Repas de chasse à Gestel pour célébrer le chevreuil

Repas de chasse à Gestel pour célébrer le chevreuil

Repas de fin de saison à Gestel : 140 convives pour célébrer le chevreuil

Le samedi 8 mars 2025, la société communale de chasse de Gestel a rassemblé 140 personnes autour d’un repas savoureux dédié au chevreuil, à la salle du Lain. Ce moment convivial a permis de remercier non seulement les bénévoles de l’association, mais aussi les propriétaires des 420 hectares de terres de chasse, qui incluent des parcelles appartenant à des cultivateurs, des privés, ainsi que quelques terrains de Lorient agglomération ou de la mairie.

Un menu bien garnie : chevreuil et sanglier

Jean-René Petitbois, président de l’association et cuisinier du jour, ne cache pas sa fierté de servir des plats préparés avec des ingrédients locaux. Cette année, le bilan de la chasse est mitigé mais satisfaisant : douze chevreuils ont été prélevés, dont huit ont servi pour le repas. De plus, un sanglier a été abattu il y a six semaines, rappelant ainsi que la période de chasse est bien active, notamment pour les sangliers jusqu’à la fin mai.

Les prochaines activités de l’association

Avec seulement 17 adhérents cette année, l’association mise sur une communauté active et engagée. L’assemblée générale de la société se tiendra courant avril ou mai, suivie d’un second repas à thème, spécial sanglier, qui aura lieu le 26 juillet prochain.

En somme, cette fête autour du chevreuil à Gestel a non seulement été un moment de partage et de convivialité, mais également une belle occasion de souligner l’importance de la chasse durable et du respect de la nature.

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Buxy stratégie de rasage pour éloigner les sangliers

Buxy stratégie de rasage pour éloigner les sangliers

Buxy : Une stratégie efficace pour éloigner les sangliers

Rasage de ronciers, la nouvelle méthode

Le 24 février dernier, en réponse à la préoccupation de plusieurs riverains, une battue d’effarouchement a été organisée par les chasseurs de Buxy. L’objectif ? Rendre les lieux moins attractifs pour nos amis les sangliers. Le site des Raveaux a vu ses ronciers soigneusement rasés, laissant ainsi ces ruminants sans abri. Finis les cachettes confortables pour les sangliers, qui devront dorénavant chercher un autre endroit pour se cacher.

Une coopération entre chasseurs et riverains

Cette initiative témoigne d’un effort collaboratif entre les chasseurs et les habitants de la région. En effet, les sangliers peuvent causer des désagréments, que ce soit par leurs incursions dans les jardins ou par les dégâts qu’ils occasionnent dans les cultures. En rendant le secteur moins accueillant pour ces animaux, les chasseurs espèrent réduire les conflits entre l’homme et la faune. Les riverains, quant à eux, peuvent enfin respirer un peu plus sereinement dans leur quotidien sans craindre une visite inattendue de ces gros gourmands.

Des résultats à long terme ?

Il sera intéressant de constater si cette méthode se révélera efficace sur le long terme. Les sangliers sont connus pour leur intelligence et leur capacité d’adaptation. Ainsi, même si les ronciers ont disparu, ils pourraient bien trouver d’autres moyens de se faufiler dans les parages. Les chasseurs de Buxy resteront vigilants et peut-être devront-ils envisager d’autres solutions pour compléter cette première étape.

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Nouveau dynamisme de la chasse en France par l’engagement des jeunes et des femmes

Nouveau dynamisme de la chasse en France par l'engagement des jeunes et des femmes

Un nouveau souffle pour la chasse en France : l’engagement des jeunes et des femmes

Dans les vastes forêts normandes, le son des cors résonne alors que les chasseurs, après avoir abattu quelques bêtes, rendent hommage à la faune. “C’est notre manière d’honorer les animaux,” explique un chasseur. Cette tradition, qui remonte à 1789, témoigne d’une pratique longtemps réservée à l’élite mais qui est aujourd’hui accessible à toutes les classes sociales.

