Un brocard filmé par un drone en pleine nature

Un brocard filmé par un drone en pleine nature

Un brocard filmé en pleine nature grâce à un drone

La beauté de la nature ne cesse de nous émerveiller, et pour ceux d’entre nous qui s’intéressent à l’observation de la faune, les nouvelles technologies sont de véritables alliées. Les drones, en particulier, offrent une vue aérienne inédite, permettant de capturer des images d’animaux dans leur habitat naturel sans les déranger.

Une rencontre inattendue au cœur des champs

Dans une vidéo récente, un drone a surpris un magnifique brocard accompagné de ses congénères, paisiblement installé dans un champ. Pendant ce temps, un tracteur s’affairait un peu plus loin, presque comme s’il était un acteur secondaire dans ce tableau vivant. Les drones s’imposent ainsi comme un outil idéal pour les passionnés de chasse et de nature, révélant des scènes que l’œil humain aurait du mal à apercevoir.

La magie des drones au service de l’observation

L’utilisation de drones pour observer la faune sauvage représente un tournant dans la manière dont nous explorons l’environnement. Ils permettent non seulement de minimaliser notre impact sur les animaux, mais offrent également des perspectives visuelles fascinantes. Ces appareils sont tout aussi discrets qu’un chasseur aguerri, mais avec une technologie de pointe à leur disposition.

Un rendez-vous avec la nature

La rencontre entre le brocard et les champs cultivés est une parfaite illustration de l’harmonie qui peut exister entre la nature et l’agriculture. Et qui sait, la prochaine fois que vous serez en pleine campagne, peut-être aurez-vous la chance d’apercevoir un spectacle aussi captivant ! En attendant, pourquoi ne pas envisager d’explorer votre propre environnement avec un drone et découvrir les merveilles de la faune ?

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Chasseur primé pour son civet de sanglier à Varces-Allières-et-Risset

Chasseur primé pour son civet de sanglier à Varces-Allières-et-Risset

Un chasseur récompensé pour son civet de sanglier à Varces-Allières-et-Risset

Alain Bernard, lauréat du championnat de France amateur de civet de sanglier

À Varces-Allières-et-Risset, Alain Bernard a fait forte impression en remportant la médaille d’or lors du premier championnat de France amateur de civet de sanglier, événement organisé par un célèbre magazine spécialisé. Ce Claixois de 77 ans, passionné de chasse, concourt avec une recette transmise par son arrière-grand-mère et qui a su séduire un jury de 16 personnes.

Alain, qui se définit comme un « jeune » chasseur de sanglier depuis huit ans, considère sa pratique comme un service public, participant à la régulation du gibier. Pour lui, la connaissance de la nature et le respect des animaux sont les piliers d’un vrai chasseur. Originaire de Réaumont, ses passions s’étendent à la randonnée et à la pêche, ce qui témoigne d’un profond amour pour la nature.

« Cette recette a plus de 150 ans », se réjouit Alain, fier de ses racines et de son savoir-faire culinaire. Le civet de sanglier, bien plus qu’un plat, est pour lui un hommage à ses ancêtres et à la tradition gastronomique locale.

En somme, la victoire d’Alain Bernard est non seulement un exploit culinaire, mais également une célébration de l’héritage et de l’éthique de chasse, des éléments qui façonnent la culture de la chasse en France.

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La chasse à Andilly et son engagement pour la sécurité

La chasse à Andilly et son engagement pour la sécurité

La chasse à Andilly : un engagement envers la sécurité

À Andilly, la chasse ne se résume pas à une simple sortie en forêt. Elle est rythmée par un ensemble de règles de sécurité strictes qui garantissent la protection de tous les participants. Dès l’aube, les membres de l’ACCA (Association de Chasse et de Conservation) se rassemblent dans leur quartier général, prêts à se lancer dans cette activité traditionnelle.

Rituels et préparation avant la battue

Avant de chausser les bottes et d’attraper le fusil, la sécurité est au cœur des préoccupations. Le responsable de la chasse rappelle avec sérieux l’importance de respecter les angles de tir et d’installer les panneaux « chasse en cours » sur les différents chemins. Il semble que, dans ce monde, on ne rigole pas avec les consignes de sécurité ! Mais qui pourrait blâmer ces passionnés qui souhaitent chasser tout en préservant l’intégrité de leurs collègues et des promeneurs ?

