La martre devient un animal protégé en France

La martre, un animal désormais protégé : une victoire pour la biodiversité
Dans un tournant significatif pour la vie sauvage en France, la martre sort enfin de la catégorie des nuisibles. Cette petite créature carnivore, faisant partie de la famille des mustélidés, rejoint le club des favoris des écosystèmes forestiers. Autrefois vue comme un ennemi par certains agriculteurs et chasseurs en raison de quelques poules dévorées, la martre est désormais reconnue pour son rôle vital dans l’équilibre naturel.
Une décision historique du Conseil d’État
Le Conseil d’État a récemment annulé un arrêté gouvernemental de 2023 qui classait la martre comme un « animal susceptible d’occasionner des dégâts ». Ce terme scientifique s’appliquait à un certain nombre d’espèces considérées comme nuisibles, dont la fouine et le renard. Cette victoire pour les défenseurs de l’environnement témoigne d’une prise de conscience croissante sur l’importance de ces animaux dans la régulation des populations de rongeurs nuisibles. Leur présence contribue à la santé des écosystèmes, en limitant la prolifération de mulots et de campagnols, responsables de dégâts dans les cultures.
Une victoire pour la vie sauvage, mais pas sans conséquences
Bien que cette annonce soit accueillie avec des applaudissements, elle souligne également un constat amer : la martre et d’autres espèces, comme la corneille et le geai des chênes, restent encore en sursis dans de nombreux départements de France. Même si certaines ont été retirées de la liste des nuisibles, elles sont toujours considérées sous le prisme des potentiels dégâts qu’elles pourraient causer. Le débat s’intensifie autour de la pression exercée par les chasseurs, qui voient en ces animaux des concurrents, notamment pour les faisans et les perdrix qu’ils relâchent pour le loisir de la chasse.
Le rôle essentiel des prédateurs dans nos écosystèmes
Ce changement de classification est d’autant plus important qu’il réaffirme la nécessité de préserver la biodiversité. Les espèces comme la martre ne sont pas juste des concurrents : elles jouent un rôle essentiel dans le maintien de l’équilibre écologique. Elles préviennent la propagation de certaines maladies et contribuent à un environnement sain. Mais pourquoi sont-elles encore perçues comme nuisibles ? Souvent, cette perception est le fruit d’une culture de chasse orientée vers le loisir plutôt que la gestion responsable de la faune.
Il est donc crucial que le public prenne conscience de la nécessité de coexister avec ces animaux, devenus symboles de la lutte pour la préservation de la biodiversité. Car au-delà de leur statut, ces créatures méritent simplement le droit de vivre.
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Classification du cerf en nuisible et enjeux de régulation

Le cerf face à sa possible classification en nuisible : les enjeux de la régulation
La question de savoir si le cerf pourrait être considéré comme un nuisible, à l’instar du sanglier, se pose de plus en plus dans certaines régions de France. Alors que les populations de cervidés atteignent des niveaux préoccupants, les dégâts observés touchent principalement les forêts et les exploitations sylvicoles. Ceci soulève des préoccupations tant pour les exploitants, tel que l’ONF, qui souhaitent une augmentation des prélèvements de cerfs, que pour les chasseurs, souvent réticents à obtempérer.
Des tensions entre utilisateurs de la forêt
Dans une majorité de forêts domaniales, la population de cerfs est correctement régulée. Cependant, certains secteurs, notamment dans l’Est de la France, rencontrent une surpopulation de ces grands cervidés, un constat qui nourrit des tensions entre les forestiers et les chasseurs. À titre d’exemple, les chasseurs de Moselle ont récemment refusé de procéder à des prélèvements supplémentaires malgré la pression des services de l’État.
Un rapport de la Cour des Comptes a également appelé à une régulation plus stricte des populations de cerfs pour garantir la gestion durable des forêts. Cela suggère que les nouvelles saisons de chasse pourraient s’accompagner de débats tumultueux sur la question des prélèvements.
Les défis de la classification nuisible
Un cerf, classé nuisible ? Cela semble ardu. Les animaux souvent désignés comme nuisibles causent des dommages significatifs à la faune locale, ce qui n’est pas le cas de l’espèce en question. Bien que des dégâts soient signalés, les populations de cerfs varient considérablement d’un secteur à l’autre. En effet, il est courant de trouver de grandes hardes dans une zone, tandis qu’une autre peut être totalement dépourvue de cervidés.
Cette disparité complique la réglementation de la chasse au cerf à l’échelle nationale. En parallèle, les chasseurs se heurtent à des enjeux supplémentaires : certains politiques et associations militent pour l’interdiction de pratiques telles que la chasse à courre, qui contribue à réguler les populations.
Questions sans réponse et frustration croissante
Les questions affluent : qu’en est-il des personnalités qui refusent la chasse sur leurs terres, permettant ainsi aux cerfs de se multiplier sans rattrapage adéquat ? Que faire des tarifs prohibitifs pratiqués pour un prélèvement très ciblé ? Ces interrogations demeurent en suspens, suscitant un agacement croissant parmi les chasseurs, dont l’implication quotidienne sur le terrain leur confère une perspective unique sur la situation.
Face à un contexte si complexe, les acteurs concernés devront trouver un terrain d’entente pour assurer un équilibre entre la préservation des écosystèmes forestiers et l’éthique de la chasse.
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Interdiction de manger du sanglier à Tarascon à cause de graines empoisonnées