La chasse demeure un élément vital de l’identité rurale française. Comme le souligne un joueur de la « chasse à la française », les membres d’une troupe se rassemblent à la manière des célèbres Gaulois traquant un sanglier. Promenant ses souvenirs, un chasseur évoque également ses expériences à l’étranger, révélant des différences culturelles marquées, notamment avec le modèle britannique où la chasse est souvent liée à des dynamiques de classe.

Une montée en puissance

Il existe un paradoxe au cœur de cette tradition : alors que la chasse est confrontée à une hostilité croissante de certains segments de la population, elle connaît aussi un regain d’intérêt, favorisé par une nouvelle génération de chasseurs. Pendant les confinements liés à la pandémie, la pratique a attiré non seulement des jeunes mais aussi un public féminin de plus en plus engagé.

Les défis contemporains

Cette évolution n’est pas sans tensions. Les responsables de la Fédération nationale des chasseurs font état d’un scepticisme croissant dans les cités, souvent lié à l’ignorance des pratiques cynégétiques. “Les gens sont souvent déconnectés de la nature et ont des opinions bien tranchées,” observe un professionnel du secteur. Il est donc crucial de sensibiliser et d’éduquer les nouvelles générations sur la réalité de la chasse et ses enjeux.

La chasse, loin d’être un vestige du passé, se transforme et s’adapte aux défis de la société moderne. Les jeunes et les femmes portent cette tradition avec un nouveau regard. Dans cette évolution, la question demeure : comment concilier respect des traditions et réalités sociétales changeantes ?

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La Viande de Gibier au Salon de l’Agriculture 2025

La Viande de Gibier au Salon de l'Agriculture 2025

La Viande de Gibier S’affirme au Salon de l’Agriculture 2025

Un Comptoir de Saveurs qui Attire les Foule

Du 22 février au 2 mars 2025, le Salon de l’Agriculture a accueilli plus de 607 503 visiteurs au parc des expositions de la Porte de Versailles, à Paris. Parmi les stands qui ont fait sensation, celui de la Fédération nationale des chasseurs (FNC) a particulièrement retenu l’attention. Organisé dans l’espace de la région Hauts-de-France, ce comptoir a proposé des dégustations de viande de gibier qui ont su séduire les papilles des visiteurs. En vedette, des plats emblématiques qui mettent à l’honneur la richesse culinaire de cette viande locale et authentique, témoignant d’un intérêt grandissant pour le gibier au sein de notre gastronomie.

Une Touche Régionale et Inventive

Les spécialités présentées ont varié, allant de la boulette de sanglier façon welsh, garnie de savoureuses échalotes confites et de poires locales, à un tartare de cerf subtilement relevé à la bière et à la tomme de la région. Sans oublier la célèbre tartine de cerf, agrémentée d’une rémoulade à la moutarde de Picardie et d’herbes fraîches. Ces délices, simples mais raffinés, ont non seulement ravi les gourmands, mais aussi montré le potentiel culinaire du gibier. Face à un tel succès, les stocks ont dû être renouvelés en cours de salon, avec plus de 50 000 bouchées servies au total.

Le Grand Est Mystifie avec le Gibier

Le phénomène ne s’est pas limité aux Hauts-de-France. Le stand de la région Grand Est, dans le hall 7, a également mis à l’honneur cette viande sauvage avec une animation culinaire. Entre 6 000 et 7 000 bouchées ont été servies, avec des créations telles que le parmentier de cerf à la choucroute ou la terrine de sanglier à la mirabelle. Ces plats, savamment concoctés, ont su marier les saveurs régionales et l’authenticité du gibier, touchant un large public.

