Chasse aux sangliers à Arlempdes et Goudet en octobre 2024

Chasse aux sangliers à Arlempdes et Goudet en octobre 2024

Chasse temporaire du sanglier

Régulation efficace des sangliers à Arlempdes et Goudet

Afin de réguler les populations de sangliers qui causent des dégâts considérables aux activités agricoles, l’AICA DES 2 CHATEAUX (Arlempdes – Goudet) a obtenu l’autorisation officielle, par arrêté préfectoral, de chasser le sanglier au sein de sa réserve de chasse. Cette opération se déroulera du 7 au 20 octobre 2024, sous la supervision attentive de la Présidente de l’association.

Les sangliers, bien que souvent appréciés par les chasseurs pour leur rôle dans l’écosystème, peuvent devenir une véritable nuisance lorsqu’ils envahissent les terres agricoles, détruisant cultures et équipements. Cette chasse encadrée vise donc à maintenir un équilibre crucial entre préservation de la biodiversité et protection des intérêts agricoles locaux.

Cette initiative régionale représente une mesure temporaire mais nécessaire pour garantir la cohabitation harmonieuse entre la faune sauvage et les activités humaines dans cette zone renommée pour ses paysages pittoresques et sa biodiversité. Elle témoigne également de la responsabilité des chasseurs dans la gestion durable des ressources naturelles.

À noter dans vos agendas

Pour les habitants et les visiteurs des environs, il est important de noter ces dates afin de prendre les précautions nécessaires et d’éviter les zones de chasse pendant cette période.

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Actuchasse pour Caninstore

Il tente d’éviter un sanglier et finit dans un pré inondé à Saint-Just-Sauvage

Il tente d’éviter un sanglier et finit dans un pré inondé à Saint-Just-Sauvage

Il tente d’éviter un sanglier et finit dans un pré inondé à Saint-Just-Sauvage

Une rencontre fortuite avec la faune sauvage mène à une sortie de route inattendue

Ce mercredi 9 octobre au matin, les gendarmes de Sézanne sont intervenus après une sortie de route sur la D82 entre Saint-Just-Sauvage (Marne) et Maizières-la-Grande-Paroisse (Aube). Le conducteur, en tentant apparemment d’éviter un sanglier, a perdu le contrôle de son véhicule. La voiture a alors quitté la route pour finir sa course dans un pré partiellement inondé en contrebas.

Heureusement, le conducteur s’en sort indemne, malgré la singulière péripétie.

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Tueur arbalète ciblant sangliers Marseille

Tueur arbalète ciblant sangliers Marseille

Dépouilles de marcassins, « tueur à l’arbalète » : qui en veut aux sangliers du Roy d’Espagne à Marseille ?

Rumeurs et découvertes macabres alimentent l’inquiétude des riverains

Des photos de cadavres de sangliers au sein du Roy d’Espagne circulent sur les réseaux sociaux, semant la panique parmi les habitants de cette résidence des quartiers Sud de Marseille.

En l’espace de deux semaines, les dépouilles de deux laies et cinq marcassins ont été découvertes dans cette zone urbaine verdoyante. Cette succession macabre a conduit les riverains à soupçonner un potentiel « tueur à l’arbalète », et la psychose fait rage sur les réseaux sociaux.

La situation est particulièrement tendue au Roy d’Espagne, un grand parc résidentiel situé à l’orée des Calanques de Marseilleveyre. Les rumeurs d’un chasseur nocturne rôdant au pied des tours, semant la mort parmi les suidés locaux, se sont répandues à la vitesse de l’éclair sur Internet, alimentant une véritable enquête citoyenne parmi les riverains.

« Un sanglier et son petit ont été abattus ce week-end en bas de la copro 1, 2 et 3. La carcasse se décompose », alertait une habitante, photos à l’appui, sur un groupe WhatsApp dédié aux résidents du Roy d’Espagne, où les sangliers sont depuis longtemps des voisins familiers.

Une semaine plus tard, les dépouilles d’une laie et de quatre marcassins ont été découvertes à proximité du parc Pastré, en bordure de la résidence. Ce triste spectacle ne fait qu’accentuer la tension parmi les habitants, déterminés à démasquer l’auteur de ces actes.

