Sangliers en Dordogne un bilan préoccupant de la saison de chasse

Près de 23 000 sangliers prélevés en Dordogne cette saison
Des débats enflammés lors de l’assemblée générale des chasseurs
Le 5 avril, la salle de la Filature de l’Isle à Périgueux a accueilli l’assemblée générale annuelle des chasseurs de la Dordogne. L’atmosphère était électrique, avec des centaines de chasseurs frustrés et inquiets face à la montée en puissance des sangliers dans les campagnes périgourdines. Michel Amblard, président de la Fédération départementale des chasseurs (FDC 24), a ouvert les débats en déclarant : « La situation est alarmante ». Et l’on peut le comprendre ! Près de 23 000 sangliers ont été abattus cette saison, soit 5 000 de plus qu’il y a deux ans, tandis que les surfaces agricoles ravagées ont augmenté de 46 % par rapport à la saison précédente.
Des coûts élevés pour les agriculteurs
Le montant des dégâts causés par ces animaux atteint des sommets, s’élevant à environ 800 000 euros cette année. « Nos débats aujourd’hui sont essentiels », a souligné Yves Chetaneau, le premier vice-président. « C’est un combat de chaque instant pour préserver notre activité face à la pression du gibier. » Les discussions se sont intensifiées autour du sujet de l’indemnisation des dommages, qui, depuis la loi Voynet de 2000, repose sur les Fédérations départementales de chasseurs plutôt que sur l’État. Ce changement a mis certaines fédérations en difficulté financière, un sujet qui a fait bondir plusieurs présidents de sociétés.
Une hausse nécessaire mais controversée
Pour pallier cette situation, la FDC 24 a décidé de maintenir le prix du timbre de chasse à 10 euros, mais la participation territoriale a été augmentée. Deux options étaient envisagées : une majoration uniforme de 5 %, qui a été retenue, ou une augmentation basée sur les dégâts. « Ce n’est pas une sanction », a précisé Chetaneau, tout en appelant à la solidarité des chasseurs. Cependant, certains participants ont exprimé leur mécontentement, arguant que la communauté cynégétique doit déjà faire face à une image dévalorisante dans l’opinion publique.
La sécurité, un enjeu crucial pour la communauté
Un autre sujet de préoccupation soulevé lors de cette assemblée fut la sécurité. La Dordogne a enregistré un nombre élevé d’accidents durant la saison, avec deux morts et plusieurs blessés. « Il est impératif de respecter les règles de sécurité », a averti Chetaneau, en rappelant l’importance de la formation obligatoire. Les accidents sont d’autant plus médiatisés sur les réseaux sociaux, compromettant l’image des chasseurs.
Ensemble pour le futur
La dynamique collective semble primordiale pour l’avenir de la chasse en Dordogne. La nécessité de travailler ensemble pour contrer les défis posés par la prolifération des sangliers a été au cœur des discours. Les mots de Michel Amblard résonnent comme un appel à l’unité : « Chassons ensemble pour la survie de notre activité. » Une tâche ardue mais essentielle pour le bien-être de la nature et la pérennité des cultures.
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Fin de la chasse en Loire-Atlantique face à une croissance exponentielle des sangliers

Fin de la chasse en Loire-Atlantique : Les défis d’une population de sangliers en forte croissance
Le samedi 29 mars 2025, une battue a eu lieu à Saint-Brevin-les-Pins, dans la Loire-Atlantique, afin de contrôler une population de sangliers en plein essor. L’affichage de panneaux annonçant l’événement ne laisse pas de doute : les sangliers, bien qu’ils soient des animaux sauvages, semblent avoir compris qu’ils sont, eux aussi, au centre des préoccupations des chasseurs.
Une population en pleine explosion
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : près de 8 000 sangliers sont abattus chaque année dans le département. Alexis Néron, chargé de mission plan de maîtrise du sanglier à la fédération de chasse, note une augmentation alarmante de 600 animaux prélevés chaque année malgré une pression de chasse constante.
