Fédération de Savoie défend la chasse à la marmotte contre les critiques

Fédération de Savoie défend la chasse à la marmotte contre les critiques

La Fédération de Savoie campe sur ses positions face aux attaques anti-chasse de la marmotte

La chasse à la marmotte, un sujet qui fait parler d’elle ! En effet, cette pratique est récemment devenue la cible d’une proposition de loi visant à l’abolir, émanant de certains élus écologistes. La Fédération des chasseurs de Savoie, vigilante, assure qu’elle ne se laissera pas faire et entend défendre cette tradition profondément ancrée dans la culture montagnarde.

Les attaques contre la chasse à la marmotte ne sont pas une nouveauté. Au cours des dernières années, des groupes animalistes ont tenté de faire interdire cette chasse en cherchant à retirer la marmotte de la liste des gibiers. Bien que cette tentative ait pu sembler surprenante au départ, Pierre Sicard, Directeur de la Fédération de Savoie, souligne que les chasseurs ont su répondre efficacement avec des données scientifiques solides.

Récemment, les attaques ont pris la forme d’une campagne de publicité dans le métro parisien, induisant en erreur le public sur les dangers liés à la présence des marmottes. Alors que certains font valoir que les terriers posent des risques conséquents pour les agriculteurs, rappelons qu’un tragique accident a coûté la vie à un jeune agriculteur qui avait trébuché sur un terrier. Au-delà de cela, les marmottes peuvent causer des blessures au bétail et endommager les équipements agricoles.

La question demeure : que fera la Fédération pour défendre la chasse à la marmotte ? Pierre Sicard reste confiant, affirmant que la science est de leur côté. « Pour le moment, il n’est pas nécessaire d’appeler à la mobilisation. Les arguments des opposants sont peu fondés et témoignent d’une méconnaissance de la faune. » Selon lui, bien que certaines personnes aient tendance à idéaliser la marmotte, son rôle écologique et les réalités des accidents liés à sa présence ne peuvent être ignorés.

Malgré la nécessité d’apporter des données précises pour contrecarrer les attaques, la situation actuelle n’est pas alarmante. Environ 400 à 500 marmottes sont prélevées chaque saison, tandis que la population pourrait être estimer à 150 000 individus dans la région. La Fédération a d’ailleurs initié des études en collaboration avec le CNRS pour étoffer ses arguments.

La chasse à la marmotte ne se résume pas seulement à une activité cynégétique; elle représente également un savoir-faire culturel riche, hérité des traditions des villages de haute montagne. La proposition de loi visant à interdire cette chasse méconnaît les réalités locales. Pierre Sicard conclut que maintenir ce lien culturel est essentiel et souligne que l’absence de chasse pourrait nuire à la biodiversité et à l’agriculture.

En somme, la Fédération des chasseurs de Savoie se positionne fermement dans cette bataille pour défendre la chasse à la marmotte. Bien loin d’être un sujet à prendre à la légère, cet enjeu touche à la fois à l’identité culturelle et à l’équilibre écologique des montagnes savoyardes.

Actuchassse pour Caninstore

Visitez notre site pour plus d’informations !

Sanglier contre Loup un Duel dans la Nature

Sanglier contre Loup un Duel dans la Nature

Le sanglier : un défi pour le loup

Le loup, souvent considéré comme un prédateur redoutable, est capable de traquer une multitude de proies. Bien qu’il paraisse à son aise face aux brebis, chevaux et bovins, sa rencontre avec un autre prédateur, le sanglier, est bien différente. Les défenseurs du loup le présentent comme un acteur clé de la régulation des populations de gibier, mais qu’en est-il de sa véritable efficacité contre le sanglier ?

Les limites de la prédation canine

De récentes vidéos ont suscité l’intérêt sur les réseaux sociaux, illustrant les tentatives de meutes de loups à chasser des sangliers. Malgré quelques cas où de jeunes marcassins sont capturés, les sangliers adultes opposent une résistance farouche. Le comportement de ces animaux, qui peuvent se défendre avec bravoure, fait réfléchir sur la dynamique entre prédateurs au sein de cet écosystème. Étonnamment, même en continuant leur poursuite, les loups semblent maintenir une distance prudente vis-à-vis de ces bêtes noires.

Une proie difficile à abattre

À première vue, un loup poursuivant un sanglier pourrait sembler être un affrontement classique entre prédateur et proie. Toutefois, le sanglier se révèle être un adversaire redoutable. Les loups, se heurtant à la force et à l’instinct de survie du sanglier, finissent souvent par abandonner leurs poursuites. Ils se montrent ainsi plus enclins à s’attaquer aux animaux d’élevage, plus faciles à capturer après une traque relativement courte.