En parallèle, la meute de chiens, animée d’une excitation palpable, se prépare pour le grand moment. Ces compagnons à quatre pattes sont essentiels pour une battue réussie, et leur enthousiasme est tout à fait contagieux. Chaque rencontre sur le terrain est une répétition qui se produit toutes les trois semaines, un vrai rendez-vous pour les amoureux de la nature et de la chasse.

L’importance des règles de sécurité

Il est indéniable que la chasse, tant appréciée dans notre culture, nécessite une attention particulière en matière de sécurité. Les accidents peuvent survenir en un clin d’œil, et c’est pourquoi les chasseurs doivent être à la fois vigilants et bien informés. Rappeler constamment ces principes de prudence permet de conserver un environnement sûr et agréable pour tous.

Qu’il s’agisse de s’assurer que l’on tire uniquement dans des zones sécurisées ou de vérifier que chaque membre du groupe est bien informé, ces pratiques réduisent considérablement les risques pendant la battue.

Avec le chant des oiseaux en toile de fond et la promesse d’une journée enrichissante en pleine nature, les chasseurs d’Andilly continuent de perpétuer cette tradition, armés de leurs fusils, de leur passion, et surtout, de leur engagement envers la sécurité. Car après tout, qui voudrait se retrouver sur un plateau télé avec un titre du genre « Chasseur malheureux, blessé par un tir ami » ?

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Des chasseurs secourent un sanglier échappé

Des chasseurs secourent un sanglier échappé

Des chasseurs sauvent un sanglier en fugue

Un sanglier en détresse trouve de l’aide auprès des chasseurs

Le mercredi 27 novembre, un sanglier nommé Arès a su prouver que l’instinct de survie peut parfois le conduire à de véritables péripéties. Élevé dans un refuge, ce beau pépère a pris la décision audacieuse de s’échapper après avoir été effrayé par des avions de chasse qui passent trop bas au-dessus du village de Champéons, en Mayenne.

Arrivé au refuge Le Repère-Pat’à Foin en 2020, Arès a passé ses journées à se prélasser. Cependant, le bruit assourdissant des réacteurs l’a poussé à charger les grilles de son enclos et à prendre la fuite, laissant les membres de l’association dans l’inquiétude. En effet, ayant été élevé par l’homme, Arès n’avait aucune chance de survie dans la nature. Devant une telle situation, l’association a immédiatement lancé un appel à l’aide pour retrouver le fugueur.

Heureusement, la mobilisation des chasseurs locaux a été rapide. Ce sont eux qui ont repéré Arès dans un champ de maïs. Éric Pinguet, l’un des chasseurs, a relaté l’incident en pleine transparence : « Je leur ai dit que si on le trouvait, on le ramènerait à la maison. On n’est pas des sauvages. » Il a ensuite décrit comment, avec la complicité de ses chiens, il a capturé le sanglier, malgré une légère morsure qui, selon ses dires, n’était pas un problème. Arès a pu retourner dans son enclos, sain et sauf.

L’association, reconnaissante, a tenu à saluer ce geste d’entraide, reconnaissant que sans le soutien des chasseurs, la situation aurait pu tourner au drame. Dans leur publication, ils ont déclaré : « Nous n’avons pas les mêmes convictions, mais ils ont su faire preuve de solidarité pour notre sanglier, et pour cela, nous les REMERCIONS… MERCI aussi à leurs chiens. »

Cette aventure met en lumière que, parfois, les rôles s’entremêlent et que la solidarité peut naître même parmi des groupes aux convictions différentes. Il est toujours bon de rappeler que derrière chaque étiquette se cachent des individus prêts à se mobiliser pour une cause commune : la vie.

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Chasse solidaire pour les familles démunies de l’Oise

Chasse solidaire pour les familles démunies de l'Oise

Quand la chasse offre des repas aux familles démunies de l’Oise

Des repas au sanglier pour des familles dans le besoin

Dans une initiative remarquable, les chasseurs de l’Oise font preuve de solidarité envers les familles défavorisées. Ce vendredi, 2 500 repas individuels à base de gibier vont être remis à la fédération de l’Oise du Secours Populaire français. Ce geste, qui évoque à la fois la générosité et l’efficacité de la chasse, souligne l’importance de la collaboration entre les acteurs de la nature et ceux de la solidarité.

