L’abattage des cerfs à Genève comme solution de gestion

L'abattage des cerfs à Genève comme solution de gestion

L’abattage : Un recours extrême pour gérer les cerfs à Genève

Les cerfs, ces majestueux habitants de nos forêts, se retrouvent souvent au cœur d’un débat délicat concernant leur gestion. En effet, à Genève, avec l’absence de chasse, l’État, et plus précisément les gardes de l’environnement, sont chargés de réguler la population de cet animal emblématique. Les agriculteurs, bien que respectueux de la faune, observaient une surpopulation qui menaçait l’intégrité de leurs cultures.

Un déséquilibre à Versoix : Le cerf envahissant

En 2013, les cerfs ont fait une irruption remarquée dans les champs de Versoix, causant des dommages aux cultures de blé et de colza. Ce phénomène met en lumière la nécessité de maintenir un équilibre subtil entre la préservation des cultures, encadrées par des normes environnementales strictes, et la régulation des populations animales.

Un travail phare des gardes de l’environnement

Face à cette situation, le rôle des gardes de l’environnement devient crucial. Ils doivent naviguer dans une pression humaine croissante, tant en forêt qu’en milieu agricole. Leur travail de sensibilisation et d’éducation est essentiel, surtout dans un canton où la connaissance des réalités agricoles devient rare. Comment assurer une coexistence harmonieuse entre l’homme et la nature ?

Mesures préventives et dernières solutions

Les agriculteurs ne restent pas les bras croisés face à ce défi. Diverses actions préventives sont mises en œuvre, allant de l’installation de filets de protection à l’érection de barrières. Toutefois, lorsque ces mesures échouent, cela révèle un alarmant déséquilibre : la population de cerfs en forêt a atteint un seuil critique. Cela pose la question : à quel point devons-nous sacrifier nos récoltes pour préserver une faune sauvage en surcapacité ?

À la recherche d’un équilibre durable

En fin de compte, l’objectif des agriculteurs genevois demeure la production d’aliments locaux de qualité, tout en veillant à la pérennité de l’écosystème. La gestion des cerfs, bien que délicate, s’inscrit dans une démarche plus vaste de respect pour notre environnement. La chasse ne devrait être envisagée qu’en dernier recours, lorsque tout autre moyen pour maintenir cet équilibre a échoué.

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Corse-du-Sud Préparations pour la saison de chasse 2025

Corse-du-Sud Préparations pour la saison de chasse 2025

Corse-du-Sud : Préparations en vue de la saison de chasse 2025

La Fédération de chasse s’engage pour la sécurité et la protection de la faune

Du vendredi 28 février au dimanche 2 mars, l’associu Filiconu accueillera son quatrième brevet national de chasse aux chiens courants sur sanglier à Olmiccia, en Corse-du-Sud. Cet événement met en lumière l’engagement de la Fédération de chasse de Corse-du-Sud, qui s’efforce de promouvoir la diversité des pratiques de chasse tout en mettant en œuvre des actions pour préserver la faune locale.

Lors de la dernière assemblée générale de la fédération, tenue en avril à Ajaccio, les chasseurs ont débattu des dates d’ouverture et de fermeture des saisons de chasse pour chaque gibier. Parmi les sujets sensibles, la chasse au sanglier se distingue. Bien que la fédération plaide pour une clôture des activités de chasse au 31 janvier afin de protéger les laies gestantes, un précédent préfet avait prolongé cette période en raison de l’augmentation des sangliers en milieu urbain, notamment à Ajaccio. Avec l’arrivée d’un nouveau préfet, Jérôme Filippini, la fédération espère voir l’arrêté fixant la fermeture au 31 janvier signé prochainement.

Sécurité des chasseurs : Une priorité inébranlable

À partir du mois de mars, la fédération programmera des réunions locales pour faire le point sur la saison écoulée et préparer l’avenir. Ces rencontres seront accompagnées de formations sur la sécurité en chasse, rendues obligatoires par le décret du 5 octobre 2020. Chaque chasseur devra suivre cette remise à niveau tous les dix ans avant 2030. Actuellement, en Corse-du-Sud, plus de 6 000 chasseurs sont concernés, mais moins de 2 000 d’entre eux ont déjà complété la formation, qui est pourtant accessible en ligne. Cette initiative vise à continuer la baisse des accidents de chasse, ayant déjà vu les incidents mortels réduits de 80 % au cours des deux dernières décennies.