Changements climatiques et adaptabilité
Le changement climatique joue un rôle crucial dans cette dynamique. Les hivers moins rigoureux permettent une survie accrue des jeunes sangliers, qui peuvent se nourrir tout au long de l’année. De plus, les femelles font de plus en plus de portées, avec une moyenne de 8 naissances par portée, et atteignent leur maturité reproductive dès 6 mois. Ce renouvellement rapide pose un défi de taille pour les chasseurs.
Des stratégies de survie astucieuses
Les sangliers ne manquent pas d’intelligence. Ils ont développé des stratégies pour échapper aux dangers. Selon Néron, ces animaux préfèrent les friches et les régions situées aux abords urbains où ils se cachent pendant la journée. « Ils sont très intelligents », affirme-t-il, ajoutant que leur capacité d’adaptation leur permet de se déplacer vers des zones plus tranquilles dès qu’ils détectent une présence humaine. Cette agilité entrave souvent les efforts de chasse.
Des méthodes de chasse diversifiées
Les battues se déroulent principalement au fusil, mais d’autres stratégies, comme celles organisées par l’association de chasse à l’arc ADCA 44, se développent. Jean-Charles Guldner, président de l’association, explique que ces battues, qui ont lieu de septembre à mars, visent non seulement à prélever des sangliers, mais aussi à rendre leurs refuges inhospitaliers.
Des résultats inégaux sur le terrain
Entre juin 2024 et mars 2025, 46 sangliers ont été abattus à Saint-Brevin-les-Pins, dont 41 au fusil. Les méthodes de piégeage, nécessitant des arrêtés préfectoraux, se développent également bien qu’elles ne soient pas encore entièrement efficaces. Le manque de résultats lors de la dernière battue, au cours de laquelle aucun sanglier n’a été aperçu, illustre la difficulté à maîtriser cette population. Ce qui est connu, dans le jargon cynégétique, comme « faire buisson creux ».
Pour en apprendre davantage sur les techniques de chasse et les défis rencontrés, n’hésitez pas à consulter notre site ! Les sangliers, avec leur intelligence et leur adaptabilité, ne sont pas prêts de disparaître.
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Bilan de chasse 2024-2025 en Ardèche avec plus de 23000 sangliers abattus

Ardèche : Bilan de la chasse 2024-2025, plus de 23 000 sangliers abattus
Une augmentation continue des prélèvements de sangliers
Le congrès annuel de la fédération départementale des chasseurs de l’Ardèche se tiendra ce samedi 5 avril à l’espace Lienhart à Aubenas. C’est l’occasion pour Jacques Aurange, le président de la fédération, de dresser un bilan de la saison de chasse 2024-2025. Avec un total de 23 053 sangliers abattus, la tendance reste à la hausse, comme pour la quatrième année consécutive.
La saison 2024-2025 était anticipée de manière proactive. Pour maintenir la pression, Aurange avait encouragé les chasseurs à intensifier leurs efforts. Néanmoins, il est clair que la population de ces suidés est plus abondante que jamais. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : après un premier dépassement de 20 000 sangliers abattus en 2023-2024 (20 903), la courbe des prélèvements a encore crû d’environ 15 % cette saison.
Des dégâts maîtrisés malgré une population en hausse
Bien que les chiffres des abattages soient en croissance, les dégâts causés par les sangliers demeurent maîtrisés. Les efforts des chasseurs semblent porter leurs fruits dans la gestion de cette espèce. Toutefois, la question demeure : comment continuer à contrôler cette population grandissante sans compromettre l’équilibre de l’écosystème local ?
Ce congrès s’annonce donc comme un moment clé pour échanger des stratégies, analyser les résultats et réfléchir aux mesures à prendre pour les saisons à venir. Les discussions promettent d’être animées !
