Cerfs, dégâts des sangliers, ouverture aux jeunes : l’ACCA sur tous les fronts
À Ménil-la-Tour, l’ACCA (Association Communale de Chasse Agréée) est en action ! Présidée par Damien Mazelin, l’association couvre une superficie de 476 hectares, dont 4 hectares de bois, et compte 9 chasseurs. Parallèlement, Mazelin dirige également l’association La Haie aux Loups, qui englobe 48 hectares de bois et 53 hectares de plaine, jouxtant le territoire principal et comportant 8 actionnaires. Ensemble, ces organisations s’attellent à maintenir l’équilibre fragile de la faune locale.
Régulation et préservation : un équilibre nécessaire
La régulation du gibier, fruit d’une collaboration étroite avec la Fédération Départementale des Chasseurs de Meurthe-et-Moselle (FDC 54) et le Groupement d’Intérêt Cynégétique (GIC) de la Reine, repose sur un système de bracelets attribués selon diverses critères. Cela inclut la superficie des zones de chasse, les comptages réguliers, les constats réalisés sur le terrain, et les retours d’expériences. L’objectif ? Assurer la préservation de la faune tout en respectant les équilibres environnementaux.
Défis des dégâts : sangliers à l’œuvre
Une autre facette de la mission des chasseurs de l’ACCA concerne la gestion des dégâts occasionnés par les sangliers dans les cultures et les forêts. La régulation de cette population est cruciale pour minimiser les dégâts économiques et préserver les écosystèmes locaux.
Ouverture aux jeunes : la relève de demain
Par ailleurs, l’ACCA de Ménil-la-Tour met un point d’honneur à encourager la participation des jeunes à la chasse. Cette ouverture vise à assurer la continuité de la tradition cynégétique, tout en sensibilisant la nouvelle génération à l’importance de la gestion de la faune et à la préservation des habitats naturels.