En effet, il est bien plus pratique pour un loup de s’attaquer à une brebis fatiguée après une course de 15 à 20 minutes que de poursuivre un sanglier pendant des heures, à travers les sous-bois, en espérant qu’il perd son chemin. Cela pose la question de l’efficacité réelle des loups dans la régulation des populations de sangliers comparativement à d’autres espèces plus vulnérables.

Ce constat souligne la complexité des interactions dans la nature, où chaque espèce joue son rôle et doit s’adapter à des défis variés. Le sanglier, avec sa robustesse et sa résistance, continue de prouver qu’il est loin d’être une proie facile, même pour l’un des plus redoutables prédateurs.

Pour en savoir plus sur l’univers de la chasse, visitez Caninstore.

Actuchassse pour Caninstore

Sanglier affronté par un troupeau de vaches

Sanglier affronté par un troupeau de vaches

Un sanglier face à la défense d’un troupeau de bovins

La nature n’est pas un long fleuve tranquille, surtout quand il s’agit de défendre son territoire. Dans un contexte que beaucoup de citadins pourraient considérer comme idyllique, un sanglier s’est retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment, se faisant charger par un groupe de bovins. Ce moment de bravoure animale est à la fois captivant et révélateur des dynamiques souvent brutales qui règnent dans le monde rural.

Quand le sanglier entre dans le champ

Imaginez un plan de campagne idyllique, avec des champs verdoyants et des animaux en pâture. Cependant, la réalité est bien différente : un intrus dans le territoire d’autres animaux est souvent perçu comme une menace. Le sanglier, attiré par quelque raison mystérieuse, a décidé de s’aventurer dans un champ de vaches. Ce qu’il ne savait pas, c’est que ces dernières ne comptaient pas le laisser faire sans riposte.

La vidéo de cette rencontre est implacable. Les bovins, en véritables défenseurs de leur domaine, chargent l’intrus avec une détermination impressionnante. Si certains pourraient trouver cela comique – une scène dignes d’un cartoon malheureux – la réalité est que le sanglier a dû faire preuve d’instinct et de rapidité pour quitter les lieux.

Un rappel de la vraie nature

Ce genre de confrontation illustre à quel point la vie sauvage peut être inattendue. Les vaches, souvent perçues comme des animaux paisibles, peuvent montrer un comportement territorial féroce. Cela remet donc en question la vision trop simpliste que beaucoup de gens ont de la nature et des interactions entre espèces.

Alors, que devons-nous retenir de cette aventure ? Que les apparences peuvent être trompeuses, et que dans le monde animal, les règles de la nature sont souvent intransigeantes. Pour les amateurs de faune, cet incident souligne l’importance de comprendre et de respecter les comportements des animaux dans leur habitat naturel.

Pour en savoir plus sur ces fascinantes dynamiques de la vie sauvage et d’autres sujets liés à la chasse, restez connecté sur notre site !

Actuchassse pour Caninstore

Visitez notre site pour explorer davantage : Caninstore

Révision du statut du loup dans les Alpes du Sud

Révision du statut du loup dans les Alpes du Sud

Alpes du Sud : Révision du statut du loup et ses implications

Le statut du loup dans les Alpes du Sud a récemment subi un changement significatif. Classé auparavant comme une espèce « strictement protégée », il a désormais été rétrogradé à une classification « protégée ». Cette nouvelle étape législative ouvre la porte à un abattage facilité du loup, suscitant ainsi des réactions diversifiées parmi les écologistes, les agriculteurs et les chasseurs.

Une décision qui fait polémique

Ce déclassement, validé au sein de la Convention de Berne, a pour objectif de mieux gérer la population de loups dans la région. Alors que certains y voient une avancée nécessaire pour protéger les troupeaux des attaques potentielles des prédateurs, d’autres s’inquiètent de l’impact que cela pourrait avoir sur la biodiversité locale. Quel équilibre peut-on trouver entre la protection des espèces et la sécurité des élevages ? Une question qui divise les acteurs concernés.

Réactions des parties prenantes

Les éleveurs, en particulier, accueillent cette décision avec une certaine satisfaction, la considérant comme une réponse aux défis posés par les attaques sur leurs animaux. Cependant, les défenseurs de l’environnement craignent que cette mesure ne marque le début d’une gestion plus agressive des populations de loups, synonyme de pertes pour la faune sauvage. Il est essentiel de noter que le loup joue un rôle clé dans l’écosystème, régulant notamment les populations de cerfs et d’autres herbivores.