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Assemblee generale des chasseurs de Lot et Garonne sur la palombe et le sanglier

Lot-et-Garonne : Assemblée générale des chasseurs entre palombes et sangliers
Plus de 750 passionnés de la chasse se réuniront le vendredi 4 avril à l’Agora d’Agen pour l’assemblée générale de la Fédération départementale de chasse de Lot-et-Garonne. Un événement qui s’annonce crucial, centré sur la chasse traditionnelle à la palombe, un sujet qui soulève de vives passions dans le Sud-Ouest.
Mobilisation accrue pour défendre la chasse traditionnelle
Cette année, la participation est au beau fixe. « Il y a déjà davantage de personnes inscrites que l’an dernier, ce qui démontre que les présidents de sociétés de chasse sont conscients des enjeux à venir », déclare le président Laurent Vicini. La défense des pratiques de chasse traditionnelles, notamment celle de la palombe, est au cœur des préoccupations des chasseurs, synonyme de résistance face à la pression des groupes anti-chasse.
Au programme, une motion sera soumise au vote, sollicitant l’appui des maires du département et des parlementaires. « C’est incroyable que la palombe soit classée espèce susceptible d’occasionner des dégâts, alors même qu’on envisage d’interdire la chasse au filet », s’insurge Laurent Vicini, qui défend ardemment son point de vue sur l’encadrement rigoureux de ces pratiques.
Les sangliers au cœur des débats
La soirée ne sera pas uniquement consacrée aux palombes. Les sangliers feront également l’objet d’attentions particulières. La population de sangliers dans la région est en plein essor, approchant les 10 000 individus. Parallèlement, les agriculteurs continueront de souffrir des dégâts occasionnés par ces animaux, bien que les remboursements pour les pertes (160 000 euros) soient en baisse par rapport à la saison précédente (250 000 euros).
Comme le souligne Laurent Vicini, « même si c’est une bonne nouvelle pour nous, cela reste délicat pour le secteur agricole ». Les stratégies de chasse sont en constante évolution, avec un accent mis sur la collaboration entre différentes communes pour optimiser la traque des sangliers.
Challenges à relever et baisse des permis de chasse
Le monde de la chasse est confronté à des défis, notamment liés à la pyramide des âges. De nombreux chasseurs prennent du recul, et certains abandonnent définitivement. Lors de cette assemblée, les participants discuteront également des récentes tensions observées chez leurs homologues gersois, où des sociétés s’opposent à un « malus sanglier » de 1 000 euros instauré par leur fédération.
« Cela a fait des vagues, car les chasseurs sont toujours appelés à payer plus alors que leurs efforts de bénévolat ne cessent d’augmenter », explique Vicini. Par ailleurs, le nombre de permis de chasse a chuté, enregistrant une baisse de 700 inscriptions pour un total de 10 300 permis.
Alors que la conjoncture économique demeure incertaine, l’espoir se lit sur le visage des chasseurs lot-et-garonnais. L’assemblée générale de vendredi s’annonce encore plus engageante que celle de l’année dernière, avec des enjeux qui risquent de peser sur la saison à venir.
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L’éthique et la responsabilité en chasse au grand gibier

L’éthique et la sécurité : Les valeurs d’un chasseur en battue
Un chasseur expérimenté en action
Dans les pittoresques départements de l’Ain et de la Côte-d’Or, un chasseur ardent participe à des battues de grand gibier, mêlant passion et responsabilité. Bien que les réseaux sociaux soient inondés de vidéos captivantes montrant les réussites des tireurs, il est crucial de se rappeler que derrière chaque exploit se cache un engagement profond envers l’éthique de la chasse.
Nous vous proposons aujourd’hui de découvrir l’expérience d’un chasseur, particulièrement bien équipé avec sa carabine Blaser R8 Ultimate Carbon, chambrée pour le redoutable calibre 9,3×62 mm. Son matériel impressionnant inclut un modérateur de son Freyr&Devik et une lunette de battue Zeiss Victory V8, mais c’est son comportement sur le terrain qui mérite notre attention.
