Sanglier affronté par un troupeau de vaches


Un sanglier face à la défense d’un troupeau de bovins
La nature n’est pas un long fleuve tranquille, surtout quand il s’agit de défendre son territoire. Dans un contexte que beaucoup de citadins pourraient considérer comme idyllique, un sanglier s’est retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment, se faisant charger par un groupe de bovins. Ce moment de bravoure animale est à la fois captivant et révélateur des dynamiques souvent brutales qui règnent dans le monde rural.
Quand le sanglier entre dans le champ
Imaginez un plan de campagne idyllique, avec des champs verdoyants et des animaux en pâture. Cependant, la réalité est bien différente : un intrus dans le territoire d’autres animaux est souvent perçu comme une menace. Le sanglier, attiré par quelque raison mystérieuse, a décidé de s’aventurer dans un champ de vaches. Ce qu’il ne savait pas, c’est que ces dernières ne comptaient pas le laisser faire sans riposte.
La vidéo de cette rencontre est implacable. Les bovins, en véritables défenseurs de leur domaine, chargent l’intrus avec une détermination impressionnante. Si certains pourraient trouver cela comique – une scène dignes d’un cartoon malheureux – la réalité est que le sanglier a dû faire preuve d’instinct et de rapidité pour quitter les lieux.
Un rappel de la vraie nature
Ce genre de confrontation illustre à quel point la vie sauvage peut être inattendue. Les vaches, souvent perçues comme des animaux paisibles, peuvent montrer un comportement territorial féroce. Cela remet donc en question la vision trop simpliste que beaucoup de gens ont de la nature et des interactions entre espèces.
Alors, que devons-nous retenir de cette aventure ? Que les apparences peuvent être trompeuses, et que dans le monde animal, les règles de la nature sont souvent intransigeantes. Pour les amateurs de faune, cet incident souligne l’importance de comprendre et de respecter les comportements des animaux dans leur habitat naturel.
Pour en savoir plus sur ces fascinantes dynamiques de la vie sauvage et d’autres sujets liés à la chasse, restez connecté sur notre site !
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Révision du statut du loup dans les Alpes du Sud


Alpes du Sud : Révision du statut du loup et ses implications
Le statut du loup dans les Alpes du Sud a récemment subi un changement significatif. Classé auparavant comme une espèce « strictement protégée », il a désormais été rétrogradé à une classification « protégée ». Cette nouvelle étape législative ouvre la porte à un abattage facilité du loup, suscitant ainsi des réactions diversifiées parmi les écologistes, les agriculteurs et les chasseurs.
Une décision qui fait polémique
Ce déclassement, validé au sein de la Convention de Berne, a pour objectif de mieux gérer la population de loups dans la région. Alors que certains y voient une avancée nécessaire pour protéger les troupeaux des attaques potentielles des prédateurs, d’autres s’inquiètent de l’impact que cela pourrait avoir sur la biodiversité locale. Quel équilibre peut-on trouver entre la protection des espèces et la sécurité des élevages ? Une question qui divise les acteurs concernés.
Réactions des parties prenantes
Les éleveurs, en particulier, accueillent cette décision avec une certaine satisfaction, la considérant comme une réponse aux défis posés par les attaques sur leurs animaux. Cependant, les défenseurs de l’environnement craignent que cette mesure ne marque le début d’une gestion plus agressive des populations de loups, synonyme de pertes pour la faune sauvage. Il est essentiel de noter que le loup joue un rôle clé dans l’écosystème, régulant notamment les populations de cerfs et d’autres herbivores.
Vers une gestion équilibrée ?
Un dialogue ouvert entre toutes les parties semble nécessaire. La mise en place de programmes de compensation pour les éleveurs, conjuguée à des initiatives de sensibilisation sur la cohabitation avec le loup, pourrait être une solution. La question de la coexistence entre l’homme et les grandes espèces sauvages reste un défi majeur en milieu rural et mérite une attention particulière.
En définitive, cette évolution du statut du loup dans les Alpes du Sud constitue un tournant dans la gestion de la faune. Reste à voir comment les différentes parties vont travailler ensemble pour trouver des solutions durables qui répondent aux préoccupations de chacun.
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Piégeage des sangliers autorisé en Dordogne