Dans cette microrégion, la chasse au sanglier est la plus prédominante, représentant environ 80 % des activités des chasseurs. La chasse à plume et quelques passionnés de chasse au lièvre complètent le tableau. L’accent est également mis sur la relance de la chasse au lièvre, un gibier qui valorise le travail des chiens. Ainsi, depuis six ans, la fédération a entrepris des lâchers de lièvres français, principalement en Alta Rocca, où plusieurs communes disposent de sociétés de chasse dédiées.

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Appel au dialogue pour apaiser les tensions avec l’OFB

Appel au dialogue pour apaiser les tensions avec l'OFB

Appel à l’apaisement : la ministre souligne l’importance du respect pour les agents de l’OFB

La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a récemment pris la parole pour appeler à « l’apaisement » suite aux tensions croissantes entre les syndicats agricoles et l’Office français de la biodiversité (OFB). Les dégradations visant les sièges de l’OFB ont suscité une vive réaction au sein du gouvernement, signalant un contexte préoccupant pour la protection de l’environnement en France.

Des dégradations inquiétantes envers l’OFB

Mercredi, l’OFB a de nouveau été attaqué. Son siège départemental à Trèbes, près de Carcassonne, a été dégradé pendant que son centre de formation dans le Loiret était bloqué. Ces actes de vandalisme sont le reflet d’une colère persistante des syndicats agricoles, qui se sentent souvent mal à l’aise face aux contrôles effectués par l’OFB, perçus comme intimidants.

Le rôle central de l’OFB

Les plus de 3.000 agents de l’OFB, dont environ 1.700 intervenants sur le terrain, ont la responsabilité de faire respecter des règlementations complexes. Cela couvre divers domaines, tel que l’application des règles sur les pesticides, l’arrachage de haies, ainsi que la surveillance des activités de chasse pour prévenir le braconnage et le trafic d’espèces protégées. La ministre a souligné l’importance de reconnaître la dignité de ces agents, qui effectuent un travail crucial pour la préservation de la biodiversité.

Un appel à l’apaisement

Pannier-Runacher a déclaré qu’il est « inacceptable » que ces agents soient menacés ou victimes de sabotages. Son appel à l’apaisement vise à établir un dialogue entre les syndicats et l’OFB, pour dissiper les malentendus qui alimentent la tension actuelle. Elle a également noté que la réglementation environnementale peut apparaître complexe et pourrait nécessiter des efforts de sensibilisation pour être mieux comprise par les acteurs concernés.

Les positions divergentes

Les syndicats de l’OFB, pour leur part, dénoncent des « attaques répétées », avançant que ces actes semblent être orchestrés par une majorité des syndicats agricoles, qui bénéficieraient d’une écoute gouvernementale jugée favorable. Ce climat de défiance met en lumière un besoin urgent de rétablir la communication entre les différentes parties prenantes afin de préserver à la fois l’agriculture et l’environnement.

Alors que les échanges se poursuivent, la question de savoir comment trouver un équilibre entre la protection de la biodiversité et les intérêts agricoles demeure au cœur des débats. L’avenir de cette coopération pourrait bien dépendre de la capacité de chacun à adopter un esprit constructif dans ce dialogue nécessaire.

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Battue administrative à Aix pour maîtriser la population de sangliers

Battue administrative à Aix pour maîtriser la population de sangliers

À Aix, une battue administrative pour lutter contre la prolifération des sangliers

La préfecture d’Aix-en-Provence ne ménage pas ses efforts face à la prolifération des sangliers dans la région. Pour contrer cette situation, une battue administrative est planifiée, avec la première session prévue le 22 janvier, suivie d’une seconde le 29 janvier. Les lieux de rendez-vous : les quartiers des chemins de Rapine, du Pont-Rout et Bouenhoure, tout près de Saint-Mitre.

Étonnamment, alors que l’on pourrait penser que ces initiatives se déroulent loin des cités, ces sangliers semblent s’aventurer à seulement trois kilomètres de la fontaine de la Rotonde. Cette intrusion dans un cadre urbain soulève des préoccupations : les dommages causés par ces animaux, la nécessité de contrôler leur population pour éviter les incidents avec les habitants et, bien sûr, les collisions sur les routes de la commune.

