Chasse à La Vôge-les-Bains ouverture de la saison

Chasse à La Vôge-les-Bains ouverture de la saison

Chasse à La Vôge-les-Bains : Les chasseurs reprennent du service pour une nouvelle saison

Ce dimanche, c’était officiellement l’ouverture de la saison de chasse à La Vôge-les-Bains. Avec près de 6 000 chasseurs dans le département, l’engouement était palpable alors que les passionnés reprenaient le chemin des forêts, prêts à traquer sangliers, brocards, chevrillards et renards.

Une mise en jambes conviviale

Avant de se lancer dans l’action, les chasseurs se sont réunis pour un briefing de sécurité. Romain Nappé, président de la société de chasse locale, a rappelé l’importance de porter un gilet fluorescent et de suivre les consignes de sécurité. Après toutes ces recommandations, les participants sont partis vers la zone de chasse, où des panneaux « chasse en cours » ont été soigneusement disposés pour alerter les passants.

Chiens et tradition à l’honneur

Á la recherche des proies, les chiens de chasse, équipés de colliers GPS, ont pris la tête. Ces compagnons à quatre pattes, motivés et agiles, se sont élancés dans les sous-bois, rappelés au besoin par le cor lorsque leur enthousiasme les entraînait trop loin du groupe. L’ambiance automnale ajoutait une touche de magie à cette première sortie, marquée par la camaraderie et l’échange entre les équiper.

Pause café bien méritée

Après une matinée bien remplie, la tradition se poursuit avec un moment convivial autour d’un bon café. La table est déjà mise pour un repas commun, où chasseurs et chiens peuvent refaire le plein d’énergie après une intense journée. Une belle façon de clore cette journée d’ouverture dans une atmosphère chaleureuse et amicale.

La saison de chasse à La Vôge-les-Bains s’annonce prometteuse, alliant respect des plaisirs en pleine nature et nécessité de prudence quant à la sécurité. À vos gilets et à vos calices, l’aventure ne fait que commencer!

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Chasséurs Vosgiens en ouverture de saison

Chasséurs Vosgiens en ouverture de saison

Les chasseurs des Vosges reprennent du service avec ferveur

Ce dimanche marquait le coup d’envoi de la saison de chasse dans les Vosges, où près de 6 000 chasseurs ont joyeusement repris le chemin des forêts. À La Vôge-les-Bains, l’ambiance était à la fois festive et sérieuse, rassemblant la société de chasse locale et ses nombreux partisans.

« Aujourd’hui, c’est presque une remise en jambes. Une marche d’automne ! Pas question de s’attaquer aux grosses proies dès le premier jour », déclare Romain Nappé, président de la société de chasse locale et également secrétaire de la fédération départementale de chasse. Les chasseurs se sont réunis pour cette journée marquée par la convivialité, mais aussi par le sérieux des préparatifs.

Avec 18 partenaires présents, la société locale a bien mobilisé ses troupes pour s’assurer que tout soit en ordre. « On prend le temps de vérifier les permis de chasse et de faire l’émargement. Cela prend un peu plus de temps, mais chaque détail compte », explique Romain, tout en distribuant les bagues colorées aux participants : vert pour les cervidés et orange pour les sangliers. Une touche de couleur qui ne peut qu’ajouter à l’excitation du jour !

Et, comme pour mettre un peu de légèreté dans l’air, le président n’hésite pas à plaisanter avec les chasseurs des Hautes-Saônes : « L’année prochaine, pensez à faire valider votre permis dans le département des Vosges, cela fera rentrer quelques sous pour notre chasse ! »

Cette ouverture de saison, bien que simple dans son approche, symbolise l’importance de la chasse non seulement comme pratique récréative, mais aussi comme un maillon essentiel de la gestion de la faune et des habitats en milieu rural. Les activités de chasse permettent de réguler les populations animales et de préserver l’équilibre écologique des forêts vosgiennes.

Pour tous ceux qui souhaitent se joindre à l’aventure ou en savoir plus sur la chasse, n’oubliez pas de vous préparer adéquatement et de respecter les règlements en vigueur. Les balles et les fusils sont de sortie, mais la sécurité reste primordiale !