Le piégeage des sangliers désormais autorisé dans toute la Dordogne
La prolifération des sangliers en Dordogne est un sujet sérieux qui nécessite une action rapide. Après plusieurs mois d’expérimentation réussie, le piégeage des sangliers vient d’être officiellement adopté sur l’ensemble du territoire départemental, une initiative saluée par les syndicats agricoles.
Un consensus pour contrer l’invasion
Le 29 novembre, lors d’une réunion cruciale réunissant les syndicats agricoles de la FDSEA, les Jeunes Agriculteurs, la Fédération des chasseurs de Dordogne, et la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM), une décision forte a été prise. Ce projet, qui a déjà montré son efficacité dans une centaine de communes pilotes, permet aux agriculteurs d’installer des dispositifs de capture, formant ainsi une véritable alliance dans la lutte contre cette espèce qui perturbe l’écosystème local.
Formation et autorisations : des prérequis indispensables
Toute personne souhaitant s’engager dans le piégeage doit suivre une formation adéquate et obtenir une autorisation de la DDTM. Ce processus garantit que les techniques utilisées respectent les règles de sécurité et de régulation des populations animales. Oui, faire du piégeage ce n’est pas juste une affaire de mettre un piege et puis voilà, il faut un minimum de préparation!
Une chasse qui doit se renforcer
Malgré une chasse intensive, seulement 20 000 sangliers ont été prélevés l’an dernier, alors que les agriculteurs en réclament 30 000! Cette situation fait pression sur les agriculteurs, qui sont prêts à s’investir davantage en mettant en place des pièges sur les zones les plus touchées par les dégâts causés par les sangliers.
Des mesures complètes et des perspectives d’avenir
Des tirs de destruction seront également prévus en période de semi et durant les travaux agricoles. De plus, des discussions sont en cours concernant des régulations sur d’autres espèces comme la palombe, qui, elle aussi, affecte les cultures.
Avec ces nouvelles mesures, la Dordogne espère enfin obtenir un équilibre dans la cohabitation entre les hommes et le grand gibier, tout en conservant une approche responsable vis-à-vis de la chasse.
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Les gardiens de la biodiversité à Étueffont


Étueffont : Les anges gardiens de la biodiversité
Une mission essentielle pour la préservation de l’environnement
Depuis quatre ans, six agents de l’Office français de la biodiversité (OFB) se consacrent à la protection de la nature dans le département. Leur rôle s’étend des contrôles sur le terrain aux conseils sur la réglementation en passant par le suivi des populations d’animaux protégés. L’OFB a vu le jour le 1er janvier 2020, fruit de la fusion de l’Office de la chasse et de la faune sauvage avec l’Agence française de la biodiversité. Cette union vise à assurer une gestion globale des actes affectant notre environnement naturel, regroupant ainsi les enjeux liés à la terre et à l’eau.
Un engagement solide au service de la nature
Basés à Étueffont, ces agents sont véritablement les gardiens de notre biodiversité. Armés de leur expertise, ils ont le pouvoir de dresser des procès-verbaux en cas de non-respect de la réglementation. Leur travail ne se limite pas aux contrôles ; ils offrent également des conseils avisés aux citoyens et aux acteurs du territoire, favorisant une sensibilisation accrue aux enjeux environnementaux. Ce rôle est d’une importance capitale, surtout dans un contexte où la biodiversité est menacée.
La prévention au cœur de leur action
Prendre soin de la nature, c’est aussi anticiper les problèmes avant qu’ils ne surviennent. Ces agents s’engagent activement dans la mise en œuvre de politiques de préservation, travaillant main dans la main avec les acteurs locaux. Par ces efforts conjoints, ils visent à sensibiliser la population aux bienfaits d’une cohabitation harmonieuse avec la faune sauvage.
Pour aller plus loin
Si vous souhaitez en savoir davantage sur les actions menées par l’OFB ou comment vous pouvez contribuer à la préservation de notre environnement, n’hésitez pas à explorer davantage le sujet. Chaque geste compte, qu’il s’agisse de signaler un comportement nuisible ou d’adopter des pratiques plus durables dans votre quotidien.
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Chasse à courre en forêt d’Orléans un voyage au cœur de la tradition


