Six chasseurs arrêtés pour braconnage en Sologne

Six chasseurs arrêtés pour braconnage en Sologne

Six chasseurs interpellés pour braconnage en Sologne

Dans un tournant inattendu des événements, six chasseurs ont été arrêtés dans le Cher, accusés de braconnage d’une « particulière gravité ». L’Office français de la biodiversité (OFB) a annoncé cette opération qui fait suite à une enquête de plus de deux ans révélant des pratiques peu orthodoxes et dangereuses.

Les individus en question auraient mené des actions nocturnes dans la forêt de Sologne, utilisant non seulement des armes à feu pour abattre des animaux, mais allant jusqu’à les percuter avec leurs véhicules, le tout sous le prétexte de rechercher des « sensations fortes ». Il est particulièrement troublant de constater que cette recherche d’adrénaline se traduit par des actes aussi brutaux envers la faune.

Au cours de cette intervention, les gendarmes ont saisi des trophées de chasse ainsi qu’une trentaine d’armes, dont certaines étaient possédées illégalement. Ces saisies mettent en lumière les dangers du braconnage, non seulement pour les animaux, mais aussi pour la sécurité publique.

Les six prévenus pourraient faire face à une peine allant jusqu’à quatre ans de prison. Cette affaire soulève une fois de plus la question du respect de la réglementation sur la chasse et de la préservation de notre biodiversité.

Pour davantage d’informations sur les enjeux de la chasse et des actions légales à entreprendre, retrouvez-nous sur Caninstore.

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Concours de meutes à Gréalou

Concours de meutes à Gréalou

Gréalou : 21e concours de meutes sur la voie naturelle du sanglier

Le week-end du 1er et 2 mars, le charmant village de Gréalou se prépare à accueillir un événement exceptionnel : le 21e concours de meutes sur la voie naturelle du sanglier. Plus d’une centaine de bénévoles se mobilisent depuis plusieurs semaines pour garantir le bon déroulement de cette compétition qui attire des passionnés de toute la France.

Un rassemblement national

Pas moins de 24 meutes provenant des quatre coins de l’Hexagone, notamment du Cantal, du Puy de Dôme, des Hautes-Alpes, de l’Ariège et de la Haute-Vienne, participeront à cette célébration de la chasse. Parmi elles, sept meutes locales, prêtes à défendre les couleurs du Lot, s’efforceront de décrocher le titre tant convoité.

Un programme riche en émotions

La compétition se déroulera sur deux jours, avec quatorze meutes en lice le samedi (sept le matin et sept l’après-midi) et dix le dimanche. Les participants s’élanceront sur un parcours couvrant plus de 70 communes, offrant ainsi une véritable démonstration de leur savoir-faire et de l’harmonie entre chiens et maîtres.

Remerciements et convivialité

L’Association Développement et Chasse de Gréalou et du Lot (ADCGGL) tient à exprimer sa gratitude envers les communes et les responsables qui ont généreusement mis à disposition leurs territoires pour cette compétition. Les chasseurs locaux, pour leur part, suspendront temporairement leurs activités pour permettre à ces équipes de briller. Et, pour ceux qui souhaitent se restaurer, une ambiance conviviale sera assurée avec un service de restauration disponible du samedi matin jusqu’au dimanche midi.

Ce concours promet d’être un festival de passions et de traditions, un rendez-vous à ne pas manquer pour les amateurs de chasse et de nature.

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Sangliers à Rimiez les habitants face à une battue avortée

Sangliers à Rimiez les habitants face à une battue avortée

Les habitants de Rimiez à Nice face aux sangliers : une battue abandonnée

Dans le quartier urbain de Rimiez à Nice, la cohabitation avec les sangliers prend une tournure étonnante. Les habitants du Parc Saint-Maur, une vaste copropriété de 180 appartements entourée de parcs, sont confrontés à des sangliers de plus en plus audacieux, s’invitant même sur le terrain de pétanque à toute heure de la journée.

Un face-à-face inattendu

La situation est amusante, mais pas forcément rassurante. « Ils sont là, dans le parc, sur le terrain de pétanque et de plus en plus en journée », déclare Christian, un résident inquiet. Danielle, quant à elle, souligne le danger, rappelant un incident où un voisin s’est retrouvé nez à nez avec ces visiteurs peu ordinaires lors d’une promenade nocturne.

Une battue tardive et avortée

Face à cette intrusion, la préfecture a décidé d’ordonner une battue administrative. Les chasseurs se sont donc déplacés. Cependant, une partie des propriétaires du Parc Saint-Maur, hostile à cette méthode, a interrompu l’opération en faisant du bruit. Résultat : la battue n’a jamais eu lieu, et les sangliers continuent de vagabonder dans le vallon.