Soyez prêts, la saison commence et il y a toute une forêt qui vous attend.

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Chasse au sanglier entre tradition et enjeux de valorisation

Chasse au sanglier entre tradition et enjeux de valorisation

Ouverture de la chasse : entre troc, pâté officiel et clandestin, les chasseurs et le sanglier

Le sanglier est devenu le sujet de conversation de prédilection, notamment en raison de sa prolifération inquiétante. En Occitanie, plus de 160 000 de ces animaux sont abattus chaque année, mais la question qui se pose est : comment tirer parti de cette viande à fort potentiel, alors que les chaînes d’approvisionnement officielles peinent à se structurer face aux réseaux clandestins ?

Un surplus de sangliers et un intérêt croissant

Les sangliers, en raison de la déprise viticole et du recul des terres agricoles, s’installent de plus en plus près des habitations, causant de nombreux dommages. Louis, un chasseur héraultais de 46 ans, explique qu’ils partent chasser trois fois par semaine, se rendant dans la région de Gignac, tout en constatant une diminution du nombre de chasseurs, malgré la présence abondante de gibier.

Le partage, une tradition bien ancrée

Lors des battues, les chasseurs ont l’habitude de se partager les morceaux de sanglier, générant ainsi un système informel de partage en fonction des besoins. Après la chasse, un tirage au sort détermine qui reçoit quelles parties de l’animal : épaules, gigots ou côtelettes. Cependant, pour beaucoup, la viande s’accumule rapidement dans le congélateur, entraînant parfois des dilemmes sur la manière de l’écouler. Entre cadeaux à la famille et au voisinage, parfois il faut faire preuve de créativité pour éviter le gaspillage.

De la viande à la cuisine : créativité et économies

Pour éviter de voir leur congélateur déborder, certains chasseurs se lancent dans des préparations variées comme des daubes ou des hamburgers maison. Mathieu, 38 ans, a même trouvé un créneau en créant des steaks hachés assaisonnés avec divers ingrédients, ce qui lui permet d’économiser tout en soutenant la durabilité alimentaire.

Un marché à la frontière de la légalité

Mais la gestion de la viande de sanglier ne s’arrête pas là. Alors que d’autres optent pour des voies légales, certains encouragent le troc, échangeant la viande contre d’autres services, comme la réparation de voitures. Jacky, un jeune retraité, avoue se lancer dans la production de pâté de sanglier, bien qu’il le fasse sans passer par le circuit officiel. Avec ses amis, ils créent et vendent jusqu’à 2000 boîtes de pâté par an, justifiant cette démarche par les frais importants liés à la vétérinaire pour leurs animaux de compagnie blessés durant les chasses.

Les limites du circuit officiel

La réalité est que moins de 1 % des sangliers en Occitanie transite par un circuit officiel. La plupart des chasseurs trouvent le coût des analyses vétérinaires trop élevé et se concentrent plutôt sur des méthodes informelles. Les produits finis, tels que les plats cuisinés promenés sur le marché, peinent à entrer en concurrence avec le gibier importé de l’Europe de l’Est.

En quête de solutions : dons et partenariats

Pour faire face à ces difficultés, les associations humanitaires voient un potentiel dans ce surplus de viande, et des initiatives voient le jour pour permettre des dons, bien que régulés par des normes strictes. Les fédérations locales cherchent des partenariats pour faciliter une distribution conforme, en transformant la viande en plats en conserve ou en civets qui pourraient servir des repas à ceux qui en ont besoin.

Le goût du sanglier reste à découvrir

À travers plusieurs initiatives, des efforts sont mis en place pour informer le grand public sur cette viande maigre, encore méconnue. Enlaidies par une image parfois peu engageante, les organisations promeuvent le sanglier en partenariat avec les lycées hôteliers, espérant ainsi voir des recettes intégrant ce gibier émerger dans les restaurants.

Il est indéniable que la filière sanglier soulève de nombreuses questions, tant sur le plan économique que légal. Alors, à quand une meilleure valorisation de ce gibier et une réflexion profonde sur les pratiques de chasse et de consommation ?

