Piquets Rétroréfléchissants pour la Sécurité Routière dans le Puy-de-Dôme


Des Piquets Anti-Gibier pour Sauver des Vies dans le Puy-de-Dôme
Une révolution silencieuse de la sécurité routière
Les routes du Puy-de-Dôme accueillent de nouveaux sentinelles : des piquets rétroréfléchissants qui, bien que discrets, ont un impact évident sur la sécurité routière. En effet, ce dispositif astucieux a été mis en place pour éviter les accidents souvent tragiques entre véhicules et gros gibier tels que chevreuils, cerfs ou sangliers. En parallèle, le département, qui possède le troisième plus grand réseau routier de France, bénéficie d’une réduction significative des collisions.
Un dispositif simple mais efficace
Ces piquets, souvent appelés « yeux de chat », sont équipés d’un œil réfléchissant qui capte la lumière des phares des véhicules pour créer une illusion lumineuse perturbante pour les animaux. En les dissuadant de traverser au mauvais moment, ce système permet de réduire drastiquement le nombre d’accidents. Dominique Busson, président de la Fédération départementale des chasseurs, affirme que cette solution, mise en place il y a trois ans, a permis d’enregistrer une chute de 80 % des accidents dans certaines zones.
Des résultats impressionnants
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le nombre d’accidents corporels liés à la faune sauvage a chuté de plusieurs en 2022-2023 à… zéro en 2024. En tout, près de 7 000 piquets ont été installés sur environ 100 kilomètres de routes, avec un plan d’ajout de 1 000 nouveaux piquets dans les deux prochaines années. Cela montre l’ampleur de l’engagement envers la sécurité des automobilistes et la préservation de la faune.
Un effort collectif pour la sécurité
Cette initiative fait partie d’un partenariat entre le conseil départemental, la Fédération des chasseurs et la Région. Le financement de l’opération est partagé, avec 50 % couvert par le département, 30 % par la Région, et le reste pris en charge par la Fédération des chasseurs, qui s’occupe de l’achat, de la pose et de l’entretien des piquets.
Un impact sur la faune et la route
Au-delà de la sécurité routière, ces dispositifs jouent également un rôle dans la protection de la faune sauvage. En signalant les zones à risque, ils limitent la mortalité des animaux sur ces routes qui traversent leurs habitats naturels. Les élus locaux espèrent que cette expérience du Puy-de-Dôme incitera d’autres départements à emboîter le pas.
Pour sauver des vies — humaines comme animales — il suffira parfois d’un simple piquet.
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Vaches en danger face au retour du loup à Millevaches


Les vaches meuglent à la mort : Millevaches confronté à la résurgence du loup
Alors que les attaques se multiplient contre les brebis et même quelques bovins, une meute de loups fait son retour sur le haut plateau corrézien, marquant une première en Nouvelle-Aquitaine.
Perchés au milieu de forêts denses et de landes sauvages, les habitants de cette région se remémorent avec incertitude le temps où le loup n’était qu’un souvenir. Certaines voix parlent d’une disparition survenue dès 1927, d’autres évoquent plutôt la fin de la Seconde Guerre mondiale. Quoi qu’il en soit, cette disparition fût vécue comme une libération pour des générations d’éleveurs. Michelle Courteix, 85 ans, se souvient de l’exécution du dernier loup, une action qui avait apaisé des années d’angoisse au sein de sa famille. « Nos chiens portaient encore des colliers piquants long après », raconte-t-elle, illustrant la crainte persistante face à cette espèce jadis tant redoutée.
Le 12 avril dernier, après avoir décimé près de 200 brebis sur le plateau de Millevaches depuis l’été précédent, le loup a élargi ses cibles : un jeune veau est tombé sous ses crocs à proximité du hameau de Fournol. « Égoïstement, on pensait qu’il ne toucherait pas à nos bovins », confient son fils et sa petite-fille, Pascal et Clémence. Hélas, deux mois plus tard, la peur règne au sein de leur exploitation ; le sommeil se fait rarissime, perturbé par des visions inquiétantes d’images de vidéosurveillance. « On entend nos vaches meugler à la mort. Parfois, on dirait même qu’elles essaient de charger », s’inquiète Clémence.