Interdiction de la consommation de viande de sangliers à Tarascon suite à des graines empoisonnées
Graines piégées découvertes à Boulbon
Dans un développement préoccupant, des graines empoisonnées ont été retrouvées sur le parcours d’une battue de sangliers prévue le week-end des 16 et 17 mai derniers dans le secteur de Boulbon, à proximité de Tarascon, dans les Bouches-du-Rhône. Ces découvertes mettent en lumière une situation alarmante pour la sécurité alimentaire des habitants de cette région.
Mesures sanitaires mises en place
Face à cette menace, Lucien Limousin, le maire de Tarascon, a pris la décision d’interdire, par arrêté le 16 mai, la consommation, la vente et la cession de viande de sanglier provenant du massif de la Montagnette pour une durée d’un mois. Selon le maire, cette mesure vise à « protéger la population » et à « prévenir tout risque sanitaire » pour les consommateurs. La municipalité a aussi appelé ses citoyens à faire preuve de vigilance, afin de garantir leur sécurité.
Rappel de vigilance pour les chasseurs et les consommateurs
Alors que la saison de chasse aux sangliers attire de nombreux passionnés, il est essentiel de rappeler les précautions à prendre. Les chasseurs doivent redoubler de prudence et s’assurer que les zones dans lesquelles ils évoluent ne sont pas contaminées. Quant aux consommateurs de viande de sanglier, il est crucial d’être attentif à l’origine de la viande proposée sur le marché.
Restons vigilants et informés face à ces enjeux de santé publique. Protégons-nous et protégeons notre communauté !
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Un gendarme sauve un marcassin en détresse

Un gendarme se lance à l’eau pour sauver un marcassin en détresse
Le 15 mai dernier, dans la vallée du Gapeau, un événement singulier a eu lieu sur la commune de Signes (Var). Lors d’un entraînement en milieu naturel, le gendarme Greg et son fidèle compagnon Uggy, son chien de service, se sont retrouvés face à une situation des plus inattendues : un groupe de marcassins pris au piège dans le canal de Provence. Alors que cinq jeunes sangliers réussissent à regagner la rive, un dernier marcassin semble désespérément coincé.
Profitant d’une pause pour rafraîchir Uggy, Greg réalise que le petit sanglier est épuisé, luttant pour garder la tête hors de l’eau. Le gendarme n’hésite pas un instant : il confie son chien à sa suppléante, retire son uniforme et plonge dans l’eau pour tenter de sauver l’animal. La mission s’avère délicate, car malgré sa fatigue, le marcassin tente de mordre son bienfaiteur. Cependant, face à la détermination de son sauveur, il finit par se résigner.
Greg, avec courage et persévérance, parvient à ramener le marcassin sain et sauf sur la berge. Une fois remis de ses émotions, le petit sanglier est relâché dans son milieu naturel, loin des dangers du canal.
Ce sauvetage insolite rappelle que parfois, même les plus petits gestes peuvent faire une énorme différence. Qui aurait cru qu’un gendarme en uniforme se transformerait en sauveteur aquatique pour un marcassin en détresse ? Voilà un récit qui prouve que l’héroïsme peut prendre des formes inattendues.
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Loup gris retrouvé mort en Ile-de-France