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Retour des faisans et lapins en Anjou

Retour des faisans et lapins en Anjou

Le retour des faisans et des lapins en Anjou : une renaissance inattendue

Dans le département de l’Anjou, le sanglier n’est pas le seul à faire parler de lui. Alors que la population de grand gibier explose, il semble que d’autres espèces, telles que le faisan et le lapin, tentent de redonner de la voix dans les sous-bois. Après avoir disparu, lentement mais sûrement, ces volatiles et ces rongeurs pourraient bien faire leur grand retour, porté par des initiatives de réintroduction.

Des initiatives qui portent leurs fruits

Dans les communes de Gesté, Le Fief-Sauvin, Le Puiset-Doré et La Chaussaire, le coq faisan a recommencé à chanter, un signe encourageant d’un retour à la normale pour cette espèce. Grâce aux efforts du groupement d’intérêt cynégétique « La Plume sauvage », qui œuvre depuis des années à la réintroduction de faisans issus de conservatoires de souches anciennes, le paysage anjovien redevient vivant.

Quant aux lapins, ils ne sont pas en reste. Originaires d’un élevage du Loiret, ces petits mammifères commencent également à faire leur apparition dans la région, comblant un vide laissé par l’augmentation de la population de sangliers et la diminution des habitats propices.

Une cohabitation à réfléchir

La réintroduction de ces espèces soulève des questions quant à leur cohabitation avec le sanglier. Mais, avouons-le, il y a de la place dans nos forêts pour un peu de diversité. Après tout, qui pourrait résister au charme d’un faisan élégant se pavanant parmi les sous-bois ? Ou à la vision d’un lapin gambadant joyeusement, filant à toute vitesse à travers les champs ?

Ces initiatives de réintroduction représentent non seulement un espoir pour la biodiversité locale, mais aussi une opportunité pour les passionnés de chasse de revivre des moments uniques. Gardons cependant à l’esprit que chaque espèce a son rôle à jouer dans l’équilibre de l’écosystème.

Il ne reste plus qu’à espérer que ces efforts continuent à porter leurs fruits et que nous puissions entendre encore plus souvent ces charmants chants du coq faisan et observer le lapin en toute liberté. Une belle promesse pour les amoureux de la nature et les chasseurs en quête d’une faune renouvelée.

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Chasse au petit gibier dans le Loiret et déclin des populations

Chasse au petit gibier dans le Loiret et déclin des populations

Ouverture de la chasse dans le Loiret : un petit gibier en voie de disparition

Ce dimanche, les 14.000 chasseurs du Loiret se préparent à reprendre du service pour l’ouverture de la saison de la chasse au petit gibier. Toutefois, la réjouissance pourrait bien être ternie par une réalité préoccupante : les populations de perdrix, faisans et lapins continuent de chuter. Face à ce constat alarmant, une nouvelle association de chasseurs s’est constituée pour revitaliser la présence de ces espèces sur notre territoire.

Comme dans de nombreuses autres régions françaises, le petit gibier se fait rare dans nos campagnes. Francis Perronet, président de cette nouvelle association, souligne : « Depuis deux ans, on a perdu pas mal d’effectifs. » Un phénomène qui ne passe pas inaperçu et qui interpelle.

Causes multiples à l’origine du déclin

Le réchauffement climatique est souvent mis en avant comme l’une des causes principales de cette diminution. Cependant, d’autres facteurs méritent également d’être pris en considération. « Il y a un déséquilibre entre le petit gibier et ses prédateurs, » explique Francis Perronet. L’habitat joue un rôle crucial ici : renforcer la présence des haies, des jachères et des intercultures pourrait permettre au petit gibier de mieux se nourrir.

L’association travaille en étroite collaboration avec la Fédération des Chasseurs pour réguler les populations de prédateurs comme le renard, afin de redonner une chance aux espèces menacées.

Un panorama de la chasse dans le Loiret

Il est intéressant de noter que, dans le Loiret, le nombre de chasseurs baisse d’environ 2% par an. Cela signifie qu’ils tournent autour de 14.000, avec un avenir qui pourrait susciter des inquiétudes. La chasse aux lièvres, quant à elle, n’ouvrira que le 5 octobre, tandis que les chasseurs ont pu commencer à traquer les sangliers dès le 1er juin pour prévenir les dégâts sur les cultures.