Actuchasse pour Caninstore

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Ardeche 4 chiens de chasse empoisonnes apres des menaces de militants anti-chasse

Ardeche 4 chiens de chasse empoisonnes apres des menaces de militants anti-chasse

Ardèche: 4 chiens de chasse empoisonnés après des courriers de menaces de militants anti-chasse

Des faits commis non loin du lieu du massacre de 7 chiens de chasse l’an dernier

Située dans la région pittoresque de l’Ardèche, la petite commune de Saint-Agrève est au cœur d’une nouvelle tragédie. En effet, à environ vingt kilomètres de Chanéac, où sept chiens de chasse avaient été brutalement tués il y a presque un an, quatre autres chiens appartenant à trois chasseurs ont été empoisonnés en l’espace de dix jours. Le poison incriminé serait du raticide, probablement versé dans leurs chenils. Malheureusement, malgré les soins vétérinaires, leur survie reste incertaine.

Des lettres de menace émanant d’anti-chasse reçues par les chasseurs

L’affaire prend racine il y a presque un an, peu après les événements tragiques survenus sur la propriété de la communauté Long Mai. L’ACCA de Saint-Agrève reçoit alors une lettre de menaces anonyme, évoquant directement les faits de Chanéac : « Les hippies ont montré la voie. On ne vous passera plus rien. Et si porter une arme vous rend trop sûrs de vous, on verra lorsque vous pleurerez vos maisons brûlées et vos proches avec. En attendant, six postes empoisonnés viennent d’être posés entre Cadet, La Citadelle et Le Pouzat ». Peu de temps après, un premier chien de chasse est retrouvé empoisonné, et une plainte est déposée. Cependant, cette plainte fut classée sans suite.

Quatre chiens entre la vie et la mort, empoisonnés dans leurs chenils

Il y a environ quinze jours, l’ACCA de Saint-Agrève reçut une nouvelle missive, cette fois signée par « La milice anti-chasse, anti-cons, contre l’irrespect des chasseurs pour la propriété des autres ». Ce courrier contenait une nouvelle menace limpide : « On remet le poison en place ». Quelques jours plus tard, quatre chiens appartenant à trois chasseurs, dont le président de l’ACCA, Monsieur Pascal Faure, sont retrouvés empoisonnés. Les analyses vétérinaires confirment la présence de raticide, alors que les chiens n’avaient pas été sortis pour chasser récemment. Pour le moment, les animaux luttent pour leur survie.

En état de choc, les chasseurs concernés ont déposé une nouvelle plainte. Une enquête est actuellement en cours pour identifier les coupables. En attendant, les chasseurs du secteur prennent des mesures de sécurité renforcée, telles que l’installation de systèmes de vidéosurveillance autour de leurs chenils.

Des incidents de ce genre soulèvent de nombreuses questions sur la sécurité et la violence entre chasseurs et militants anti-chasse. La situation reste tendue, et le sort de ces chiens est entre les mains des autorités compétentes.

Pour plus d’informations et de conseils sur la chasse et les chiens de chasse, rendez-vous sur Caninstore.

Actuchassse pour Caninstore

La chasse ne suffit pas à réguler les sangliers selon un expert du CNRS

La chasse ne suffit pas à réguler les sangliers selon un expert du CNRS

Selon cet expert du CNRS, « la chasse ne suffit pas à réguler les sangliers »

La prolifération des sangliers en France : un défi grandissant

Les sangliers causent de plus en plus de dégâts en France, et les Côtes-d’Armor ne sont pas épargnées par ce phénomène. Les populations de sangliers se multiplient rapidement, provoquant une hausse des incidents avec les particuliers et les agriculteurs. Face à cette situation, Raphaël Mathevet, géographe, écologue et chercheur au CNRS, affirme que la chasse, seule, n’est pas une solution suffisante pour contrôler cette prolifération.

Un expert en écologie tire la sonnette d’alarme

Raphaël Mathevet, écologue et géographe au CNRS, est également l’auteur de l’ouvrage Sangliers, géographies d’un animal politique, publié en octobre 2022 aux éditions Actes Sud. Selon lui, la régulation des populations de sangliers par la chasse ne suffit plus. Avec le nombre grandissant de sangliers, les méthodes actuelles doivent être repensées pour être efficaces.