Découverte d’un loup mort en Ile-de-France
Le 10 mars dernier, un grand canidé a été retrouvé sans vie sur une propriété privée près de la rivière à La Celle-les-Bordes, dans les Yvelines, à une courte distance de Rambouillet. Les agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) ont été alertés et ont récupéré le cadavre pour procéder à des analyses génétiques, afin de confirmer son identité. Deux mois plus tard, le résultat est sans appel : il s’agissait bien d’un loup gris (Canis lupus lupus).
Cette découverte, bien que surprenante, n’est pas totalement inattendue, car la présence de loups dans les environs de la capitale est devenue de plus en plus fréquente ces dernières années. En effet, un loup avait été aperçu à Saint-Cyr-l’École le 23 décembre 2024, et une photo d’un autre individu avait été prise à Blaru, à la frontière de l’Eure et des Yvelines, en novembre 2021. En revanche, la dernière fois qu’un loup a été officiellement abattu dans les Yvelines remonte à 1869, lors d’une battue à Pecqueuse.
Les investigations ne s’arrêtent cependant pas là. Les agents de l’OFB tentent maintenant de déterminer les circonstances exactes de la mort de cet animal. Si la théorie d’une destruction illégale venait à être confirmée, une enquête pour « destruction d’espèce protégée » pourrait être lancée. À ce jour, un ordre d’autopsie a été émis par le parquet compétent, mais celle-ci n’a pas encore été effectuée.
Rester à l’affût de telles nouvelles pourrait s’avérer crucial pour la protection des espèces et la compréhension des dynamiques sur le terrain. N’ayez crainte, les agents veillent au grain !
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Visite de la maire de Guilherand-Granges aux chasseurs

Visite de Sylvie Gaucher aux chasseurs de Guilherand-Granges
Ce samedi, la maire de Guilherand-Granges, Sylvie Gaucher, a accueilli une délégation de chasseurs lors d’une rencontre visant à renforcer les liens entre les décideurs locaux et les passionnés de la faune sauvage.
Un dialogue constructif devant les enjeux de la chasse
Le rendez-vous, qui s’inscrit dans une série de visites effectuées par des délégations de chasseurs auprès des maires, a permis à Sylvie Gaucher d’écouter attentivement leurs préoccupations et leur feuille de route. « Je salue leur engagement et leur passion », a-t-elle déclaré, soulignant l’importance d’établir un rapport constructif et collaboratif entre la mairie et le monde cynégétique.
Une mobilisation pacifique et une volonté d’échange
La délégation a fait preuve d’une mobilisation pacifique, témoignant de leur désir d’instaurer un dialogue ouvert. Cette rencontre révèle non seulement l’engagement des chasseurs pour la préservation de la faune et de la flore, mais également les efforts des élus pour porter une attention particulière aux réalités et besoins des communautés de chasseurs.
Lorsque des discussions aussi constructives se tiennent, c’est un bon augure pour l’avenir de la chasse et des relations avec les autorités locales. Que pensez-vous de cette initiative ? Les chasseurs devraient-ils se mobiliser plus souvent pour exprimer leurs attentes ?
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La martre protégée en Saône-et-Loire