Face à cette situation délicate, quelle sera la prochaine étape pour les chasseurs du Loiret ? Seules des actions concrètes et une collaboration rapprochée avec les différentes parties prenantes permettront de redonner vie à nos campagnes et, pourquoi pas, d’accueillir à nouveau un petit gibier en meilleure forme à l’avenir.

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Saison de chasse à Sainte-Eulalie entre tradition et gestion de la faune

Saison de chasse à Sainte-Eulalie entre tradition et gestion de la faune

Saison de chasse lancée à Sainte-Eulalie : entre tradition et gestion de la faune

La phase de préparation vient de trouver son aboutissement à Sainte-Eulalie, où les chasseurs ont officiellement amorcé leur saison. Après des mois d’efforts, ils se sont mobilisés pour rappeler l’importance de leur rôle dans la gestion de la faune locale, face à des critiques parfois infondées.

Des débuts en toute responsabilité

Le 13 septembre a marqué un moment fort pour la communauté des chasseurs. Grâce à une préparation minutieuse, ils ont su efficacement organiser les postes et mener à bien la traque. La journée s’est soldée par la prise de quatre cervidés, une belle réussite qui témoigne de l’engagement des chasseurs pour pratiquer leur activité de manière responsable.

Une tradition intergénérationnelle

La chasse ne se résume pas seulement à une activité de loisir, elle incarne aussi une belle tradition familiale, souvent transmise de génération en génération. Ce lien fort avec le passé est ce qui motive de nombreux chasseurs à continuer cette pratique ancestrale, participant ainsi à l’équilibre écologique de leur environnement.

Alors, pour ceux d’entre vous qui se demandent si la chasse a encore sa place aujourd’hui, il est indéniable qu’elle est bien plus qu’une simple aventure en pleine nature. Les chasseurs jouent un rôle actif et responsable dans la préservation de notre faune, tout en profitant d’une activité qui nourrit des liens et des souvenirs.

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Ouverture de la chasse dans les Vosges avec focus sur sécurité et gestion des sangliers

Ouverture de la chasse dans les Vosges avec focus sur sécurité et gestion des sangliers

Ouverture de la chasse dans les Vosges : Sécurité renforcée et gestion des sangliers

Ce dimanche 21 septembre, marque l’ouverture officielle de la chasse dans les Vosges, et avec elle, la fédération départementale des chasseurs met en avant deux points cruciaux : la sécurité et l’augmentation des populations de sangliers. La saison s’étendra jusqu’au 28 février 2026, durant laquelle environ 1 250 sangliers seront prélevés, selon les prévisions.

Vincent Canivet, directeur de la fédération, admet que l’ouverture de cette saison n’a plus le même éclat qu’auparavant. Les changements récents dans les pratiques cynégétiques pèsent sur l’esprit festif habituellement associé à cet événement. Cependant, il reste confiant : « Les chasseurs vont pouvoir pratiquer leur loisir avec plaisir », déclare-t-il.

Le brame du cerf et le départ en vol des oiseaux migrateurs, symboles du début de la saison, seront cette année éclipsés par un enjeu majeur : la gestion des sangliers. Avec des hivers de plus en plus doux, la population de ces animaux n’a cessé de croître, entraînant une attention particulière sur leur gestion.

Le chiffre de 1 250 sangliers à prélever pourrait évoluer au fil de la saison, notamment après le prélèvement de 50 individus supplémentaires durant les tirs d’été. Les conséquences de cette surpopulation se font sentir, avec des dommages agricoles estimés à 1,5 million d’euros, un chiffre qui a doublé en un an !

D’autres gibiers sous surveillance

Dans le cadre du plan de chasse, d’autres espèces animales sont également ciblées. Les objectifs prévoient le prélèvement de 11 200 chevreuils, 3 000 cerfs et 53 chamois sur la saison.