Des dégâts considérables pour les particuliers et les agriculteurs

Dans les Côtes-d’Armor, de nombreux agriculteurs et particuliers se plaignent des dommages causés par les sangliers à leurs cultures et propriétés. Les efforts de chasse intensifs ne semblent pas endiguer le problème, posant la question de la réelle efficacité de cette méthode de régulation.

En quête de solutions alternatives

Alors, que faire face à ce fléau ? Les solutions pourraient inclure une combinaison de régulation naturelle, de nouvelles techniques de chasse, et des mesures préventives pour limiter les points d’eau et les sources de nourriture des sangliers.

Pour en savoir plus sur les défis de la régulation des sangliers et découvrir des produits connexes, visitez Caninstore.

Article par Actuchasse pour Caninstore.

Sangliers en France une multiplication incontrôlable et ses conséquences

Sangliers en France une multiplication incontrôlable et ses conséquences

Plus de 800 000 Sangliers abattus en France : la prolifération incontrôlable

Dégâts sur les récoltes et accidents : L’impact de la prolifération des sangliers

Avec plus de 800 000 sangliers abattus en France, contre moins de 40 000 il y a un demi-siècle, la prolifération du gros gibier semble inarrêtable. Les battues se multiplient, comme ici aux Vaseix (87) ce 7 octobre, mais l’augmentation de la population de gros gibier, notamment des sangliers, ne parvient pas à être jugulée.

Dégâts sur les récoltes, incursions urbaines, accidents de la circulation… les dommages provoqués par le gros gibier ne cessent de défrayer la chronique. Les chiffres donnent le tournis : pour les seuls sangliers, leur nombre aurait triplé sur les vingt dernières années. Les battues se multiplient, notamment en Haute-Vienne, mais c’est le schéma cynégétique qu’il faut sans doute changer.

Les battues en Haute-Vienne et les tensions locales

Première battue de la saison, ce lundi 7 octobre, dans la forêt des Vaseix, près de Limoges (87), afin de permettre la limitation du nombre de gros gibiers (sangliers, cerfs, chevreuils). Il y en aura cinq autres, d’ici au 17 février 2025, quand, dans le même temps, onze autres seront organisées dans la forêt de Ligoure, près de Châlucet (87), cette fois jusqu’au 25 mars 2025.

Dix-sept battues au total, qui ne régleront cependant pas, ni en Haute-Vienne, ni en Limousin, un problème de plus en plus prégnant, comme sur l’ensemble du territoire français par ailleurs. La situation est tendue, comme en témoigne la manifestation des agriculteurs de la FNSEA de Haute-Vienne devant la préfecture de Limoges fin juin dernier, pour protester des dégâts dans les monts d’Ambazac. Cette pression a conduit le préfet à une visite sur le terrain le 27 septembre, débouchant sur une réunion avec les Associations de Chasse Communales Agrées (ACCA), permettant plusieurs tirs de nuit dans ces communes.

Une population de gros gibier en augmentation exponentielle

S’il est impossible, car sauvage, de compter exactement la population de gros gibier, on se réfère au nombre de prélèvements pour l’estimer. En 1975, 36 429 sangliers avaient été abattus en France, contre 842 802 en 2022, selon l’Office Français de la Biodiversité. Le CNRS estime leur population à largement plus d’un million.

En Limousin, en 2023-2024, 6 700 sangliers ont été abattus en Haute-Vienne, 6 500 en Corrèze, et 5 600 en Creuse. Sur la seule Haute-Vienne, 1 500 bêtes ont été tuées depuis le 1er juin dernier, soit presque 500 de plus que l’an dernier à la même période. Les autres espèces de gros gibiers, également nuisibles pour l’agriculture, connaissent aussi des prélèvements : près de 900 cerfs en Haute-Vienne, 2 215 en Corrèze, et 1 100 en Creuse. Concernant les chevreuils, les prélèvements étaient de 6 600 en Haute-Vienne, 8 300 en Corrèze, et 9 000 en Creuse.