Vers une gestion équilibrée ?

Un dialogue ouvert entre toutes les parties semble nécessaire. La mise en place de programmes de compensation pour les éleveurs, conjuguée à des initiatives de sensibilisation sur la cohabitation avec le loup, pourrait être une solution. La question de la coexistence entre l’homme et les grandes espèces sauvages reste un défi majeur en milieu rural et mérite une attention particulière.

En définitive, cette évolution du statut du loup dans les Alpes du Sud constitue un tournant dans la gestion de la faune. Reste à voir comment les différentes parties vont travailler ensemble pour trouver des solutions durables qui répondent aux préoccupations de chacun.

Actuchassse pour Caninstore

Découvrez plus d’articles et d’actualités sur la chasse !

Piégeage des sangliers autorisé en Dordogne

Piégeage des sangliers autorisé en Dordogne

Le piégeage des sangliers désormais autorisé dans toute la Dordogne

La prolifération des sangliers en Dordogne est un sujet sérieux qui nécessite une action rapide. Après plusieurs mois d’expérimentation réussie, le piégeage des sangliers vient d’être officiellement adopté sur l’ensemble du territoire départemental, une initiative saluée par les syndicats agricoles.

Un consensus pour contrer l’invasion

Le 29 novembre, lors d’une réunion cruciale réunissant les syndicats agricoles de la FDSEA, les Jeunes Agriculteurs, la Fédération des chasseurs de Dordogne, et la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM), une décision forte a été prise. Ce projet, qui a déjà montré son efficacité dans une centaine de communes pilotes, permet aux agriculteurs d’installer des dispositifs de capture, formant ainsi une véritable alliance dans la lutte contre cette espèce qui perturbe l’écosystème local.

Formation et autorisations : des prérequis indispensables

Toute personne souhaitant s’engager dans le piégeage doit suivre une formation adéquate et obtenir une autorisation de la DDTM. Ce processus garantit que les techniques utilisées respectent les règles de sécurité et de régulation des populations animales. Oui, faire du piégeage ce n’est pas juste une affaire de mettre un piege et puis voilà, il faut un minimum de préparation!

Une chasse qui doit se renforcer

Malgré une chasse intensive, seulement 20 000 sangliers ont été prélevés l’an dernier, alors que les agriculteurs en réclament 30 000! Cette situation fait pression sur les agriculteurs, qui sont prêts à s’investir davantage en mettant en place des pièges sur les zones les plus touchées par les dégâts causés par les sangliers.

Des mesures complètes et des perspectives d’avenir

Des tirs de destruction seront également prévus en période de semi et durant les travaux agricoles. De plus, des discussions sont en cours concernant des régulations sur d’autres espèces comme la palombe, qui, elle aussi, affecte les cultures.

Avec ces nouvelles mesures, la Dordogne espère enfin obtenir un équilibre dans la cohabitation entre les hommes et le grand gibier, tout en conservant une approche responsable vis-à-vis de la chasse.

Pour plus d’informations sur la chasse et les dernières actualités cynégétiques, rendez-vous sur Caninstore.

Actuchassse pour Caninstore

Les gardiens de la biodiversité à Étueffont

Les gardiens de la biodiversité à Étueffont

Étueffont : Les anges gardiens de la biodiversité

Une mission essentielle pour la préservation de l’environnement

Depuis quatre ans, six agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) se consacrent à la protection de la nature dans le département. Leur rôle s’étend des contrôles sur le terrain aux conseils sur la réglementation en passant par le suivi des populations d’animaux protégés. L’OFB a vu le jour le 1er janvier 2020, fruit de la fusion de l’Office de la chasse et de la faune sauvage avec l’Agence française de la biodiversité. Cette union vise à assurer une gestion globale des actes affectant notre environnement naturel, regroupant ainsi les enjeux liés à la terre et à l’eau.

Un engagement solide au service de la nature

Basés à Étueffont, ces agents sont véritablement les gardiens de notre biodiversité. Armés de leur expertise, ils ont le pouvoir de dresser des procès-verbaux en cas de non-respect de la réglementation. Leur travail ne se limite pas aux contrôles ; ils offrent également des conseils avisés aux citoyens et aux acteurs du territoire, favorisant une sensibilisation accrue aux enjeux environnementaux. Ce rôle est d’une importance capitale, surtout dans un contexte où la biodiversité est menacée.