Rappel des mesures de sécurité

À l’approche de cette nouvelle rentrée cynégétique, Vincent Canivet souligne l’importance des règles de sécurité. Plusieurs mesures ont été mises en place pour encadrer les battues et les chasses individuelles, notamment une remise à niveau sur la sécurité qui doit désormais être effectuée tous les dix ans, en vertu de la loi sur la chasse de 2019. Cette initiative vient en réponse à un nombre alarmant de six accidents mortels survenus l’année dernière. Actuellement, un tiers des chasseurs vosgiens a suivi cette formation.

Pour garantir le respect de ces consignes, des livrets de sécurité sont distribués aux présidents des territoires de chasse, qui sont chargés de les rappeler avant chaque sortie. De plus, la signalisation des zones de chasse est essentielle. Certaines communes communiquent les périodes de chasse aux riverains via différents canaux, et une application mobile, Melckone, aide à localiser les zones en activité en temps réel. Ces démarches visent à favoriser une meilleure cohabitation entre chasseurs, randonneurs et autres usagers de la nature.

Avec ces mesures, la saison de chasse dans les Vosges s’annonce pleine de défis et d’enjeux, mais également d’opportunités pour pratiquer cette passion dans un cadre sécurisé.

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L’art du travail d’équipe face à un sanglier

L'art du travail d'équipe face à un sanglier

Équilibre délicat : l’art du travail d’équipe face à un sanglier chargé

La chasse, c’est avant tout une aventure partagée avec nos fidèles compagnons à quatre pattes. Dans le cadre d’une chasse aux sangliers, cette complicité entre le chasseur et ses chiens peut faire toute la différence. Imaginez un sanglier, prêt à charger, pris dans un doute existentiel : doit-il foncer sur le chien agile qui l’entoure ou sur le chasseur, qui guette derrière ?

Dans une vidéo captivante, nous assistons à un affrontement palpitant. Le sanglier, hésitant, entame une charge destinée à nuire, mais grâce à une maniement vigilant de l’équipe, l’animal est abattu in extremis, évitant ainsi toute blessure pour les protagonistes impliqués. C’est là qu’intervient le véritable esprit de la chasse : un travail d’équipe minutieux, où chacun sait jouer son rôle pour assurer une prise sans danger.

Cette scène rappelle combien il est crucial de respecter les notables de la chasse. Pour maximiser la sécurité et le succès lors de tels moments intenses, une bonne préparation et une communication claire entre les membres de l’équipe sont essentielles.

En somme, la chasse n’est pas qu’une simple activité, mais une danse complexe entre nature, intuition et stratégie humaine. Et n’oublions pas : un bon chien vaut son pesant d’or lorsqu’il s’agit de gérer les imprévus sur le terrain.

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Frappes Nocturnes pour Réguler les Sangliers à Périgueux

Frappes Nocturnes pour Réguler les Sangliers à Périgueux

Des Frappes Nocturnes pour Contrôler la Cerealité des Sangliers à Périgueux

La régulation de la population de sangliers dans l’agglomération de Périgueux prend des tournures nocturnes. La Société communale de chasse de Chancelade a récemment lancé une série d’opérations de tir visant à minimiser les nuisances causées par ces intrépides animaux dans les zones périurbaines.

Début des Opérations

Les premiers tirs ont été effectués dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 septembre, avec une répétition prévue le vendredi 19 septembre, entre 21 heures et minuit. La zone d’action s’étend du rond-point de la route de Marival jusqu’aux ateliers SNCF, un secteur où les sangliers semblent avoir décidé de s’installer confortablement.

Pourquoi une Régulation ?

Les sangliers, ces « charmants » porcs sauvages, ont la fâcheuse tendance de causer divers dégâts, notamment dans les jardins et sur les routes. En milieu urbain, leurs incursions peuvent devenir nuisibles, et c’est là que ces actions de régulation entrent en jeu. Elles visent à restaurer l’harmonie entre la faune sauvage et la vie citadine.

Les Acteurs de la Nuit

Chapeautés par un lieutenant de louveterie, les chasseurs mobilisés pour ces opérations nocturnes ne laissent rien au hasard. Équipés pour la nuit, ils se préparent à faire face à cette faune parfois difficile à appréhender. La prudence et la précision sont primordiales, car la sécurité des citoyens et des chasseurs doit rester la priorité absolue.