Les repas, savamment préparés avec du sanglier, proviennent directement d’actions de chasse organisées dans la forêt domaniale de Compiègne. Ces chasses sont réalisées par une association bien implantée, le Groupement d’intérêt cynégétique agricole, sylvicole et touristique dans les massifs de Laigue, Ourscamps, Carlepont et ses environs, qui s’associe à l’Office national des forêts (ONF) pour mener à bien cette mission.

Cette belle initiative soulève une question : comment allier passion de la chasse et aide humanitaire ? Les réponses sont à la fois simples et efficaces, prouvant que la chasse peut avoir un impact positif sur la communauté. En offrant du gibier, non seulement les chasseurs réduisent l’excès de certaines populations animales, mais ils contribuent aussi à nourrir ceux qui en ont le plus besoin. Une manière originale de rendre la chasse utile et bienveillante.

Au-delà de la simple action de distribution de repas, cet événement illustre la synergie qui peut exister entre la faune, la flore et l’humain, tout en rappelant l’importance de s’unir pour aider les plus vulnérables. Qui aurait pensé qu’un sanglier pouvait devenir un acteur du lien social ?

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Chasse en ligne de mire après la mort d’une jument de compétition

Chasse en ligne de mire après la mort d'une jument de compétition

La fédération de chasse en ligne de mire après la mort d’une jument de 30 000 euros

Le 6 novembre dernier, un incident tragique a eu lieu dans le charmant pré d’Isenay, en Nièvre : Altesse de la Serre, une jument de compétition estimée à 30 000 euros, a été abattue par un chasseur. Face à ce drame, la fédération de chasse de la région, qui a longtemps gardé le silence, a finalement décidé de déposer plainte contre le tireur et ses complices.

Des développements inattendus

Après un mois d’hésitation, la fédération de chasse a fait volte-face, déclarant qu’il existait des « éléments probants » justifiant cette action en justice. Le président de la fédération, Florent Ortu, a souligné l’importance de faire triompher la justice. Cependant, cette déclaration a suscité des réactions surprenantes. Diane de Charmasse, l’éleveuse de la jument et conseillère en ergonomie équestre, n’a pas manqué de faire part de son scepticisme. « Ça me fait doucement rire », a-t-elle commenté, se moquant de l’intérêt soudain de la fédération pour l’affaire.

Une enquête en cours

Ce retournement de situation a également vu l’éleveuse, le propriétaire du pré et Jean-Marie Bazire, le cavalier de la jument, décider de porter plainte. Diane de Charmasse, espérant des « condamnations sévères », a manifesté son souhait de voir le chasseur et ses partenaires tenir leur responsabilité face à ce qui semble être plus qu’un simple accident de tir.

Une enquête criminelle a été ouverte par le parquet de Nevers, mais jusqu’à présent, la vérité sur cet incident tragique reste encore à élucider. Les conséquences de cet événement pourraient avoir un impact significatif tant sur la piété des chasseurs que sur la perception publique de la chasse.

Pour rester informé des développements de cette affaire et d’autres nouvelles concernant la chasse, n’hésitez pas à consulter régulièrement notre site.

Note finale : Cet article est signé Actuchassse pour Caninstore. Découvrez plus d’informations et de produits sur Caninstore.

Sanglier intrus dans des bureaux à Rennes

Sanglier intrus dans des bureaux à Rennes

Un sanglier fait irruption dans des bureaux à Rennes, provoquant l’évacuation

Un événement surprenant s’est produit près de Rennes, où un sanglier a décidé de faire une visite inattendue dans un bâtiment qui abrite des bureaux administratifs. Ce mercredi 4 décembre, l’animal, pesant environ 70 kg, a provoqué un vent de panique parmi les employés de G2S, une filiale de Groupama située à Mordelles.