Des Atouts Nutritionnels Indéniables

Mais pourquoi cet engouement pour la viande de gibier ? Au-delà de son goût inimitable, elle se distingue par ses qualités nutritives. Riche en protéines et faible en graisses, cette viande sauvage est une option plus saine par rapport aux viandes d’élevage. Selon des études, elle serait même moins grasse qu’un yaourt nature ! Offrant une teneur élevée en minéraux comme le phosphore et le fer, le gibier se présente comme un véritable trésor nutritionnel, plébiscité par des consommateurs de plus en plus soucieux de leur alimentation.

Un Lien entre Chasseurs et Public

Le Salon de l’Agriculture a également été le berceau d’échanges enrichissants entre le public et les professionnels de la filière venaison. Ces rencontres ont mis en lumière les défis et les opportunités que présente la viande de gibier. Aujourd’hui, elle s’implante comme une option culinaire accessible, se mêlant harmonieusement aux traditions gastronomiques régionales, de la cuisine rustique aux créations contemporaines.

Un Avenir Prometteur pour le Gibier

Avec un tel bilan, le Salon de l’Agriculture 2025 a clairement établi la viande de gibier comme une alternative culinaire à part entière. Sa durabilité, son goût et ses bienfaits nutritionnels répondent aux attentes d’une société en quête de sens dans son alimentation. Ce succès est un signal fort que le gibier n’est plus qu’une simple curiosité, mais une option prisée par une clientèle soucieuse de renouer avec des produits sains et authentiques.

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Affaire Rillette et recherche d’un foyer pour un marcassin

Affaire Rillette et recherche d'un foyer pour un marcassin

L’Affaire du Sanglier Rillette et la Quête d’un Foyer pour un Marcassin

Une Association à la Recherche d’un Nouveau Foyer

L’affaire du sanglier Rillette, qui a captivé l’attention du public depuis fin 2024, suscite maintenant des dynamiques inattendues dans le Gard. Alors qu’une jeune femme avait réussi à obtenir l’autorisation de garder la laie qu’elle avait recueillie, une association de protection animale se retrouve aujourd’hui dans une situation délicate. En effet, cette dernière est en quête d’un foyer pour un marcassin trouvé sur le bord d’une route à Nîmes.

Un Marcassin Isolé

Ce petit suidé, qui a été pris en charge par des bénévoles, bénéficiait initialement d’un soutien adéquat, mais la situation a rapidement tourné. Initialement, un particulier détenteur d’un certificat de capacité devait accueillir le marcassin, mais ce dernier s’est désisté, laissant l’association sans solution. Les bénévoles se retrouvent donc à la croisée des chemins, se posant la question : que faire maintenant ?

Les Règles au Fils du Temps

Autrefois, la loi était plutôt claire sur le transport et la garde des sangliers, punissant sévèrement toute opération non autorisée. Malgré cela, l’épisode de Rillette semble avoir ouvert la porte à de nouvelles possibilités pour des particuliers désireux de s’occuper de tels animaux. Il est légitime de se demander si cette brèche ne pourrait pas entraîner une série d’initiatives similaires, potentiellement désordonnées.

Quelles Alternatives pour le Marcassin ?

L’association cherche donc une solution légale pour offrir un foyer au marcassin, privilégiant des options telles que les parcs, refuges ou établissements spécialisés. Toutefois, une certaine inquiétude demeure quant aux méthodes de gestion de ces situations à l’avenir. La question essentielle qui se pose est : comment les autorités et la société civile vont-elles encadrer cette évolution ? Espérons que la sagesse primera, évitant ainsi que ce modèle ne se propage tel un feu de forêt.

Au fil du temps, la saga du sanglier Rillette continuera sans doute de faire parler d’elle, et les responsables prendront probablement des décisions cruciales qui définiront les règles du jeu pour les animaux sauvages en détresse.