Les attaques de bovins, bien que rares, viennent compliquer un tableau déjà sombre. Marjolaine Merens, éleveuse à Meymac, évoque ce printemps, censé être une saison de repos, devenu un véritable carnage. « Je pensais être en sécurité avec mon troupeau dans un enclos fermé, mais le loup a sauté par-dessus la clôture », se lamente-t-elle, évoquant la perte de plusieurs de ses bêtes.
Réactions locales et montée de la colère
La tension monte sur le plateau. « Le loup me rend malade. J’essaie de tout apprendre pour me protéger », confesse Marjolaine. La situation semble intenable pour des éleveurs dont les vaches, d’une race native de la région, sont exposées à un prédateur redoutable. Jean-Baptiste, un voisin, raconte avoir subi plusieurs attaques malgré la présence de chiens patous. « Six bêtes tuées, 29 autres euthanasiées », témoigne-t-il, résumant la désolation du moment.
Les récentes observations de l’Office français de la biodiversité et de l’association pro-loup Carduelis indiquent clairement qu’une meute s’est bien installée sur le plateau, unie par des lignées diverses : un mâle de souche germano-polonaise et une louve italo-alpine. Dans un pays où la majorité des loups se trouvent dans les Alpes et la Provence, cette union montre à Millevaches que l’animal s’adapte et prolifère.
« Ce plateau est un garde-manger extraordinaire, mais c’est surtout grâce au gibier sauvage », estime une naturaliste. Elle met en lumière le fait que les loups ne ciblent pas uniquement le bétail, mais qu’ils se nourrissent également de gibier, et ce, parfois à proximité des troupeaux, signalant une possible malprotection des animaux domestiques.
Légendes et rumeurs persistantes
En cette période troublée, des rumeurs circulent à propos de réintroductions intentionnelles de loups sur le plateau. Dans les années 1980, des théories similaires avaient vu le jour, comme l’idée de vipères lâchées par hélicoptère. Ces légendes renvoient à une méfiance durable envers la faune sauvage.
Marjolaine, bien qu’écologiste dans l’âme, ne se retrouve pas dans le discours qui idéalise le prédateur. « Éradiquer une espèce pour des raisons personnelles est absurde, mais il faut comprendre que ces ‘jolies peluches’ sont des superprédateurs », argue-t-elle. Des points de vue sont aussi évoqués par des historiens attestant que la culture populaire a largement humanisé l’image du loup, le transformant en créature a priori inoffensive.
À la fin du mois de juin, le préfet a annoncé que le plateau serait classé en « cercle 1 », ce qui devrait entraîner des aides pour la protection du bétail. En attendant, des éleveurs comme Marjolaine agissent déjà, ayant investi dans des chiens de protection, tout en intégrant des méthodes de défense. Les propriétaires de vaches pourraient prochainement avoir la possibilité d’utiliser le tir de défense, à condition de détenir un permis de chasse.
« Croyez-vous vraiment que j’aurai la force de veiller chaque nuit avec mon fusil après des journées harassantes ? », se questionne Pascal Courteix. Paradoxalement avide de rencontrer cette fameuse bête, il se déclare inquiet de son absence prolongée, ainsi que de la possibilité que la femelle ait récemment mis bas. « Mes vaches ont encore leurs cornes, et j’espère qu’elles sauront défendre nos terres », conclut-il, tout en scrutant les images des caméras de surveillance. « On devient fous. »
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Brigade Loup en Lozère au Secours des Éleveurs


Renforcement des Éleveurs : La Brigade Loup en Action en Lozère
Depuis le 2 juin, la brigade mobile d’intervention (BMI) grands prédateurs terrestres, surnommée « brigade loup », est déployée en Lozère pour une mission d’une semaine. Cette initiative vise à soutenir les éleveurs dans leur combat pour protéger leurs troupeaux des attaques de loups, un problème récurrent qui ne cesse d’inquiéter les agriculteurs de la région.