Pourquoi une telle augmentation ? Les facteurs multiples

Les facteurs sont multiples. Pour les sangliers, la disparition presque totale de leurs prédateurs naturels (comme les loups et les lynx), l’augmentation de la surface forestière (30% de l’Hexagone aujourd’hui, contre 19% il y a un siècle) qui accroît leurs refuges et leurs ressources nourricières, et les effets du réchauffement climatique, qui diminue leur mortalité. En termes humains, la modernisation de l’agriculture, avec l’arrachage des haies, l’utilisation d’insecticides et la mécanisation, a entraîné la quasi-disparition du petit gibier, poussant les chasseurs vers les gros gibiers. Durant près de vingt ans, de 1960 à 1980, des sangliers hybrides ont été élevés pour augmenter leur reproduction avant d’être relâchés dans la nature. La pratique est interdite désormais, mais le mal était fait.

Enfin, le nombre de chasseurs diminue, passant de 2 220 000 en 1976 à environ 990 000 en 2022, rendant les prélèvements moins importants mécaniquement.

La demande de modification du schéma cynégétique

La chasse est réglementée dans le cadre d’un plan de chasse départemental relevant de la compétence du préfet, puis fixée au niveau des ACCA, sociétés ou particuliers par le président de la fédération départementale des chasseurs. À ces actions de chasseurs, il faut rajouter les battues administratives effectuées par les lieutenants de louveterie, les seuls habilités à chasser de nuit, ou par des chasseurs eux-mêmes, dûment mandatés.

Mais les 6 700 sangliers prélevés l’an dernier en Haute-Vienne sont largement insuffisants, selon les opinions, dont celle de la préfecture. Les chasseurs estiment le seuil minimal à 10 000, le préfet parlant d’un potentiel de 14 000.

Les agriculteurs souhaitent voir certaines règles modifiées. D’une part, être autorisés à tirer à l’affût, de jour comme de nuit, sur leurs parcelles, ce qui est interdit depuis 1969. D’autre part, ils souhaitent une extension de ces tirs de nuit aux chasseurs.

La préfecture envisage des modifications du schéma cynégétique, mais dans le cadre de la loi et avec le souci de la sécurité. Il faudra sans doute des mesures nationales, plutôt que locales. Mais il faut agir vite. En Limousin, comme dans beaucoup d’autres régions françaises, on parle de trois ans maximum. C’est-à-dire demain.

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Les chasseurs du Morbihan investissent dans un sanglier courant pour la sécurité

Les chasseurs du Morbihan investissent dans un sanglier courant pour la sécurité

Les chasseurs du Morbihan ont investi dans un sanglier courant

Un sanglier courant pour renforcer la sécurité des chasseurs du Morbihan

La Fédération Départementale des Chasseurs du Morbihan met la sécurité au premier plan en investissant 34 000 € dans un « sanglier courant », désormais installé à Saint-Jean-Brévelay (Morbihan).

La sécurité, deux fois plutôt qu’une ! L’augmentation des accidents et des décès en ce début de saison est un rappel brutal que la vigilance n’est jamais superflue. Pour répondre à cette urgence, la fédération des chasseurs du Morbihan a inauguré, en cette rentrée 2024, un nouvel outil d’entraînement. Ce « sanglier courant » est situé à proximité de leur centre de formation à Saint-Jean Brévelay.

Ce dispositif impose des normes de sécurité strictes, avec une butte de sécurité impressionnante de six mètres de haut, construite à partir de 1 600 tonnes de terre. Cette mesure permet de sécuriser la zone de tir et d’offrir un environnement d’entraînement hautement contrôlé.

En résumé, la Fédération du Morbihan ne ménage aucun effort pour garantir que les chasseurs soient non seulement bien formés, mais aussi en sécurité lors de leurs sorties. Leur nouveau « sanglier courant » est un outil précieux dans cette démarche de prévention et de formation.