Vers une solution alternative

La situation demande une solution, et une nouvelle idée émerge : refaire les clôtures qui délimitent le Parc Saint-Maur et le rectorat. Mais là encore, la coopération sera essentielle. Une première réunion de concertation a eu lieu pour tenter de résoudre ce dilemme. Les sangliers, eux, profitent de cette trêve pour explorer à leur guise le voisinage.

Une cohabitation parfois burlesque

Pour certains habitants, cette cohabitation devient presque ordinaire. « Il y a désormais très souvent des sangliers à Rimiez et à Cimiez », constate une résidente. Pierre, un autre habitant, partage son amusement face à cette situation, bien qu’il admette ne pas vouloir rencontrer ces bêtes lors d’un éventuel tête-à-tête.

Comment gérer cette cohabitation de manière sécurisée ? La solution pourrait passer par le dialogue et des aménagements adaptés. En attendant, les sangliers semblent apprécier leur nouvelle résidence.

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Gouvernement mobilisé pour défendre la chasse traditionnelle dans le sud-ouest de la France

Gouvernement mobilisé pour défendre la chasse traditionnelle dans le sud-ouest de la France

Le gouvernement « pleinement mobilisé » pour préserver les chasses traditionnelles

Défense des pratiques de chasse dans le sud-ouest de la France

Le gouvernement français a exprimé sa ferme détermination à défendre l’utilisation des filets horizontaux et verticaux pour la chasse dans plusieurs départements du sud-ouest, notamment le Gers, le Lot-et-Garonne, la Gironde, les Pyrénées-Atlantiques et les Landes. Cette déclaration est intervenue le 26 février 2025, deux semaines après la décision de la Commission européenne de poursuivre la France devant la Cour de justice de l’UE. Cette poursuite est motivée par des préoccupations selon lesquelles cette méthode de chasse ne respecterait pas la célèbre directive oiseaux.

Les autorités françaises comptent sur des arguments robustes pour soutenir leur position en faveur de la chasse traditionnelle. Elles soulignent que les espèces visées, à savoir le pigeon ramier et la palombe, ne sont pas considérées comme menacées. En outre, elles avancent que la chasse aux filets présente des avantages environnementaux notables par rapport aux méthodes traditionnelles avec des fusils. Classée comme une technique « sélective » et « peu invasive », la capture par filet permet aussi de relâcher vivantes les éventuelles victimes accidentelles, ce qui plaide en faveur de sa durabilité et de son impact moindre sur les populations d’oiseaux.

En somme, ce débat met en lumière le défi constant de concilier traditions de chasse et législation environnementale, un sujet qui suscite des passions et des avis bien tranchés. Pour autant, la défense de ces pratiques traditionnelles semble tenir bon face aux réformes réglementaires européennes.

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Blaireau et chasseur une rencontre inattendue

Blaireau et chasseur une rencontre inattendue

Un blaireau paisible face à un chasseur : un moment insolite

Le blaireau, cet animal discret et nocturne, fait parler de lui lorsqu’il croise le chemin d’un chasseur installé le long d’une haie. Dans une scène aussi amusante qu’inattendue, un blaireau avance tranquillement vers le chasseur, n’affichant aucune crainte ni hésitation. Ce moment insolite témoigne non seulement de la résilience de cette espèce mais également de son retour en force dans plusieurs départements français.

Le blaireau, un animal en pleine forme

Habituellement, ces mustélidés préfèrent se déplacer à la tombée de la nuit, rendant leurs apparitions diurnes plutôt rares. Toutefois, le fait d’observer plus fréquemment des blaireaux en plein jour indique que l’espèce se porte bien. Si aucune mesure n’est prise, cette tendance pourrait continuer de croître, laissant place à davantage de rencontres surprenantes entre les chasseurs et ces petits animaux pleins de caractère.

Chasse et blaireaux : une réglementation stricte

Il est important de noter que, pour l’instant, la chasse au blaireau est régie par des règles strictes. En effet, ces animaux ne sont chassables ou piégeables que dans des cas très limités. Cette protection très encadrée permet à l’espèce de prospérer sans crainte, comme le prouve la vidéo où notre ami à quatre pattes se déplace librement près d’un chasseur immobile.

En résumé

Ce moment cocasse où un blaireau se pavane presque sous les pieds d’un chasseur illustre parfaitement la cohabitation parfois surprenante entre la faune et les passionnés de chasse. Un constat qui, au-delà de l’humour, rappelle l’importance de la préservation des espèces et du respect des réglementations en matière de chasse.