Éthique et maîtrise de soi
La vidéo présentée ici met en lumière une scène spectaculaire : un tir parfaitement ajusté sur un sanglier qui descend une pente avec grâce. Mais au-delà de ce moment d’action, c’est l’éthique et le respect des règles de sécurité qui sont vraiment mis en avant. Ce chasseur, bien qu’il connaisse des déboires, choisit de garder son calme. En effet, face à des sangliers particulièrement espiègles, il n’hésite pas à faire preuve de maîtrise de soi, s’abstenant de tirer lorsqu’il le faut.
En respectant scrupuleusement le plan de chasse et les consignes de sécurité, notre chasseur illustre l’importance de la responsabilité dans cette pratique. Est-il possible d’être à la fois passionné et discipliné ? La réponse est un retentissant oui, comme le prouve notre protagoniste !
Une belle vidéo à ne pas manquer
Nous vous encourageons à visionner cette vidéo qui capture non seulement l’intensité de la chasse, mais aussi les valeurs fondamentales qui la sous-tendent : éthique, maîtrise de soi et sécurité. C’est un vrai témoignage de ce que devrait être la chasse dans le respect et de l’humilité.
Pour découvrir encore plus d’histoires captivantes du monde cynégétique et de précieux conseils sur la chasse, n’hésitez pas à visiter Caninstore.
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Repas autour du sanglier à Angresse

Repas convivial autour du sanglier à Angresse
Un moment de partage pour chasseurs et gourmands
Le 19 avril 2025, l’Association communale de chasse agréée d’Angresse (ACCA) invite tous les amateurs de bonne cuisine à un repas convivial à base de sanglier. Ce festin, qui se déroulera dans la salle municipale de la mairie dès midi, est ouvert à tous, qu’ils soient chasseurs ou non. La tradition veut que cette occasion permette de partager le gibier chassé dans la région, et cette année, les membres de l’ACCA ont décidé de mettre à profit quelques pièces de leur tableau de chasse pour ravir les papilles des convives.
Au menu, les chanceux présents se régaleront avec du sanglier mariné à la plancha, accompagné de chipirons grillés, avant de déguster fromage et dessert. Et pour les plus jeunes, un menu adapté sans gibier est également prévu, le tout à un prix très raisonnable. Le président de l’association, Rémy Lignau, sera soutenu par les chasseurs et leurs compagnes pour assurer un accueil chaleureux, un service de qualité et animer la buvette tout au long de l’après-midi.
En plus de cette délicieuse assiette, une tombola richement dotée viendra égayer la journée, offrant ainsi à chacun une chance de repartir avec un lot mémorable.
Pour participer à cet événement savoureux, n’oubliez pas de réserver votre place avant le 13 avril, auprès de Rémy au 06 89 93 03 58 ou de Ludovic au 06 08 71 22 13.
Ne manquez pas cette occasion de savourer une expérience culinaire unique et de vous mêler à la communauté locale autour d’un plat typique !
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Chasse aux sangliers dans le Gers des mesures pour protéger les cultures

Chasse aux sangliers : mesures exceptionnelles dans le Gers pour protéger les cultures
Au cœur du département du Gers, les sangliers font des ravages chaque nuit, menaçant les cultures des agriculteurs, tout en suscitant des préoccupations croissantes au sein de la communauté. Face à cette situation, le préfet du Gers a décidé de prendre des mesures temporaires pour limiter les dégâts, particulièrement lors des semis qui se déroulent du 1er avril au 31 mai.
Une surpopulation inquiétante
Chaque année, les agriculteurs du Gers sont confrontés à une problématique majeure : la surpopulation de sangliers qui entraîne des pertes financières considérables. Daniel, agriculteur céréalier à Auch, témoigne des conséquences dévastatrices sur ses récoltes : « L’année dernière, les sangliers m’ont retourné mes pois chiches. Ça m’a coûté à peu près 600 euros l’hectare », avoue-t-il, inquiet pour l’année en cours.