Une Mission Cruciale pour les Éleveurs
Avec la mission principale d’assister les éleveurs et les lieutenants de louveterie dans les tirs de défense, la brigade loup répond à une demande pressante. Malgré les mesures de protection mises en place, les attaques de prédateurs continuent de sévir, plongeant les agriculteurs dans l’incertitude quant à la sécurité de leurs animaux.
Organisation et Efficacité sur le Terrain
Sur le terrain, la brigade fonctionne par binômes, associant un observateur et un tireur, une méthode qui s’avère particulièrement efficace lors des interventions. En outre, les lieutenants de louveterie, véritables experts du milieu, renforcent régulièrement l’équipe. Leur connaissance approfondie de la région est inestimable dans la lutte contre les attaques de loups.
Ces efforts collectifs visent à atténuer les pertes économiques causées par les prédateurs et à assurer un avenir plus serein pour l’élevage en Lozère. L’engagement de la brigade loup est essentiel pour redonner confiance aux éleveurs face à cette menace historique.
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Alerte fièvre porcine africaine et explosion des populations de sangliers


Expansion des populations de sangliers : Alerte à la fièvre porcine africaine
Les effectifs de sangliers, potentiels porteurs de la fièvre porcine africaine, connaissent une croissance alarmante. En trois décennies, le nombre de sangliers abattus chaque année a été multiplié par huit, atteignant plus de 800 000 abattages annuels ces cinq dernières années.
Une augmentation exponentielle
Bien qu’il n’existe pas de comptage précis des sangliers vivants, les chasseurs se basent sur leurs résultats de chasse pour démontrer cette flambée de la population de ces suidés sauvages. Au cœur de cette dynamique, plusieurs facteurs semblent jouer un rôle : le changement climatique, une fructification forestière généreuse, l’essor de la culture de maïs, ainsi que la création de zones de refuge où la chasse est interdite.
Stratégies de gestion engagées
Pour tenter de contrer cette prolifération, un accord avec le secteur agricole a été mis en place en 2023, visant à diminuer de 20 % les dégâts causés aux cultures. Une trentaine de plans de gestion à l’échelle départementale sont également en cours pour intensifier les prélèvements. Les fédérations de chasseurs collaborent étroitement avec le réseau Sagir, dédié à la surveillance de la santé de la faune sauvage.
Riposte en cas d’alerte
En cas d’alerte à la fièvre porcine africaine, il est crucial d’identifier rapidement les premiers sangliers contaminés. L’analyse des carcasses retrouvées est le moyen le plus fiable pour confirmer la présence du virus. Si des individus porteurs du virus étaient découverts, des mesures urgentes seraient mises en place, notamment l’arrêt des activités de chasse pour prévenir la propagation.
Ensuite, le réseau de surveillance sera renforcé afin de collecter et d’analyser un maximum de sangliers morts, afin de mieux cerner la zone infectée.
Pour en savoir plus sur les enjeux de la chasse, n’hésitez pas à consulter notre site !
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Évitez les erreurs lors de vos sorties de chasse


Évitez les faux pas lors de vos prochaines sorties de chasse
Conseils pour des expéditions de chasse réussies
Partir à la chasse peut s’avérer exaltant, mais cela nécessite aussi une préparation minutieuse. Que vous soyez un novice ou un chasseur chevronné, il est essentiel de prendre certaines précautions pour éviter les erreurs qui pourraient transformer une journée prometteuse en un véritable fiasco.
Préparation : la clé du succès
Avant de mettre le camo et de sortir, assurez-vous d’avoir tout le matériel nécessaire. Cela inclut bien sûr votre équipement de chasse, mais aussi un bon stock d’eau et de snacks. Qui veut faire un malheur parce qu’il a oublié son sandwich au jambon, n’est-ce pas ? En outre, familiarisez-vous avec la réglementation locale sur la chasse et assurez-vous d’avoir vos permis en règle. Un petit coup d’œil à la carte de la zone de chasse peut également vous sauver la mise et vous éviter de vous retrouver du mauvais côté de la loi.