Un passage chaotique dans les bureaux

C’est en début d’après-midi que le sanglier a fait irruption dans les couloirs de l’entreprise, causant une scène pour le moins inhabituelle. Alors qu’on a plutôt l’habitude de voir ces animaux dans des forêts ou des prairies, ce sanglier a choisi le milieu urbain pour s’y exprimer. L’aspect désorienté et blessé de l’animal a été un facteur déterminant dans son intrusion, entraînant une réaction rapide de la part des employés, qui ont évacué les lieux par mesure de sécurité.

Évacuation : sécurité avant tout

La sécurité des employés étant primordiale, la décision d’évacuer le bâtiment a été prise sans tarder. En effet, un sanglier, même blessé, peut représenter un danger potentiel. Les pompiers de Mordelles, accompagnés d’un lieutenant de louveterie, ont rapidement été appelés sur les lieux. Leur mission : localiser l’animal et lui assurer un retour en sécurité hors des locaux.

Une intervention maîtrisée

Vers 15h, les secours ont réussi à localiser le sanglier et ont procédé à son anesthésie, permettant ainsi l’évacuation de la bête noire en fin d’après-midi. Une fois la situation maîtrisée, les employés ont pu regagner leurs bureaux, avec pour certains, un peu de rangement à faire après le passage tumultueux de leur visiteur surprise.

Sans conteste, cet incident rappelle à tous que les enjeux de la faune sauvage en milieu urbain peuvent parfois mener à des situations imprévues. Restez vigilants et informez-vous sur la coexistence avec la faune, particulièrement dans les zones rurales.

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Retrouvailles du sanglier Arès à Champéon après une fuite impressionnante

Retrouvailles du sanglier Arès à Champéon après une fuite impressionnante

Le sanglier Arès retrouvé par des chasseurs à Champéon après une fuite incroyable

Le sanglier Arès, qui avait pris la poudre d’escampette d’un refuge en raison du bruit assourdissant d’un avion de chasse, a été localisé ce mercredi à Champéon, dans le Nord-Mayenne. L’animal, disparu depuis le 27 novembre, a été retrouvé en pleine forme grâce aux efforts d’un groupe de chasseurs.

Un retour inattendu

C’est une véritable échappée belle qu’a vécue Arès, le sanglier épris de liberté. Fuyant le calme relatif de son refuge, Le Repère, ce dernier a été pris de panique quand un avion de chasse a survolé le paysage à une altitude vertigineusement basse. Suite à cette frayeur, il s’est élancé à travers champs, amorçant une longue cavale.

La battue salvatrice

Les chasseurs du village ont joué un rôle clé dans le dénouement de cette aventure. Lors d’une battue, ils ont eu la chance de croiser Arès dans un champ de maïs appartenant à un agriculteur local, Éric Pinguet. Ce dernier a eu une réaction pour le moins héroïque : « Je leur ai dit que si on le trouve, on le ramènerait à la maison. On n’est pas des sauvages, » a-t-il fièrement déclaré après avoir rattrapé le sanglier. Bien qu’Arès ait mordu Éric lors de la capture, celui-ci s’est dit prêt à relever le défi pour le bien de l’animal.

Un soulagement pour le refuge

Du côté du refuge Le Repère, c’est le soulagement qui prédomine. La soigneuse d’Arès a exprimé sa gratitude envers les chasseurs qui ont facilité son retour. Cette aventure n’est pas seulement le récit d’une fuite et d’une rescousse, mais aussi un bel exemple de la coopération entre chasseurs et défenseurs des animaux.

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Tuer des loups ne résoudra pas les problèmes des éleveurs

Tuer des loups ne résoudra pas les problèmes des éleveurs

Tuer plus de loups n’arrangera pas les éleveurs : enjeux et perspectives après le déclassement

Le 3 décembre 2024, un changement significatif a eu lieu concernant la protection du loup en Europe. Les pays signataires de la Convention de Berne ont décidé de le reclasser de « strictement protégé » à « protégé ». Une simple modification de terminologie, mais qui pourrait avoir des répercussions conséquentes pour les éleveurs et les loups eux-mêmes.

Des lobbys influents et des décisions politiques

Avec ce nouveau statut, l’abattage des loups pourrait être facilité, suscitant l’inquiétude parmi les défenseurs des droits des animaux qui y voient une victoire pour les lobbies des éleveurs et des chasseurs. Cependant, ce reclassement n’est pas juste une question de chiffres, mais plutôt un symbole de décisions politiques influencées par des incidents, comme le cas notoire d’un poney de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen.