Des mesures allégées pour la chasse
Pour pallier cette situation, le préfet a décidé d’assouplir les règles de chasse pendant la période des semis. Ainsi, les chasseurs peuvent, sur demande, obtenir des autorisations pour des tirs à l’affût et organiser des battues exceptionnelles, même lorsque la chasse est normalement interdite. De plus, les agriculteurs ont la possibilité de faire appel aux lieutenants de louveterie en cas de dommages constatés sur leurs exploitations.
Collaboration entre agriculteurs et louvetiers
Florent Deyris, président des louvetiers du Gers, souligne l’urgence d’agir : « Il reste encore beaucoup de sangliers, il faut qu’on fasse un maximum de travail », explique-t-il. Avec des dégâts estimés à environ 300 000 euros pour l’année, il insiste sur l’importance de travailler ensemble pour contrôler les populations de ces animaux.
Un impact sur la communauté
Mais les soucis ne s’arrêtent pas aux champs. Les particuliers ont eux aussi leur part de désagréments. Jean-Louis Ferres, lieutenant de louveterie dans le secteur d’Auch, indique que la moitié de ses interventions concerne des propriétaires privés. Il évoque des cas de gazons ravagés et de mobilier de jardin endommagé, sans oublier les accidents de la route dus aux collisions avec des sangliers, un problème qui ne fait qu’empirer.
Des inquiétudes au golf d’Auch Embats
Le golf d’Auch Embats est également touché par cette invasion nocturne. Son président, Jacques Dupuy, constate avec regret les dégâts causés sur le parcours, tout en admettant l’impossibilité de clôturer efficacement les lieux. Ainsi, il espère le soutien des lieutenants de louveterie pour limiter ces incursions.
Une chasse nocturne en perspective
Jean-Louis Ferres ne se laisse pas décourager. « Je vais revenir ce soir avec une vingtaine de louvetiers. En général, on peut tirer trois ou quatre sangliers lors de soirées comme celle-là », déclare-t-il avec détermination, évalue les empreintes laissées sur le sol. Les nuits à venir s’annoncent donc particulièrement occupées pour ceux qui veillent à la sécurité des cultures et des usagers.
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Inauguration de la Maison des chasseurs à Lumio

Balagne : Inauguration de la Maison des chasseurs à Lumio
Une initiative communale pour soutenir la régulation du gibier
La société de chasse de Lumio a récemment célébré l’inauguration de sa toute nouvelle Maison des chasseurs, située au lieu-dit Cala Feccia, à proximité de la plage du Matahari. Ce projet ambitieux a été presque entièrement financé par la commune, qui montre ainsi son engagement à favoriser la régulation des populations de sangliers et de lapins.
Les installations comprennent une fosse à chaux destinée aux dépouilles de sangliers, un laboratoire entièrement équipé pour la découpe, ainsi qu’une salle polyvalente munie d’une cuisine, idéale pour les moments de convivialité entre chasseurs. Avec de telles infrastructures, l’équipe de chasse aux sangliers de Lumio bénéficie d’un cadre propice à l’exercice de sa passion.
Cette initiative souligne l’importance de la collaboration entre la commune et les chasseurs pour la gestion des espèces locales et le bien-être des écosystèmes. La Maison des chasseurs n’est pas seulement un lieu de travail, mais aussi un espace de partage et d’échanges, renforçant les liens au sein de la communauté.
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Justice appelle à actions contre algues vertes menaçant sangliers

Marées vertes : la justice demande des actions à l’État face aux dangers pour les sangliers
La découverte d’un sanglier retrouvé sans vie sur la plage de Saint-Brieuc a suscité de nombreuses interrogations et préoccupations parmi les habitants de la région. Cette situation a conduit les autorités à procéder à une autopsie de l’animal afin d’évaluer les causes de sa mort. Les résultats pointent vers un coupable peu glamour : les algues vertes.