La prévention au cœur de leur action

Prendre soin de la nature, c’est aussi anticiper les problèmes avant qu’ils ne surviennent. Ces agents s’engagent activement dans la mise en œuvre de politiques de préservation, travaillant main dans la main avec les acteurs locaux. Par ces efforts conjoints, ils visent à sensibiliser la population aux bienfaits d’une cohabitation harmonieuse avec la faune sauvage.

Pour aller plus loin

Si vous souhaitez en savoir davantage sur les actions menées par l’OFB ou comment vous pouvez contribuer à la préservation de notre environnement, n’hésitez pas à explorer davantage le sujet. Chaque geste compte, qu’il s’agisse de signaler un comportement nuisible ou d’adopter des pratiques plus durables dans votre quotidien.

Actuchassse pour Caninstore

Pour découvrir plus d’informations sur la biodiversité et des produits pour vos compagnons à quatre pattes, visitez notre site : Caninstore.

Chasse à courre en forêt d’Orléans un voyage au cœur de la tradition

Chasse à courre en forêt d'Orléans un voyage au cœur de la tradition

En direct de la chasse à courre en forêt d’Orléans : un rendez-vous au cœur de la tradition

Une journée de chasse au Rallye Vouzeron

Le 27 novembre, la forêt d’Orléans a vibré au rythme de la chasse à courre organisée par le Rallye Vouzeron. Malgré des tensions récentes entre militants anti-chasse et veneurs, cette journée a attiré passionnés et curieux au carrefour de Châtenoy, dans une ambiance digne des plus belles traditions cynégétiques.

Un équipage bien rodé

Dès 10 h 45, le maître d’équipage, Adrien Béjot, fait face à une meute de 46 chiens impatients d’entrer en action. À la cime des arbres, l’excitation est palpable ; les chasseurs à cheval se préparent, tandis que d’autres suiveurs, en voiture ou à vélo, se positionnent pour profiter du spectacle. La scène est presque cinématographique.

Les préparatifs de la traque

Avant de donner le signal du départ, Adrien écoute les rapports des valets de limier qui ont exploré les lieux à l’aube. Ces précieux renseignements lui permettent de choisir la meilleure direction pour débusquer un cerf, le roi de cette journée. La stratégie et l’adoration de la nature se mêlent pour offrir une expérience palpable de ce patrimoine vivant qu’est la chasse à courre.

En conclusion

Cette chasse à courre soulève des débats, mais elle demeure un pilier de la culture locale, un rappel des traditions ancestrales. Un moment partagé entre passion, respect de la nature et camaraderie, loin des controverses habituelles. Alors, prêts à suivre les traces de cette meute dans les sous-bois ?

Actuchassse pour Caninstore

Découvrez plus sur notre site : Caninstore

Controle des pratiques de chasse à Lachapelle sous Chaux

Controle des pratiques de chasse à Lachapelle sous Chaux

Contrôle des règles de chasse à Lachapelle-sous-Chaux

Ce week-end, la sécurité des chasseurs était à l’ordre du jour à Lachapelle-sous-Chaux, où une opération conjointe a été menée pour s’assurer que les règles de chasse étaient respectées. Le dimanche matin, l’OFB (Office français de la biodiversité), la DDT (Direction départementale des territoires), l’ONF (Office national des forêts) et la gendarmerie se sont unis pour contrôler les pratiques de chasse dans la région.

Malgré des gelées matinales et un froid hivernal, rien n’a arrêté les agents de la police de l’environnement. Après un briefing, les onze agents ont formé deux équipes avec une mission claire : veiller à la sécurité des opérations de chasse. Celles-ci se poursuivront jusqu’à la fin de février, période où la chasse au gros gibier est particulièrement en vogue.

Les contrôles ont un double objectif : non seulement assurer le respect des règles, mais également rappeler aux chasseurs les bonnes pratiques à adopter pour une chasse en toute sécurité. Les autorités font ainsi preuve de vigilance pour prévenir les accidents et garantir que cette activité se déroule dans les meilleures conditions possibles.

Cette initiative s’inscrit dans une volonté plus large de sensibilisation à la protection de la biodiversité et à la sécurité sur le terrain. En effet, la chasse ne doit pas être synonyme de danger—pour les chasseurs comme pour la faune. La collaboration entre les organismes est essentielle pour offrir un cadre sécurisé à tous les acteurs impliqués.

Ainsi, le week-end dernier, Lachapelle-sous-Chaux n’était pas seulement le théâtre de la chasse, mais aussi d’un engagement fort en faveur de la sécurité environnementale, sans oublier une pincée de bonne humeur face aux rigueurs de l’hiver.