La martre perd son statut de nuisible en Saône-et-Loire
Le Conseil d’État reclassifie la martre des pins
À la suite d’une saisine par des associations de protection de la nature telles que One Voice, LPO, Aspas et FNE, le Conseil d’État a rendu, le 13 mai, une décision marquante concernant le classement de plusieurs espèces animales en difficulté. Parmi celles-ci, la martre des pins (lunes martes) ne sera plus considérée comme « nuisible » dans la Saône-et-Loire, mais plutôt comme une « espèce susceptible d’occasionner des dégâts », un terme plus neutre remplacé par l’acronyme Esod.
Dès à présent, il est interdit de piéger cette espèce dans tous les départements, y compris en Saône-et-Loire. C’est un petit pas pour la protection de la faune, mais un grand pas pour les martres qui peuvent maintenant vagabonder sans crainte de finir dans un piège.
Des réactions divergentes sur cette décision
Bien que cette nouvelle soit accueillie comme une avancée, l’Association ornithologique et mammalogique de Saône-et-Loire (AOMSL) exprime un certain scepticisme. Leurs membres soulignent que, malgré cette décision, la martre est toujours classée parmi les « gibiers », ce qui représente, selon eux, une aberration. La lutte pour la protection de la faune sauvage est loin d’être terminée !
Alors, qu’en est-il de ce modèle de coexistence entre l’homme et la martre ? Cela soulève une question : faut-il vraiment un classification qui oppose la nécessité de contrôler les populations animales à la nécessité de préserver la biodiversité ? Les prochaines étapes seront critiques pour l’avenir de cette espèce et d’autres partageant leur sort.
Enfin, pour ceux qui se demandent comment protéger la biodiversité tout en se livrant à des activités telles que la chasse, il est essentiel de rester informé des lois et régulations, car elles évoluent rapidement dans le contexte climatique actuel.
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Mobilisation pour la préservation du petit gibier en France

Mobilisation de la Fédération Nationale des chasseurs pour la préservation du petit gibier
Un constat alarmant sur l’état du petit gibier en France
La Fédération Nationale des chasseurs (FNC) tire la sonnette d’alarme. Le petit gibier, notamment la perdrix, le faisan et le lapin, est en déclin malgré les efforts des chasseurs pour préserver ces espèces. Dans certains secteurs, les populations sont si faibles que la situation devient critique. Le constat est clair : il faut en faire davantage. Ce message urgent a été mis en avant lors du dernier Congrès National de la chasse.
Une biodiversité en danger
Il n’est pas surprenant que l’état du petit gibier en France suscite des inquiétudes. Certaines espèces, comme le lièvre, pourraient encore donner l’illusion d’un répit, mais les prélèvements restent limités. D’autres espèces à plumes sont en danger, et pour le lapin, c’est un véritable grand huit : une saison où tout va bien, suivie d’une autre où c’est la catastrophe. La FNC commente cette situation avec humour, évoquant le petit gibier de plaine comme l’« Arlésienne » d’Alphonse Daudet : toujours évoqué, mais rarement observé.
Une nouvelle stratégie nécessaire
Pour surmonter ces défis, la FNC met en avant l’importance de divers moyens : agrainoirs en hiver, abreuvoirs durant les sécheresses, et bien plus encore. Cependant, ces actions ne suffisent plus face à la crise actuelle. La pression croissante du réchauffement climatique, les pratiques agricoles modernes et la menace de la grippe aviaire avec la découverte de 70 oiseaux morts sur le littoral sont autant de facteurs qui pèsent sur la petite faune.
Vers des solutions concrètes
Philippe Justeau, responsable du dossier au sein de la FNC, a souligné lors du Congrès l’importance d’explorer toutes les voies de soutien. « Tous les leviers disponibles doivent être exploités », a-t-il déclaré, précisant nécessairement que de nouveaux financements doivent être envisagés. Parmi ceux-ci, la mise en place de contrats de type « paiements pour services environnementaux » (PSE) pourrait aider les agriculteurs à adopter des pratiques favorables à la petite faune.
Un appel à l’union
La FNC n’entend pas bancariser ses initiatives. Les chasseurs consacrent déjà un nombre d’heures considérables à la protection du petit gibier, mais l’heure est venue d’élargir le cercle des acteurs impliqués. Il est temps d’inviter d’autres partenaires à s’engager dans des projets en faveur des habitats et de la biodiversité, pour ainsi redonner une chance au petit gibier.
La situation est peut-être alarmante, mais avec un effort collectif, il est possible d’inverser la tendance. Que diriez-vous de participer à cette noble cause et de devenir acteur d’un avenir meilleur pour notre faune locale ?
Vinci Autoroutes reconnue responsable de la mort d’une chanteuse dans un accident avec un sanglier