Sécurité avant tout
N’oubliez jamais que la sécurité est primordiale. Informez un ami ou un membre de votre famille de votre itinéraire et de l’heure à laquelle vous prévoyez de rentrer. En cas de pépin, cela pourrait s’avérer crucial. Et gardez à l’esprit ces trois simples règles : tendez votre arme vers le bas, soyez sûr de votre cible avant de tirer, et ne paniquez pas si un écureuil vous fait sursauter.
Observation de la faune : la patience est une vertu
Une fois sur le terrain, il est temps d’observer. Restez silencieux et immobile, les animaux, surtout les plus craintifs, vous accorderont tout autant d’attention qu’un enfant devant un stand de bonbons. La patience est indéniablement votre meilleur allié : attendez le bon moment pour agir. Si vous vous sentez comme un ninja dans les bois, vous êtes sur la bonne voie !
Respecter la nature et ceux qui la pratiquent
Enfin, rappelez-vous toujours de respecter l’environnement et les autres chasseurs. Ne laissez pas de déchets derrière vous et assurez-vous de bien suivre les règles de la chasse. Cela contribue à maintenir les habitats naturels pour les générations à venir et assure à tout le monde une expérience agréable lors de leurs sorties.
Pour des conseils supplémentaires ou des équipements de chasse adaptés, n’hésitez pas à consulter notre site !
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Clôture de jardin à Paimpol pour protéger contre les sangliers


Protection de jardin : le choix d’une clôture face aux sangliers à Paimpol
Une habitante de Paimpol, dans les Côtes-d’Armor, a vécu une expérience pour le moins surprenante lorsque son jardin a été envahi par une compagnie de sangliers. Suite à cet incident, Brigitte Cloarec a décidé de prendre les choses en main et de sécuriser son terrain en le clôturant entièrement.
Un retour inattendu à la normale
Huit mois après le désastre, les résultats sont au rendez-vous. Brigitte a fait poser plus de 130 mètres de clôtures pour protéger son jardin de ces visiteurs indésirables. Bien que les sangliers continuent à rôder dans le secteur, elle se réjouit de ne plus avoir à déplorer les dégâts qu’ils causent.
Un jardin « résilient » ?
Pour sa défense, Brigitte a plaisanté en disant qu’une amie lui avait fait remarquer que son jardin était désormais « vraiment résiliant ». Ce mois de mai 2025 est marqué par un regain de moral pour cette habitante du quartier de Sainte-Barbe, qui a su trouver une solution efficace à un problème qui lui causait tant de tracas.
En prenant les devants, Brigitte a non seulement sécurisé son jardin, mais elle a également prouvé qu’avec du bon sens et un peu d’humour, on peut faire face à des situations imprévues.
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Bacs à boue pour aider les hirondelles dans les Hauts de France


Des bacs à boue pour soutenir les hirondelles dans les Hauts-de-France
Depuis plusieurs décennies, les chasseurs se positionnent en fervents gardiens de la biodiversité, notamment en s’attaquant à la problématique de l’hirondelle, une espèce aviaire de plus en plus menacée sur notre territoire. Dans la région des Hauts-de-France, ces passionnés de la nature investissent du temps et des efforts pour garantir que ces oiseaux puissent continuer à nicher et s’épanouir.
Chaque année, les hirondelles sont symbole du retour des beaux jours. Toutefois, force est de constater qu’elles deviennent de plus en plus rares. Dans les milieux ruraux, certaines parviennent encore à établir leur nid dans les granges et autres bâtiments agricoles, mais ce n’est pas le cas partout. Dans les zones urbaines, la cohabitation avec les résidents s’avère parfois délicate, surtout lorsque l’on évoque les fientes laissées aux pieds des nids. Les efforts des habitants pour obstruer les accès à ces nids réduisent les chances de nidification pour ces oiseaux. De plus, la tendance néo-rurale entraîne une nouvelle forme de pression. Les citadins, attirés par le calme de la campagne, souhaitent souvent une tranquillité sans les désagréments des hirondelles.