Actuchassse pour Caninstore

Pour plus d’informations, visitez notre site : Caninstore

Le rôle clé des chasseurs bretons dans la gestion du sanglier

Le rôle clé des chasseurs bretons dans la gestion du sanglier

Le rôle indispensable des chasseurs bretons dans la régulation du sanglier

La gestion des populations de sangliers est un sujet qui suscite souvent des débats enflammés, tant chez les associations animalistes que chez les agriculteurs, souvent victimes des dégâts causés par ces animaux. Pourtant, derrière cette controverse, se cache une réalité moins connue : les chasseurs bretons jouent un rôle essentiel dans la régulation de cette espèce invasive.

Des défis à relever pour une chasse responsable

Pour les chasseurs, la tâche n’est pas de tout repos. Ils doivent composer avec un certain nombre de facteurs qui compliquent la gestion du sanglier. Parmi ces éléments, citons le coût des bracelets, nécessaires pour encadrer la chasse, et le financement des opérations cynégétiques. De plus, la réglementation en vigueur impose parfois des contraintes supplémentaires qui peuvent freiner les prélèvements.

Et n’oublions pas l’accessibilité aux territoires de chasse. Avec un gibier capable de parcourir des kilomètres en une seule journée, la tâche de régulation nécessite une coordination minutieuse et des efforts collectifs. C’est un peu comme essayer de garder un chat dans une pièce, une vraie gymnastique !

Un œil sur le terrain

Les caméras de France 3 Bretagne ont récemment suivi les chasseurs au cours d’une battue, mettant en lumière leur engagement sur le terrain. Cette immersion permet de voir de près les enjeux auxquels ils font face et de comprendre les diverses techniques employées pour réguler cette espèce prolifique.

Les chasseurs ne se contentent pas simplement de tirer sur le gibier ; ils doivent aussi alerter sur les comportements néfastes des sangliers, qui peuvent causer des destructions massives sur les cultures, menaçant ainsi la sécurité alimentaire à une échelle plus large. C’est un peu comme si ces animaux se prenaient pour des experts en jardinage, mais avec des résultats dévastateurs.

Vers une gestion équilibrée

La régulation du sanglier est donc un enjeu crucial. Les efforts des chasseurs bretons montrent qu’avec une approche structurée, il est possible de trouver un équilibre entre la protection de la faune, la préservation des cultures et la sécurité des populations locales. Mais cela nécessite une compréhension et un soutien mutuels entre tous les acteurs impliqués.

Il est clair que la chasse, lorsqu’elle est pratiquée de manière responsable et en concert avec les réglementations, peut contribuer à la préservation des écosystèmes locaux tout en tenant compte des besoins des agriculteurs et des communautés.

Pour en savoir plus sur les enjeux de la chasse et la gestion des espèces, visitez Caninstore.

Actuchassse pour Caninstore

Homme mordu en nourrissant marcassin

Homme mordu en nourrissant marcassin

Un homme se fait mordre la main en voulant nourrir un marcassin

Il arrive parfois que les passionnés de faune sauvage oublient que certains animaux, même étant jeunes, ne doivent pas être sous-estimés. C’est exactement ce qui s’est passé lorsqu’un homme a voulu tendre la main à de petits marcassins le long d’un chemin. Si l’intention était bonne, la réalisation ne l’était pas tout à fait.

Alors qu’il tentait de nourrir ces adorables petites créatures, un des marcassins, probablement plus affamé qu’affectueux, a décidé d’approcher. Et qui aurait pu deviner que les petites dents tranchantes de ce suidé allaient s’en prendre à sa main ? En un clin d’œil, l’homme s’est retrouvé avec une douleur inattendue, allant d’un simple désespoir à une visite d’urgence.

Cet incident met en lumière l’importance de respecter les distances avec la faune sauvage, même lorsqu’elle paraît inoffensive. Car au fond, qui ne s’est jamais demandé ce qu’il fallait faire si un cochon sauvage décidait de goûter à son doigt ? Cela nous rappelle de garder à l’esprit que ces animaux, bien qu’attachants, peuvent être imprévisibles.

Avec ce genre d’expérience, il est clair qu’une rencontre avec un marcassin n’est pas une occasion de prendre des selfies ou de nourrir des animaux sauvages ! Mieux vaut garder sa distance et laisser ces petites créatures profiter de la nature, sans intervenir dans leur alimentation.

Alors, la prochaine fois que vous croiserez un sanglier — qu’il soit adulte ou baby-sanglier — pensez à garder vos doigts pour vous. Si vous souhaitez en savoir plus sur la faune ou la chasse, n’oubliez pas de visiter notre site !

Actuchassse pour Caninstore

Visitez notre site pour plus d’informations !

Actu chasse