emblématiques de cette problématique, représentent un coût et un défi majeur pour la région. À cette saison, déjà 8 150 sangliers ont été prélevés, signe d’une population florissante qui requiert une gestion attentive.
Le programme CynObs, soutenu par l’OFB, joue un rôle crucial dans le suivi des populations de gibier. Grâce à des comptages organisés, les chasseurs tentent de trouver un équilibre dans leurs prélèvements, bien que cela s’avère plus complexe avec les sangliers. La compensation des dégâts aux cultures demeure une préoccupation majeure, et les chasseurs supportent un fardeau financier conséquent, les indemnisations avoisinant les 550 000 € pour la saison de chasse 2022-2023.
Outre la gestion des populations de gibier, la fédération de chasse se démarque par une gestion exemplaire des déchets de viscères et de venaison, contribuant ainsi à des initiatives écologiques. Cette démarche illustre l’engagement des chasseurs dans leur environnement, malgré les défis financiers posés par l’indemnisation des dégâts agricoles.
La situation financière critique de la fédération, avec un déficit de 400 000 € sur le budget, souligne l’urgence de trouver de nouvelles solutions pour la cohabitation entre activité humaine et faune sauvage. Des discussions sont en cours avec l’État et les agriculteurs pour envisager une prise en charge partielle des indemnisations par l’État, une mesure qui soulagerait considérablement le budget des chasseurs.
En conclusion, les chasseurs du Lot se trouvent à la croisée des chemins, cherchant à concilier passion pour la chasse et responsabilité environnementale. Les défis qu’ils rencontrent dans la gestion de la faune sauvage reflètent une problématique nationale, voire européenne, requérant des solutions innovantes et collaboratives.
Signé : Actuchasse pour Caninstore
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Ouverture anticipée de la chasse aux sangliers en Corrèze


Corrèze se prépare pour une ouverture anticipée de la chasse aux sangliers
La Préfecture de la Corrèze vient de marquer le début d’une nouvelle ère pour les amateurs de chasse en autorisant officiellement la chasse aux sangliers dès le mois d’Avril 2024, et ce, jusqu’à fin Mai. Un virage surprenant mais logique pour les chasseurs et la faune locale, compte tenu de l’explosion démographique de ces mammifères fouisseurs dans la région.
Avec une population de sangliers en forte hausse, la mesure vise à réguler de manière proactive ce gibier prolifique. En effet, David Murat, le directeur de la Fédération des Chasseurs de la Corrèze, a révélé qu’un record de prélèvement de 6.500 sangliers a été atteint cette année, un chiffre jamais vu auparavant.
Cette décision, fruit d’un accord national validé lors du Salon de l’Agriculture à Paris, s’inscrit dans une volonté d’adapter la pratique de la chasse à la réalité environnementale et aux besoins de préservation des équilibres naturels. Les autorités et les acteurs locaux semblent reconnaître l’importance d’une démarche respectueuse et régulée, essentielle dans les zones où la présence accrue des sangliers engendre des dégâts notables, notamment en basse Corrèze.
L’intérêt pour la chasse au sanglier n’est pas nouveau, mais les modalités d’accès et les périodes autorisées connaissent un ajustement significatif. Les conditions précises de cette pratique, notamment à l’approche ou à l’affût, témoignent d’une approche ciblée, visant à limiter l’impact sur les parcelles agricoles et chez les particuliers tout en offrant aux chasseurs de nouvelles opportunités.
Pour participer à cette chasse exceptionnelle d’Avril et Mai, les intéressés doivent se conformer à un processus d’autorisation simplifié, grâce à la Direction Départementale des Territoires. Ce dispositif numérique facile d’accès permet une gestion efficace des demandes et assure une régulation optimale de l’activité de chasse.
Avec 80 sociétés de chasse déjà dans les starting-blocks, l’enthousiasme pour cette période de chasse inédite est palpable. Cette initiative marque un tournant dans la manière de concevoir la chasse en Corrèze, illustrant un équilibre entre tradition et adaptation nécessaire aux nouveaux défis environnementaux.
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