Les hirondelles doivent également faire face à une diminution drastique de leur source de nourriture : les insectes. Ce manque de nourriture exacerbe encore plus leur vulnérabilité. Pour aider ces oiseaux, les Fédérations de chasseurs s’engagent activement en sensibilisant les jeunes générations à leur plight, notamment au travers de rencontres avec les écoliers. On pourrait se dire que ce n’est pas le rôle traditionnel d’un chasseur, mais il s’agit là d’une belle initiative pour la préservation de notre faune.
Mais ce n’est pas tout ! Les défis ne manquent pas, et le réchauffement climatique ainsi que la disparition des mares contribuent à l’angoisse des populations d’hirondelles. Même lorsqu’elles trouvent un lieu pour nicher, le manque d’eau, essentielle à la construction de leurs nids, constitue un obstacle majeur. Face à cette situation, les chasseurs des Hauts-de-France ont décidé de prendre le taureau par les cornes. Près de 500 bacs à boue ont été installés dans la région pour fournir aux hirondelles l’eau dont elles ont tant besoin. Bien que cette initiative ne soit pas entièrement nouvelle, il est crucial de rappeler l’importance d’une telle action et de montrer aux citoyens pourquoi il est vital d’agir pour permettre aux hirondelles de retrouvailles un environnement accueillant.
Afin de ne pas se retrouver un jour sans ces merveilleuses créatures, chaque petite action compte. Et après tout, qui ne souhaiterait pas voir des hirondelles virevolter joyeusement dans le ciel en été ?
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Empoisonnement et gestion des sangliers en France


Empoisonnement chez les sangliers : quelles solutions face à cette prolifération ?
La prolifération des sangliers suscite de nombreuses inquiétudes en raison des dégâts qu’ils causent dans les champs agricoles et les jardins, sans oublier les risques d’accidents de la route. Récemment, le maire de Vallabrègues a sonné l’alarme via un communiqué de presse, faisant état d’un empoisonnement chez ces animaux dans sa commune. Des graines suspectes ont été découvertes dans les territoires de Tarascon, Boulbon et Saint-Pierre-de-Mézoargues, mettant en danger non seulement les sangliers, mais aussi les consommateurs de leur viande. En conséquence, un arrêté interdisant la consommation de sangliers a été mis en place pour une durée d’un mois.
Ce cas de Vallabrègues n’est pas isolé ; de nombreuses autres municipalités en France ont été confrontées à des situations similaires. La facilité d’accès à des produits pour éradiquer ces animaux sur Internet jette une ombre sur la responsabilité de leurs diffuseurs. Une enquête est en cours pour identifier les auteurs de ces actes irresponsables, qui ignoraient probablement les graves implications pour la santé publique.
La multiplication des sangliers, observée ces dernières décennies, pose de véritables défis. Leurs incursions dans les zones urbaines sont de plus en plus fréquentes, exacerbant les conflits avec les habitants. Des mesures étatiques sont en cours, en collaboration avec les fédérations de chasseurs. Des battues sont organisées dans les zones où la population de sangliers pose problème. En parallèle, une « boîte à outils » a été mise à la disposition des préfets afin de mettre en place des mesures préventives, comme le dépôt de grains dans des zones éloignées des champs.
Une extension de la période de chasse figure également parmi les options envisagées, ce qui pourrait s’avérer être une solution efficace. Toutefois, les résultats observés chez certains de nos voisins européens, d’Italie à Pologne, montrent que la généralisation de la chasse a seulement contribué à contenir le nombre de sangliers, sans résoudre complètement le problème. La chasse sélective, visant particulièrement les populations femelles, pourrait limiter la reproduction excessive.
Il est également indispensable de repenser la protection des poubelles et des mangeoires extérieures, qui constituent un attrait pour les sangliers. Des initiatives, comme celles prises à Rome, avec des filets autour des poubelles conçus pour résister aux sangliers, ont montré des résultats encourageants.
En attendant, l’État devra considérer le financement de ces mesures, car les chasseurs ne sauraient se charger de l’ensemble des risques. Les assurances, elles, rembourse les dégâts, mais à quel prix pour la sécurité publique ?
Pour plus d’informations sur la chasse et ses enjeux, rendez-vous sur Caninstore.