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Compétition de chasse en meute sur sanglier à Ciadoux

Compétition de chasse en meute sur sanglier à Ciadoux

Compétition nationale de meutes sur sanglier : Deux jours de passion à Ciadoux

Un rendez-vous incontournable pour les amateurs de chasse en meute

Ce week-end, la commune de Ciadoux, entourée de quatre départements voisins, sera le théâtre d’une compétition de chasse en meute sur sanglier, rassemblant 54 meutes et 162 concurrents venus de 18 départements. Prévu les 7, 8 et 9 mars, cet événement organisé par l’association Harloup en collaboration avec les associations de chasse locales a pour ambition de créer une ambiance conviviale et passionnée.

Martine Salaneuve, l’une des organisatrices du concours, partage son enthousiasme : « C’est un rassemblement assez exceptionnel, nous allons recevoir des gens de 18 départements. Il faudra les guider pour qu’ils puissent profiter au maximum de cette expérience. » La chasse en meute sur sanglier se déroule sans armes, en suivant un règlement strict. Le vendredi matin, les meutes, accompagnées de leurs maîtres, devront marquer le passage d’un sanglier. Une fois trouvé, la meute aura deux heures pour le poursuivre.

Concernant le sanglier, une fois la chasse terminée, il est « relâché et peut regagner la forêt ». Martine précise que « nous ne pistons que des sangliers seuls, jamais des familles, car cela serait trop complexe à gérer avec les chiens. » Des juges, sollicités auprès des associations de chasse locales, évalueront les performances des meutes tandis que d’autres équipes n’hésiteront pas à parcourir plusieurs kilomètres pour rejoindre les forêts des voisins ariégeois.

Au total, 172 communes participeront à cet événement, créant ainsi un véritable élan communautaire autour de la passion de la chasse. Les amateurs de la discipline sont donc attendus à Ciadoux pour un départ donné à 10 heures du matin, sur les traces du tant convoité sanglier.

Rendez-vous donc ce week-end pour vivre ce moment fort de convivialité et d’amour de la nature !

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Chasse au phare de Gatteville et dilemme juridique

Chasse au phare de Gatteville et dilemme juridique

Quand la chasse au pied du phare de Gatteville passe au tribunal

Le 6 mars 1913, la frénésie de la chasse prend un tournant juridique à Gatteville. Une situation singulière s’est produite au pied du phare, et des questions se posent : la collecte d’oiseaux tombés est-elle légale ou au contraire, est-ce du braconnage ? Autant de nuances à démêler qui ont trainé des hommes devant le tribunal de Cherbourg.

Des oiseaux éblouis par la lumière

En automne et au printemps, sous les nuits noires, des milliers d’oiseaux migrateurs se laissent séduire par la lumière du phare de Gatteville, attirant l’attention et la convoitise des chasseurs amateur. Que se passe-t-il donc lorsqu’ils tombent, fatigués ou blessés, au pied de cette immense structure ? Tel un papillon attiré par la flamme, voilà un spectacle qui attire les nemrods en herbe. La tradition veut que les habitants utilisent des lanternes et des filets pour collecter les volatiles, une tendance lucrative dont les statistiques parlent d’elles-mêmes : rien qu’en décembre 1912, 544 kilogrammes d’oiseaux ont été expédiés par la gare locale.

Le dilemme juridique

Cette coutume localement enracinée n’a pas échappé à l’œil vigilant du Saint-Hubert Club de France, créé pour lutter contre le braconnage. Ils interviendront pour se poser la question : ramasser ces oiseaux est-il un acte illégal ? C’est là qu’intervient le tribunal, avec deux paysans de Gouberville et un pêcheur de Barfleur pris en flagrant délit par des inspecteurs, décidés à voir de près cette chasse nocturne.

La plaidoirie et ses enjeux

Confrontés à la barre, les prévenus reconnaissent les faits, mais plaident leur cause : aucune victime n’a été collectée cette nuit-là, aucun oiseau n’a été attiré par la lumière de la pleine lune. Le substitut du procureur insiste pour que la loi contre le braconnage soit appliquée, mais l’avocat, maître Delagarde, expose brillamment que pour qu’il y ait délit, il faut que le gibier ait été activement chassé. Son argumentation repose sur une distinction nette entre ce qui est un acte de chasse et ce qui est simplement un ramassage opportuniste.