Les services de l’État justifient cette battue par les nombreux dégâts rapportés et l’impératif de protéger les biens et les personnes vivant à proximité de ces zones. Pour veiller à la bonne conduite de ces opérations, quatre lieutenants de louveterie et des chasseurs désignés par la préfecture encadreront les battues.

Dans un clin d’œil à la légèreté de la situation, on peut s’interroger sur le choix des dates de cette battue : pourquoi le jour des enfants ? Il semblerait que la nature ait ses propres calendriers, parfois farceurs !

Que vous soyez chasseur aguerri ou simple curieux de la faune urbaine, cette initiative de régulation est à suivre de près. Pour plus d’informations et des conseils pratiques sur l’organisation de chasse, consultez Caninstore.

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Secours de deux chiens de chasse à Lioux

Secours de deux chiens de chasse à Lioux

Deux courageux canidés secourus sur une paroi rocheuse à Lioux

À Lioux, deux chiens de chasse, perdus dans un coin escarpé, ont été secourus avec succès par les pompiers du SMPM (Secours en milieux périlleux et montagne) après une nuit de détresse. Coincés sur une paroi abrupte, ces canidés ont dû faire face à une intervention du secours qui s’est révélée délicate mais déterminante.

Des chiens en péril à Le Rocher-de-l’Aigle

Ce mercredi 22 janvier, vers 10 h, l’équipe de secours a été mobilisée pour venir en aide à ces deux animaux apeurés, incapables de redescendre. Le lieu-dit, qui pourrait bientôt être renommé Le Rocher-des-Chiens, est devenu le théâtre d’une bizarre session de chasse qui aurait pu tourner au drame pour nos amis à quatre pattes.

Une opération de secours pas si simple

Selon les déclarations de la gendarmerie, il n’est pas rare que les chasseurs mettent jusqu’à trois jours pour récupérer leurs animaux perdus. Heureusement, la plupart d’entre eux sont dotés de puces GPS, ce qui facilite leur localisation. Lors de l’intervention, un des chiens s’est montré particulièrement espiègle, sautant d’une position à l’autre et compliquant davantage les efforts des secouristes. Étonnamment, aucun des deux canidés n’a subi de blessures durant l’opération, ce qui a été une excellente nouvelle pour leurs propriétaires.

Un sauvetage qui rappelle l’importance de la sécurité

Cet incident met en lumière la nécessité d’une bonne préparation lors des sorties de chasse. Garder un œil sur ses compagnons à quatre pattes et s’assurer qu’ils sont équipés des technologies modernes comme les puces GPS pourrait éviter bien des tracas. Au final, même si le sauvetage a été compliqué, il a permis de rappeler aux chasseurs l’importance de la vigilance et de la planification.

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Régulation du castor en Suisse débat entre protection et nuisances

Régulation du castor en Suisse débat entre protection et nuisances

En Suisse, la régulation du castor : entre nécessité et controverse

Une législation adaptée aux problématiques causées par le castor

La Suisse a décidé d’anticiper les enjeux liés au castor, un rongeur dont le retour suscite à la fois intérêt et préoccupations. Alors que la France maintient ce charmant animal sur sa liste des espèces protégées, les autorités helvétiques ont récemment ouvert la porte à des régulations. Ce tournant législatif fait grincer des dents chez les défenseurs des animaux, inquiets des conséquences potentielles.

Le castor, autrefois chassé pour sa chair, sa fourrure et le fameux castoréum, est en train de revenir en force après une longue absence en Europe de l’Ouest. Toutefois, ses talents de constructeur, illustrés par ses barrages et ses huttes, ne sont pas sans poser des problèmes. En effet, ces structures peuvent provoquer des inondations, mettant en péril les populations et les cultures environnantes.

Des mesures de régulation dans les cantons suisses

Face à cette situation, les autorités suisses permettent désormais aux cantons d’agir lorsque la présence d’un castor devient problématique. Ainsi, si un castor s’établit dans une zone risquée et refuse de la quitter malgré les interventions des agents de la faune, des prélèvements peuvent être envisagés. C’est un pas qui vise à trouver un équilibre entre la protection de l’espèce et la sécurité des populations locales.

Réaction immédiate des associations animalistes

Ce choix législatif a rapidement déclenché une levée de boucliers chez les associations animalistes, qui craignent des abattages non justifiés. Jusque-là, la législation n’avait suscité qu’un faible écho, sans doute en raison de l’attention médiatique largement captée par les mesures de régulation du loup, une autre espèce sous tension.