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Brocard aux couleurs étonnantes


Un brocard au pelage surprenant
Dame Nature n’a jamais manqué d’imagination, et cette fois-ci, elle a frappé fort avec un brocard aux caractéristiques inattendues. Lors d’un affût en Autriche, un chasseur a eu la chance de croiser la route d’un brocard au pelage singulier, ressemblant presque à un patchwork de saisons.
Ce brocard, bien que tout à fait normal en termes de taille et d’antlers, se distingue par la particularité de son pelage. Il semblerait qu’il ait décidé de conserver une partie de son élégante fourrure d’hiver, laissant une impression de déséquilibre entre les saisons. Cela rappelle à quel point la nature peut parfois nous réserver des surprises insolites.
Une rarissime rencontre
Les chasseurs, qu’ils soient aguerris ou novices, savent combien il est fascinant de croiser des animaux qui sortent de l’ordinaire. Ce brocard aux couleurs décalées est avant tout un rappel de la diversité que la faune nous offre. Pour tous les passionnés, c’est également l’occasion de se poser la question : combien d’autres phénomènes aussi intrigants pourraient encore nous émerveiller dans nos forêts et plaines ? Peut-être est-ce juste une question de patience et d’observation.
Un aperçu de la vie sauvage
Ce genre de rencontres nous rappelle l’importance d’adopter une approche respectueuse envers la nature. En effet, chaque observation est un cadeau de Dame nature qui mérite d’être chéri et protégé. Si vous croisez un animal avec des particularités, n’oubliez pas que ce sont ces petites touches uniques qui font la beauté de notre écosystème.
Si vous souhaitez en apprendre davantage sur les comportements animaliers ou partager vos propres expériences de chasse, n’hésitez pas à visiter notre site Caninstore.
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Sangliers empoisonnés avant battue dans les Bouches du Rhône


Des sangliers empoisonnés avant une battue dans les Bouches-du-Rhône
Dans un événement choquant survenu récemment à Tarascon, le maire a dû prendre des mesures d’urgence pour protéger la santé publique. Des sangliers ont été volontairement empoisonnés juste avant une battue prévue dans la région. Cette situation alarmante a poussée la municipalité à interdire la consommation de viande de sanglier, en raison de risques sanitaires potentiels.
Graines empoisonnées retrouvées sur les lieux de la battue
Alors qu’une battue était prévue dans le secteur de Boulbon, à proximité de Tarascon, des chasseurs, en plein préparatifs, ont fait une découverte inattendue : des graines suspectes éparpillées dans la zone. Après examen, il est apparu qu’il s’agissait de graines empoisonnées, visiblement destinées aux sangliers que ces derniers s’apprêtaient à chasser. Dans un effort de transparence et de prudence, les chasseurs ont immédiatement alerté les autorités compétentes.
Un arrêté municipal pour prévenir les risques
Pour protéger la population, un arrêté a été promulgué par le maire de Tarascon, interdisant la consommation, la cession et la vente de viande de sanglier provenant du massif de la Montagnette pendant un mois. Ce message est clair : « À compter de ce jour et pour une durée d’un mois, la consommation, la cession et la vente de viande de sanglier provenant du massif de la Montagnette sont interdites sur l’ensemble du territoire communal. » Cette démarche vise non seulement à agir sur le court terme pour assurer la sécurité de la population, mais également à alerter sur les dangers de tels actes.
Enquête ouverte pour identifier les responsables
Cet incident a soulevé de nombreuses interrogations parmi les habitants et les chasseurs locaux. Le maire a affirmé que les services municipaux travailleront de concert avec les autorités compétentes pour élucider cette situation. L’enquête devrait bientôt déterminer qui se cache derrière cette action inacceptable, avec des sanctions potentielles à la clé pour les responsables.
Il est primordial de rester vigilant et de rapporter toute activité suspecte dans la région, pour éviter que de tels événements ne se reproduisent à l’avenir. La chasse, bien qu’étant une tradition pour beaucoup, doit se dérouler dans un cadre sécuritaire et respectueux envers la faune et la flore locales.
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