Un jugement éclairé

Le tribunal acquitte les trois hommes, mais établit une jurisprudence importante : le ramassage d’oiseaux morts est légal, tandis que la capture d’oiseaux blessés ou fatigués est punie. Une décision qui fait la lumière sur une pratique tentaculaire au pied du phare de Gatteville.

En définitive, cette affaire nous rappelle que même dans les recoins reculés de la nature, les lois de la chasse et de la protection de la faune s’appliquent. La chasse est-elle un loisir ou un délit ? Les nuances de la législation, comme les oiseaux, peuvent parfois être difficiles à suivre.

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Sangliers en abondance à Amakusa avec 636 captures en janvier

Sangliers en abondance à Amakusa avec 636 captures en janvier

Amakusa, Japon : 636 sangliers capturés en janvier

Une ville insulaire confrontée à une explosion de sangliers

En janvier 2025, la ville d’Amakusa, dans la préfecture de Kumamoto, a enregistré la capture de 636 sangliers en un seul mois. Avec une population d’environ 75 000 habitants répartis sur plusieurs îles, Amakusa se situe entre la mer de Yatsushiro et la mer de Chine orientale. Ses 683,86 km² en grande partie boisés et montagneux offrent un terrain de jeu idéal pour ces sangliers.

Les causes d’une prolifération inquiétante

Plusieurs facteurs sont à l’origine de cette augmentation alarmante de la population de sangliers. Premièrement, le déclin de la population rurale et l’abandon progressif de l’agriculture diminuent la pression humaine sur leur habitat. Ensuite, les hivers plus doux résultant des changements climatiques favorisent la survie des jeunes sangliers. Enfin, le vieillissement de la population de chasseurs au Japon entraîne un manque de régulation naturelle de ces animaux.

Des conséquences néfastes pour les cultures et la sécurité publique

La prolifération des sangliers entraîne des dégâts considérables. Les sangliers s’attaquent aux cultures, notamment les rizières et les vergers, mettant en péril des productions locales essentielles, comme les mandarines. De plus, les incursions des sangliers dans les zones urbaines créent un risque accru d’accidents et d’agressions, sans oublier le déséquilibre écologique que cela provoque pour d’autres espèces, menaçant ainsi les écosystèmes locaux. Un habitant témoigne : « Les sangliers retournent complètement la terre sous nos maisons, dans nos jardins et nos champs. On commence à se demander si on pourra encore cultiver du riz… »

Des mesures prises par les autorités locales

Pour faire face à cette menace, la ville d’Amakusa intensifie ses efforts. Des cages-pièges sont déployées dans les zones sensibles, et les chasseurs locaux sont mobilisés pour réguler la population. Les captures sont valorisées en gibier grâce à l’Association de lutte contre les animaux nuisibles.

Un avertissement pour la France

La situation d’Amakusa rappelle que le Japon n’est pas le seul pays à faire face à une problématique de régulation des sangliers. En France, la situation est tout aussi préoccupante, bien que les chasseurs en soient souvent tenus pour responsables. Ce qui se passe à Amakusa est un témoignage vivant de ce qui pourrait arriver en France si la chasse était complètement écartée. Il devient urgent de reconnaître le rôle vital de la chasse dans la gestion de la faune et de ne pas la considérer comme un simple bouc émissaire pour des politiques déconnectées des réalités du terrain.

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L’été évité par les promeneurs de la plage de Morieux à cause des algues vertes

L'été évité par les promeneurs de la plage de Morieux à cause des algues vertes

« L’été, j’évite de venir » : Les promeneurs de la plage de Morieux face aux algues vertes

Le 5 mars dernier, la plage de Saint-Maurice à Morieux a été le théâtre de discussions vives entre promeneurs après la confirmation qu’un sanglier retrouvé mort en septembre 2024 avait été intoxiqué par les gaz émis par des algues vertes en décomposition. Un événement qui a suscité indignation et résignation au sein de la communauté locale.