Un Problème Grandissant

La population de sangliers, si elle n’est pas maîtrisée, pourrait rapidement devenir un réel problème. Ces animaux, en quête de nourriture, s’aventurent de plus en plus près des habitations, suscitant inévitablement l’inquiétude des riverains et des autorités locales.

Pour suivre l’évolution de cette situation et pour toute information concernant la chasse et sa réglementation, visitez notre site Caninstore.

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Sangliers et Responsabilité des Chasseurs

Sangliers et Responsabilité des Chasseurs

Sangliers : Le Fauteuil Éjectable des Chasseurs

Un nouveau reportage sur les sangliers de la métropole lyonnaise a ravivé le débat sur la responsabilité des chasseurs dans la prolifération de ces animaux. Encore une fois, la fameuse théorie selon laquelle les chasseurs seraient uniquement responsables des problèmes rencontrés avec les sangliers refait surface. Cette analyse biaisée nous amène à nous interroger : pourquoi ne parle-t-on que d’eux ?

Quand les Sangliers Décident de Fonder des Villages

En parcourant un article de Radio France, nous avons le sentiment d’une déjà-vu. Les sangliers envahissent les lotissements, les jardins sont retournés, et les maraîchers tirent la sonnette d’alarme. Dans ce contexte, un élu local décide de pointer du doigt les chasseurs, affirmant que l’agrainage est le principal coupable de cette prolifération. C’est un peu comme dire que les cantines scolaires sont responsables de la gourmandise des enfants, n’est-ce pas ?

Des Chiffres Contraignants Mais Éloquents

Évoquons d’abord les chiffres. On nous parle d’un million de sangliers en France, alors qu’en réalité, ce chiffre avoisine plutôt les deux millions. Chaque année, les chasseurs prélèvent près de 800 000 sangliers, ce qui est un effort considérable. Cependant, cette action ne semble pas contrecarrer leur visibilité accrue en périphérie des grandes villes. La raison ? C’est interdit de chasser dans ces zones !

L’Agrainage : Une Alimentation, Pas une Reproduction

Abordons maintenant la question de l’agrainage. Certes, il y a des abus — certains l’utilisent pour attirer les animaux — mais il est essentiel de savoir qu’aucune étude ne prouve que cela accroît la population de sangliers. Les champs agricoles regorgent déjà de denrées bien plus alléchantes que quelques seaux de maïs. L’agrainage, c’est un peu comme un buffet à volonté sans réelles conséquences sur le poids, ça attire, mais ça ne multiplie pas.

L’Étalement Urbain : Le Veritable Coupable

Ce que cet article omet de mentionner, c’est que l’étalement urbain génère un phénomène d’effet réserve. À mesure que les villes prennent le pas sur les terres agricoles, les sangliers trouvent refuge dans des zones où la chasse est prohibée. Ces « sanctuaires involontaires » expliquent pourquoi les sangliers se frottent à nos portes en quête de nourriture. Imaginez un centre commercial où la chasse serait interdite — c’est à peu près cela.

Une Solution à La Hauteur

Alors, quelle serait la solution ? Interdire la chasse ? Pire idée ! Au contraire, prédire une régulation adaptée, incluant même l’utilisation de chasseurs à l’arc, pourrait être un pas en avant. Avec leur approche silencieuse et précise, ils seraient parfaitement adaptés aux zones périurbaines où l’utilisation d’armes à feu est à proscrire.

Il est également crucial de rappeler que les chasseurs supportent seuls le fardeau économique de cette explosion démographique. Pendant ce temps, d’autres préfèrent pointer du doigt des coupables faciles plutôt que d’analyser les véritables causes telles que l’urbanisation ou les hivers plus doux. Un mensonge répété mille fois ne devient toujours pas vérité, mais cela semble être la stratégie employée.

En somme, la prochaine fois que vous entendrez quelqu’un affirmer que les chasseurs « fabriquent des sangliers », posez-vous une question : qui est vraiment responsable ?

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