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Brevet de chasse à Eyraud-Crempse-Maurens

Brevet de chasse à Eyraud-Crempse-Maurens

Brevet de chasse sur sanglier et chevreuil à Eyraud-Crempse-Maurens

Trois jours d’épreuves avec 96 chiens au cœur de la nature

Du vendredi 28 février au dimanche 2 mars, la commune d’Eyraud-Crempse-Maurens sera le théâtre d’un événement attendu par les passionnés de chasse et de chiens courants. Organisé par l’association Chien, chasse, nature du massif de Lagudal et le Club du bleu de Gascogne, ce brevet de chasse sur sanglier et chevreuil rassemblera 96 chiens de différentes races, prêts à faire montrer leurs talents.

Le quartier général de cette manifestation sera établi à la salle des fêtes de Saint-Julien-de-Crempse. Les participants sont attendus dès 7 heures, avec des épreuves qui débuteront chaque jour à 8 heures précises. Une organisation minutieuse sera en place, avec quatre meutes engagées par jour, composées de chiens portant des colliers de couleur pour une identification facile lors des notations.

Des races variées pour des performances de haut niveau

Cette année, des races telles que les gascons saintongeois, porcelaines, griffons nivernais, bassets hounds, grands griffons vendéens, et bien d’autres, seront présentes. Au total, les chiens seront répartis en neuf meutes pour le sanglier et trois pour le chevreuil, permettant une compétition dynamique et enrichissante.

Évaluée par un jury de quatre juges officiels de la Société centrale canine, cette compétition ne vise pas à prélever du gibier, mais à tester les aptitudes des chiens courants dans un environnement naturel riche, attirant ainsi un public d’amateurs et de curieux.

Un week-end festif et convivial

Le brevet de chasse n’est pas seulement une épreuve de compétence canine, c’est aussi un moment convivial qui attire des spectateurs de plus de 15 communes environnantes. Les visiteurs pourront profiter d’un espace de restauration, d’une buvette et d’une exposition axée sur les meutes de chiens engagées.

Un moment clé de ce week-end se déroulera le samedi à 19 heures, avec la cérémonie de remise des récompenses pour les deux premiers jours, suivie d’un dîner de gala typiquement festif autour d’une paella, pour la modique somme de 18 euros, sur réservation.

Enfin, la tombola, qui clôturera l’événement, promet d’ajouter une touche supplémentaire d’excitation à cette rencontre riche en émotions.

Pour participer à cet événement unique et découvrir le travail exceptionnel des chiens courants, ne manquez pas de vous rendre à Eyraud-Crempse-Maurens cette fin de semaine !

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Chasse à la palombe menacée par la législation européenne

Chasse à la palombe menacée par la législation européenne

Un savoir-faire régional en crise : la chasse à la palombe en danger

En Gironde, la chasse à la palombe au filet, une tradition ancestrale, se heurte à des enjeux législatifs européens qui suscitent l’inquiétude des chasseurs. Un recours déposé par la Commission européenne met en péril cette pratique observée dans environ 1500 palombières au sein du département.

Une pratique ancestrale remise en question

Cette pratique, qui existe depuis des générations, est de nouveau sur la sellette après que la Commission européenne a annoncé, mi-février, son intention de poursuivre la France pour « non-respect des dispositions de la directive Oiseaux ». Le cœur du problème réside dans l’utilisation de pantes et de filets, jugés non sélectifs dans la capture des oiseaux. Rappelons que la chasse traditionnelle aux alouettes a déjà été interdite l’année dernière, et maintenant, tous se demandent si la palombe sera la prochaine à subir le même sort.

Une saison de chasse bien encadrée

Heureusement pour les paloumayres, la chasse à la palombe reste pour l’instant autorisée grâce à un régime dérogatoire dans cinq départements, dont la Gironde. Chaque année, pendant le mois d’automne, du 15 octobre au 20 novembre, environ 20 000 palombes sont capturées, représentant seulement 20 % des 100 000 oiseaux abattus dans le département. Les 80 % restants sont chassés au fusil.

Les chasseurs s’indignent

La réaction des passionnés de la chasse à la palombe ne s’est pas fait attendre. Henri Sabarot, président de la Fédération de chasse de la Gironde, exprime son mécontentement : « C’est incompréhensible, l’Union européenne a des priorités bien plus pressantes que cela, comme la guerre en Ukraine ! ». En effet, la chasse à la palombe, plus qu’un simple loisir, est un art de vivre pour ces amateurs qui y mettent une grande passion. Capturer une palombe nécessite patience, talent et un savoir-faire reconnu.