En direct de la chasse à courre en forêt d’Orléans : un rendez-vous au cœur de la tradition
Une journée de chasse au Rallye Vouzeron
Le 27 novembre, la forêt d’Orléans a vibré au rythme de la chasse à courre organisée par le Rallye Vouzeron. Malgré des tensions récentes entre militants anti-chasse et veneurs, cette journée a attiré passionnés et curieux au carrefour de Châtenoy, dans une ambiance digne des plus belles traditions cynégétiques.
Un équipage bien rodé
Dès 10 h 45, le maître d’équipage, Adrien Béjot, fait face à une meute de 46 chiens impatients d’entrer en action. À la cime des arbres, l’excitation est palpable ; les chasseurs à cheval se préparent, tandis que d’autres suiveurs, en voiture ou à vélo, se positionnent pour profiter du spectacle. La scène est presque cinématographique.
Les préparatifs de la traque
Avant de donner le signal du départ, Adrien écoute les rapports des valets de limier qui ont exploré les lieux à l’aube. Ces précieux renseignements lui permettent de choisir la meilleure direction pour débusquer un cerf, le roi de cette journée. La stratégie et l’adoration de la nature se mêlent pour offrir une expérience palpable de ce patrimoine vivant qu’est la chasse à courre.
En conclusion
Cette chasse à courre soulève des débats, mais elle demeure un pilier de la culture locale, un rappel des traditions ancestrales. Un moment partagé entre passion, respect de la nature et camaraderie, loin des controverses habituelles. Alors, prêts à suivre les traces de cette meute dans les sous-bois ?
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Controle des pratiques de chasse à Lachapelle sous Chaux


Contrôle des règles de chasse à Lachapelle-sous-Chaux
Ce week-end, la sécurité des chasseurs était à l’ordre du jour à Lachapelle-sous-Chaux, où une opération conjointe a été menée pour s’assurer que les règles de chasse étaient respectées. Le dimanche matin, l’OFB (Office français de la biodiversité), la DDT (Direction départementale des territoires), l’ONF (Office national des forêts) et la gendarmerie se sont unis pour contrôler les pratiques de chasse dans la région.
Malgré des gelées matinales et un froid hivernal, rien n’a arrêté les agents de la police de l’environnement. Après un briefing, les onze agents ont formé deux équipes avec une mission claire : veiller à la sécurité des opérations de chasse. Celles-ci se poursuivront jusqu’à la fin de février, période où la chasse au gros gibier est particulièrement en vogue.
Les contrôles ont un double objectif : non seulement assurer le respect des règles, mais également rappeler aux chasseurs les bonnes pratiques à adopter pour une chasse en toute sécurité. Les autorités font ainsi preuve de vigilance pour prévenir les accidents et garantir que cette activité se déroule dans les meilleures conditions possibles.
Cette initiative s’inscrit dans une volonté plus large de sensibilisation à la protection de la biodiversité et à la sécurité sur le terrain. En effet, la chasse ne doit pas être synonyme de danger—pour les chasseurs comme pour la faune. La collaboration entre les organismes est essentielle pour offrir un cadre sécurisé à tous les acteurs impliqués.
Ainsi, le week-end dernier, Lachapelle-sous-Chaux n’était pas seulement le théâtre de la chasse, mais aussi d’un engagement fort en faveur de la sécurité environnementale, sans oublier une pincée de bonne humeur face aux rigueurs de l’hiver.
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Le rôle clé des chasseurs bretons dans la gestion du sanglier