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Invasion de sangliers à Vaux-sur-Seine : panique chez les habitants et mobilisation de la mairie

Invasion de sangliers à Vaux-sur-Seine : panique chez les habitants et mobilisation de la mairie

Invasion de sangliers dans les Yvelines : peur et désarroi à Vaux-sur-Seine

Les Sangliers S’invitent à Vaux-sur-Seine : La Réaction de la Municipalité

Les rhinocéros locaux ont peut-être de la compétition : le sanglier est de retour en force dans les Yvelines, et Vaux-sur-Seine est en première ligne. Depuis plusieurs semaines, ces imposants quadrupèdes se plaisent à hanter les rues, les parcs et les jardins de la commune, provoquant une véritable psychose parmi les habitants. Effrayés à l’idée de tomber nez à nez avec un sanglier, certains résidents sortent de chez eux avec la peur au ventre.

La Mairie Prend le Problème à Bras-le-Corps

La situation est prise très au sérieux par la mairie de Vaux-sur-Seine. Jean-Claude Bréard, le maire, insiste sur la nécessité d’agir rapidement : « Un accident est vite arrivé. Si une laie avec ses petits croisait une famille, cela pourrait mal tourner. Il y a encore quelques années, nous n’avions pas ce genre de souci. »

Face aux nombreux appels des riverains inquiets, la municipalité a réagi. « Nous venons de signer un arrêté permanent avec l’association de chasse locale pour organiser des battues. Nous ne pouvons pas prendre de risque avec la population. Il faut trouver une solution », affirme le maire.

Histoires Effrayantes des Habitants

Les témoignages des habitants ne manquent pas d’illustrer l’urgence de la situation. Tatiana raconte sa rencontre terrifiante avec une laie et ses dix petits : « Elle a poursuivi ma chienne sur près de 100 mètres et l’a même blessée à la patte d’un coup de corne. » Elle milite désormais pour une intensification de l’éclairage public et la pose de barrières pour sécuriser les lieux. Une autre riveraine se rappelle des sangliers dévastant les jardins nuit après nuit, ajoutant à la panique ambiante.

La Présence des Sangliers Divise les Habitants

Si certains tremblent à l’idée d’une rencontre impromptue, d’autres relativisent. Pour Daniel Rousseau, président de l’association de chasse Saint-Hubert de Vaux-sur-Seine, les craintes sont exagérées : « Personnellement, je préfère avoir affaire à un sanglier plutôt qu’à un cerf. Une quinzaine de sangliers de temps en temps, ce n’est pas excessif. »

Action Prévue de la Municipalité et des Chasseurs

Néanmoins, la mairie est déterminée à contrôler la prolifération des sangliers. Bien que Daniel Rousseau qualifie les battues administratives de cruelles, un plan d’action est en préparation. Des battues classiques devraient débuter incessamment, avec des options administratives envisagées si la situation perdure.

Les Dégâts Agricoles : Une Source de Préoccupation Supplémentaire

Les sangliers ne se contentent pas des zones résidentielles; ils causent également des ravages dans les exploitations agricoles des Yvelines. Le nombre de sangliers abattus en Île-de-France est en forte hausse, avec plus de 10 000 individus abattus. Philippe Waguet, président de la Fédération des chasseurs d’Île-de-France, confirme ces chiffres alarmants : « La saison dernière, 11 400 sangliers ont été abattus, dont 4 900 dans les Yvelines. »

Pour lutter contre cette prolifération, des mesures telles que la réduction du coût des bracelets de prélèvement de 35 € à 20 € et l’extension de la période de chasse au-delà du 1er mars ont été adoptées.

Quelle Solution Adopter pour Ramener la Tranquilité ?

Entre l’inquiétude des habitants et le débat sur la gestion de la prolifération, la municipalité et les chasseurs tentent de trouver des solutions pour rétablir la tranquillité. Cependant, face aux dégâts et aux risques potentiels, la question demeure : comment gérer efficacement ces populations de sangliers tout en préservant l’équilibre entre sécurité publique et respect de la nature ?

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Des chasseurs abattent un sanglier de 147 kg dans le Tarn-et-Garonne

Des chasseurs abattent un sanglier de 147 kg dans le Tarn-et-Garonne

Des chasseurs de Tarn-et-Garonne prélèvent un sanglier de 147 kg

Un Colosse au cœur du Pays Caussadais

Le samedi 5 octobre 2024 restera sûrement gravé dans les mémoires des chasseurs de Septfonds, Saint-Cirq et Saint-Antonin. Lors d’une battue organisée à proximité du lieu-dit La Vierge polonaise, les chasseurs ont abattu un sanglier de 147 kg, seulement à 3 kg du record départemental de Tarn-et-Garonne.