Des traditions locales sous pression

Jacques Gaye, grand maître de la confrérie des Paloumayres de l’Entre-deux-mers, souligne que « les filets ne sont pas un problème, nous ne prenons que des palombes, les petits oiseaux passent à travers ». Cette crainte ne touche pas que la chasse : elle s’étend à beaucoup de coutumes locales, comme le foie gras ou la corrida, toutes potentiellement sous la menace d’une réglementation européenne.

Soutien populaire en faveur des paloumayres

Face à cette menace, une pétition en défense de la chasse traditionnelle à la palombe a recueilli plus de 21 000 signatures, témoignant du soutien populaire en faveur de cette pratique emblématique de la région. Cela fait réfléchir sur la place accordée aux traditions dans le contexte législatif européen.

Des voix pour la défense

Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), reste sur une ligne plus prudente. Selon lui, « la chasse à la palombe n’est pas une priorité », même si la population de cette espèce ne semble pas menacée. En effet, ces oiseaux migrateurs se sont bien acclimatés et prospèrent, surtout dans la forêt des Landes. Ce constat incite même Alain Rousset, président de la Région Nouvelle Aquitaine, à prendre la parole lors de débats nationaux pour défendre ce savoir-faire face à l’Europe.

Un engagement politique fort

La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a quant à elle promis de défendre cette pratique en affirmant qu’elle a sa place en France et concerne même parfois des espèces jugées nuisibles. Elle souligne que les filets ne sont pas létaux et sélectifs, ajoutant une note de soutien aux traditions locales.

Face à cette tempête législative, les paloumayres et leurs soutiens continuent de lutter pour préserver un morceau distinct de leur culture régionale. Reste à voir si cette bataille s’étendra à d’autres pratiques dans les mois à venir.

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Bassin dArcachon La chasse après lincendie de la Forêt usagère

Bassin dArcachon La chasse après lincendie de la Forêt usagère

Bassin d’Arcachon : La chasse modifiée par l’incendie de la Forêt usagère

Un nouveau souffle pour la battue aux chevreuils

Dimanche 23 février, l’Association communale de chasse agréée (ACCA) de La Teste-de-Buch a organisé une battue aux chevreuils, un évènement particulier mettant en avant les jeunes permis et les femmes dans une forêt profondément transformée par un incendie de juillet 2022. La Forêt usagère, autrefois dense en arbres, ne ressemble plus à son ancienne splendeur.

Une matinée atypique sous le ciel bleu

Ce matin-là, la brume perdure dans les pins derrière l’hippodrome de La Teste-de-Buch, tandis que trône un ciel presque totalement dégagé. Une trentaine de passionnés portant des blousons orange s’éparpillent dans un carré de forêt, fusils à l’épaule, pour une battue qui promet d’être mémorable. À la tête de cette battue, Maëlle, 17 ans, une jeune chasseuse, donne le ton à une équipe où les femmes sont exceptionnellement mises à l’honneur. Bien que comptant seulement 25 membres sur 700, leur présence ce jour-là est remarquée.

Respect des consignes de sécurité

Maëlle, fière de son rôle, rappelle les consignes de sécurité aux participants : « On ne tire que sur les chevreuils et les renards. Ne courrez pas avec une arme chargée et soyez sûrs avant de tirer. » Fred Mora, président de l’ACCA, se tient à ses côtés, contribuant à instaurer une ambiance détendue, malgré la gravité que peut revêtir une battue.

Un lien fort avec les chiens de chasse

Au cœur des préparatifs, les chiens, impatients d’être lâchés dans la forêt, sont aussi l’objet de l’affection de Maëlle. « Pour moi, la chasse, c’est avant tout être avec mes chiens », confie-t-elle. La famille possède six chiens, dont Nala, une beagle qui l’accompagne partout.

Une réalité post-incendie

Les ravages de l’incendie de 2022 sont palpables. Jocelyne, l’une des participantes, souligne que « tous nos repères ont disparu. Les chevreuils sortent plus timidement, et même si la végétation repousse, sans arbres, nous sommes faciles à repérer. » Les changements sont frappants : là où se dressaient des pins majestueux, ne subsistent plus que quelques zones de lande, rendant la chasse plus complexe.