Le rôle indispensable des chasseurs bretons dans la régulation du sanglier
La gestion des populations de sangliers est un sujet qui suscite souvent des débats enflammés, tant chez les associations animalistes que chez les agriculteurs, souvent victimes des dégâts causés par ces animaux. Pourtant, derrière cette controverse, se cache une réalité moins connue : les chasseurs bretons jouent un rôle essentiel dans la régulation de cette espèce invasive.
Des défis à relever pour une chasse responsable
Pour les chasseurs, la tâche n’est pas de tout repos. Ils doivent composer avec un certain nombre de facteurs qui compliquent la gestion du sanglier. Parmi ces éléments, citons le coût des bracelets, nécessaires pour encadrer la chasse, et le financement des opérations cynégétiques. De plus, la réglementation en vigueur impose parfois des contraintes supplémentaires qui peuvent freiner les prélèvements.
Et n’oublions pas l’accessibilité aux territoires de chasse. Avec un gibier capable de parcourir des kilomètres en une seule journée, la tâche de régulation nécessite une coordination minutieuse et des efforts collectifs. C’est un peu comme essayer de garder un chat dans une pièce, une vraie gymnastique !
Un œil sur le terrain
Les caméras de France 3 Bretagne ont récemment suivi les chasseurs au cours d’une battue, mettant en lumière leur engagement sur le terrain. Cette immersion permet de voir de près les enjeux auxquels ils font face et de comprendre les diverses techniques employées pour réguler cette espèce prolifique.
Les chasseurs ne se contentent pas simplement de tirer sur le gibier ; ils doivent aussi alerter sur les comportements néfastes des sangliers, qui peuvent causer des destructions massives sur les cultures, menaçant ainsi la sécurité alimentaire à une échelle plus large. C’est un peu comme si ces animaux se prenaient pour des experts en jardinage, mais avec des résultats dévastateurs.
Vers une gestion équilibrée
La régulation du sanglier est donc un enjeu crucial. Les efforts des chasseurs bretons montrent qu’avec une approche structurée, il est possible de trouver un équilibre entre la protection de la faune, la préservation des cultures et la sécurité des populations locales. Mais cela nécessite une compréhension et un soutien mutuels entre tous les acteurs impliqués.
Il est clair que la chasse, lorsqu’elle est pratiquée de manière responsable et en concert avec les réglementations, peut contribuer à la préservation des écosystèmes locaux tout en tenant compte des besoins des agriculteurs et des communautés.
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Homme mordu en nourrissant marcassin


Un homme se fait mordre la main en voulant nourrir un marcassin
Il arrive parfois que les passionnés de faune sauvage oublient que certains animaux, même étant jeunes, ne doivent pas être sous-estimés. C’est exactement ce qui s’est passé lorsqu’un homme a voulu tendre la main à de petits marcassins le long d’un chemin. Si l’intention était bonne, la réalisation ne l’était pas tout à fait.
Alors qu’il tentait de nourrir ces adorables petites créatures, un des marcassins, probablement plus affamé qu’affectueux, a décidé d’approcher. Et qui aurait pu deviner que les petites dents tranchantes de ce suidé allaient s’en prendre à sa main ? En un clin d’œil, l’homme s’est retrouvé avec une douleur inattendue, allant d’un simple désespoir à une visite d’urgence.
Cet incident met en lumière l’importance de respecter les distances avec la faune sauvage, même lorsqu’elle paraît inoffensive. Car au fond, qui ne s’est jamais demandé ce qu’il fallait faire si un cochon sauvage décidait de goûter à son doigt ? Cela nous rappelle de garder à l’esprit que ces animaux, bien qu’attachants, peuvent être imprévisibles.
Avec ce genre d’expérience, il est clair qu’une rencontre avec un marcassin n’est pas une occasion de prendre des selfies ou de nourrir des animaux sauvages ! Mieux vaut garder sa distance et laisser ces petites créatures profiter de la nature, sans intervenir dans leur alimentation.
Alors, la prochaine fois que vous croiserez un sanglier — qu’il soit adulte ou baby-sanglier — pensez à garder vos doigts pour vous. Si vous souhaitez en savoir plus sur la faune ou la chasse, n’oubliez pas de visiter notre site !
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Tirs de louvetiers pour réguler les sangliers dans les Pyrénées-Orientales