La situation en France : un débat à venir ?

En France, le sujet du castor n’est pas encore à l’ordre du jour. Bien que plusieurs agriculteurs soient déjà touchés par les nuisances engendrées par les constructions de ces rongeurs, intervenir sur l’animal ou son habitat reste très risqué, tant les sanctions peuvent être lourdes. Cependant, avec le retour progressif du castor dans les pays voisins, il est fort probable que la question soit bientôt sur la table des discussions.

La régulation du castor en Suisse est un exemple de la manière dont les législations peuvent évoluer en réponse à des problématiques concrètes. Reste à voir si cette initiative pourra également inspirer d’autres pays confrontés aux mêmes défis.

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Politique et biodiversité en péril

Politique et biodiversité en péril

Quand la politique de l’autruche met la biodiversité en danger

Il semble que le bouc émissaire, bien qu’étranger au règne animal, soit en pleine croissance. Cela ne fait pas de doute pour l’Office français de la biodiversité (OFB), qui se retrouve aujourd’hui sous le feu des critiques.

Né de la fusion de l’Agence française pour la biodiversité et de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, l’OFB est la cible d’attaques virulentes de la part d’agriculteurs mécontents. Victimes d’intimidations musclées et mises en cause par le Premier ministre François Bayrou, les agents de l’OFB tentent pourtant de faire respecter les lois sur l’environnement, l’eau, la faune et la flore.

Un climat tendu pour les défenseurs de la biodiversité

Lors de sa déclaration de politique générale, François Bayrou a qualifié certaines inspections de l’OFB d’« humiliation » et de « faute ». Une déclaration qui n’a pas tardé à provoquer l’indignation, intensifiant les tensions entre les agriculteurs et les agents de l’environnement. Pour tenter de désamorcer la situation, le gouvernement a programmé une rencontre avec les syndicats de l’OFB, mais le mal semble fait. Ce dérapage illustre la fébrilité de l’exécutif face aux revendications agricoles et soulève des inquiétudes quant à l’avenir de la politique écologique du pays.

Un bras de fer pour la sauvegarde du bien commun

L’OFB est en première ligne d’une bataille qui dépasse largement le cadre de la biodiversité. Cette lutte est celle du bien commun contre des intérêts privés, du droit face à des libertés inconditionnelles, et du durable contre le court-termisme. La résistance actuelle contre l’OFB oralise une remise en question plus vaste de l’État lui-même, faisant écho aux frustrations grandissantes nées des promesses non tenues et des mesures sanitaires imposées durant la pandémie de Covid-19.

Un appel à la prise de conscience

La tendance qui relègue l’eau, l’air et les sols à des accessoires encombrants met en lumière l’urgence d’adopter une attitude responsable vis-à-vis de notre environnement. Ignorer ces problématiques, c’est véritablement adopter une politique de l’autruche. La sauvegarde de notre biodiversité est un enjeu crucial qui mérite davantage d’attention et d’engagement. Alors, que faire pour protecteur notre précieuse planète? C’est à chacun de nous de se poser cette question.

Rappelons-nous que la biodiversité est une richesse, pas une commodité. Pour en savoir davantage sur les enjeux liés à la faune et à la flore, visitez Caninstore.

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Chasse aux sangliers à la plage Suzette pour régulation de la population

Chasse aux sangliers à la plage Suzette pour régulation de la population

Chasse aux sangliers sur la plage Suzette : Une opération inattendue pour réguler la population

Le jeudi 16 janvier, la plage Suzette et le port de Cassy ont été le théâtre d’une battue aux sangliers, un événement surprenant dans cette zone généralement préservée. L’objectif de cette opération, comme l’a précisé Francis Pouey, président du Syndicat de Chasse de Lanton, est de « réguler la population de sangliers » qui s’est intensifiée dans le secteur.

Pas moins de quarante chasseurs, accompagnés d’une dizaine de chiens, ont participé à cette battue, encadrée par le lieutenant de louveterie. Les lieux, souvent fréquentés par les promeneurs et les photographes, ont instantanément été bouleversés par le bruit des tirs et des aboiements. Les habitants, habitués à l’accalmie des soirées tranquilles, ont dû faire face à une ambiance inhabituelle qui a éveillé quelques interrogations.