Vinci Autoroutes jugée responsable après la mort d’une jeune chanteuse basque dans une collision avec un sanglier
Un drame tragique sur l’autoroute A64 soulève des questions cruciales de sécurité routière et de gestion de la faune sauvage. Le 28 janvier 2022, près de Bellocq, un sanglier a surgi sur la voie rapide, entraînant un accident impliquant trois voitures. Parmi les victimes, Leire Iribarne, 24 ans, chanteuse du groupe basque Diabolo Kiwi, a perdu la vie sur le coup, laissant sa famille et la communauté en deuil.
Une collision évitable ? Les responsabilités en question
Trois ans après ce tragique incident, la justice française s’intéresse de près à la responsabilité de Vinci Autoroutes, la concessionnaire de l’A64. Au cœur des discussions : l’entretien des clôtures qui devraient empêcher la faune sauvage de pénétrer sur la chaussée. La famille de Leire, représentée par l’avocat Nicolas Taquet, est convaincue que cette collision n’était pas inévitable. Les constatations d’un huissier de justice révèlent que près de 80 mètres de grillage étaient endommagés à proximité de l’échangeur numéro 7 de Bellocq, soulevant des interrogations sur le respect des normes de sécurité par Vinci Autoroutes.
« Nous avons prouvé que cet accident n’était pas le fruit du hasard », a déclaré l’avocat, insistants sur la nécessité d’une meilleure sécurisation des routes. En réponse, l’avocat de Vinci, Antoine Chauveau, a rappelé avec fermeté que « une autoroute ne peut pas être totalement étanche » et a argumenté que des inspections régulières sont effectuées chaque année. Malheureusement, ces déclarations n’ont pas suffi à apaiser la douleur des proches de la victime, ces derniers restant déterminés à faire entendre leur voix.
Appel à la justice et à la réforme
Lors de l’audience du 12 mai, le rapporteur public a recommandé une condamnation de Vinci Autoroutes à une amende symbolique de 25 000 euros. Bien que ce montant puisse sembler dérisoire face à la perte de Leire, il représente une reconnaissance de la responsabilité potentielle de l’entreprise. Pour son père, Markotx Iribarne, cette affaire dépasse le simple cadre de l’indemnisation : « Ce n’est pas qu’une question d’argent. C’est une exigence de changement », a-t-il déclaré, insistant sur la nécessité pour les grandes entreprises de prendre au sérieux les risques posés par la faune sauvage.
Alors que la population de sangliers continue d’augmenter en France, cette affaire met en lumière le risque croissant sur les routes, particulièrement dans les zones rurales et forestières. Le tribunal administratif de Pau rendra sa décision en juin, mais les enjeux de sécurité routière et de prévention d’accidents liés à la faune demeurent des sujets préoccupants pour tous.
En parallèle de cette procédure, une enquête pénale est également en cours, mais sans calendrier précis à l’horizon.
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Une laie et ses marcassins rencontrés en Vendée

Une rencontre inattendue en Vendée : la balade d’une laie et ses marcassins
Samedi 22 février 2025, un photographe amateur a eu la chance de capturer la scène rare d’une laie accompagnée de ses cinq marcassins, dans la région des Sables-d’Olonne en Vendée. Ce moment unique a été immortalisé grâce à la patience et à l’expertise d’un passionné de la nature.
Un instant magique près des champs inondés
André Untéreiner, deep in the heart of the Vendée, a installé son objectif près de champs inondés pour observer les chevreuils. Après une journée passée dans l’attente, c’est à la tombée de la nuit que sa chance a souri. Une masse noire est apparue au loin, le poussant à saisir son appareil photo. À sa grande surprise, il s’agissait d’une laie avec ses adorables marcassins, un spectacle qu’il n’avait jamais été témoin auparavant dans cette région.
Un partage qui fait le bonheur des internautes
La photo, une fois publiée sur les réseaux sociaux, a rapidement séduit de nombreux internautes, soulignant l’importance de la faune sauvage même dans des environnements peu connues. Pour André, cette rencontre constitue une belle récompense pour tous ses efforts et son amour pour la photographie animalière.
« C’est la première fois que j’en vois dans le secteur », a-t-il déclaré avec enthousiasme, ajoutant qu’il avait déjà croisé divers animaux tels que des faons et des renardeaux dans ces environs. La nature est décidément pleine de surprises!
Cette aventure rappelle l’importance de préserver notre faune et de profiter de ses merveilles. N’hésitez pas à sortir dans la nature et à garder un œil ouvert pour de telles rencontres. On ne sait jamais, peut-être aurez-vous aussi la chance de croiser une laie ou d’autres merveilles de la biodiversité lors de vos balades.
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