Une stratégie contre-productive

Thomas Pfeiffer, spécialiste de la question du loup, souligne que « tuer plus de loups n’arrangera pas les affaires des éleveurs, bien au contraire ». En effet, abattre des loups sans une stratégie de gestion des meutes pourrait perturber l’équilibre naturel, incitant les jeunes loups à chercher des proies plus faciles, comme les troupeaux domestiques. Cela soulève une question : pourquoi certaines solutions de prévention, comme l’aide des bergers, ne sont-elles pas considérées comme plus viables ?

Des dépenses élevées et des résultats décevants

En France, l’État consacre entre 20 et 30 millions d’euros à la protection des éleveurs, mais malgré cet investissement massif, le pays recense le plus grand nombre d’attaques de loups. De plus, on note également un taux élevé de tirs de loups. Ce paradoxe soulève des interrogations sur l’efficacité de la stratégie actuelle.

Des solutions alternatives : l’aide des bergers

Pfeiffer propose des solutions pratiques, comme l’instauration d’une présence humaine pour dissuader les loups. Il a expérimenté avec succès un projet en Suisse, combinant l’utilisation de chiens, de clôtures électriques, et d’aides-bergers bénévoles. En deux ans, aucune attaque n’a été enregistrée grâce à ces mesures. Le constat est simple : la présence humaine reste le meilleur moyen d’atténuer les conflits entre loups et éleveurs.

Une réalité complexe, à traiter avec précaution

Pour conclure, la question du loup et de son interaction avec l’agriculture est loin d’être simple. Une approche personnalisée et axée sur la prévention pourrait offrir une voie à suivre face à la problématique croissante. En attendant, les débats politiques continuent d’influencer la perception et la gestion de cette espèce emblématique.

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Battues de beagles à la chasse au sanglier en Bretagne

Battues de beagles à la chasse au sanglier en Bretagne

Battues énergiques avec des beagles à la chasse au sanglier en Bretagne

Des traques palpitantes avec Ronan et sa meute

Depuis la fin de la saison dernière, l’actualité des passionnés de la chasse aux chiens courants était en pause, mais voici que Ronan, le dynamique piqueux de la chaîne YouTube « roro chasse 22 », revient sur le devant de la scène. Accompagné de son papa et de son frère Maël, il mène sa bande de beagles à la chasse au sanglier dans les magnifiques Côtes-d’Armor.

Dans une toute nouvelle vidéo très attendue, Ronan partage avec nous le début de la saison 2024-2025, qui a déjà été riche en émotions et en aventures à travers les traques frénétiques. Accrochez-vous, car les beagles vont se mesurer à des sangliers dans différents décors de la campagne bretonne, allant de fermes où la tension est palpable à des zones boisées plus calmes.

Des scènes de chasse captivantes

Les amateurs de chasse auront l’occasion de découvrir des moments mémorables, ponctués par des courses effrénées et des poursuites dans des fermes où le danger est au rendez-vous. Quoi de mieux qu’une bande de beagles excités pour pimenter le tout? Avec des comportements vigoureux et une musique entraînante, la vidéo promet une immersion totale dans le cœur de l’action, où chaque seconde compte.

Ce qui est particulièrement réjouissant, c’est que Ronan a réussi à garder son équipe de beagles sans blessure notable depuis le début de la saison. Quel soulagement pour les amoureux des animaux! Cela témoigne non seulement de son savoir-faire, mais également de la complicité exceptionnelle qui l’unit à sa meute.

Une célébration de la chasse aux chiens courants

Cette nouvelle vidéo est bien plus qu’un simple témoignage d’une chasse réussie; elle met en lumière l’esprit d’équipe entre le chasseur et ses chiens, une valeur fondamentale de la chasse. Visionner ces batailles contre des sangliers est une occasion de célébrer la passion et la tradition cynégétique, tout en respectant la faune.

Prenez le temps de vivre cette aventure unique avec Ronan et ses beagles, et n’hésitez pas à voir les exploits de cette incroyable meute dans leur lutte contre les sangliers. La vidéo vous plongera dans l’intensité de ces battues palpitantes!

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