Les menaces des algues vertes sur la faune locale
Quand les algues vertes se multiplient, elles provoquent un ensemble de désagréments notables. En saturant l’eau, elles diminuent son oxygène, entraînant la mort de nombreuses espèces aquatiques. Mais ce n’est pas tout : la décomposition de ces algues génère des gaz toxiques, comme le sulfure d’hydrogène, potentiellement mortels pour les humains et les animaux. Résultat, les plages affectées par ces marées vertes deviennent des zones à éviter, ternissant leur réputation et impactant le tourisme local.
La justice au secours de l’environnement
La prolifération des algues vertes est souvent attribuée aux rejets agricoles excessifs et à la surutilisation des nitrates. C’est un problème récurrent que les experts prennent très au sérieux et qui nécessite des interventions concrètes. Récemment, des associations ont eu recours à la justice pour faire entendre leurs voix. Le tribunal de Rennes a ainsi réussi à faire entendre raison à l’État, le sommant d’agir rapidement pour diminuer la pollution des eaux, notamment en ce qui concerne les nitrates d’origine agricole.
Une situation à suivre de près
Alors que les relations entre le gouvernement et le monde agricole sont souvent tendues, la question se pose : des mesures seront-elles réellement mises en place ? Les agriculteurs et leurs pratiques seront-ils enfin adaptés pour protéger la biodiversité locale et, par la même occasion, les sangliers et autres animaux menacés par cette situation ? La réponse est à surveiller de près.
Restez informés sur l’évolution de cette affaire et les actions entreprises pour sauver nos plages et nos animaux. Pour en savoir plus sur la chasse et la nature, n’hésitez pas à visiter Caninstore.
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Terrines de sanglier réalisées par les chasseurs de Romanèche-Thorins

Romanèche-Thorins : 270 terrines de sanglier réalisées par la communauté des chasseurs
Dans une belle démonstration de camaraderie et d’habileté culinaire, les chasseurs de Romanèche-Thorins, une équipe dynamique forte de 31 membres, ont fièrement confectionné pas moins de 270 terrines de sanglier. Cet événement captivant met non seulement en lumière les talents des chasseurs, mais également leur engagement envers la valorisation des ressources naturelles de leur région.
Un savoir-faire ancestral
La confection de terrines est un art qui se transmet de génération en génération. Les chasseurs, armés de leurs traditions et d’un savoir-faire impressionnant, ont réussi à créer ces délicieuses terrines qui sauront ravir les papilles des amateurs de gibier. Ces créations s’inscrivent dans une démarche de respect et de valorisation de la faune locale, tout en permettant de lutter contre les idées reçues sur la chasse.
Les bienfaits de la gastronomie de gibier
Qui aurait pensé qu’un plat à base de sanglier pourrait provoquer autant d’engouement ? La terrine de sanglier est non seulement savoureuse, mais elle s’inscrit également dans une logique nutritionnelle. Elle est souvent plus maigre et riche en éléments nutritifs par rapport à d’autres types de viandes. En se tournant vers des produits locaux comme ceux issus de la chasse, on favorise une consommation plus éthique et durable.
Un acte communautaire fort
La production de ces 270 terrines ne se limite pas à la simple préparation culinaire. C’est un véritable acte communautaire qui rassemble les membres autour d’une passion commune. Les échanges, les rires et les anecdotes partagés au cours de ce processus sont tout aussi précieux que le produit final. N’est-ce pas là l’essence même de la chasse ?
Conclusion
Les chasseurs de Romanèche-Thorins ont su prouver que la chasse peut être synonyme de convivialité, de respect de l’environnement et même de gastronomie. Alors, la prochaine fois que vous croisez une terrine de sanglier, pensez à toutes les histoires qui se cachent derrière sa confection.
Pour plus d’informations et des conseils sur la chasse et la gastronomie de gibier, visitez Caninstore.
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