Une plage au soleil, mais pas sans odeur

La plage baignée de soleil ne laisse pas présager le malheur qui s’y est abattu six mois plus tôt. S’il n’y a pas de traces visibles du drame, une forte odeur d’œuf pourri rappelle inévitablement le passé de ce lieu à la beauté trompeuse. Claude, un habitant de la rue des Plages, ne cache pas son mécontentement : « Quand il fait très chaud, l’odeur de putréfaction monte jusque chez nous. C’est insupportable ! » explique-t-il, tout en redoutant déjà la prochaine marée d’algues vertes.

Des promeneurs inquiets et résignés

Les réactions des visiteurs de la plage de Morieux ne se sont pas faites attendre. Charlélie, un joggeur régulier de la côte briochine, confie : « Je dirais que ce n’est pas très rassurant. L’été, j’évite de venir par ici ». Pour lui, le phénomène des algues vertes influence son choix d’itinéraire, évitant les plages où les engins de ramassage sont fréquemment aperçus.

Charles, un photographe passionné, partage une même inquiétude. Armé de son appareil, il observe son environnement avec prudence. Il souligne le « double discours » des autorités sur la problématique des algues vertes, arguant que leur prolifération est intimement liée aux pratiques agricoles. « C’est scandaleux qu’on puisse encore nier cela », s’indigne-t-il, renforçant son point par le contenu d’une enquête récente.

Une réalité pressante pour les locaux

Paul-Antoine et Anna, également en balade, vont dans le même sens. Pour eux, l’intoxication du sanglier est une preuve manifeste d’un problème de croissante envergure. « Ça montre aussi que le phénomène reste difficile à endiguer », ajoutent-ils, suggérant même une fermeture des plages pour protéger les baigneurs. Une réflexion qui témoigne de l’inquiétude croissante au sein de la communauté face à cette situation préoccupante.

Le débat sur la gestion des algues vertes et leur impact sur la faune et la santé humaine mérite d’être ouvert, tant les conséquences peuvent s’avérer désastreuses tant sur le plan écologique qu’en matière de sécurité publique.

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Festin de Chasse à Vincelles

Festin de Chasse à Vincelles

Un Festin de Sanglier et Chevreuil à Vincelles

La saison de chasse prend fin en beauté à Vincelles, où chasseurs et convives se retrouvent pour un banquet mémorable. L’événement, organisé par la société communale de chasse, promettait un repas savoureux mettant à l’honneur le sanglier et le chevreuil, deux spécialités qui font les délices des amoureux de la chasse et de la bonne cuisine.

 

Pour les participants, il s’agissait non seulement d’un moment de convivialité, mais également d’une occasion de célébrer la fin d’une saison riche en aventures et en rencontres au fil des forêts et des champs. Les plats préparés pour l’occasion étaient un véritable hommage à ces animaux, souvent considérés comme des défis de taille pour les chasseurs, tant par leur intelligence que par leur agilité.

Le chef, aux fourneaux, a mis tout son savoir-faire pour concocter des mets alléchants. Accompagnés de vins locaux, ces plats ont ravi les papilles des convives, transformant cette soirée en un festin inoubliable. L’ambiance était chaleureuse, avec rires et histoires de chasse partagées autour des tables, illustrant à quel point la chasse est bien plus qu’une simple activité, mais un véritable mode de vie qui rassemble

 

En conclusion, cet événement n’était pas seulement une fête pour célébrer un aboutissement, mais aussi un moment de partage et de tradition. La société communale de chasse de Vincelles a prouvé, une fois de plus, que la passion pour la chasse peut se traduire en moments de joie et de convivialité autour d’une bonne table. Alors, quand prévoyez-vous votre prochaine sortie de chasse ?

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