Un nouvel écosystème en mutation

Fred Mora explique que, depuis l’incendie, des zones humides ont vu le jour, attirant une faune diversifiée, notamment des canards et des martins-pêcheurs. « La végétation renaît, attirant une multitude d’animaux, dont une surpopulation de gibier tels que les sangliers et les chevreuils. »

Bilan mitigé pour la battue

Malgré cela, la récolte de ce dimanche semble en deçà des attentes : un chevreuil et un renard capturés. Le bilan est comparé à la stabilité politique de l’Assemblée nationale, pour le moins incertain. L’objectif de l’ACCA est de prélever 150 chevreuils durant la saison 2024-2025, mais dans cette forêt transformée, la tâche s’annonce ardue.

Dans un environnement en constante évolution, les chasseurs font face à des défis inattendus tout en continuant à perpétuer une tradition devenue sur fond de climat changeant.

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Découverte de restes de sanglier près de Saint-Lô

Découverte de restes de sanglier près de Saint-Lô

Découverte insolite de restes de sanglier sur le chemin de halage près de Saint-Lô

Le 18 février 2025, un groupe de promeneuses a été surpris de tomber sur des sacs remplis de restes de sanglier alors qu’elles se promenaient sur le chemin de halage, à proximité du pont de Candol près de Saint-Lô dans la Manche. Ce qui devrait être une promenade agréable a pris une tournure inattendue lorsque les chiens des promeneuses ont flairé quelque chose d’inhabituel.

Une découverte troublante dans un lieu accueillant

Clara Legrand, une habitante de Saint-Lô, fréquente ce chemin plusieurs fois par semaine. En compagnie de trois amies et de leurs cinq chiens, elle raconte l’incident : « Nos chiens nous ont alertées. Attirés par l’odeur, ils se sont jetés sur les sacs… ». Face à cette situation peu ragoûtante, le groupe a opté pour une réaction prudente en retirant les sacs hors de portée des animaux.

Cette mésaventure a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, suscitant de nombreuses réactions. « On tombe souvent sur des poubelles et des déchets en tout genre quand on marche, mais un cadavre d’animal, c’est la première fois ! » se plaint Clara, qui espérait sans doute ne pas avoir à faire à une scène de crime en pleine nature.

Intervention rapide des autorités

Le 20 février 2025, face à cette situation préoccupante, des agents du Conseil départemental se sont rendus sur les lieux pour retirer les sacs incriminés. Il est essentiel de rappeler que le Code rural interdit strictement de jeter des sous-produits animaux dans la nature, une infraction pouvant entraîner une amende de 3 750 euros. Espérons que cette découverte incite tout un chacun à respecter notre belle nature et à éviter les comportements irresponsables.

Une chose est sûre, même dans les endroits les plus accueillants, il convient de rester vigilant et de toujours garder un œil sur son environnement, surtout si l’on est accompagné de nos compagnons à quatre pattes. Qui aurait cru qu’une simple balade se transformerait en une telle surprise ?

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Sangliers en milieu urbain à Nice

Sangliers en milieu urbain à Nice

Quand les sangliers font escale à Nice

Des sangliers ont récemment eu la témérité de se frayer un chemin dans une résidence du quartier de Rimiez à Nice, faisant frémir les habitants de l’avenue Scudéri. L’incident a eu lieu le 18 février, et il s’avère que ces visiteurs inattendus ne sont pas tout à fait des invités de marque.

Une intrusion étonnante mais fréquente

Le parc arboré de deux hectares de cette copropriété semble attirer les sangliers, qui n’hésitent plus à s’approcher des habitations. Leur présence, bien que surprenante, a, dans ce secteur, atteint un niveau de normalité inquiétant. En effet, ces animaux, à la recherche de nourriture, n’hésitent pas à se rapprocher des zones urbaines. « Des sangliers viennent se restaurer », a affirmé un des riverains inquiet, qui a bien eu le temps de capturer ce moment avec des photos et des vidéos.

Des voisins indésirables

Ces visiteurs, que certains qualifient « d’indésirables et dangereux », soulèvent des préoccupations légitimes parmi les résidents, en particulier ceux qui vivent à proximité d’un terrain de jeux pour enfants. La cohabitation avec ces animaux sauvages n’est pas sans risques et pose la question de la sécurité des habitants.

Les sangliers, bien que souvent perçus comme adorables dans la nature, peuvent rapidement devenir inquiétants lorsqu’ils se retrouvent à proximité des habitations. Les riverains devront sans doute s’adapter à cette nouvelle réalité d’un Nice qui, à défaut d’accueillir des touristes en quête de soleil, doit maintenant composer avec des sangliers en quête de bistro.

Pour plus d’informations sur la sécurité en milieu urbain face à la faune sauvage, n’hésitez pas à consulter les ressources disponibles à cette adresse : Caninstore.

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