Pyrénées-Orientales : Tirs de louvetiers autorisés pour contrôler les sangliers
Une réponse à la prolifération des sangliers
Dans les Pyrénées-Orientales, la coexistence avec les sangliers devient de plus en plus acrobatique. Comme de nombreux départements français, cette région doit faire face à une explosion de la population de suidés, souvent source de frustration pour les agriculteurs. Les sangliers, qui semblent avoir reçu une invitation permanente à festoyer dans les champs, causent des dégâts considérables, mettant en péril les récoltes agricoles. Pour aggraver les choses, ces intrus n’hésitent pas à traverser les frontières urbaines, augmentant le risque d’accidents pour les citadins.
Des mesures en réponse à la crise
Pour remédier à cette situation délicate, le préfet Thierry Bonnier a requis l’intervention de louvetiers, en s’appuyant sur des chasseurs locaux, pour procéder à des tirs dans près de 17 communes, dont la dynamique Perpignan. Ce n’est pas un coup de feu tiré au hasard : ces mesures visent également d’autres espèces nuisibles telles que les ragondins, dans le but de protéger les terres agricoles.
Les communes concernées incluent, entre autres, Bompas, Claira, Pia et Canet-en-Roussillon. Notamment, ces divers opérations de tir se dérouleront dans des zones péri-urbaines, et ce, à moins de 150 mètres des habitations ! Il faut dire qu’en matière de gestion de la faune, la proximité peut être relative.
Quand se déroulent ces opérations de régulation ?
Ces sessions de tir, destinées à maîtriser la population de sangliers, seront en cours jusqu’au 15 décembre, voire jusqu’au 23 pour certaines municipalités, en fonction des particularités locales. Un laps de temps où agriculteurs et riverains espèrent que la situation se stabilisera et que les sangliers apprendront peut-être que « rester sur le territoire est plus prudent ».
Agissez avec soin!
Pour les chasseurs engagés dans cette action, il est crucial de respecter les normes et les limites de sécurité, notamment en matière de distance avec les habitations. Ces opérations montrent que la régulation de la faune sauvage est un enjeu important, non seulement pour la sécurité publique, mais aussi pour la préservation des activités agricoles.
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Venaison dans les cantines pour gérer la prolifération des sangliers


Que faire des sangliers ? Mettre la venaison au menu des cantines !
Dans le canton du Tessin en Suisse, une initiative astucieuse voit le jour pour contrer la prolifération des sangliers et la menace de la peste porcine africaine. Plutôt que de laisser ces animaux vagabonder librement, les autorités locales encouragent les chasseurs à augmenter leurs prises. Mais que faire de cette viande sauvage ? La réponse est étonnante : l’intégrer dans les menus des cantines scolaires.
Une réponse proactive face à la peste porcine africaine
Situé à proximité de l’Italie, le canton du Tessin reste pour l’instant épargné par la peste porcine africaine, une maladie qui décime les populations de sangliers en Lombardie. Pour prévenir son apparition sur le sol suisse, les responsables ont donc décidé d’agir en amont, incitant les chasseurs à éliminer les sangliers. Avec une compensation de plus de 4 euros le kilo, cette démarche vise aussi à stimuler l’activité de chasse.
La venaison : un délice local directement dans les cantines
Une fois récoltée, la venaison ne doit pas rester sur le carreau ! Elle sera préparée et servie dans plusieurs cantines scolaires et administratives du canton. Ce choix est d’autant plus pertinent que la viande d’un sanglier contaminé par la peste peut tout de même être consommée sans risque pour la santé humaine.
Un modèle inspiré de Rome : la filière venaison
Cette initiative fait écho à ce qui est pratiqué à Rome. Là-bas également, une filière venaison a été mise en place pour contrôler la population de sangliers tout en soulignant l’importance de consommer des produits locaux. Une telle démarche pourrait-elle trouver sa place en France ? C’est une question à se poser.
Les défis du modèle français
En France, des obstacles demeurent pour l’instauration de similaires menus à base de venaison dans les cantines. La pénurie d’acceptation politique et les choix de menus souvent influencés par une sensibilité écologique renforcent une certaine réticence. Pourtant, la loi EGalim prône une alimentation saine, sûre et durable pour tous, ce qui pourrait justifier une place pour la venaison dans les menus scolaires.
À quand un menu venaison chaque semaine ?
Afin de permettre aux enfants de découvrir les saveurs authentiques du gibier local, la question se pose : pourquoi pas un menu venaison obligatoire dans toutes les cantines une fois par semaine ? Cela pourrait d’ailleurs se révéler une belle occasion d’éveiller les papilles des jeunes convives.
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