Peu de temps avant cette intervention, les terrains environnants, allant jusqu’aux abords des maisons et des routes, ont été laborieusement retournés, signe d’une présence animale de plus en plus problématique. « Les riverains qui sortent leur chien se plaignent régulièrement de ces dégâts », a déclaré Francis Pouey, soulignant que la situation était devenue critique avec une dizaine de sangliers répertoriés dans les parages.

Cette battue administrative, qui fait suite à une opération similaire à Audenge, où sept sangliers ont été abattus, a pour but de maintenir un équilibre entre la faune sauvage et la vie urbaine. Les autorités locales persistent à privilégier la sécurité des résidents tout en considérant le bien-être des animaux. Dans les mois à venir, de nouvelles battues pourraient être envisagées pour contrôler la population de sangliers dans cette région.

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Bécasses baguées dans le Var 2024 2025

Bécasses baguées dans le Var 2024 2025

Bécasses en vedette : plus de 100 baguées dans le Var !

Cette saison 2024/2025, la Fédération départementale des chasseurs du Var (FDC 83) a frappé un grand coup en réalisant plus de 100 captures de bécasses. De la beauté des prairies du Haut Var aux vignobles ensoleillés du littoral, les opérations de capture menées par le service technique se révèlent particulièrement fructueuses.

Des résultats impressionnants

À date du 15 janvier 2025, Jean-Sébastien Dorier, le technicien en charge de cette mission passionnante, a conduit 14 sorties sur le terrain. Les chiffres sont éloquents : 327 bécasses mordorées ont été « contactées », avec 104 d’entre elles capturées et baguées. On parle ici d’un taux de réussite dépassant les 30 % ! Les journées les plus prolifiques ont eu lieu le 19 décembre 2024 avec 17 captures, suivie du 22 décembre qui a vu 33 captures (!) et enfin le 2 janvier 2025, pour 18 captures.

Un enjeu scientifique précieux

Mais pourquoi baguées ? Cette pratique permet de collecter des informations vitales sur les populations de bécasses, contribuant aux connaissances scientifiques, notamment sur les axes de migration. Chaque oiseau capturé est équipé d’une bague métallique portant un code unique, permettant de retracer son parcours, sa longévité et la zone de prélèvement. Chaque bague est enregistrée dans une base de données tenue par l’Office français de la biodiversité (OFB).

Un hommage aux professionnels

Un grand bravo à Jean-Sébastien Dorier pour ces brillants résultats qui témoignent de son professionnalisme. Le travail de la FDC 83, loin d’être anodin, est essentiel pour l’étude et la préservation des espèces sauvages.

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Sangliers et solidarité dans l’Aude

Sangliers et solidarité dans l'Aude

Des sangliers pour nourrir les nécessiteux : une initiative des chasseurs de l’Aude

Dans l’Aude, les chasseurs se mobilisent chaque week-end pour prélever des sangliers au profit de la Banque Alimentaire. Ce partenariat, récent mais prometteur, a pour objectif de fournir de la venaison à ceux qui en ont le plus besoin. Grâce à la collaboration entre la Fédération Départementale des Chasseurs de l’Aude (FDC 11) et la Banque Alimentaire de l’Aude, un dispositif efficace a été mis en place pour permettre ce don alimentaire.

Une chambre froide, spécialement financée, sert désormais de point de collecte. À la fin de chaque week-end, jusqu’à 15 sangliers peuvent être remis à l’organisation caritative. Depuis le début de cette opération, en octobre 2024, plusieurs dizaines de ces gibiers ont été offerts, permettant à plus de 3000 personnes de bénéficier de ces chasses altruistes.

Les responsables de la Banque Alimentaire affirment que les bénéficiaires « en redemandent ! ». De plus, Yves Bastié, le président de la FDC 11, exprime son souhait que davantage de sangliers puissent être redistribués, regrettant que seule une petite fraction des 20 000 suidés prélevés chaque saison soit mise à disposition des plus nécessiteux, en raison de diverses contraintes sanitaires.

Cette initiative, qui unit chasse et solidarité, démontre les valeurs humanistes des chasseurs de l’Aude. Un bel exemple de l’engagement civique, où la passion pour la chasse se conjugue avec un geste désintéressé en faveur des plus démunis. Pour en savoir plus, découvrez les détails de cette collaboration enrichissante.

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