La chasse au sanglier, qui peut se pratiquer en approche, à l’affût ou en battue, a débuté avec attention cette saison, en raison de l’explosion démographique des sangliers dans la région. Considérés comme un fléau par nombre d’agriculteurs locaux, ces animaux causent des ravages considérables dans les champs, notamment de maïs.

Une Battue Mémorable

Pour contrer ce phénomène destructeur, les chasseurs de l’association intercommunale de chasse agréée (Aica) de Septfonds et Saint-Cirq, sous la présidence de Jean Arsival et Paul Cabanes, mènent régulièrement des battues. Ce samedi-là, ils avaient invité leurs confrères de Saint-Antonin-Noble-Val, accompagnés de Marc Combettes, piqueur et lieutenant de louveterie.

À 9 heures, après un rappel des mesures de sécurité pour les 37 participants orchestré par les directeurs de battue, Jérôme et Aurélien Blagny, la chasse commença. Les rabatteurs se mirent en ligne pour pousser les sangliers vers les tireurs en position fixe.

Confrontation avec le Colosse

Vers 10 h 15, Marc Combettes se retrouva soudain face à un énorme sanglier surgissant d’un roncier. L’animal, particulièrement déterminé, chargea. D’un tir précis à seulement 2 mètres, Combettes parvint à abattre le colosse. Dans cette lutte, deux courageux chiens courants de race Rouge du Comminges furent blessés.

Une Pesée Impressionnante

De retour à la Maison de la chasse de Saint-Cirq, la pesée révéla un poids impressionnant de 147 kg pour le sanglier, tout près du record tarn-et-garonnais de 150 kg. « Je chasse depuis l’âge de 16 ans, c’est le plus gros sanglier que j’ai jamais prélevé ! », a confié avec fierté Marc Combettes.

La journée se termina sur une note de convivialité, les chasseurs partageant un moment ensemble après cette aventure hors du commun.

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Battue aux sangliers dans le domaine des Vaseix près de Limoges en réponse à leur surnombre

Battue aux sangliers dans le domaine des Vaseix près de Limoges en réponse à leur surnombre

Haute-Vienne : face aux sangliers « en surnombre », une battue organisée au domaine des Vaseix, près de Limoges

Des mesures exceptionnelles pour une situation inhabituelle

Ce lundi, une battue aux sangliers est organisée au domaine des Vaseix, en Haute-Vienne, près de Limoges. Afin de permettre cette chasse significative et de minimiser les dégâts causés par les sangliers sur les cultures agricoles, le domaine est fermé à la circulation et aux piétons. Bien que des battues similaires aient eu lieu ces dernières années, la situation est particulièrement marquée cette année par une population de sangliers plus importante.

Des sangliers « en surnombre », pas une surpopulation

Thierry Michaud, président de l’ACCA (Association de Chasse Communale Agréée) de Razès, préfère parler de sangliers « en surnombre » plutôt que de « surpopulation ». Selon lui, la cause réside dans « des conditions climatiques propices », notamment un hiver prolongé favorisant la reproduction, et un biotope particulièrement adapté à leur présence. Il souligne également que les zones de refuge le long de l’autoroute facilitent cette reproduction. Pour assurer la sécurité des automobilistes et des chasseurs, Thierry Michaud appelle à un nettoyage complet et à une « réfection totale du grillage » le long de l’autoroute.

Les chasseurs en renfort pour les agriculteurs

Les chasseurs jouent un rôle crucial dans la gestion du problème des sangliers. Ils se consacrent régulièrement à la « surveillance », à la « protection des clôtures », aux « tirs à l’affût » et aux « battues ». Thierry Michaud rappelle que ces chasseurs, des bénévoles dévoués, sont toujours là pour aider les agriculteurs en priorisant la protection des cultures agricoles.

Des battues régulières prévues dans les mois à venir

Outre cette battue actuelle, d’autres chasses de gros gibiers, incluant sangliers et chevreuils, sont programmées dans le domaine des Vaseix et dans la forêt de Ligoure, située dans la commune du Vigen, au cours des prochains mois.

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